liberté


Ne cherchez pas votre vocation, mais des buts utiles !

Comme je l’ai écrit dans l’article datée du 26/03/2023, les biais cognitifs sont à l’œuvre, mais ce n’est pas pour autant qu’il n’est pas judicieux de suivre l’élan de son cœur et chercher sa vocation :

exercer un métier avec passion et enthousiasme,

être mû par une motivation intrinsèque sans faille,

qui n’en rêve pas ?

De fait, une étude portant sur environ 5 000 cadres et employés portant sur leur activité professionnelle révèle que la passion au travail est un élément clé pour en retirer de la satisfaction.

Jusque-là, rien d’étonnant.

Mais l’étude aborde une autre dimension capitale : l’impression que notre travail compte, c’est-à-dire qu’il remplit un but utile. L’inverse de la plainte récurrente lors de certaines activités : à quoi ça sert ?

Les auteurs, le professeur Morten Hansen et son équipe à l’université de Berkeley, ont produit un classement des performances de ces salariés, telles qu’évaluées par leurs supérieurs. Sans surprise, les employés cotant haut sur les échelles de passion et d’utilité occupent le haut de la distribution (ils ont de meilleures performances que 80 % de leurs collègues), alors que ceux qui ne trouvent ni intérêt ni plaisir à leur tâche sont relégués au bas du classement (ils sont parmi les moins performants).

Les buts utiles se cultivent tout au long d’une carrière, et ceci dans tous les secteurs professionnels, quels qu’ils soient.

Le résultat novateur provient des deux cas croisés : qu’en est-il des travailleurs qui ne trouvent pas de plaisir à leurs tâches, mais y voient une réelle utilité ?

Sont-ils mieux classés que ceux qui travaillent avec passion, mais sans y déceler de finalité ?

Le verdict est sans appel, puisque les employés passionnés par leurs tâches mais qui n’y perçoivent pas une grande utilité se situent aux alentours dans le premier quart inférieur, alors que ceux qui n’y prennent que peu de plaisir mais y voient une vraie utilité s’élèvent au-dessus du tiers supérieur.

La conclusion semble claire, le but l’emporte sur la passion.

On est meilleur dans ce qu’on fait, lorsqu’on sait que cela sert à quelque chose,

plutôt que lorsqu’on aime cela.

Trouver un sens plus que du plaisir…

Un tel résultat se laisse également mettre en évidence lors d’études de terrain.

C’est ainsi que, dans une étude réalisée par Adam Grant à l’université de Caroline du Nord en 2008, des maîtres-nageurs ont été soumis à des textes mettant en évidence, pour un premier groupe, les belles émotions et les profits qu’ils pouvaient tirer de leurs compétences dans leur vie personnelle et, pour le second, l’utilité pour le sauvetage de baigneurs. Suite à cette manipulation, les membres du deuxième groupe se sont portés volontaires pour 43 % d’heures de travail supplémentaires les semaines suivantes.

Se sentir utile, cela compte et cela motive, apparemment plus que le seul plaisir.

Ainsi, chercher à tout prix sa vocation ne semble pas un conseil forcément judicieux à donner aux jeunes diplômés.

Ni viser essentiellement la passion pour son futur métier, à savoir l’exercer avec force émotions agréables et sentiments de réalisation personnelle.

Car encore faut-il trouver cette vocation, à supposer qu’elle existe bel et bien.

En revanche, les buts utiles se cultivent tout au long d’une carrière, et ceci dans tous les secteurs professionnels, quels qu’ils soient.

Comme le montre l’étude du professeur Hansen, le sentiment d’utilité n’est pas réservé aux seuls milieux des soins ou des enseignants. Et il donne la force d’avancer, de continuer et de se réaliser. En effet, il nourrit une forte motivation intrinsèque, elle-même associée au bien-être général.

Et vous, vous sentez-vous utile dans votre travail ?

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Léa Poujol - Hypnose & Thérapie

Le syndrome de l’imposteur est un sentiment auto-entretenu d’incompétence et de doute en sa personne, en ses compétences et en ses capacité. Cette tendance psychologique de doute et de remise en question permanente persiste malgré les succès.

