30 septembre 2022
13 signaux d’alerte pour éviter le burn out
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under anxiété, épuisement professionnel, burnout, burn out, burn-out, coaching, dépression, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), harcèlement, mal-être, malaise, peur, psychologue, remboursement, mutuelle, réflexion, séance à distance, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, travail | Étiquettes: anorexie, épuisement professionnel, épuisement professionnel, céphalées, cervicalgies, concentration, culpabilité, fatigue, hostilité, isolement, lombalgies, mémoire, motivation, psychiatre, Psychiatre-addictologue, psychologue, repli sur soi, ressentiment, tensions, trouble dépressif, troubles gastro-intestinaux, troubles psychologiques, vertiges |Laissez un commentaire
26 septembre 2022
6 conseils aux patrons pour éviter les prochaines démissions
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under anxiété, bien-être, burnout, burn out, burn-out, coaching, conseils, espoir, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), inquiétude, leadership, liberté, mal-être, malaise, MonPsy, peur, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, réflexion, reconversion professionnelle, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, travail | Étiquettes: anorexie, épuisement, épuisement professionnel, carrière, céphalées, cervicalgies, concentration, culpabilité, fatigue, hostilité, isolement, lombalgies, mémoire, motivation, psychiatre, Psychiatre-addictologue, psychologue, repli sur soi, ressentiment, tensions, trouble dépressif, troubles gastro-intestinaux, troubles psychologiques, vertiges |Laissez un commentaire
1/ Soyez à l’écoute des salariés, créez les conditions (baromètres, sondages, groupes de travail) pour que les gens puissent s’exprimer de façon authentique.
2/ Questionnez la raison d’être de votre entreprise. Quel est votre rôle dans la société ?
3/ Revoyez l’organisation et l’efficacité des modes de travail. Recrutez différemment, instaurez des temps de travail différents, le télétravail de manière pérenne…
4/ Faites de la santé psychologique un levier de management pour développer une culture de sécurité psychologique.
5/ Favorisez la progression de carrière. La revalorisation salariale, c’est le minimum syndical. Innovez !
6/ Instaurez une vraie politique de Qualité de Vie au Travail.
24 septembre 2022
11 nouvelles façons de réduire très vite votre stress
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under anxiété, bien-être, burnout, burn out, burn-out, confiance en soi, conseils, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), mal-être, MonPsy, psychologue, remboursement, mutuelle, soutien psychologique, stress, technique/protocole | Étiquettes: anorexie, épuisement, épuisement professionnel, carrière, céphalées, cervicalgies, concentration, culpabilité, débrancher, fatigue, hostilité, isolement, lombalgies, méditer, mémoire, motivation, psychiatre, Psychiatre-addictologue, psychologue, ralentir, relaxation, repli sur soi, ressentiment, tensions, trouble dépressif, troubles gastro-intestinaux, troubles psychologiques, vertiges |Laissez un commentaire
21 septembre 2022
« Dis, c’est quoi la dépression résiduelle et/ou chronique ? »
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under anxiété, dépression, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), inquiétude, lassitude, mal-être, malaise, MonPsy, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, séance à distance, soutien psychologique, téléconsultation, téléséance | Étiquettes: arrêt maladie, épuisement professionnel, burnout, conflits, fatigue, fatigue chronique, isolement social, motivation, pessimisme, psychiatre, psychologue, troubles du sommeiltroubles psychologiques |Laissez un commentaire
On parle de symptômes résiduels de la dépression lorsque l’état dépressif s’améliore, mais que certains troubles persistent.
Il s’agit le plus souvent :
- de troubles du sommeil, de l’alimentation et de la vie sexuelle
- d’une sensation de fatigue chronique
- d’une anxiété
- d’un pessimisme
- d’une diminution de l’estime de soi
- d’un manque de motivation, d’une diminution des ressentis affectifs
- de la persistance d’idées dépressives.
On parle de dépression chronique lorsque les troubles dépressifs durent depuis plus de deux ans.
Cette chronicisation de la dépression est favorisée par certains facteurs environnementaux : isolement social, burnout, conflits…
21 mai 2022
5 choses à ne pas faire si vous voulez démissionner
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, bien-être, burnout, burn out, burn-out, coaching, confiance en soi, conseils, espoir, estime de soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), liberté, malaise, peur, réflexion | Étiquettes: amertume, arrêt maladie, épuisement professionnel, bienveillance, burnout, considération, décision, délai de préavis, démission, dignité, dit nouveau départ, fatigue, impression positive, mauvaise réputation, motivation, nouvel emploi, préavis, problèmes juridiques, psychiatre, psychologue, rancune, respect, ressentiment, troubles psychologiques |Laissez un commentaire
Démissionner : 5 approches à ne pas adopter !
Vous avez trouvé un nouvel emploi et vous trépignez d’impatience à l’idée de vous lancer ?
N’oubliez pas que vous devez d’abord présenter votre démission à votre employeur actuel. De nombreux employés s’en font toute une montagne et craignent la réaction de leur patron et de leurs collègues.
Démissionner ne doit cependant pas être une tâche laborieuse. Si vous abordez cette démission de la bonne manière, il n’y a aucune raison qu’elle pose problème et vous quitterez votre employeur en bons termes.
Voici 5 approches que vous pouvez déjà oublier…
1. Ne pas prendre congé
Quitter une société sans prendre congé correctement est à éviter en toutes circonstances. Vous feriez en effet preuve d’un réel manque de respect à l’égard de vos collègues avec qui vous avez travaillé pendant plusieurs années. Vous vous verriez par la même occasion affublé d’une image très négative.
Prendre congé correctement et en toute bienveillance est la meilleure solution pour toutes les personnes impliquées. Et qui sait, peut-être voudrez-vous un jour retourner auprès de votre ancien employeur.
2. Démissionner et se montrer rancunier
Lorsque vous amorcez un changement dans votre carrière, il est important de prendre congé avec dignité.
Vous montrer rancunier n’aurait qu’un impact négatif sur vous et sur votre environnement. Vous n’étiez pas satisfait du contenu de votre emploi, de votre rémunération ou d’autres facteurs ? Je vous déconseille également d’exprimer votre ressentiment ou votre amertume. Qui dit nouvel emploi, dit nouveau départ : tirez-en énergie et satisfaction.
3. Perdre sa motivation
La motivation est importante pour tous les collaborateurs, même si vous avez présenté votre démission.
Il pourrait vous sembler séduisant d’en faire le moins possible lorsque vous avez pris la décision de vous lancer sous d’autres cieux. Cela serait cependant contre-productif. Votre patron et vos collègues le remarqueront très rapidement et vous demanderont des comptes, au risque de troubler vos relations réciproques. Vous ne tirerez en outre plus aucun plaisir de votre emploi au cours de votre préavis, qui peut durer jusqu’à trois mois si vous êtes cadre, un mois si vous êtes employé.
Par contre, si vous restez motivé, vous pourrez compter sur la considération de vos collègues, qui se souviendront encore longtemps de votre attitude positive.
