F. Duval-Levesque


1. Repos physique : un sommeil de qualité et des activités comme le yoga ou les massages
2. Repos mental : faire des pauses pour calmer un esprit occupé
3. Repos sensoriel : minimiser la surcharge sensorielle
4. Repos social : entretenir des relations positives
5. Repos spirituel : découvrir un but et un sentiment d’appartenance
6. Repos émotionnel : être authentique et ouvert sur ses émotions
7. Repos créatif : trouver l’inspiration et encourager la créativité

C’est OK de vous reposer !

Vous n’êtes pas une machine.

Vous êtes censé faire des pauses. Vous méritez de vous reposer.

L’épuisement professionnel est sournois.

Parce que vous ne vous rendez pas compte que vous empruntez à votre avenir.

Pour survivre aujourd’hui.

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Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

 

Si vous, ou quelqu’un dans votre entourage, semble souffrir d’une addiction à la pornographie, ce qui suit vous intéressera.

Notez si l’un de ces 8 signes d’addiction est présent dans la journée, la semaine :

  1. Incapacité à résister à l’envie de regarder du porno, malgré une volonté affirmée d’arrêter
  2. Augmentation du temps consacré à ça
  3. Poursuite de la consommation de pornographie, malgré l’impact négatif sur les relations
  4. Mentir, cacher et dissimuler les traces de sa consommation d’images, de textes, etc.
  5. Consommer du porno dans des lieux à risque (au travail, en public, etc.)
  6. Recherche de pornographie contraire à l’éthique ou susceptible d’avoir des conséquences juridiques
  7. Expérimenter des dysfonctionnements sexuels liés à une masturbation excessive
  8. Choisir de regarder du porno au détriment de ses relations, de ses loisirs, de sa carrière, etc.

Attention : chaque signe d’alerte n’est pas en soi une confirmation directe d’une addiction à la pornographie.

Si vous constatez que c’est le moment de changer, que vous vous identifiez ou non comme dépendant à la pornographie, agissez.

Un soutien psy, et/ou une psychothérapie, vous aideront à revoir votre relation avec le porno, la masturbation, et le sexe.

 

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Burnout : 7 signes qui l’annoncent.

Au cours d’une carrière professionnelle, il peut arriver que certaines personnes soient à bout.

On parle d’épuisement professionnel, plus communément appelé « burnout ». Heureusement, cet épisode passager peut être prédit et donc évité.

Burnout : y a-t-il des facteurs de risque ?

Oui. Plusieurs facteurs peuvent favoriser l’apparition d’un burnout.

Par exemple : une forte charge de travail, une imprécision dans les missions, des objectifs à atteindre hors de portée, des relations interpersonnelles dans le cadre professionnel conflictuelles ou encore l’insécurité de l’emploi.

Épuisement professionnel : n’ignorez pas ces 7 indicateurs

1 – Des insomnies

Avoir des insomnies de façon répétée peut révéler un burnout. Il peut s’agir de difficultés à rester endormi ou bien à s’endormir.

2 – Des inconforts physiques

Comme des maux de tête à répétition ou bien des douleurs musculaires. Les migraines peuvent également être un symptôme.

3 – Des problèmes gastro-intestinaux

Nausée, constipation et diarrhée peuvent être des signes révélateurs. Les maux d’estomac sont par ailleurs fréquents.

4 – Un détachement, une indifférence

Une personne qui souffre d’épuisement professionnel peut être détachée ou avoir des attitudes négatives envers ses collègues et ses tâches. Ce qui peut avoir un impact sur le travail en équipe.

5 – Une attention réduite

Le brouillard cérébral, sensation que les pensées sont au ralenti, est souvent constaté.

6 – Une diminution du sentiment d’accomplissement

Une personne en situation de burnout est démotivée de manière générale dans son travail. Alors, elle peut avoir l’impression que ses efforts ne font pas de différence. Et aussi une absence de sens dans le travail.

