Je vous donne ces 7 conseils, fruits de mon expérience à mon cabinet;

Oui, vous pouvez guérir de votre addiction.

Même si elle dure depuis des années. Même si vous en souffrez en silence.

Exemple de guérison ? Celle de l’actrice-chanteuse Demi Lovato.

Artiste adulée, elle a partagé son combat contre la boulimie. Inspirant ainsi des millions de personnes à briser le silence et à cheminer vers la guérison.

Son parcours, illustré par des photos avant / après saisissantes, avec un message d’espoir, montre que la victoire sur la boulimie alimentaire (TCA) est possible.

La psychothérapie s’avère un outil crucial pour vaincre l’addiction. En s’attaquant aux racines profondes du problème, elle offre une transformation durable et complète.

Une cliente guérie m’a dit, récemment, « j’ai fait la paix avec moi-même ».

Voici 7 clés pour vous en sortir :

1. Comprenez les mécanismes de votre addiction

Explorez les ressorts psychologiques qui vous poussent à manger compulsivement. Par exemple, identifiez les émotions difficiles que vous tentez de combler par la nourriture : solitude, ennui, peur, rejet, abandon, etc.

2. Développez une relation saine avec la nourriture

Apprenez à écouter les signaux de faim, et de satiété, de votre corps. Découvrez le plaisir de manger en pleine conscience, sans culpabilité, ni jugement.

3. Apprenez à gérer vos émotions difficiles

Connaissez des outils pour gérer votre stress, votre anxiété, votre tristesse, etc. de manière saine et constructive. Développez des stratégies alternatives à la boulimie (et/ou l’hyperphagie) pour une bonne santé durable.

4. Améliorez votre estime de soi

Renforcez votre confiance en soi et une juste et bonne image corporelle. Apprenez à vous aimer et à vous respecter, au-delà des diktats de la société. Sachez dire non !

5. Développez des relations saines

Entourez-vous d’un réseau de soutien positif et bienveillant. Découvrez comment communiquer ouvertement sur vos ressentis et vos besoins.

6. Apprenez à gérer les rechutes

Comprenez que les rechutes font partie du processus de guérison. Mettez en place des stratégies pour les prévenir. Et les gérer de manière constructive.

7. Fixez-vous des objectifs réalistes

Je vous aiderai aussi comment avoir des objectifs clairs et atteignables pour votre guérison. Vous célèbrerez chaque victoire, si petite soit-elle.

N’oubliez pas, vous n’êtes pas seul(e) !

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Version courte de mon article 😉

-> Ce trouble du comportement alimentaire est un défi complexe, et la guérison est possible. En vous engageant dans une psychothérapie sérieuse, avec un psy compétent, en vous appuyant sur un réseau de soutien solide, vous retrouverez une relation saine avec la nourriture, et vous vous sentirez plus heureux.

N’attendez plus, franchissez le pas vers la liberté et le bien-être !

Voici d’autres informations complémentaires :

  • Le documentaire « Simply Complicated » de Demi Lovato est disponible sur YouTube
  • Ligne d’écoute téléphonique nationale pour les troubles alimentaires : 0 800 05 05 01

N’hésitez pas à partager ce message avec toute personne concernée par l’addiction alimentaire.

Ensemble, brisons le silence de cette maladie, et ouvrons la voie vers la guérison !

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ».
Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

 

Il n’existe pas de drogués heureux.

Non, vraiment pas .

Ils vivent dans un enfer qui se nomme :

  • alcool
  • amphétamine
  • héroïne
  • nourriture
  • sexe
  • jeux
  • votre produit addictif

Tout un arsenal destiné à tromper cette chose appelée :

  • ennui
  • solitude
  • souffrance
  • impossibilité d’accepter la vie telle qu’elle se présente
  • votre raison

On s’étourdit d’expédients pour pallier un :

  • manque d’amour
  • manque d’attention
  • masquer une blessure
  • briser le cercle infernal de la monotonie
  • donner à l’âme de quoi s’exalter.

