psychiatre, mutuelle, remboursement


1. Repos physique : un sommeil de qualité et des activités comme le yoga ou les massages
2. Repos mental : faire des pauses pour calmer un esprit occupé
3. Repos sensoriel : minimiser la surcharge sensorielle
4. Repos social : entretenir des relations positives
5. Repos spirituel : découvrir un but et un sentiment d’appartenance
6. Repos émotionnel : être authentique et ouvert sur ses émotions
7. Repos créatif : trouver l’inspiration et encourager la créativité

C’est OK de vous reposer !

Vous n’êtes pas une machine.

Vous êtes censé faire des pauses. Vous méritez de vous reposer.

L’épuisement professionnel est sournois.

Parce que vous ne vous rendez pas compte que vous empruntez à votre avenir.

Pour survivre aujourd’hui.

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Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

Burnout : 7 signes qui l’annoncent.

Au cours d’une carrière professionnelle, il peut arriver que certaines personnes soient à bout.

On parle d’épuisement professionnel, plus communément appelé « burnout ». Heureusement, cet épisode passager peut être prédit et donc évité.

Burnout : y a-t-il des facteurs de risque ?

Oui. Plusieurs facteurs peuvent favoriser l’apparition d’un burnout.

Par exemple : une forte charge de travail, une imprécision dans les missions, des objectifs à atteindre hors de portée, des relations interpersonnelles dans le cadre professionnel conflictuelles ou encore l’insécurité de l’emploi.

Épuisement professionnel : n’ignorez pas ces 7 indicateurs

1 – Des insomnies

Avoir des insomnies de façon répétée peut révéler un burnout. Il peut s’agir de difficultés à rester endormi ou bien à s’endormir.

2 – Des inconforts physiques

Comme des maux de tête à répétition ou bien des douleurs musculaires. Les migraines peuvent également être un symptôme.

3 – Des problèmes gastro-intestinaux

Nausée, constipation et diarrhée peuvent être des signes révélateurs. Les maux d’estomac sont par ailleurs fréquents.

4 – Un détachement, une indifférence

Une personne qui souffre d’épuisement professionnel peut être détachée ou avoir des attitudes négatives envers ses collègues et ses tâches. Ce qui peut avoir un impact sur le travail en équipe.

5 – Une attention réduite

Le brouillard cérébral, sensation que les pensées sont au ralenti, est souvent constaté.

6 – Une diminution du sentiment d’accomplissement

Une personne en situation de burnout est démotivée de manière générale dans son travail. Alors, elle peut avoir l’impression que ses efforts ne font pas de différence. Et aussi une absence de sens dans le travail.

7 – Un isolement

Il est fréquent que la personne concernée s’éloigne de ses amis et de sa famille.
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Épuisé(e), irritable, au bord du gouffre ? Vous n’êtes pas seul(e).

Le burnout touche de plus en plus de personnes.

Je dirai même une augmentation en forte hausse depuis la Covid.

Cette semaine, trois nouveaux clients sont arrivés.

Anxiété stratosphérique et épuisement du corps et de la tête.

Ils ont été happés par le tourbillon du stress et de la surcharge de travail. Ils n’ont pas su dire non.

Mais soyons serein et confiant : ils guériront, et retrouveront leur énergie.

Comprenez votre burn-out : 6 signaux qui doivent vous alerter.

Le burn-out ne se résume pas à une simple fatigue passagère.

Loin de là !

Comme vous l’avez remarqué, il se manifeste par un épuisement physique, émotionnel et mental profond, accompagné de symptômes tels que :

  • Fatigue intense et persistante
  • perte de motivation et d’intérêt pour le travail
  • difficultés de concentration et de mémoire
  • troubles du sommeil
  • irritabilité et hypersensibilité
  • sentiment d’échec et de culpabilité

Passez de la spirale infernale au cercle vertueux : des solutions concrètes existent

Ne vous a-t-on pas dit, et même répété, que la guérison d’un burn-out est un processus qui prend beaucoup de temps et de la patience ?

Je vous le dis : en adoptant une approche holistique, en prenant soin de vous, vous retrouverez votre équilibre et votre énergie. Vous pouvez diviser par deux votre arrêt maladie avec une approche thérapeutique adaptée.

Le burn-out est un signal d’alarme que vous ne devez pas ignorer.

En prenant le temps de vous écouter,

et en prenant soin de votre santé mentale-émotionnelle,

vous pouvez sortir de l’épuisement et retrouver un équilibre durable.

