dépression


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La boulimie, l’hyperphagie, la dépendance alimentaire et les TCA sont tous de graves problèmes de santé mentale qui peuvent avoir un impact dévastateur sur la vie d’un individu.

L’hypnose est un outil efficace dans le traitement de ces affections, car elle peut aider à réduire les fringales et soulager l’anxiété et la dépression.

L’hypnose, et la transe somnambulique, s’avère particulièrement bénéfique dans le traitement de la boulimie, car elle aide à réduire les comportements de tca et de purge. Aide également les gens à développer des mécanismes d’adaptation plus sains pour faire face au stress et à d’autres déclencheurs come la fameuse compulsion.

Avec l’aide de l’hypnose (profonde, pas éricksonienne), les individus peuvent apprendre à mieux gérer leurs émotions et à se libérer du cycle de la dépendance ou de la boulimie.

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂
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Vous vous sentez stressé au travail ?

Voici quelques mesures à prendre pour lutter contre l’épuisement professionnel :

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1 / Fixez des limites plus raisonnables.

Moins élevées.

Encore moins élevées !

  • Démarrez et terminez le travail à des horaires raisonnables
  • Faites régulièrement des pauses pendant la journée. Marchez 10 minutes à votre pause repas
  • Chaque jour, accordez-vous un temps de déconnexion de votre téléphone, votre ordinateur, vos e-mails et vos réseaux sociaux
  • Prenez des vacances, et coupez-vous du travail le soir et le week-end
  • Apprenez à refuser quelque chose (dites non) lorsque vous ressentez trop de pression dans votre environnement de travail
  • Déléguez vos tâches pour une meilleure gestion du stress.

2 / Préservez votre équilibre vie professionnelle et vie privée

Lorsque vous êtes stressé, vous pouvez facilement oublier de passer du temps avec vos amis et votre famille ou de faire des choses que vous aimez. Nous ne sommes pas en mesure de gérer le stress sur une période prolongée. Mais il ne faut surtout pas abandonner les autres activités et vos relations sociales. Préservez l’équilibre entre votre vie professionnelle et votre vie privée afin de pouvoir vous déconnecter lorsque c’est nécessaire.

Ce sont des moments indispensables pour recharger ses batteries.

3 / Prenez du recul sur une situation stressante

Il est fort probable que votre niveau d’exigence vis-à-vis de vous-même soit élevé. Mais posez-vous les questions suivantes afin de prendre du recul sur une situation qui vous inquiète :

  • est-ce que tout doit être parfait ?
  • Quelle est la pire chose qui arriverait si vous ne vous mettiez pas, vous-même, autant de pression ?

Les conséquences ne sont peut-être pas aussi catastrophiques que vous l’imaginez. Pour réaliser cette prise de recul, une aide de la part d’un psy/coach peut être utile.

4 / Évitez les aliments transformés, les glucides, et la caféine (après 14h)

  • Préservez votre santé en mangeant beaucoup moins de glucides (sucres rapides et lents), et plus de protéines
  • Consommez des aliments frais et sains
  • Consommez suffisamment de magnésium, c’est essentiel à la production d’énergie et le bon fonctionnement de vos mitochondries

CADEAU :

5 / Apprenez à gérer votre stress

Une charge de travail excessive peut facilement donner lieu à une situation de stress et donc favoriser le risque d’épuisement professionnel. Afin de prendre soin de sa santé mentale au travail, il est donc important de maîtriser quelques techniques de relaxation et de gestion du stress au travail.

Les exercices de respiration sont un excellent moyen de diminuer le stress au quotidien, de lutter contre les troubles anxieux et donc d’éviter l’épuisement.

N’ayez pas honte d’avoir besoin d’aide

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Si ces symptômes vous semblent familiers et que vous craignez le burn out, parlez-en à votre médecin traitant.

Personne n’est à l’abri de présenter un jour ou l’autre un burn out. Vous pouvez faire beaucoup de choses par vous-même mais il est souvent difficile de s’en sortir seul.

Et la prise en charge psy est indispensable pour rétablir un équilibre personnel et professionnel durable.

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Nous avons tous des périodes où nous nous sentons stressés.

Mais lorsque cet état se prolonge, cela peut conduire au burn out.

Il est important de repérer les premiers signes de ce syndrome d’épuisement professionnel afin d’en limiter les conséquences.

Un certain niveau de stress peut avoir un effet bénéfique sur votre productivité au travail. Des projets peuvent vous aider à repousser vos limites. En période de fatigue ou d’émotion intense, l’organisme libère des hormones du stress, notamment le cortisol et l’adrénaline. À court terme, cela peut momentanément booster vos performances.

Mais un excès de stress sur des périodes prolongées a l’effet opposé et peut entraîner une pathologie connue sous le nom de burn out. Sans repos ni récupération suffisante, le burn out traduit un épuisement à la fois mental, physique et émotionnel.

Qu’est-ce que le burn out ?

La notion de burn out a été définie pour la première fois dans les années 1970 pour décrire l’épuisement au travail des professionnels de santé et de soin. Elle s’est ensuite appliquée à l’ensemble des syndromes d’épuisement professionnel, quelque soit la profession.

D’après l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), un adulte sur quatre fera un burn out au cours de sa vie. L’OMS a récemment inclus le burn out dans sa Classification internationale des maladies, le décrivant comme “un phénomène lié au travail”.

Dans les faits, le burn out se traduit par

  • une diminution de l’engagement au travail, avec un détachement notoire de tout ce qui touche à la profession
  • Cela a pour conséquence une inadéquation entre le travailleur et son poste, pouvant aboutir à l’incapacité totale d’effectuer son travail ainsi qu’à une dépression.

Les personnes atteintes ne perdent pas pour autant le goût de réaliser des activités dans la sphère privée. C’est d’ailleurs là que se situe la différence avec la dépression.

Quelles sont les causes du burn out ?

