leadership


F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, phobie, souffrance, stress, burnout, PNL, téléséance, téléconsultation, avis, témoignage

1/ Soyez à l’écoute des salariés, créez les conditions (baromètres, sondages, groupes de travail) pour que les gens puissent s’exprimer de façon authentique.

2/ Questionnez la raison d’être de votre entreprise. Quel est votre rôle dans la société ?

3/ Revoyez l’organisation et l’efficacité des modes de travail. Recrutez différemment, instaurez des temps de travail différents, le télétravail de manière pérenne…

4/ Faites de la santé psychologique un levier de management pour développer une culture de sécurité psychologique.

5/ Favorisez la progression de carrière. La revalorisation salariale, c’est le minimum syndical. Innovez !

6/ Instaurez une vraie politique de Qualité de Vie au Travail.

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

Traduction :

Avez-vous essayé d’établir une priorité de vos tâches

(du jour, de la semaine, du mois)

?

1 ) Écrire les tâches à un seul endroit

2 ) Avoir le réflexe d’écrire ses tâches à tout moment

3 ) Travailler quotidiennement à partir de la liste

4 ) Planifier la réalisation de ses tâches

5 ) Limiter le nombre de tâches à réaliser par jour

6 ) Faire des revues régulières.

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Oui, il est payant d’avoir des amis haut placés.

Depuis des décennies, les chercheurs en sciences sociales s’interrogent sur les raisons pour lesquelles les enfants de certains quartiers sortent de la pauvreté, alors que ceux qui vivent dans des communautés similaires restent à la traîne.

En d’autres termes : quelle est l’ingrédient secret du rêve américain ?

Dans deux études révolutionnaires publiées hier dans Nature, une équipe de chercheurs prétend avoir trouvé la réponse.

Le facteur le plus important de la mobilité ascendante des revenus est le fait

d’avoir des amis dans toutes les classes sociales.

L’étude a utilisé un échantillon de données représentant 72 millions de personnes sur Facebook pour cartographier le profil socio-économique de leurs amis sur la plateforme.

Ce qu’ils ont trouvé : les enfants qui vivent dans des quartiers où les interactions entre classes sociales sont plus nombreuses – ce que les chercheurs ont appelé la « connectivité économique » – ont beaucoup plus de chances de sortir de la pauvreté que les enfants qui vivent dans des endroits où les personnes à faibles et à hauts revenus se mélangent moins souvent.

Cet écart est ce que votre professeur de sciences appellerait « statistiquement significatif ». Selon cette étude, si les enfants de parents à faibles revenus vivaient dans des endroits où 70 % de leurs amis étaient riches, leurs gains futurs prévus augmenteraient en moyenne de 20 %.

Alors, comment encourager une plus grande interaction entre les classes ?

Les chercheurs ont mis en évidence plusieurs politiques susceptibles d’y contribuer, notamment la réforme des politiques de zonage, la promotion du logement abordable et la lutte contre le « biais d’amitié », c’est-à-dire le fait que les personnes d’une certaine classe choisissent de se lier d’amitié avec des personnes de la même classe.

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Traduction : découpez vos objectifs en petites étapes
Bien définir votre objectif
  1. Formuler votre objectif de façon positive et précise, qui dépend de vous
  2. Préciser clairement votre « pourquoi »
  3. Veiller à ce que votre objectif soit ambitieux et réaliste
  4. Intégrer un indicateur de mesure
  5. Vous fixer une date limite
  6. Prioriser un objectif et l’écrire.
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Alvin Toffler (1928-2016)

Comment dynamiser (fructifier) votre vie professionnelle, et personnelle, grâce à la PNL ?

Qu’est-ce que la PNL peut concrètement vous apporter dans votre quotidien ?

Vous avez envie de retrouver du sens dans votre quotidien, qu’il soit personnel ou professionnel ? Vous souhaitez développer votre écoute ? Vous souhaitez potentialiser vos ressources ?

Vous souhaitez apprendre à explorer d’autres manières d’envisager le monde que le vôtre ? Vous souhaitez mieux définir vos objectifs et les atteindre ?

Vous êtes curieux, vous avez envie de mieux communiquer, de mieux vous connaître, de mieux connaître l’autre, de faire des choix cohérents avec vos valeurs, de trouver du sens à vos actions ?

