30 septembre 2022
Qu’est-ce qu’il y a derrière votre burnout ?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, épuisement professionnel, burnout, burn out, burn-out, coaching, conseils, dépression, estime de soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), harcèlement, inquiétude, jugement, lassitude, mal-être, malaise, MonPsy, peur, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, séance à distance, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, travail | Étiquettes: énervement, épuisement professionnel, épuisement professionnel, conflit de valeurs, culpabilité, cynisme, démotivation, déshumanisation, désintérêt, fatigue, frustration, insomnie, inutilité, manque reconnaissance, psychiatre, Psychiatre-addictologue, psychologue, surchage, surmenage, troubles psychologiques |Laissez un commentaire
8 décembre 2021
Comment vous débarrasser de votre déprime hivernale
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under alimentation, épuisement professionnel, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), hypnose, hypnothérapie, lassitude, mal-être, peur, psychothérapie cognitive et comportementale (TCC), solitude, souffrance, soutien psychologique, téléconsultation, téléséance | Étiquettes: aliments ultratransformés inflammatoires, auto-hypnose, blues de l’hiver, féculents, idées noires, insomnie, luminosité, perte d’envie et de volonté, rythme circadien, sucreries, taux de vitamine D, tristesse, trouble de l’humeur saisonnier |Laissez un commentaire
Comment reconnaitre et soigner une dépression hivernale :
- ce trouble de l’humeur saisonnier, qui disparaît au printemps, toucherait jusqu’à 10% de la population.
Peut-être vous ?
Il n’est pas rare de se sentir fatigué et abattu pendant les saisons automnale et hivernale.
Le sort du chat roulé en boule sur notre canapé nous semble alors des plus enviables : si seulement nous pouvions dormir le plus possible, en attendant le printemps… Mais ce banal «blues de l’hiver» finira par disparaitre, je vous rassure.
Celui-ci survient à une période particulière de l’année (en automne ou en hiver, voire plus rarement en été) et disparaît spontanément au printemps.
Le Dr Éric Charles, psychiatre au Centre hospitalier Esquirol de Limoges et auteur d’Antidépresseurs, anxiolytiques, somnifères… Vérités et contre-vérités sur les psychotropes (Jouvence), rappelle que les symptômes seraient en grande partie les mêmes que ceux de la dépression : tristesse, idées noires, ralentissement physique et psychique, perte d’envie et de volonté, difficulté à prendre des décisions, disparition du plaisir.
«Dans la dépression saisonnière toutefois, les symptômes somatiques et neurovégétatifs sont souvent inversés par rapport à ceux d’un épisode dépressif “classique”. Au lieu d’une perte d’appétit, il y a une envie plus forte pour les hydrates de carbone et les aliments riches en glucides – sucreries, féculents – avec une prise de poids, ainsi qu’une tendance à dormir beaucoup, plutôt qu’à souffrir d’insomnie», précise le médecin.
Les causes de cette affection font encore l’objet de plusieurs hypothèses.
On évoque une sensibilité rétinienne à la lumière réduite en hiver, ou encore un retard de phase du rythme circadien. Dans les deux cas, ces phénomènes affecteraient la sécrétion de mélatonine et de vitamine D.
Le fait d’être une femme serait un facteur de risque avéré de dépression saisonnière, comme il l’est de manière générale pour la dépression.
Tout cela fait dire au Dr Guillaume Fond, psychiatre à l’hôpital de la Conception à Marseille et auteur de Je fais de ma vie un grand projet (Flammarion) qu’«en France nous manquons de données pour ce trouble mal étudié. Un fait est certain : dans la période de transition de l’été à l’automne surviennent plusieurs phénomènes qui composent un cocktail explosif pour certaines personnes. La baisse du taux de vitamine D et de la luminosité en sont deux. On a aussi tendance à consommer moins de fruits et de légumes qu’en été, et plus d’aliments ultratransformés inflammatoires. Il y a enfin le stress lié à la rentrée et une activité physique plus réduite. Tous ces facteurs peuvent concourir à la survenue de dépressions qualifiées de saisonnières».
Les recommandations à l’adresse des personnes qui souffrent d’un abattement lié à l’hiver font consensus : s’exposer une trentaine de minutes à la lumière du matin, pratiquer une activité physique régulière (mais pas le soir afin d’éviter les insomnies) et manger de manière équilibrée et régulière. Pratiquer l’auto-hypnose peut également en aider certains.