7 – Un isolement

Il est fréquent que la personne concernée s’éloigne de ses amis et de sa famille.
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Changez de perspective

Redécouvrez le pouvoir de dire non

Transformez votre épuisement en énergie

Votre bien-être est la priorité ! Sinon, qui s’en occupera ?

1️⃣ Il est important pour vous que vous changiez le regard sur ce qui vous arrive

Réussissez à déculpabiliser et à vous apaiser.

Le burnout est un état d’épuisement professionnel. Il peut toucher n’importe qui. Pour changer votre perspective, reconnaissez vos limites, apprenez à dire non. Accordez-vous du temps pour vous reposer. Déculpabilisez en comprenant que vous n’êtes pas seul. C’est normal de ressentir cela.

2️⃣ Comprenez pourquoi vous, vous êtes tombé en burn out

Tirez-en les enseignements pour ne pas rechuter.

Pour éviter une rechute du burnout, analysez les causes qui vous ont conduit à cet état d’épuisement. Identifiez les signaux d’alerte tels que le stress excessif, la fatigue chronique et l’irritabilité. Établissez des limites, pratiquez la gestion du stress, et demandez de l’aide si nécessaire.

3️⃣ 5 étapes pour retrouver l’envie de retravailler

Vous relancez dans la vie active avec plaisir et motivation.

Avec plaisir et motivation, bien entendu ! Voici 5 étapes :

  1. Réfléchissez à vos motivations : Identifiez ce qui vous passionne et ce qui vous donne envie de travailler.
  2. Fixez des objectifs : Déterminez des buts réalistes et progressifs pour vous motiver.
  3. Créez une routine positive : Établissez un emploi du temps équilibré avec des moments de travail, de repos et d’activités que vous aimez.
  4. Apprenez de vos expériences passées : Analysez ce qui a fonctionné et ce qui n’a pas marché pour éviter les erreurs.
  5. Entourez-vous de soutien : Parlez à des amis, à un coach ou à un psy pour vous aider à rester motivé.

Prenez soin de vous.

Et bonne chance ! 🌟

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To detox or not to detox : je brise les idées reçues sur la déconnexion numérique.

Sommes-nous tous accros aux écrans et aux réseaux sociaux ?

La question est complexe, et ma réponse n’est pas binaire.

D’un côté, il est indéniable que l’usage des technologies numériques a explosé ces dernières années.

De l’autre, les effets de cette hyperconnexion sur notre santé mentale et physique font l’objet de nombreux débats et d’études scientifiques parfois contradictoires (je vous mets en notes, à la fin de l’article, les références).

Détox numérique : miracle ou mirage ?

Faut-il vous lancer tête baissée dans une « digital détox » pour améliorer votre bien-être ?

Là encore, ma réponse n’est pas universelle.

Si l’idée de se déconnecter temporairement des écrans peut sembler séduisante, il est important de comprendre que les effets d’une telle démarche varient grandement d’une personne à l’autre.

Pourquoi les études scientifiques sur la déconnexion numérique ne parviennent-elles pas à un consensus clair ?

D’abord, parce que la notion d’écran est trop vague. Un film inspirant n’aura pas le même impact qu’une session de scrolling frénétique sur les réseaux sociaux.

De plus, chaque individu est unique et réagit différemment à l’usage des technologies. Ce qui est bénéfique pour l’un peut être néfaste pour l’autre.

Méfions-nous des moyennes !

C’est un principe fondamental à garder à l’esprit lorsqu’on s’intéresse aux effets de la technologie sur le bien-être. En effet, les études scientifiques analysent souvent des données groupées, ce qui peut masquer des réalités individuelles très différentes.

Alors, que faire ?

Plutôt que de se focaliser sur des solutions miracles comme la « digital détox », il est important que vous adoptiez une approche individualisée et réfléchie.

Devez-vous vraiment vous déconnecter

pour vous reconnecter ?