Alors venez découvrir dans une séance ce que la Programmation Neuro-Linguistique (PNL) vous apportera dans votre vie personnelle et professionnelle.

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Manger sain, éviter le sucre, perdre du poids, retrouver la forme, abaisser la glycémie : quels que soient vos objectifs, l’alimentation cétogène ou LCHF (low carb high fat) est une option judicieuse.

Mais suivre cette alimentation pauvre en glucides, riche en bonnes graisses n’est pas si simple.

C’est pourquoi Le Grand Livre de l’alimentation cétogène, écrit par Ulrich et Nelly, les deux pratiquants français les plus emblématiques, vous donne toutes les clés, les astuces, les conseils, les recettes pour adopter une alimentation cétogène comme un vrai mode de vie sain et durable.

Suivez le guide et ressentez le plaisir de voir les kilos fondre sans stress, sans fringales ni baisse d’énergie.

Dans ce livre, vous découvrirez :

  • + de 150 recettes (toutes sans gluten) savoureuses et conviviales, concoctées par Nelly
  • Un point complet sur les fondamentaux de l’alimentation pauvre en glucides et les conseils pour vivre céto
  • Comment réorganiser sa cuisine, planifier ses courses et repas
  • Les aliments autorisés, les produits  » chouchous  » et ceux qui sont à oublier
  • Le programme  » 3-2-1, c’est parti  » personnalisé en fonction de votre objectif : minceur, performance sportive ou santé

Régalez-vous avec des pâtes à tarte, sauces salées et sucrées, pains pauvres en glucides…

Réalisez les versions LCHF des recettes de nos régions : blanquette de la mer, fi let mignon de porc au maroilles, tarte fraise et pistache, bûche de Noël…

Mangez US : hamburger, potatoes, carrot cake, donuts… Sans oublier les recettes Viva Italia : asperges alla parmigiana, chou kale à la carbonara, tiramisu…

En plus de ses effets sur le poids, l’alimentation cétogène est un régime thérapeutique largement utilisé pour traiter l’épilepsie, le diabète, le cancer, les migraines et plus récemment les maladies neurodégénératives telles qu’Alzheimer ou Parkinson.

Bon appétit !

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Vous sortez d’un burn-out ?

Et si c’était l’occasion de redonner

un Sens à votre vie ?

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« La vie ce n’est pas d’attendre que l’orage cesse,

c’est d’apprendre à danser sous la pluie »

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Sénèque

Né à Cordoue, dans le sud de l’Espagne, entre l’an 4 av. J.-C. et l’an 1 apr. J.-C., mort le 12 avril 65 apr. J.-C., est un philosophe de l’école stoïcienne, un dramaturge et un homme d’État romain du Iᵉʳ siècle

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Pourquoi les femmes font-elles plus de burnout que les hommes ?

Malgré la pandémie de Covid qui a paralysé le monde du travail, les femmes grimpent davantage dans la hiérarchie professionnelle.

Une progression à double tranchant, qui s’accompagne d’un risque de burn out grandissant.

La sonnette d’alarme est tirée.

Si l’évolution des femmes dans le monde de l’entreprise tend, dans l’ensemble, vers le mieux, il reste de nombreuses ombres au tableau.

Parmi elles : l’épuisement professionnel, qui touche davantage les femmes que les hommes – et c’est encore plus flagrant chez celles qui ont des responsabilités.

C’est l’un des constats dressé par la septième étude annuelle de McKinsey & Leanin.org. Le cabinet de conseil américain et l’ONG fondée par Sheryl Sandberg, ont sondé 65.000 employés, des deux sexes, au sein de 423 sociétés outre-Atlantique.

« Alors que les entreprises continuent à gérer les défis liés à la pandémie et cherchent à construire un lieu de travail plus égalitaire pour l’avenir, elles doivent se concentrer sur deux priorités clés : faire progresser tous les aspects de la diversité et de l’inclusivité, et s’attaquer à l’épuisement professionnel croissant que connaissent tous les employés – mais particulièrement les femmes », indique le rapport « Les femmes sur le lieu de travail ».

Voici trois raisons qui l’expliquent :

1. L’effet « double journée »

La pandémie a aggravé l’épuisement professionnel de tous les employés, relève l’étude, mais il a été davantage présent chez les femmes, qui envisagent de plus en plus de freiner leur activité.