4. Faire preuve d’un esprit négatif
La négativité est banale au sein de toutes les entreprises. Elle crée une ambiance désagréable qui se répand comme une traînée de poudre. Et cela n’est pas sans conséquence sur le fonctionnement quotidien de l’entreprise et sur le comportement des collaborateurs.
Démissionner ne doit pas être un sauf-conduit pour plonger dans une spirale négative. Vous risqueriez de gâcher vos dernières semaines de travail, ainsi que celles de vos collègues directs et d’éprouver un stress supplémentaire. Vous avez également tout intérêt à laisser une impression positive. Qui sait, vous serez peut-être un jour amené à être à nouveau en contact avec vos collègues actuels.
5. S’évanouir dans la nature
Nous vous déconseillons fortement de démissionner avant de plier bagage immédiatement.
Vous n’y gagneriez qu’une mauvaise réputation, qui se répandrait très rapidement au sein et en dehors de votre entreprise. Vous risqueriez également de devoir faire face à des problèmes juridiques si vous ne respectez pas la durée de votre préavis.
Nous vous recommandons de définir un délai de préavis avec votre employeur. Celui-ci ne doit pas obligatoirement correspondre aux exigences légales. Les employeurs se montrent généralement plutôt enclins à raccourcir le délai de préavis. Vous disposez très certainement d’une marge de manœuvre vous permettant de vous mettre d’accord, en fonction de la date à laquelle vous devez commencer chez votre nouvel employeur.
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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin
3 mars 2022
Démission : vous y pensez, vous aussi ?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under anxiété, épuisement professionnel, bien-être, burnout, burn out, burn-out, coaching, confiance en soi, conseils, espoir, estime de soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), inquiétude, lassitude, liberté, mal-être, malaise, MonPsy, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, psychothérapie cognitive et comportementale (TCC), réflexion, souffrance, soutien psychologique, stress, témoignage, travail | Étiquettes: absentéisme, anxiogène, arrêt maladie, arrêts de travail, épuisement professionnel, éthique, Big Quit, bon choix, chômage, crise sanitaire, déceptions, déconnecter, déconnexion, dialogue, engagement, entretiens d’embauche, fatigue, flexibilité, frustrations, horaires impossibles, management bienveillant, motivation, mutation, ouverture d’esprit, psychiatre, psychologue, quête de sens, résignation, reconnaissance, rigidité, routine, ruptures conventionnelles, soulagement, télétravail, troubles psychologiques, turn over |Laissez un commentaire
Travail : pourquoi tant de démissions ?
Poser sa démission…
…un rêve caressé par de nombreux salariés, en quête de plus de sens, d’autres façons de travailler ou d’être managés.
Et qui devient de plus en plus réalité pour nombre d’entre eux.
Certaines entreprises sont ainsi confrontées à des vagues de départs et des secteurs peinent considérablement à recruter.
Il a quitté un CDI sans avoir un autre emploi derrière.
Il y a deux mois, Mickaël, 33 ans, a « claqué sa dém ». Fini Paris, direction Annecy et la montagne, pour ce chef de projet amoureux des grands espaces. « J’aimais mon travail, mon équipe, il y avait une bonne ambiance. Mais je n’étais pas dans mon élément. La ville m’étouffait, je trouvais l’atmosphère anxiogène. J’ai voulu obtenir plus de télétravail, mais la politique du groupe était 2 jours par semaine, pas plus. » Mickaël tente une dernière fois de négocier et face à son manager « qui ne pouvait faire autrement qu’appliquer les directives », pose sa démission dans la foulée. « Je serais resté si j’avais pu obtenir plus de télétravail et m’installer à la montagne. Si j’ai démissionné, sans rien derrière, c’était pour me forcer à avancer, déclencher l’action et ne pas rester dans cette bulle pesante pour moi encore longtemps à me dire ‘je le ferai demain’. »
Sa démission posée, il ressent un immense soulagement. « Ca m’a confirmé que c’était le bon choix ».
Mickaël n’est pas le seul à avoir posé sa démission récemment. Depuis le début de la pandémie, de nombreux salariés ont quitté leur emploi. En France, le nombre de démissions de personnes en CDI a bondi de 10,4% en juin 2021 et de 19,4% en juillet 2021 par rapport à juin et juillet 2019. Soit 302 000 départs en deux mois. Le nombre de ruptures conventionnelles a lui aussi progressé de 15,4% et 6,1% sur la même période, pour atteindre 85 000 départs, d’après les chiffres de la Dares (ministère du Travail).
Si le raz-de-marée du Big Quit, ou la Grande Démission, qui frappe les Etats-Unis, où 38 millions de personnes ont quitté leur travail en 2021, ne semble pas submerger la France, une vague de départs est néanmoins bien à l’œuvre, symbole d’un monde du travail en véritable mutation.
Covid : démissions en pagaille
La crise sanitaire que nous traversons a joué un rôle de révélateur pour de nombreux salariés. Confiné, puis soumis à de nombreuses restrictions, face à la maladie, à l’incertitude, chacun s’est interrogé, remis en question :
- Qu’est-ce que j’ai envie de faire de ma vie ?
- Qu’est-ce qui est essentiel pour moi ?
- Quelle place est-ce que je donne à mon travail ?
Le télétravail y est pour beaucoup mais chez les salariés qui n’en ont pas, on voit aussi de nouvelles attentes envers leur travail. Si celles-ci ne sont anticipées ou comblées, cela engendre des frustrations, des déceptions et l’envie de quitter son job.
Démissionner, Louise y pensait depuis un moment déjà.
Senior manager depuis deux ans dans un grand cabinet de conseil, elle vient de trouver un poste de directrice de pôle dans une entreprise de taille intermédiaire (ETI) dans le secteur de l’agroalimentaire. Ses aspirations ? Plus de sens et travailler moins, profiter davantage de la vie. « On a tous réfléchi avec le Covid. J’ai réalisé à quel point j’étais peu considérée dans mon travail, sans reconnaissance, sans le salaire qui allait avec les efforts que je fournissais, sans le droit de déconnecter, de couper : je travaillais le soir, le week-end, et même pendant mes vacances. Sauf qu’aujourd’hui, je ne le supporte plus, et surtout, je n’ai plus à le supporter ».
Le retour à la croissance qui se dessine va de pair avec un marché de l’emploi, qui, dans de nombreux secteurs, redevient plus dynamique. « Pendant deux ans, on a eu une épée de Damoclès au-dessus de la tête, avec la peur de finir au chômage si on ‘ne travaillait pas bien’. Dans ma boîte, il y a eu de nombreuses charrettes. Quinze personnes de mon pôle – sur 40 – ont ainsi été poussées dehors. Aujourd’hui, ce principe de faire stresser les gens qui ont intérêt à être de bons soldats et à dire oui à tout n’existe plus. »
La pression s’est même inversée. Dans l’ancien service de Louise, ils sont 5 – sur 15 – à avoir posé leur démission dans les six derniers mois. « C’est une vraie fuite des talents, ce sont les bons éléments qui partent. »
Santé psychologique : non négociable !