Ce sentiment de ne pas être à sa place, de ne pas mériter sa place, résulte d’un conflit entre la perception que l’on se fait des autres et la façon dont on se perçoit soi-même.

La personne sujette au « syndrome de l’imposteur » vit dans la crainte d’être « démasquée », que les autres personnes s’aperçoivent qu’elle n’est si compétente qu’ils le croyaient. 

Les conséquences peuvent être différentes chez les personnes concernées:

  • elles peuvent se réfugier dans un travail acharné et, à vouloir atteindre la perfection, elles s’épuisent à la tâche pour se prouver qu’elles méritent leurs succès (risque de burnout). Ces constants efforts de surpassement de soi renforcent le sentiment d’incompétence de départ…

Voir l’article original 175 mots de plus

Duval-Levesque, psy, emerveillement, sagesse, beauté, changement, hypnose profonde

« La sagesse

commence dans l’émerveillement »

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Socrate

Et s’il était temps pour vous de quitter votre poste, voire même de changer de voie ?

« Ce n’est pas le bon moment

Je ne trouverai jamais mieux

C’est la crise

Mon job n’est pas si mal que ça », etc.

Les excuses pour ne pas quitter votre job, qui ne vous plaît plus, ne manquent pas, j’en suis convaincu.

Pour beaucoup, l’aspiration au changement restera un doux fantasme.

Si vous ressentez des frustrations, si vos besoins ne sont plus comblés, prenez le temps de la réflexion. Cela ne sera jamais du temps perdu.

Attention ! Le changement n’a pas besoin d’être radical pour que vous vous sentiez mieux. Il peut s’agir de changer d’entreprise ou de secteur, de développer une deuxième activité, etc.

Voici les 7 signaux qui doivent vous faire réfléchir.

Le 8ème, c’est le vôtre.

1/ Vous êtes de moins en moins motivé

La baisse d’enthousiasme est un vrai signal.

Au quotidien, cela peut se traduire par de l’ennui, un manque d’envie et d’énergie. Passer son temps à regarder sa montre, surfer sur Internet comme on errerait dans la rue, rallonger ses pauses, mettre une heure à boucler un dossier qui ne demandait que quinze minutes…

Le bore-out peut vite être source de souffrances et devenir aussi mauvais pour la santé que le burn-out.

2/ Vous n’êtes pas satisfait de vos relations de travail

Votre job peut vous passionner, mais si vous n’êtes pas ou plus en phase avec vos collègues et/ou vos supérieurs, il se peut que cela vous mine considérablement.

Pour reprendre la pyramide de Maslow, le besoin d’appartenance révèle la dimension sociale de l’individu. On a tous besoin de se sentir accepté par les groupes dans lesquels on évolue, notamment au travail. On se définit aussi par rapport à ces relations. Ainsi, quand vous ne vous reconnaissez plus dans la culture véhiculée par votre entreprise, par les valeurs de votre hiérarchie ou que vous ne vous ressentez plus reconnu par le groupe, il est temps d’aller voir ailleurs !

Une entreprise plus familiale ? Un grand groupe ? Une start-up ? Il y a 1001 manières d’exercer le même poste, à vous de voguer vers une ambiance qui vous conviendra davantage.

3/ Les maux du corps

Boule au ventre, sommeil altéré, palpitations sur le trajet… Lorsque votre corps commence à envoyer des signaux d’alerte, aussi légers soient-ils, il est opportun de prendre du recul. De commencer à faire le point, afin d’identifier s’il s’agit d’un malaise passager ou d’une crise plus profonde nécessitant un changement de job, voire de voie.

Si dès le dimanche soir ou lundi matin, vous ressentez un début de stress, ce n’est pas bon signe. La limite intervient lorsque le corps « parle », et appelle au changement. A partir du moment où vous commencez à somatiser, quand vous en avez plein le dos, quand vous ne « digérez » plus ce que vous faites… jusqu’au burnout, il est plus que temps de bifurquer vers un autre chemin, plus en accord avec vos valeurs.

