Quels sont les

effets psychologiques et psychiatriques

du confinement sur notre santé ?

Et quelles sont les attitudes permettant de faire face aux conséquences de ce stress ?

Écrit durant le premier confinement et destiné à faire face à la crise du COVID-19, cet ouvrage nous refait vivre cette période qui a tout bouleversé : nos organisations, nos repères, vivre un quotidien parfois solitaire, au contenu sommaire, où nos relations étaient médiées par des écrans.

Les restrictions liées au confinement, l’absence de contacts sociaux et l’aggravation des problèmes économiques, sont autant de facteurs qui pèsent sur la santé mentale et l’accès aux soins des personnes.

Cet ouvrage nous conduit au cœur

d’une vaste enquête sur le bien-être mental

menée pendant le printemps 2020, auprès de 20 000 participants

Mise en page 1Le professeur Nicolas Franck décrypte les conséquences sur la santé mentale de la crise sanitaire consécutive à la pandémie de coronavirus.

Il les compare à d’autres situations d’isolement, telles que celles qui sont vécues par les astronautes, les navigateurs solitaires ou les spéléologues. Des situations qui aident à comprendre comment le stress affecte notre corps et notre activité mentale.

Cette partie historique est une lecture vraiment intéressante !

La détresse survenant lors de l’éclosion de maladie infectieuse comme la covid-19 peut se manifester comme suit :

  • peur et inquiétude à propos de votre santé et de la santé de vos proches
  • modification des habitudes de sommeil ou des habitudes alimentaires
  • difficulté à dormir ou à se concentrer
  • aggravation des problèmes de santé chroniques
  • consommation accrue d’alcool, de tabac ou de drogue, etc.

C’est pourquoi 51% des adultes estiment que le Covid-19 a eu des répercussions négatives sur leur santé mentale. Vous aussi, je pense.

La Covid-19 crée des besoins inédits en matière de santé mentale et de soutien psychosocial pour les victimes du virus, leur famille, les agents de santé et d’autres acteurs de la lutte contre l’épidémie, ainsi qu’au sein de la population générale.

De façon générale, il est possible de surmonter les réactions de stress, d’anxiété et de déprime.

D’ailleurs, l’auteur Nicolas Franck nous donne ces 10 conseils dans son nouveau livre pour faire face à ces symptômes :

  • Demeurez attentif à vos sentiments, émotions et réactions, et donnez-vous la permission de les exprimer à une personne de confiance ou de les exprimer par le moyen de l’écriture, de l’activité physique ou autre
  • Pratiquez une activité physique qui vous permet d’évacuer votre stress et d’éliminer vos tensions
  • Adoptez de saines habitudes de vie telles qu’une bonne alimentation et des heures de sommeil suffisantes
  • Limitez les facteurs qui vous causent du stress
  • Accordez-vous de petits plaisirs (par exemple, écouter de la musique, prendre un bain chaud, lire, etc.)
  • Restez en contact avec les gens qui vous font du bien
  • Rappelez-vous les stratégies gagnantes que vous avez déjà utilisées par le passé pour traverser une période difficile
  • Misez sur vos forces personnelles
  • Posez vos limites (par exemple, refusez une tâche que vous ne voulez pas faire et qui n’est pas essentielle)
  • Apprenez à déléguer et à accepter l’aide des autres (par exemple, demander aux enfants de faire la vaisselle).

Comme vous le constatez, ces deux confinements, que nous vivons, ont un impact psychologique.

Plus ces confinements sont longs, plus leurs conséquences sur la santé mentale augmentent et s’agravent. De plus, le stress induit peut révéler une fragilité jusqu’à là inapparente.

Heureusement, ces mesures sanitaires semblent avoir eu pour effets positifs d’inciter les gens à prendre soin d’eux-mêmes, et à se tourner vers les autres. Car se préoccuper d’autrui permet de se sentir utile, ce qui est volontiers salvateur face à un péril collectif mondial.

Source : « Covid-19 et détresse psychologique (2020 l’odyssée du confinement) », du Pr Nicolas Franck, aux éditions Odile Jacob

Annoncé pour le 11 mai, le déconfinement sera pour certains une source de stress et d’anxiété.

Comment faire face à la peur du Covid-19 et de l’inconnu ?

« Ce qui est très stressant, d’une manière générale, ce sont les changements de régimes et d’habitudes », lance le Dr Charles-Édouard Notredame, psychiatre et chef de clinique au CHU de Lille. Comme le passage au confinement a pu constituer une source de stress, le déconfinement peut agir de la même manière.