Une fuite hors de soi

qui commence par la prise inopinée d’un rail de cocaïne,

pour finir dans une orgie de drogues

où se dissout la vie ou ce qu’il en reste…

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

Et s’il était temps pour vous de quitter votre poste, voire même de changer de voie ?

« Ce n’est pas le bon moment

Je ne trouverai jamais mieux

C’est la crise

Mon job n’est pas si mal que ça », etc.

Les excuses pour ne pas quitter votre job, qui ne vous plaît plus, ne manquent pas, j’en suis convaincu.

Pour beaucoup, l’aspiration au changement restera un doux fantasme.

Si vous ressentez des frustrations, si vos besoins ne sont plus comblés, prenez le temps de la réflexion. Cela ne sera jamais du temps perdu.

Attention ! Le changement n’a pas besoin d’être radical pour que vous vous sentiez mieux. Il peut s’agir de changer d’entreprise ou de secteur, de développer une deuxième activité, etc.

Voici les 7 signaux qui doivent vous faire réfléchir.

Le 8ème, c’est le vôtre.

1/ Vous êtes de moins en moins motivé

La baisse d’enthousiasme est un vrai signal.

Au quotidien, cela peut se traduire par de l’ennui, un manque d’envie et d’énergie. Passer son temps à regarder sa montre, surfer sur Internet comme on errerait dans la rue, rallonger ses pauses, mettre une heure à boucler un dossier qui ne demandait que quinze minutes…

Le bore-out peut vite être source de souffrances et devenir aussi mauvais pour la santé que le burn-out.

2/ Vous n’êtes pas satisfait de vos relations de travail

Votre job peut vous passionner, mais si vous n’êtes pas ou plus en phase avec vos collègues et/ou vos supérieurs, il se peut que cela vous mine considérablement.

Pour reprendre la pyramide de Maslow, le besoin d’appartenance révèle la dimension sociale de l’individu. On a tous besoin de se sentir accepté par les groupes dans lesquels on évolue, notamment au travail. On se définit aussi par rapport à ces relations. Ainsi, quand vous ne vous reconnaissez plus dans la culture véhiculée par votre entreprise, par les valeurs de votre hiérarchie ou que vous ne vous ressentez plus reconnu par le groupe, il est temps d’aller voir ailleurs !

Une entreprise plus familiale ? Un grand groupe ? Une start-up ? Il y a 1001 manières d’exercer le même poste, à vous de voguer vers une ambiance qui vous conviendra davantage.

3/ Les maux du corps

Boule au ventre, sommeil altéré, palpitations sur le trajet… Lorsque votre corps commence à envoyer des signaux d’alerte, aussi légers soient-ils, il est opportun de prendre du recul. De commencer à faire le point, afin d’identifier s’il s’agit d’un malaise passager ou d’une crise plus profonde nécessitant un changement de job, voire de voie.

Si dès le dimanche soir ou lundi matin, vous ressentez un début de stress, ce n’est pas bon signe. La limite intervient lorsque le corps « parle », et appelle au changement. A partir du moment où vous commencez à somatiser, quand vous en avez plein le dos, quand vous ne « digérez » plus ce que vous faites… jusqu’au burnout, il est plus que temps de bifurquer vers un autre chemin, plus en accord avec vos valeurs.

F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, tabac, phobie, souffrance, stress, burnout, téléséance, téléconsultation, avis, témoignage4/ Vous vous dites que votre travail manque de sens

Vous pouvez avoir une situation professionnelle très confortable, enviée par beaucoup, mais qui au final, ne remplit pas votre besoin de vous accomplir.

Sortez d’une condition purement matérielle pour atteindre votre épanouissement.

C’est ainsi que Marie Treppoz, directrice marketing dans un groupe du Cac 40 a quitté son poste pour donner plus de sens à son travail. Afin de se sentir davantage utile, elle a fondé Welp, un site d’entraide gratuit entre particuliers.

