Il n’existe pas de drogués heureux.

Non, vraiment pas .

Ils vivent dans un enfer qui se nomme :

  • alcool
  • amphétamine
  • héroïne
  • nourriture
  • sexe
  • jeux
  • votre produit addictif

Tout un arsenal destiné à tromper cette chose appelée :

  • ennui
  • solitude
  • souffrance
  • impossibilité d’accepter la vie telle qu’elle se présente
  • votre raison

On s’étourdit d’expédients pour pallier un :

  • manque d’amour
  • manque d’attention
  • masquer une blessure
  • briser le cercle infernal de la monotonie
  • donner à l’âme de quoi s’exalter.

Une fuite hors de soi

qui commence par la prise inopinée d’un rail de cocaïne,

pour finir dans une orgie de drogues

où se dissout la vie ou ce qu’il en reste…

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

Le terme de « nymphomane » entre dans le dictionnaire en France en 1819.

La femme qui manifeste son désir sexuel est alors comparée à une hystérique.

Sept thèses de médecine s’intéressent à cette « folie érotique » entre 1800 et 1836.

Les nymphomanes sont décrites comme possédées par le diable. À l’époque, les spécialistes imaginent la femme comme complètement soumise à ses organes reproducteurs. Toutes les perturbations émotionnelles qu’elles peuvent ressentir sont forcément liées à leurs cycles : leur cerveau est directement régi par leur sexe.

Comme le rappelle la journaliste spécialisée Agnès Girard, pour « guérir » de cette folie, les chirurgiens de la fin du XIXe siècle n’hésitent pas à pratiquer « l’ablation des ovaires » et à « mutiler des milliers de femmes parce qu’elles ont des pulsions sexuelles ».

En 2014, ces mutilations existent encore, comme dans certains pays d’Afrique où l’excision est encore pratiquée. Dans le monde occidental, si les mentalités ont changé, peu de travaux scientifiques s’intéressent finalement au sujet, affirme Vincent Estellon dans son « Que sais-je » sur « Les Sex-addicts ».

Aux États-Unis, le mot « nymphomanie » a tout bonnement disparu. La bible des psychiatres, le DSM, un manuel publié par la Société américaine de psychiatrie répertoriant et catégorisant les troubles mentaux connus, ne fait plus mention de la nymphomanie depuis sa quatrième réédition au début 2000.

Dans sa cinquième et dernière réédition publiée en mai 2013, on parle de « troubles de l’hyper-sexualité ».

Aujourd’hui, le mot est surtout passé dans le langage courant. S’il est souvent utilisé de manière légère voire humoristique, il a conservé la connotation péjorative qui lui avait été accolée au XIXe siècle. La femme qui aime « ça » est pareille à une nymphe qui hante la ville peu vêtue et prête à céder à des appétits sexuels exagérés.

Sources : huffingtonpost.fr, DSM 5

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L’amour, vous y croyez plus que jamais !

Mais vous vous en méfiez. Parce que vous en savez trop sur ses pièges ?

Ou pas assez sur son mode d’emploi ?

Pas facile de relier ensemble, et durablement, les pièces du kit “amour, couple, sexe”.

Alors, sachez inventer votre amour…

Aimer sans mode d'emploiNotre fameuse « moitié » existe-t-elle vraiment ?

Peut-on « gérer son image » dans la rencontre ?

L’amour peut-il durer toujours ?

Doit-on tout comprendre de l’autre ?

Et répondre à ses attentes ?

Peut-on éviter l’ennui, l’indifférence ou l’hostilité ? L’infidélité est-elle inévitable ?

L’amour est une aventure. Il surgit quand on oublie les méthodes infaillibles, les schémas classiques et les bons conseils, quand l’inconscient est de la partie.

Ce nouveau livre de l’auteur à succès Sophie Cadalen nous révèle comment opère cet inconscient en amour, nous poussant parfois à reproduire les erreurs que nous nous étions pourtant promis d’éviter.

Il nous aide à entrevoir ce qui à notre insu nous conditionne : préjugés, carcans moraux, héritages parentaux… Il nous invite surtout à écouter et suivre notre désir qui s’exprime au-delà de ces déterminismes.