Parmi celles interrogées, 42 % déclarent cette année être souvent ou presque toujours en burn-out, contre 35 % des hommes. L’année dernière, elles étaient 32 % à se sentir ainsi, contre 28 % des hommes.

Plus inquiétant encore, une femme sur trois a envisagé de quitter le marché du travail ou de réorienter sa carrière. L’année dernière, alors que la pandémie ne s’était déclarée que quelques mois auparavant, une femme sur quatre envisageait la même chose.

Les femmes en charge de la gestion d’équipes présentent des niveaux d’épuisement encore plus élevés : plus de 50 % d’entre elles ayant déclaré être souvent ou presque toujours épuisées.

D’autant plus que les femmes font, en moyenne, cinq heures de plus par jour de travail domestique non-rémunéré, ce qui pèse sur leur bien-être dans le milieu professionnel.

2. Des « manageuses » plus à l’écoute

La pression mise sur les femmes pour mener de front équilibre personnel et professionnel est disproportionnée – et c’est encore plus flagrant quand elles ont des enfants. Entreprises, vous risquez de perdre des « leadeuses » qui ont contribué à alléger le stress lié à la pandémie, en répondant présentes face aux besoins de vos équipes.

Les statistiques montrent que l’année dernière, les managers au féminin ont davantage pris de mesures pour soutenir psychologiquement leurs équipes (31 %, contre 19 % des hommes), et qu’elles se sont plus enquises de leur bien-être global (à 61 %, contre 54 % des hommes).

En plus, c’est une tâche ingrate pour elles, car si les entreprises sont 87 % à concéder qu’il s’agit de compétences primordiales, elles ne sont que 25 % à les reconnaître formellement.

3. Elles consacrent plus de temps à soutenir leurs collègues

Difficile de gravir les échelons d’une entreprise quand on démarre avec un boulet au pied, accuse le rapport.

Pour 100 hommes promus à un poste de direction, seules 86 femmes le sont. Le premier échelon de l’échelle est cassé, donc les femmes partent déjà avec du retard.

Et plus elles avancent dans la hiérarchie, plus elles prennent d’autres femmes sous leurs ailes à qui elles cherchent à créer des opportunités, ce qui représente une charge de travail supplémentaire dont les hommes s’encombrent moins.

Autant de dossiers qui s’accumulent sur les épaules des femmes, et contribuent aussi au syndrome d’épuisement professionnel.

Il n’y a pas de solution miracle.

Les entreprises peuvent faire davantage pour améliorer la diversité, notamment en revoyant les pratiques d’embauche, de promotion et d’évaluation des performances pour garantir l’équité, en responsabilisant les dirigeants et en assurant un suivi plus complet de la représentation.

Enfonçons le clou : il faut des garde-fous et que les managers appliquent les mêmes règles au sein d’une même entreprise – sinon, c’est l’anarchie.

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Voici les profils qui conduiraient à développer ce syndrome :

  • les étudiants, les chercheurs, les universitaires et les créatifs qui doivent souvent se comparer avec des personnes jugées talentueuses
  • ceux qui ont de brillantes carrières ou qui réussissent très jeunes (le génie perçu comme naturel peut donner l’impression de ne pas mériter vraiment sa place)
  • les aînés de fratrie poussés à réussir par leurs parents et qui peuvent en venir à penser qu’ils n’ont pas vraiment de mérite vu le soutien dont ils bénéficient
  • ceux qui parviennent à leur but par des chemins de traverse (la sociologue devenue journaliste…) ; les minorités sociales ou les groupes sociaux victimes de discriminations (femmes, homosexuels, minorités religieuses…)
  • les enfants de parents brillants
  • ou encore les autoentrepreneurs et les travailleurs indépendants dont les relations professionnelles, notamment les feedbacks (retours d’information) sont limités, ce qui ne leur donne pas toujours la possibilité de s’apprécier à leur juste valeur.

Aujourd’hui, ce syndrome est communément reconnu.

La principale critique portée au concept concerne l’appellation. Plutôt que de « syndrome », ce qui renvoie à une maladie, les psychologues préfèrent dorénavant parler d’une expérience temporaire.