Le Dr Guillaume Fond conseille en outre de se supplémenter quotidiennement en omégas 3, en vitamine D et en zinc, qui ont prouvé leur efficacité dans le traitement de la dépression. «En cette saison, il est normal d’être un peu en retrait, rappelle le Dr Christine Barois, psychiatre. Par contre, lorsque l’on n’arrive plus à fonctionner professionnellement, familialement et socialement, il existe un risque de dépression. Et là, il faut aller voir un psy.»
.
Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin
7 novembre 2021
Comment votre Covid long peut être considéré comme une affection longue durée (ALD)
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under épuisement professionnel, covid, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), guérison, inquiétude, mal-être, pandémie, peur, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, psychothérapie cognitive et comportementale (TCC), séance à distance, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance | Étiquettes: céphalées, concentration, essouflement, fatigue, fièvre, insomnie, insuffisance respiratoire, médecin conseil de l’Assurance Maladie, toux |Laissez un commentaire
Le Covid long peut-il être considéré comme une affection longue durée (ALD) ?
Il n’existe pas d’affection longue durée (ALD) spécifique pour les symptômes persistants de la Covid-19.
Pour autant, dans certaines situations, vous pouvez bénéficier de la reconnaissance en ALD. La demande est réalisée par le médecin traitant et étudiée par le médecin conseil de l’Assurance Maladie. Dans ce cas, les examens et les soins en rapport avec la maladie sont pris en charge à 100 % selon les tarifs de l’Assurance Maladie.
Plusieurs possibilités existent :
- Si vous êtes déjà en ALD pour une maladie et celle-ci s’aggrave du fait de la Covid-19. La prise en charge de cette aggravation sera prise en charge en ALD
- Si vous souffrez de séquelles inscrites dans la liste des ALD, vous pouvez obtenir l’ALD concernée. Par exemple, si vous souffrez d’une insuffisance respiratoire suite à la Covid-19
- Enfin, il est possible de faire une demande au titre de l’ALD hors liste en cas de forme sévère de symptômes prolongés de la Covid-19, qui ne rentrerait pas dans les 2 premiers cas. Pour cela, il faut remplir les critères de l’ALD hors liste :
- durée d’évolution prévisible supérieure à 6 mois
- la prise en charge doit comprendre obligatoirement un traitement médicamenteux ou un appareillage
- 2 critères parmi les 4 suivants sont également obligatoires :
- hospitalisation à venir
- actes techniques médicaux répétés
- actes biologiques répétés
- soins paramédicaux fréquents et réguliers.
La prise en compte de l’ALD peut être rétroactive, car elle s’applique à la date du début des symptômes.
L’ALD est accordée pour une durée limitée, définie par le médecin conseil de l’Assurance Maladie.
.
-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin
1 novembre 2021
Voici comment surmonter plus facilement votre Covid long
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under anxiété, épuisement professionnel, bien-être, conseils, covid, espoir, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), guérison, hypnose, hypnothérapie, inquiétude, lassitude, liberté, mal-être, malaise, pandémie, peur, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, psychothérapie cognitive et comportementale (TCC), séance à distance, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, technique/protocole | Étiquettes: alimentation cétogène ou low-carb, auto-hypnose, diabète, hypertension artérielle (HTA), infections virales, insomnie, maladie auto-immune, maladie cardiovasculaire, récupération, rénale, relaxation, rythme veille-sommeil, test PCR |Laissez un commentaire
Avez-vous des symptômes invalidant plusieurs semaines après la Covid-19 ?
Si oui, voici quoi faire :
1 – Consultez votre médecin traitant
Prenez rendez-vous avec votre médecin traitant. Il évaluera votre situation, et vous oriente si nécessaire. Préparez votre consultation et notez-la sur votre agenda :
- les troubles que vous ressentez, leur fréquence, leur intensité, leur durée, quels sont les facteurs qui les déclenchent, les aggravent ou au contraire les améliorent
- ce que vous pouvez faire et ne plus faire dans la vie de tous les jours, les conséquences physiques et psychologiques de vos symptômes
- l’impact de vos symptômes sur votre qualité de vie, votre vie sociale et professionnelle
- les autres maladies que vous avez déjà eues ou pour lesquelles vous êtes traité : hypertension artérielle (HTA), diabète, maladie auto-immune, maladie cardiovasculaire, rénale,…
Apportez à votre médecin traitant tous les comptes rendus d’examens que vous avez déjà faits lors de votre maladie, si vous en avez :
- test PCR
- prise de sang
- résultats de saturation du sang en oxygène
- radiographie
- scanner
- compte-rendu d’hospitalisation.