F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, tabac, souffrance, stress, burnout, PNL, téléséance, téléconsultation, avis, témoignageSon origine vient le plus souvent du monde du travail, même s’il existe des situations personnelles pouvant le provoquer, notamment chez les parents.

Il est le plus souvent lié à la vie professionnelle et découle d’une sensation de mal-être au bureau.

Les causes à l’origine de cette sensation sont multiples, il peut s’agir :

  • d’une surcharge de travail
  • de tensions entre collègues
  • de disparités au sein de l’entreprise
  • d’objectifs inatteignables ou confus
  • de l’insécurité de l’emploi.

D’une ou plusieurs de ces causes.

Cet environnement de travail stressant peut avoir pour conséquence un épuisement professionnel.

Devant une charge de travail trop importante, l’employé est épuisé et connaît alors un surmenage. La personne entre alors dans un état d’épuisement aussi bien sur le plan physique que sur le plan émotionnel et mental (pouvant parfois mener à un épisode dépressif).

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Son origine vient le plus souvent du monde du travail, même s’il existe des situations personnelles pouvant le provoquer, notamment chez les parents.

Il est le plus souvent lié à la vie professionnelle et découle d’une sensation de mal-être au bureau.

Les causes à l’origine de cette sensation sont multiples, il peut s’agir :

  • d’une surcharge de travail
  • de tensions entre collègues
  • de disparités au sein de l’entreprise
  • d’objectifs inatteignables ou confus
  • de l’insécurité de l’emploi.

Cet environnement de travail stressant peut avoir pour conséquence un épuisement professionnel.

F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, tabac, phobie, souffrance, stress, burnout, téléséance, téléconsultation, avis, témoignage

Devant une charge de travail trop importante, l’employé est épuisé et connaît alors un surmenage.

La personne entre alors dans un état d’épuisement aussi bien sur le plan physique que sur le plan émotionnel et mental pouvant parfois mener à un épisode dépressif.

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Nous avons tous des périodes où nous nous sentons stressés.

Mais lorsque cet état se prolonge, cela peut conduire au burn out.

Il est important de repérer les premiers signes de ce syndrome d’épuisement professionnel afin d’en limiter les conséquences.

Un certain niveau de stress peut avoir un effet bénéfique sur notre productivité au travail. Des projets peuvent nous aider à repousser vos limites. En période de fatigue ou d’émotion intense, l’organisme libère des hormones du stress, notamment le cortisol et l’adrénaline. À court terme, cela peut momentanément booster vos performances.

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Mais un excès de stress sur des périodes prolongées a l’effet opposé, et peut entraîner une pathologie connue sous le nom de burn out. Sans repos ni récupération suffisante, le burn out traduit un épuisement à la fois mental, physique et émotionnel. Attention !

La notion de burn out a été définie pour la première fois dans les années 1970 pour décrire l’épuisement au travail des professionnels de santé et de soin.

Elle s’est ensuite appliquée à l’ensemble des syndromes d’épuisement professionnel, quelque soit la profession. Il existe aussi un burn out de l’aidant (s’ocuuper de ses parents vieillissants par exemple). D’après l’Organisation Mondiale de la Santé, un adulte sur quatre fera un burn out au cours de sa vie. L’OMS a récemment inclus le burn out dans sa Classification internationale des maladies, le décrivant comme “un phénomène lié au travail”, quel qu’il soit.

Dans les faits, le burn out se traduit par une diminution de l’engagement au travail, avec un détachement notoire de tout ce qui touche à l’activité. Cela a pour conséquence une inadéquation entre le travailleur et son poste, pouvant aboutir à l’incapacité totale d’effectuer son travail ainsi qu’à une dépression.

Les personnes atteintes ne perdent pas pour autant le goût de réaliser des activités dans la sphère privée. C’est d’ailleurs là que se situe une des différences avec la dépression.

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-> Les séances, avec la thérapie IFS en hypnose profonde, se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

L’IFS (Internal Familial System ou Système Familial Intérieur).

Cette approche puissante, fondée par Richard Schwartz (psychologue américain), est centrée sur la connexion à notre Self ou Soi.

Il est en chacun de nous une source profonde de calme, de paix, de connexion, de bienveillance et de compassion. C’est un état « méta », qui permet de prendre de la hauteur et d’observer avec détachement tout ce qui s’agite en nous.

F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, souffrance, stress, burnout, IFS, téléséance, téléconsultation, Les-symptomes-du-burn-outEt ce qui s’agite en vous, ce sont vos parts (parties), c’est à dire tout ce qui vous vient à la conscience : vos pensées, vos croyances, vos émotions, vos sensations, vos réactions et réactions.

Au cours d’une séance d’IFS, en hypnose ou pas, le thérapeute part lui-même de son Self pour inviter son client à se tourner vers son monde intérieur.

Afin d’apprendre à rencontrer, accueillir, comprendre lui-même ces différentes parties de lui : ses parts défensives comme ses parts émotionnelles, et particulièrement ses parts blessées.

Il peut ensuite les transformer et les guérir grâce à la qualité de présence du Self, l’ouverture du cœur apprises en relation avec le thérapeute, etc.

Cette approche, pleine d’amour et de compassion, amène à éprouver concrètement l’amour de soi et permet de s’améliorer grandement, de manière complète, empathique et chaleureuse.

 

 

 

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-> Les séances, avec la thérapie IFS en hypnose profonde, se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

Une maladie du travail…

Les signes et symptômes vont varier selon les personnes : il y en a qui auront des symptômes plutôt dépressifs et d’autres, plutôt anxieux.

Voici des traits de personnalité partagés par des gens qui ont traversé cette épreuve :  courage,  perfectionniste, habitués de se débrouiller toutes seuls.  Ce sont des personnes résistantes à l’effort, qui cherchent la valorisation extérieure, se sentir aimer, reconnues, etc.

Elles partagent peu, et se retrouvent à tout assumer.

