Je vous donne ces 7 conseils, fruits de mon expérience à mon cabinet;

Oui, vous pouvez guérir de votre addiction.

Même si elle dure depuis des années. Même si vous en souffrez en silence.

Exemple de guérison ? Celle de l’actrice-chanteuse Demi Lovato.

Artiste adulée, elle a partagé son combat contre la boulimie. Inspirant ainsi des millions de personnes à briser le silence et à cheminer vers la guérison.

Son parcours, illustré par des photos avant / après saisissantes, avec un message d’espoir, montre que la victoire sur la boulimie alimentaire (TCA) est possible.

La psychothérapie s’avère un outil crucial pour vaincre l’addiction. En s’attaquant aux racines profondes du problème, elle offre une transformation durable et complète.

Une cliente guérie m’a dit, récemment, « j’ai fait la paix avec moi-même ».

Voici 7 clés pour vous en sortir :

1. Comprenez les mécanismes de votre addiction

Explorez les ressorts psychologiques qui vous poussent à manger compulsivement. Par exemple, identifiez les émotions difficiles que vous tentez de combler par la nourriture : solitude, ennui, peur, rejet, abandon, etc.

2. Développez une relation saine avec la nourriture

Apprenez à écouter les signaux de faim, et de satiété, de votre corps. Découvrez le plaisir de manger en pleine conscience, sans culpabilité, ni jugement.

3. Apprenez à gérer vos émotions difficiles

Connaissez des outils pour gérer votre stress, votre anxiété, votre tristesse, etc. de manière saine et constructive. Développez des stratégies alternatives à la boulimie (et/ou l’hyperphagie) pour une bonne santé durable.

4. Améliorez votre estime de soi

Renforcez votre confiance en soi et une juste et bonne image corporelle. Apprenez à vous aimer et à vous respecter, au-delà des diktats de la société. Sachez dire non !

5. Développez des relations saines

Entourez-vous d’un réseau de soutien positif et bienveillant. Découvrez comment communiquer ouvertement sur vos ressentis et vos besoins.

6. Apprenez à gérer les rechutes

Comprenez que les rechutes font partie du processus de guérison. Mettez en place des stratégies pour les prévenir. Et les gérer de manière constructive.

7. Fixez-vous des objectifs réalistes

Je vous aiderai aussi comment avoir des objectifs clairs et atteignables pour votre guérison. Vous célèbrerez chaque victoire, si petite soit-elle.

N’oubliez pas, vous n’êtes pas seul(e) !

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Version courte de mon article 😉

-> Ce trouble du comportement alimentaire est un défi complexe, et la guérison est possible. En vous engageant dans une psychothérapie sérieuse, avec un psy compétent, en vous appuyant sur un réseau de soutien solide, vous retrouverez une relation saine avec la nourriture, et vous vous sentirez plus heureux.

N’attendez plus, franchissez le pas vers la liberté et le bien-être !

Voici d’autres informations complémentaires :

  • Le documentaire « Simply Complicated » de Demi Lovato est disponible sur YouTube
  • Ligne d’écoute téléphonique nationale pour les troubles alimentaires : 0 800 05 05 01

N’hésitez pas à partager ce message avec toute personne concernée par l’addiction alimentaire.

Ensemble, brisons le silence de cette maladie, et ouvrons la voie vers la guérison !

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ».
Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

 

F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, tabac, phobie, souffrance, stress, burnout, téléséance, téléconsultation, avis, témoignage

Les symptômes physiques

  • fatigue persistante
  • douleurs musculaires et articulaires
  • maux de tête, migraines
  • troubles du sommeil
  • infections plus fréquentes (rhume, grippe…)
  • problèmes de peau
  • déséquilibres hormonaux
  • perte ou gain de poids
  • troubles digestifs (dont ulcère d’estomac)
  • troubles cardiovasculaires (hypertension, palpitations)

Les symptômes psychologiques

Troubles émotionnels :

  • irritabilité, nervosité, colère, frustration
  • anxiété, inquiétude
  • tristesse, désespoir, pensées suicidaires
  • démotivation, indifférence, désintérêt
  • pessimisme, sentiment d’échec
  • baisse de l’estime et de la confiance en soi

Troubles cognitifs :

  • distraction, déconcentration, erreurs
  • troubles de la mémoire, oublis

Troubles du comportement :