F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, tabac, phobie, souffrance, stress, burnout, téléséance, téléconsultation, avis, témoignage4/ Vous vous dites que votre travail manque de sens

Vous pouvez avoir une situation professionnelle très confortable, enviée par beaucoup, mais qui au final, ne remplit pas votre besoin de vous accomplir.

Sortez d’une condition purement matérielle pour atteindre votre épanouissement.

C’est ainsi que Marie Treppoz, directrice marketing dans un groupe du Cac 40 a quitté son poste pour donner plus de sens à son travail. Afin de se sentir davantage utile, elle a fondé Welp, un site d’entraide gratuit entre particuliers.

5/ Les gens bien dans leur job vous énervent

Pierre gravit les échelons dans son entreprise, Annabelle vante la bonne entente avec ses collègues, Stéphane et Inès sont ravis de leurs nouvelles missions… Et vous, leur bonheur vous pèse !

L’aigreur, voire la jalousie, envers les proches heureux au travail sont des signaux fréquemment rencontrés chez les insatisfaits au travail. Ils témoignent d’une frustration ou d’un mal-être par un effet miroir.

6/ Vous attendez les jours off avec une attente démesurée

Combien de jours vous reste-t-il à « tenir » avant vos prochains congés ?

Si vous vous posez régulièrement cette question, ce n’est peut-être pas anodin… Une cliente que j’accompagne me disait en ces termes : « J’attends les week-ends et les vacances pour avoir vraiment l’impression de vivre ». S’il est évident que presque tout le monde attend les jours de repos avec impatience, les attendre de façon démesurée en ayant l’impression de mettre sa vie entre parenthèse les jours de travail, témoigne d’un véritable problème.

7/Une petite voix vous dit…

Si au fond de vous, vous avez cette petite voix intérieure qui vous envoie des pensées, des désirs de changement, ne la mettez surtout pas de côté. Ce n’est rien d’autre que votre intuition et elle ne se trompe rarement. Ecoutez-la et autorisez-vous à faire un premier pas vers le changement.

Même si vous êtes bon dans votre travail actuel et qu’il vous paraît « confortable », gardez en tête que vous excellerez dans ce que vous aimez faire. Ne vous résignez jamais. Il est possible de changer de boulot et même de voie à tout âge.

Autorisez-vous à devenir pleinement vous-même, vous avez le droit de vous éclater dans votre travail !

Le travail peut et doit être un moment d’épanouissement : lorsque vous êtes pleinement aligné avec ce que vous faites, vous êtes heureux d’aller travailler.

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Depuis sa création au début des années 1990, le concept d’intelligence émotionnelle connaît un succès considérable.

En 1990, dans leur article fondateur « Emotional intelligence », les psychologues Peter Salovey et John Mayer définissent l’intelligence émotionnelle comme « une aptitude dont la fonction est de gérer ses sensations et ses émotions, ainsi que celles d’autrui, de les différencier les unes des autres et d’utiliser cette information pour guider ses pensées et ses actions ».

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Selon eux, 4 aptitudes la composent :

1 – La perception de ses propres émotions et de celles d’autrui. C’est la capacité d’identifier les émotions à travers leur expression physique (visage, discours…) et dans les productions humaines (musique, écriture…).

2 – L’utilisation des émotions au sein de l’activité de pensée. Le rôle de cette aptitude est d’utiliser les émotions pour se motiver, stimuler ses performances intellectuelles et créer.

3 – La compréhension des émotions. Il s’agit d’identifier les conditions d’émergence et de changement des émotions.

4 – La régulation des émotions. Cette aptitude a pour fonction de contrôler l’intensité et la persistance des émotions, et d’agir dans le but de favoriser leur apparition ou leur évitement.

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Plutôt que des CDD d’aides soignants, si vous n’avez pas obtenu de master à l’issue de votre licence en psycho, vous pouvez préparer et présenter le concours d’entrée à l’IFSI (ou maintenant y candidater par Parcours sup) : votre profil y est recherché et apprécié.

Et vous aurez un métier avec des possibilités d’exercice variés.

Idem le diplôme en STAPS, qu’on retrouve aussi en IFSI (formation d’infirmier).

Des solutions existent ; bonne chance !

On parle bien de survie, oui.