5/ Les gens bien dans leur job vous énervent

Pierre gravit les échelons dans son entreprise, Annabelle vante la bonne entente avec ses collègues, Stéphane et Inès sont ravis de leurs nouvelles missions… Et vous, leur bonheur vous pèse !

L’aigreur, voire la jalousie, envers les proches heureux au travail sont des signaux fréquemment rencontrés chez les insatisfaits au travail. Ils témoignent d’une frustration ou d’un mal-être par un effet miroir.

6/ Vous attendez les jours off avec une attente démesurée

Combien de jours vous reste-t-il à « tenir » avant vos prochains congés ?

Si vous vous posez régulièrement cette question, ce n’est peut-être pas anodin… Une cliente que j’accompagne me disait en ces termes : « J’attends les week-ends et les vacances pour avoir vraiment l’impression de vivre ». S’il est évident que presque tout le monde attend les jours de repos avec impatience, les attendre de façon démesurée en ayant l’impression de mettre sa vie entre parenthèse les jours de travail, témoigne d’un véritable problème.

7/Une petite voix vous dit…

Si au fond de vous, vous avez cette petite voix intérieure qui vous envoie des pensées, des désirs de changement, ne la mettez surtout pas de côté. Ce n’est rien d’autre que votre intuition et elle ne se trompe rarement. Ecoutez-la et autorisez-vous à faire un premier pas vers le changement.

Même si vous êtes bon dans votre travail actuel et qu’il vous paraît « confortable », gardez en tête que vous excellerez dans ce que vous aimez faire. Ne vous résignez jamais. Il est possible de changer de boulot et même de voie à tout âge.

Autorisez-vous à devenir pleinement vous-même, vous avez le droit de vous éclater dans votre travail !

Le travail peut et doit être un moment d’épanouissement : lorsque vous êtes pleinement aligné avec ce que vous faites, vous êtes heureux d’aller travailler.

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

 

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Et s’il était temps pour vous de quitter votre poste, voire même de changer de voie ?

« Ce n’est pas le bon moment », « Je ne trouverai jamais mieux », « C’est la crise », « Mon job n’est pas si mal que ça »…

Les excuses pour ne pas quitter un travail qui ne nous plaît plus ne manquent pas. C’est humain.

Pour beaucoup, l’aspiration au changement restera un doux fantasme. Si vous ressentez des frustrations, si vos besoins ne sont plus comblés, prenez le temps de la réflexion. Les signaux ne sont pas les mêmes pour tout le monde, selon ce qui compte le plus à vos yeux dans votre travail.

Attention, le changement n’a pas besoin d’être radical pour que vous vous sentiez mieux dans votre job. Il peut s’agir de changer d’entreprise ou de secteur, de développer une deuxième activité… ».

7 signes qui montrent que vous devriez changer de travail :

1/ Vous êtes de moins en moins motivé(e)

La baisse d’enthousiasme est un vrai signal. Le travail peut et doit être un moment d’épanouissement. Lorsque vous êtes pleinement aligné avec ce que vous faites, vous êtes heureux d’aller travailler.

Au quotidien, cela peut se traduire par de l’ennui, un manque d’envie et d’énergie. Passer son temps à regarder sa montre, surfer sur Internet comme on errerait dans la rue, rallonger ses pauses, mettre une heure à boucler un dossier qui ne demandait que quinze minutes… Le bore-out peut vite être source de souffrances et devenir aussi mauvais pour la santé que le burn-out.

2/ Vous n’êtes pas satisfait(e) de vos relations de travail

Votre job peut vous passionner, mais si vous n’êtes pas ou plus en phase avec vos collègues et/ou vos supérieurs, il se peut que cela vous mine considérablement. Pour reprendre la pyramide de Maslow, le besoin d’appartenance révèle la dimension sociale de l’individu. On a tous besoin de se sentir accepté par les groupes dans lesquels on évolue, notamment au travail. On se définit aussi par rapport à ces relations. Ainsi, quand on ne se reconnait plus dans la culture véhiculée par son entreprise, par les valeurs de sa hiérarchie ou que l’on ne se sent plus reconnu par le groupe, il est temps d’aller voir ailleurs.

