Covid long : le risque de maladie psychiatrique bondit après avoir été infecté par le coronavirus.

Les personnes infectées par le coronavirus ont une plus grande probabilité de souffrir de dépression, de troubles anxieux et d’idées suicidaires.

Comme de développer des addictions aux antidépresseurs et aux opioïdes.

On savait déjà que la pandémie pourrait causer une vague de dépression et de suicides, mais ce risque s’avère bien plus important que prévu, notamment chez les personnes ayant eu le Covid-19.

Selon une étude de très grande ampleur sur le Covid long, le risque de développer une maladie psychiatrique, telle que la dépression ou des troubles anxieux, augmente considérablement après l’infection au coronavirus et reste élevé pendant au moins une année.

L’étude, publiée le 16 février 2022 dans le journal BMJ, a été réalisée par la même équipe qui avait déjà montré que le risque de maladie cardiovasculaire augmentait aussi pendant l’année suivant l’infection.

Les chercheurs ont comparé plus de 150.000 personnes infectées au coronavirus Sars-CoV-2 (et ayant survécu au moins pendant 30 jours après l’infection) à plus de 5 millions de personnes non infectées durant la même période (mars 2020 à janvier 2021).

Les personnes avec Covid avaient 35% de probabilité en plus de développer des troubles anxieux et 40% de probabilité en plus de développer une dépression.

En conséquence, ces patients présentaient aussi un risque accru d’utiliser des antidépresseurs et des opioïdes, ainsi que de concevoir des idées suicidaires.

Ils avaient aussi une plus grande probabilité (80% de plus) de présenter un déclin cognitif, comme des problèmes de mémoire ou de concentration.

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Selon une analyse regroupant toutes les études sur le Covid long dans le monde, 54 % des personnes ayant eu le Covid-19, dont la majorité ont été hospitalisés, présentent encore des symptômes six mois après l’infection.

Une épidémie à rallonge, donc.

Cependant, la fin des infections et des décès ne voudra pas forcément dire l’achèvement de l’épidémie, car les conséquences du coronavirus sur notre santé peuvent être encore visibles des mois après l’infection.

Des études précédentes avaient estimé qu’environ un tiers des patients de Covid-19 développeraient un Covid long. Cette proportion vient d’être revue à la hausse par une analyse regroupant l’ensemble des études sur ces symptômes à long terme, dont la majorité des personnes étudiées ont été hospitalisés à cause du covid. Selon cette nouvelle estimation, publiée le 13 octobre 2021 dans le journal JAMA Network Open, plus de la moitié des personnes avec le Covid-19 présenteraient des symptômes six mois après l’infection.

Des symptômes qui persistent dans la durée

F.Duval-Levesque, hypnose, mal-être, Toulouse, téléséance, phobie, addiction, dépendance, dépression, PNL, téléconsultation, cigarette, anxiété, angoisse, confiance, estime, addic tion, stress, burnout, covid long traitementPour cette revue systématique, les auteurs ont cherché tous les travaux parlant de Covid long ou de symptômes à long terme après le Covid-19.

Cela a représenté 57 études avec un total de 250.351 patients non-vaccinés au moment de l’infection (diagnostiquée entre décembre 2019 et mars 2021).

Parmi ces patients, 54 % présentaient au moins un symptôme un mois après l’infection, 55 % pendant deux à cinq mois, et 54 % pendant six mois ou plus.

De quoi montrer que la majorité de ces symptômes à rallonge étaient persistants dans la durée.

Une très grande proportion de ces études (79%) provenaient de pays à hauts revenus. Il paraît possible d’imaginer que ces Covid longs pourraient être concentrés dans ces pays riches. Mais au contraire, la proportion de symptômes persistants était très similaire dans les pays à revenu faible ou moyen (56%).

Par ailleurs, la majorité des personnes incluses dans ces études étaient hospitalisées (79%). Il pourrait donc être possible que les cas de Covid long soient surestimés. Qu’en réalité leur proportion soit plus faible si on prend en compte la totalité des personnes diagnostiquées avec Covid-19, dont la majorité ne sont pas hospitalisées.

Cependant, les auteurs ont mis en évidence que cette proportion de Covid long est comparable entre les études comportant plus ou moins de personnes hospitalisées, résultat qui suggère que cette proportion de Covid long est indépendante des hospitalisations.

Un patient sur trois présente des symptômes neurologiques ou psychologiques

Ces symptômes de Covid long étaient très variés et pouvaient affecter une grande partie du corps des patients.

