Je vous donne ces 7 conseils, fruits de mon expérience à mon cabinet;

Oui, vous pouvez guérir de votre addiction.

Même si elle dure depuis des années. Même si vous en souffrez en silence.

Exemple de guérison ? Celle de l’actrice-chanteuse Demi Lovato.

Artiste adulée, elle a partagé son combat contre la boulimie. Inspirant ainsi des millions de personnes à briser le silence et à cheminer vers la guérison.

Son parcours, illustré par des photos avant / après saisissantes, avec un message d’espoir, montre que la victoire sur la boulimie alimentaire (TCA) est possible.

La psychothérapie s’avère un outil crucial pour vaincre l’addiction. En s’attaquant aux racines profondes du problème, elle offre une transformation durable et complète.

Une cliente guérie m’a dit, récemment, « j’ai fait la paix avec moi-même ».

Voici 7 clés pour vous en sortir :

1. Comprenez les mécanismes de votre addiction

Explorez les ressorts psychologiques qui vous poussent à manger compulsivement. Par exemple, identifiez les émotions difficiles que vous tentez de combler par la nourriture : solitude, ennui, peur, rejet, abandon, etc.

2. Développez une relation saine avec la nourriture

Apprenez à écouter les signaux de faim, et de satiété, de votre corps. Découvrez le plaisir de manger en pleine conscience, sans culpabilité, ni jugement.

3. Apprenez à gérer vos émotions difficiles

Connaissez des outils pour gérer votre stress, votre anxiété, votre tristesse, etc. de manière saine et constructive. Développez des stratégies alternatives à la boulimie (et/ou l’hyperphagie) pour une bonne santé durable.

4. Améliorez votre estime de soi

Renforcez votre confiance en soi et une juste et bonne image corporelle. Apprenez à vous aimer et à vous respecter, au-delà des diktats de la société. Sachez dire non !

5. Développez des relations saines

Entourez-vous d’un réseau de soutien positif et bienveillant. Découvrez comment communiquer ouvertement sur vos ressentis et vos besoins.

6. Apprenez à gérer les rechutes

Comprenez que les rechutes font partie du processus de guérison. Mettez en place des stratégies pour les prévenir. Et les gérer de manière constructive.

7. Fixez-vous des objectifs réalistes

Je vous aiderai aussi comment avoir des objectifs clairs et atteignables pour votre guérison. Vous célèbrerez chaque victoire, si petite soit-elle.

N’oubliez pas, vous n’êtes pas seul(e) !

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Version courte de mon article 😉

-> Ce trouble du comportement alimentaire est un défi complexe, et la guérison est possible. En vous engageant dans une psychothérapie sérieuse, avec un psy compétent, en vous appuyant sur un réseau de soutien solide, vous retrouverez une relation saine avec la nourriture, et vous vous sentirez plus heureux.

N’attendez plus, franchissez le pas vers la liberté et le bien-être !

Voici d’autres informations complémentaires :

  • Le documentaire « Simply Complicated » de Demi Lovato est disponible sur YouTube
  • Ligne d’écoute téléphonique nationale pour les troubles alimentaires : 0 800 05 05 01

N’hésitez pas à partager ce message avec toute personne concernée par l’addiction alimentaire.

Ensemble, brisons le silence de cette maladie, et ouvrons la voie vers la guérison !

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ».
Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

 

Lirez-vous cette petite histoire ?

« J’appuie chaque matin sur l’interrupteur, et la lumière s’allume.

Un jour, j’appuie sur l’interrupteur et rien ne vient. Que puis-je faire alors ? Rager, pester, taper comme un fou sur l’interrupteur en n’acceptant pas sa défaillance ?

