L‘alimentation cétogène pour votre cerveau, une vraie bonne idée ?

Contre la migraine, la maladie d’Alzheimer, de Parkinson, le déclin cognitif léger, la maladie de Charcot (SLA), les meilleurs carburants du cerveau sont les cétones.

Vous souffrez de migraines chroniques sévères ?

On vous a diagnostiqué un déclin cognitif, une maladie d’Alzheimer, un Parkinson ou une maladie de Charcot, et vous vous demandez comment lutter au mieux contre la maladie, que faire en accompagnement des traitements classiques pour freiner son évolution et la combattre plus efficacement ?

Dès aujourd’hui, optez pour une alimentation ciblée, le régime cétogène : très peu de glucides (moins de 50 grammes : jour), beaucoup de lipides, suffisamment de protéines.

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Pourquoi une telle alimentation ?

Parce que, expliquent les auteurs, ce type d’alimentation rééquilibre la biochimie cérébrale et permet de lutter efficacement contre l’inflammation, la douleur et la mort précoce des neurones.

L’alimentation cétogène n’est pas un régime miracle : c’est un mode alimentaire fondé sur des recherches scientifiques centenaires et qui constitue aujourd’hui sans doute l’une des meilleures stratégies contre les troubles et maladies qui touchent le cerveau :

  • Elle protège les neurones et les fonctions cérébrales
  • Elle améliore le bien-être des malades et complète l’action des traitements classiques
  • Facile à mettre en oeuvre, elle est sans danger.

Ce livre écrit pour les patients, les accompagnants et les soignants, explique comment instaurer un régime cétogène strict ou l’une de ses variantes plus souples, avec des menus adaptés.

A propos des auteurs :

Le Dr Bernard Aranda est neurologue et micronutritionniste en région parisienne. Il a pu constater les bienfaits du régime cétogène sur ses nombreux patients.

Ancienne migraineuse, Michèle Houde a mis fin à des migraines sévères en adoptant un régime cétogène. Elle vit au Québec.

Télécharger un extrait du livre 

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Vague de chaleur : pourquoi la canicule impacte notre moral.

Anxiété, dépression, irritabilité mais aussi éco-anxiété : les pics de chaleur peuvent avoir des effets délétères sur votre humeur.

Explications.

Cette semaine, les températures atteindront, et même dépasseront les 40°C dans plusieurs régions. Si bien que Météo France a alerté sur les zones les plus à risque de canicule. Au total, 23 départements ont été placés en vigilance orange. Or, à mesure que le mercure grimpe dans l’Hexagone, la vague de chaleur particulièrement précoce, et durable cette fois-ci, joue sur notre moral.

Plusieurs facteurs en seraient responsables.

Hausse de 4 % des crimes, meurtres et viols

Quand les températures atteignent des sommets, nous suffoquons. Accablés par la chaleur, asphyxiés par un air irrespirable, nous finissons par devenir irritables. Si le soleil est le plus souvent associé aux vacances au bord de la mer ou à un bel après-midi d’été, la réalité peut en être tout autre. Au contraire, ces températures estivales, surtout lorsqu’elles sont précoces, peuvent faire de l’ombre à nos pensées positives et nous causer bien des tourments.

Une étude menée en 2013 par l’Université de Berkeley et rapportée par le HuffPost a révélé qu’une augmentation de seulement 1°C par rapport à la normale saisonnière était associée à un risque accru de 4 % de violences personnelles. Les chercheurs ont recensé notamment une hausse des crimes, viols, violences domestiques, meurtres, etc.

Sécrétion de l’hormone du stress

Pour comprendre pourquoi les fortes chaleurs nous plongent au bord de la crise de nerfs, intéressons-nous auxcauses physiologiques de ce phénomène. « Physiologiquement, quand il fait chaud, notre rythme cardiaque s’accélère, le pouls est plus fort, notre pression artérielle augmente, et notre niveau de cortisol (l’hormone du stress) augmente donc on aura tendance à se sentir plus irritable, mais les réactions varient d’un individu à l’autre et il manque encore des études poussées sur la question », précise au HuffPost Élodie Gratreau, doctorante en histoire et philosophie des techniques de soin en psychiatrie au sein du laboratoire Costech. Elle-même atteinte de trouble de la personnalité borderline, la spécialiste explique que l’anxiété ressentie lors des pics de chaleur résulte du fait « que le corps sent qu’il est en danger vital ».

Mais si nous sommes déjà physiologiquement affectés par la canicule, nous pouvons l’être d’autant plus en cas de traitement psychiques et psychiatriques. La prise d’antidépresseurs, d’anxiolytiques ou encore de neuroleptiques peut accélérer le rythme cardiaque et faire grimper la pression artérielle.

Manque d’oxygène

Lorsque le soleil cogne, notre organisme met en action des mécanismes de régulation thermique. Alors qu’il s’emploie à conserver une température constante (environ 37 °C), le corps transpire et la respiration commence à s’accélérer. Mais si cet effort s’inscrit sur la durée, notre organisme devient surmené. Résultats : coups de soleil, insolation, déshydratation voire épuisement pouvant causer des malaises. Le déficit d’oxygène qui en résulte peut augmenter la sensation d’irritabilité. C’est pourquoi, l’un des premiers signes du coup de chaleur est « l’agressivité inhabituelle », indique l’INPES (Institut national de prévention et d’éducation pour la santé).