Les plus fréquents étaient la fatigue ou la faiblesse musculaire (38%), entraînant un déclin dans la mobilité (20%) ou le fonctionnement général de la personne (44%).

Les personnes présentaient aussi des problèmes respiratoires (30%) et des troubles cardiaques ou digestifs, ainsi que des irritations cutanées ou même de la perte de cheveux (21%). Mais en plus de ces atteintes corporelles, certains des symptômes les plus fréquents concernaient des troubles neurologiques, comme des difficultés de concentration (24%) et des problèmes de mémoire (19%), ou psychologiques, notamment de l’anxiété (30 %), des troubles du sommeil (27%) et la dépression (20%).

“Le fardeau de mauvaise santé chez les survivants du Covid-19 est accablant, conclut Paddy Ssentongo, chercheur à l’université Penn State (États-Unis) et auteur de l’étude dans un communiqué. La bataille contre le Covid ne finit pas après l’infection aigüe. La vaccination est notre meilleure alliée pour éviter d’avoir le Covid-19, et ainsi diminuer la probabilité de développer un Covid long.”

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Avec la crise, démissions et burn-out se multiplient à l’hôpital.

Selon une enquête du figaro.fr, plus de 10.000 infirmiers et aides-soigntants ont déjà renoncé à leur vocation.

«Je ne voyais plus les gens comme des patients, mais comme de la viande. Je n’arrivais plus à être empathique.» Après quinze ans de carrière en tant qu’infirmière dans le service d’urgence d’un hôpital du sud de la France, Faustine, 37 ans, a réalisé un deuxième burn-out en août dernier. Elle suit désormais une formation pour devenir coach en communication. «La crise du coronavirus a permis de voir le mal qui ronge l’hôpital depuis plusieurs années», estime-t-elle.

Sous l’effet du stress, décuplé par le Covid, Sandra, auxiliaire en puériculture en maternité, a vu ses mains se couvrir de psoriasis. «Lors du premier bain des bébés, je devais expliquer aux parents que ce n’était pas contagieux», soupire-t-elle. En burn-out, elle est désormais arrêtée et cherche une voie de reconversion.

Comme ces deux femmes, de nombreux soignants renoncent à leur vocation. C’est triste !

Une enquête de la Fédération hospitalière de France (FHF), menée auprès de 300 établissements fin septembre faisait état de 12 200 départs (démissions, retraites, fins de contrat) d’infirmiers et d’aides-soignants depuis le début de l’année. Plus inquiétant, près de 2 000 de ces postes sont restés vacants.

L’Ordre national des infirmiers indique parallèlement que la crise sanitaire a incité 37 % des soignants à changer de métier. Et ce n’est peut-être que la partie émergée de l’iceberg. «On risque de payer l’accumulation des responsabilités qui pèsent sur les épaules des soignants par une vague de départs à la fin de la crise sanitaire», estime Marie-Léandre Gomez, professeur de gestion à l’Essec et experte du management dans les hôpitaux.

Pour tenter de changer le système, mieux vaut parfois en sortir.

Quite à se faire aider pour la reconversion.

Nora était infirmière en bloc opératoire jusqu’en décembre 2020 au Centre hospitalier Jacques-Cœur (Bourges). Excédée par ses conditions de travail durant la crise, elle a décidé de se lancer dans un projet au sein de la coopérative « C’est qui le patron ?! ». Objectif : monter des salles de détente dans les hôpitaux pour prendre soin des soignants. Elle y trouve davantage de sérénité. « Mais même en menant ce projet, je culpabilise énormément d’avoir quitté mon poste. Et je sais que si je suis rappelée en urgence, et même si je ne devrais pas, j’y retournerai. »

Et pour finir, voici le témoignage très récent d’une infirmière :

« J’aurais envie de dire FUYEZ ! Conditions de travail dégradées, rappels incessants, plus aucun rythme respecté, manque de personnels (soit disant par manque de candidatures alors qu’aucune annonce n’est passée), supressions de lits (même si monsieur Véran s’est engagé publiquement à ne plus en supprimer), des contrats très très courts de 1 jour ou 2 jours ou 11 jours, sur des absences programmées de 6 mois, aucun droit à la parole, surtout pour les contractuels, des démissions en augmentation sans qu’aucun questionnement ne soit entamé (« ce sont les jeunes d’aujourd’hui… »), aucune reconnaissance du travail et des professionnels (ségur), domaine du handicap non reconnu, salaires inférieurs au privé, inégalité de salaires entre sanitaire et médico-social même au sein d’un même établissement public (ségur et mission Laforcade) … je m’arrête là… Et tout cela pour créer la casse du service public et finir par privatiser l’hôpital !!! »

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Après la fermeture des quais, la ville veut « absolument éviter le confinement local ».