  • addictions (alcool, tabac, café, somnifères, anxiolytiques…)
  • retrait, repli sur soi, agressivité
  • manque d’initiative, retards, absentéisme
Enfin, il existe trois dimensions au burnout :

  1. L’épuisement émotionnel : les symptômes physiques et psychologiques apparaissent, la personne victime de burn-out se sent vidée, tout lui paraît insurmontable, toutes les tâches deviennent des corvées… elle n’a plus de projets, et est incapable de se projeter dans l’avenir
  2. La dépersonnalisation ou déshumanisation : la personne se désinvestit de la relation à l’autre, perd son empathie à l’égard d’autrui, en particulier à l’égard des collègues et des clients ou patients, devient agressive, froide, cynique
  3. L’autodépréciation et la diminution de l’accomplissement personnel : un sentiment d’échec professionnel et personnel s’installe, le travail n’a plus de sens, la victime de burn-out se sent coupable, doute de sa valeur, perd sa confiance en soi, son estime de soi.
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L‘épuisement professionnel (burnout en anglais) désigne un état de fatigue intense à la fois physique, mental et émotionnel.
 
Il résulte d’une exposition prolongée au stress, sur le lieu de travail.  
 
 
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Arrivée à saturation, la personne victime de burn-out ressent une fatigue intense accompagnée de symptômes psychosomatiques.
 
Ils peuvent se révéler sérieux à long terme, ainsi que des effets émotionnels comme la baisse de l’estime de soi, l’anxiété, la tristesse et le désespoir.

Le terme anglais burnout vient du verbe « to burn out » qui signifie au sens propre griller ou se consumer.

Au sens figuré, ce terme signifie s’épuiser, s’user, s’éteindre. En effet, la personne atteinte de burn-out se sent vidée, démotivée. la moindre tâche lui paraît insurmontable et ne voit pas d’issue à sa situation.

Donc, la cause du burnout : un stress chronique au travail.

Si un tiers de la population souffre de stress, moins de 15% de la population a reçu un diagnostic de burnout (SPF, 2012).
 
Le taux réel est sans doute plus élevé en 2022 : certains ne se font pas diagnostiquer, d’autres le sont sous d’autres appellations car, ne l’oubliez pas, le terme burn-out est relativement récent.
 
 
 
 
 
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Voici le début d’un intéressant article de la psy Lea Poujol, dont j’ai assuré la formation :

Même si on en parle un peut plus chaque jour, le deuil périnatal reste un événement traumatisant très difficile à surmonter, qui touche un grand nombre de familles.

Il s’agit des pertes in utéro, des fausses couches, des interruptions volontaires de grossesse (IVG), des grossesses arrêtées (l’embryon ne présente plus signe de vie), des interruptions médicales de grossesse (IMG) et des décès à la naissance.

psy, Lea Poujol, Lauragais, grossesse-et-hypnose, deuil-perinatalDans la majorité des cas, ce sera le gynécologue qui posera le diagnostic et l’annoncera aux parents. C’est lui, en fonction de la problématique, qui expliquera la suite des étapes médicales en fonction du choix des parents.

Survient alors un mélange d’émotions, sentiments, questions, différent selon les situations et les personnes : tristesse, peur, culpabilité, incompréhension, solitude, sentiment de vide, angoisses, colère, sentiment d’impuissance, détresse,…

🌷L’hypnose est un outil important qui peut permettre de libérer

(cliquez ici pour lire la suite)

Pour eux, Noël est un cauchemar.

Ils sont « Noëlophobes ». Un néologisme évocateur pour désigner la peur de ce rituel de fin d’année plus connue sous le nom de « natalophobie ». Une peur, une angoisse même pour certains.

Explications et conseils pour rendre la fête plus digeste.

La vue de sapins, décorations de Noël et autres joyeusetés vous angoisse ?

Rien qu’à la pensée du réveillon du 24 vous êtes pris de sueurs froides ?

Vous êtes paralysé devant la liste interminable des cadeaux familiaux ?

Ne cherchez plus : vous êtes peut-être atteint de « natalophobie » une pathologie avérée et reconnue par les professionnels de santé mentale. « J’en rêve la nuit, raconte Lenda, 41 ans, professeure. Et si les cadeaux ne plaisaient pas ? Que faire à dîner ?  Mes beaux-parents seront-ils là ? Et si tout le monde réglait ses comptes ? Noël est un cauchemar. »

Pour certains, Noël est un moment si heureux qu’il est paradoxalement source de tristesse : la magie, le sacré, la joie les renvoient à la fadeur de l’existence le reste de l’année. Voire d’angoisse bien réelle. Mais, pour la grande majorité des “noëlophobes”, cette fête est anxiogène avant, pendant et après. Ce n’est toutefois pas une phobie au sens pathologique du terme puisqu’on ne constate pas de stratégies d’évitement.