Quête de sens, souhait d’être utile, envie de flexibilité et de liberté…
Les aspirations des démissionnaires ne sont pas nouvelles.
Ce qui a changé, c’est qu’elles sont devenues non négociables.
Avant, il y avait beaucoup de doutes (par exemple, ‘vais-je pouvoir négocier un 4/5e ?’), de résignation, mais désormais, les gens osent vraiment, ils sont plus droits dans leurs bottes. Ils ont expérimenté, le télétravail notamment, et savent que ça marche, qu’ils sont plus productifs.
Alors pourquoi repartir sur quelque chose qui ne leur convient pas ?
Et ils ont raison : ils ont le droit d’aller vers ce qui est bon pour eux ! C’est à cette condition que le travail, c’est la santé.
Camille a démissionné à peine un an après avoir commencé un poste dans la communication.
« Au début, tout était merveilleux, les missions, le management bienveillant. Puis la bienveillance s’est essoufflée, la routine a pris le dessus, c’était tous les jours le même train-train, le climat n’était ni à l’optimisme ni aux projets. J’ai commencé à étouffer et à venir en traînant des pieds. Puis, une nouvelle chef est arrivée. Un management à l’ancienne, aucune souplesse, une grande rigidité, aucune chaleur humaine ou intention de nous connaître, elle n’avait pas confiance en nous, nous fliquait. On ne pouvait pas faire entendre nos idées, suggestions, nos choix. En quelques mois, je me suis mise à en souffrir ». La jeune femme cherche alors activement un autre travail et pose sa démission, triste, mais soulagée.
Quitter son job pour préserver sa santé mentale : un héritage de la crise.
La santé psychologique devient plus que jamais une motivation qui détermine les choix professionnels. Dans les baromètres réalisés pendant la crise, 2/3 des gens disaient ne plus vouloir travailler dans des environnements qui pouvaient menacer leur équilibre psychologique. Ce qui a changé aussi, c’est que nous n’attendons plus d’être affecté par un stress intense ou un burn-out : on anticipe et on fait ses choix professionnels en conséquence.
Ce qui peut expliquer que certains secteurs peinent actuellement à recruter, comme la restauration, le médicosocial, la grande distribution ou encore le conseil et l’audit, des secteurs exigeants, durs, où l’équilibre de vie peut être un enjeu .
Nouvelles et justes valeurs à satisfaire
Pour Charlotte, les confinements ont été le déclic pour partir de Paris.
« J’ai compris que je pouvais faire ma vie ailleurs. Je voyais aussi beaucoup de personnes quitter la capitale, avec un ras-le-bol des horaires impossibles et du trop de pression. J’avais besoin de reconnecter avec d’autres valeurs ». Elle décide de placer sa vie personnelle en priorité sur sa vie professionnelle. Démission posée, direction Bordeaux pour cette account manager. « Je ne pensais pas retrouver du travail si vite. J’ai eu le choix entre deux boîtes et je n’ai pas choisi d’aller dans celle qui me payait le mieux, mais dans celle où j’ai senti le plus de cohérence et de « vibes » humaines avec les équipes. J’attends d’une entreprise qu’elle soit humaine, flexible, motivante, ce que je ne trouvais plus dans mon ancien poste. »
Les collaborateurs seraient-ils devenus plus exigeants ?
Oui. Nous assistons à l’émergence de « collaboracteurs », qui font des choix éclairés au regard de la raison d’être et de l’éthique des entreprises, de la façon dont elles traitent les salariés, du management et des conditions de travail. Loin de l’idée reçue selon laquelle les salariés, notamment les nouvelles générations, seraient des enfants gâtés, qui ne voudraient plus bosser.
Cette crise montre bien que personne n’est gâté, on peut tous être exposés à des risques psychosociaux. Les jeunes générations sont réputées se démotiver vite, démissionner vite. En témoignent le nombre croissant de démissions de jeunes diplômés après un an de vie professionnelle.
Mais les jeunes – et les moins jeunes d’ailleurs – veulent toujours bosser, mais ils veulent faire des choses qui leur plaisent vraiment. Ils ne veulent plus d’un job sans sens ou qu’on leur donne des conduites sans liberté d’action.
Entreprises : s’adapter ou…
Face à ces attentes nouvelles des salariés, les entreprises vont devoir s’adapter, se transformer.
Sans quoi elles auront des difficultés à recruter, connaîtront l’absentéisme, le turn over, des arrêts de travail. Le psychologue du travail rappelle aussi que la crise n’est pas finie, et que 2/3 des salariés conditionnent leur engagement avec la façon dont ils ont été traités pendant cette dernière : c’est donnant-donnant.
Ces exigences, de sens, de déconnexion, d’équilibre des vies, d’un management positif et sain, on les retrouve désormais dès les entretiens d’embauche, notamment chez les plus jeunes. Mickaël, par exemple, pose directement ses conditions : 50% de télétravail au moins.
Ce que lui, Camille, Louise et Charlotte ne veulent plus revivre ? Le manque de confiance, de dialogue, d’ouverture d’esprit sur les conditions de travail, de bienveillance aussi.
Pour Louise, « les entreprises trop ancrées dans les schémas traditionnels, qui n’ont pas compris que les mentalités ont changé, ne pourront pas survivre. Ailleurs, il y a mieux ».
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25 décembre 2021
Comment cette étudiante en a fini avec ses crises d’angoisse
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, épuisement professionnel, bien-être, covid, dépression, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), inquiétude, jugement, mal-être, malaise, mort, peur, solitude, souffrance, stress, témoignage | Étiquettes: découragement, déni, dévalorisation, eczéma, envie, migraines, moralement à bout, motivation, PACES, prendre soin de soi, se calmer, se détendre, sens, soulagement, surcharge de travail |Laissez un commentaire
Le confinement lui a «sauvé la vie».
Marie-Ange, 24 ans, pèse ses mots.
En mars 2020, elle était en quatrième année de pharmacie à Strasbourg, et moralement à bout. Pourtant, devenir pharmacienne a toujours été une évidence pour elle.
Mais, dès le début de la PACES (la première année commune aux études de médecine), elle doit faire face à la pression.
«On nous disait “peu importe vos résultats au bac, ici, vous êtes nuls”. Tout était fait pour nous décourager.» Déstabilisée, Marie-Ange travaille d’arrache-pied, se prend «une claque» au moment des classements et commence à douter. «Je me disais que je n’y arriverai jamais. Je me sentais faible, nulle, tout le temps.»
Elle refait la PACES, déterminée à aller au bout de ses envies. Et cette fois, elle obtient sa place en pharmacie. «J’en ai pleuré de soulagement», se souvient-elle. Pourtant, face à la surcharge de travail, elle se sent fragilisée. «Les années PACES ont fait des ravages, psychologiquement et physiquement. Depuis, j’ai des migraines et des plaques sur la tête en période de stress.»