Si je lâche prise, si je ne me braque pas et si je respire un grand coup en acceptant mes limites, différentes solutions peuvent alors me venir à l’esprit : vérifier que l’ampoule n’est pas grillée, qu’un plomb n’a pas sauté, passer chez le quincaillier, appeler un électricien…

Quand je lâche sur ma volonté et que j’admets mon impuissance, mon horizon s’ouvre. C’est très rare qu’une situation soit complètement bloquée. L’impression d’être dans une impasse signifie d’ailleurs souvent que l’on n’a pas encore lâché prise. »

Et si, au lieu de réfléchir,

je m’arrêtais simplement,

et que je laissais la vie être en moi ce qu’elle est ?

Ouvrez-vous à l’instant présent et profitez de votre vie !

4 étapes et je lâche priseCe nouveau livre  va vous y aider.

Il est construit comme un atelier. Vous pouvez le suivre à votre rythme, en choississant vos moments, selon votre emploi du temps.

En 4 étapes et 8 mouvements, libérez-vous des situations et des personnes nocives auxquelles vous vous accrochez grâce à cette méthode unique réunissant la sophrologie, la relaxation, l’EFT, la pensée positive et le symbolisme.

Le philosophe Frédéric Lenoir a préfacé ce « livre-atelier » de la thérapeute Patricia Penot qu’il connaît bien et apprécie.

Il a raison, car sa méthode visant à cesser de vouloir tout contrôler est basée sur un fond solide : pour vous inciter à vaincre vos résistances et accéder ainsi au bien-être, l’auteur dit bien ce que le lâcher-prise n’est pas (résignation, abandon, faiblesse), et pourquoi et comment il est possible d’accepter ses limites.

Entre « un peu de théorie » ici ou là et des « instants méditatifs » portant sur quelques mythes éternels (Icare, Hercule, Calypso…), les exercices et les quiz s’enchaînent en un plan clair ; et efficace.

Au fil de cette lecture motivante, les bons bilans sont posés et c’est le stress qui lâche prise. On ne cherche plus à être parfait ou fort, à faire vite ou à faire plaisir à tout prix.

« Quoi que mon mental prétende, je me trouve là où sont mes pieds »

Libérez votre potentiel zen !

Qui est l’auteur ?

Sophrologue, relaxologue et énergéticienne, Patricia Penot enseigne dans le domaine du bien-être, de la croissance personnelle et de la conscience de soi depuis plus de vingt ans.

Elle dirige le Centre de formation et d’accompagnement individuel, anime l’émission « Parlons sophrologie » sur Radio Médecine Douce, et à écrit plusieurs ouvrages, dont « Plonger au coeur de soi » (Solar 2014)

 

Source: « 4 étapes et je lâche prise« , de Patricia Penot, Editions Solar

espoir

 

 

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Le deuil, à la suite de la mort d’une personne aimée ou d’une séparation, est une des plus grandes épreuves de la vie qui, un jour ou l’autre, atteint chacun de nous.

Source d’une grande souffrance, d’une véritable douleur morale, d’un profond désespoir, d’anxiété, de dépression et de manifestations fonctionnelles variées, le deuil est un facteur de déséquilibre transitoire, un traumatisme aux effets prolongés.

Dans la majorité des cas, aussi pénible soit-il, le deuil suit normalement son cours et arrive a son terme. Pour 5 % des personnes, il va provoquer des complications au niveau de la santé physique, mentale, de l’équilibre psychologique et des relations sociales.

Dans ce nouveau livre de Lucien Essique, l’auteur vous invite à un cheminement pour appréhender ces épreuves de rupture.

Du premier au dernier souffle, notre vie n’est que mutation.

De la première fusion cellulaire à l’extinction de notre effervescence biologique, notre être va apprendre à vivre, à grandir, à ressentir, à aimer.

Mais notre vie est jalonnée de pertes et de deuils.

Cependant, ces séparations ne signifient pas l’oubli ; la mort ne se confond pas avec le néant, la vie ne s’arrête pas après un deuil.

L’auteur propose des outils pour accompagner les différentes séparations et traverser les périodes de deuils.