En nous ouvrant à une rencontre vraie avec l’autre, nous pourrons inventer et réinventer, au jour le jour, la relation qui nous convient.

Source: « Aimer sans mode d’emploi : suivre les chemins de son désir« , de Sophie Cadalen, éditions Eyrolles

Quand je n’ai pas ma dose de sexe, je peux me sentir déprimée” constate Stéphanie, 32 ans, célibataire.

Addicte sexuelle ou nouvelle amazone des temps modernes ?

A une époque où chats, sites de rencontres et vente de sex-toys en ligne bouleversent nos pratiques sexuelles, il est parfois difficile de faire la part des choses. D’autant plus que l’addiction sexuelle au féminin reste un sujet tabou.

L’addiction sexuelle s’accompagne de souffrance dès lors que l’on n’obtient pas ce que l’on veut. Le sexe devient alors une condition sine qua non à l’équilibre de la personne.

L’abstinence est difficile et se solde par un profond mal-être physique et psychique.

Cette addiction se vit sur un mode compulsif. La sexualité est excessive, la plupart du temps coupée du lien affectif, avec du plaisir à la clé mais aussi des conséquences souvent négatives.

Si les effets sur le couple, quand celui-ci existe, sont évidents, il arrive que la sphère professionnelle et celle de la santé soient également touchées.

“Il m’arrive de passer des soirées dans un club échangiste, en pleine semaine. Je ne suis pas très en forme le lendemain” confie Cécile, 33 ans.

D’autres encore n’hésitent pas à faire une croix sur le préservatif, pour sacrifier à l’autel du plaisir.

Aujourd’hui la jouissance féminine est devenue “branchée”, voire incontournable, et même recommandée. Pour y parvenir tous les coups sont permis, au propre comme au figuré ! Ce qui explique que peu de femmes consultent à ce sujet.

C’est un fait, le sujet reste tabou chez la gent féminine, alors qu’il est plus facilement évoqué et identifié au masculin.

Toutefois, il y aurait lieu de se poser certaines questions.

(la suite demain)

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Effet de mode ?

Pathologie ?

Entre stratégie de communication (DSK serait « malade ») et bonne excuse pour les infidèles (Tiger Woods serait « malade » aussi), l’addiction sexuelle est mise à toutes les sauces.

Suite aux déclarations autour de la possible maladie de DSK (il souffrirait d’addiction sexuelle et souhaiterait se faire soigner), l’expression « addiction sexuelle » occupe plus que jamais le devant de la scène.

Initialement médiatisée par le biais d’affaires conjugales tout droit venues des USA, comme le cas de Tiger Woods ou de Michael Douglas, l’addiction sexuelle semble à première vue mêler intimement la morale et la psychiatrie : l’infidélité conjugale considérée comme une maladie, cela peut laisser perplexe.

Dans le cas de DSK, l’argumentation est reprise à un autre niveau : on invoque l’addiction sexuelle comme une maladie, qui permettrait en quelque sorte de le dédouaner, lui qui a publiquement été suspecté d’être un agresseur sexuel.

Faisons le point sur l’addiction sexuelle, et les mécanismes qui la sous-tendent.

L’addiction sexuelle : une forme de dépendance parmi d’autres ?

A partir de quoi classifie-t-on les pratiques sexuelles comme entrant dans le cadre d’une paraphilie ou d’une perversion ?

A partir de quelle normalité  détermine-t-on ce qui est déviant ?

addiction sexuelleEn ce qui concerne l’addiction sexuelle, il faut aller au-delà du mot, qui pointe une maladie, et comprendre ce qu’on veut désigner par là.

Qu’est-ce qu’un comportement addictif ?

L’addiction désigne une dépendance.

Et le comportement addictif, caractérisé notamment par l’impossibilité de s’abstenir et la perte de contrôle, est là pour calmer une angoisse.

Mais ce comportement n’est qu’un symptôme. En amont de celui-ci, il y a une raison qui relève souvent d’une angoisse de vide, ou d’une angoisse de perte liée à une problématique du deuil, au autre.

Tout cela se construit dans l’enfance, et est intimement lié à l’histoire personnelle de l’individu. Et l’addiction sexuelle est à rapporter aux autres addictions : c’est un des modes d’expression de la dépendance, qui est une défense contre une angoisse.