Voici quelques pistes à explorer :

  • Reposez-vous : c’est le point de départ indispensable. Accordez-vous du temps pour vous relaxer, dormir et vous reconnecter à vos besoins
  • Consultez un professionnel compétent : un psychopraticien ou un coach vous aidera à identifier les causes de votre burn-out. Et à mettre en place des stratégies pour y faire face
  • Modifiez votre organisation du travail : apprenez à dire non, à déléguer, et à fixer des limites claires entre vie professionnelle et vie personnelle
  • Développez des activités bien-être : sport, yoga, méditation, auto-hypnose… trouvez des pratiques qui vous apaisent, et vous permettent de recharger vos batteries.
  • Se reconnecter à soi : prenez le temps de réfléchir à vos valeurs, vos aspirations, et ce qui donne du sens dans votre vie.

N’oubliez pas, vous n’êtes pas seul(e) !

De nombreuses ressources sont disponibles pour vous accompagner dans votre cheminement vers la guérison. N’hésitez pas à demander de l’aide.

A vous entourer de personnes sincères et bienveillantes.

N’attendez plus, le chemin vers la guérison commence aujourd’hui.

Si vous souhaitez aller plus loin :

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Lorsque j’aborde la dépendance ou l’addiction d’un(e) de mes client(e)s, j’entre dans son territoire complexe et profondément humain.

Les croyances, valeurs, pensées, émotions et comportements qui sont derrière vos addictions sont souvent tissés dans les fils de votre histoire personnelle, de vos expériences et de vos relations.

-> Voici ce dont j’ai mis l’accent la semaine dernière au cabinet, avec des client(e)s souffrant de boulimie alimentaire, de porno-addiction, de paris sportifs, etc.

1. Croyances et réussite thérapeutique :

  • Croyances limitantes : chacun de nous porte des croyances profondes sur soi-même et sur le monde. Certaines de vos croyances peuvent renforcer l’addiction. Par exemple, “Je ne peux pas gérer le stress sans fumer” ou “Je ne mérite pas d’être heureux”. Est-ce votre cas ?
  • Réussite thérapeutique : la prise de conscience de ces croyances est essentielle pour la réussite thérapeutique. En remplaçant les croyances limitantes par des croyances positives, vous ouvrez la voie à votre guérison.

2. Stratégies favorisant l’addiction :

  • Évitement : votre addiction peut servir de moyen d’échapper à vos émotions difficiles ou à vos situations inconfortables. La drogue, la nourriture ou d’autres comportements addictifs deviennent alors des stratégies pour éviter la douleur.
  • Renforcement : les comportements addictifs sont souvent renforcés par des récompenses immédiates, même si elles ont des conséquences négatives à long terme. Est-ce que vous vous en êtes aperçu ?

3. L’addiction comme tentative d’auto-guérison :

  • Comprendre la douleur : votre addiction peut être vue comme une tentative désespérée de soulager une douleur intérieure. Elle peut être un moyen de combler votre vide émotionnel, de calmer une anxiété profonde, de sortir de l’ennui, etc.
  • Écouter vos besoins : en explorant vos besoins profonds grâce à l’hypnose, votre inconscient trouvera des moyens plus sains de les satisfaire. Par exemple, chercher des connexions sociales, des moyens de gérer le stress ou des activités créatives, etc.

4. La transe de l’addiction :

  • État altéré de conscience : l’addiction crée une transe dissociative hypnotique, où vous êtes contrôlé par votre compulsion (craving). Où vous ne voyez pas le temps passé, vous oubliez où vous êtes.
  • Sortie de transe : après la compulsion de l’addiction, vous revenez à vous-même, et vous ressentez du dégoût, de la colère, de la culpabilité, etc.

5. Émotions non gérées :

  • Émotions refoulées : vous avez du mal à gérer vos émotions, et donc elles sont enfouies profondément. Votre addiction sert alors de moyen d’échapper à ces émotions parfois intenses.
  • Apprendre à ressentir : apprenez à ressentir et à exprimer vos émotions. C’est un premier pas vers votre guérison.

6. Codépendance :

  • Relations dysfonctionnelles : la codépendance se produit lorsque vos relations sont basées sur des besoins non satisfaits et des schémas de comportement malsains (triangle de Karpman).
  • Sortir du schéma : identifiez vos schémas. Travaillez à établir des relations plus saines est crucial pour vous en sortir.