Morbier, jambon cru, bacon, rosette, salami, pommes de terre…

Ce début décembre, vous avez peut-être annoncé l’ouverture officielle de la saison des raclettes. Les avancées de bras pour tremper ses bâtonnets de concombre dans du houmous ont laissé place aux mouvements de poêlons.

Tout cela est bien savoureux mais représente beaucoup de glucides, donc des sucres, avec les inévitables pommes de terre.

Comme l’honnêteté me pousse à reconnaître que la raclette du week-end dernier ne sera – fort heureusement – pas la dernière, voici mes astuces pour savourer, en total respect de votre foie et de vos intestins.

F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, raclette, céto, low carb, stress, burnout, PNL, téléséance, téléconsultation, avis, témoignagePrévenons immédiatement un tollé général : pas question ici de dénaturer le mets en troquant le fromage pour du tofu soyeux.

On commence par SUPPRIMER les pommes de terre. Et remplacez-les par des navets et des broccolis.

Afin de conserver son système digestif intact, on ajoute ensuite des légumes dans son assiette. Les fibres des légumes et des fruits amélioreront le transit et faciliteront la digestion. On peut par exemple ajouter de la salade verte.

Bien sûr, limitez l’alcool pour éviter de ralentir l’efficacité de son foie.

Pour booster la production de bile dans le foie, nécessaire pour digérer, faites une petite marche de 15 minutes avant et après le repas.

Si certains ont faim au réveil le lendemain, on privilégie les protéines et les boissons chaudes. Bref, un bon petit-déjeuner anglais, par exemple. Mais si vous n’avez pas faim, ne mangez pas ! Et attendez le déjeuner.

Tout au long de la journée post-fromage, l’accent doit être mis sur l’hydratation afin de drainer, d’évacuer au maximum les toxines et de réhydrater le corps. Les plus radicaux – et les moins indemnes – ne mangeront que des soupes le lendemain ; les autres se contenteront d’une mise au vert pour compenser le manque de fibres de la veille :  l’on consommera plutôt des salades de crudités, les légumes cuits ou des soupes de légumes.

Le tout doit être accompagné d’un minimum d’activité physique.

En aucun cas pour tenter vainement de brûler les calories ingérées, mais pour aider un foie qui peine à travailler. En activant la circulation sanguine, l’activité physique provoque un afflux de sang vers le foie et l’aide à fonctionner. Inutile de se forcer à courir une heure. Une demi-heure de marche rapide ou de longueurs en piscine suffit.

De quoi lutter, en même temps, contre le blues du dimanche.

 

 

 

Pourquoi les femmes demandent-elles plus souvent le divorce ?

Le taux de divorce est en hausse dans les pays occidentaux.

Dans les couples hétérosexuels, les femmes sont plus nombreuses à demander le divorce que les hommes.

Quelles sont les raisons qui les poussent à mettre un terme à leur mariage ?

Et une grande partie des procédures de divorce sont à l’initiative des femmes. Ce sont les conclusions d’une enquête menée par la BBC et publiée en mai 2022. Selon ses conclusions, 75 % des divorces qui ont eu lieu en France ont été demandés par les femmes, 70 % aux États-Unis et 62 % au Royaume-Uni en 2019.

1- L’indépendance financière facilite le divorce

Plus les femmes sont émancipées et stables financièrement et moins elles redoutent le divorce.

L’indépendance économique est un impératif pour qu’une femme puisse tenter de rompre son mariage, qu’elle soit seule ou qu’elle ait des enfants à charge. Il est extrêmement difficile pour les femmes de partir, à moins qu’elles n’aient un moyen de gagner de l’argent par elles-mêmes. Les chercheurs constatent également que le nombre de divorces a augmenté en même temps que les droits des femmes.

Les femmes ayant reçu une éducation supérieure sont d’ailleurs surreprésentées dans les statistiques liées au divorce. Celles qui sont économiquement capables de prendre soin d’elles-mêmes – ce qui est généralement lié à des niveaux d’éducation plus élevés – sont plus susceptibles de demander le divorce que celles qui ne sont pas en mesure de subvenir à leurs besoins économiques ni à ceux de leurs enfants.