Les comportements de dépendance en général relèvent de ce même processus : en effet, on parle ici de comportements qui consistent à fuir le vide, à éviter de sombrer dans la dépression ou à perdre pied, en comblant cette peur du vide par un comportement qui calmera momentanément l’angoisse.

L’addiction sexuelle (multiplier les partenaires, se masturber compulsivement, séduire compulsivement, répéter des expériences sexuelles multiples) peut donc être un moyen de défense psychique contre le danger de l’effondrement.

Que l’addiction porte sur le sexe, le jeu, la drogue, l’alcool, le tabac, la nourriture,  c’est le même mécanisme qui est à l’œuvre.

A savoir calmer l’angoisse du vide sur un mode boulimique incontrôlable.

C’est le fait de ne pouvoir s’abstenir d’un comportement qui exprime un lien qui ne peut être rompu au risque de sombrer, qui caractérise la dépendance et donc l’addiction, et non le type de comportement en tant que tel. Ainsi, goûter particulièrement les parties fines en club libertin ne suffit pas à poser le diagnostic d’addiction sexuelle.

Pourquoi l’addiction se traduit-elle plutôt par tel type de comportement que par tel autre, dans tel registre plutôt que tel autre ?

C’est ici l’histoire personnelle de l’individu qui va donner à son addiction une forme ou une autre (plusieurs addictions simultanées étant possibles)…

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Saviez-vous que la psychothérapie cognitivo-comportementale est aussi très efficace pour les addictions-dépendances (anorexie-boulimie, mais aussi alcool, tabac, sexe, jeux, etc) ?

La dépendance psychologique, que ce soit pour l’alcool, la nourriture, la drogue, le jeu, la dépendance affective, sexuelle… n’est pas un problème de volonté, c’est un déclencheur inconscient.

Il met en œuvre les mêmes mécanismes : l’obsession du produit (ou d’une personne), le conflit intérieur (« bagarre » pour consommer, passer à l’acte ou non, etc.), la dévalorisation de soi-même, souffrance (pour soi et pour l’entourage), la dégradation des conditions de vie et de santé.

Vous avez envie d’en finir avec votre dépendance et de vous sentir libre. Voici le contenu de quelques séances  :

  • Mise en évidence des croyances en rapport avec l’addiction à la nourriture, voire affective
  • Mise en évidence des croyances favorisant la réussite thérapeutique
  • Mise en évidence des stratégies d’anorexie-boulimie
  • Définition d’un objectif : déterminer comment transformer une demande ambivalente en objectif positif selon des critères précis
  • La dissociation séquentielle : prendre en compte la nature très particulière de la personnalité « dissociée » d’une personne dépendante et utiliser les moyens adéquats pour lui permettre de trouver d’autres moyens que la nourriture pour résoudre ses difficultés personnelles
  • Compulsion : résoudre cette fameuse compulsion ou supprimer chez vous le besoin irrésistible de manger
  • Prendre en compte et résoudre la culpabilité et la honte
  • Identifier les émotions que vous ne savez pas gérer
  • Gérer ses besoins : découvrir les besoins réels derrière le besoin de boire, de fumer, de manger ou le refus de s’alimenter
  • Mettre en évidence les problématiques spécifiques, trouver les causes enfouies dans le passé
  • Créer un futur : vous apprendre à vous créer des projets d’avenir et à donner un sens à votre vie
  • Mise en place de repères aidants
  • La codépendance : sortir d’un schéma de codépendance, etc, etc…

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Le premier long-métrage de Stuart Blumberg, scénariste de Tout va bien ! The Kids are all right, traite avec humour du problème de la dépendance sexuelle.

L’addiction sexuelle est une pathologie grave, dont Hollywood s’est emparé depuis un moment déjà, mettant en scène Hank Moody, l’écrivain de Californication depuis 2007. Ou encore, sur une tonalité plus grave, le personnage solitaire de Michael Fassbender dans Shame , réalisé par Steve McQueen.

thanks-for-sharing-score1-300x300Dans Happiness Therapy, l’oscarisée Jennifer Lawrence, traumatisée par la mort de son mari, usait du sexe comme défouloir.

DansThanks for Sharing, les trois personnages principaux ont en commun de participer à un groupe de parole, comme on peut également en voir légion dans le cinéma américain, même si c’est le plus souvent autour de l’alcoolisme.