Au-delà des affres de la perte, des déchirures, il est possible de s’ouvrir à un nouvel horizon de paix, d’amour et d’énergie de vie.

Un livre à lire, pour grandir !

les séparations et les deuils, une source d'évolutionLes principales thématiques du livre :

  • Les premières séparations de votre existence
  • Les séparations, les pertes de l’enfance
  • Les séparations amoureuses
  • Les situations inachevées de votre vie
  • La mort, le deuil d’êtres chers
  • Vivre le deuil
  • Vivre après un deuil
  • Au-delà de la mort du corps, l’âme, le souffle de la vie, une part d’éternité…
  • La vie après la vie, ou comment communiquer avec les âmes qui nous ont quittés
  • Comment percevoir cette forme de communication subtile qui nous relie ?

Qui est l’auteur ?

-> Lucien Essique est thérapeute, formateur et consultant en relations humaines.

Émerveillé par les possibles d’évolution de l’être, il nous invite à ouvrir une nouvelle voie : celle de l’harmonisation de notre être sur la fréquence de l’amour. Il dispense aujourd’hui de nombreuses formations, il anime et forme des personnes aux constellations familiales et les accompagne vers plus d’amour et de libération.

 

Source : « Les séparations et les deuils, une source d’évolution« , de Lucien Essique, éditions Dangle

Les statistiques le démontrent.

Dans son livre DRH, le livre noir, Jean-François Amadieu (3), créateur et directeur de l’Observatoire des discriminations, explique qu’en France l’apparence physique d’une candidate entre pour 67 % dans la décision ou non de l’engager, contre 45 % dans les autres pays européens !

« La femme a gagné en liberté – la liberté dans son corps, dans son travail, dans son couple –, mais elle est aujourd’hui devenue le jouet du marché matrimonial, le jouet de l’horloge biologique, le jouet du marché du travail. Le temps et les possibles se resserrent à mesure que le temps passe. La femme est en permanence dans l’urgence », estime Jean-François Amadieu.

Pourquoi aujourd’hui davantage qu’hier ?

« Parce que hier il n’y avait pas tous les réseaux sociaux qui vous intiment d’exister. Savez-vous que pour un DRH, ne pas être sur Facebook est louche, car cela peut signifier que l’on a quelque chose à cacher ? Et aussi parce que hier les femmes travaillaient dans les usines ou dans les champs et moins dans les services, où le look est important, poursuit Amadieu. En plus, personne n’a plus d’excuses : atteindre la perfection est expliqué dans les magazines et par des coachs censés vous mettre au top. »

-hypnose-f-duval-levesque-psychotherapie-coach-psychopraticien-hypnose-emdr-sophrologie-addiction-dependance-depression-mal-etre-soutien-psy-boulimie-addiction-sexuelle, femme deborde, stress, busineswomanLa perfection, c’est ce qui obsède Claire, l’héroïne du premier film de Delphine de Vigan, À coup sûr (4).

« Claire vit dans cette dictature de la performance. Elle contrôle tout et parle de sa sexualité comme un comptable de ses bilans, avec un vocabulaire d’entreprise façon “Aujourd’hui, mon feed-back orgasmique est super déceptif” », raconte l’écrivain à succès qui est passée derrière la caméra.

Jusqu’au jour où Claire découvre que l’abandon lui permet de trouver l’homme de sa vie.

La quête de la perfection connaît, heureusement, ses impairs.

Sinon, comment expliquer le succès de Fais pas ci, fais pas ça, la série de France 2 regardée par cinq millions de téléspectateurs à l’aube de sa cinquième saison ?

Réponse de Valérie Bonneton, héroïne du feuilleton : « C’est une série sur la vraie vie de deux familles, une vie foutraque pleine d’imperfections, où les femmes sont débordées, mal fagotées. Où les lave-vaisselle tombent en panne, car les femmes ont oublié de mettre du sel régénérateur.  En même temps, cet univers désordonné est joyeux, libre, vivant. »

(3) Jean-François Amadieu, professeur à l’université Paris-I, a publié au Seuil, DRH, le livre noir, et chez Odile Jacob, Le Poids des apparences et Les Clés du destin.
(4) En salles le 15 janvier 2014.