En fin de compte, la guérison de votre addiction est un voyage individuel.

Il nécessite du courage, de la compassion envers soi-même, et un soutien psy. Si vous ou quelqu’un que vous connaissez lutte contre une dépendance, cette personne est en grande souffrance. N’hésitez donc pas à chercher de l’aide.

Car vous n’êtes pas seul.

Il y a toujours de l’espoir pour votre avenir : 

libre et épanouissant 🙂

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Je vous donne ces 7 conseils, fruits de mon expérience à mon cabinet;

Oui, vous pouvez guérir de votre addiction.

Même si elle dure depuis des années. Même si vous en souffrez en silence.

Exemple de guérison ? Celle de l’actrice-chanteuse Demi Lovato.

Artiste adulée, elle a partagé son combat contre la boulimie. Inspirant ainsi des millions de personnes à briser le silence et à cheminer vers la guérison.

Son parcours, illustré par des photos avant / après saisissantes, avec un message d’espoir, montre que la victoire sur la boulimie alimentaire (TCA) est possible.

La psychothérapie s’avère un outil crucial pour vaincre l’addiction. En s’attaquant aux racines profondes du problème, elle offre une transformation durable et complète.

Une cliente guérie m’a dit, récemment, « j’ai fait la paix avec moi-même ».

Voici 7 clés pour vous en sortir :

1. Comprenez les mécanismes de votre addiction

Explorez les ressorts psychologiques qui vous poussent à manger compulsivement. Par exemple, identifiez les émotions difficiles que vous tentez de combler par la nourriture : solitude, ennui, peur, rejet, abandon, etc.

2. Développez une relation saine avec la nourriture

Apprenez à écouter les signaux de faim, et de satiété, de votre corps. Découvrez le plaisir de manger en pleine conscience, sans culpabilité, ni jugement.

3. Apprenez à gérer vos émotions difficiles

Connaissez des outils pour gérer votre stress, votre anxiété, votre tristesse, etc. de manière saine et constructive. Développez des stratégies alternatives à la boulimie (et/ou l’hyperphagie) pour une bonne santé durable.

4. Améliorez votre estime de soi

Renforcez votre confiance en soi et une juste et bonne image corporelle. Apprenez à vous aimer et à vous respecter, au-delà des diktats de la société. Sachez dire non !

5. Développez des relations saines

Entourez-vous d’un réseau de soutien positif et bienveillant. Découvrez comment communiquer ouvertement sur vos ressentis et vos besoins.

6. Apprenez à gérer les rechutes

Comprenez que les rechutes font partie du processus de guérison. Mettez en place des stratégies pour les prévenir. Et les gérer de manière constructive.

7. Fixez-vous des objectifs réalistes

Je vous aiderai aussi comment avoir des objectifs clairs et atteignables pour votre guérison. Vous célèbrerez chaque victoire, si petite soit-elle.

N’oubliez pas, vous n’êtes pas seul(e) !

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Version courte de mon article 😉

-> Ce trouble du comportement alimentaire est un défi complexe, et la guérison est possible. En vous engageant dans une psychothérapie sérieuse, avec un psy compétent, en vous appuyant sur un réseau de soutien solide, vous retrouverez une relation saine avec la nourriture, et vous vous sentirez plus heureux.

N’attendez plus, franchissez le pas vers la liberté et le bien-être !

Voici d’autres informations complémentaires :

  • Le documentaire « Simply Complicated » de Demi Lovato est disponible sur YouTube
  • Ligne d’écoute téléphonique nationale pour les troubles alimentaires : 0 800 05 05 01

N’hésitez pas à partager ce message avec toute personne concernée par l’addiction alimentaire.

Ensemble, brisons le silence de cette maladie, et ouvrons la voie vers la guérison !

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L’addiction sexuelle est un trouble qui se caractérise

  1. par une perte de contrôle
  2. et une poursuite compulsive de comportements sexuels.

Malgré les nombreuses et douloureuses conséquences négatives pour vous-même, ou les autres.

Il s’agit d’une forme de dépendance qui affecte votre santé physique, mentale, émotionnelle, relationnelle et sociale, si vous en souffrez.

Voici les quatre étapes qui se répètent et s’intensifient au fil du temps : l’obsession, la ritualisation, la compulsivité et le désespoir.

Comprendre ces quatre phases peut vous aider à identifier le problème et à chercher de l’aide.