Risque accru de dépression

Une étude britannique publiée en février 2019, a évalué l’impact des événements climatiques extrêmes sur la santé mentale. Résultat : les jeunes enfants examinés étaient « trois à quatre fois plus susceptibles de développer une dépression à 18 ans s’ils étaient exposés à des niveaux de pollution élevée ».

L’exposition aux particules ultrafines accroît le risque d’inflammation notamment du cerveau et « ces inflammations sont connues pour favoriser le développement de symptômes de la dépression », précisent les scientifiques de l’étude.

L’impact de la crise sanitaire

La crise sanitaire a affecté notre quotidien, notamment à travers les périodes de confinement. Dans le même temps, les restrictions sanitaires ont exacerbé notre fragilité mentale.

« Dans un temps de confinement, d’incertitude civilisationnelle où l’on ne sait pas à quelle sauce on va être mangé d’un point de vue politique et sanitaire, évidemment que la canicule se vit autrement. Surtout lorsqu’on reste chez soi en télétravail, au bord du burn out », évoque Joseph Agostini, psychologue clinicien dans les colonnes du HuffPost.

Selon le spécialiste, les effets de la canicule touchent particulièrement « les personnes isolées, vieillissantes, du troisième ou quatrième âge qui se retrouvent dans une solitude et dans un mal-être physique. Il y a chez eux un sentiment de dépression et la peur de mourir qui se manifeste ».

L’éco-anxiété, une angoisse grandissante

Encore méconnue, la notion d’éco-anxiété renvoie à la contraction d’« écologie » et d’« anxiété », explique la Fondation Jean Jaurès.

Théorisée en 1997 par la chercheuse en santé publique belgo-canadienne Véronique Lapaige, l’éco-anxiété désigne « une peur chronique d’un environnement condamné », selon l’Association américaine de psychologie. Cette impression d’assister impuissant aux conséquences du réchauffement climatique entraîne « une souffrance individuelle avec des troubles associés comme des phobies et des angoisses extrêmes », a expliqué à la RTBF la psychiatre à l’origine du concept.

Ainsi, les périodes de fortes chaleurs peuvent être « un facteur déclenchant » de l’éco-anxiété puisqu’elles sont souvent le résultat du réchauffement climatique qui angoisse les populations concernées.

Augmentation des visites aux urgences psychiatriques

Une étude publiée en février 2022 et publiée dans la revue spécialisée JAMA Psychiatry a établi un lien entre les températures élevées et une augmentation des admissions aux urgences psychiatriques.

Après avoir analysé, pendant plus de dix ans, les dossiers médicaux de millions d’Américains, les chercheurs ont observé une augmentation moyenne de 8 % du taux de visites aux urgences psychiatriques les jours où les températures étaient plus élevées que les normales de saison.

Les chaleurs extrêmes peuvent ainsi provoquer des troubles de l’humeur et de l’anxiété, du stress, de l’automutilation, de la schizophrénie ou encore des troubles liés à la consommation de substances. 

Pire encore, personne n’en serait épargné.

Le réchauffement climatique augmente l’anxiété, la dépression et le taux de suicide, selon un rapport daté de mai 2021 et rapporté par The Guardian.

« Il est de plus en plus clair que le changement climatique menace notre corps et notre esprit », a déclaré le Dr Emma Lawrance de l’Imperial College de Londres, au Royaume-Uni. « Bien que l’effet soit relativement faible, il a de grandes implications pour la santé publique et les systèmes de santé, car le changement climatique augmente le nombre de jours de chaleur extrême, les enfants nés aujourd’hui connaîtront sept fois plus de vagues de chaleur que leurs grands-parents ».

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Ce que les ruptures font aux hommes :

Les ruptures amoureuses et les années de célibat sont à l’origine d’inflammation du système immunitaire des hommes, mais pas de celui des femmes.

Ce résultat, qui a de quoi surprendre, vient d’être apporté par une équipe de chercheurs danois. Près de 10 000 participants, âgés de 48 à 62 ans, ont retracé aux chercheurs leur vie amoureuse des vingt-six dernières années et le taux d’inflammation de leur système immunitaire a été évalué par des tests sanguins.

Les scientifiques constatent que les hommes qui ont connu deux ruptures amoureuses ou plus présentent un taux d’inflammation 17 % plus élevé que le groupe de référence.

Et à partir de sept années de célibat, l’inflammation est jusqu’à 12 % plus élevée chez les hommes. Du côté des femmes, rien à signaler : leur système immunitaire ne semble pas affecté par les peines de cœur.