Source: madame.lefigaro.fr, mon expérience professionnelle

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Le manque de soutien psychologique à certains moments de la vie serait un facteur déclencheur majeur des troubles du comportement alimentaire comme l’anorexie ou la boulimie.

Peu de choses sont connues sur les facteurs contextuels familiaux qui augmentent le risque de troubles du comportement alimentaire comme l’anorexie ou la boulimie.

Des chercheurs de l’université du Minnesota aux Etats-Unis ont souhaité comprendre dans quelle mesure certains évènements de la vie familiale et personnelle pouvaient déclencher ces troubles dans le but d’améliorer la prévention de ces maladies.

Des personnes de tout âge (de 17 à 64 ans) souffrant de troubles du comportement alimentaire ont été interrogées sur leur passé et sur le déclenchement de leur maladie. Les chercheurs ont ainsi pu repérer 6 thèmes principaux qui précèdent le déclenchement d’un trouble du comportement alimentaire :

  • Le changement d’école : qu’il s’agisse d’un changement d’établissement ou du passage dans un niveau d’étude supérieur, plusieurs malades rapportent un sentiment d’abandon difficile à gérer dans cette situation.
  • Les changements relationnels : la rupture avec son compagnon ou sa compagne mais aussi le divorce des parents ou une nouvelle rencontre pour un des parents sont parfois associés à un sentiment d’abandon pouvant déclencher des troubles du comportement alimentaire. Une femme explique « je n’ai pas supporté que mon père parte avec cette ‘barbie’ plutôt que de rester avec nous ».
  • Le décès d’un membre de la famille : ou la mort d’un ami proche peuvent être très traumatisant. Le manque de soutien et la difficulté à gérer un tel évènement peut amener à des troubles du comportement alimentaire.
  • Un déménagement ou un changement de travail : là encore cette situation nouvelle peut donner lieu à un sentiment de perte de repères ou de la solitude pour lesquels la nourriture offrira un certain refuge.
  • Un problème de santé ou d’image de soi : une femme souffrant d’hypoglycémies (baisse du taux de sucre dans le sang) avait reçu comme conseil de manger fréquemment pour éviter tout malaise. L’application de cette directive ayant été poussée à l’extrême a alors déclenché la boulimie. Dans d’autres cas, la perte de poids liée à une maladie s’est accompagnée de commentaires positifs de l’entourage sur ce nouvel aspect physique ce qui a poussé la personne à continuer un régime inadapté, amenant alors vers l’anorexie.
  • Le viol, l’inceste et les abus sexuels : ces évènements sont souvent difficiles à confiés et amènent souvent peu de soutien en raison d’un manque de compréhension. L’alimentation peut alors jouer ce rôle ou servir d’outil : un corps en surpoids étant moins attirant, il protège de la situation vécue.

Les chercheurs concluent leur résultat en déclarant : « Les professionnels de santé doivent être au courant de l’importance de tels évènements qui surviennent pendant l’adolescence ou chez de jeunes adultes. Aider les parents à être à l’écoute et à soutenir leurs enfants au cours des évènements difficiles est probablement beaucoup plus important que d’essayer de résoudre le problème. »

Référence : Berge, J. M., Loth, K., Hanson, C., Croll-Lampert, J. and Neumark-Sztainer, D. (2012), Family life cycle transitions and the onset of eating disorders: a retrospective grounded theory approach. Journal of Clinical Nursing, 21: 1355–1363. doi: 10.1111/j.1365-2702.2011.03762.x

 

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Voici divers profils psychologiques (hommes et femmes), pour mieux vous connaître, et votre partenaire.

