étude scientifique


 

Et vous trouverez toutes les références citées en cliquant ici.

Bon visionnage 🙂

To detox or not to detox : je brise les idées reçues sur la déconnexion numérique.

Sommes-nous tous accros aux écrans et aux réseaux sociaux ?

La question est complexe, et ma réponse n’est pas binaire.

D’un côté, il est indéniable que l’usage des technologies numériques a explosé ces dernières années.

De l’autre, les effets de cette hyperconnexion sur notre santé mentale et physique font l’objet de nombreux débats et d’études scientifiques parfois contradictoires (je vous mets en notes, à la fin de l’article, les références).

Détox numérique : miracle ou mirage ?

Faut-il vous lancer tête baissée dans une « digital détox » pour améliorer votre bien-être ?

Là encore, ma réponse n’est pas universelle.

Si l’idée de se déconnecter temporairement des écrans peut sembler séduisante, il est important de comprendre que les effets d’une telle démarche varient grandement d’une personne à l’autre.

Pourquoi les études scientifiques sur la déconnexion numérique ne parviennent-elles pas à un consensus clair ?

D’abord, parce que la notion d’écran est trop vague. Un film inspirant n’aura pas le même impact qu’une session de scrolling frénétique sur les réseaux sociaux.

De plus, chaque individu est unique et réagit différemment à l’usage des technologies. Ce qui est bénéfique pour l’un peut être néfaste pour l’autre.

Méfions-nous des moyennes !

C’est un principe fondamental à garder à l’esprit lorsqu’on s’intéresse aux effets de la technologie sur le bien-être. En effet, les études scientifiques analysent souvent des données groupées, ce qui peut masquer des réalités individuelles très différentes.

Alors, que faire ?

Plutôt que de se focaliser sur des solutions miracles comme la « digital détox », il est important que vous adoptiez une approche individualisée et réfléchie.

Devez-vous vraiment vous déconnecter

pour vous reconnecter ?

Voici 6 pistes pour vous aider à y voir plus clair :

  1. Prenez conscience de vos usages. Observez votre comportement face aux écrans. Quels contenus consommez-vous ? Quel temps passez-vous sur chaque plateforme ? Ressentez-vous une dépendance ou un sentiment de bien-être après une utilisation prolongée ?
  2. Identifiez vos besoins. Qu’est-ce que vous recherchez en vous déconnectant ? Est-ce pour réduire votre stress, améliorer votre sommeil, ou simplement vous reconnecter à votre entourage ?
  3. Définissez des objectifs clairs et réalistes. Fixez-vous des limites de temps d’écran ou planifiez des périodes de déconnexion régulières. Commencez par de petits pas et augmentez progressivement la durée de vos pauses numériques.
  4. Explorez des alternatives. Il existe de nombreuses façons de se détendre et de se reconnecter à soi-même sans nécessairement se couper du monde numérique. La lecture, la méditation, le sport ou encore les activités en plein air peuvent être des alternatives bénéfiques.
  5. Soyez patient, et à l’écoute de vous-même. Changer ses habitudes prend du temps. N’hésitez pas à ajuster votre approche en fonction de vos ressentis et des résultats observés.
  6. N’oubliez pas : la technologie est un outil puissant qui peut être utilisé à bon ou à mauvais escient. La clé réside dans une utilisation responsable et consciente, adaptée à vos besoins et à votre personnalité.

Dites-moi ce que vous pensez de mes 6 conseils.

Ma conclusion : il n’y a pas de réponse universelle à la question de la « digital détox ».

Si l’absence d’écran vous cause un manque, voire une souffrance, vous êtes accro. L’important est de trouver un équilibre sain et personnel entre le temps passé en ligne et le reste de votre vie.

Et si la meilleure « digital detox » était celle que vous inventez ?

Soyez acteur de votre bien-être numérique.

N.B.:

https://prod3.jmir.org/2023/1/e44922

https://www.elle.fr/Loisirs/Sorties/hotels/Quels-hotels-digital-detox-pour-vraiment-decrocher

https://link.springer.com/article/10.1007/s41347-020-00189-w

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2352853221000286?via%3Dihub

https://journals.sagepub.com/doi/pdf/10.1177/20501579211028647

https://www.lemonde.fr/pixels/article/2024/03/23/les-patrons-de-la-tech-qui-ne-mettent-pas-leurs-enfants-devant-des-ecrans-une-legende-urbaine_6223674_4408996.html

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La violence sexuelle vise la négation d’autrui et son asservissement sexuel.

Si la violence est paralysante et dissociante pour la victime, elle est pour l’auteur un outil de domination et une drogue anesthésiante.