Une entreprise plus familiale ? Un grand groupe ? Une start-up ? Il y a 1001 manières d’exercer le même poste, à vous de voguer vers une ambiance qui vous conviendra davantage.

3/ Les maux du corps

Boule au ventre, sommeil altéré, palpitations sur le trajet… Lorsque le corps commence à envoyer des signaux d’alerte, aussi légers soient-ils, il est opportun de prendre du recul et de commencer à faire le point afin d’identifier s’il s’agit d’un malaise passager ou d’une crise plus profonde nécessitant un changement de job, voire de voie.

Si dès le dimanche soir ou lundi matin, vous ressentez un début de stress, ce n’est pas bon signe. La limite intervient lorsque le corps « parle » et appelle au changement. A partir du moment où vous commencez à somatiser, quand vous en avez plein le dos, quand vous ne « digérez » plus ce que vous faites… jusqu’à l’apogée, le burn out, il est plus que temps de bifurquer vers un chemin plus en accord avec vos valeurs.

4/ Vous vous dites que votre travail manque de sens

On peut avoir une situation professionnelle très confortable, enviée par beaucoup, mais qui au final, ne remplit pas notre besoin de nous accomplir. C’est le sommet des aspirations humaines. Il vise à sortir d’une condition purement matérielle pour atteindre l’épanouissement.

C’est ainsi que Marie Treppoz, directrice marketing dans un groupe du Cac 40 a quitté son poste pour donner plus de sens à son travail. Afin de se sentir davantage utile, elle a fondé Welp, un site d’entraide gratuit entre particuliers.

5/ Les gens bien dans leur job vous énervent

Pierre gravit les échelons dans son entreprise, Annabelle vante la bonne entente avec ses collègues, Stéphane et Inès sont ravis de leurs nouvelles missions…

Et vous, leur bonheur vous pèse ! L’aigreur, voire la jalousie, envers les proches heureux au travail sont des signaux fréquemment rencontrés chez les insatisfaits au boulot. Ils témoignent d’une frustration ou d’un mal-être par un effet miroir.

6/ Vous attendez les jours off avec une attente démesurée

Combien de jours vous reste-t-il à « tenir » avant vos prochains congés ? Si vous vous posez régulièrement cette question, ce n’est peut-être pas anodin… Une cliente que j’accompagne me disait en ces termes : « J’attends les week-ends et les vacances pour avoir vraiment l’impression de vivre ».

S’il est évident que presque tout le monde attend les jours de repos avec impatience, les attendre de façon démesurée en ayant l’impression de mettre sa vie entre parenthèse les jours de travail, témoigne d’un véritable problème nécessitant d’entamer une réflexion.

7/ Une petite voix vous dit…

Si au fond de vous, vous avez cette petite voix intérieure qui vous envoie des pensées, des désirs de changement, ne la mettez surtout pas de côté ! Ce n’est rien d’autre que votre intuition, et elle ne se trompe rarement.

Ecoutez-la.

Autorisez-vous à faire un premier pas vers le changement.

Même si vous êtes bon dans votre travail actuel et qu’il vous paraît « confortable », gardez en tête que vous excellerez dans ce que vous aimez faire. Ne vous résignez jamais. Même si cela vous fait peur.

Il est possible de changer de boulot et même de voie à tout âge.

Autorisez-vous à devenir pleinement vous-même, vous avez le droit de vous éclater dans votre travail !

Allez, courage !

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin

L’arrêt de votre tabagisme entraînera rapidement 7 conséquences positives sur votre santé.