D’ailleurs, le syndrome de l’imposteur ne figure pas parmi les troubles mentaux que recense le Manuel de diagnostic et de statistique des troubles mentaux (DSM), qui fait autorité en psychologie et psychiatrie.

Plus ou moins longue, cette expérience d’imposture se résout souvent par soi-même, en apprenant à s’apprécier sans condition, en se montrant moins perfectionniste et plus indulgent avec ses erreurs. Le malaise peut aussi se dissiper en parlant avec son entourage, qui joue un rôle essentiel pour rassurer sur sa propre valeur, et quand ce n’est pas suffisant, avec un thérapeute.

Selon mon expérience professionnelle, les femmes seraient davantage sujettes au syndrome de l’imposteur pour plusieurs raisons :

  1. Elles subissent une forte pression pour être performantes et donner une bonne image d’elles, ce qui ne peut qu’accroître le manque de confiance qu’elles éprouvent parfois
  2. Elles restent sous-représentées aux postes de responsabilités et de leadership. Celles qui y parviennent se sentent plus souvent isolées et exposées à la critique
  3. Les clichés qui ont encore la vie dure (« les femmes ne savent pas négocier », « ne savent pas s’exprimer publiquement », « ont du mal avec l’exercice du pouvoir ») et qui peuvent faire douter de soi.

Or, selon des études récentes, les hommes seraient tout autant concernés que les femmes.

L’on aurait tendance à faire du syndrome une spécificité féminine car les premières études ont été menées sur des femmes. Pourtant, des études ultérieures évoquent de nombreux cas d’hommes touchés : des étudiants, de grands universitaires, des hommes d’affaires, des sportifs accomplis, des pères de famille…

Les hommes manifesteraient les mêmes symptômes que les femmes. Leur malaise serait tout aussi fort, dans un monde où la gent masculine doit encore se montrer solide et dissimuler ses doutes, ses faiblesses.

Les femmes iraient chercher de l’aide plus facilement, soit auprès de leurs proches, soit en faisan une psychothérapie. Les hommes se réfugieraient plus souvent dans les conduites addictives (consommation d’alcool) ou chercheraient davantage à éviter les situations stressantes.

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Dans une carrière, l’heure du bilan sonne régulièrement, en particulier en début d’année.

Au bout de quelques temps sur un même poste on a tendance à ronronner, à ne plus vouloir sortir de sa zone de confort.

Il faut pourtant se remettre en question régulièrement et se poser la question : dois-je quitter mon job maintenant et chercher autre chose, ailleurs ? Pour le savoir il existe certains signaux qui ne trompent pas.

En voici 7 autres qui devraient vous convaincre.

1. Votre carrière est au point mort

Si vous n’avez pas eu de promotion ou d’augmentation depuis 3 ans, il est temps de se poser des questions.

Ce statu quo va-t-il durer, êtes-vous seul(e) à stagner dans l’organisation et si oui, les raisons sont-elles liées à votre performance ou à celle de votre entreprise ? Si la faute revient à votre employeur, alors il est temps de le quitter.

2. Votre travail n’est pas reconnu à sa juste valeur

Si vous n’avez aucun feedback de votre manager, aucune reconnaissance sur le travail accompli, c’est sans doute le signe que votre hiérarchie ne s’intéresse plus à vous. Qu’elle pense que vous avez atteint votre seuil d’incompétence ou, plus simplement, qu’elle n’a pas envie d’investir pour vous voir progresser. Dans ce cas, il est temps d’aller voir ailleurs, et de consulter les offres d’emploi.

3. Vous n’apprenez plus rien

Parmi les sources évidentes de motivation au travail, le sentiment de fin de journée compte énormément. Quand vous rentrez chez vous le soir, avez-vous appris quelque chose grâce à votre travail ? Sur vous, sur les autres, sur votre coeur de métier ? Avez-vous, de quelque manière que ce soit, progressé un peu ?

Si la réponse est non, vous devriez peut-être reprendre une formation, ou changer d’air, voir si l’herbe est plus verte devant une autre entreprise.

4. Le turn-over s’accélère

Vous n’êtes pas seul dans une entreprise. Ce qui se passe autour de vous doit aussi vous mettre la puce à l’oreille. Il y a toujours du turn over dans toutes les sociétés, ce n’est pas forcément alarmant.