Lundi 1er mars 2021, deux jours après la fermeture au public des quais de la Garonne et de la prairie des Filtres, ceci pour éviter les attroupements et limiter la diffusion du covid-19, c’est une ville de Toulouse un peu résignée qui a repris le chemin du travail après les congés scolaires de février.

Les quais, la prairie des Filtres déserts…

Clairement, si les belles journées de la semaine dernière, avaient (peut-être) laissé envisager une sortie de tunnel (à certains), après un hiver qui, psychologiquement, a pesé lourdement sur nombre d’habitants, la décision de fermer administrativement les quais alors que le printemps se profile, a remis les habitants de la Ville rose face à la réalité de l’épidémie de coronavirus.

Surveillés par des agents de sécurité, les quais de la Garonne et la prairie des Filtres étaient déserts ce lundi à la pause méridienne.

Un panorama qui faisait peine à voir avec cette nouvelle belle journée.

« Décisions acceptées avec fatalité »

La décision ne suscitait en revanche pas vraiment de remous en bord de Garonne…

« On est un peu blasé en fait. Ces décisions, comme celle de fermer les quais de la Garonne, réduisent le champs des lieux de rencontres pour les jeunes, mais elles sont ressenties et acceptées avec fatalité. On ne peut que subir. On espère retrouver ces points de rencontre rapidement, mais c’est vrai qu’en observant la situation actuelle, on est un peu sceptique », explique ainsi Evan, un étudiant en alternance.

Subir, c’est le verbe qui revient dans la bouche de nombreux étudiants qui se sont quand même retrouvés en petits groupes du côté du port de la Daurade, observant la Garonne depuis le haut des digues Saget.

Venus pour nombre d’entre eux en voisins du campus de Toulouse 1-Capitole, la plupart de ces jeunes qui, pour certains, ont tout juste retrouvé des cours en amphithéâtres, veulent désormais terminer leur année scolaire en limitant la casse.

« Eviter un confinement local »

Limiter la casse, cela veut clairement dire ne pas être confiné le week-end.

« On fait preuve de résilience. Cette décision de fermer les quais, elle est frustrante, mais on reste compréhensif. Toute la semaine dernière, il y avait du monde sur les quais…Si cela peut participer à éviter un confinement local, on préfère que les berges soient fermées », assure Emma, étudiante en Master 1 à Toulouse -1 Capitole.

Juste à côté d’elle, certains camarades de promo, s’avouent surpris de cette décision mais la plupart d’entre eux ont plutôt en point de mire la rentrée de septembre, qu’ils voudraient la plus normale possible, c’est-à-dire en amphithéâtres…

Et ils sont plutôt déterminés à emprunter le chemin qui leur permettra de reprendre leur cursus universitaire le plus normalement possible.

Torpeur covidienne en centre-ville

Ne pas confiner, « quoi qu’il en coûte » pour paraphraser le président de la République Emmanuel Macron, c’est un peu le leitmotiv dans une Ville rose qui, quasiment un an après le premier confinement, s’est, semble-t-il, habituée à vivre dans cette torpeur covidienne.

Bien plus peuplées que les secteurs désormais mis sous cloche, les rues de l’hypercentre n’en étaient pas pour autant plus animées.

Pas d’effusion, peu de cris, peu d’exclamations de joie. Ce midi, la pause méridienne était très calme place du Capitole, rue d’Alsace-Lorraine ou square de Gaulle.

« Retrouver la vie d’avant »

Alice, étudiante à l’université Toulouse-Capitole et qui usait ce midi l’un des bancs en béton de la place du Capitole convient que la place la plus connue de Toulouse « a été bien plus animée que ça ».

« Actuellement, ce n’est pas la ville qu’on a connue. En tant qu’étudiant, cela fait plusieurs mois que l’on subit la situation. Alors, le moral est un peu dans les chaussettes… On espère tous retrouver notre vie d’avant, retourner dans des bars par exemple », explique-t-elle.

