solitude


Burnout : 7 signes qui l’annoncent.

Au cours d’une carrière professionnelle, il peut arriver que certaines personnes soient à bout.

On parle d’épuisement professionnel, plus communément appelé « burnout ». Heureusement, cet épisode passager peut être prédit et donc évité.

Burnout : y a-t-il des facteurs de risque ?

Oui. Plusieurs facteurs peuvent favoriser l’apparition d’un burnout.

Par exemple : une forte charge de travail, une imprécision dans les missions, des objectifs à atteindre hors de portée, des relations interpersonnelles dans le cadre professionnel conflictuelles ou encore l’insécurité de l’emploi.

Épuisement professionnel : n’ignorez pas ces 7 indicateurs

1 – Des insomnies

Avoir des insomnies de façon répétée peut révéler un burnout. Il peut s’agir de difficultés à rester endormi ou bien à s’endormir.

2 – Des inconforts physiques

Comme des maux de tête à répétition ou bien des douleurs musculaires. Les migraines peuvent également être un symptôme.

3 – Des problèmes gastro-intestinaux

Nausée, constipation et diarrhée peuvent être des signes révélateurs. Les maux d’estomac sont par ailleurs fréquents.

4 – Un détachement, une indifférence

Une personne qui souffre d’épuisement professionnel peut être détachée ou avoir des attitudes négatives envers ses collègues et ses tâches. Ce qui peut avoir un impact sur le travail en équipe.

5 – Une attention réduite

Le brouillard cérébral, sensation que les pensées sont au ralenti, est souvent constaté.

6 – Une diminution du sentiment d’accomplissement

Une personne en situation de burnout est démotivée de manière générale dans son travail. Alors, elle peut avoir l’impression que ses efforts ne font pas de différence. Et aussi une absence de sens dans le travail.

7 – Un isolement

Il est fréquent que la personne concernée s’éloigne de ses amis et de sa famille.
.
-> Réservez un rdv en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.) ou à mon cabinet toulousain, ou à votre domicile. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ».
Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

To detox or not to detox : je brise les idées reçues sur la déconnexion numérique.

Sommes-nous tous accros aux écrans et aux réseaux sociaux ?

La question est complexe, et ma réponse n’est pas binaire.

D’un côté, il est indéniable que l’usage des technologies numériques a explosé ces dernières années.

De l’autre, les effets de cette hyperconnexion sur notre santé mentale et physique font l’objet de nombreux débats et d’études scientifiques parfois contradictoires (je vous mets en notes, à la fin de l’article, les références).

Détox numérique : miracle ou mirage ?

Faut-il vous lancer tête baissée dans une « digital détox » pour améliorer votre bien-être ?

Là encore, ma réponse n’est pas universelle.

Si l’idée de se déconnecter temporairement des écrans peut sembler séduisante, il est important de comprendre que les effets d’une telle démarche varient grandement d’une personne à l’autre.

Pourquoi les études scientifiques sur la déconnexion numérique ne parviennent-elles pas à un consensus clair ?

D’abord, parce que la notion d’écran est trop vague. Un film inspirant n’aura pas le même impact qu’une session de scrolling frénétique sur les réseaux sociaux.

De plus, chaque individu est unique et réagit différemment à l’usage des technologies. Ce qui est bénéfique pour l’un peut être néfaste pour l’autre.

Méfions-nous des moyennes !

C’est un principe fondamental à garder à l’esprit lorsqu’on s’intéresse aux effets de la technologie sur le bien-être. En effet, les études scientifiques analysent souvent des données groupées, ce qui peut masquer des réalités individuelles très différentes.

Alors, que faire ?

Plutôt que de se focaliser sur des solutions miracles comme la « digital détox », il est important que vous adoptiez une approche individualisée et réfléchie.

Devez-vous vraiment vous déconnecter

pour vous reconnecter ?