  • L’obsession

L’obsession est la première phase de l’addiction sexuelle. Il s’agit d’un état de préoccupation constante et envahissante pour le sexe, qui vous empêche de vous concentrer sur d’autres aspects de votre vie. L’obsession peut être déclenchée par des stimuli internes (des pensées, des fantasmes, des émotions) ou externes (des images, des situations, des personnes). Vous ressentez alors une forte tension, une anxiété qui ne peuvent être soulagées que par le passage à l’acte sexuel.

  • La ritualisation

Il s’agit d’un ensemble de comportements et de routines qui préparent et facilitent le passage à l’acte sexuel. La ritualisation peut inclure des activités comme la recherche de partenaires, la consommation de substances, le visionnage de pornographie, la masturbation, etc. Elle renforce votre sentiment de contrôle et de plaisir, qui vous coupe de la réalité et de vos émotions négatives.

  • La compulsivité (craving)

Il s’agit du passage à l’acte sexuel proprement dit, qui peut prendre différentes formes : rapports sexuels, infidélités, prostitution, exhibitionnisme, voyeurisme, cybersexe, etc. La compulsivité est motivée par un besoin irrépressible et irréfléchi de soulager la tension accumulée lors de l’obsession et de la ritualisation. Vous n’avez pas de plaisir réel, mais plutôt un soulagement temporaire. Et une fuite de la souffrance.

  • Le désespoir

Il s’agit d’un état de honte, de culpabilité, de dégoût, de dépression et de solitude que vous ressentez, qui suit le passage à l’acte. Vous prenez conscience des conséquences négatives de votre comportement sur votre santé, votre estime de soi, vos relations, votre travail, etc. Vous vous sentez impuissant et prisonnier de son votre addiction. Vous pouvez avoir des pensées suicidaires ou des envies de sevrage, mais vous retombez rapidement dans le cycle de votre addiction…

Si vous vous reconnaissez dans ces phases, sachez que vous n’êtes pas seul et que vous pouvez vous en sortir.

L’addiction sexuelle est un trouble qui se soigne, avec l’aide d’un professionnel qualifié et d’un soutien adapté.

Il existe des thérapies individuelles, en hypnose profonde :

– qui visent à comprendre les causes profondes de votre addiction

– à modifier vos croyances et comportements dysfonctionnels

– à développer des compétences émotionnelles et relationnelles

– à retrouver un équilibre et un bien-être dans votre vie sexuelle.

Dans mon blog, vous trouverez également des articles, des vidéos, des témoignages et des ressources sur l’addiction sexuelle.

N’hésitez pas à me contacter si vous avez des questions, ou si vous voulez discuter d’autre chose. Je suis là pour vous écouter et vous aider. 😊

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Je me suis souvent posé cette question.

Fatigué ou burnouté ?

Alors je me suis dit :

Comment faire la différence entre un burn-out et une simple fatigue ?

Le burn-out est caractérisé par une :

  • baisse de motivation
  • des attitudes négatives envers soi-même et les autres
  • des troubles du sommeil
  • des problèmes de concentration
  • du stress
  • des douleurs physiques
  • ou encore une fatigue intense, qui perdure malgré le repos.

Il comporte trois composantes :

  1. l’épuisement émotionnel
  2. la dépersonnalisation
  3. et la diminution des performances au travail.

La fatigue normale, elle, disparaît généralement après un jour de repos ou une nuit bien reposée.

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Comment guérir d’un burnout avec l’hypnose : explications et conseils professionnels.

Pour ceux qui ont déjà vécu un burnout, le chemin de la guérison peut être long et difficile.

Surtout avec un traitement médicamenteux et une thérapie que cognitive. D’ailleurs, les statistiques indiquent deux ans en arrêt maladie, avant de reprendre un travail !

C’est là que l’hypnose profonde peut être une option intéressante à explorer.

L’hypnose est une technique qui peut aider à traiter les symptômes du burnout en travaillant sur vos parties inconscientes. Elle réduit fortement votre stress, l’anxiété et la dépression, et améliore la qualité du sommeil et la confiance en soi.

L’hypnose aide surtout à identifier les causes profondes du burnout, et à les traiter de manière efficace.

Qu’est-ce que le burnout ?

Le burnout est un syndrome d’épuisement professionnel qui se caractérise par une fatigue intense, un sentiment de désillusion et de cynisme, ainsi qu’une baisse de l’efficacité au travail.