Se sent-elle stigmatisée en tant que jeune par la décision de fermer les berges de la Garonne au public, les jeunes étant des adeptes du site ?

« C’est vrai qu’on ne comprend pas toujours la cohérence de certains choix, notamment quand on voit que les gens peuvent s’agglutiner dans un Zara au centre-ville mais ne peuvent pas se retrouver sur les quais alors que ce lundi, il fait du vent et qu’à l’air libre, les risques sont réduits… »

Toulouse n’est pas Dunkerque

Pour rappel, selon les derniers chiffres communiqués, Toulouse enregistre un taux d’incidence de 261,2 cas positifs pour 100 000 habitants.

À Dunkerque, il avait franchi le seuil de 1000 cas pour 100 000 habitants ces derniers jours…

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Jamais deux sans trois ?

La France entière aurait aimé faire mentir l’adage.

Mais elle se dirige, selon toute vraisemblance, vers un troisième confinement pour tenter d’endiguer la propagation du coronavirus, et de son variant anglais en particulier.

Après une semaine sans conférence de presse gouvernementale — le ministre de la Santé Olivier Véran était toutefois l’invité du journal télévisé de TF1 jeudi soir —, la dernière semaine de janvier pourrait être celle de l’annonce d’une nouvelle mise sous cloche du pays. Reste encore à en préciser les contours, notamment concernant la fermeture ou non des écoles et commerces.

La décision, si elle venait à se confirmer, devrait être annoncée mercredi ou jeudi par Emmanuel Macron, après la tenue d’un nouveau conseil de défense sanitaire mercredi. D’ici là, les premiers effets de l’instauration du couvre-feu à 18 heures partout en France seront connus.

Pour l’heure, l’entourage du chef de l’État assure que « rien n’est encore acté ». Seule certitude : « des décisions seront prises cette semaine (…), il ne s’agit pas de baisser la garde », selon le Premier ministre Jean Castex, qui était en visite lundi matin à l’Agence régionale de santé d’Ile-de-France à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).

La communauté médicale y est favorable

« Il faudra probablement aller vers un confinement », a estimé dimanche le président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy au micro de BFM-TV. « Plus on prend une décision rapide, plus elle est efficace et peut être de durée limitée. On est dans une semaine un peu critique », a ajouté le président de cette instance chargée de conseiller l’exécutif. Car sur le plan sanitaire, la circulation des variants, qui doit être mesurée plus finement après une nouvelle enquête « flash », programmée mardi et mercredi, « change complètement la donne », ajoute le médecin.

La circulation du variant anglais atteint déjà des niveaux de 7 à 9 % des cas dans certaines régions, alors qu’une première enquête l’avait mesuré à 1,4 % au niveau national les 7 et 8 janvier.

À l’instar de Jean-François Delfraissy, les médecins estiment la question tranchée.

Le confinement est « nécessaire pour nous permettre de repartir et de rebondir à la fin du printemps et de l’été avec toute la France qui veut se mettre au travail », a déclaré sur France Info Denis Malvy, membre du Conseil scientifique et chef du service des maladies infectieuses et tropicales au CHU de Bordeaux. « Le confinement apparaît vraiment irrémédiable, la question qui se pose maintenant, c’est dans quel délai », a renchéri Karine Lacombe, cheffe de service des maladies infectieuses à l’hôpital parisien Saint-Antoine, dans Le grand jury sur RTL/Le Figaro/LCI. Et celle-ci de souligner que plusieurs indicateurs montrent que « nous arrivons à un seuil de saturation du système hospitalier ».

Le cap du million de vaccinés franchi

Dimanche, le nombre de malades hospitalisés a encore augmenté, à 26 357, soit un bon millier de plus qu’il y a une semaine. Les services de réanimation comptent eux près de 3 000 malades (2 955), contre 2 766 sept jours auparavant.

Sur le front du vaccin, un total de 1 026 000 personnes ont été vaccinées contre le coronavirus, au moins avec une première injection. Fixé pour la fin janvier, le palier du premier million a été dépassé samedi, quatre semaines après le début de la campagne française de vaccination.

Mais Jean-François Delfraissy « ne partage pas » la conviction du gouvernement que l’ensemble de la population pourrait être vacciné d’ici l’été. « On va vacciner le maximum de gens d’ici la mi-avril, probablement six à huit millions de personnes », et arriver à la fin de l’été à vacciner peut-être 40 % de la population française « mais pas plus », a-t-il ajouté, constatant que « l’industrie pharmaceutique (ne parvient pas) à fournir de façon massive » les doses.