« Il a fallu que j’accepte que j’étais imparfaite, admet Marie-Ève Lamontagne. Il a fallu que j’accepte de l’aide et ça, ç’a été très dur. Pour moi, c’était un échec. Un signe de faiblesse. »

Josiane est consciente d’avoir souvent dépassé ses limites. Après deux burn-out, elle n’avait d’ailleurs pas appris à appuyer sur le frein. Même malade – ses médecins craignaient un cancer – et mère de deux jeunes enfants, elle a continué à faire la « superwoman » et travaillait « comme si de rien n’était ».

Elle a craqué de nouveau !

C’est sûr que, pour certaines personnes, le problème est de ne pas connaître ses limites.

Mais des limites, il n’y en a pas non plus dans ce qui est demandé. Faire porter le blâme de l’épuisement professionnel aux travailleurs, sans réfléchir à l’organisation du travail, à la course au rendement boursier et à la valorisation de la compétition entre collègues ne tient pas la route.

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Apprendre à dire non, faire du yoga et de la méditation pour apprendre à gérer ses difficultés, c’est bien. Mais ça ne tient pas longtemps dans un contexte de travail. Dire non, on le fait pendant un, deux ou trois mois. Après, on reprend le rythme.

Des recherches incitent d’ailleurs à conclure que le climat existant dans bien des milieux de travail ne favorise pas le retour au boulot. Lorsqu’on revient dans les mêmes conditions – et bien souvent dans des conditions qui se sont détériorées durant l’absence -, le processus d’intégration et de maintien en emploi est extrêmement risqué.

Si on ne cherche pas à savoir ce qui, dans le travail, a participé à la détérioration de l’état de santé d’une personne, on la remet à risque.

L’arrêt de travail n’est pas suffisant en soi. Un burn-out est aussi un moment de remise en question profonde pour un individu, qui doit réévaluer son rapport au travail, son désir de reconnaissance, retrouver l’équilibre entre ses besoins personnels et professionnels, des réflexions pour lesquelles une psychothérapie s’avère un outil majeur, selon lui.

Apprendre à accepter de l’aide est tout aussi capital.

On ne peut pas se sortir seul d’un burn-out.

On a besoin de l’appui des autres.

L’épuisement professionnel

est une maladie du stress,

une maladie d’adaptation à des contraintes extérieure

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Et s’il était temps pour vous de quitter votre poste, voire même de changer de voie ?

« Ce n’est pas le bon moment

Je ne trouverai jamais mieux

C’est la crise

Mon job n’est pas si mal que ça », etc.

Les excuses pour ne pas quitter votre job, qui ne vous plaît plus, ne manquent pas, j’en suis convaincu.

Pour beaucoup, l’aspiration au changement restera un doux fantasme.

Si vous ressentez des frustrations, si vos besoins ne sont plus comblés, prenez le temps de la réflexion. Cela ne sera jamais du temps perdu.

Attention ! Le changement n’a pas besoin d’être radical pour que vous vous sentiez mieux. Il peut s’agir de changer d’entreprise ou de secteur, de développer une deuxième activité, etc.

Voici les 7 signaux qui doivent vous faire réfléchir.

Le 8ème, c’est le vôtre.

1/ Vous êtes de moins en moins motivé

La baisse d’enthousiasme est un vrai signal.

Au quotidien, cela peut se traduire par de l’ennui, un manque d’envie et d’énergie. Passer son temps à regarder sa montre, surfer sur Internet comme on errerait dans la rue, rallonger ses pauses, mettre une heure à boucler un dossier qui ne demandait que quinze minutes…

Le bore-out peut vite être source de souffrances et devenir aussi mauvais pour la santé que le burn-out.

2/ Vous n’êtes pas satisfait de vos relations de travail

Votre job peut vous passionner, mais si vous n’êtes pas ou plus en phase avec vos collègues et/ou vos supérieurs, il se peut que cela vous mine considérablement.

Pour reprendre la pyramide de Maslow, le besoin d’appartenance révèle la dimension sociale de l’individu. On a tous besoin de se sentir accepté par les groupes dans lesquels on évolue, notamment au travail. On se définit aussi par rapport à ces relations. Ainsi, quand vous ne vous reconnaissez plus dans la culture véhiculée par votre entreprise, par les valeurs de votre hiérarchie ou que vous ne vous ressentez plus reconnu par le groupe, il est temps d’aller voir ailleurs !

Une entreprise plus familiale ? Un grand groupe ? Une start-up ? Il y a 1001 manières d’exercer le même poste, à vous de voguer vers une ambiance qui vous conviendra davantage.

3/ Les maux du corps

Boule au ventre, sommeil altéré, palpitations sur le trajet… Lorsque votre corps commence à envoyer des signaux d’alerte, aussi légers soient-ils, il est opportun de prendre du recul. De commencer à faire le point, afin d’identifier s’il s’agit d’un malaise passager ou d’une crise plus profonde nécessitant un changement de job, voire de voie.

Si dès le dimanche soir ou lundi matin, vous ressentez un début de stress, ce n’est pas bon signe. La limite intervient lorsque le corps « parle », et appelle au changement. A partir du moment où vous commencez à somatiser, quand vous en avez plein le dos, quand vous ne « digérez » plus ce que vous faites… jusqu’au burnout, il est plus que temps de bifurquer vers un autre chemin, plus en accord avec vos valeurs.

F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, tabac, phobie, souffrance, stress, burnout, téléséance, téléconsultation, avis, témoignage4/ Vous vous dites que votre travail manque de sens

Vous pouvez avoir une situation professionnelle très confortable, enviée par beaucoup, mais qui au final, ne remplit pas votre besoin de vous accomplir.

Sortez d’une condition purement matérielle pour atteindre votre épanouissement.

C’est ainsi que Marie Treppoz, directrice marketing dans un groupe du Cac 40 a quitté son poste pour donner plus de sens à son travail. Afin de se sentir davantage utile, elle a fondé Welp, un site d’entraide gratuit entre particuliers.