Dès l’enfance, on pousse à la réussite.
On ne valorise pas les erreurs et on considère les notes comme plus importantes que les appréciations. En même temps, on n’apprend pas à se calmer, se détendre. Dans notre société, prendre soin de soi n’est pas valorisé.
Conséquence : plongés dans des études exigeantes, on sent une lourdeur chez certains étudiants, qui dévient de tout ce qui pourrait les aider à acquérir un équilibre psychique. À cet âge-là, il faudrait pouvoir développer une curiosité intellectuelle, s’intéresser à plein de choses.
En quatrième année, Marie-Ange sombre peu à peu.
«J’étais dépassée. J’avais plus envie.» Alors qu’elle travaille, la jeune femme fait de telles crises d’angoisse qu’elle s’évanouit deux fois et sombre dans une dépression.
«J’avais pas envie de me lever. Plus rien ne me réjouissait. Dès que j’approchais de la fac, j’avais du mal à respirer, je me sentais énervée.»
Au premier semestre, sa moyenne s’élève à 9,88. Les échéances des rattrapages, des examens et du certificat de synthèse lui paraissent insurmontables. «Je ne voyais plus d’autres portes de sortie que d’arrêter. Je n’en pouvais plus.» Les pires pensées traversent son esprit. «Je savais que si je continuais comme ça, je ne finirais pas l’année vivante…»
Son quotidien se voit alors bousculé par le Covid.
À l’annonce du confinement, Marie-Ange ressent un immense soulagement.
«Plus besoin de retourner à la fac, amen!» Elle rentre dans son village natal, à la campagne.
«C’était une rupture énorme. Au début, on n’avait pas de nouvelles de la fac, on ne nous envoyait même pas de cours.» L’étudiante découvre alors les petits plaisirs quotidiens que lui offre cette parenthèse chez elle. Une raclette à midi devant la télé, une balade dans les champs en compagnie de sa maman… Son état moral n’a plus rien à voir. «Je me disais que les journées n’étaient pas assez longues pour tout vivre. D’habitude, c’était, dès le réveil, “hâte d’aller au lit ce soir, que cette journée soit finie”.»
Après trois semaines de confinement, quand elle s’est «sentie prête», Marie-Ange s’est remise aux cours.
Elle renoue alors avec le plaisir d’apprendre, en allant à son rythme.
Sa moyenne remonte, à l’image de sa motivation. Les mois qui suivent, elle continue d’organiser ses journées comme elle le souhaite, avec des cours en visio. Marie-Ange se réapproprie ses études et en retrouve le sens. Le stage qu’elle effectue en milieu hospitalier lui confirme son envie d’aider les autres. «Ça a été une bulle d’air, je me suis sentie utile, sur le terrain.»
À présent, la jeune femme est en sixième et dernière année.
Avec le recul, elle l’affirme : le Covid a été une libération pour elle. Le confinement est survenu pour Marie-Ange à un moment de tensions importantes dont elle avait besoin de s’extraire pour relâcher la pression et récupérer ses ressources.
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11 novembre 2021
Comment vaincre votre peur des piqûres avec ces 4 nouvelles techniques
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, bien-être, confiance en soi, conseils, espoir, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), hypnose, hypnothérapie, inquiétude, peur, stress, technique/protocole | Étiquettes: aide, aiguille, étourdissements, « confort, courage, douleur, injection, intégration neuro-émotionnelle par les mouvements oculaires (EMDR), motivation, relaxation et distraction » (CARD), sueurs froides, thérapie par exposition, tremblements, vaccination, vaccins |Laissez un commentaire
Vaincre votre peur des piqûres, oui, c’est possible !
Pensez à la dernière fois où vous avez eu vraiment peur – je veux dire, où vous avez ressenti de la terreur : sueurs froides, tremblements, cœur qui bat à tout rompre.
Maintenant, pensez à ce que ce serait de vivre cela à la seule vue d’une aiguille ou simplement en entendant quelqu’un parler des vaccins contre le Covid-19.
Cette réalité concerne environ une personne sur dix. Elle n’est pas à négliger dans les campagnes de vaccination :
- Premièrement, lorsque quelque chose nous rend très anxieux, on a tendance à l’éviter ou à le retarder.
- Deuxièmement, éprouver une grande peur et une réaction au stress peut conduire à un comportement de fuite (qui fait qu’on s’éloigne ou qu’on agit de manière agressive), à vivre une grande détresse au moment de la procédure et à avoir des symptômes de réactions au stress de la vaccination, comme des étourdissements ou un évanouissement.
- Troisièmement, la peur de l’aiguille peut, à son tour, être accrue par le fait d’avoir déjà vécu une réaction au stress de la vaccination ou d’avoir entendu parler d’autres personnes qui l’ont vécue.
Ce qu’il faut savoir, c’est que ces réactions ne résultent pas d’un défaut du vaccin. En fait, elles peuvent survenir avant, pendant et après l’injection en raison du stress ressenti.
Un certain degré de crainte des aiguilles est courant et se manifeste chez la plupart des enfants, jusqu’à la moitié des adolescents et de 20 à 30% des personnes âgées de 20 à 40 ans.
La bonne nouvelle, c’est qu’il existe quatre techniques fondées sur des données scientifiques pour régler le problème.
1 – Premièrement, l’hypnose à mon cabinet en une ou deux séance.
Ensuite, ce qui suit.
2 – Le système « confort, aide, relaxation et distraction » (CARD) peut aider les parents, et vous-mêmes à rendre l’expérience de la vaccination aussi agréable que possible.
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Que porterez-vous pour qu’il soit facile d’accéder à vos bras ?
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Que ferez-vous en attendant à la clinique (lire, écouter de la musique, jouer à un jeu vidéo) ?
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Devriez-vous acheter un anesthésique local pour engourdir votre peau au site d’injection ?
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Comment voulez-vous que le clinicien signale qu’il commence, par exemple, en disant « Un, deux, trois, on y va »?
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Décidez si vous voulez regarder ou non pendant l’injection, et dites au clinicien ce que vous voulez.
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Pendant qu’on vous pique, voulez-vous parler d’autre chose, jouer sur votre téléphone ou écouter une imagerie guidée ?
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Par la suite, comment allez-vous vous récompenser et vous souvenir de ce qui vous a aidé ? Vous pourriez filmer une courte vidéo où vous décrivez ce qui s’est bien passé pour vous aider la prochaine fois.
3 – La thérapie par exposition peut se faire en situation réelle, ou en imaginant la situation redoutée.
- Tout d’abord, on demande à la personne de dresser une liste de toutes les situations et de tous les aspects de la piqûre qui lui font peur : est-ce le fait de voir du sang ? De sentir l’aiguille pénétrer dans son corps ? La douleur ? L’étourdissement ? Autre chose ?
- Ensuite, la personne évalue sa peur pour chaque situation et crée une échelle de la peur qui commence par la situation la moins redoutée (par exemple, regarder des images d’aiguilles) et avance par petits paliers vers la plus redoutée (par exemple, l’injection d’un vaccin). Le patient répète chaque étape jusqu’à ce que sa peur diminue avant de passer à la suivante.