Voici 6 pistes pour vous aider à y voir plus clair :

  1. Prenez conscience de vos usages. Observez votre comportement face aux écrans. Quels contenus consommez-vous ? Quel temps passez-vous sur chaque plateforme ? Ressentez-vous une dépendance ou un sentiment de bien-être après une utilisation prolongée ?
  2. Identifiez vos besoins. Qu’est-ce que vous recherchez en vous déconnectant ? Est-ce pour réduire votre stress, améliorer votre sommeil, ou simplement vous reconnecter à votre entourage ?
  3. Définissez des objectifs clairs et réalistes. Fixez-vous des limites de temps d’écran ou planifiez des périodes de déconnexion régulières. Commencez par de petits pas et augmentez progressivement la durée de vos pauses numériques.
  4. Explorez des alternatives. Il existe de nombreuses façons de se détendre et de se reconnecter à soi-même sans nécessairement se couper du monde numérique. La lecture, la méditation, le sport ou encore les activités en plein air peuvent être des alternatives bénéfiques.
  5. Soyez patient, et à l’écoute de vous-même. Changer ses habitudes prend du temps. N’hésitez pas à ajuster votre approche en fonction de vos ressentis et des résultats observés.
  6. N’oubliez pas : la technologie est un outil puissant qui peut être utilisé à bon ou à mauvais escient. La clé réside dans une utilisation responsable et consciente, adaptée à vos besoins et à votre personnalité.

Dites-moi ce que vous pensez de mes 6 conseils.

Ma conclusion : il n’y a pas de réponse universelle à la question de la « digital détox ».

Si l’absence d’écran vous cause un manque, voire une souffrance, vous êtes accro. L’important est de trouver un équilibre sain et personnel entre le temps passé en ligne et le reste de votre vie.

Et si la meilleure « digital detox » était celle que vous inventez ?

Soyez acteur de votre bien-être numérique.

N.B.:

https://prod3.jmir.org/2023/1/e44922

https://www.elle.fr/Loisirs/Sorties/hotels/Quels-hotels-digital-detox-pour-vraiment-decrocher

https://link.springer.com/article/10.1007/s41347-020-00189-w

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2352853221000286?via%3Dihub

https://journals.sagepub.com/doi/pdf/10.1177/20501579211028647

https://www.lemonde.fr/pixels/article/2024/03/23/les-patrons-de-la-tech-qui-ne-mettent-pas-leurs-enfants-devant-des-ecrans-une-legende-urbaine_6223674_4408996.html

.

-> Réservez un rdv en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.) ou à mon cabinet toulousain. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ».
Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

Vous savez, il n’y a rien de mal à être quelqu’un qui parle peu.

Ce n’est pas parce que vous n’aimez pas le small talk ou que vous ne faites pas semblant que vous êtes timide.

Vous êtes simplement introverti, et c’est une qualité.

Vous avez votre propre façon de penser, de ressentir et de communiquer.

Vous n’avez pas besoin de parler pour le plaisir de parler, vous préférez exprimer ce qui compte vraiment pour vous.

Vous avez aussi votre propre rythme énergétique. Les conversations peuvent vous fatiguer plus vite que les autres, et vous avez besoin de moments de solitude pour vous ressourcer. C’est normal, et vous avez le droit de respecter vos besoins.

Il est important de reconnaître et de respecter nos propres limites, ainsi que celles des autres. Chacun a sa propre manière de fonctionner, et c’est cette diversité qui rend le monde si intéressant !

Ne laissez pas les autres vous faire croire que vous êtes mal à l’aise ou que vous avez peur ! Vous êtes juste différent, et c’est une richesse.

Le monde a besoin de diversité, de personnes qui savent écouter, réfléchir et créer.

Soyez fier de qui vous êtes, et ne vous sentez pas coupable de vos choix.

Vous n’êtes pas timide, vous êtes introverti, et c’est une force.

Le pouvoir des introvertis dans un monde trop bavard, n’est-ce pas ?

Aux recruteurs à l’ancienne, qui vous demandent d’énumérer vos qualités et vos défauts, certains conseillent parfois de répondre, faussement coupable : « je suis perfectionniste ».

Pourtant, le perfectionnisme n’est ni une blague, ni un atout.

C’est même un sérieux problème, explique Thomas Curran, de la London School of Economics :

Car les perfectionnistes ne réussissent pas mieux.

Comme ils en font trop, leur travail supplémentaire a un rendement décroissant, voire négatif !

Ensuite, les perfectionnistes s’auto-sabotent :

Par peur panique de l’échec, quand le boulot devient difficile, ils ont tendance à le fuir ou à le remettre à plus tard ; ce qui, bien sûr, n’arrange rien.

Et surtout, leur sentiment permanent de ne pas être à la hauteur de leurs propres attentes (anxiété) les mine, au risque du burnout.