La violence est un formidable outil pour soumettre et pour instrumentaliser des victimes dans le but d’obtenir une anesthésie émotionnelle de l’agresseur. Elle devient ainsi une usine à fabriquer de nouvelles victimes et de nouvelles violences.

Elle est aujourd’hui au coeur des débats contemporains.

Car à quel point la violence sexuelle est-elle courante ?

Les meilleures données de prévalence sur la violence sexuelle proviennent d’enquêtes en population.

Les rapports de police et les études émanant du milieu clinique et d’organisations non gouvernementales constituent d’autres sources de données sur la violence sexuelle. Mais comme seule une faible proportion de cas sont signalés dans ces milieux, ils conduisent à des chiffres de prévalence sous-estimés. Par exemple, une étude en Amérique latine a estimé qu’environ 5 % seulement des victimes adultes de violence sexuelle avaient signalé l’incident à la police (1).

Parmi les nombreuses raisons logiques qui poussent les femmes à s’abstenir de signaler la violence sexuelle dont elles sont victimes, on peut citer :

– des systèmes de soutien et de guérison inadaptés
– la honte
– la crainte ou le risque de représailles
– la crainte ou le risque d’être blâmées ou accusées.

La récente libération de la parole des victimes – facilitée par l’émergence de mouvements tels que Metoo, Metoogay, Metooinceste – engage une politisation de la sexualité.

Dans cette perspective, l’intime « est » politique et devient, dans les sociétés démocratiques, un objet de revendication.

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-> Cet ouvrage aborde en 11 fiches différentes formes de violences sexuelles et leurs répercussions subjectives : viol et agressions sexuelles, harcèlement sexuel en ligne, violences sexuelles entre partenaires intimes, mutilations sexuelles féminines et la question du genre.

-> Des fiches concises, et bien pratiques pour une meilleure compréhension.

-> Il expose des idées succinctes d’accompagnement psychologique (uniquement psychanalytique) des victimes et des auteurs de violences sexuelles et présente aussi des dispositifs judiciaires.

Mais l’autrice n’aborde l’aspect thérapeutique pour venir en aide aux victime que dans un – trop court – chapitre de 8 pages. Et malheureusement en ne faisant référence qu’à l’approche psychanalytique. Les autres approches, qui ont prouvé leur efficacité, ne sont pas évoquées… ?

Quand aux auteurs de violences, après l’évaluation psychologique (approche psychanalytique toujours), rien n’est proposer concrètement.

Ce livre bien écrit s’adresse donc aux psychologues, aux professionnels du champ médico-psycho-social, voir à certains universitaires, en leur offrant des outils théorico-pratiques pour comprendre les défis que pose cette clinique. Mais ne peut en aucun cas aller vers la guérison durable des différents symptômes de stress post-traumatiques des victimes, ou de leurs auteurs.

(1). Contreras J et al. Sexual violence in Latin America and the Caribbean: a desk review.
Pretoria, Sexual Violence Research Initiative, 2010.

Pour compléter cette approche théoriques : https://iris.who.int/bitstream/handle/10665/86236/WHO_RHR_12.37_fre.pdf

Source : « Les violences sexuelles : approches cliniques et thérapeutiques », de Nathalie Sierra-Scroccaro, éditions In Press

Nathalie Sierra-Scroccaro, psychologue clinicienne, docteure en psychologie, en pratique libérale à Rennes

De nombreux clients me posent des questions sur le sport, et l’exercice physique.

Donc, pour perdre du poids, et se tonifier, n’est-ce pas ?

Ils ne me demandent pas comment maigrir en premier…

Et pourtant !

On vous conseillera souvent de faire de l’exercice, mais si vous êtes en fort surpoids, cela vous sera difficile.

Oubliez la recommandation officielle « Mangez moins et plus varié, bougez plus ! ».

Si cela fonctionnait, on le saurait ; pourtant, le surpoids et l’obésité explose depuis les années 70 malgré cette recommandation offfcielle…

Je conseille généralement à mes clients de se concentrer, d’abord sur leur façon de manger et de renoncer à l’exercice pendant les 6 à 8 premières semaines avant d’envisager de perdre poids.

  • Parce que si votre alimentation est en vrac, et que votre appétit n’est pas contrôlé, l’exercice augmentera l’appétit ou l’envie de sucres, et bloquera probablement la perte de poids. L’augmentera même, avec la création de muscles.