- Certaines personnes se sentent étourdies ou s’évanouissent quand on leur fait des piqûres. Ce phénomène est plus fréquent chez les gens qui ont un niveau de peur élevé. Une technique appelée contraction musculaire, qui consiste à contracter et à relâcher les muscles, peut aider à éviter la chute soudaine de tension artérielle qui entraîne des étourdissements et des évanouissements.
Bonus : vous pouvez imaginer la motivation et le courage nécessaires pour affronter ses peurs, ce qui a une incidence sur l’acceptation du traitement.
4 – J’utilise aussi d’autres traitements prometteurs, comme l’intégration neuro-émotionnelle par les mouvements oculaires (EMDR), à mon cabinet toulousain ou en visio.
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15 août 2021
Voulez-vous être heureux ?
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« Pour être heureux, il faut éliminer deux choses :
la peur d’un mal futur
et le souvenir d’un mal passé.”
Sénèque, philosophe stoïcien grec du 1er siècle ap. JC
4 mars 2021
Mettez la puissance de l’hypnothérapie profonde à Votre service !
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under addiction-dépendance, angoisse, anxiété, bien-être, burnout, burn out, burn-out, coaching, confiance en soi, couple, dépression, espoir, estime de soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), guérison, hypnose, hypnothérapie, inquiétude, lassitude, liberté, mal-être, peur, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, psychothérapie cognitive et comportementale (TCC), réflexion, séance à distance, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, technique/protocole | Étiquettes: abus sexuels, acceptation, énergie, épanouissement, colère, compassion, conflits, croyances limitantes, culpabilité, joie, légende personnelle, mission de vie, motivation, mutuelle, Pierre Janet, psychologue, psychothérapie, quête intérieure, remboursement, ressentiment, sérénité, traumatismes, violences physiques, vitemadose |Laissez un commentaire
Vout type de problématique (ne relevant pas de la psychiatrie, ni remplaçant un traitement médical) peut être traité en psychothérapie :
- Acquérir des « ressources » qui vous font défaut : assurance, confiance en soi, sérénité, compréhension, acceptation etc…
- Vous libérer des croyances limitantes : « Je suis nul(le).. », « Je ne réussirai jamais », « Qu’est-ce qu’ils vont penser de moi ? », « Je ne mérite pas… » etc… etc…
- Apprenez à définir des objectifs et à vous motiver
- Ayez une image de vous positive : acceptez-vous tel que vous êtes, ou changer et s’aimer
- Libérez-vous de sentiments et d’émotions désagréables : mal-être, colère, culpabilité, ressentiment, anxiété, etc…
- Libérez-vous de votre mal-être, de tendance dépressive : retrouvez votre envie de vivre, l’énergie, la joie
- Libérez-vous d’un passé difficile : traumatismes, abus sexuels, violences physiques, phobies, etc…
- Apprenez à pardonner aux autres ou à vous-même : vous réconcilier et faire preuve de compassion pour vous et les autres
- Améliorez votre qualité de communication : mieux communiquer avec vos proches (conjoint, enfants…), établir des relations constructives et gérer les conflits
- Gérez un deuil ou une séparation, un problème de couple (actuels ou passés), repérer et changer vos comportements répétitifs
- Favorisez votre épanouissement et la guérison (en complémentarité à un traitement médical)
- Approfondissez votre « quête intérieure » et votre« mission de vie » : développement de votre potentiel pour réaliser votre « légende personnelle ».
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Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin
26 février 2021
Alcool, tabac, cannabis, médicaments… Les addictions à Toulouse en pleine explosion !
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under addiction-dépendance, alimentation, angoisse, anxiété, épuisement professionnel, étude scientifique, dépression, espoir, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), hypnose, hypnothérapie, inquiétude, lassitude, mal-être, pandémie, peur, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, réflexion, séance à distance, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, témoignage | Étiquettes: antidépresseurs, anxiété sociale, anxiolytiques, écrans, boulimie, cannabis, culpabilité, déconfinement, dépression, excès, fragilités, isolement, motivation, mutuelle, obsession, poker en ligne, précarité, psychologue, remboursement, soutien social, télétravail, TCA, vide intérieur, vitemadose, vulnérabilités |Laissez un commentaire
Alcool, tabac, drogues et médicaments…
Les addictions, autre dégât collatéral du Covid-19.
Peut-être êtes-vous concerné ?
Le stress, l’absence de cadre ou la précarité ont fait augmenter la consommation et parfois les dépendances à l’alcool, à certaines drogues ou à des médicaments.
« Il y a deux choses qui m’ont alerté : je commençais à boire le matin et à cacher des verres, des bouteilles… », raconte Alexis (tous les prénoms ont été changés), ce mercredi de janvier, ce quadragénaire toulousain.
Pour Alexis, publicitaire et père d’un jeune enfant, tout a dérapé lors du premier confinement, au printemps 2020. En quelques semaines, sa consommation de vin, « déjà un peu au-dessus des recommandations officielles », souligne-t-il, double. Carburant, béquille, l’alcool devient une obsession. Après un mieux au déconfinement, il replonge avec le deuxième confinement et le retour du télétravail. La prise en charge à mon cabinet porte désormais ses fruits : « On fixe des objectifs toutes les semaines, ça pousse à se bouger », se réjouit Alexis, en phase avec l’approche de consommation raisonnée qui lui a été proposée.
Ne pas renoncer complètement à l’alcool mais retrouver sa consommation d’avant, c’est aussi le but de Lucie. Comme Alexis, ce sont la pandémie et les bouleversements de la vie quotidienne qui ont fait basculer dans l’excès cette tout juste quadragénaire, à la vie sociale « très riche ». Privée de danse, sa « bulle d’oxygène », et de sorties, contrainte de donner ses cours face à un écran, l’enseignante s’est mise à boire seule pour combler le vide.
Du vin et du rhum. De plus en plus. Elle se tourne vers son entourage… qui minimise. « Moi, j’ai eu la chance de m’inquiéter, mais c’est un thérapeute en hypnose profonde qui m’a aidé, pas mes proches, estime Lucie. Pour l’alcool, beaucoup se voilent la face à cause du côté festif, culturel. » Mi-mai, en cherchant une aide sur Internet, elle a pris contact avec mon cabinet. Elle se sent « soutenue, accompagnée ». Lucie ne m’a pourtant jamais vu qu’à travers un écran. « C’est plus pratique en visio », dit-elle.
A mon cabinet toulousain, la crise sanitaire a fait émerger et se développer les consultations à distance. Désormais, je panache mon activité entre consultations sur place à mon cabinet et à distance. Et cela fonctionne.