Voici 6 pistes pour vous aider à y voir plus clair :

  1. Prenez conscience de vos usages. Observez votre comportement face aux écrans. Quels contenus consommez-vous ? Quel temps passez-vous sur chaque plateforme ? Ressentez-vous une dépendance ou un sentiment de bien-être après une utilisation prolongée ?
  2. Identifiez vos besoins. Qu’est-ce que vous recherchez en vous déconnectant ? Est-ce pour réduire votre stress, améliorer votre sommeil, ou simplement vous reconnecter à votre entourage ?
  3. Définissez des objectifs clairs et réalistes. Fixez-vous des limites de temps d’écran ou planifiez des périodes de déconnexion régulières. Commencez par de petits pas et augmentez progressivement la durée de vos pauses numériques.
  4. Explorez des alternatives. Il existe de nombreuses façons de se détendre et de se reconnecter à soi-même sans nécessairement se couper du monde numérique. La lecture, la méditation, le sport ou encore les activités en plein air peuvent être des alternatives bénéfiques.
  5. Soyez patient, et à l’écoute de vous-même. Changer ses habitudes prend du temps. N’hésitez pas à ajuster votre approche en fonction de vos ressentis et des résultats observés.
  6. N’oubliez pas : la technologie est un outil puissant qui peut être utilisé à bon ou à mauvais escient. La clé réside dans une utilisation responsable et consciente, adaptée à vos besoins et à votre personnalité.

Dites-moi ce que vous pensez de mes 6 conseils.

Ma conclusion : il n’y a pas de réponse universelle à la question de la « digital détox ».

Si l’absence d’écran vous cause un manque, voire une souffrance, vous êtes accro. L’important est de trouver un équilibre sain et personnel entre le temps passé en ligne et le reste de votre vie.

Et si la meilleure « digital detox » était celle que vous inventez ?

Soyez acteur de votre bien-être numérique.

N.B.:

https://prod3.jmir.org/2023/1/e44922

https://www.elle.fr/Loisirs/Sorties/hotels/Quels-hotels-digital-detox-pour-vraiment-decrocher

https://link.springer.com/article/10.1007/s41347-020-00189-w

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2352853221000286?via%3Dihub

https://journals.sagepub.com/doi/pdf/10.1177/20501579211028647

https://www.lemonde.fr/pixels/article/2024/03/23/les-patrons-de-la-tech-qui-ne-mettent-pas-leurs-enfants-devant-des-ecrans-une-legende-urbaine_6223674_4408996.html

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Déjà croisé le terme HPE sur le web, n’est-ce pas ?

C’est un concept à la mode.

Car c’est un peu le sujet tendance, comme les dernières séries Netflix ou les mèmes viraux.

Mais qu’est-ce que c’est exactement ?

En gros, c’est une capacité de dingue à gérer ses émotions et celles des autres. Un peu comme si vous aviez un super-pouvoir pour lire dans les âmes et apaiser les esprits agités.

Mais attention à ne pas tomber du piédestal…

  • Les Origines du HPE

C’est dans les années 90 que deux chercheurs, Salovey et Mayer, ont posé les bases de ce concept. Ils ont décrit le HPE comme l’habileté à comprendre et à réguler ses propres émotions et celles des autres, pour mieux naviguer dans le monde social.

  • Le HPE, ce n’est pas ce que vous croyez

Mais voilà, avec le temps, le terme HPE a été un peu malmené sur Internet.

Au lieu de rester fidèle à cette idée de maîtrise émotionnelle, il a été étiré pour couvrir des traits de caractère un peu flous, voire des comportements problématiques. Remettons les pendules à l’heure : les vrais HPE, ce sont ceux qui comprennent et contrôlent leurs émotions, pas ceux qui sont submergés par elles.

  • Quand les émotions déraillent

Parce que oui, quand on ne sait pas gérer ses émotions, ça peut partir en cacahuète.