Apportez-lui vos ordonnances et la liste des médicaments pris dans les semaines précédentes et au jour de la consultation.
2 – Symptômes prolongés post-Covid-19 : que pouvez-vous faire pour vous sentir mieux ?
En présence de symptômes prolongés après l’épisode aigu de la Covid-19, adaptez votre quotidien afin de raccourcir et mieux supporter la période de votre convalescence.
- Il est important de savoir que le temps de récupération peut être plus ou moins long après une infection à la Covid-19. Comme lors d’autres infections virales (par exemple la mononucléose infectieuse, les hépatites virales), le temps nécessaire au retour à l’état de santé préexistant varie d’une personne à l’autre. Ne vous inquiétez pas si vous avez l’impression que vous retrouvez lentement vos forces et votre énergie
- Reposez-vous autant que de besoin. Respectez votre rythme veille-sommeil et assurez-vous que votre environnement est favorable au sommeil.
- Pratiquez de l’auto-hypnose, de la relaxation et/ou du yoga
- Veillez à avoir une alimentation équilibrée et limitez les excitants, arrêtez de boire de l’alcool (ou diminuer au maximum votre consommation). L’alimentation cétogène ou low-carb pourrait vous aider
- Arrêtez le tabac et/ou toute substance stupéfiante si vous en preniez avant d’être malade
- Entre les phases de repos, essayez d’exercer une activité physique quotidienne (marche, jardinage, cuisine, bricolage, ménage…), augmentez progressivement la durée et l’intensité, en fonction de vos capacités. L’activité pratiquée ne doit en aucun cas déclencher des symptômes. Respectez les éventuelles contre-indications médicales qui vous ont été faites.
- Fixez-vous des objectifs réalistes et progressivement atteignables de reprise des activités que vous aviez avant d’être malade.
- Privilégiez les activités qui vous procurent le plus de plaisir comme des sorties ludiques ou culturelles, etc.
.
-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin
20 mai 2021
Phobies, anxiété, stress : les nouvelles promesses de l’hypnose profonde (sur France 5 ce mardi 25 mai)
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under addiction-dépendance, alimentation, angoisse, anxiété, épuisement professionnel, étude scientifique, burnout, burn out, burn-out, confiance en soi, dépression, espoir, estime de soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), guérison, hypnose, hypnothérapie, inquiétude, lassitude, mal-être, peur, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, séance à distance, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, témoignage, technique/protocole | Étiquettes: émission, épanouissement, colère, culpabilité, désespoir, deuil, divorce, frustration, honte, hypnose Toulouse, image de soi, inconscient, insomnie, obésité, obsession, poids, programme télé, rupture, séparation, surpoids, TCA, violence |Laissez un commentaire
Se débarrasser d’une phobie, d’une angoisse ou d’un trouble lié à un traumatisme du passé est-il possible ?
Comment ?
Menons l’enquête sur le sujet avec un bon documentaire signé Céline Bittner, suivi d’un débat avec des experts.
Quand ? Ce mardi 25 mai à 20.50 sur France 5.
Il suffit qu’une guêpe se pose dans votre assiette pour vous voir quitter la table ?
Vous appréhendez un voyage en avion ?
Vous n’êtes pas rassuré en haut d’une échelle ?
Jusque-là pas d’inquiétude, puisque nous avons tous nos petites peurs, l’essentiel étant de parvenir à les surmonter.
Pour ceux qui, malgré tout, se retrouvent, à un moment de leur vie, submergés par une phobie, une angoisse ou les conséquences d’un vieux traumatisme, pas forcément besoin de se lancer pour autant dans une longue et coûteuse psychanalyse se référant à un dogme dépassé… Il existe aujourd’hui des thérapies brèves qui permettent de s’en sortir. Une des meilleures ? Lˋhypnose profonde.