Preuve en est, aux États-Unis, le taux de couples dont la demande de divorce provient de la femme frôle les 90 % lorsque cette dernière a reçu une éducation supérieure.

2 – Mariage : entre charge émotionnelle et déception

Outre le niveau d’éducation, les femmes hétérosexuelles en attendraient plus de cette union.

Cela explique la grande désillusion à laquelle fait face une partie d’entre elles au bout de quelques années de mariage. Certaines d’entre elles développent même une charge mentale émotionnelle liée à leur couple. Les hommes sont généralement construits pour avoir une intelligence émotionnelle inférieure à celle des femmes. Cela peut amener les partenaires féminines à se sentir moins soutenues et à porter une grande partie du travail émotionnel au sein de la relation.

L’entourage des femmes joue également un rôle dans les demandes de divorces.

Ces dernières sont mieux et plus entourées que les hommes, selon l’enquête de la BBC. Pour preuve, aux Etats-Unis, 15% des hommes affirment n’avoir aucun ami proche. Les femmes profitent donc de plus d’écoute et de soutien dans leur décision.

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Couple : 5 étapes pour se séparer avec bienveillance

Lors d’une rupture, décider que “ça va bien se passer” ne suffit pas.

Voici les caps à dépasser pour sortir – relativement – positivement de votre épreuve.

1. Transformer vos émotions destructrices en forces positives

Même si c’est vous qui avez pris la décision de partir, une rupture provoque un tsunami émotionnel.

Il s’agit d’abord de comprendre que ce trauma est lié à votre biologie, de l’évaluer, et de vous créer un « sanctuaire intérieur » pour retrouver un sentiment de sécurité. Auto-hypnose, apprentissage de votre « grammaire émotionnelle » sont particulièrement bénéfiques à ce stade, où il s’agit essentiellement de prendre soin de vous.

Alors les tourments les plus dévastateurs peuvent devenir de puissants moteurs de transformation.

2. Assumer votre part de responsabilité dans ce qui s’est passé

C’est l’étape du tri.

Il s’agit d’abandonner votre statut de victime, en cessant de vous concentrer sur ce que l’autre a mal fait – ou n’a pas fait –. En repérant à quel moment vous avez également commis des erreurs, manipulé, etc. Alors, seulement, vous pourrez faire amende honorable envers vous-même.

Écrire un journal, reconnaître et lister les compétences que vous avez délaissées dans cette histoire y aident particulièrement.

3. Identifier vos croyances de base sur l’amour, et vos valeurs

Un père autoritaire décidant pour tous dans la maison, des parents se déchirant sans cesse…

Chacun porte en lui, à son insu, des représentations inconscientes qui influencent sa définition du couple. Et, souvent, la déception ressentie lors d’une rupture réactive l’histoire de cette « fracture » d’origine. C’est l’heure de l’identifier précisément (par exemple : « Je ne mérite pas vraiment l’amour. Les hommes me quittent si je ne m’efforce pas de leur faire plaisir en permanence »), afin d’en débarrasser votre moi présent… et adulte.

F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, tabac, phobie, souffrance, stress, burnout, PNL, téléséance, téléconsultation, avis, témoignage (2)

4. Honorer votre histoire passée, pour vous projeter dans une nouvelle relation avec votre ex-partenaire

Cette étape est véritablement « alchimique ».

Il ne s’agit pas de rejeter ce qui s’est passé dans votre histoire d’amour, mais de décider au contraire de l’honorer et de le protéger. Ce qui demandera détermination et discipline, à un moment où vous aurez plutôt envie de dévaloriser l’amour perdu.

Cette attitude permet pourtant de détourner enfin votre attention du passé pour vous projeter dans un avenir constructif. Alors vous pourrez, ensemble, définir ce que doit être la nouvelle forme de votre relation : se voir avec, sans les enfants ? Où ? Combien de fois par mois ?, etc.

5. Passer de nouveaux contrats, et faire une cérémonie de séparation

C’est l’heure de lâcher vos anciennes attentes qui vous liaient à votre partenaire (« Tu seras mon roc »…)

Pour les remplacer par celles qui correspondent à votre situation actuelle (« Tu seras toujours le père de mes enfants » ou « Tu feras toujours partie de ma famille élargie »). Faire une cérémonie de séparation peut aider : votre nouvelle relation sera présentée à la communauté de vos amis, familles, et ainsi, témoignant du respect que l’un comme l’autre vous vous portez, elle prendra de la valeur aux yeux de tous.