5/ Les gens bien dans leur job vous énervent

Pierre gravit les échelons dans son entreprise, Annabelle vante la bonne entente avec ses collègues, Stéphane et Inès sont ravis de leurs nouvelles missions… Et vous, leur bonheur vous pèse !

L’aigreur, voire la jalousie, envers les proches heureux au travail sont des signaux fréquemment rencontrés chez les insatisfaits au travail. Ils témoignent d’une frustration ou d’un mal-être par un effet miroir.

6/ Vous attendez les jours off avec une attente démesurée

Combien de jours vous reste-t-il à « tenir » avant vos prochains congés ?

Si vous vous posez régulièrement cette question, ce n’est peut-être pas anodin… Une cliente que j’accompagne me disait en ces termes : « J’attends les week-ends et les vacances pour avoir vraiment l’impression de vivre ». S’il est évident que presque tout le monde attend les jours de repos avec impatience, les attendre de façon démesurée en ayant l’impression de mettre sa vie entre parenthèse les jours de travail, témoigne d’un véritable problème.

7/Une petite voix vous dit…

Si au fond de vous, vous avez cette petite voix intérieure qui vous envoie des pensées, des désirs de changement, ne la mettez surtout pas de côté. Ce n’est rien d’autre que votre intuition et elle ne se trompe rarement. Ecoutez-la et autorisez-vous à faire un premier pas vers le changement.

Même si vous êtes bon dans votre travail actuel et qu’il vous paraît « confortable », gardez en tête que vous excellerez dans ce que vous aimez faire. Ne vous résignez jamais. Il est possible de changer de boulot et même de voie à tout âge.

Autorisez-vous à devenir pleinement vous-même, vous avez le droit de vous éclater dans votre travail !

Le travail peut et doit être un moment d’épanouissement : lorsque vous êtes pleinement aligné avec ce que vous faites, vous êtes heureux d’aller travailler.

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Le burn-out est parfois confondu avec la dépression.
F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, traumatisme, peur, tabac, phobie, souffrance, stress, burnout, PNL, téléséance, téléconsultation, avis, témoignageS’il existe des points communs (repli sur soi, irritabilité, angoisses, crises de larmes, troubles psychosomatiques…), les différences sont importantes :

  • le burn-out vient toujours d’un stress chronique alors que pour la dépression, ce n’est le cas qu’une fois sur deux
  • le burn-out concerne l’activité professionnelle, la dépression concerne tous les domaines de la vie.

Le burn-out est donc un processus de dégradation lié au rapport au travail.

 Le burn-out peut toutefois évoluer en dépression !

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Voici le début d’un intéressant article de la psy Lea Poujol, dont j’ai assuré la formation :

grossesse-et-hypnoseLe baby blues et la dépression post-partum sont deux états psychologiques, qui surviennent après l’accouchement.

A / Le baby blues est aussi appelé syndrome du troisième jour car il apparait dans les premiers jours qui suivent l’accouchement, généralement le troisième jour après la naissance de l’enfant.

C’est un état transitoire qui dure quelques jours (de quelques heures à 15 jours environ).

Cet état de déprime passager s’explique par des causes physiologiques : la chute d’hormones de grossesse, une augmentation du stress et un manque de sommeil.

  1. Les émotions font des haut et des bas, on passe du rire aux larmes sans savoir pourquoi
  2. Les symptômes se manifestes par de l’irritabilité, de l’anxiété, de la vulnérabilité et des sautes d’humeur
  3. Le baby blues touche un large nombre de femme : 60 à 80% des mères y sont confrontées
  4. Dans la plupart des cas, les symptômes s’estompent d’eux-mêmes sans intervention extérieures.

B / La dépression post-partum, aussi appelée dépression post-natale, peut survenir à n’importe quel moment pendant la première année suivant l’accouchement.

Beaucoup plus grave que la baby blues, elle peut s’étaler dans la durée et nécessite de l’aide et des soins.

La dépression post-partum n’est pas due a des causes physiologique, mais bien à des causes psychologique engendrée par une

(cliquez ici pour lire la suite)

Vous avez le droit de ne pas être au top.

Ce n’est pas de la faiblesse, et ça ira mieux demain. Même si ce soir ce qui vous pèse semble insurmontable.
Si ce n’est pas demain, ce sera dans un mois.

C’est dit naïvement, mais c’est normal de flancher quand tout autour s’écroule.

C’est normal, même si ça persiste.

Ça ne veut pas dire que vous devez accepter ni apprécier cet état, ça veut juste dire que vous ne devez pas vous sentir coupable quand vous le ressentez.

Beaucoup de gens qui n’avaient jamais vécu de troubles de leur santé mentale se sentent depuis le début du covid déprimés, angoissés, ont des problèmes de sommeil, ou avec la foule.

Des choses jamais expérimentées avant.

Ou rechutent.

C’est normal que votre équilibre mental soit bouleversé. Nous naviguons à vue, nous avons perdu nos repères, et l’on ne sait pas quand nos vies reprendront leur cours. L’avenir est incertain, et c’est normal d’être perdu.

Vous avez le droit de l’admettre, au moins à vous-même.

Quand ça s’installe, il n’y a aucune honte à recourir à des spécialistes de santé mentale – comme il n’y en a concernant la santé physique.

Même si ce soir ce qui vous pèse semble insurmontable, un jour tout ira mieux.

Vraiment 🙂

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Coachs, et avocats spécialisés dans l’orientation, luttent contre le stress généré autour de la plate-forme d’admission postbac, dont la première phase d’inscription a commencé ce 18 janvier.

Sur le papier, rien ne l’y poussait tellement.

Mère d’une élève de terminale dans un lycée réputé de la région parisienne, avec d’excellentes notes dans toutes les matières, Elise le reconnaît volontiers : « Objectivement, nous n’avions aucune raison de nous inquiéter pour notre fille. » Pourtant, saisie d’une vive anxiété à l’approche des choix pour le postbac, cette cadre du secteur médico-social a décidé de payer les services d’une coach en orientation pour son enfant. « Un contexte hyperanxiogène entoure la procédure Parcoursup : on ne sait rien des algorithmes, j’avais peur qu’elle se retrouve sans aucun choix qui lui plaise vraiment », justifie-t-elle.