Pour sortir du « piège de la perfection », il ne suffit pas, comme on vous le répète toujours, de se fixer des objectifs plus réalistes. Je pense qu’il faut plutôt se faire à l’idée que, de temps en temps, même les meilleur(e)s se plantent.

Car ils sont, tout simplement, humains.

En effet, la poursuite de la perfection peut devenir une obsession dangereuse qui conduit à l’épuisement et à la dépression.

Aujourd’hui, le burn-out et la dépression sont à des niveaux records, causés par :

  • la combinaison d’une concurrence intense sur le lieu de travail
  • de médias sociaux omniprésents
  • et d’oppression croissante encourageant les comparaisons avec d’autres
  • la recherche de références d’élite
  • et la parentalité par hélicoptère.

Ne pensez-vous pas que la société diffuse continuellement le besoin de vouloir plus, et d’être parfait ?

.
-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ».
Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

Je vous donne ces 7 conseils, fruits de mon expérience à mon cabinet;

Oui, vous pouvez guérir de votre addiction.

Même si elle dure depuis des années. Même si vous en souffrez en silence.

Exemple de guérison ? Celle de l’actrice-chanteuse Demi Lovato.

Artiste adulée, elle a partagé son combat contre la boulimie. Inspirant ainsi des millions de personnes à briser le silence et à cheminer vers la guérison.

Son parcours, illustré par des photos avant / après saisissantes, avec un message d’espoir, montre que la victoire sur la boulimie alimentaire (TCA) est possible.

La psychothérapie s’avère un outil crucial pour vaincre l’addiction. En s’attaquant aux racines profondes du problème, elle offre une transformation durable et complète.

Une cliente guérie m’a dit, récemment, « j’ai fait la paix avec moi-même ».

Voici 7 clés pour vous en sortir :

1. Comprenez les mécanismes de votre addiction

Explorez les ressorts psychologiques qui vous poussent à manger compulsivement. Par exemple, identifiez les émotions difficiles que vous tentez de combler par la nourriture : solitude, ennui, peur, rejet, abandon, etc.

2. Développez une relation saine avec la nourriture

Apprenez à écouter les signaux de faim, et de satiété, de votre corps. Découvrez le plaisir de manger en pleine conscience, sans culpabilité, ni jugement.

3. Apprenez à gérer vos émotions difficiles

Connaissez des outils pour gérer votre stress, votre anxiété, votre tristesse, etc. de manière saine et constructive. Développez des stratégies alternatives à la boulimie (et/ou l’hyperphagie) pour une bonne santé durable.

4. Améliorez votre estime de soi

Renforcez votre confiance en soi et une juste et bonne image corporelle. Apprenez à vous aimer et à vous respecter, au-delà des diktats de la société. Sachez dire non !

5. Développez des relations saines

Entourez-vous d’un réseau de soutien positif et bienveillant. Découvrez comment communiquer ouvertement sur vos ressentis et vos besoins.

6. Apprenez à gérer les rechutes

Comprenez que les rechutes font partie du processus de guérison. Mettez en place des stratégies pour les prévenir. Et les gérer de manière constructive.

7. Fixez-vous des objectifs réalistes

Je vous aiderai aussi comment avoir des objectifs clairs et atteignables pour votre guérison. Vous célèbrerez chaque victoire, si petite soit-elle.

N’oubliez pas, vous n’êtes pas seul(e) !

.

Version courte de mon article 😉

-> Ce trouble du comportement alimentaire est un défi complexe, et la guérison est possible. En vous engageant dans une psychothérapie sérieuse, avec un psy compétent, en vous appuyant sur un réseau de soutien solide, vous retrouverez une relation saine avec la nourriture, et vous vous sentirez plus heureux.

N’attendez plus, franchissez le pas vers la liberté et le bien-être !

Voici d’autres informations complémentaires :

  • Le documentaire « Simply Complicated » de Demi Lovato est disponible sur YouTube
  • Ligne d’écoute téléphonique nationale pour les troubles alimentaires : 0 800 05 05 01

N’hésitez pas à partager ce message avec toute personne concernée par l’addiction alimentaire.

Ensemble, brisons le silence de cette maladie, et ouvrons la voie vers la guérison !

.
-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ».
Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

 

Vous avez peur ?