Le titre du film, littéralement «merci d’avoir partagé» est une expression utilisée à la fin de chaque intervention d’un malade durant leur soutien psychologique, quand il a raconté au groupe une expérience personnelle liée à sa maladie.

En France, une partie du film Les Infidèles faisait référence à l’addiction au sexe, avec Jean Dujardin, Gilles Lellouche et Guillaume Canet mis en scène dans une réunion «d’infidèles anonymes».

Ici, ce sont Mark Ruffalo (The Avengers), Tim Robbins et Josh Gad (sorte de Jonah Hill avant régime), qui sont liés par leur inquiétante obsession pour le sexe: ils incarnent respectivement un addict en rémission depuis 5 ans, son parrain, et un jeune malade, qui vient de prendre conscience de sa maladie après avoir perdu son travail.

On retrouve une seconde star du film The Avengers, puisque Gwyneth Paltrow joue la nouvelle petite amie de Mark Ruffalo, qu’il va devoir lutter pour garder, tant le risque de «replonger» semble fréquent. La chanteuse Pink dans un premier grand rôle au cinéma, prête elle aussi ses traits à une accro au sexe.

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dependance-affective, F.Duval-Levesque, psychotherapie, psychopraticien, hypnotherapeute, EMDR, sophrologie, coach, formateur, addiction, dependances, boulimie, depression1C’est un comportement où l’amour et le sexe sont utilisés, non pas pour répondre à des besoins normaux et vitaux, mais surtout pour diminuer une souffrance ressentie.

Il ou elle utilise l’amour et le sexe comme une drogue pour se sentir mieux. C’est un symptôme de difficulté lié à la relation qu’on a avec l’autre mais aussi avec soi.

La véritable dépendance affective, quand elle atteint un stade ultime, s’avère être totalement destructrice. Aussi bien pour la victime que pour le dépendant.

Le dépendant n’a plus d’orgueil ni d’estime de lui-même. L’autre devient indispensable, pour ne plus sentir la douleur, et cela amène à quémander de l’amour à n’importe qui.

La peur d’être seul, la mauvaise estime de soi, les interprétations déformées et un égo surdimensionné sont susceptibles de mener à cette dépendance de l’autre.

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Quand la sexualité devient aliénante…

Il y a les Dom Juan, accumulant les conquêtes, les « femmes à hommes », séductrices de leur état, et puis il y a les autres, les vrais : les sex addict, les  « accros du sexe », ceux pour qui l’activité sexuelle est synonyme de dépendance et conditionne le mode de vie.

Serions-nous tous, à des degrés divers, dépendants de quelque chose ou de quelqu’un ?

La dépendance traduit la difficulté de chacun à être autonome, à trouver un équilibre en soi, à gérer ses besoins, ses manques, ses émotions, ses pulsions… Pour les sex addicts, c’est la sexualité qui devient aliénante, le besoin sexuel est irrépressible, irrésistible, tel une force intérieure impossible à maîtriser.

Quand la sexualité devient souffrance

Chaque personne souffrant d’addiction sexuelle est unique. Mais toutes ont un trait commun : la souffrance. Les sex addict sont soumis à la peur du manque, comme le sont les toxicomanes, peu à peu prisonniers d’un comportement qui rétrécit leur vie et les isole de leur entourage.

Ces dépendants du sexe passent par différentes étapes, au cours desquelles ils négligent de plus en plus leur famille, leurs amis, leur travail. Les contacts sexuels répétés, dénués de tout investissement affectif, les éloignent de tous ceux qui n’entrent pas dans le cycle de l’addiction. Puis, la culpabilité associée à ce comportement les incite à dissimuler à leur entourage ces pulsions, et la vie secrète prend alors le pas sur la vie publique. Lorsque cette dépendance sexuelle s’intensifie, la vie ne se résume plus qu’à l’assouvissement de ce besoin.

Tout comme les toxicomanes ou les alcooliques, les sex addict nient leur comportement, rejetant sur les autres les difficultés qui en résultent.

Une spirale addictive

La dépendance sexuelle s’établit en suivant un cycle de quatre phases qui s’intensifient avec chaque répétition. Les accros du sexe seraient ainsi pris dans une véritable spirale addictive.