La mère de famille a entendu parler du coaching par quelqu’un de son entourage. « C’était une solution personnalisée et, dans la masse anonyme des élèves, c’était rassurant, souligne-t-elle. Concrètement, la coach a surtout fait un travail de liste de formations que j’aurais pu faire seule. Que ma fille puisse confronter ses idées m’a déstressée. »

Dans le lycée de sa fille, il y a bien des psychologues d’orientation ou des professeurs impliqués, mais elle craignait que cela ne suffise pas. « La compétition entre les élèves nous pousse à avoir recours au privé pour nous différencier, c’est regrettable », déplore-t-elle..

Dans ce processus d’orientation, il faut avant tout “se réaliser soi”. Le coaching scolaire en fait partie, Pour cela, il reprend beaucoup aux codes du coach en entreprise, avec une forme semblable à celle des bilans de compétences qui s’appuient sur un registre de la rhétorique de soi, de la confiance personnelle mais aussi de l’optimisation de ses atouts.

Isabelle, journaliste secrétaire de rédaction de 52 ans dans une commune moyenne des Landes, avait pour souci d’éviter que sa fille lycéenne « ne se trompe trop dès maintenant ». « En première, elle était sèche niveau idées. Cela me rendait très anxieuse, je me disais qu’il fallait anticiper, explique cette mère. Dans son lycée, la personne chargée de l’orientation devait s’occuper de trois établissements : ce n’était pas possible. »

Ce nouveau marché privé doit en partie son essor à la précarité des moyens publics : on ne compte en France, en moyenne, qu’un conseiller d’orientation pour 1 500 élèves dans le secondaire. « Cela assoit une sorte d’orientation à deux vitesses, inégalitaire socialement. Ce n’est pas anodin d’avoir l’opportunité de passer du temps à parler avec un adulte qui ne soit ni un parent ni un enseignant, dans une posture réflexive. Et tout le monde n’y a pas accès », constate Anne-Claudine Oller.

Mais avoir recours à ces différents services est aussi – et peut-être avant tout – un outil de réassurance pour les parents des classes moyennes et supérieures ciblées.

Selon les deux chercheuses, comme pour le coaching, les parents qui déposent des recours sont issus de milieux plutôt privilégiés et ce phénomène concerne plutôt des élèves ayant de bons résultats.

Mais tout ce marché de l’anxiété concerne aussi les classes moyennes : désignées initialement comme les gagnantes de la massification scolaire et de la méritocratie, elles sont rappelées à l’ordre par Parcoursup. Avec cette procédure jugée opaque et la médiatisation des injustices qui en résultent, il y a une peur du déclassement et donc la recherche d’acteurs externes pour y remédier.

Ces recours sont le signe d’un nouveau rapport à l’institution scolaire, plus facilement contestée, mais aussi de l’anxiété liée à l’incertitude de l’admission postbac. Cette velléité s’accompagne d’ailleurs régulièrement de suivis psychologiques, ou de la prise de médicaments contre le stress : la santé avant tout contre l’angoisse scolaire.

Le moment de l’accès au supérieur s’est peu à peu construit comme une étape cruciale de bifurcation sociale, un “one shot”, avec une seule chance.

Le stress est une réaction presque attendue, le signe qu’on est bien investi comme candidat : alors payer pour un service destiné à s’apaiser ou prendre des anxiolytiques paraît normal. La pression est forte dans les familles, qui se transforment en mini-entreprises de la constitution du dossier Parcoursup. C’est aussi un moment où les parents se retournent sur leur propre parcours.

Je vois arriver, dans mon cabinet, beaucoup d’états anxieux et dépressifs liés à cette conjonction de problématiques, avec prise de traitements.

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-> Les séances de coaching et/ou de psychothérapie se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

L’arrivée d’un bébé est un grand changement dans la vie des parents.

Parfois les émotions négatives prennent le dessus : fatigue, mal-être, déprime…

Le baby blues concerne 50 à 80 % des femmes qui accouchent, et 10 à 20 % des mères sont touchées par une dépression post-partum dans les semaines qui suivent l’accouchement. En cas de difficultés, il ne faut pas hésiter à en parler avec une professionnelle de santé (comme celle que je vous recommande en fin de mon article).

Depuis le 1er juillet, pour mieux accompagner les jeunes mères dans les semaines qui suivent la naissance, un entretien postnatal précoce leur est proposé systématiquement. Il peut être réalisé par une sage-femme ou un médecin entre la 4ème et 8ème semaine après l’accouchement.

L’objectif de cet entretien est :

  • de repérer les premiers signes de la dépression du post-partum (état dépressif ou anxieux, fatigue, humeur instable…)
  • d’identifier d’éventuels facteurs de risques qui exposent les parents à cette dépression (isolement, événement stressant…)
  • d’évaluer les éventuels besoins de la femme ou du couple en termes d’accompagnement.

Le professionnel de santé peut proposer un 2e entretien entre la 10e et la 14e semaine qui suivent l’accouchement, afin de continuer l’accompagnement s’il le juge nécessaire ou à la demande du ou des parents.

Cet entretien est pris en charge aux taux habituels (70 % par l’assurance maladie obligatoire).

En plus de l’entretien postnatal obligatoire décrit avant, une consultation postnatale est prévue dans les 6 à 8 semaines qui suivent l’accouchement. Cette consultation permet d’aborder divers thèmes : contraception, alimentation, troubles urinaires…. Elle est obligatoire et peut être réalisée par un médecin ou par une sage-femme. Cette consultation est aussi prise en charge à 100 % par l’Assurance Maladie.