Souvent causé par un stress chronique lié à une charge de travail excessive, un manque de soutien social et des conflits interpersonnels au travail.

Le burnout peut toucher n’importe qui, vous peut-être ?

Mais il est plus fréquent chez les professionnels de la santé, les enseignants, les travailleurs sociaux et les personnes travaillant dans des environnements à haute pression.

Les symptômes du burnout peuvent varier d’une personne à l’autre, mais ils incluent généralement :

– une fatigue intense et persistante, même après une bonne nuit de sommeil
– un sentiment de désillusion et de cynisme à l’égard du travail
– une baisse de l’efficacité au travail
– des troubles du sommeil, des maux de tête et des douleurs musculaires
– des changements d’appétit et de poids
– des troubles de l’humeur, comme l’anxiété et la dépression

Si vous présentez ces symptômes, l’hypnose sera un outil efficace pour traiter votre burnout en vous aidant à gérer votre stress et à retrouver un sentiment de contrôle sur votre vie professionnelle.

Qu’est-ce que l’hypnose ?

L’hypnose est un ensemble de techniques qui permet d’induire un état de conscience modifié chez une personne. Elle permet de faire des changements chez mon client, afin que celui-ci puisse accéder plus facilement aux ressources cachées de ses inconscients, surmontant les barrières de son esprit conscient.

Il s’agit de communiquer avec vos parties inconscientes responsables de vos symptômes conscients, et de travailler sur des problématiques psychologiques ou physiques.

Une séance d’hypnose médicale dure généralement entre 1h30 et 2h, et se déroule en plusieurs phases.

A la première séance, le praticien et le patient établissent la relation nécessaire aux soins hypnotiques : l’alliance thérapeutique. Les principes de l’hypnose sont expliqués ainsi que le déroulement des séances. L’objectif de la demande est établi par le patient en lien avec l’hypnopraticien.

  • Première phase : l’induction d’un état modifié de conscience

Elle fait appel à différentes techniques basées sur l’utilisation de perceptions sensorielles.

  • Deuxième phase : le travail hypnotique

Par exemple, elle repose sur l’activation de l’imaginaire du patient. Le praticien peut choisir des suggestions en fonction de l’objectif fixé. Celles-ci sont adaptées, ajustées, développées dans l’interaction personnalisée établie. Ou dialoguer, directement, avec la ou les parties inconscientes concernées dans le problème. Ce travail repose sur les changements, positifs et visibles dans la vie quotidienne professionnelle.

  • Troisième phase : le retour à un état de conscience critique

Elle permet au patient de revenir « ici et maintenant » enrichi du vécu du travail réalisé.

Cette approche thérapeutique est reconnue pour son efficacité dans la gestion du stress, de l’anxiété, de la douleur, des phobies, des addictions, et bien d’autres problématiques psychologiques et physiques.

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Qu’est-ce que l’anxiété anticipatoire ?

L’anxiété anticipatoire est un type d’anxiété qui contamine l’avenir avec des pensées catastrophiques.

Cela vous parle-t-il ?

C’est souvent déclenchées par certaines situations ou certains événements, mais qui n’ont pas nécessairement de cause précise.

Qu’est-ce qui peut déclencher l’anxiété anticipatoire ?

Elle peut être déclenchée par certaines situations ou certains événements.

Comme la fin de l’été et le début d’une nouvelle année scolaire ou professionnelle, qui peuvent rappeler aux personnes des expériences stressantes passées et créer une peur d’échouer ou de ne pas savoir à quoi s’attendre.

Quels sont les moyens de faire face à l’anxiété anticipatoire ?

Parmi les moyens de faire face à l’anxiété anticipatoire, on peut citer le fait de :

  • se détacher des scénarios imaginaires
  • se concentrer sur le moment présent et de faire appel aux cinq sens
  • s’exposer à la lumière naturelle
  • demander l’aide d’un professionnel de la santé mentale si l’anxiété interfère avec le fonctionnement de votre vie quotidienne.
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Si vous êtes pressé, voici mon résumé :

L’anxiété peut s’installer dans la durée, et montrer ses symptômes à des moments anodins.

L’anxiété peut s’installer dans la durée, et montrer ses symptômes à des moments anodins.