  1. La première phase est la phase obsessionnelle : le sujet addict tombe dans un état d’absorption interne dans lequel son champ mental est totalement occupé par les préoccupations sexuelles.
  2. La deuxième phase est celle de ritualisation : le sujet addict exécute certaines actions spécifiques qui précèdent le comportement sexuel. Le rituel intensifie les obsessions, augmentant la stimulation et l’excitation.
  3. La troisième phase est celle durant laquelle le sujet exécute l’acte sexuel précis, dicté par les obsessions et la ritualisation. Le sujet dépendant est alors incapable de contrôler ou d’interrompre son comportement.
  4. Vient ensuite la phase de désespoir : le sujet addict se sent totalement impuissant face à son comportement.

Ne parvenant pas à établir une relation saine et gratifiante avec un ou une partenaire, ces accros, sexuellement dépendants, se promettent de cesser leur conduite compulsive mais deviennent de plus en plus impuissants face au pouvoir de l’addiction, dirigeant peu à peu leur vie dans le seul but de la satisfaire.

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Environ 40% des femmes rapportent des problèmes sexuels et 12% considèrent que ces problèmes sont une source de détresse personnelle selon la plus grande étude à date publiée dans la revue Obstetrics & Gynecology.

« Les problèmes sexuels sont courants chez les femmes, mais les problèmes associés avec la détresse personnelle, ceux qui sont vraiment dérangeants et affectent la qualité de vie des femmes, sont beaucoup moins fréquents », dit Jan Shifren de l’Université Harvard qui a dirigé la recherche.

Plusieurs recherches ont montré que des problèmes de faibles niveaux de désir et d’excitation ou des difficultés à atteindre l’orgasme étaient présents chez environ 40% des femmes, mais peu de ces recherches ont vérifié le niveau de détresse associé à ces problèmes.

Cette dernière recherche a interrogé 32,000 femmes entre 18 et 100 ans. Elle mesurait la détresse associée aux problèmes sexuels, incluant la colère, la culpabilité, la frustration et l’anxiété.

Un certain niveau de problèmes sexuels était rapporté par 43% des répondantes: 39% rapportant un bas niveau de désir, 26% des problèmes avec l’excitation et 21% des difficultés à atteindre l’orgasme. Une détresse reliée à ces problèmes n’était rapportée que par 12% des participantes.

Bien que la prévalence des problèmes sexuels était la plus élevée chez les femmes de plus de 65 ans, ce groupe rapportait les plus bas niveaux de détresse. Les femmes âgées de 45 à 64 étaient celles qui rapportaient le plus de détresse alors que les femmes de 18 à 44 ans avaient les plus bas niveaux de problèmes sexuels et de détresse.

Les femmes souffrant de dépression étaient deux fois plus susceptibles de rapporter de la détresse par rapport à tous les types de problèmes sexuels.

Sources : havard, psychomedia.qc.ca

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Une enquête sociologique à très grande échelle (résultats complets en anglais et principales conclusions en français), menée dans 25 pays auprès de 25 140 internautes européens âgés de neuf à seize ans, tend à montrer que la plupart des dangers associés à Internet pour les plus jeunes sont généralement surestimés. Financée par la Commission européenne, pilotée par la London School of Economics, avec le CNRS pour l’enquête française, cette étude montre également que les parents ont souvent une appréciation erronée de ce que leurs enfants considèrent comme une expérience traumatisante ou désagréable.

Premier constat : Internet fait partie du quotidien des jeunes Européens, qui sont 93 % à s’y connecter au moins une fois par semaine. Et ils surfent de plus en plus tôt : l’âge moyen pour la première connexion varie d’un pays à l’autre, de sept ans en Suède à 8-9 ans en France. Surtout, cet âge tend à diminuer dans tous les pays.

Les 9-16 ans sont également adeptes des réseaux sociaux. 26 % des 9-10 ans sont inscrits sur un réseau social, et le chiffre passe à 81 % pour les 15-16 ans. Dans la plupart des cas, ces outils sont utilisés pour communiquer avec des personnes qu’ils connaissent déjà, même si 25 % des jeunes Européens discutent aussi avec des inconnus, principalement lors de jeux en ligne.