Faut-il encore savoir à qui s’adresser et éviter l’écueil des méthodes alternatives pratiquées par des personnes aux formations insuffisantes et avec un manque d’expérience.
Hypnose
À Orléans, Laurent, 56 ans, ne peut plus entrer dans un ascenseur depuis une dizaine d’années : « Avant de franchir la porte, je suis déjà anxieux », explique-t-il, alors que son cœur s’emballe devant la cabine. Pour se débarrasser de sa claustrophobie et de son anxiété, il a décidé de tenter l’hypnose, une technique très ancienne, mais en plein essor. Le praticien le place dans un état de conscience modifiée qui l’aide à se concentrer uniquement sur ses émotions : « Je demande à la personne de s’imaginer dans la situation qui lui fait peur en changeant ses sensations à l’intérieur… Il n’y a rien de magique, c’est juste le cerveau qui apprend à faire autrement. » Concrètement, en état d’hypnose, trois zones du cerveau s’activent successivement, permettant d’abord de se couper du monde extérieur, puis de fabriquer de nouvelles images mentales et enfin de se détacher des émotions négatives. Et ça fonctionne ! Dès la fin de la séance, Laurent réussit à prendre l’ascenseur sans éprouver la « sensation d’oppression » habituelle. Et pour vous, que voulez-vous améliorer ?
Thérapie cognitive et comportementale
Anne, une Parisienne de 42 ans, est atteinte de TOC (troubles obsessionnels compulsifs) qui lui gâchent la vie : « C’est un enfer psychique dont on n’a aucune idée tant qu’on ne l’a pas vécu. Vous avez conscience de l’absurdité de vos rituels, mais en même temps vous ne pouvez pas vous en empêcher, au point de vous créer des crises d’angoisse… À ces moments-là, je me dis que la seule manière de m’en sortir, ce serait de mettre fin à mes jours. » Pour se soigner, elle a entamé une TCC (thérapie cognitive et comportementale). Outre les séances avec le médecin, elle doit s’astreindre à des exercices quotidiens l’exposant aux situations qui la stressent : « On s’aperçoit qu’au bout d’un certain temps l’angoisse diminue et qu’en pratiquant encore et encore on va déprogrammer notre cerveau pour le reprogrammer d’une autre manière qui nous permet de vivre correctement. » Anne peut espérer. Un rapport de l’Inserm datant de 2004 indique en effet que les TCC sont nettement plus efficaces que la psychanalyse pour traiter la plupart des troubles psychiques. Une évidence pour le Dr Christophe André, selon lequel « quand on va en thérapie, ce n’est pas pour savoir qui on est ; on y va quand on a des souffrances, des symptômes qu’on voudrait voir reculer ou disparaître ». Pour les TCC, lˋhypnose est un outil royal.
Désensibilisation et retraitement par les mouvements oculaires : lˋhypnose EMDR
Après des années d’analyse, Emmanuelle, 53 ans, a décidé de se tourner vers une autre méthode pour venir à bout de son mal-être dû à un traumatisme dans l’enfance. Élevée par sa grand-mère, elle souffre depuis toujours d’un trouble de l’attachement lié à un sentiment d’abandon : « Je pouvais avoir des crises d’effondrement […], c’est comme un tsunami qui arrivait et j’étais incapable de gérer […]. Je me suis dit “j’ai atteint les limites avec la psychanalyse, il faut que je trouve un autre truc qui me permette de surmonter ça”. » Pour se libérer des souvenirs qui la hantent, elle essaye une thérapie à l’engouement grandissant : lˋEMDR, un acronyme anglais qui signifie désensibilisation et retraitement par les mouvements oculaires. Et encore une fois, bien que surprenante, la méthode n’a rien de magique. Le EMDR – qui consiste à suivre du regard les doigts de lˋhypnothérapeute en se replongeant dans un traumatisme – recrée artificiellement les mouvements que font nos yeux pendant le sommeil paradoxal, aidant ainsi le cerveau à ranger les souvenirs traumatisants au bon endroit.
Les invités du débat :
— Pr Bruno Falissard, psychiatre et professeur de santé publique à l’université Paris-Sud
— Dr Aurélia Schneider, psychiatre spécialisée dans les thérapies comportementales et cognitives
— Dr Christophe Fauré, psychiatre et psychothérapeute spécialisé dans l’accompagnement des ruptures de vie
A voir !