« Je suis sous pression »

La pression collective est très forte. Elle exige un investissement, en termes de temps, d’argent, de réflexion, de préparation, qui vient nous toucher dans nos enjeux narcissiques (vais-je y arriver ?) et relationnels (comment les autres vont-ils me considérer ?). Si notre confiance en nous est fragile, les injonctions sociales et familiales de réussite finissent par nous déprimer. Et nous intégrons le fait qu’on ne badine pas avec Noël.

C’est le dernier rituel sacré. On ne peut pas y déroger, contrairement à Pâques ou aux anniversaires, qui ne font plus l’unanimité. Boycotter le réveillon? La transgression est trop dangereuse : on serait une mauvaise personne, presque un hérétique !

Noel, non« Je suis tiraillé par des conflits »

Noël, c’est aussi une succession de tiraillements intérieurs, sources de grande culpabilité.

Ce rituel d’appartenance permet de réaffirmer des liens. Et de se rassurer. Parce que nous avons une place et un rôle dans une famille, nous existons.

1- Seulement, notre société individualiste prône a contrario l’autonomie et la liberté. Premier conflit psychique.

2- La temporalité. Au moment des fêtes, on doit ralentir, prendre son temps et savoir attendre (les invités, la cérémonie, le repas, les cadeaux…). Or, pressés tout au long de l’année, soumis au culte de l’urgence, nous avons perdu l’habitude de décélérer. Deuxième conflit.

3- Et puis, il y a cette dichotomie entre le désir de l’individu, ses aspirations, son besoin de sens et le rouleau compresseur que peuvent représenter ces festivités. On offre ses cadeaux, on déguste la bûche. Mais… pour quoi faire, se demande-t-on intérieurement ? Troisième conflit.

« Je dois jouer le jeu »

Les retrouvailles familiales sont aussi ce moment dans l’année où nous revêtons notre plus beau « costume ». C’est la trêve imposée : on n’aborde pas les sujets qui fâchent.

Se forcer à sourire, à faire plaisir, cela crée un sentiment de frustration évident. Pour le bien du groupe, on est tenus de refouler des contenus psychiques parfois douloureux. Sois heureux et tais-toi. La “fête des enfants” nous renvoie justement à une posture d’enfant : nous campons un personnage (celle qui s’occupe de tout, celui qui n’est jamais content) et ne sommes plus nous-mêmes. Cette régression nous déséquilibre puisque nous trahissons l’adulte que nous sommes par ailleurs. Et si nous tentions de l’être, le 25 décembre prochain ?

Que faire ?

Changer ses habitudes
Essayez la légèreté, d’oser modifier vos habitudes. Vous n’êtes pas obligé de vous conformer au rituel. Ce n’est pas une question de vie ou de mort. Demandez-vous ce qui vous ferait vraiment plaisir cette année : un petit voyage, une soirée au théâtre ? Il s’agit de redonner du sens à la fête en s’éloignant du consumérisme. C’est une occasion de (re)tisser des liens agréables..

En parler avant
Rencontrer individuellement ses proches avant le jour J. Ces retrouvailles moins solennelles leur ôtent leur part d’étrangeté. Il conseille aussi d’oser parler pour éviter la frustration pendant les fêtes. Si vous n’approuvez pas les réflexions de tonton Georges, dites-lui que, selon vous, ce n’est pas le bon moment pour les exposer.

S’interroger sur soi
Noël vient questionner le rapport que l’on entretient avec sa  famille. Vous sentez-vous libre et autonome ? Ou enfermé dans les injonctions de vos proches ? Quelques séances chez un psy peuvent vous aider à mieux comprendre ce qui se joue en vous. Et ce qui s’est construit en termes de dynamique familiale. Certains endossent un rôle d’“enfant thérapeute” responsable de l’équilibre et de l’harmonie du groupe. Sur eux repose une grande pression, qu’il convient de déposer et partager.