« Le confinement a pu représenter une absence de libertés, en bousculant nos repères et nos habitudes. Finalement, on a fini par s’accoutumer à ce nouveau mode de vie. Les gens doivent se réadapter à un changement de repères avec le déconfinement. Ce sont les efforts d’adaptation qui peuvent être très stressants », souligne le praticien.

Pour la Dr Rachel Bocher, cheffe du service psychiatrie au CHU de Nantes, « ce qui peut rendre les gens anxieux en ce moment est un mélange de plusieurs choses : l’épidémie, le confinement et le flou des consignes qui sont données ».

Mais le ressenti lié au déconfinement sera très variable d’une personne à une autre.

« Pour certains, le confinement a pu suspendre des contraintes liées à la vie sociale, qui étaient sources d’angoisse. Je pense par exemple à des adolescents qui avaient des difficultés dans le milieu scolaire. D’autres personnes ont pu aussi se retrouver dans des situations de conflits familiaux, voir de violences intra-familiales, et percevront le déconfinement comme un soulagement », ajoute Charles-Édouard Notredame.

Comment faire face à une « anxiété du déconfinement » ?

Il faut prendre le temps pour intégrer la co-existence avec le coronavirus au quotidien. Ce qui est le plus difficile, c’est cette période de transition.

Face à une situation de détresse ou d’angoisse, des mesures simples peuvent être appliquées par tous : faire attention à son sommeil, adopter une alimentation équilibrée en baissant fortement sa consommation de sucre et de féculent, et faire de l’activité physique dans la mesure du possible…

Il faut reprendre une vie avec des rythmes : se lever, manger et se coucher à des heures définies, faire des activités stimulantes, qu’elles soient intellectuelles ou physiques. La meilleure façon pour ne pas être confronté à une angoisse, c’est de ne pas en faire une obsession.

Rétablir un lien social avec ceux qui nous entourent est également bénéfique. Ne pas s’isoler et rester en contact avec ses proches, c’est très important.

En cas d’angoisse ou d’anxiété trop forte, il ne faut pas hésiter à en parler et faire appel à un thérapeute au cabinet ou en téléconsultation avec Skype. Quelques séances d’hypnose profonde avec moi vous permettra vous sentir plus fort et confiant.

.

-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en télé-séances (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin

 

 

Duval-Levesque,psychopraticien,coach,hypnotherapeute,addiction,dependance,boulimie,deuil, traumatisme,anxiete,peur,phobie, mal-etre,Toulouse,hypnose,PNL, therapeute,bon,psy,stress,burn out, douleu

«L’aluminium n’est jamais neutre.

Il est toujours toxique, en fonction des quantités et des individus, et très problématique quand il est au coeur du vivant» explique le professeur Gherardi.

Un avis partagé par le Dr William Jacot.

«L’aluminium dans le corps n’est pas un métal neutre: c’est un métal lourd», abonde-t-il.

 

Pour aller plus loin:

http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/DossierComplexe.aspx?doc=aluminium-dangereux-pour-la-sante-comment-eviter-le-contact-avec-l-aluminium-

http://www.futura-sciences.com/sante/questions-reponses/divers-dangers-aluminium-831/

«Bonjour, voilà, j’ai fait beaucoup de régimes qui ont très bien marché, mais j’ai besoin que vous m’aidiez à stabiliser mon poids…»

En seize années de pratique libérale en tant que diététicien-nutritionniste, combien de fois cette phrase m’aura fait bondir de mon siège ! Parfois, la personne enchaîne : «Mais c’est de ma faute, je n’ai jamais été jusqu’au bout des stabilisations…»

Je m’accroche…

Et ma préférée : «Bonjour, je viens pour que vous m’aidiez à perdre du poids, mais je sais déjà ce qu’il faut faire. J’ai juste besoin que quelqu’un me motive à tenir bon…»

Bon… comment dire… il y a du boulot !

Reprenons.

Vous avez tenu bon pendant une multitude de régimes ; vous pensez que perdre du poids est synonyme de «réussir son régime» ; vous avez repris votre poids à chaque fois, ce qui vous a découragé(e) et fait remettre en question l’efficacité de ce dernier régime à la mode ; et vous culpabilisez de ne pas avoir fait la stabilisation.

De plus, vous savez ce qu’il faut faire pour bien manger.

Cependant, vous êtes là… assis(e), dans mon cabinet.