On parle alors de dysrégulation émotionnelle. Cela peut se traduire par des colères explosives ou une agressivité qui fait mal, à soi et aux autres. Les personnes avec des troubles comme le borderline, le TDAH ou certains troubles bipolaires ont souvent du mal dans ce domaine. À l’inverse, les HPE, eux, sont plutôt des as de la régulation émotionnelle.

  • La quête de sens sur internet

Et puis, il y a cette tendance à chercher des réponses sur Internet quand on se sent un peu perdu. Des termes comme hypersensible, zèbre ou indigo fleurissent un peu partout. Mais attention, si vous vous sentez vraiment mal, c’est vers un spécialiste qu’il faut se tourner, pas vers un quiz en ligne.

  • Le marketing de la souffrance

Le web regorge d’infos sur le HPE, mais tout n’est pas à prendre au sérieux. Beaucoup de ces contenus sont plus proches du marketing que de la science.

Soyez vigilant contre l’effet Barnum, ce biais qui nous fait croire que des descriptions vagues nous correspondent parfaitement. Et avec l’arrivée des IA, le phénomène pourrait bien prendre de l’ampleur.

Ma conclusion, forcément subjective :

Le HPE, c’est un concept fascinant, mais il faut raison garder, et ne pas se laisser emporter par les vagues d’informations parfois douteuses du net. Si vous vous reconnaissez dans certains traits, c’est toujours une bonne idée de discuter avec un pro pour y voir plus clair.

Voilà, j’espère que cette version vous donne un aperçu clair et sympa du HPE, sans tomber dans le jargon, la facilité ou les clichés.

Si vous avez d’autres questions ou besoin de précisions, n’hésitez pas à demander ! 😉

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NB : quel test pour savoir si l’on est HPE ? Le test Mayer-Salovey-Caruso évalue 4 aspects de l’intelligence émotionnelle :
  1. la capacité d’identification non verbale des émotions d’autrui
  2. l’utilisation des émotions et la résolution de problèmes avec les émotions
  3. la compréhension des causes de l’émotion
  4. l’ouverture aux émotions et leur fusion avec la pensée.
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Lorsque j’aborde la dépendance ou l’addiction d’un(e) de mes client(e)s, j’entre dans son territoire complexe et profondément humain.

Les croyances, valeurs, pensées, émotions et comportements qui sont derrière vos addictions sont souvent tissés dans les fils de votre histoire personnelle, de vos expériences et de vos relations.

-> Voici ce dont j’ai mis l’accent la semaine dernière au cabinet, avec des client(e)s souffrant de boulimie alimentaire, de porno-addiction, de paris sportifs, etc.

1. Croyances et réussite thérapeutique :

  • Croyances limitantes : chacun de nous porte des croyances profondes sur soi-même et sur le monde. Certaines de vos croyances peuvent renforcer l’addiction. Par exemple, “Je ne peux pas gérer le stress sans fumer” ou “Je ne mérite pas d’être heureux”. Est-ce votre cas ?
  • Réussite thérapeutique : la prise de conscience de ces croyances est essentielle pour la réussite thérapeutique. En remplaçant les croyances limitantes par des croyances positives, vous ouvrez la voie à votre guérison.

2. Stratégies favorisant l’addiction :

  • Évitement : votre addiction peut servir de moyen d’échapper à vos émotions difficiles ou à vos situations inconfortables. La drogue, la nourriture ou d’autres comportements addictifs deviennent alors des stratégies pour éviter la douleur.
  • Renforcement : les comportements addictifs sont souvent renforcés par des récompenses immédiates, même si elles ont des conséquences négatives à long terme. Est-ce que vous vous en êtes aperçu ?

3. L’addiction comme tentative d’auto-guérison :

  • Comprendre la douleur : votre addiction peut être vue comme une tentative désespérée de soulager une douleur intérieure. Elle peut être un moyen de combler votre vide émotionnel, de calmer une anxiété profonde, de sortir de l’ennui, etc.
  • Écouter vos besoins : en explorant vos besoins profonds grâce à l’hypnose, votre inconscient trouvera des moyens plus sains de les satisfaire. Par exemple, chercher des connexions sociales, des moyens de gérer le stress ou des activités créatives, etc.