Voyez vous-même :

  1. La fréquence cardiaque et la pression artérielle retrouvent rapidement un niveau normal, et le monoxyde de carbone qui empoisonne le sang revient à un taux normal dans les douze heures
  2. La circulation sanguine et les fonctions pulmonaires se rétablissent dans les douze semaines
  3. La toux et la détresse respiratoire causées par le tabagisme diminuent dans les neuf mois. Les cils vibratiles des poumons arrivent à nouveau à exercer leur fonction protectrice et à repousser les mucosités et autres petits grains de poussière, ce qui réduit le risque d’inflammation
  4. En un an, le risque de maladie coronaire diminue de moitié
  5. Après cinq ans, le risque de cancer de la bouche, de la vessie, du pharynx et de l’œsophage est réduit de moitié. Le risque d’apoplexie et de cancer de l’utérus redevient celui d’une personne n’ayant pas fumé
  6. Après dix ans, le risque de décès des suites d’un cancer du poumon est deux fois moins grand que celui d’une fumeuse ou d’un fumeur. Le risque de cancer du larynx et du pancréas diminue aussi
  7. Après quinze ans, le risque de maladies cardiovasculaires est le même que celui d’un non-fumeur

De plus, vous aurez une meilleure haleine, des dents plus blanches, les vêtements et les cheveux qui sentent bon, des doigts et des ongles de couleur normale.

Vous retrouverez le plaisir de sentir pleinement les goûts et les odeurs !

Source : American Cancer Society, Stay Away from Tobacco – Benefits of Quitting Smoking Over Time

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Plus d’informations sur mes téléséances en cliquant ici.

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Votre balance enregistre déjà quelques kilos en plus ?

Il est encore temps d’adopter une meilleure hygiène de vie durant cette fin de confinement.

Lors du premier confinement dû à la Covid-19 qui a commencé en France le 17 mars, les Français adultes auraient pris en moyenne 2,5 kg selon une enquête menée par l’Ifop.

Un effet probablement dû au manque d’activité physique, aux difficultés d’accès à des aliments sains, aux occasions multiples de grignoter, à l’ennui généré par ces restrictions, d’autant plus favorisées par le stress.

1. Diminuer – beaucoup – les sucres et les féculents

En période de confinement, il faut rétablir notre balance énergétique : nos activités physiques étant considérablement réduites, l’apport calorique doit lui aussi être diminué, sinon c’est la prise de poids assurée.

Comment manger moins de calories sans calcul ?

  1. Maintenez les trois repas par jour à heure fixe. Supprimer les collations intermédiaires. Si vous avez faim entre deux repas, c’est le signe que votre repas n’était pas suffisamment équilibré, avec des aliments à index glycémique élevé, ou pas assez de protéines
  2. Diminuez la quantité de glucides (féculents et céréales) habituellement consommée et mangez assez de protéines (elles sont rassasiantes, et maintiennent la bonne construction du corps)
  3. Limitez au maximum les aliments ultra-transformés riches en sucres et en graisses (pour éviter d’être tenté, il suffit de ne pas en acheter), et supprimez les boissons sucrées y compris les jus de fruits (pic d’insuline)
  4. Ne terminez pas le repas avec une touche sucrée ! Sauf quelques fruits rouges, chocolat noir, yaourt de chèvre ou de brebis).

2. Cibler les aliments de qualité

La quantité de calories n’est pas la seule à avoir de l’importance pour ne pas prendre de poids : il faut aussi veiller à la qualité de son alimentation.

Le premier pas est bien évidemment de choisir des produits bruts et de les cuisiner (ça tombe bien on a le temps). Parmi les produits bruts ou peu transformés, on peut encore faire un second tri. Pour les fruits et les légumes (notamment les légumes secs), il faudra les préférer frais et éviter les conserves. En ce qui concerne les féculents et les céréales, c’est à leur forme qu’il faut être attentif : pour éviter des index glycémiques trop élevés, il faut préférer des formes complètes ou semi-complètes. Le pain complet au levain et aux graines sera ainsi largement préférable à la baguette blanche et en plus il se conservera plus longtemps, ce qui évitera d’aller tous les jours en acheter.

Ainsi, vous n’affolerez pas votre balance !