Attendant que je vous propose «le» régime miracle.

Ou peut-être espérez-vous que je vous inscrive sur des fiches cartonnées les règles diététiques que vous connaissez déjà par coeur en les accompagnant d’un grand : «Allez-y ! Vous êtes la meilleure ! Tenez bon !»

Eh bien non, pas cette fois. Nous allons, au contraire, aborder les choses différemment afin de ne pas reproduire ce qui n’a pas fonctionné par le passé.

C’est en ayant fait maigrir et stabilisé durablement des milliers de personnes que j’ai mis au point ma méthode : celle du mieux manger.

Je vous propose, dans cet ouvrage, de l’aborder de manière simple, ludique et interactive.

Vous aussi, ayez les clés nécessaires pour faire de votre alimentation personnelle le levier naturel de régulation de votre poids et une véritable source de bien-être.

J'ose balancer les régimes et trouver mon poids de formePourquoi ce nouveau livre ?

Diététicien-nutritionniste, Alexandre Lefèvre reçoit trop de patients désespérés par de multiples régimes inefficaces.

Pour eux, il a conçu une méthode éprouvée pour changer leur rapport à l’alimentation et retrouver le bien-être.

L’alimentation est probablement l’un des sujets sur lesquels nous avons tous lu ou entendu le plus de conseils, d’astuces et de règles, parfois contradictoires.

Nous savons donc comment bien manger. Pourtant, comme 20 millions de Français, nous continuons d’être en surpoids après avoir multiplié des régimes qui, le plus souvent, sont des échecs.

Fort de sa longue expérience de diététicien-nutritionniste, Alexandre Lefèvre a élaboré une méthode éprouvée et efficace pour perdre du poids durablement, sans suivre de régime, en apprenant simplement à mieux manger.

En fonction de nos défauts alimentaires définis par un bilan personnalisé, l’auteur propose un programme interactif adapté à chacun.

À chaque étape de ce programme, nous acquérons les clefs essentielles pour redéfinir les bases de notre alimentation et trouver l’équilibre entre la nécessité de satisfaire nos envies et celle de répondre au mieux aux impératifs nutritionnels.

Se nourrir devient alors une source d’épanouissement et de bien-être dont nous pouvons constater rapidement les bénéfices sur notre forme et notre silhouette.

Le bien-être est à la portée de VOTRE fourchette !

Qui est l’auteur ?

Alexandre Lefèvre est un diététicien-nutritionniste exerçant en libéral depuis seize ans. En plus des patients reçus en cabinet, et de ses consultations on-line, il organise des ateliers de cuisine à domicile et donne de nombreuses conférences en France. Il intervient également en entreprise lors de séminaires d’accompagnement diététique.

Source : « J’ose balancer les régimes et trouver mon poids forme« , d’Alexandre Lefèvre, Le Passeur Editeur

Obésité : la malbouffe n’est pas seule responsable.

Le surpoids grandissant des jeunes serait dû à un ensemble de mauvaises habitudes apprises parfois à la cantine, mais aussi à la maison.

La nourriture des fast-foods est loin d’être la cause majeure de la progression rapide de l’obésité chez les enfants et adolescents.

Depuis des années, on a pointé du doigt cette forme d’alimentation dans l’épidémie d’obésité.

Mais ce ne serait que la partie émergée d’un problème plus général: les mauvaises habitudes nutritionnelles des jeunes tout au long de la journée, «apprises» à la maison mais aussi relayées par certaines cantines ou restaurants universitaires.

C’est l’un des résultats d’une étude réalisée par des scientifiques de l’université de Caroline du Nord, publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition.

-hypnose-f-duval-levesque-psychotherapie-coach-psychopraticien-hypnose-emdr-sophrologie-addiction-dependance-depression-mal-etre-soutien-psy-boulimie-addiction-sexuelle, obesite, fast food, parents, apprentLes chercheurs ont utilisé les résultats d’une étude nationale américaine effectuée entre 2007 et 2010, incluant 4466 enfants et adolescents âgés de 2 à 18 ans.

Leur prise alimentaire était répertoriée, aussi bien en termes de calories qu’en termes de provenance de la nourriture et des boissons, établissements fast-foods ou autres. Les enfants ont pu ainsi être classés en trois catégories: ceux, 50 %, qui ne consommaient pas de fast-food ; ceux, 40 %, qui étaient faibles consommateurs de ce type de nourriture, c’est-à-dire qu’elle leur procurait moins de 30 % des calories ingérées ; et ceux, 10 %, qui étaient de grands consommateurs de fast-food, celle-ci leur apportant plus de 30 % des calories de leurs repas.