S’il est vrai que, sur une période suffisamment longue, les peronnes peuvent constater des changements dans leur composition corporelle (c’est-à-dire qu’ils deviennent plus toniques), ils ne verront pas la balance bouger et le processus sera lent. Ce qui peut être décourageant pour eux.

surpoids-obesite-F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, tabac, phobie, souffrance, stress, burnout, PNL, téléséance, téléconsultation, avis, témoignagePour les personnes qui ont beaucoup de poids à perdre, ou les débutants, je recommande qu’une fois que la nouvelle façon de s’alimenter est en place, et suivie, la simple marche rapide suffira. J’ai moi-même perdu mes 15 premiers kilos en regardant Amazon Prime sur ma tablette Galaxy Tad, tout en marchant tranquillement autour de mon village.

Plus tard, j’ai tiré parti de cette habitude de bouger que j’avais créée. Et j’ai augmenté l’intensité lorsque mon corps le permettait.

RAPPEL TRES IMPORTANT : réglez d’abord votre problème d’alimentation, et votre addiction aux sucres (rapides et lents = glucides) !

Pour cela, mes conseils personnalisés ou la lecture du bestseller « Bonjour Keto: Ma nouvelle vie 100% cétogène sans sucre et sans frustration » des époux Génisson, est capital.

Ensuite, commencez à faire des exercices légers,

et créez une habitude saine d’exercice régulier

Une fois que votre alimentation est en ordre, mes clients me demandent quelle est la meilleure forme d’exercice pour la perte de poids et la recomposition du corps (c’est-à-dire pour obtenir de la tonicité) .

Réponse courte :

1/ l’entraînement par intervalles à haute intensité (HIIT)

2/ et l’entraînement en résistance (RT).

-> L’entraînement par intervalles à haute intensité (HIIT) consiste essentiellement à alterner des périodes intenses avec des exercices cardio classiques.

Supposons que vous aimiez vraiment marcher.

Lorsque vous marchez, pour faire de l’HIIT, toutes les 2 ou 3 minutes, vous faites de la marche très rapide pendant un intervalle de 30 secondes à 1 minute.

La même chose peut être faite à vélo ou en courant, en alternant avec des périodes de sprint, et vous pouvez même faire du HIIT sur le vélo elliptique ou dans les escaliers ! Au lieu des 20 à 30 minutes habituelles à la même vitesse, vous pouvez faire plusieurs séries d’intervalles.

J’aime faire des intervalles de 30 secondes d’effort maximal (effort total) suivi de 2 minutes d’effort plus facile. Je répète généralement ces intervalles pendant 15 à 20 minutes au total.

RÉSULTAT : lorsque votre corps sera prêt, le HIIT accélérera vraiment la perte de vos graisses visibles et surtout viscérales (qui entourent les organes internes, les plus dangereuses).

-> L’entrainement en résistence (RT) – la meilleure façon de « se tonifier » est de perdre de la graisse (par le régime principalement et, dans une certaine mesure, par le HIIT) ET AUSSI de gagner du muscle. Selon la littérature médicale, la meilleure façon d’y parvenir est de veiller à ce que votre régime alimentaire contienne suffisamment de protéines et de soulever des poids (sous forme de petites haltères pour commencer, ou des livres).

Outre la prise de muscle, la levée de poids a des effets positifs sur la santé des os, l’humeur et même votre longévité.

Les débutants pourront commencer par un circuit de machines et des poids libres légers dans n’importe quel centre de remise en forme local, ou rejoindre un environnement d’entraînement en équipe avec un encadrement et un soutien. Ou chez soi, plus confortable peut-être.

Comme je l’ai mentionné plus haut,

il est essentiel que le régime alimentaire soit en ordre avant tout.

Une heure d’exercice peut être annulée en une minute,

le temps de manger un beignet 😦

RÉSUMÉ : donc, si vous voulez perdre du poids, concentrez-vous d’abord sur votre alimentation.

Si votre régime et votre appétit sont contrôlés et que vous vous sentez prêt, n’hésitez pas à commencer à faire de l’exercice. Commencez lentement et progressez. Au lieu de faire du cardio, faites du HIIT, n’hésitez pas à faire du RT.

Rappelez-vous que vous n’avez pas besoin de faire de l’exercice pour perdre du poids, !

Vous fairez du sport pour être en bonne santé et pour vous sentir bien.

Pas pour perdre du poids !

Mais il est tout à fait possible, et je vous le recommande, de perdre du poids en suivant un régime avant de commencer le sport.

Je peux vous le confirmer.

Passé de 122 kg à 85 kg (avec le keto principalement) il y a 4 ans, un client à commencé à courir avec un poids 90 kg, et a fait 4 marathons en 3 ans. L’année dernière, ses habitudes alimentaires végétaliennes ont fait chuter sa puissance. Il est depuis passé au carnivore et il s’améliore. Son objectif : moins de 4 heures pour le marathon de New-York en 2024 😀.