Un comportement, une façon d’être quelque soit la situation à vivre, sera presque toujours identique selon la psychologie de chacun. Mais la « tension » provoquée par un conflit amoureux exacerbe certains comportements.

L’amour, l’affectif sont les domaines les plus fragiles à gérer.

Ils font resurgir, d’un passé parfois lointain des blessures d’abandon, les désirs enfouis, les peurs les plus profondes jaillissent soudainement provoquant des réactions inattendues.

1) La personnalité à tendance paranoïaque.
Se méfie de tout et tout le monde.

Aura tendance à ne rien croire de ce que vous exprimez. Cette personnalité est soupçonneuse, méfiante, interprète mots et actions comme malveillants. Vous devrez lutter pour la ramener à la raison, faire passer votre message. Il faudra du temps pour que de nouveau, cette personne vous fasse confiance, même si le sujet du conflit est bénin.

Ne cherchez pas à avoir le dernier mot (comme avec le narcissique). Pour des raisons psy différentes, le rapport de force ne sert à rien.

2) La personnalité à tendance narcissique
A besoin d’admiration.

Ayant une haute estime de lui-même, ce personnage qu’il soit de sexe mâle ou féminin, vous narguera de ces élans d’autosuffisance, puisque il ou elle a toujours raison, que le « méchant » c’est vous. Se retira dans sa tour d’ivoire avant de daigner se tourner vers vous, après que vous vous soyez longuement excusé… Sinon, pas de pardon.

Attention le narcissisme revêt diverses formes. Il y a le narcissique très sûr de lui ou d’elle, tel le psychorigide, ne se remet pas en question. Le « narcissisé », celui qui, faute d’amour reçu, a appris à s’aimer. Il est plus fragile qu’il n’y parait.
Autre cause, même effet, l’enfant roi, adulé par la famille ramenant tout à lui, elle, cache parfois un manque de confiance ! Si réellement vous souhaiter faire la paix, caressez le dans le sens du poil ! Question d’égo.

3) La personnalité à tendance border-line.
Ce que cette personnalité craint avant tout : »l’abandon ».

Elle fera tout pour calmer le jeu, quitte à se victimiser et à partir dans des débordements émotionnels, soit elle explosera dans le mélo.

Bref, sa réaction sera imprévisible, car cette personnalité peut passer d’un état à l’autre en un rien de temps, l’adulte peut réagir comme un enfant. Restez zen avant tout, ne rentrez pas dans la dramatisation de l’autre, laissez le ou la se calmer.

4) La personnalité à tendance obsessionnelle-compulsive.
Elle a besoin de comprendre, de savoir

Va décortiquer la situation dans ses moindres aspects, analysera vos paroles de A à Z, échafaudera des hypothèses, vous demandera avec insistance et obsession: « pourquoi ? » « comment ? », voudra savoir à tout prix, comprendre etc… Harcèlement garanti, discussion sans fin, il ou elle ne lâchera pas avant d’obtenir, d’entendre ce qu’il ou elle veut.

Comme le borderline, l’obsessionnel cherche à être rassuré. Cette personnalité, ne connaît pas toujours ses propres limites, encore moins celles de l’autre, l’endurance de chacun ayant un seuil, soyez précis et clair dans vos propos et surtout ferme.

5) La personnalité à tendance dépendante
A besoin de l’autre pour comprendre, agir, pas autonome.

Ne peut rester seule, se sent incapable de faire seule, par peur de se tromper, s’accroche à l’autre comme à son « sauveur », tendance à le « vampiriser » ! Très douée pour se victimiser « Mais qu’ai-je fais ? » En général, n’exprime pas son mécontentement réel ou non, garde pour  elle ce qui dérange, par peur de ne plus être aimée.

Elle a plus besoin d’être aimée que d’aimer, ce qui cache parfois un caractère dominant, une fausse soumission, car donnant pour avoir. Dans un conflit, elle se taira, ruminera, suppliera.