Vous ne savez pas quoi faire ?

Vous êtes une femme et vous êtes victime de violences ?

Vous n’êtes pas seule.

Le 3919, Violences Femmes Info, est là pour vous écouter.

Dans un cadre calme et apaisant, des écoutantes sont prêtes à vous accueillir. Elles sont formées pour vous écouter, vous soutenir et vous informer.

Elles vous diront que vous n’êtes pas seule. Que la loi vous protège. Qu’il existe des solutions.

Elles vous aideront à prendre la décision qui est la meilleure pour vous, et vos enfants.

Les écoutantes du 3919 sont là pour vous, sans jugement, sans reproche.

Elles sont là pour vous aider à retrouver votre liberté

Si vous êtes victime de violences, n’hésitez pas à appeler le 3919. C’est un numéro gratuit et anonyme, accessible 24h/24 et 7j/7.

Vous n’êtes pas seule.

Appelez le 3919.

.
-> Les séances se font en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.) ou à mon cabinet toulousain, ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ».
Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

Je vais vous donner 5 signes qui peuvent indiquer que votre relation est abusive.

Une relation abusive, qu’est-ce que c’est ?

C’est une relation où une personne utilise la violence, la manipulation, le contrôle ou le chantage pour dominer sa (son) partenaire.

Voici quelques signes qui doivent alerter :

  • Votre partenaire vous ignore, vous humilie ou vous rabaisse régulièrement
  • Votre partenaire vous fait du chantage, vous menace ou vous force à faire quelque chose que vous ne voulez pas faire
  • Votre partenaire est jaloux, possessif ou vous empêche de voir vos amis, votre famille ou de faire vos activités
  • Votre partenaire surveille vos déplacements, vos appels, vos messages ou votre façon de vous habiller
  • Votre partenaire vous frappe, vous blesse ou vous agresse sexuellement.

Si vous reconnaissez ces signes dans votre relation, sachez que vous n’êtes pas seul(e) et que vous pouvez trouver de l’aide.

Vous pouvez appeler le 3919, un numéro gratuit et anonyme qui vous écoute, vous conseille et vous oriente vers des structures adaptées.

Vous pouvez aussi consulter le site En avant toute(s), une association qui lutte contre les violences faites aux femmes et qui propose un chat en ligne avec des professionnel(le)s.

N’hésitez pas à parler de votre situation à une personne de confiance ou à un psy.

Pour vous protéger, et vous sentir soutenu.

Vous avez le droit de vivre une relation saine, respectueuse et épanouissante ; je vous le garantis.

.
-> Les séances se font en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.) ou à mon cabinet toulousain, ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ».
Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

Je me suis souvent posé cette question.

Fatigué ou burnouté ?

Alors je me suis dit :

Comment faire la différence entre un burn-out et une simple fatigue ?

Le burn-out est caractérisé par une :

  • baisse de motivation
  • des attitudes négatives envers soi-même et les autres
  • des troubles du sommeil
  • des problèmes de concentration
  • du stress
  • des douleurs physiques
  • ou encore une fatigue intense, qui perdure malgré le repos.

Il comporte trois composantes :

  1. l’épuisement émotionnel
  2. la dépersonnalisation
  3. et la diminution des performances au travail.

La fatigue normale, elle, disparaît généralement après un jour de repos ou une nuit bien reposée.

.
-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

Si vous êtes pressé, voici mon résumé :

L’anxiété peut s’installer dans la durée, et montrer ses symptômes à des moments anodins.

L’anxiété peut s’installer dans la durée, et montrer ses symptômes à des moments anodins.

Pour certains anxieux, la rentrée est un moment-clé propre à la hausse de l’anxiété, et notamment de l’anxiété qualifiée d’anticipatoire (l’avenir qui est contaminé par des pensées catastrophiques). Elle affecte les écoliers, les étudiants et… et leurs parents. Cette forme d’anxiété est liée à des pensées catastrophistes sur le futur et peut être déclenchée par la rupture des vacances et la reprise de la routine. Des pressions parentales et professorales peuvent également jouer un rôle.

La rentrée peut rappeler de lointains souvenirs pour les anxieux, qui ont probablement vécu des périodes de stress à ces moments-clés lorsqu’ils étaient eux-mêmes ados ou enfants.