4. La transe de l’addiction :

  • État altéré de conscience : l’addiction crée une transe dissociative hypnotique, où vous êtes contrôlé par votre compulsion (craving). Où vous ne voyez pas le temps passé, vous oubliez où vous êtes.
  • Sortie de transe : après la compulsion de l’addiction, vous revenez à vous-même, et vous ressentez du dégoût, de la colère, de la culpabilité, etc.

5. Émotions non gérées :

  • Émotions refoulées : vous avez du mal à gérer vos émotions, et donc elles sont enfouies profondément. Votre addiction sert alors de moyen d’échapper à ces émotions parfois intenses.
  • Apprendre à ressentir : apprenez à ressentir et à exprimer vos émotions. C’est un premier pas vers votre guérison.

6. Codépendance :

  • Relations dysfonctionnelles : la codépendance se produit lorsque vos relations sont basées sur des besoins non satisfaits et des schémas de comportement malsains (triangle de Karpman).
  • Sortir du schéma : identifiez vos schémas. Travaillez à établir des relations plus saines est crucial pour vous en sortir.

En fin de compte, la guérison de votre addiction est un voyage individuel.

Il nécessite du courage, de la compassion envers soi-même, et un soutien psy. Si vous ou quelqu’un que vous connaissez lutte contre une dépendance, cette personne est en grande souffrance. N’hésitez donc pas à chercher de l’aide.

Car vous n’êtes pas seul.

Il y a toujours de l’espoir pour votre avenir : 

libre et épanouissant 🙂

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« Personne ne viendra vous sauver ».

Ils attendent toujours le bon moment, la bonne aide, que tout se mette en place. Ils refusent de prendre leur responsabilité. Peut-être une personne autour de vous ?

La mentalité « victime » est devenue un problème : c’est comme si elle demandait au sauveur de lui prêter sa clef pour ouvrir sa maison.

Cela ne marchera jamais.

Je pense que beaucoup de gens ne l’apprennent jamais. Ne trouvez-vous pas ?

Sans changement de mentalité, sans persévérance, sans discipline, la victime aura du mal à changer.

Elle est la seule personne à pouvoir se sauver.

Elle est le changement qu’elle veut avoir.

Juste faire son premier pas.

Agissez.

Et je vous aiderai à franchir la seconde étape, la troisième étape, etc.

🙂

Je vais vous donner 5 signes qui peuvent indiquer que votre relation est abusive.

Une relation abusive, qu’est-ce que c’est ?

C’est une relation où une personne utilise la violence, la manipulation, le contrôle ou le chantage pour dominer sa (son) partenaire.

Voici quelques signes qui doivent alerter :

  • Votre partenaire vous ignore, vous humilie ou vous rabaisse régulièrement
  • Votre partenaire vous fait du chantage, vous menace ou vous force à faire quelque chose que vous ne voulez pas faire
  • Votre partenaire est jaloux, possessif ou vous empêche de voir vos amis, votre famille ou de faire vos activités
  • Votre partenaire surveille vos déplacements, vos appels, vos messages ou votre façon de vous habiller
  • Votre partenaire vous frappe, vous blesse ou vous agresse sexuellement.

Si vous reconnaissez ces signes dans votre relation, sachez que vous n’êtes pas seul(e) et que vous pouvez trouver de l’aide.

Vous pouvez appeler le 3919, un numéro gratuit et anonyme qui vous écoute, vous conseille et vous oriente vers des structures adaptées.

Vous pouvez aussi consulter le site En avant toute(s), une association qui lutte contre les violences faites aux femmes et qui propose un chat en ligne avec des professionnel(le)s.

N’hésitez pas à parler de votre situation à une personne de confiance ou à un psy.

Pour vous protéger, et vous sentir soutenu.