Ce qui a permis aux chercheurs de déterminer quels étaient les facteurs les plus déterminants dans la relation entre le régime alimentaire et le risque d’obésité.

Conclusion: si se nourrir de fast-food en grande quantité n’est pas recommandé, ce facteur n’est qu’une petite part d’un tableau général de mauvaises habitudes alimentaires, avec une consommation insuffisante de fruits et légumes. Tandis que, inversement, les aliments dits «industriels» et les boissons sucrées sont majoritaires.

Des parents qui cuisinent moins

«C’est ce qui réellement détermine l’obésité des enfants et adolescents, affirme le Pr Barry Popkin, qui a dirigé l’étude. Manger au fast-food est juste l’un des comportements qui résultent de mauvaises habitudes d’alimentation.

Le fait que les enfants qui mangent beaucoup de fast-food sont effectivement plus à risque de devenir obèses ne prouve pas que ce sont les calories issues de ces repas qui doivent en porter la plus grosse part de responsabilité.»

Le Pr Popkin, qui dit ne certainement pas être un fan de fast-food, estime que, «peut-être, les enfants qui consomment de la fast-food le font parce que leurs parents n’ont pas le désir ou le temps de cuisiner des produits frais et plus sains à la maison».

.

Bénéficiez d’une information (entretien de 30 minutes gratuit et sans engagement) pour un soutien psychologique, une psychothérapie ou du coaching en cliquant ici

Table des nutriments et calories de 1440 aliments sur le site de l’Anses

Un outil, rénové et complété, fournissant la composition nutritionnelle de 1 440 aliments a été mis en ligne, lundi 16 juillet, sur le site de l’Agence nationale française de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses).

Il s’agit de la table de composition Ciqual 2012 publiée par l’Observatoire de la composition nutritionnelle des aliments de l’Anses.

Elle permet d’obtenir les teneur en calories, lipides (profil des différents gras), glucides, protéines, vitamines et minéraux des aliments.

3 modes de recherche sont proposés: par nom des aliments, par famille d’aliments ou par constituants.

Ce dernier mode permet de trier les aliments sur la base de leur teneur en 57 constituants. Ce qui permet de trouver les aliments qui sont les plus riches en divers nutriments tels qu’en vitamines D (vient en tête l’huile de foie de morue), vitamine C (cassis frais), B9 (levure alimentaire), magnésium (abricot), calcium (meloukhia suivi du thym séché)…

Elles données sont toujours fournies pour 100 g, ce qui permet de comparer les aliments entre eux.

Mais pour qui veut évaluer sa consommation de calories, ce n’est pas le bon outil.

Combien de calories dans une pomme, dans un verre de vin, dans une cuillère à thé d’huile ?

Il faut d’abord rechercher le poids de ces quantités ailleurs et effectuer le calcul.

Plutôt fastidieux…

Le lien ici:  Table Cinqual 2012. Composition des aliments

.

.

.

Sans oublier que parler de calories n’est pas suffisant, voire même dépassé: maintenant, connaître l’IG (index glycémique) des aliments est plus utile.

 

.


Pour une information et un entretien gratuit de 30 à 45 minutes, sans engagement, concernant une aide, un soutien psychologique, ou une psychothérapie -> cliquez ici

Alors que les autorités de santé de plusieurs pays amorcent leur campagne pour la vaccination contre la grippe saisonnière, une autre prévention est primordiale et insuffisamment connue, selon plusieurs experts. La prise de compléments de vitamine D est de première importance pour la prévention de la grippe et un système immunitaire en santé, considèrent-ils.

Dans les récentes années, plusieurs études ont suggéré un rôle majeur de la vitamine D dans les mécanismes du système immunitaire.

Pour ce qui est de la grippe, une étude japonaise, publiée en mars 2010 dans l’American Journal of Clinical Nutrition a montré un important effet protecteur des compléments de vitamine D. Mitsuyoshi Urashima de l’Université Jikei (Tokyo) et ses collègues ont mené cette étude avec 334 enfants répartis au hasard en 2 groupes: l’un recevant un supplément de 1200 UI de vitamine D3 et l’autre, un placebo. Les enfants recevant un complément de vitamine D avaient un risque diminué de 42% d’attraper la grippe influenza A (ce qui se compare bien à l’efficacité du vaccin contre la grippe saisonnière estimée entre 25 % et 60 %). Parmi les enfants ayant déjà eu un diagnostic d’asthme, la vitamine D réduisait le risque de crises de 83%.