Pour certains anxieux, la rentrée est un moment-clé propre à la hausse de l’anxiété, et notamment de l’anxiété qualifiée d’anticipatoire (l’avenir qui est contaminé par des pensées catastrophiques). Elle affecte les écoliers, les étudiants et… et leurs parents. Cette forme d’anxiété est liée à des pensées catastrophistes sur le futur et peut être déclenchée par la rupture des vacances et la reprise de la routine. Des pressions parentales et professorales peuvent également jouer un rôle.

La rentrée peut rappeler de lointains souvenirs pour les anxieux, qui ont probablement vécu des périodes de stress à ces moments-clés lorsqu’ils étaient eux-mêmes ados ou enfants.

Face à l’anxiété anticipatoire, il existe plusieurs solutions possibles : comme se concentrer sur le moment présent, faire des exercices de respiration, de relaxation ou de méditation, faire du sport, voir un psy ponctuellement, etc.

L’anxiété anticipatoire, c’est votre futur qui est contaminé par des pensées catastrophistes.

Et vous vous sentez mal !

« Lors de l’été entre la seconde et la première, j’ai commencé à développer une impossibilité à me nourrir qui s’est étendue à une peur de sortir de chez moi, se remémore une cliente. Je ne mangeais rien ou très peu. Je vomissais de la bile, j’avais constamment des maux de ventre très intenses que je n’arrivais pas à différencier entre la sensation de faim et la peur de vomir. » Au-delà de ces signes physiques, l’adolescente est terrorisée d’aller chez le médecin et redoute le retour à l’école.

Quelques semaines plus tard, elle apprend que ses symptômes sont dûs à son anxiété. « Beaucoup de pensées m’assaillaient lors de cet été, se souvient-elle. Étant une très bonne élève qui ne voulait pas redoubler, j’étais d’autant plus paniquée. Je ne pouvais pas me permettre de louper une année, je voulais tout réussir, ne connaître aucun échec académique. »

L’anxiété anticipatoire, qui correspond à beaucoup d’anxieux, c’est lorsque l’on va projeter des choses sur le futur. On va imaginer des scénarios, ces scénarios vont nous faire peur, on va être anxieux et on va avoir une vision catastrophique.

Durant les études, la rentrée de septembre est riche en symboles. Elle marque le début d’une année qui se conclura par une réussite ou un échec. La fin de l’été est donc marquée par une fracture. C’est aussi pour cette raison que ma cliente, désormais en études supérieures, redoute sa dernière année, signe d’une entrée imminente sur le marché du travail.

Avant d’être adulte et de travailler, les anxieux ont probablement vécu des périodes de stress à ces moments-clés lorsqu’ils étaient eux-mêmes ados ou enfants. Leur corps recrée des symptômes. Il faut du temps, et un travail en étant accompagné par un psy, afin que le corps puisse quitter cette forme de conditionnement mis en place par l’école durant tout le début de notre vie.

Quelle solution vous conviendrait ?

La première consiste à vous détacher des scénarios imaginaires. Au lieu de faire des films sur le futur, ramenez votre attention sur le moment présent. Dès que vous constatez que votre cerveau est en train de partir sur des faits qui ne sont pas encore là, concentrez-vous sur ce qui se passe là, tout de suite. Pour y parvenir, je vous recommande d’essayer l’exercice des cinq sens : prenez dans votre main un élément présent, et de analysez-le avec vos cinq sens. Quelle sensation procure-t-il sous vos doigts ? A-t-il une odeur ? Fait-il du bruit ? S’il se mange, quel goût a-t-il ? La méthode permet de vous réancrer dans votre moment présent et de revenir dans votre corps, plutôt que dans votre tête.

Les exercices de respiration, la relaxation, la méditation ou le sport peuvent aussi vous aider. À la rentrée, ne négligez pas non plus la baisse progressive de la luminosité. Alors ne vous enfermez pas, sortez, et ouvrez vos fenêtres.

Pourriez-vous anticiper l’anticipation ?

Pour certaines personnes, le fait d’anticiper et de prévoir les choses en amont va avoir un côté très rassurant. Remettre un cadre de routine leur permet de retrouver une stabilité. Pour d’autres personnalités, cela peut amplifier l’anxiété anticipatoire.

C’est le cas des perfectionnistes qui ont souvent des difficultés avec le lâcher prise (je le vois bien en hypnose). Si vous êtes dans ce cas, je vous conseille de vous concentrer sur vos vacances, et ce que vous avez ressenti, pour vous recentrer et laisser les choses arriver.

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