Les demandes venant de femmes ont fortement augmenté, alors qu’elles ne représentaient guère que 10 % de ma clientèle. Souvent liée avec l’anxiété sociale. Certaines avaient sans doute conscience depuis longtemps de consommer trop mais ne venaient pas. On a l’impression que cette crise a levé leur culpabilité, qu’elles se sont plus autorisées à en parler et prendre soin d’elles. Je suis convaincu, le vécu de la crise est plus difficile pour les femmes, avec une sensation d’isolement plus importante, la gestion des enfants, des violences familiales exacerbées.
Qu’elles arrivent par bouche-à-oreille ou par leur médecin traitant, voire internet, les femmes ayant un problème d’alcool sont contentes de consulter à distance, de ne pas se montrer en salle d’attente. Et c’est parfois plus facile pour elles en matière d’organisation, avec les enfants notamment.
Un accompagnement à distance est utile. Ainsi, elles ont plus confiance, car ce qui relève de l’addiction est proche de l’intime. Et connaître le témoignage de femmes qui étaient au plus bas et s’en sont sorties avant elles fait naître une nouvelle motivation et l’espoir.
Rappelons que le tabac est la première cause de décès évitables – il en provoque 73 000 par an – devant l’alcool – 49 000 par an. Ce dernier est de surcroît souvent un facteur de violences. Ainsi, dans 54,6 % des féminicides, la présence d’alcool, de psychotropes ou de stupéfiants est relevée chez l’auteur et/ou la victime, selon une étude du ministère de l’intérieur.
Pour le cannabis, si la majorité des consommateurs n’ont pas changé leurs habitudes pendant le premier confinement, « la part des usagers quotidiens est passée de 20 % à 31 % », indique l’enquête Cannabis Online de l’OFDT, menée en ligne auprès d’environ 2 800 adultes, usagers dans l’année.
Les drogues de type cocaïne et ecstasy, consommées dans des situations festives, ont elles fortement baissé pendant cette période. En revanche, il y a eu « une tendance à la hausse relativement marquée » pour les anxiolytiques et les hypnotiques, selon le rapport Epi-Phare (commun à l’Assurance-maladie et à l’Agence nationale de sécurité du médicament).
La consommation est restée élevée pendant le deuxième confinement et après. Les addictions comportementales comme celles aux écrans se sont elles aussi accrues. Malgré le recul des paris sportifs, les joueurs de poker en ligne ont quasiment doublé, à 500 000 au deuxième trimestre 2020, selon l’étude Trend de l’OFDT.
Certaines populations semblent particulièrement vulnérables, au premier rang desquelles les étudiants.
Une étude réalisée fin mars 2020 et publiée en février dans Frontiers in Psychiatry, portant sur des étudiants de quatre universités françaises déclarant boire de l’alcool de façon habituelle, s’est intéressée à leurs consommations et à leur ressenti psychique pendant le confinement. Les trois quarts d’entre eux avaient un niveau de stress modéré ou élevé (contre 25 % lors d’une précédente étude, réalisée de 2009 à 2011), constatent Valentin Flaudias (université Clermont-Auvergne), premier auteur de l’article, et ses collègues.
Or, « on note une forte association entre le niveau de stress ressenti et le niveau de consommation d’alcool, notamment chez les filles, plus sujettes au stress, mais aussi l’usage compulsif d’Internet ou les troubles du comportement alimentaire », explique Mickael Naassila (Inserm, université de Picardie), président de la Société française d’alcoologie, et coauteur de l’article. Inversement, « le soutien social est un facteur majeur de résistance au stress », confirme l’étude.
J’observe que le premier confinement a été plutôt très bien supporté par la majorité des jeunes. Par contre, depuis le deuxième confinement, je constate plus de crises de boulimie, de conduites addictives, avec un niveau d’angoisse élevé.
Le stress induit par la crise sanitaire a pu révéler des vulnérabilités et exacerber des fragilités.
Ainsi, je connais une étudiante en faculté de droit, dont tous les cours sont en visio depuis septembre 2020, vit seule dans une chambre d’étudiant, loin de sa famille. Elle souffre de ne plus voir ses amis, de ne plus sortir. L’avenir l’inquiète beaucoup. Elle s’est mise à boire un ou deux gins tous les soirs, puis un peu plus, « pour dormir, être apaisée ». Un témoignage loin d’être exceptionnel dans les universités. Différents étudiants me disent aussi faire beaucoup plus régulièrement appel à des antidépresseurs ou à des anxiolytiques.
Au-delà de cette population particulièrement à risque, l’isolement social augmente les consommations, tout comme l’absence de cadre (télétravail, échanges en visio…). Je suis d’autant plus inquiet pour l’avenir que d’autres signaux sont au rouge.
La vraie vague est attendue cette année, car le terreau des addictions est la dégradation de la santé mentale, la dépression, l’anxiété, le lâcher-prise, mais aussi la précarité. Et le terreau est bien là : les états anxieux et dépressifs se maintiennent à un niveau élevé, autour de 20 %, selon les dernières données (18-20 janvier) de l’enquête CoviPrev.
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19 octobre 2020
L’hypnose peut vous aider à résoudre tout cela :
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15 octobre 2020
« Chaque être humain est une merveille, un trésor, et même un… »
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« Chaque être humain est une merveille, un trésor, et même un miracle.
Tout ce que nous exprimons à un certain moment dans le temps représente ce que nous avons appris consciemment et inconsciemment.
Pour changer notre comportement, nous avons besoin de nouveaux apprentissages, d’une motivation, d’un but, d’un contexte favorable et de la certitude que nous pouvons trouver de l’aide à l’extérieur. »
–
Virginia Satir
(Thérapeute de couple)
27 septembre 2020
Boulimie et autres troubles du comportement alimentaire (TCA) : le poids des réseaux sociaux
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Les réseaux sociaux ont beaucoup ajouté au fardeau de mes clientes.
« Tout le monde a le temps de faire la cuisine, et nous sommes submergés de nourriture sur les réseaux sociaux. Ca peut être compliqué à vivre pour certaines personnes« , témoignait une cliente boulimique.
De nombreuses injonctions à « rester en bonne santé » ou éviter la prise de poids, ainsi que de multiples plaisanteries sur l’épidémie d’obésité qui suivrait probablement le confinement ont participé au mal-être des personnes souffrant de TCA.
« Je regarde des vidéos sportives où je suis jugée pour mon manque de motivation à faire quoi que ce soit et où mon corps est dégoûtant comparé à celui des autres. Tout le monde s’améliore et pas moi« , témoigne une autre cliente.
Heureusement, le confinement a aussi eu des effets positifs sur certaines d’entre elles, notamment grâce au contact rapproché avec les personnes du même foyer : « Les crises et les purges ont diminué. Je faisais cela 5 fois par jour. Maintenant que les gens sont à la maison avec moi, elles sont réduites à un jour sur deux« , raconte une des personnes boulimiques.
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16 août 2020
Reconversion professionnelle : mon accompagnement personnalisé
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Si vous vous sentez perdu, et que vous ne savez pas par où débuter.
Mon coaching vous permettra de commencer avec confiance, et aller vers votre projet mûri.