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En raison de la crise sanitaire, ce rendez-vous obligé entre le salarié et son manager se tient de plus en plus en visioconférence.

Stéphane est acheteur dans la distribution. Depuis plusieurs semaines, il télétravaille trois ou quatre jours par semaine. En décembre, pour la première fois depuis huit ans qu’il est dans l’entreprise, il a effectué son entretien annuel à distance.

« Les sujets n’ont pas manqué, raconte-t-il. Avec mon supérieur hiérarchique, nous sommes revenus sur les multiples obligations induites par la crise sanitaire. L’entretien était beaucoup plus général que les années précédentes. »

Pour ce rendez-vous obligé, le risque est souvent que le collaborateur soit un peu sur ses gardes tandis que le manager veille à choisir ses mots. Cette année, la crise sanitaire est le sujet de discussion qui s’impose immédiatement.

S’il est réalisé à distance, l’entretien introduit aussi de nouveaux codes, ceux de la maîtrise de l’outil numérique. Pour le salarié, la barrière de l’écran ne doit pas freiner la double exigence d’être à l’écoute et d’afficher son dynamisme.

Points positifs et points à améliorer

L’entretien d’évaluation, qui est annuel, permet de dresser un bilan de l’année écoulée et de s’accorder sur des objectifs pour celle à venir. L’entretien professionnel aborde les souhaits d’évolution et de formation.

« Mais dans les faits, les deux procédures se superposent souvent, souligne Marie-Laure Hag, responsable du conseil RH pour le cabinet GMBA. L’entretien professionnel doit se dérouler au moins une fois tous les deux ans. » Cette année, à cause du coronavirus, le délai a été repoussé jusqu’au 30 juin 2021 pour les entretiens qui auraient dû se tenir avant le 31 décembre 2020.

Tenir compte des habitudes

Depuis l’extension du télétravail, la possibilité pour ces rendez-vous de s’effectuer à distance gagne du terrain. Ce qui n’est pas toujours facile pour les salariés.

«Les évaluations sont des échanges sensibles, rappelle Marie-Laure Hag. Pour des collaborateurs qui ont un peu peur de ce rendez-vous important et qui ont besoin de valider leurs propos par le regard de l’autre, rien ne remplace le présentiel.»

A contrario, des personnalités plutôt introverties et impressionnées par un échange en face à face apprécieront la barrière de l’écran. « Il n’y a pas de règles, souligne Laure Hag. Il faut donc s’adapter en fonction des desiderata des salariés et des habitudes de l’entreprise. » Dans les grands groupe, les entretiens annuels ou d’évaluation sont plus formel que dans les ETI et les PME.

Un bon tour d’horizon

En règle générale, ce type d’entretiens dure entre une heure et une heure et demie. «Ce format est normalement suffisant pour faire un bon tour d’horizon, au-delà, le propos perd en intensité», reprend Marie-Laure Hag.

L’expérience prouve, surtout dans les petites structures, que les managers ont souvent du mal à libérer du temps pour ces échanges. En cela, le Covid a du bon, avec plus de souplesse dans la gestion de l’emploi du temps.

« Cette marge de manœuvre est précieuse car l’époque est difficile et ses difficultés rendent indispensable une meilleure écoute du salarié», ajoute Marie-Laure Hag.

Des attentes supérieures en 2020

L’entretien est d’autant plus important cette année que les salariés ont, plus que jamais, besoin d’être écoutés. Selon un sondage de Welcome to the Jungle réalisée auprès d’un millier de salariés, 31% des salariés ont plus d’attentes cette année (par rapport aux années précédentes).

Mais plus de trois personnes sur 10 regrettent de ne pas pouvoir s’exprimer librement pendant les entretiens annuels. Elles regrettent le déroulement trop vertical et pas assez participatif. Bref, il n’y aurait pas assez d’échanges.

Les attentes des salariés concernent aussi les suites des discussions : 70% des personnes interrogées souhaiteraient que des actions concrètes soient rapidement mises en œuvre pour illustrer leur portée.

Les pistes d’amélioration ne manquent pas, à l’image des nombreux sujets susceptibles d’être abordés : qualité de vie au travail, projection dans l’organisation, analyse des situations…. Parler puis agir, cette exigence ne concerne pas que les entretiens annuels

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Une plateforme téléphonique de soutien psychologique est mise en place, afin d’accompagner les personnels soignants en première ligne dans la lutte contre l’épidémie de coronavirus, a annoncé le ministère des Solidarités et de la Santé.