Mais ce qui peut l’être c’est quand il s’accélère de façon évidente. Si des employés-clés, des pivots quittent le navire, vous devez vous demander (ou leur poser directement la question) de ce qui les pousse vers la sortie.

5. Une restructuration se profile

« L’occasion fait le larron », l’expression est valable dans le monde du travail. Mais c’est vrai que si votre entreprise fusionne, se réorganise, change de direction ou de style de management, vous avez le droit vous dire que c’est le moment de partir. La fin d’un cycle est toujours plus propice à un départ. Une page se tourne, vous avez envie d’écrire une autre histoire, d’ajouter une ligne à votre CV.

Et si les restructurations se multiplient dans votre entreprise depuis quelques années, le doute n’est plus permis. Par ici la sortie : démission ou rupture conventionnelle, à vous de voir.

6. Les chasseurs de têtes s’intéressent à vous

Les recruteurs aiment les gens en poste, de la même manière que les banques ne prêtent qu’aux riches. Si votre profil intéresse les cabinets de chasse ou de recrutement, que vous êtes régulièrement contacté, il ne faut pas hésiter.

Entretenir une relation sur la durée avec un chasseur de têtes permet d’être à l’affût des meilleures opportunités. Soyez prêts à les saisir dès qu’elles se présenteront.

7. Vous sentez que c’est le bon moment

Parfois l’intuition, vaut plus que tous les signaux faibles. Si vous ressentez que vous avez envie de poursuivre votre carrière ailleurs, il faut oser franchir le pas.

Partir quand on est au sommet peut s’avérer un choix judicieux. Comme les sportifs de haut niveau qui décident de s’en aller après avoir décroché un trophée, quitter une entreprise suite à un succès permet de laisser (et de garder) le meilleur des souvenirs.

 

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« L’homme, trop orgueilleux,

se figure qu’il est le maître de ses mouvements,

de ses paroles, de ses idées, de lui-même.

C’est peut-être à nous-mêmes

que nous commandons le plus difficilement.

Il y a une foule de choses qui s’exécutent en nous

sans notre volonté. »

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Janet Pierre
Un cas de possession et l’exorcisme moderne,
Bulletin de l’université de Lyon, VIE (1894)

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“Votre temps est limité.

Ne le gaspillez donc pas en vivant la vie de quelqu’un d’autre.

Ne soyez pas piégés par les dogmes, ce qui consiste à vivre avec le résultat de la pensée des autres.

Ne laissez pas le parasitage des opinions d’autrui étouffer votre propre voix intérieure.

Et par-dessus tout, ayez le courage de suivre votre cœur et votre intuition. Ils savent déjà en quelque sorte ce que vous voulez réellement devenir.

Tout le reste est secondaire,”

-> Steve Jobs

Suis-je hypnotisable ? Oui, tout le monde est hypnotisable. Plus vous expérimentez le lâcher-prise, et ne plus être dans le contrôle, plus l’entrée en hypnose est rapide et profonde. Si c’est votre première fois, je prendrai le temps de vous le faire découvrir, et répondre à vos questions

Est-ce que je suis réceptif ? Votre cerveau, comme tout à chacun, sait passer en hypnose, et vous avez certainement déjà expérimenté une transe légère au cours de votre vie. Par exemple lorsque vous êtes tellement absorbé dans votre tache que vous ne voyez plus le temps passer. Cet état est très accessible et suffit régulièrement au travail que nous effectuons ensemble (quoique légèrement augmenté…). Les états plus profonds sont également possibles, soit naturellement si vous êtes déjà initié, soit avec un petit peu d’entrainement

Je ne crois pas à l’hypnose, est ce que ça peut marcher quand même ? Il n’est pas nécessaire « de croire à l’hypnose » : ce n’est pas un dogme comme la psychanalyse. Il est juste important que vous vous sentiez assez en confiance pour vous laisser aller, curieux de l’expérience et ouvert à la nouveauté. À ce moment là, cela peut très bien marcher sur n’importe qui, de façon plus ou moins profonde suivant la sensibilité de chacun

Comment se déroule une séance ? Une séance d’hypnose dure de 45 minutes à 3 heures. Généralement 1h30 / 2h. Elle se déroule en 3 étapes : une discussion, afin de bien comprendre votre demande et ce que vous ne voulez plus. Puis l’hypnose et enfin le réveil. Et un échange ensuite. Vous serez bien sûr parfaitement réveillé, et capable de reprendre le volant pour rentrer chez vous