D’autres rendez-vous médicaux peuvent également être proposés selon l’état de santé de la jeune mère et de ses souhaits mais ils ne sont pas obligatoires :

  • un suivi à domicile par une sage-femme lors de la sortie de la maternité jusqu’au 12e jour de l’enfant par une sage-femme : ces séances sont prises en charge par l’Assurance Maladie à 100 %
  • 2 séances de suivi postnatal avec une sage-femme. Ces séances peuvent être réalisées, en cas de besoin, du 8e jour jusqu’à la 14e semaine après l’accouchement, au cabinet ou à domicile. Elles sont prises en charge par l’Assurance Maladie à 100 % jusqu’au 12e jour après la naissance et à 70 % au-delà
  • des séances de rééducation périnéale et abdominale, qui peuvent être prescrites après l’accouchement. Ces séances sont prises en charge à 100 % par l’Assurance Maladie.
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-> Si vous vous reconnaissez dans cet article, je vous recommande la psychopraticienne Léa Poujol. Mailez-lui ou appelez-la pour tout conseil de bien-être dont vous auriez besoin :
Tout finira par s’arranger 🙂

Pour eux, Noël est un cauchemar.

Ils sont « Noëlophobes ». Un néologisme évocateur pour désigner la peur de ce rituel de fin d’année plus connue sous le nom de « natalophobie ». Une peur, une angoisse même pour certains.

Explications et conseils pour rendre la fête plus digeste.

La vue de sapins, décorations de Noël et autres joyeusetés vous angoisse ?

Rien qu’à la pensée du réveillon du 24 vous êtes pris de sueurs froides ?

Vous êtes paralysé devant la liste interminable des cadeaux familiaux ?

Ne cherchez plus : vous êtes peut-être atteint de « natalophobie » une pathologie avérée et reconnue par les professionnels de santé mentale. « J’en rêve la nuit, raconte Lenda, 41 ans, professeure. Et si les cadeaux ne plaisaient pas ? Que faire à dîner ?  Mes beaux-parents seront-ils là ? Et si tout le monde réglait ses comptes ? Noël est un cauchemar. »

Pour certains, Noël est un moment si heureux qu’il est paradoxalement source de tristesse : la magie, le sacré, la joie les renvoient à la fadeur de l’existence le reste de l’année. Voire d’angoisse bien réelle. Mais, pour la grande majorité des “noëlophobes”, cette fête est anxiogène avant, pendant et après. Ce n’est toutefois pas une phobie au sens pathologique du terme puisqu’on ne constate pas de stratégies d’évitement.

« Je suis sous pression »

La pression collective est très forte. Elle exige un investissement, en termes de temps, d’argent, de réflexion, de préparation, qui vient nous toucher dans nos enjeux narcissiques (vais-je y arriver ?) et relationnels (comment les autres vont-ils me considérer ?). Si notre confiance en nous est fragile, les injonctions sociales et familiales de réussite finissent par nous déprimer. Et nous intégrons le fait qu’on ne badine pas avec Noël.

C’est le dernier rituel sacré. On ne peut pas y déroger, contrairement à Pâques ou aux anniversaires, qui ne font plus l’unanimité. Boycotter le réveillon? La transgression est trop dangereuse : on serait une mauvaise personne, presque un hérétique !

Noel, non« Je suis tiraillé par des conflits »

Noël, c’est aussi une succession de tiraillements intérieurs, sources de grande culpabilité.

Ce rituel d’appartenance permet de réaffirmer des liens. Et de se rassurer. Parce que nous avons une place et un rôle dans une famille, nous existons.

1- Seulement, notre société individualiste prône a contrario l’autonomie et la liberté. Premier conflit psychique.

2- La temporalité. Au moment des fêtes, on doit ralentir, prendre son temps et savoir attendre (les invités, la cérémonie, le repas, les cadeaux…). Or, pressés tout au long de l’année, soumis au culte de l’urgence, nous avons perdu l’habitude de décélérer. Deuxième conflit.

3- Et puis, il y a cette dichotomie entre le désir de l’individu, ses aspirations, son besoin de sens et le rouleau compresseur que peuvent représenter ces festivités. On offre ses cadeaux, on déguste la bûche. Mais… pour quoi faire, se demande-t-on intérieurement ? Troisième conflit.

« Je dois jouer le jeu »

Les retrouvailles familiales sont aussi ce moment dans l’année où nous revêtons notre plus beau « costume ». C’est la trêve imposée : on n’aborde pas les sujets qui fâchent.

Se forcer à sourire, à faire plaisir, cela crée un sentiment de frustration évident. Pour le bien du groupe, on est tenus de refouler des contenus psychiques parfois douloureux. Sois heureux et tais-toi. La “fête des enfants” nous renvoie justement à une posture d’enfant : nous campons un personnage (celle qui s’occupe de tout, celui qui n’est jamais content) et ne sommes plus nous-mêmes. Cette régression nous déséquilibre puisque nous trahissons l’adulte que nous sommes par ailleurs. Et si nous tentions de l’être, le 25 décembre prochain ?

Que faire ?

Changer ses habitudes
Essayez la légèreté, d’oser modifier vos habitudes. Vous n’êtes pas obligé de vous conformer au rituel. Ce n’est pas une question de vie ou de mort. Demandez-vous ce qui vous ferait vraiment plaisir cette année : un petit voyage, une soirée au théâtre ? Il s’agit de redonner du sens à la fête en s’éloignant du consumérisme. C’est une occasion de (re)tisser des liens agréables..

En parler avant
Rencontrer individuellement ses proches avant le jour J. Ces retrouvailles moins solennelles leur ôtent leur part d’étrangeté. Il conseille aussi d’oser parler pour éviter la frustration pendant les fêtes. Si vous n’approuvez pas les réflexions de tonton Georges, dites-lui que, selon vous, ce n’est pas le bon moment pour les exposer.