Plus précisément, elle vise à « pallier les situations d’isolement professionnel et proposer une assistance psychologique face à la sur-mobilisation actuelle ».

Cette plateforme, une cellule d’écoute joignable au 0800 73 09 58, 7 jours sur 7 de 8 heures à minuit, est ouverte à « tous les professionnels de santé, qu’ils exercent en milieu hospitalier, médico-social ou libéral, ou qu’ils soient étudiants en santé et internes », indique le ministère. À l’écoute, des psychologues hospitaliers volontaires et bénévoles.

Cette plateforme se superpose aux multiples initiatives qui ont émergé depuis le début de la crise sanitaire pour soutenir les soignants, notamment au réseau des cellules d’urgence médico-psychologiques (les CUMP), qui orchestrent localement des cellules d’écoute et des consultations, ou aux aides issues du privé.

De nombreux psychopraticiens et hypnothérapeutes, dans toute la France, donnent des séances gratuites aux soignants, dont moi-même à mon cabinet toulousain. Pour cela, il vous suffit de m’appeler au 06 2339 0707 pour prendre rdv rapidement.

 

Des conseils concrets pour faire face à la troisième vague de Covid-19 qui se profile pour le printemps 2021 (et un point sur les indicateurs qui permettent de la prédire) ?

Malheureusement, après les vagues de mars-avril et octobre-novembre 2020, et dans l’attente des campagnes de vaccination, nous devons nous préparer à affronter une nouvelle vague de contaminations vers mars-avril 2021.

Cette prévision repose sur plusieurs observations.

Les coronavirus sont saisonniers dans l’hémisphère Nord

Les coronavirus, comme les virus de la grippe, adorent l’hiver, les températures froides, le déficit en ultraviolets B, la faible humidité relative dans les habitations, la promiscuité et la faible aération. La période la plus favorable aux coronavirus communs, déjà responsables d’environ 1 rhume sur 3, va de décembre à mars-avril. Celle du nouveau coronavirus se calque sur ses cousins, comme on l’a déjà constaté à l’hiver 2020.

Les contaminations ne baissent plus, voire remontent

Alors qu’on espérait  voir moins de 5000 nouveaux cas le 15 décembre (objectif fixé par le gouvernement), les projections sont plutôt de 8000 à 9000 nouveaux cas, voire plus. Cet effet de plateau ou de reprise s’explique en partie par le retour dans les établissements scolaires le 2 novembre, la reprise des mobilités à la fin du mois de novembre, les températures froides.

Les rassemblements pendant les fêtes vont jouer un rôle d’accélérateur

Nous allons donc aborder les fêtes de fin d’année avec un niveau soutenu de contaminations et un Rt en probable hausse. Or, si les vacances scolaires de Noël pourraient avoir un effet de frein sur les transmissions, il devrait être compensé, et au-delà, par les rassemblements familiaux et amicaux de fin d’année.

L’exemple, le 26 novembre, de Thanksgiving, la plus grande fête américaine, mérite qu’on s’y attarde.

Les appels à rester chez soi, lancés par les autorités de ce pays, ont été en partie entendus puisque les déplacements en avion à l’occasion de cette fête ont chuté de presque 60% par rapport à 2019. Mais au total, ce sont malgré tout près de 10 millions d’Américains qui ont voyagé par les airs, et plus encore par la route et le train.

Or, au cours de la semaine du 1er au 7 décembre, la moyenne des nouveaux cas quotidiens s’établit à 201 756, soit une augmentation de 16% par rapport à la semaine du 17 au 23 novembre, avant Thanksgiving. Cette augmentation des cas se traduira mécaniquement par une élévation des nouvelles hospitalisations et des décès. La France devrait suivre le mouvement de brassage observé à Thanksgiving.

Depuis l’allocution présidentielle du 24 novembre annonçant la levée des restrictions de déplacement à partir du 15 décembre, les recherches et réservations de billets d’avion ont fortement cru.

Les mêmes effets produisant les mêmes conséquences, les contaminations devraient donc augmenter au début du mois de janvier, et rester longtemps sur un plateau élevé…

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« Je vais dévisser » : mal-être et dépression explosent en temps de crise sanitaire…

L’incapacité de voir le bout du tunnel, la solitude, l’inquiétude au niveau professionnel.