La solution de Matthieu, 35 ans

« Sur les conseils de mon psy, à Noël, en 2013, j’ai dit non ! Je n’allais pas bien, trop de pression au bureau, des soucis dans mon couple. Surtout, j’étais épuisé physiquement. Ça a été difficile, mais j’ai décidé de partir trois jours seul, dans un petit gîte, sur la Manche. Juste pour voir. Voir comment réagissait ma famille. Voir aussi ce qui se passait en moi. Eh bien, ce Noël-là a été très enrichissant. Mes proches ont enfin compris que je n’étais plus ce petit garçon modèle à qui tout réussit. Et moi, j’ai enfin accepté de sortir du perfectionnisme et de prendre soin de moi. »

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Il est important de détecter précocement un premier épisode dépressif car le traitement permet alors d’atténuer rapidement les symptômes.

Une dépression traitée tardivement peut entraîner des complications.

Quand évoquer un épisode dépressif ?

La dépression se caractérise par une association de symptômes, différente d’une personne à l’autre.

Dans tous les cas, ces symptômes, plus ou moins sévères, sont présents presque chaque jour, durent au moins deux semaines, sont source de détresse et ont un retentissement professionnel, social et familial. On parle alors d’épisode dépressif caractérisé et non de simple « déprime » ou réaction dépressive passagère.

Lors d’un état dépressif, la personne se plaint d’au moins deux symptômes parmi ceux-ci :

  • une tristesse constante, une humeur dépressive qui dure presque toute la journée et qui se répète pratiquement tous les jours depuis au moins deux semaines. Elle peut s’accompagner de pleurs
  • un abattement et une perte d’intérêt et de plaisir pour des activités du quotidien et aussi pour les activités habituellement agréables
  • une réduction de l’énergie ou une fatigabilité anormale. La personne souffre d’une fatigue intense, souvent dès le matin et a l’impression de manquer d’énergie en permanence. Cette fatigue n’est pas améliorée par le repos ou le sommeil.

D’autres troubles (au moins deux) sont présents dans la dépression :

  • une dévalorisation de soi, une perte de confiance en soi et d’estime de soi, un sentiment d’inutilité ;
  • un sentiment d’inutilité et une culpabilité excessive et injustifiée
  • une vision du futur et de la vie très négative avec des perspectives pessimistes
  • des pensées autour de la mort en général, et parfois autour du suicide
  • une diminution de la capacité de concentration, d’attention et de mémorisation
  • une dégradation du sommeil. Il devient peu réparateur, souvent trop court avec des réveils précoces, le matin
  • une perte de l’appétit qui peut entraîner un amaigrissement.

La dépression peut retentir sur l’organisme et être responsable de douleurs multiples, de perturbations sexuelles avec perte du désir et du plaisir sexuel, d’un ralentissement de l’activité ou au contraire d’une agitation.

La personne dépressive n’a pas toujours conscience de sa maladie. C’est l’entourage ou le médecin au cours d’une consultation qui évoquent le diagnostic d’épisode dépressif.

La dépression chez les personnes âgées

Chez les personnes âgées, la dépression comporte un risque suicidaire élevé. Il est donc important de reconnaître rapidement un épisode dépressif qui se traduit plutôt par :

  • des plaintes physiques (fatigue, perte d’appétit, repli sur soi…)
  • des troubles dits cognitifs (troubles de la mémoire ou de l’attention).

Un épisode dépressif peut survenir dans l’évolution d’une maladie d’Alzheimer ou d’une maladie de Parkinson ou, au contraire, en être le premier symptôme.

La dépression chez l’enfant et l’adolescent

La dépression existe aussi chez l’enfant et l’adolescent et elle s’exprime de manière spécifique.

Chez l’enfant, la dépression peut se manifester par des comportements de retrait, d’absence ou, au contraire, d’irritabilité, d’agitation, par des plaintes répétées qui concernent le corps (douleur à répétition…)

Chez l’adolescent, la dépression peut apparaître sous forme :

  • de troubles de l’humeur avec tristesse, abattement, découragement, pleurs fréquents, angoisse envahissante. L’adolescent est grincheux, colérique, agressif, « sur les nerfs »… ou au contraire indifférent, sans motivation, sans entrain et en retrait de tout
  • de troubles de la perception de soi. L’adolescent est envahi par des idées de dévalorisation, de culpabilité, par le sentiment de ne pas être aimé, par des désirs de mort. Les idées suicidaires font souvent partie des symptômes de la dépression de l’adolescent
  • de symptômes physiques très souvent présents. L’adolescent présente des troubles du comportement alimentaire (anorexie ou boulimie), des insomnies, une somnolence anormale dans la journée, des maux de ventre, des malaises à répétition, une agitation avec impossibilité à rester assis, tortillement des mains…
  • d’un désinvestissement scolaire, d’un arrêt des activités de loisir, d’un isolement
  • de comportements nuisibles pour leur santé : abus d’alcool, de drogues, de médicaments (anxiolytiques, hypnotiques), usage immodéré d’internet, des réseaux sociaux, des jeux vidéos, prises de risque dans les comportements sexuels, fugues.