Pour le présent :
découvrez qui vous êtes
. Mieux connaître votre personnalité, et vos modes de fonctionnement
. Explorer de nouvelles facettes de vous-même
. Identifier vos savoir-faire, forces et talents
. Identifier et travailler vos peurs et blocages
Pour votre futur :
construisez votre boussole
. Construire le projet qui a du sens pour vous, et identifier votre environnement de prédilection
. Définir vos pistes de projets, et les faire émerger, être motivé
. Construire votre plan d’action, identifier les freins à votre projet
. Passer à l’action
. Apprendre à tenir efficacement ses résolutions
Vous allez découvrir comment vous développer de manière autonome.
A changer votre perspective sur la façon d’aborder votre nouvelle carrière.
C’est une méthode qui vous servira toute votre vie, car vous permettant d’envisager sereinement vos prochaines transitions.
🙂
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25 avril 2019
Questions ouvertes sur votre consommation de cannabis
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under addiction-dépendance, anxiété, étude scientifique, croyance, dépression, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), guérison, mal-être, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, réflexion, souffrance, soutien psychologique | Étiquettes: apprentissage, drogues, motivation, résine, rechute, schizophrénie, thc |Laissez un commentaire
Selon une note des services de lutte contre les trafics de stupéfiants, la concentration en THC de la résine de cannabis est passée de 11% à 26,5% en huit ans…
D’après les spécialistes, plus sa qualité augmente, plus le risque de développer une maladie psychiatrique est grand, et plus l’addiction est importante.
-
- Quels sont les mécanismes de l’addiction au cannabis ? Comment réussir à arrêter de consommer sans rechuter ? Est-ce qu’il y a une solution miracle ?
- Le cannabis est-il à l’origine de maladies psychiques ? Y a t-il un lien entre usage de cannabis et schizophrénie ?
- Le cannabis nuit-il à la fertilité ? Qu’en est-il sur les femmes enceintes ?
- Consommer du cannabis à l’adolescence est-il plus risqué qu’à l’âge adulte ?
- Quels sont les risques d’une consommation à long terme pour le corps ? Le cannabis altère-t-il les capacités d’apprentissage et la motivation ?
- Le cannabis conduit-il à consommer d’autres drogues ?
- Pourquoi est-il pertinent de dédier un plan de prévention sur l’addiction au cannabis ?
- …
Autant de questions qui interpellent.
Heureusement, les réponses existent.
Elles permettent de surmonter cette dépendance avec une psychothérapie.
10 avril 2019
La bienveillance au travail: concrètement, comment faire ?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under bien-être, coaching, confiance en soi, conseils, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), soutien psychologique, stress, travail | Étiquettes: épanouissement, compétences, créativité, engagement, management, motivation, posture, réussite, relation humaine, talents |Laissez un commentaire
La bienveillance est à la mode.
On la convoque à toutes les sauces. À tel point qu’elle en perd parfois de sa superbe.
Comment la favoriser (vraiment) au travail ? Voici le nouveau livre du Dr Rodet. Pragmatique, il offre de multiples pistes d’action.
La bienveillance n’est ni un concept managérial, ni un concept organisationnel, mais un engagement de soi vis-à-vis de l’autre.
Être bienveillant, c’est se soucier de l’autre, lui vouloir du bien, au travers d’une relation humaine vraie et de qualité.
Le dire, c’est bien, le faire au travail, c’est encore mieux…
Pourtant, le stress, le manque de motivation se font sentir dans les entreprises.
On sait aujourd’hui que le travail est une forte source de stress, dont l’impact peut être ravageur sur les individus mais aussi sur les entreprises.
A contrario, on sait également que la bienveillance – et les émotions positives en général – diminue les effets du stress et favorise à la fois la créativité et la motivation des individus à s’engager dans des activités améliorant ainsi leurs talents et leurs compétences.
Pourquoi, dans ce cas, ne pas développer plus de comportements bienveillants afin de créer une ambiance de travail plus en harmonie avec ce que nous sommes ?
C’est le voeu de l’auteur et c’est là tout l’intérêt du livre : il s’agit d’un véritable guide pratique destiné à vous aider, que vous soyez manager ou managé, à changer de posture, afin de retrouver santé et envie.
Il vous sera alors possible de transmettre cette motivation autour de vous, clé de votre propre épanouissement au travail et de la réussite individuelle et collective.
Dans ce livre, le sujet est traité avec finesse et de façon très concrète à travers des exemples précis et parlants.
Excellent outil pour le difficile exercice du management, ce livre devrait être dans les mains de tous les managers. A recommander !
« Je partage l’optimisme du docteur Philippe Rodet, il est heureux de penser que la performance durable d’une entreprise est possible grâce à l’épanouissement de son capital humain » Benoit de Ruffray (PDG groupe Eiffage)
Sommaire
- Introduction – La bienveillance, une mode ?
- Les grands principes de la bienveillance au travail
- Mettre en oeuvre la bienveillance au travail
- Les bienfaits de la bienveillance au travail
- Conclusion
- Postface – L’engagement au coeur de la cité
L’auteur Philippe Rodet
Médecin urgentiste de formation, le docteur Philippe Rodet a parcouru le monde pour sauver des vies dans des pays parfois en guerre ; les méfaits du stress dans les situations les plus désespérées n’ont pas de secrets pour lui. Aujourd’hui, en tant que consultant, il oeuvre à la promotion de comportements bienveillants au sein des organisations. Il fait figure d’expert incontournable dans la mise en oeuvre de la bienveillance au travail.
Source: « La bienveillance au travail », de Philippe Rodet, éditions Eyrolles
-> Psychothérapie et/ou coaching : les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en télé-séances par Skype, WhatsApp ou Zoom (cliquez sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr » pour plus d’informations utiles. Et mailez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin)
14 février 2019
10 Pouvoirs de Sorcière ! Quel est Votre Pouvoir Préféré ?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under bien-être, coaching, confiance en soi, conseils, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), humour, liberté, livres, témoignage | Étiquettes: enneagramme, grimoire, initiation, motivation, objectifs, personnalités, pnl, savoir |Laissez un commentaire
Et si vous étiez…
…une femme libre et harmonieuse, qui crée sa vie à sa mesure ?
Bien dans ses bottines, confiante en elle et en ses pouvoirs ?
Une femme détentrice d’un savoir immémorial,
qui a le pouvoir d’enchanter sa vie et celle des autres ?
Et si vous étiez…
une sorcière ?
Ceci n’est pas un livre.
C’est un grimoire.
Un grimoire contemporain pour la femme moderne que vous êtes, indépendante, autonome et séduisante.
Vous y trouverez un enseignement précieux de 10 pouvoirs, avec des tests, des exercices, des exemples et témoignages pour vous guider pas à pas dans votre initiation.
Être une sorcière, cela s’apprend !
Une fois que vous aurez commencé, vous verrez la vie autrement, et serez prête à sublimer la vôtre…
Inspiré par la PNL et l’ennéagramme, ce grimoire ludique, avec jeu de cartes, transformera votre vie.