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Pour les scientifiques, ces résultats pourraient être liés à des réactions différentes selon le genre au moment d’une séparation. « On a constaté que les hommes affichent un comportement plus extériorisé après une rupture, par exemple en consommant plus d’alcool, écrivent les chercheurs, alors que les femmes intériorisent leurs problèmes sous la forme de symptômes dépressifs plus marqués. »

L’équipe reste toutefois prudente quant à ses résultats : les femmes étaient beaucoup moins nombreuses dans leurs échantillons

Source : Karolina Davidsen et al., « Do partnership dissolutions and living alone affect systemic chronic inflammation ? A cohort study of Danish adults », Journal of Epidemiology and Community Health, janvier 2022.

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L’arrêt de votre tabagisme entraînera rapidement 7 conséquences positives sur votre santé.

Voyez vous-même :

  1. La fréquence cardiaque et la pression artérielle retrouvent rapidement un niveau normal, et le monoxyde de carbone qui empoisonne le sang revient à un taux normal dans les douze heures
  2. La circulation sanguine et les fonctions pulmonaires se rétablissent dans les douze semaines
  3. La toux et la détresse respiratoire causées par le tabagisme diminuent dans les neuf mois. Les cils vibratiles des poumons arrivent à nouveau à exercer leur fonction protectrice et à repousser les mucosités et autres petits grains de poussière, ce qui réduit le risque d’inflammation
  4. En un an, le risque de maladie coronaire diminue de moitié
  5. Après cinq ans, le risque de cancer de la bouche, de la vessie, du pharynx et de l’œsophage est réduit de moitié. Le risque d’apoplexie et de cancer de l’utérus redevient celui d’une personne n’ayant pas fumé
  6. Après dix ans, le risque de décès des suites d’un cancer du poumon est deux fois moins grand que celui d’une fumeuse ou d’un fumeur. Le risque de cancer du larynx et du pancréas diminue aussi
  7. Après quinze ans, le risque de maladies cardiovasculaires est le même que celui d’un non-fumeur

De plus, vous aurez une meilleure haleine, des dents plus blanches, les vêtements et les cheveux qui sentent bon, des doigts et des ongles de couleur normale.

Vous retrouverez le plaisir de sentir pleinement les goûts et les odeurs !

Source : American Cancer Society, Stay Away from Tobacco – Benefits of Quitting Smoking Over Time

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Stress post-traumatique, dépression, anxiété…

Plus de la moitié des patients atteints du Covid-19 risqueraient de développer des troubles psychiatriques après leur sortie de l’hôpital, selon une étude menée par le centre hospitalier italien San Raffaele.

Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont suivi l’évolution clinique de 402 anciens malades (265 hommes et 137 femmes).

Un mois après, ils ont découvert que 55% d’entre eux souffrent d’un trouble psychiatrique.

Plus précisément, 28% des sondés sont atteints de stress post-traumatique, 31% de dépression, 42% d’anxiété, et 40% d’insomnie. Enfin, dans 20% de cas, les patients sont victimes de trouble obsessionnels-compulsifs (TOC).

«Il est clair que l’inflammation causée par la maladie pourrait avoir des répercussions au niveau psychiatrique», a déclaré dans un communiqué le professeur Francesco Benedetti, chef de groupe de l’unité de recherche en psychiatrie et psychobiologie à l’hôpital San Raffaele (Milan).

Publiée dans la revue scientifique Brain, Behavior and Immunity, l’étude a également démontré que les femmes ayant contracté la maladie ont moins de risques que les hommes de mourir du Covid-19, mais qu’elles sont en revanche davantage susceptibles de souffrir de l’un de ces troubles.

Les scientifiques expliquent que ces séquelles peuvent être aggravées par des facteurs de stress, tels que l’isolement social, la stigmatisation des malades, ou encore la crainte d’infecter son entourage.

 

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Un état dépressif n’augmenterait en aucun cas le risque d’avoir un cancer, contrairement à l’opinion publique.

Pour arriver à cette affirmation, des chercheurs français ont effectué une étude épidémiologique sur 14 203 personnes entre 1994 et 2009. Pour obtenir ces résultats de cette étude, les participants ont répondu un questionnaire spécifique tous les 3 ans pendant 15 ans. Les scientifiques ont aussi tenu compte des diagnostics de dépression ayant donné lieu à un arrêt de travail.

Cette dernière n’a montré aucune corrélation entre le fait d’avoir connu des symptômes dépressifs et la survenue d’un cancer (prostate, sein, colon, cancer associé au tabac et cancers du sang).

depression et cancerD’après le psychiatre Cédric Lemogne, des études menées auparavant ont tout de même montré « une association entre la dépression et une moindre cicatrisation, plus d’inflammation ou des troubles des défenses immunitaires« .

Donc une dépression augmenterait les symptômes du cancer ?

Baisserait les facteurs de guérison ?

Cependant, même si aucun lien n’existe entre le fait d’avoir un cancer à la suite d’une dépression, l’inverse serait exact. En effet, 25% des personnes atteintes d’un cancer connaissent des épisodes dépressifs après l’annonce de la maladie. Tu m’étonnes !

Des épisodes qui doivent être traités en même temps que la maladie selon le médecin. Ah bon ?

« Il existe en revanche une association solide entre dépression et maladies cardiovasculaires, tout comme entre le stress et les maladies cardiovasculaires«  a précisé le psychiatre.

De l’art d’enfoncer les portes ouvertes…

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