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

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Merve Dizdar, lauréate du prix d’interprétation féminine de Cannes, devrait-elle s’inquiéter d’une « malédiction » ?

-> L’idée semble étrange, mais – à défaut de données sur Cannes – il existe bien une « malédiction de l’Oscar ».

La malédiction (Oscar curse), c’est le fait qu’après leur Oscar (meilleure actrice ou second rôle), les actrices ont une probabilité de divorce accrue (de 68% vs les autres nominées).

La malédiction est exclusivement féminine : rien de tel chez les hommes oscarisés.

-> Mais elle n’est pas cantonnée à Hollywood ! Aux USA, les couples où la femme gagne plus que l’homme, enfreignant ainsi les normes sociales traditionnelles, ont des « chances » de divorce accrues de 50%.

Pourquoi ?

-> Une étude canadienne de 2017 portant sur 209 femmes « puissantes » a identifié un mécanisme, le status leakage. En gros, la femme perçoit son mari comme un boulet, qui plombe son statut social à elle (« j’ai honte quand je dois le présenter à mes collègues »).

Heureusement, l’étude fournit aussi l’antidote : quand l’époux assume une part plus importante des tâches ménagères et familiales, son soutien compense le status leakage.

D’où ma conclusion : « pas d’ »Oscar curse » quand votre homme fait la lessive ! ».

Qu’est-ce que la bonne santé métabolique ?
La santé métabolique fait référence à l’état global du métabolisme d’une personne.
-> Elle englobe un ensemble de processus biochimiques et physiologiques impliqués dans la transformation des aliments en énergie, et dans le fonctionnement de divers organes et systèmes du corps.
Elle est étroitement liée à la manière dont le corps utilise et stocke les nutriments, notamment les glucides, les lipides et les protéines.
F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, souffrance, stress, burnout, IFS, téléséance, téléconsultation, santé métabolique, cétogèneUne bonne santé métabolique implique un métabolisme équilibré et efficace, ce qui signifie que les processus métaboliques sont régulés de manière optimale.
Cela comprend la régulation du taux de glucose sanguin, du taux de cholestérol, du métabolisme des graisses et des protéines. Ainsi que la fonction des organes impliqués dans le métabolisme, tels que le foie, le pancréas et les tissus adipeux.
Une bonne santé métabolique joue un rôle essentiel dans le maintien d’un poids corporel sain, d’une composition corporelle optimale et d’une gestion efficace de l’énergie.
Des déséquilibres métaboliques peuvent entraîner une multitude de problèmes de santé, dont les « maladies chroniques liées aux habitudes de vie ».
A votre avis, quels sont les problèmes de santé les plus fréquemment associés à la dysfonction métabolique ?
  • Résistance à l’insuline
  • Syndrome métabolique
  • Diabète de type 2
  • Hypertension artérielle « idiopathique »
  • Stéatose hépatique (maladie du foie gras)
  • Lipomatose pancréatique (pancréas gras)
  • Goutte
  • Dyslipidémie (cholestérol)
  • Obésité
  • Maladies cardiovasculaires
  • Syndrome des ovaires polykystiques
  • Apnée du sommeil
  • Alzheimer
  • Hypogonadisme masculin (manque de testostérone chez l’homme)
  • Certains problèmes de santé mentale
  • Certains cancers
  • Dépendance alimentaire (tca)
  • Autres
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Comment prévenir ou renverser (quand c’est possible) les problèmes de santé associés à la dysfonction métabolique, vous aussi ?
La prévention et la gestion des troubles métaboliques sont généralement basées sur des
changements de mode de vie.
Dans certains cas, peuvent nécessiter des traitements médicaux spécifiques, sous la supervision de votre médecin traitant.

Quels sont vos 3 premiers changements ?

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10 : Avoir confiance en votre propre capacité à améliorer votre santé
11 : autres
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L‘alimentation cétogène pour votre cerveau, une vraie bonne idée ?

Contre la migraine, la maladie d’Alzheimer, de Parkinson, le déclin cognitif léger, la maladie de Charcot (SLA), les meilleurs carburants du cerveau sont les cétones.

Vous souffrez de migraines chroniques sévères ?

On vous a diagnostiqué un déclin cognitif, une maladie d’Alzheimer, un Parkinson ou une maladie de Charcot, et vous vous demandez comment lutter au mieux contre la maladie, que faire en accompagnement des traitements classiques pour freiner son évolution et la combattre plus efficacement ?