Magazine (documentaire 52 min + débat 48 min – 2021)
Enquête de santé : Phobies, anxiété, stress – Les promesses des nouvelles thérapies est diffusé mardi 25 mai à 20.50 sur France 5
À voir et revoir sur france.tv
Plus d’informations sur mes téléséances en cliquant ici.
.
-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin
12 mai 2021
Nouvelle étude Covid : la moitié des patients hospitalisés développent des troubles psychiatriques
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under anxiété, épuisement professionnel, covid, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), inquiétude, mal-être, peur, psychologue, remboursement, mutuelle, stress | Étiquettes: dépression, hôpital San Raffaele (Milan), inflammation, insomnie, isolement social, stigmatisation, stress post-traumatique, trouble obsessionnels-compulsifs (TOC), troubles psychiatriques |Laissez un commentaire
Stress post-traumatique, dépression, anxiété…
Plus de la moitié des patients atteints du Covid-19 risqueraient de développer des troubles psychiatriques après leur sortie de l’hôpital, selon une étude menée par le centre hospitalier italien San Raffaele.
Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont suivi l’évolution clinique de 402 anciens malades (265 hommes et 137 femmes).
Un mois après, ils ont découvert que 55% d’entre eux souffrent d’un trouble psychiatrique.
Plus précisément, 28% des sondés sont atteints de stress post-traumatique, 31% de dépression, 42% d’anxiété, et 40% d’insomnie. Enfin, dans 20% de cas, les patients sont victimes de trouble obsessionnels-compulsifs (TOC).
«Il est clair que l’inflammation causée par la maladie pourrait avoir des répercussions au niveau psychiatrique», a déclaré dans un communiqué le professeur Francesco Benedetti, chef de groupe de l’unité de recherche en psychiatrie et psychobiologie à l’hôpital San Raffaele (Milan).
Publiée dans la revue scientifique Brain, Behavior and Immunity, l’étude a également démontré que les femmes ayant contracté la maladie ont moins de risques que les hommes de mourir du Covid-19, mais qu’elles sont en revanche davantage susceptibles de souffrir de l’un de ces troubles.
Les scientifiques expliquent que ces séquelles peuvent être aggravées par des facteurs de stress, tels que l’isolement social, la stigmatisation des malades, ou encore la crainte d’infecter son entourage.
.
Plus d’informations sur mes téléséances en cliquant ici.
-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin
5 octobre 2020
Xanax, Valium, Lexomil, Temesta : quels sont les 2 choses à surveiller ?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under addiction-dépendance, angoisse, anxiété, étude scientifique, dépression, hypnose, hypnothérapie, mal-être, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, psychothérapie, psychothérapie cognitive et comportementale (TCC), réflexion, souffrance, stress | Étiquettes: alcool, analgésiques opioïdes, Ativan, avertissement, benzodiazépines, convulsions, crises d'épilepsie, drogues, hypnose Toulouse, insomnie, Lectopam, phobie sociale, prémédication, Rivotril, sevrage, Skype, téléconsultation, téléséance, trouble panique, WhatsApp, Zoom |Laissez un commentaire
Xanax, Lexomil et autres : risques de dépendance et de sevrage sévère.
L’agence américaine du médicament, la Food and Drug Administration (FDA), a annoncé le 23 septembre dernier qu’elle exigeait une mise à jour de l’encadré d’avertissement sur l’étiquetage de l’ensemble des médicaments de la classe des benzodiazépines.
Afin d’inclure les risques d’abus, de mauvais usage, d’addiction, de dépendance physique et de réactions de sevrage.
En 2019 aux États-Unis, l’alprazolam (Xanax) est le plus prescrit, représentant 38 % des prescriptions, suivi du clonazépam (Rivotril), prescrit dans 24 % des cas, et du lorazépam (Ativan, Temesta en France), dans 20 % des cas.
« Les benzodiazépines sont d’importantes options de traitement approuvées pour les troubles d’anxiété généralisée, l’insomnie, les convulsions, la phobie sociale et le trouble panique
», souligne le communiqué de la FDA. Elles sont également utilisées comme prémédication avant certaines procédures médicales.
Mais, « elles sont aussi couramment utilisées de manière abusive et inappropriée, souvent en association avec des analgésiques opioïdes et d’autres médicaments, l’alcool et des drogues illicites
».