CONTENUS CHOQUANTS

L’enquête révèle que 21 % des 11-16 ans disent avoir été confrontés à des « contenus malsains » en ligne, une catégorie large qui englobe aussi bien des messages de haine que des contenus traitant du suicide, de la drogue ou de l’anorexie. Ce chiffre est particulièrement faible en France, où il n’atteint que 14 %. « Ce que l’on constate, c’est que dans les pays scandinaves, où l’usage d’Internet s’est développé depuis plus longtemps, ce taux est plus important, note Dominique Pasquier, responsable de la partie française de l’étude au CNRS. Ce sont aussi des pays où les modèles de régulation, la surveillance exercée par les parents sont plus ‘laxistes’ qu’en France ou en Allemagne, où le taux est comparable. » L’étude montre également que ce chiffre est particulièrement élevé dans les pays d’Europe de l’Est, comme la République tchèque.

Surtout, et c’est l’un des principaux enseignements de l’enquête, ce qui constitue un contenu choquant ou une expérience traumatisante pour les adultes ne l’est pas forcément pour les enfants. Ainsi, 14 % des jeunes européens disent avoir vu des images pornographiques ou à caractère sexuel sur le Web, mais seul un tiers d’entre eux estime qu’il s’agissait d’une expérience pénible. « Les jeunes qui ont été perturbés par un problème sur Internet sont une petite minorité : seulement 8 % des 9-16 ans en France, et 12 % au niveau européen », note le CNRS.

Le phénomène le plus mal vécu par les jeunes Européens reste le harcèlement en ligne : si seuls 6 % des 9-16 ans disent avoir été victimes de ces messages, les deux tiers d’entre eux ont été « assez » ou « très » tracassés. Dans la majorité des cas, ces messages agressifs ne génèrent pas d’angoisses durables, seuls 6 % des victimes y pensant pendant plusieurs mois. « De plus, le harcèlement est plus fréquent en face à face (13 % des enfants) que sur Internet (6 %) ou par téléphone mobile (3 %) », précise le CNRS.

LE RÔLE DES PARENTS

Les chercheurs ont également analysé les relations entre parents et enfants au sujet d’Internet. Ces dernières sont « peu conflictuelles », concluent-ils, et « le récit qu’ils en font est beaucoup plus concordant [entre parents et enfants] que sur la télévision, où le déclaratif des enfants diffère souvent beaucoup de celui des enfants ». Sans surprise, les amis (73 %) et les enseignants (76 % en France) font également partie des interlocuteurs des 9-16 ans pour discuter d’éventuels problèmes. Dans ses conclusions, l’étude recommande à la Commission européenne, qui a financé cette recherche, de mettre l’accent sur l’éducation des jeunes — et des parents — et le développement d’outils de contrôle parental.

Mais l’enquête fait apparaître aussi un étonnant paradoxe : si les parents ont tendance à surestimer le traumatisme que peut générer un contenu choquant, ils sous-estiment largement les types d’expérience qu’ont pu connaître leurs enfants. Ainsi, 40 % des parents dont les enfants ont vu des images sexuelles pensent que cela ne leur est pas arrivé, et ce chiffre monte à 56 % pour les destinataires de messages agressifs.

 

Source : lemonde.fr

 

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La porno-dépendance est une addiction peu connue.

Pourtant, c’est une de celles qui progressent le plus ! Heureusement, on peut en guérir, mais rarement seul. Faites donc ce test pour évaluer si vous êtes porno dépendant :

1/ Vous feuilletez régulièrement des revues ou des livres à caractère pornographique (images ou textes)
2/ Vous visionnez fréquemment des vidéos porno chez vous ou dans des sex-shops
3/ Vous êtes abonné(e) à un forum ou un chat sur le Web orienté sexe

4/ Quand vous sentez l’excitation venir, vous avez du mal à résister
5/ Lorsque vous résistez, vous devenez nerveux ou irascible envers votre entourage
6/ Juste avant de satisfaire à ce désir, vous devenez fébrile et très excité(e)

7/ Vous passez des heures à surfer sur Internet sur des sites pornos
8/ Plus le temps passe, plus vous sombrez dans le sordide et l’avilissant
9/ Après avoir obtenu satisfaction, vous éprouvez une sorte de lassitude