Vous avez le droit de vivre une relation saine, respectueuse et épanouissante ; je vous le garantis.

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« Il s’appelle Pensouillard.

C’est un tout petit hamster. Vous le connaissez.

Il court dans une roulette, à l’intérieur de votre tête !

Certains jours, il court plus vite que les autres. »

Vous êtes un penseur excessif ?

Vous êtes sur la bonne voie pour le désastre…

  • Trop penser, c’est se laisser envahir par vos pensées négatives, répétitives ou inutiles. Qui vous empêchent de vivre pleinement le moment présent, de prendre des décisions, ou de vous sentir bien
  • trop penser, c’est aussi se couper de vos émotions, de votre intuition, et de son potentiel créatif
  • trop penser, c’est enfin se faire du mal, car cela génère du stress, de l’anxiété, de la dépression, ou encore des troubles du sommeil.

Comment arrêter ce surmenage mental ?

Au cabinet, face à un client avec un cognitif sur-développpé, je lui apprends des stratégies qui peuvent l’aider à mieux gérer ses pensées, et à retrouver un équilibre mental qui lui convient.

Voici quelques pistes à explorer :

  • Prenez conscience de votre tendance à trop penser. Observez vos pensées sans les juger, ni les suivre. Identifiez les situations, les personnes, ou les sujets qui déclenchent votre rumination mentale. Essayez de repérer les schémas de pensée négatifs, comme la généralisation, la dramatisation, ou le tout ou rien.
  • Remettez en question vos pensées. Ne les prenez pas pour des vérités absolues. Interrogez-vous sur leur origine, leur validité, leur utilité. Cherchez des preuves qui les contredisent, ou qui les nuancent. Reformulez-les de façon plus positive, réaliste, ou constructive.
  • Lâchez prise sur ce que vous ne pouvez pas contrôler. Acceptez que la vie comporte des incertitudes, des risques, et des imprévus. Ne cherchez pas à tout prévoir, à tout anticiper, à tout maîtriser. Faites confiance à votre capacité d’adaptation, à votre résilience.
  • Passez à l’action. Ne restez pas bloqué dans l’analyse, la réflexion, ou la planification. Faites le premier pas, même si vous n’êtes pas sûr du résultat. Fixez-vous des objectifs réalistes, et des étapes intermédiaires. Célébrez vos progrès, et apprenez de vos erreurs.
  • Vivez dans le présent. Ne vous laissez pas envahir par le passé, ni par le futur. Concentrez-vous sur ce que vous faites, sur ce que vous ressentez, sur ce qui vous entoure. Pratiquez la méditation de pleine conscience, qui consiste à porter son attention sur l’ici et maintenant, sans jugement, ni distraction. Méditez, respirez, relaxez-vous.
  • Exprimez vos pensées. Ne les gardez pas pour vous, ni les laissez tourner en boucle dans votre tête. Parlez-en à quelqu’un de confiance, qui pourra vous écouter, vous soutenir, ou vous conseiller. Ecrivez-les dans un journal, une lettre, ou un poème. Dessinez-les, chantez-les, dansez-les.
  • Distrayez-vous. Ne laissez pas vos pensées occuper tout votre espace mental. Faites des activités qui vous plaisent, qui vous détendent, qui vous stimulent. Lisez, regardez un film, écoutez de la musique, jouez à un jeu. Sortez, bougez, rencontrez des gens.

Qu’en pensez-vous ?

Vous pouvez apprendre à mieux gérer vos pensées, et à les utiliser à votre avantage. Je peux aussi vous aider en utilisant l’hypnose profonde, en m’intéressant alors aux causes profondes, ce qu’il y a derrière votre surmenage mental. L’important est de ne pas rester seul, ni de souffrir en silence. Vous méritez de vivre sereinement, et de vous épanouir pleinement.

Trop penser n’est pas une fatalité.

Pour ne plus subir la dictature de votre égo.

Parce que penser trop, c’est un choix.

Choisissez la Vie !

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