La dépression après un accouchement

Il est fréquent qu’après la naissance de son enfant, la maman présente des émotions vives marquées par un peu de tristesse et des pleurs incontrôlés : c’est le baby blues qui passe rapidement.
Cependant, certaines femmes présentent des troubles de l’humeur persistants et une dépression du post-partum s’installe. Une prise en charge rapide est nécessaire pour soigner la maman et lui permettre d’établir une relation de qualité avec son nourrisson.

Le diagnostic de la dépression

Il est difficile de juger par soi-même de son état psychologique. L’évaluation par un médecin est indispensable.

Le médecin peut utiliser des outils d’évaluation (questionnaires) pour poser le diagnostic d’épisode dépressif caractérisé. Il existe également un auto-questionnaire que la personne dépressive peut utiliser pour mieux formuler ses plaintes. Le médecin  recherche l’existence d’une maladie associée et interroge la personne sur son passé et celui de sa famille. Si elle l’accepte, le médecin peut aussi s’entretenir avec certains de ses proches.

Il évalue la sévérité de l’épisode dépressif :

  • est-il léger, modéré ou sévère ?
  • quel est le retentissement sur la vie quotidienne, familiale et professionnelle ?
  • existe-t-il un risque suicidaire ?
  • y a t-il d’autres manifestations psychologiques associées : hallucinations, idées délirantes ?

Le diagnostic d’épisode dépressif caractérisé est posé :

  • quand les signes durent plus de quinze jours ;
  • quand, durant cette période, chaque jour ou presque, la personne se sent triste, sans espoir ou a perdu ses centres d’intérêt ;
  • quand cet état de souffrance est associé à plusieurs autres symptômes de la dépression.
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« Pardonner,

c’est délivrer un prisonnier.

Et découvrir que le prisonnier,

c’était vous »

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Oscar Wilde

Comment reconnaitre et soigner une dépression hivernale :

  • ce trouble de l’humeur saisonnier, qui disparaît au printemps, toucherait jusqu’à 10% de la population.

Peut-être vous ?

Il n’est pas rare de se sentir fatigué et abattu pendant les saisons automnale et hivernale.

Le sort du chat roulé en boule sur notre canapé nous semble alors des plus enviables : si seulement nous pouvions dormir le plus possible, en attendant le printemps… Mais ce banal «blues de l’hiver» finira par disparaitre, je vous rassure.

Celui-ci survient à une période particulière de l’année (en automne ou en hiver, voire plus rarement en été) et disparaît spontanément au printemps.

Le Dr Éric Charles, psychiatre au Centre hospitalier Esquirol de Limoges et auteur d’Antidépresseurs, anxiolytiques, somnifères… Vérités et contre-vérités sur les psychotropes (Jouvence), rappelle que les symptômes seraient en grande partie les mêmes que ceux de la dépression : tristesse, idées noires, ralentissement physique et psychique, perte d’envie et de volonté, difficulté à prendre des décisions, disparition du plaisir.

 

«Dans la dépression saisonnière toutefois, les symptômes somatiques et neurovégétatifs sont souvent inversés par rapport à ceux d’un épisode dépressif “classique”. Au lieu d’une perte d’appétit, il y a une envie plus forte pour les hydrates de carbone et les aliments riches en glucides – sucreries, féculents – avec une prise de poids, ainsi qu’une tendance à dormir beaucoup, plutôt qu’à souffrir d’insomnie», précise le médecin.

Les causes de cette affection font encore l’objet de plusieurs hypothèses.

On évoque une sensibilité rétinienne à la lumière réduite en hiver, ou encore un retard de phase du rythme circadien. Dans les deux cas, ces phénomènes affecteraient la sécrétion de mélatonine et de vitamine D.

Le fait d’être une femme serait un facteur de risque avéré de dépression saisonnière, comme il l’est de manière générale pour la dépression.