Face à l’anxiété anticipatoire, il existe plusieurs solutions possibles : comme se concentrer sur le moment présent, faire des exercices de respiration, de relaxation ou de méditation, faire du sport, voir un psy ponctuellement, etc.

L’anxiété anticipatoire, c’est votre futur qui est contaminé par des pensées catastrophistes.

Et vous vous sentez mal !

« Lors de l’été entre la seconde et la première, j’ai commencé à développer une impossibilité à me nourrir qui s’est étendue à une peur de sortir de chez moi, se remémore une cliente. Je ne mangeais rien ou très peu. Je vomissais de la bile, j’avais constamment des maux de ventre très intenses que je n’arrivais pas à différencier entre la sensation de faim et la peur de vomir. » Au-delà de ces signes physiques, l’adolescente est terrorisée d’aller chez le médecin et redoute le retour à l’école.

Quelques semaines plus tard, elle apprend que ses symptômes sont dûs à son anxiété. « Beaucoup de pensées m’assaillaient lors de cet été, se souvient-elle. Étant une très bonne élève qui ne voulait pas redoubler, j’étais d’autant plus paniquée. Je ne pouvais pas me permettre de louper une année, je voulais tout réussir, ne connaître aucun échec académique. »

L’anxiété anticipatoire, qui correspond à beaucoup d’anxieux, c’est lorsque l’on va projeter des choses sur le futur. On va imaginer des scénarios, ces scénarios vont nous faire peur, on va être anxieux et on va avoir une vision catastrophique.

Durant les études, la rentrée de septembre est riche en symboles. Elle marque le début d’une année qui se conclura par une réussite ou un échec. La fin de l’été est donc marquée par une fracture. C’est aussi pour cette raison que ma cliente, désormais en études supérieures, redoute sa dernière année, signe d’une entrée imminente sur le marché du travail.

Avant d’être adulte et de travailler, les anxieux ont probablement vécu des périodes de stress à ces moments-clés lorsqu’ils étaient eux-mêmes ados ou enfants. Leur corps recrée des symptômes. Il faut du temps, et un travail en étant accompagné par un psy, afin que le corps puisse quitter cette forme de conditionnement mis en place par l’école durant tout le début de notre vie.

Quelle solution vous conviendrait ?

La première consiste à vous détacher des scénarios imaginaires. Au lieu de faire des films sur le futur, ramenez votre attention sur le moment présent. Dès que vous constatez que votre cerveau est en train de partir sur des faits qui ne sont pas encore là, concentrez-vous sur ce qui se passe là, tout de suite. Pour y parvenir, je vous recommande d’essayer l’exercice des cinq sens : prenez dans votre main un élément présent, et de analysez-le avec vos cinq sens. Quelle sensation procure-t-il sous vos doigts ? A-t-il une odeur ? Fait-il du bruit ? S’il se mange, quel goût a-t-il ? La méthode permet de vous réancrer dans votre moment présent et de revenir dans votre corps, plutôt que dans votre tête.

Les exercices de respiration, la relaxation, la méditation ou le sport peuvent aussi vous aider. À la rentrée, ne négligez pas non plus la baisse progressive de la luminosité. Alors ne vous enfermez pas, sortez, et ouvrez vos fenêtres.

Pourriez-vous anticiper l’anticipation ?

Pour certaines personnes, le fait d’anticiper et de prévoir les choses en amont va avoir un côté très rassurant. Remettre un cadre de routine leur permet de retrouver une stabilité. Pour d’autres personnalités, cela peut amplifier l’anxiété anticipatoire.

C’est le cas des perfectionnistes qui ont souvent des difficultés avec le lâcher prise (je le vois bien en hypnose). Si vous êtes dans ce cas, je vous conseille de vous concentrer sur vos vacances, et ce que vous avez ressenti, pour vous recentrer et laisser les choses arriver.

.
-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, phobie, souffrance, stress, burnout, PNL, téléséance, téléconsultation, avis, témoignageParler en public

« La PNL m’a aidée à surmonter ma peur de parler en public.

Avant, chaque fois que je devais prendre la parole devant un groupe, j’étais prise de panique. Grâce à des techniques de PNL, j’ai pu reprogrammer mes réactions automatiques et développer un état d’esprit positif et confiant.

Maintenant, je peux donner des présentations avec assurance et sans stress. »

Alice

.
 
-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

Page suivante »