Voici les meilleurs choix alimentaires parmi les produits bruts ou peu transformés

J’évite   Je remplace par
Farine de blé blanche (pain et pâte) Non, ou très peu
Pomme de terre Non, ou très peu. Brocolis
Riz cuisson rapide Non, ou très peu
Légumes secs en conserve  Légumes secs bruts
Produits sucrés, chocolat au lait, confiture industrielle, sucre blanc Chocolat noir sup. à 75%
Lait de vache Ok
Yaourt et fromage industriels Yaourt de chèvre ou de brebis ou yaourt végétal nature

 

Fromage et yaourt fermier de chèvre ou de brebis

Beurre et crème fraîche  Ok
Huile de tournesol, colza Huile d’olive, coco, ghee, saindoux
Viande classique Ok, parfaite source de protéines de qualité et disponibles rapidement
Poisson  Petits poissons (maquereau, sardine, hareng…), crustacés et mollusques associés à un label garantissant la pêche durable
Œuf  Œuf de poules élevées en pleine air
Sel de table Sel enrichi en potassium, gomasio
Poivre en excès  Ail, oignon, échalote, persil, basilic, thym
Curry, moutarde, chili, harissa  Curcuma, gingembre, safran, cannelle, menthe, coriandre…
Thé et café Ok, déca après 14h
Sodas, jus de fruit et alcool  Kéfir, kombucha, eau gazeuse, eau

3. Déjouer le piège du petit creux

Rester à la maison sans rien faire donne faim, c’est bien connu. Le risque c’est d’assouvir chaque petit creux que l’on ressent alors que cette sensation de faim n’est que le résultat de l’ennui.

« Manger en pleine conscience » nous apprend que nous prenons pour de la faim, des envies ou des manques auxquelles on pourrait subvenir d’une autre manière. Le confinement peut donc être une période privilégier pour mieux comprendre comment on fonctionne et mettre en place les stratégies pour éviter les fringales. Quelques séances avec un hypnothérapeute vous permettra d’y voir plus clair.

Si vous souhaitez néanmoins manger lorsque vous avez un petit creux, privilégiez les noix, amandes et noisettes non salées.

Le confinement nécessitera peut-être la réorganisation des repas. Si la faim se faisait sentir tard le soir lorsque l’on travaillait à l’extérieur (vers 20h par exemple), en période de confinement elle peut survenir un peu plus tôt (vers 18h30) ou tout du moins à des horaires différents. Le conseil ? Manger un vrai repas lorsque vous avez (vraiment) faim même si ce n’est pas aux horaires habituels, cela évitera les petits grignotages inutiles (souvent gras et sucrés) ! Mais attention, il faudra garder un rythme régulier chaque jour.

4. Pratiquer le jeûne intermittent

Le jeûne intermittent possède de multiples vertus qui ne sont plus à prouver.

Et cette pratique est particulièrement intéressant en période de confinement. En réduisant stratégiquement l’apport calorique, le jeûne intermittent permet à l’organisme de ne pas être surchargé par la digestion notamment durant le jeûne nocturne.

Prises collectivement, les études indiquent que le jeûne intermittent peut en quelques semaines diminuer les graisses corporelles et le tour de taille. Les chercheurs pensent que le jeûne intermittent permet de maigrir, soit parce qu’on diminue la consommation énergétique puisque les occasions de manger sont moins nombreuses, soit parce qu’on fait baisser l’insuline (hormone qui favorise le stockage des graisses), soit parce qu’on rétablit un rythme circadien favorable à la perte de poids.

Plusieurs schémas de jeûne intermittent existent. Selon votre niveau d’expérience, vos habitudes alimentaires et vos objectifs, choisissez parmi les meilleures formes de jeûne intermittent.

L’idée est évidemment de manger équilibré le reste du temps, en suivant le conseil n°1 donné plus haut.

Pour en savoir plus, lire : Le guide complet du jeûne et Le fasting

Et aussi mon autre article : https://duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr/2019/11/04/dis-cest-quoi-le-jeune-intermittent/

5. Continuer à bouger

Les règles du confinement limitent à une heure ou trois heures par jour l’occasion de sortir faire de l’exercice, autant en tirer le maximum. Votre programme devrait comprendre un entraînement cardiovasculaire comme la marche rapide, le jogging, le vélo, des exercices de résistance musculaire et de flexibilité comme les étirements.