En réalité, il y a peu de tension avec ce type de profil, car son mode de communication est l’acquiescement en tout, elle ne vous contredira pas, mais partira un jour pour s’accrocher à un autre « sauveur ».

-> Quelques conclusions :

Si vous vous reconnaissez dans l’une des composantes des profils, vous trouverez certainement des pistes pour mieux vous comprendre et agir en fonction.

N’oubliez pas que les personnalités décrites ici, sont des profils « types ». Dans la vie, on appartient à plusieurs profils, mais il y a toujours une dominante teintée d’un peu de ceci et de cela ! Se connaitre mieux, s’accepter c’est aussi accepter l’autre et le comprendre.

Les mécanismes de protections différent selon les individus. Il est toujours possible, non pas de changer, mais de modifier certains aspects de notre caractère.

En prenant conscience de réactions de souffrance disproportionnées à une situation, interrogez-vous sur le « Pourquoi ? »

Si vous ressentez un dysfonctionnement intérieur, une pulsion particulière totalement exagérés n’hésitez pas à consulter un thérapeute en psychothérapie.

Observez-vous sans jugement, ne soyez pas un censeur rigide pour vous-même. Faites la même chose avec votre partenaire.

Car n’oubliez pas que les conflits à répétitions tuent l’amour lentement mais sûrement. Le sentiment amoureux s’étiole vite, pensez à entretenir la flamme !

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La blessure originelle de l’abandon a-t-elle cicatrisé

grâce à l’amour de la famille adoptive

et au sentiment de filiation qu’elle a fait naître ?

Nombre de psys ont ausculté les blessures des enfants adoptés et les difficultés des familles adoptantes.

Mais qu’en est-il de ces enfants parvenus à l’âge adulte ?

La blessure originelle de l’abandon a-t-elle cicatrisé grâce à l’amour de la famille adoptive et au sentiment de filiation qu’elle a fait naître ?

Ou, au contraire, est-elle toujours à vif, et ce d’autant plus quand il y a des secrets de famille ?

Pour les adoptés, le sujet est sensible. Beaucoup craignent que l’étiquette d’enfant abandonné ne leur colle à la peau. Comme si, pour la société, cela faisait d’eux des êtres à part, marqués dans leur chair.

« Quand je glisse à quelqu’un que j’ai été adoptée, cela suscite souvent un malaise, raconte Hélène Jayet, 34 ans, née sous X et adoptée à 3 mois et demi. On me dit volontiers : « Oh, pardon, je suis désolé, je ne savais pas. » Alors que pour moi, c’est une chance. Ce n’est pas un abandon, mais un don. » Sur LeMonde.fr, Laurent (le prénom a été changé), 38 ans, témoigne : « J’ai effectivement été adopté. J’en suis fier et ne m’en cache pas, bien au contraire. Mais surtout, je ne remercierai jamais assez ma mère de m’avoir offert une vraie famille. Aujourd’hui, je suis marié, j’ai trois enfants. Je suis bien dans ma tête. »

Diane Drory, psychologue, psychanalyste et coauteure avec Colette Frère du livre Le Complexe de Moïse. Paroles d’adoptés devenus adultes (disponible ici !), insiste sur l’importance de ne pas stigmatiser les personnes adoptées. « Si elles ont pu traverser l’épreuve de l’adoption, c’est qu’elles ont en elles une incroyable force de vie. Il faut leur faire confiance, ne pas les victimiser. Et ne pas attribuer toutes les difficultés qu’elles rencontrent à l’adoption. »

« DOUBLE LOYAUTÉ »

Les enfants adoptés sont confrontés à une double dette que les psychothérapeutes familiaux nomment « double loyauté ». Comme l’explique Nicole Prieur, psychothérapeute, philosophe et auteure de Raconte-moi d’où je viens (Bayard Jeunesse, 2007), ils reçoivent la vie de leur mère biologique et les moyens de la vivre dignement de leur famille adoptive, ce qui provoque des tiraillements. « Souvent, les enfants adoptés choisissent d’être loyaux envers leur famille adoptive ; et répondent plus que dans les autres familles à leurs attentes », poursuit Nicole Prieur.