Le coronavirus, le confinement, et aussi le terrorisme qui continue de frapper, plongent de nombreux Français dans un profond mal-être : les syndromes dépressifs ont doublé en quelques semaines.

« Ce qui est dur, c’est l’accumulation. Il y a eu beaucoup trop de choses cette année », confie Marie, 43 ans. Cette Toulousaine, mère de deux enfants, sent qu’elle est « à deux doigts » de basculer.

Avec son mari médecin généraliste, elle suit les chiffres du Covid de manière « quasi obsessionnelle ». Mais elle essaie chez elle de ne parler que de choses positives : « Sinon, je vais dévisser ». Cette cadre supérieure a depuis dix jours « du mal à bosser, à trouver du plaisir ». « Tout est labeur : s’occuper des enfants, fêter les anniversaires, organiser les Skype avec les copains. J’ai un sentiment d’étouffement« .

Mal-être, déprime et aussi dépression gagnent du terrain.

Entre fin septembre et début novembre, le nombre de personnes dans un état dépressif a doublé, de 10 à 21% selon Santé publique France.

Déjà lors du premier confinement et les mois qui ont suivi, la consommation d’anxiolytiques et de somnifères a augmenté, avec près de 1,6 million de traitements supplémentaires délivrés en 6 mois par rapport au niveau prévisible.

Un appel à l’aide d’une étudiante : « Je vais bientôt avoir 21 ans et le temps que j’ai passé sur terre me semble déjà beaucoup trop long ». Le confinement « n’a fait qu’empirer les choses, mon avenir, si j’en ai un, est plus qu’incertain (…), je me rends compte à quel point je suis seule, absolument personne ne prend de mes nouvelles. La pire des choses c’est que j’ai dû rentrer chez mes parents ».

Si les enfants semblent davantage protégés, Julie a vu sa fille de 10 ans sombrer. « Quand son centre aéré a fermé pendant les vacances parce que la directrice a eu le Covid, j’ai commencé à voir des tics apparaître », raconte la mère de famille. Mais le basculement a eu lieu le jour de la rentrée, marqué par le port du masque pour les écoliers et l’hommage à Samuel Paty. Le soir même, la fillette a fait une crise d’angoisse : « On va pas s’en sortir ». Ses tics se sont accentués et elle a déclenché « quelque chose du style syndrome de Tourette ».

L’enfant habituellement calme a commencé à insulter sa mère, tenir des propos incohérents, crier dans sa chambre. Elle est désormais suivie par un psychologue et va consulter un neurologue. « Le contexte, ça l’a fait vriller », décrit Julie.

La Croix-Rouge reçoit environ 300 appels par jour, trois fois plus qu’il y a un an. Des mots reviennent. Rosine Duhamel, responsable du pôle de soutien psychologique, a noté quelques paroles d’appelants. « Je ne voulais pas revivre un confinement. (…) Je n’en vois pas la fin, je ne sais pas si les choses reviendront comme avant un jour et ça me fait terriblement peur« .

La solitude pèse pour beaucoup.

« Avec la répétition et la durée, les ressources pour s’adapter s’épuisent », explique Rosine Duhamel. « Et quand les mécanismes de défense s’effondrent, on risque de tomber dans un état dépressif. C’est ce que l’on voit aujourd’hui. Il est urgent d’en parler à un psy pour en parler, et mettre en place des outils pour aller mieux ».

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Confinement : comment ne pas se laisser happer par les angoisses des autres ?

Ces dernières semaines, votre forfait téléphonique explose.
 
En plus d’entendre les inquiétudes des amis vis-à-vis de l’épidémie du nouveau coronavirus, vous multipliez les appels auprès de vos proches, seuls et parfois vulnérables. C’est bien, mais.
 
Avant de vous épuiser à la tâche, je vous liste mes huit bons réflexes à avoir pour que vous ne fléchissiez pas face à cet environnement anxiogène.

1 / Ecoutez-vous

Avant de contacter un proche anxieux, la première chose à faire est de prendre la température de vos émotions.

 
Il ne faut pas seulement faire preuve de bonne volonté pour aider les autres car leur souffrance peut être coûteuse psychiquement. En fonction de votre histoire personnelle, de votre état d’esprit, vous pouvez facilement être envahi par le récit de l’autre. Vous pouvez être touché par le récit mais pour ne pas être contaminé par l’angoisse, il ne faut pas vous mettre au niveau de la victime et garder votre capacité à raisonner.