Bonus : je vous recommande « The Split », série télévisée anglaise en trois saisons, de Abi Morgan

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« Coco », de Lee Unkrich et Adrian Molina, est un film riche en surprises !

Il fourmille de créativité, de trouvailles visuelles, de références culturelles, de détails raffinés et succulents.

Miguel rêve de devenir un musicien accompli, mais sa famille s’y oppose fermement.

Un étrange concours de circonstances le propulse au Pays des Morts.

Il y rencontre Hector, gentil garçon un peu filou sur les bords. Leur voyage extraordinaire leur révèlera la véritable histoire qui se cache derrière celle de la famille de Miguel…

f.-duval-levesque, psychopraticien, hypnose, coach, mal-etre, anxiete, angoisse, addiction, traumatisme, peur, tabac, halloween, Tousssaint, mort, burnout, pnl, teleseance, teleconsultation, avis, temoignage, reconversionEn pleine Fête des morts, à Santa Cecilia. Depuis quatre générations, la musique est interdite au sein de la famille de Miguel Rivera.

Alors que le garçon de 12 ans rêve de devenir un guitariste aussi talentueux que son idole Ernesto de la Cruz, sa famille veut le voir prendre la relève de la cordonnerie créée par son arrière-arrière-grand-mère Imelda, la mère de son arrière-grand-mère Coco encore en vie.

Décidé à prouver son talent durant le concours du Jour des Morts, Miguel entre par effraction dans le mausolée d’Ernesto, mort accidentellement des années auparavant, pour emprunter sa guitare.

Au moment où il joue un accord tout en marchant sur des pétales de rose d’Inde, il se retrouve propulsé au Pays des Morts. Miguel apprend qu’il doit obtenir la bénédiction d’un de ses ancêtres avant l’aube, sinon il deviendra un squelette bloqué dans cet étonnant endroit jusqu’à ce qu’il disparaisse après être tombé dans l’oubli dans le monde des vivants.

Aidé du filou Hector, Miguel débute un extraordinaire voyage au bout duquel l’attend une importante vérité cachée concernant sa famille…

Film d’animation fantastique des Studios Disney, à destination des jeunes cinéphiles amateurs de sensations fortes (à partir de 8 ans), et des adultes 🙂

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5 astuces pour mieux vivre l’heure d’hiver !

Suivre au plus près la course du soleil : adaptez votre rythme de vie en fonction de la luminosité ! Et ainsi, vous respecterez votre rythme circadien.

1/ A l’heure d’hiver, se coucher plus tôt pour se lever plus tôt permet de profiter un maximum de la luminosité matinale.

2/ Profitez des bienfaits de la luminothérapie : s’il ne vous est pas possible de modifier vos horaires de lever et de coucher, pour éviter les petites chutes dépressives lorsque le soleil se fait plus rare, il faut s’éclairer au maximum. La luminothérapie est une très bonne option pour ceux qui ressentent particulièrement un manque d’énergie à l’entrée de l’hiver. Pour profiter au maximum des bienfaits de la luminothérapie, il faut que celle-ci soit pratiquée le matin afin d’avoir un effet coup de boost très appréciable.

3/ Privilégiez la vitamine C : certains, pour mieux affronter le passage à l’heure d’hiver sont tentés d’opter pour une cure de vitamines et notamment de vitamine C réputée pour soulager la fatigue et augmenter le tonus. En cas de coup de mou, il est possible de prendre ponctuellement un petit supplément en vitamine C.

4/ Augmentez vos apports en vitamine D : plutôt que de se supplémenter en vitamine C, augmenter vos apports en vitamine D dont la synthèse est déclenchée par l’exposition au soleil. Il est vrai qu’en hiver certaines carences peuvent apparaître. Or la vitamine D est essentielle pour le bon fonctionnement de notre organisme et la protection de notre santé sur un plan global.