S’interroger sur soi
Noël vient questionner le rapport que l’on entretient avec sa  famille. Vous sentez-vous libre et autonome ? Ou enfermé dans les injonctions de vos proches ? Quelques séances chez un psy peuvent vous aider à mieux comprendre ce qui se joue en vous. Et ce qui s’est construit en termes de dynamique familiale. Certains endossent un rôle d’“enfant thérapeute” responsable de l’équilibre et de l’harmonie du groupe. Sur eux repose une grande pression, qu’il convient de déposer et partager.

La solution de Matthieu, 35 ans

« Sur les conseils de mon psy, à Noël, en 2013, j’ai dit non ! Je n’allais pas bien, trop de pression au bureau, des soucis dans mon couple. Surtout, j’étais épuisé physiquement. Ça a été difficile, mais j’ai décidé de partir trois jours seul, dans un petit gîte, sur la Manche. Juste pour voir. Voir comment réagissait ma famille. Voir aussi ce qui se passait en moi. Eh bien, ce Noël-là a été très enrichissant. Mes proches ont enfin compris que je n’étais plus ce petit garçon modèle à qui tout réussit. Et moi, j’ai enfin accepté de sortir du perfectionnisme et de prendre soin de moi. »

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Analysons ensemble l’impact du Covid sur la santé physique et le moral.

Votre regard sur le travail a-t-il changé ?

Avant la pandémie de Covid-19, beaucoup faisaient passer leur emploi avant les contraintes personnelles.

La valeur travail était essentielle. Ce n’est plus systématiquement le cas aujourd’hui.

On sent bien, sur le terrain, que la crise sanitaire a rebattu les cartes, comme cela arrive parfois lorsque des gens découvrent qu’ils sont atteints d’une maladie grave et qu’ils décident d’attacher plus d’importance à la famille, aux amis, au sport

Le télétravail a-t-il eu un impact sur votre santé ?

Lors des visites médicales, nous constatons fréquemment une prise de poids chez ceux qui pratiquent le télétravail. «Sitting is the new smoking», disent les Anglais pour exprimer l’idée que rester assis est aussi néfaste pour la santé que le tabagisme.

Cette sédentarité est un facteur de risque significatif en matière de maladies cardio-vasculaires, de cancers, ou encore de troubles anxio-dépressifs. C’est pourquoi l’importance de pratiquer idéalement une heure d’activité physique modérée par jour.

Etes-vous plus vulnérable au travail ?

Les troubles psychologiques ont explosé avec la crise du Covid.

Aujourd’hui, les salariés nous parlent un peu moins de la pandémie ; ils évoquent davantage leur crainte face aux nouvelles menaces (guerre en Ukraine, risque nucléaire, coût de l’énergie…). Des thématiques autrefois passées sous silence sont désormais abordées en consultation, comme celle de la violence faite aux femmes.

Les confinements, tout comme le télétravail, ont fait exploser, dans certains foyers, des situations délicates, lourdes à supporter sur le plan psychologique.

Les arrêts maladie sont-ils en hausse ?

Leur nombre est en augmentation continue depuis plusieurs années, notamment en ce qui concerne les arrêts maladie de longue durée. C’est problématique pour les entreprises. La cause de ces arrêts maladie peut être physique ou d’ordre psychologique, liée aux risques professionnels ou en lien avec la montée de l’anxiété et des cas de dépression.

La nouveauté, c’est que les gens n’hésitent plus à en parler: il y a en France une vraie dédramatisation du thème de la santé mentale. Les salariés sont beaucoup plus à l’écoute de leur santé.

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Le chagrin, et la souffrance font aussi parti de la condition humaine !

Ne vous faites pas piéger avec la psychologie positive : vouloir empêcher le chagrin d’apparaître et de durer, c’est impossible, c’est même toxique.

La seule personne qui peut vous dire « botte-toi les fesses » ou « fais ton deuil », c’est vous.

Il faudrait plutôt tenter de faire coexister le chagrin et le bonheur. Être capable, sans contester le négatif, de rester ouvert à ce qui ce qui nous fait du bien.

f.-duval-levesque, psychopraticien, hypnose, coach, mal-etre, anxiete, angoisse, addiction, traumatisme, peur, tabac, Soulage, souffrance, stress, burnout, pnl, teleseance, teleconsultation, avis, temoignage, reconversionComme le disait Claudel : « le bonheur n’est pas le but, mais le moyen de la vie. » Sans moments de bonheur, on ne peut pas y arriver.

Le juste rapport au chagrin, c’est d’éviter qu’il ne prenne totalement le pouvoir sur nous. Le problème inhérent à la tristesse, c’est notre rétractation sur elle, et la rupture avec le monde qui nous entoure : le bleu du ciel, le chant d’un oiseau, le rire de mes enfants ne vous fait plus de bien. Vous êtes pétrifié par ce que vous avez perdu, et le temps s’est arrêté dans l’infini de votre souffrance.

Consoler quelqu’un, c’est tenter de remettre la personne en mouvement : rentrer dans la pièce où elle s’est claquemuré, ouvrir les volets, faire entrer un peu de lumière…

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Couple : 5 étapes pour se séparer avec bienveillance

Lors d’une rupture, décider que “ça va bien se passer” ne suffit pas.

Voici les caps à dépasser pour sortir – relativement – positivement de votre épreuve.

1. Transformer vos émotions destructrices en forces positives

Même si c’est vous qui avez pris la décision de partir, une rupture provoque un tsunami émotionnel.

Il s’agit d’abord de comprendre que ce trauma est lié à votre biologie, de l’évaluer, et de vous créer un « sanctuaire intérieur » pour retrouver un sentiment de sécurité. Auto-hypnose, apprentissage de votre « grammaire émotionnelle » sont particulièrement bénéfiques à ce stade, où il s’agit essentiellement de prendre soin de vous.

Alors les tourments les plus dévastateurs peuvent devenir de puissants moteurs de transformation.

2. Assumer votre part de responsabilité dans ce qui s’est passé

C’est l’étape du tri.

Il s’agit d’abandonner votre statut de victime, en cessant de vous concentrer sur ce que l’autre a mal fait – ou n’a pas fait –. En repérant à quel moment vous avez également commis des erreurs, manipulé, etc. Alors, seulement, vous pourrez faire amende honorable envers vous-même.