Par exemple :

  • 5 min d’échauffement
  • 30 min de marche rapide
  • 20 min d’exercice de musculation
  • 5 min de récupération et d’étirements

Exemples de séance courte

Exemples de séance longue

De plus, en ligne les cours de sport en libre accès ne manquent pas : applis, vidéo, programme …

Durant cette période, on peut être tenté de passer plus de temps devant la télévision mais il faut savoir saisir cependant toutes les bonnes raisons de bouger : bricoler, trier, jardiner, nettoyer, ranger…

6. Gérer son stress

Savoir gérer son stress à l’aide de méthodes naturelles limitera le besoin de se jeter sur la nourriture pour l’apaiser, surtout que se sont souvent les aliments riches en sucres que l’on pointe dans ces cas-là. Ils favorisent le passage d’un acide aminé, le L-tryptophane, dans le cerveau. Celui-ci est le précurseur d’un messager chimique qui « console », la sérotonine. 

L’auto-hypnose, la méditation, la cohérence cardiaque, le yoga et aussi l’activité physique en général aident à canaliser le stress, apaiser l’anxiété et équilibrer l’humeur.

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WhatsApp, Zoom, Slack… Ces outils de communication qui vous épuisent.

Pendant le confinement, avec la généralisation du télétravail, l’utilisation des multiples canaux de communication a explosé.

Parfois intrusive et souvent chronophage, cette ultraconnexion, avec sa cohorte d’alertes et de notifications, peut pousser au stress et à la saturation.

«J’ai 7 groupes Teams actifs, 8 groupes WhatsApp familiaux et amicaux, des mails incessants…» Depuis le début de la pandémie de Covid-19, et surtout avec la généralisation du télétravail, vous êtes nombreux à vivre au rythme de notifications incessantes, qu’elles soient professionnelles ou personnelles.

Depuis deux mois, cette mère de trois enfants vit quasiment sans frontière entre sa vie personnelle et professionnelle.

Entre les blagues de ses amies, les nouvelles de sa famille ou encore les groupes WhatsApp de parents d’élèves de l’école de ses enfants, les notifications personnelles se superposent sans discontinuer à celles des différents échanges professionnels sur la plateforme collaborative utilisée par son entreprise.

L’impact de cette logorrhée virtuelle, démultipliée pendant le confinement, est très néfaste.

Tout d’abord, cette multiplication des notifications est synonyme de perte de temps: à chaque fois que votre attention est détournée, vous mettez deux minutes pour vous concentrer à nouveau sur ce que vous faisiez auparavant. Imaginez que vous receviez 30 notifications dans la journée – ce qui est finalement peu -, vous avez déjà perdu une heure.

«Mon sommeil s’est dégradé»

Autre conséquence, plus épuisante à moyen terme, le stress induit par ces alertes multiples émanant d’un smartphone ou d’un ordinateur. À chaque notification, votre cerveau se met en mode “alerte” et produit de l’adrénaline. Conséquence: une hausse importante du niveau de stress.

C’est ce que ressent Rita, enseignante dans un lycée, qui doit gérer son fils de 12 ans avec un mari urgentiste, donc absent la plupart du temps. «Il y a une overdose de tout cela, entre les messages des amies et de la famille, les cours en lignes à donner, et mon fils qui était en permanence sur son téléphone, raconte cette quadragénaire. À tel point que, certains jours, j’étais à bout, et mon sommeil s’est dégradé. Parfois, le soir, j’ai juste envie de m’asseoir et de regarder le ciel.»

Thomas, directeur financier d’un site internet, parle même d’«agression continue». À 50 ans, ce père de famille a pourtant l’habitude des réunions et de la gestion des équipes à distance.