« Des études d’observation et épidémiologiques ont également lié la carence en vitamine D à un risque accru de grippe saisonnière et de nouvelle grippe A H1N1 », indiquaient les auteurs.

En mars 2010, une étude publiée dans la revue Nature Immunology montrait que la vitamine D joue un rôle majeur pour l’activation du système immunitaire. Elle serait essentielle à l’activation des lymphocytes T.

Plusieurs experts considèrent que les apports quotidiens recommandés par les autorités de santé devraient être mis à jour à la lumière des résultats des études des dernières années.

Alors que, par exemple, le Guide alimentaire canadien ne recommande que 400 UI (10 µg ) de vitamine D3 par jour, plusieurs experts et organismes comme la Société canadienne du Cancer recommandent plutôt 1000 UI (25 µg) par jour. D’autres recommandent 2000 UI (50 µg).

Comme ces apports sont presque impossibles à obtenir par l’alimentation (la plus grande part de l’apport provenant de l’exposition au soleil qui est insuffisante en hiver et insuffisante à l’année pour plusieurs), ils recommandent la prise de compléments de vitamine D (plus précisément D3).

Source : psychomedia.qc.ca

regime

Comment perdre 5 à 10 kilos par année

en enlevant – seulement –

100 calories par jour !

Des façons simples de couper de l’alimentation ou dépenser 100 calories par jour peuvent vous aider à perdre (ou ne pas prendre) 10 livres (environ 5 kilos) par année.

Les experts de la perte de poids s’entendent pour dire que la meilleure façon pour réussir à perdre du poids et maintenir cette perte n’est pas à travers des régimes stricts mais à travers des petits changements que vous pouvez maintenir toute la vie.

Il s’agit simplement de faire des petits changements dans la routine de tous les jours. Un certain temps d’ajustement est souvent nécessaire afin d’implanter une nouvelle habitude puis elle devient automatique… Facile 😉

La calorie est une mesure d’énergie : si vous prenez 100 calories de moins par jour ou en dépenser 100 de plus, cela fait une différence d’environ 10 livres (environ 5 kilos) à la fin de l’année.

Une livre (1/2 kilo) de graisse correspond à 3 500 calories. Sauver 100 calories par jour pendant 365 jours donne environ 36 500 calories, ce qui équivaut à 10 livres . Vous pouvez doubler le résultat, c’est-à-dire perdre ou éviter de prendre 20 livres, en coupant 100 calories de votre alimentation et en dépensant 100 calories supplémentaires par jour.

En choisissant les bons aliments – fruits, légumes, légumineuses, grains entiers, protéines maigres et produits laitiers faibles en gras – vous pouvez avoir suffisamment d’énergie et satisfaire votre faim.

5 recettes pour brûler 100 calories par jour:

– Marcher environ 1 km et demi de plus par jour (environ 20 minutes)
– Acheter un pédomètre et mesurer le nombre de pas que vous faites par jour, en ajouter environ 2000
– Faire 10 minutes de jogging
– Faire 30 minutes de plus d’entretien domestique
– Faire 15 minutes de vélo stationnaire, de natation ou d’exercices à l’aide d’un vidéo.

15 astuces  d’enlever 100 calories de l’alimentation :

– Mangez des céréales de grains entiers riches en fibres plutôt que des céréales sucrées au déjeuner
– Utilisez de la moutarde ou une mayonnaise faible en gras dans votre sandwich plutôt que la mayonnaise régulière
– Remplacez une collation de biscuits ou de chips par un fruit frais

– Remplacez une boisson gazeuse sucrée par une boisson diète. Une seule canette de boisson gazeuse sucrée par jour pendant un an vous fera engraisser de 6,5 kilos
– Choisissez un sorbet, ou une crème glacée faible en gras plutôt que la crème glacée régulière
– Utilisez de la margarine légère fouettée plutôt que la régulière

– Coupez le bacon de votre sandwich ou de votre déjeuner
– Choisissez du pain plutôt qu’un croissant
– Laissez tomber le fromage de votre hamburger ou sandwic

– Prenez une vinaigrette légère plutôt que régulière
– Prenez du lait écrémé plutôt que entier

– Prenez des fromages et yogourts légers

– Prenez 1/2 tasse de moins de pâte ou de riz
– Enlevez la peau de votre portion de poulet
– Partagez votre dessert avec votre chéri(e)

Si vous avez d’autres idées, laissez un commentaire 😉

(suite et fin)

La prise en charge comportementale est très importante selon toi. Comment est-elle acceptée par les cancérologues ?