Une façon naturelle et simple de s’assurer un bon apport en vitamine D est de manger plus souvent du poisson gras (saumon, hareng…).

5/ Profitez des bienfaits de la sieste : En cas de coup de pompe ponctuel, ne résistez pas à l’appel des  micro-siestes et de leurs nombreux bienfaits !

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Et si vous le mangez sans pain, c’est encore mieux pour votre santé.
Remplacez-le par une tranche de jambon ou de fromage.
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Établir des priorités signifie généralement dire « non » à certains projets et engagements.

Ces projets et engagements ne doivent pas nécessairement être liés au travail.

Au cours des deux dernières semaines, je me suis retrouvé à lutter pour dire « non » à quelques opportunités professionnelles, ainsi qu’à quelques opportunités personnelles, comme des rencontres avec des amis et la planification d’un prochain voyage.

En principe, dire « non » semble facile.

En pratique, c’est généralement beaucoup plus difficile – et c’est une chose pour laquelle j’essaie de m’améliorer.

Je suis convaincu qu’il existe un moyen de dire « non » sans avoir l’impression d’être un salaud ou de passer pour tel.

Et je suis également convaincu que c’est une compétence qui vaut la peine d’être maîtrisée.

Voici ma méthode du « Ouah, super ! » ou du « Non. »

Je tiens cette méthode de l’entrepreneur et musicien Derek Sivers. Voici une version courte du message de Derek (il a également écrit un livre sur le sujet).

Son conseil est le suivant : lorsque vous vous demandez si vous devez vous lancer dans un nouveau projet ou prendre un nouvel engagement, il vous suffit de vérifier si vous ressentez quelque chose comme un « Ouah, super ! ». Si vous ressentez autre chose qu’un « Ouah, super ! », alors c’est un « NON. »

Il n’y a pas d’intermédiaire entre le « HEUREUX » et le « NON. »

Donc si vous ne ressentez pas un fort oui, n’essayez pas de vous trouver des excuses pour accepter le projet.

Avec ce filtre, je constate que 95% de mes décisions de projet ou d’engagement sont prises par défaut.

Appelons ces 95 % mon « seuil de refus ».

Cela signifie que si quelqu’un me présente 100 nouveaux projets et engagements en un an, 95 de ces opportunités ne vont pas me faire crier « Ouah, super ! ». Elles me font généralement ressentir quelque chose comme « hmm, ça pourrait être une bonne idée et ça pourrait être amusant, mais je ne suis pas trop sûr ».

Dans ces cas-là, j’essaie de m’empêcher de trouver des excuses pour entreprendre le projet (comme me convaincre que « peut-être que le projet pourrait aller quelque part si j’y consacre un peu de temps… »). Au lieu de cela, je fais de mon mieux pour dire non aussi poliment que possible.

Ce que Derek veut dire, c’est que si vous êtes tiède à propos de quelque chose, faites-en un « NON ».

Le « seuil de refus » est susceptible de changer avec le temps. Lorsque vous débutez, il est logique qu’il y ait plus d’opportunités qui ressemblent à un « Ouah, super ! ». Au fur et à mesure que les choses se développent, il est probable que le nombre d’opportunités qui ressemblent à un « Ouah, super ! » diminue.

Il y a plusieurs raisons à cela : votre jugement sur le potentiel d’un projet s’améliore avec le temps, vos engagements personnels et professionnels augmentent, ce qui rend le seuil d’un « bon projet » plus élevé, etc.

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

 

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1/ Soyez à l’écoute des salariés, créez les conditions (baromètres, sondages, groupes de travail) pour que les gens puissent s’exprimer de façon authentique.

2/ Questionnez la raison d’être de votre entreprise. Quel est votre rôle dans la société ?

3/ Revoyez l’organisation et l’efficacité des modes de travail. Recrutez différemment, instaurez des temps de travail différents, le télétravail de manière pérenne…

4/ Faites de la santé psychologique un levier de management pour développer une culture de sécurité psychologique.

5/ Favorisez la progression de carrière. La revalorisation salariale, c’est le minimum syndical. Innovez !

6/ Instaurez une vraie politique de Qualité de Vie au Travail.

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

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