«C’est la multiplicité des flux qui est épuisante : pour ce qui est des messages professionnels, on a nos mails, Slack et WhatsApp. On est sur plusieurs conversations immédiates en continu, ça n’arrête pas, parfois on a l’impression d’étouffer…»

Tout cela «crée une impression d’engorgement », résume Thomas, qui a constaté que, parmi ses collaborateurs, ceux qui ont travaillé à temps plein se sentent beaucoup plus fatigués après deux mois qu’en mode de travail normal.

Sans parler des réunions en visioconférence que de nombreux salariés ont enchaînées pendant le confinement, amenant certains au bord de l’épuisement. «J’enchaîne souvent six ou huit réunions non-stop au cours de la journée, raconte ce cadre. En plus, même quand vous ne participez pas à une conversation, vous recevez le fil de conversation que les participants, parfois jusqu’à 50 à la même réunion, écrivent au cours de la réunion.»

Les réunions continues en visioconférence peuvent être très fatigantes à la longue : elles sont souvent polluées par des bruits parasites, comme les bruits de clavier, de papiers, ou encore… les enfants. Mais, surtout, on ne croise pas le regard de son interlocuteur, car, pour cela, il faut regarder la caméra, qui est en haut de l’ordinateur, et ce n’est pas naturel.

Les groupes WhatsApp, les apéritifs Zoom parfois quotidiens, l’application Houseparty… Pour de nombreux Français, cette fenêtre numérique sur l’extérieur a pourtant été, pendant ces 55 jours de confinement, un lien social virtuel qui leur a permis de «tenir».

Le sentiment, presque l’obligation, qu’il fallait rester en contact avec ses proches, mais aussi l’ennui, a entraîné une explosion des messages et des vidéos, qui est venue se superposer à des journées de «tchat» avec collègues ou clients. Les blagues postées sur un groupe WhatsApp faisaient office d’une pause-café au bureau, impossible pendant ces deux mois.

Cadre dans une société informatique et mère de trois enfants, dont un dernier de 18 mois, Coralie a bien constaté une explosion des conversations personnelles via WhatsApp. «En réalité, cela m’a détendu au cours du confinement!, reconnaît-elle. J’avais un grand besoin de communiquer avec mes proches qui étaient à distance. En plus, j’avais des amies seules ou divorcées avec des enfants pour lesquelles ces petites blagues et conversations étaient une bouée de sauvetage, donc je m’obligeais aussi à répondre.»

Même si elle avoue avoir été parfois «polluée» par des messages incessants, elle ne sait plus trop ce qui la dérangeait dans son travail entre son fils de 18 mois et ces multiples messages. «J’ai toujours été très connectée, lance cette trentenaire dynamique. Ce ne sont pas les notifications et mails professionnels qui ont augmenté, car mon équipe travaille sur trois sites, et nous étions déjà quasi constamment sur Teams.» Elle admet cependant que, lorsqu’elle a un travail de fond à réaliser, elle s’y met le soir, car les interactions sont moins importantes et, surtout, elle est moins dérangée par son fils.

La solution pour éviter la saturation et l’épuisement: «Couper ses alertes est indispensable, insiste Laurence Einfalt. Il faut se réserver des pauses et des moments bien balisés dans la journée pour les consulter. Par exemple, toutes les heures ou les demi-heures.» Difficile pour certains, notamment les plus jeunes, qui ont peur de rater une information ou un message couramment appelé «FoMO», pour «Fear of Missing Out».

«Je consulte très peu mes messages perso pendant que je travaille, confie Hélène, salariée dans un groupe pharmaceutique. Du coup, même si je participais à des groupes familiaux et amicaux et que le nombre de conversations Teams avait augmenté, je n’ai pas eu une impression de saturation.» Ce qu’elle a regretté, c’est «cette vie 100% numérique» qui « empêche l’informel dans les relations professionnelles, en marge d’une réunion ou autour d’un café, et qui parfois peut faire avancer les choses».

-> La suite avec ma chronique de demain :

L’option déconnexion, y avez-vous pensé ?

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en télé-séances (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin

La pire des solitudes n’est pas d’être seul,

mais de s’ennuyer en sa propre compagnie

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Jacques Salomé

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