Dans la première moitié de ce nouvel ouvrage, l’outil que les auteurs utilisent pour définir à quelle lignée de sorcières vous appartenez est issu de l’Enneagramme, une méthode ancestrale de connaissance des personnalités.
Elle décrit 9 types de réactions face aux difficultés de la vie, 9 façons de se protéger, et des voies de développement. Puis, à partir du chapitre 5, les exercices sont issus principalement de la PNL (programmation neuro-linguistique), une bonne pratique permettant de réaliser ses objectifs.
Puis d’innombrables surprises de lecture pour enchanter toutes les sorcières en puissance !
Et plein de très bons conseils pour porter un autre regard sur votre vie, et apporter légèreté, enthousiasme et motivation…
Qui sont les auteurs ?
Marie-Charlotte Lanta et Anne-Claire Lévêque, amies depuis trente ans et sorcières expertes en techniques de développement personnel, vous guideront sur ce chemin de transformation.
Source: « 10 Pouvoirs de Sorcière, pour réenchanter ta vie », de MC Lanta & AC Lévêque, éditions Dunod
8 décembre 2018
« Sais-tu que ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une ? »
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under étude scientifique, bien-être, bonheur, coaching, confiance en soi, conseils, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), liberté, livres, réflexion, témoignage | Étiquettes: épanouissement, désenchantement, développement personnel, joie, lassitude, morosité, motivation, recentrage, routinite, sens |Laissez un commentaire
Un livre qui sera utile à toute personne qui ressent le besoin de faire un point sur sa vie.
Comment réapprendre à se recentrer sur soi et reprendre les rennes de sa vie ?
Avec ce nouveau livre sous une forme assez inédite mi-roman, mi-guide de développement personnel.
« – Vous souffrez probablement d’une forme de routinite aiguë.
– Une quoi ?
– Une routinite aiguë. C’est une affection de l’âme qui touche de plus en plus de gens dans le monde, surtout en Occident. Les symptômes sont presque toujours les mêmes : baisse de motivation, morosité chronique, perte de repères et de sens, difficulté à être heureux malgré une opulence de biens matériels, désenchantement, lassitude…
– Mais… Comment vous savez tout ça ?
– Je suis routinologue.
– Routino-quoi ? »
Camille, trente-huit ans et quart, a tout, semble-t-il, pour être heureuse.
Alors pourquoi a-t-elle l’impression que le bonheur lui a glissé entre les doigts ? Tout ce qu’elle veut, c’est retrouver le chemin de la joie et de l’épanouissement.
Quand Claude, routinologue, lui propose un accompagnement original pour l’y aider, elle n’hésite pas longtemps : elle fonce. A travers des expériences étonnantes, créatives et riches de sens, elle va, pas à pas, transformer sa vie et repartir à la conquête de ses rêves…
Pour le lecteur : un scénario bien construit, le personnage très attachant, et son parcours peut nous rappeler le notre.
L’auteur donne des pistes très intéressante de réflexions, et peut être de travail sur soi si on veut profiter pleinement de chaque instant.
Le résumé de chaque technique à la fin est un bon plus.
La qualité littéraire est à la fois honorable de fait : clarté du propos, phrases courtes, chapitres courts pour une assimilation optimale, humour … et secondaire eu égard à la densité existentielle du propos.
Pour qui veut bien jouer le jeu, c’est un vrai guide qui se présente 🙂
Vous, peut-être ?
Qui est l’auteur ?
Raphaëlle Giordano est écrivain, artiste peintre, coach en créativité… La création est un fil rouge dans la vie de Raphaëlle Giordano. Diplômée de l’école supérieure Estienne en Arts appliqués, Raphaëlle Giordano cultive sa passion des mots et des concepts pendant quelques années en agences de communication à Paris, avant de créer sa propre structure dans l’événementiel et le coaching créatif : emotone.com
Quant à la psychologie, Raphaëlle Giordano est tombée dedans quand elle était petite, formée et certifiée à de nombreux outils (AT, PNL, Process Com, MBTI…), elle en a fait son autre grande spécialité. Ainsi, ses premiers livres proposent une approche résolument créative du développement personnel, tant sur le fond que sur la forme. Les secrets du docteur Coolzen – Une collection de quatre titres, Mon carnet de coaching 100 % bonheur, J’ai décidé d’être zen…
Avec son premier roman, « Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une », Raphaëlle Giordano crée une fiction attachante enrobée de pédagogie, autour d’un thème qui lui est cher : l’art de transformer sa vie pour trouver le chemin du bien-être et du bonheur.
23 août 2018
Arrêt du tabac en hypnose ? 2 facteurs de réussite à connaître
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under addiction-dépendance, bien-être, conseils, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse) | Étiquettes: cigarette, conscience, implication, motivation |Laissez un commentaire
Motivation et implication :
vos deux facteurs de réussite pour un arrêt du tabac !
Maintenant, en avez-vous vraiment envie ?
Je vous propose, là maintenant, de noter votre motivation sincère d’arrêter de fumer sur une échelle de 1 à 10.
Si je vous parle de motivation sincère, c’est parce que votre moteur personnel, rien qu’à vous, est important.
En effet, les raisons un peu communes d’un arrêt du tabac comme la santé et l’argent par exemple, bien qu’elles puissent faire profondément partie de ce qui vous amène à envisager cet arrêt du tabac, doivent se ressentir pour assurer votre succès.
Alors ? 4, 6, 9 sur 10 ?
Si vous êtes en dessous de 7, je vous invite à prendre le temps de bien mesurer vos motivations. Vous perdriez probablement votre temps et votre argent dans des séances qui s’avèreraient inefficaces faute de réel moteur.
Quelle que soit votre « note », vous pouvez vous poser ces deux questions :
- qu’est-ce que je vais gagner en arrêtant de fumer, et qu’est-ce que cela représente pour moi ?
- qu’est-ce que je vais perdre en arrêtant de fumer, et qu’est-ce que cela représente pour moi ?
S’observer : le premier ingrédient du changement !
Aujourd’hui, quand vous fumez, quand en avez-vous envie ?
Quand en avez-vous besoin ?
Quelle différence faites-vous entre la cigarette envie et la cigarette besoin ?
Il y en a une troisième : la cigarette automatique que l’on saisit et fume par habitude sans à peine s’en rendre compte.
Cette cigarette, aussi automatique qu’elle soit, a aussi son utilité même si elle peut vous échapper. L’inconscient ne s’amuse pas à dépenser de l’énergie pour un comportement inutile.
Lorsque vous allumerez votre prochaine cigarette, je vous demanderai d’y faire attention…
…de remettre de la conscience dans votre geste devenu si automatique (c’est en effet une étape importante du changement) et de vous demander là aussi :
- est-ce que j’en ai envie ?
- est-ce que j’en ai besoin ?
- est-ce que ça peut attendre ?
Vous commencerez alors à transformer doucement mais surement votre rapport à la cigarette, et vos séances d’hypnose vous garantiront un succès sur le long terme.
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