David Servan-Schreiber : « C’est sur ce point que j’ai eu le plus de mal avec les cancérologues. La nutrition encore, ils l’acceptent, parce que c’est ce qui se rapproche le plus d’un médicament. Mais leur faire intégrer l’importance de la méditation, c’est un peu plus éloigné de leur manière de penser. »

L’idée qu’il y aurait une « personnalité du cancer » est-elle bien étayée ?

« Non, ce n’est pas très solide, c’est vrai. Lydia Temoshok a proposé le concept de « personnalité de type C » pour les patients atteints de cancer, par contraste avec la personnalité de type A qui caractérise les tendances agressives et impatientes des cardiaques. Tous les gens qui travaillent avec des patients finissent par tomber sur ce type de personnalité. On ne retrouve pas ces éléments psychologiques chez tous les patients, mais chez pas mal d’entre eux. »

De quels éléments psychologiques s’agit-il ?

« Comme moi, il s’agit souvent de personnes qui ne se sont pas senties pleinement accueillies dans leur enfance. Leurs parents ont pu être violents ou coléreux ou froids, distants et exigeants. Ces enfants ont reçu peu d’encouragements et développé un sentiment de vulnérabilité ou de faiblesse. Par la suite, pour être sûrs d’être aimés, ils se sont conformés à ce qu’on attendait d’eux plutôt que de suivre leurs propres penchants. Ils deviennent des adultes qui se mettent rarement en colère, ils sont toujours prêts à aider les autres, évitent les conflits. Pour garantir leur sécurité émotionnelle, ils s’investissent dans un seul aspect de leur vie : le travail, le mariage, les enfants. Lorsque celui-ci est menacé ou perdu, la douleur de l’enfance resurgit. Elle s’accompagne de sentiments d’impuissance, de désespoir et d’abandon, qui peuvent peser sur l’équilibre psychologique et corporel. C’est ce qu’un de mes collègues thérapeutes appelle le « touché-coulé ». La première blessure de l’enfance est supportable. Lorsqu’un deuxième coup frappe au même endroit, tout l’édifice psychologique et physique peut s’effondrer. »

Comment vit-on après un cancer ?

« On se soumet à des examens régulièrement, c’est une espèce d’habitude. J’ai conscience que mon corps porte des cellules plus agressives que la moyenne des gens, et qu’il faut garder ces cellules sous contrôle. »

Qu’y a-t-il pour toi après « Anticancer » ?

« Je suis en train de mettre au point un programme pour l’hôpital Pompidou à Paris. C’est parti du constat que les patients demandent aux cancérologues des conseils sur ce qu’ils doivent manger, et que les médecins ne savent pas toujours quoi répondre. Il faut aussi apprendre aux gens à se parler et parler de leurs émotions, mais ça, ça se met tout naturellement en place dans le cadre d’un programme qui s’intéresse à l’aspect nutrition, parce que tu constitues des groupes et bien sûr les patients en viennent naturellement à se parler. Ensuite, il faut amener les patients à se recentrer, cela vient facilement, c’est l’objectif de la méditation. Enfin, leur apprendre à dépasser les traumatismes du passé. »

Quel peut être l’impact de ce type de programme environnement-nutrition-esprit sur le cours de la maladie ?

« On ne sait pas très bien, mais je pense qu’il peut être énorme. Je ne peux pas dire que j’ai trouvé la solution définitive contre le cancer, que ça va résoudre tous les problèmes, mais je crois sincèrement que cela peut réduire le risque de cancer chez les personnes en bonne santé, et cela peut réduire le risque de mortalité chez ceux qui ont ou ont eu un cancer. Beaucoup de gens sont encore en vie grâce à ce type d’intervention. Je vais faire ce que je peux, avec ce livre, ce programme pour l’hôpital, et le site Internet que je lance, anticancer.fr. »

Cher lecteur, courez acheter son livre !

duval-levesque, psy, guerison, cancer, boulimie, anorexie, depression, stress, rémission, dependance, soutien psychologique

.

 

Pour une information et un entretien gratuit de 30 à 45 minutes, sans engagement, concernant une aide, un soutien psychologique, ou une psychothérapie -> cliquez ici