Écrire un journal, reconnaître et lister les compétences que vous avez délaissées dans cette histoire y aident particulièrement.

3. Identifier vos croyances de base sur l’amour, et vos valeurs

Un père autoritaire décidant pour tous dans la maison, des parents se déchirant sans cesse…

Chacun porte en lui, à son insu, des représentations inconscientes qui influencent sa définition du couple. Et, souvent, la déception ressentie lors d’une rupture réactive l’histoire de cette « fracture » d’origine. C’est l’heure de l’identifier précisément (par exemple : « Je ne mérite pas vraiment l’amour. Les hommes me quittent si je ne m’efforce pas de leur faire plaisir en permanence »), afin d’en débarrasser votre moi présent… et adulte.

F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, tabac, phobie, souffrance, stress, burnout, PNL, téléséance, téléconsultation, avis, témoignage (2)

4. Honorer votre histoire passée, pour vous projeter dans une nouvelle relation avec votre ex-partenaire

Cette étape est véritablement « alchimique ».

Il ne s’agit pas de rejeter ce qui s’est passé dans votre histoire d’amour, mais de décider au contraire de l’honorer et de le protéger. Ce qui demandera détermination et discipline, à un moment où vous aurez plutôt envie de dévaloriser l’amour perdu.

Cette attitude permet pourtant de détourner enfin votre attention du passé pour vous projeter dans un avenir constructif. Alors vous pourrez, ensemble, définir ce que doit être la nouvelle forme de votre relation : se voir avec, sans les enfants ? Où ? Combien de fois par mois ?, etc.

5. Passer de nouveaux contrats, et faire une cérémonie de séparation

C’est l’heure de lâcher vos anciennes attentes qui vous liaient à votre partenaire (« Tu seras mon roc »…)

Pour les remplacer par celles qui correspondent à votre situation actuelle (« Tu seras toujours le père de mes enfants » ou « Tu feras toujours partie de ma famille élargie »). Faire une cérémonie de séparation peut aider : votre nouvelle relation sera présentée à la communauté de vos amis, familles, et ainsi, témoignant du respect que l’un comme l’autre vous vous portez, elle prendra de la valeur aux yeux de tous.

Bonus : je vous recommande « The Split », série télévisée anglaise en trois saisons, de Abi Morgan

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Quels sont les impacts du changement d’heure sur votre organisme ?

C’est un rituel depuis 1976 en France.

Au printemps, nous passons à l’heure d’été, l’horloge est avancée d’une heure.

En automne, nous passons à l’heure d’hiver, l’horloge est alors retardée d’une heure.

Mais quels sont les impacts de ce décalage d’horaire sur votre organisme, votre énergie et votre sommeil ?

Changer d’heure : un contre-sens chronobiologique pour l’heure d’été

Il faudrait supprimer le changement d’heure pour ne garder que l’heure d’hiver.

L’idée est d’avoir un rythme biologique qui suit l’heure solaire. A l’heure d’été, nous avons deux heures de décalage par rapport au soleil. C’est plus sympathique pour avoir des soirées ensoleillées le plus longtemps possible, mais pour la santé et l’énergie, l’heure d’hiver est bien plus indiquée.

Mais cette histoire de changement d’heure n’est en réalité qu’un détail de la non-concordance entre nos rythmes de vie et notre rythme biologique.

Idéalement, c’est toute notre organisation sociale qui serait à revoir si nous souhaitions respecter notre rythme biologique. En effet, depuis l’aube de l’humanité nous sommes conditionnés pour travailler plus l’été, afin d’effectuer les moissons, les vendanges, faire des stocks de vivres pour l’hiver, période à laquelle nous nous reposions.

Aujourd’hui, nous faisons totalement l’inverse avec un pic d’activité lors des mois d’hiver et un long repos estival.

Heure d’été, heure d’hiver : un impact mesuré sur la santé

Quid de notre santé, notamment en termes de temps de sommeil, sur la question du changement d’heure ?

Au niveau de l’heure d’hiver, il n’y a pas de réduction du temps de sommeil donc il n’y a pas beaucoup de conséquences sur notre santé. En revanche à l’heure d’été, nous perdons une heure de temps de repos ce qui est assez important et peut provoquer des baisses d’énergie dans la journée, des tendances à la somnolence…

Mais ce manque de sommeil est rattrapé plus ou moins facilement sur la durée selon les individus.

En réalité, si nous vivons parfois difficilement le passage à l’heure d’hiver, c’est surtout à cause du manque d’ensoleillement qui peut provoquer une déprime saisonnière.

Le passage à l’heure d’hiver coïncide avec une diminution de l’ensoleillement. Ainsi, il faut se coucher plus tôt pour se lever plus tôt et profiter au maximum du soleil. Pour les personnes qui auraient de longues amplitudes de travail – qui commencent le matin alors que le soleil n’est pas levé et terminent à la nuit tombée – il faut s’obliger à sortir un maximum sur le temps de midi pour profiter des rayons du soleil.

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Et vous, ça va ?

C’est l’un des constats les plus marquants de la dernière étude Malakoff Humanis sur l’absentéisme au travail : la santé mentale des salariés se dégrade très nettement.

Alors qu’ils ne concernaient « que » 11% des absences en 2016, les « troubles psychologiques » représentent aujourd’hui 20% des arrêts maladie en France soit la 2e cause d’absentéisme (et même la 1ère pour les arrêts longs) derrière les « maladies ordinaires ».

Mais pour la 1ère fois devant les « troubles musculo-squelettiques ». 

Parmi les salariés les plus touchés, on retrouve :

  • les managers (22% des arrêts concernent un motif psychologique)
  • les femmes (24%)
  • ceux évoluant dans le secteur de la santé (25%)
  • et les personnes élevant seules leurs enfants (38%).

    Là aussi, il serait temps d’en parler !

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