Cette loyauté exacerbée peut se traduire par des choix professionnels contrariés, correspondant plus aux désirs des parents qu’à leurs propres envies. « Parvenir à devenir un traître heureux ne va pas de soi », souligne Nicole Prieur.

Parfois, ce sont les relations aux autres qui sont marquées par l’évitement des conflits. Enfin, sur le plan amoureux, d’aucuns jettent leur dévolu sur des êtres qui ont les mêmes blessures qu’eux, espérant ainsi réparer leurs histoires douloureuses mutuelles. Selon Nicole Prieur, le danger serait toutefois pour eux de surinvestir le couple et les enfants, au détriment des ajustements nécessaires à l’équilibre familial.

La question des origines peut resurgir avec force lors de certains événements de la vie : naissance, deuil, échec professionnel, rupture amoureuse… Dans Le complexe de Moïse, Marie-Claire raconte le manque de sa mère biologique lorsqu’elle était enceinte : « Ton absence, je la gère, ou plutôt je l’étouffe. Mais quand mon ventre se fait plus rond, je n’en peux plus. La vie bouge en moi comme elle a bougé en toi. Et toi tu n’as pas fait face, tu as disparu. » Une étape douloureuse, mais parfois salvatrice : « Le fait d’être mère et de ne pas abandonner son bébé répare quelque chose de la propre histoire de ces femmes. »

Les hommes vivent sans doute cette période moins viscéralement puisqu’ils ne portent pas le bébé. « Mais lorsque le père regarde le visage de son enfant, il remarque leurs ressemblances, par exemple. Cela le renvoie forcément à ses origines », dit Diane Drory.

UNE IDENTITÉ TOUJOURS EN CONSTRUCTION

Lorsqu’on avance en âge, la question de savoir d’où l’on vient se fait (ou peut se faire, ce n’est qu’une possibilité) plus insistante. Sur LeMonde.fr, Claude (le prénom a été changé), 70 ans, adopté à l’âge de 2 ans, évoque son parcours. « Aujourd’hui, je vis dans une douleur permanente, alors que je ne me suis jamais posé de questions avant. Je ne supporte plus le cri, le rire, le mouvement d’un enfant à la terrasse d’un café », raconte-t-il. Les questions existentielles se posent à cet âge de la vie. Or, dans l’histoire des adoptés, il y a un morceau amputé qu’il faut restaurer.

Hélène Jayet s’y essaie grâce à son métier de photographe. Aux Beaux-Arts déjà, ses dessins parlaient d’identité. Les adoptés, elle les photographie, elle les filme, elle leur donne la parole. Elle s’attelle à la création d’un webdocumentaire sur le sujet. Ses objectifs ? Faire tomber quelques clichés (« Les adoptés sont forcément malheureux »), donner des outils aux familles adoptives et surtout offrir aux adoptés la possibilité de mettre en mots leur histoire. Eux qui ont souvent du mal à évoquer leur ressenti.

La résilience, cette capacité à rebondir après des épreuves, passe aussi par la créativité. Cependant, elle n’est jamais acquise. Notre identité est toujours en construction. « La résilience de l’adopté, c’est sans doute d’accepter, comme tout un chacun, que l’identité est mouvante« , souligne encore Diane Drory.

« La blessure de l’abandon m’a donné une force, revendique Hélène Jayet. C’est elle qui donne aux adoptés leur vive sensibilité et leur ouverture au monde. »



Sources: lemonde, Christine Angiolini, l’article original ici

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« Ils ne sont grands que

parce que nous sommes à genoux ! » 

La Boétie (1530-1563), dans Discours de la servitude volontaire