10/ Parfois, vous éprouvez de la culpabilité ou de la honte
11/ Vous écourtez vos soirées entre amis pour rentrer chez vous et satisfaire à vos désirs
12/ Vous vous levez quelquefois en pleine nuit ou au petit matin pour surfer

13/ Votre entourage n’est pas au courant, vous n’osez pas en parler
14/ Si vous êtes en couple, votre conjoint souffre de votre manque de communication, de votre caractère sombre ou irritable
15/ Votre conjoint ne vous attire plus sexuellement mais vous faites souvent semblant que « ça marche »

16/ Si vous êtes célibataire, cela fait longtemps que vous l’êtes ou vous avez du mal à débuter une relation affective
17/ Vous vous masturbez ainsi plusieurs fois par semaine
18/ Vous avez plusieurs fois décidé de vous arrêter mais en vain

19/ Vous vous êtes déjà promis de cesser ces pratiques pour ensuite trahir vos promesses
20/ Vous ne savez plus comment vous y prendre pour changer ces habitudes compulsives…

Résultats

• Si vous avez répondu OUI à moins de 5 points, vous n’êtes pas porno dépendant(e), alors cessez de culpabiliser mais restez tout de même vigilant(e) car on passe vite d’une fois par mois à deux fois par semaine !
• Si vous avez répondu OUI à plus de 7 points, vous êtes en train de devenir porno dépendant(e). Prenez-en conscience dès maintenant et parlez-en à un proche ou à un psy-praticien certifié/psychothérapeute.
• Si vous avez répondu OUI à plus de 15 points, ATTENTION DANGER ! Vous êtes TRES ACCRO. Il est temps que vous preniez des dispositions pour sortir de cette dépendance à cette nouvelle drogue avant que votre conjoint ne vous quitte et que tous vos amis fuient votre compagnie. Car même si vous trichez en paraissant détaché(e) et en vous mentant à vous-même, cela deviendra invivable. Pour vous comme pour les autres. Consultez un psy-praticien certifié/psychothérapeute qui sait l’importance de cette addiction et qui ne vous jugera pas.

Vous pouvez toujours vous cacher,
mais vous ne pouvez pas vous fuir vous-même !

Référence:  http://www.orroz.net/test.html

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Pour changer,

pour se rassurer,

par frustration sexuelle ou

par solitude,

quelles sont les raisons qui poussent les maris volages à tromper leurs épouses ?

Messieurs les infidèles, pourquoi vous adonnez-vous à ces aventures extraconjugales ? Pour répondre à cette question le site internet de rencontres libertines FirstAffair a effectué un sondage auprès d’environ 1000 de ses membres et établi une liste des 5 justifications les plus fréquentes.

La réponse qui arrive en tête pour 42 % de ces messieurs, c’est l’envie de changement et le besoin de nouveauté. Comme l’a répondu de façon très imagé un des sondés « J’aime ma partenaire mais le sexe, c’est comme les repas. C’est ennuyeux de manger tous les jours la même chose ».

En deuxième position, avec un score de 21 % on trouve la réponse « je voulais tester ma valeur sur le marché ». Et se prouver ainsi que l’on n’a rien perdu de son pouvoir de séduction même après des années de vie à deux.

La troisième cause d’infidélité chez les hommes serait la frustration sexuelle. 11 % des sondés indiquent que le manque de relation sexuelles au sein de leurs couples les a poussés à avoir une aventure.

En quatrième position du top 5 des causes d’infidélité, 11 % des hommes volages justifient leur écart en disant qu’ils considèrent leur relation actuelle comme instable et que la recherche d’aventures correspond en fait à l’envie de trouver une nouvelle partenaire pour établir une relation durable.

Enfin 7 % des sondés expliquent leur infidélité par la solitude dans leur couple. « Mon mariage est réussi, témoigne un utilisateur du site de rencontre, mais ma femme est très souvent en déplacement professionnel, c’est pour cela que j’aime profiter de mes heures de solitude avec une aventure. »

A noter que le pendant féminin du sondage ne semble pas avoir été réalisé. Pourquoi ?

Source : LaNutrition.fr

humour

Pour tout complément d’information, prière de vous adresser à votre psychiatre.

 

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