Dès aujourd’hui, optez pour une alimentation ciblée, le régime cétogène : très peu de glucides (moins de 50 grammes : jour), beaucoup de lipides, suffisamment de protéines.

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Pourquoi une telle alimentation ?

Parce que, expliquent les auteurs, ce type d’alimentation rééquilibre la biochimie cérébrale et permet de lutter efficacement contre l’inflammation, la douleur et la mort précoce des neurones.

L’alimentation cétogène n’est pas un régime miracle : c’est un mode alimentaire fondé sur des recherches scientifiques centenaires et qui constitue aujourd’hui sans doute l’une des meilleures stratégies contre les troubles et maladies qui touchent le cerveau :

  • Elle protège les neurones et les fonctions cérébrales
  • Elle améliore le bien-être des malades et complète l’action des traitements classiques
  • Facile à mettre en oeuvre, elle est sans danger.

Ce livre écrit pour les patients, les accompagnants et les soignants, explique comment instaurer un régime cétogène strict ou l’une de ses variantes plus souples, avec des menus adaptés.

A propos des auteurs :

Le Dr Bernard Aranda est neurologue et micronutritionniste en région parisienne. Il a pu constater les bienfaits du régime cétogène sur ses nombreux patients.

Ancienne migraineuse, Michèle Houde a mis fin à des migraines sévères en adoptant un régime cétogène. Elle vit au Québec.

Télécharger un extrait du livre 

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Lire, comprendre, mémoriser, 3 étapes pour vous rappeler ce que vous lisez.

Voici  5 conseils pour vous rappeler en détail de vos lectures

 

1) Définisez votre objectif, et la durée de lecture

Faire des fiches est une méthode très souvent mise en avant.

Le problème est que cela fait perdre beaucoup de temps. N’essayez pas de résumer au maximum chaque élément de votre lecture, cours, leçon, etc…

Appliquez plutôt l’idée suivante :

-> définissez ce qui est important pour vous dans le document/livre/article, et le temps que vous vous accordez pour l’atteindre.

 

2) Vous questionner durant votre lecture

Un problème majeur qui se pose lorsque vous lisez est cette facilité à rendre votre lecture passive. En clair, lire ce qui apparaît devant vos yeux, sans rien faire d’autre.

Cependant, pour comprendre pleinement un texte, et de ce fait, le mémoriser efficacement, il est nécessaire de se questionner. Au lieu de simplement lire, vous devez apprendre à vous questionner sur ce que l’auteur essaye de faire transparaître.

« Comment se fait-il que X produise Y ? »

« Ah mais X pourrait montrer que Y… »

En somme, essayer de comprendre le pourquoi, le comment pour s’imprégner plus facilement de la pensée de l’auteur, de jouer avec lui. Cette technique demande plus de temps qu’une lecture « classique », elle requiert un certain effort intellectuel, certes.

Toutefois, les bénéfices sont grands pour un modèle qui reste relativement simple. Réfléchir pour mieux mémoriser.

3) La courbe d’Ebbinghaus

Hermann Ebbinghaus est un philosophe et psychologue allemand, souvent considéré comme le père de la psychologie expérimentale de l’apprentissage.

La courbe d’Ebbinghaus est une courbe permettant de comprendre la rétention d’information au fil du temps.

Elle montre la façon dont les informations que nous enregistrons se perdent petit à petit.

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En somme, il est possible de voir à quel point un homme peut perdre plus de la moitié des connaissances qu’il a acquises en quelques semaines seulement.

L’idée ici est de relire fréquemment ses textes afin de conserver près de 80% du contenu de base.

Vous devez lire 10 minutes après votre lecture, puis le jour d’après, puis 1 semaine après, puis 1 mois après, et enfin 6 mois après.

 

4) Lecture rapide

Une petite astuce qui est intéressante : pour retenir mieux, il faut savoir lire plus vite.

En lisant lentement, vous augmentez les risques d’être distrait et donc de perdre le fil de votre lecture. Lire plus vite que la normale, à l’aide d’un crayon pour suivre les lignes par exemple, est un bon moyen de mieux mémoriser et assimiler ce que l’on lit.

 

5) Ecrire, souligner, surligner…

Au cours de votre lecture, prenez un crayon ou un surligneur et soulignez les éléments importants que vous pouvez voir à travers votre lecture.

En restant actif, vous vous donnez la possibilité de ne pas perdre le fil de votre lecture. Un autre avantage est qu’il vous sera plus facile de revenir plus tard sur votre lecture.

Les éléments mis en évidence permettront une meilleure relecture.

 

 

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