2 / Fixez-vous des limites

L’empathie n’est pas élastique. C’est pourquoi, établir des limites entre vous et les autres suffit à mieux vous protéger émotionnellement.

 
En fonction de votre fragilité actuelle due au confinement, demandez-vous chaque jour ce que vous pouvez supporter comme conversation, téléphonique ou non, avec quelle personne.
 
Dans certains cas, fixer une limite de temps s’avère bénéfique. Il ne s’agit pas d’ignorer la détresse de votre ami ou de votre parent mais de donner un cadre à la conversation, en leur disant sans être sec ni cassant, « excuse-moi, je n’ai que 15 minutes à t’accorder ».

3 / Instaurez un dialogue positif

L’épidémie est au cœur de l’actualité et donc se retrouve (trop) souvent au centre des discussions. Certains de nos proches nous rappellent parfois de façon brutale le bilan de morts ou nous relaient des fake news effrayantes.

 
En réaction, apportez une touche plus gaie à la conversation. Anecdotes de vacances, blagues, déménagement, recettes de cuisine… Des chercheurs en psychologie positive de l’Université de Harvard ont démontré que les personnes qui se portent le mieux, sur le plan physique et psychologique, sont celles qui savent faire appel à de bons souvenirs et qui multiplient les projets.

4 / Acceptez la réalité

Loin des yeux, près du cœur, dit-on. Trop près parfois, quand notre entourage se transforme en une cible potentielle qui, pour des raisons de santé ou d’âge, est susceptible de contracter la Covid-19.

 
Alors la tentation de les appeler plusieurs fois par jour est grande, juste pour vérifier que tout va bien. Vouloir empêcher que l’inévitable se produise vous épuise forcément. Mais ce n’est pas en les contactant plusieurs fois par jour que vous allez éloigner la menace du virus.
 
Je recommande de rester dans la continuité du lien à l’autre, comme avant, sans tomber dans l’excessif. Même si elle est difficile, la réalité doit être acceptée : nous sommes dans une crise sanitaire, économique qui nous prive de liberté et ainsi de voir nos proches.

5 / Faites preuve de sincérité

Le confinement revient finalement à faire le deuil. Celui de notre travail, de l’école, de notre rythme de vie et parfois de nos proches.

 
Si cette pandémie a réveillé toutes sortes d’angoisses liées à la mort, j’insiste pour les renverser en votre faveur. Au lieu d’imaginer un scénario dramatique, mettons de côté cette échéance hypothétique et profitez pour vous ouvrir aux autres, confier ce que vous avez sur le cœur.

6 / Partagez des gestes de tendresse

«Prends soin de toi», «bon courage»… Après cinq semaines de confinement, quand on a fait le tour de ses émotions, les mots d’encouragement commencent à être usés.

 
Les marques d’affection en revanche n’ont pas de limite. Une caresse sur la joue, une main sur l’épaule fait toujours du bien, à soi et aux autres. Et quand les proches ne sont pas là, rien ne vous empêche de décrire vos gestes : « je te serre fort dans mes bras » ou « je te prends la main ».

7 / Passez le relais

Dans certains cas, la saturation émotionnelle de votre interlocuteur est telle que ni les mots ni les gestes suffisent.

 
Dans ce cas, je recommande vivement d’orienter ce proche vers un psys, un groupe de parole ou une association formés à ce type de situation. Rassurez-le en lui disant qu’on entend sa détresse mais que vous ne vous sentez pas en capacité de l’accompagner correctement, avec les bons outils. La pire chose, c’est de leurrer le proche en lui faisant croire qu’on le soutient à 100 % alors que ce n’est pas le cas.

8 / Faites sortir vos émotions, exprimez-les

Une fois le téléphone raccroché ou la conversation terminée, l’auto-hypnose, les techniques de méditation ou de respiration cohérence cardiaque sont idéales pour apaiser son stress et se recentrer sur soi.

 
Et si vous avez du mal à évacuer et que vous ne souhaitez pas appeler à votre tour un autre ami pour se confier, je vous recommande de prendre la plume pour écrire ce que j’appelle un «défouloir». Sur une feuille de papier ou dans un cahier, vous y inscrivez toutes vos peurs, vos angoisses et vos révoltes.
 
A la fin, on ne le relit pas comme un journal intime mais on tourne la page ou on la jette pour ne rien ressasser.
 
Ne me croyez pas sur paroles, essayez !
 

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin

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