Tout cela fait dire au Dr Guillaume Fond, psychiatre à l’hôpital de la Conception à Marseille et auteur de Je fais de ma vie un grand projet (Flammarion) qu’«en France nous manquons de données pour ce trouble mal étudié. Un fait est certain : dans la période de transition de l’été à l’automne surviennent plusieurs phénomènes qui composent un cocktail explosif pour certaines personnes. La baisse du taux de vitamine D et de la luminosité en sont deux. On a aussi tendance à consommer moins de fruits et de légumes qu’en été, et plus d’aliments ultratransformés inflammatoires. Il y a enfin le stress lié à la rentrée et une activité physique plus réduite. Tous ces facteurs peuvent concourir à la survenue de dépressions qualifiées de saisonnières».

Les recommandations à l’adresse des personnes qui souffrent d’un abattement lié à l’hiver font consensus : s’exposer une trentaine de minutes à la lumière du matin, pratiquer une activité physique régulière (mais pas le soir afin d’éviter les insomnies) et manger de manière équilibrée et régulière. Pratiquer l’auto-hypnose peut également en aider certains.

Le Dr Guillaume Fond conseille en outre de se supplémenter quotidiennement en omégas 3, en vitamine D et en zinc, qui ont prouvé leur efficacité dans le traitement de la dépression. «En cette saison, il est normal d’être un peu en retrait, rappelle le Dr Christine Barois, psychiatre. Par contre, lorsque l’on n’arrive plus à fonctionner professionnellement, familialement et socialement, il existe un risque de dépression. Et là, il faut aller voir un psy.»

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Stress, tristesse…

En influençant les comportements face à l’assiette, les émotions pèsent aussi dans la balance des anxieux et des compulsifs.

Se venger sur l’assiette pour :

  • atténuer son stress ou sa tristesse
  • arrêter de penser
  • ne pas se confronter à la réalité, sans même en être conscient.

Vous, peut-être ?

Malgré des efforts fournis pour perdre du poids, ces kilos en surplus refusent de se détacher de vous. Ou bien, quand ils y parviennent, n’ont de cesse de revenir, et parfois plus nombreux encore !

D’ailleurs, une mauvaise régulation des émotions peut induire des variations de poids sans qu’il existe de véritables excès alimentaires ou des troubles du comportement alimentaire.

Comment l’expliquer ?

Par le pouvoir de nos émotions présentes, capables d’influer sur la sécrétion des neuromédiateurs impliqués dans l’appétit et le plaisir (dopamine, sérotonine et galanine).

Dans le cerveau, nos comportements alimentaires sont actionnés par le système limbique et l’hippocampe, centres des émotions et de la mémoire. C’est ce qui explique que nos émotions passées, de notre vécu dans l’enfance notamment, jouent un rôle dans la prise de poids émotionnelle. L’éducation, et plus précisément l’apprentissage de la gestion des émotions, les habitudes alimentaires pendant l’enfance et le rapport à l’excès, à la surconsommation peuvent faire le lit de ces kilos.

Pour vous aider à vous libérer

de cette surcharge émotionnelle,

voici 5 conseils  :

  • Freinez ! Mangez beaucoup moins de sucres et de féculents !
  • Apprenez à manger quand vous avez vraiment faim uniquement. Pour vous détourner de l’absorption réflexe de nourriture, faîtes une liste d’activités, à sortir dès que vous vous sentez en proie à une pulsion alimentaire
  • Identifiez vos émotions négatives, les plus difficiles à cerner tant elles peuvent remonter de très loin et s’exprimer de façon ambivalente (la colère quand vous avez peur, le sourire quand vous êtes triste…). Définissez votre émotion négative avec un seul adjectif. Au calme, essayez de la ressentir expérimentalement en vous imaginant dans des situations susceptibles de la produire : observez ensuite ce que vous éprouvez, l’attitude que cette émotion suscite. Vous pourrez ensuite repérer la ou les situations dans lesquelles l’alimentation vient absorber vos secousses émotionnelles
  • Consulter un hypnothérapeute ou un psychothérapeute pour démêler les nœuds de votre passé. Et suivez une thérapie comportementale et cognitive pour apprendre à manger de façon apaisée
  • Faites du sport, défoulement essentiel à l’équilibre physique comme psychique.

Pour stimuler le lien corps-esprit, l’auto-hypnose, la méditation, le yoga, l’acupuncture, le shiatsu peuvent aussi être de précieux alliés.

Vous êtes ce que vous ressentez !

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