Pourquoi parlez vous de « transe » ? Il s’agit en vérité de transe hypnotique somnanbulique. C’est un raccourci pour parler d’ « état de conscience modifié profond ». Des sensations de sérénité, bien-être, lourdeur ou légèreté, chaleur, respiration plus profonde apparaissent. Une transe hypnotique n’a pas besoin d’être impressionnante pour être efficace : elle peut être légère et redoutablement efficace et utile à la fois

Une communication directe avec mon inconscient ? Que ce soit par le signaling, l’écriture automatique ou même la parole automatique en hypnose somanbulique, autant d’outils qui ouvrent des horizons incroyables pour l’accompagnement de personnes rencontrant des difficultés avec leur corps, leurs émotions ou leurs comportements. C’est très pragmatique : l’utilisation de l’hypnose en thérapie à travers des questionnements d’inconscients en quête d’évolution, d’épanouissement et de paix intérieure

Puis-je intervenir / communiquer pendant la séance ? Bien sûr. Si vous en ressentez le besoin, vous pourrez me parler, vous gratter la joue, ouvrir ou fermer les yeux…

J’ai peur d’être manipulé… Rassurez-vous : il y a toujours une partie de vous qui veille à ce qui se passe pendant la séance : une action ou une parole incongrue et votre vigilance revient naturellement au galop, diminuant voire annulant la transe, et vous reprenez le contrôle quasi instantanément. Quant à votre psy, il n’espère qu’une chose : que vous soyez satisfait de sa prestation en un minimum de séances, afin que vous la recommandiez vous aussi à vos amis et collègues

Est-ce que je vais faire la poule pendant la séance ? J’ignore pourquoi cette question revient si souvent, mais puisque vous me le demandez. Cela dépend de votre créativité, et vous le ferez seulement s’il s’avère que l’imitation du gallinacé vous aide à résoudre quelque chose (humour)… Personnellement je ne l’ai jamais proposé. La majorité du temps, nous sommes, vous et moi, bien trop occupés à découvrir les merveilles de votre inconscient pour perdre notre temps

Est-ce que je peux rester « bloqué en transe ? Hé bien non. De la même manière que le cerveau passe d’un cycle de sommeil à un autre, il passe naturellement d’un état de conscience modifié à un état de conscience ordinaire. Et l’état hypnotique s’arrête naturellement au bout d’un moment si on ne l’entretient pas, ou fini par du sommeil.

Est-ce que quelqu’un peut « rentrer dans mon cerveau » quand on fait de l’hypnose ? La réponse est « non, absolument pas ! » Il s’agit de vous accompagner et de vous guider vers un mieux-être, visant à vous aider, un apprentissage comme apprendre à écrire.  Je n’ai pas non plus la prétention de savoir lire dans les pensées, bien que l’intuition se développe avec les transes, et permette régulièrement de surprenantes coïncidences

Vais-je tout oublier ? Non ! L’hypnose n’est pas synonyme d’amnésie. Durant une séance, l’hypnothérapeute, grâce à ses compétences, s’adresse directement à votre inconscient, mais votre partie consciente peut être bien présente aussi. Vous entendrez et pourrez vous souvenir de tout

Est-ce que je peux retourner au travail directement après une séance ? Bien entendu, suivant les gens, le « retour à la réalité » est plus ou moins rapide, mais toujours facile. Si c’est votre première expérience en hypnose, prévoyez de ne rien faire de trop intense (physiquement ou intellectuellement) dans l’heure qui suit

Vous pouvez également me contacter par mail ou par téléphone

pour des informations qui vous semblent importantes :

je me ferai un plaisir de vous répondre 🙂

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« Chaque être humain est une merveille, un trésor, et même un miracle.

Tout ce que nous exprimons à un certain moment dans le temps représente ce que nous avons appris consciemment et inconsciemment.

Pour changer notre comportement, nous avons besoin de nouveaux apprentissages, d’une motivation, d’un but, d’un contexte favorable et de la certitude que nous pouvons trouver de l’aide à l’extérieur. »

Virginia Satir

(Thérapeute de couple)

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