« La dépendance physique peut se produire lorsque les benzodiazépines sont prises de façon régulière pendant plusieurs jours ou semaines
», précise le communiqué. « Les patients qui prennent une benzodiazépine depuis des semaines ou des mois peuvent présenter des signes et des symptômes de sevrage lorsque le médicament est arrêté brusquement ou continué à plus faible dose pour éviter le sevrage.
»
« L’arrêt brusque des benzodiazépines ou la réduction trop rapide
de la dose peut
entraîner des réactions de sevrage aiguës, y compris des crises d’épilepsie
, qui peuvent mettre la vie en danger. Avant d’arrêter les benzodiazépines, les patients doivent parler à leur fournisseur de soins de santé afin d’élaborer un plan pour diminuer lentement le médicament.
»
Bref, tous les professionnels de santé encouragent ces personnes à commencer une psychothérapie en parallèle de ces benzodiazépines ou, au pire, en début de sevrage.
Source : FDA
.
-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en télé-séances (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin
29 juin 2020
Envie d’un été plus serein, de revivre ?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under anxiété, confiance en soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), peur, stress | Étiquettes: Blocage émotionnel, changement puissant, doutes, insomnie, légèreté |Laissez un commentaire
Stress épuisant !
Insomnies encore et encore !
Blocage émotionnel !
Manque de confiance !
Anxiété qui vous mine !
Doutes sur votre futur !
Peurs paralysantes !
Offrez-vous plus de légèreté 🙂
Cet été est bénéfique à un changement puissant…
… pour vous sentir prêt pour la rentrée 🙂
-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en télé-séances (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin
28 juin 2020
Aimeriez-vous :
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under anxiété, bien-être, bonheur, burnout, burn out, burn-out, confiance en soi, couple, dépression, espoir, estime de soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), hypnose, hypnothérapie, liberté, mal-être, peur, psychothérapie cognitive et comportementale (TCC), réflexion, soutien psychologique, stress | Étiquettes: acceptation, émotions, bore out, détente, frustration, inconscient bienveillant, insomnie, paix, reconversion, sérénité |Laissez un commentaire
- augmenter votre confiance, votre estime de vous-même ?
- mieux gérer vos émotions, vous détendre ?
- vous endormir facilement ?
- mieux gérer votre stress et votre anxiété ?
- mieux vous connaitre ?
- prendre un nouveau départ et revivre ?
Vous avez raison. Je peux vous aider.
Partons ensemble
à la rencontre de votre inconscient bienveillant.
Afin de vous offrir une vie plus sereine et gratifiante !
-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en télé-séances (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin
30 avril 2020
5 astuces pour mieux dormir
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, bien-être, conseils, espoir, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), hypnose, hypnothérapie, mal-être, peur, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, soutien psychologique, stress | Étiquettes: activité nocturne, éveil, confinement, déficit immunitaire, désorganisation, endormissement, inquiétude, insomniaque, insomnie, lumière bleue, maladies cardiovasculaires, méditation, mémoire, Morphée, patience, pleine conscience, régularité, respiration, ronflements, sommeil, sophrologie, soucis, stress, yoga |Laissez un commentaire
Vos nuits sont parfois blanches, agitées, avec escale à toutes les heures, cauchemardesques, ou encore commençant au petit jour ?
« Etre confiné fait qu’on a une diminution de l’anxiété habituelle au cours de la journée – impression qu’on va louper le train, qu’on est en retard… Mais il y a une anxiété sourde du fait de l’épidémie, notamment la nuit », soulignait Marc Rey, président de l’Institut national du sommeil et de la vigilance.
« Le problème du confinement, c’est que, si on n’y prête pas attention, on va vers une désorganisation de notre rythme veille-sommeil, » ajoutait-il, conseillant d’augmenter l’activité de la journée pour garder un certain rythme et éviter de souffrir de troubles du sommeil.
Voici mes 5 idées pour mieux dormir :
-
Une conférence TED
Je me tourne et me retourne dans mon lit sans trouver le sommeil depuis des heures, que dois-je faire ?
Dans sa conférence TED qu’il a donnée en 2019 – la mission des conférences TED est, depuis trente ans, « de diffuser des idées qui en valent la peine » – et intitulée « Le sommeil est votre super-pouvoir », Matthew Paul Walker, professeur de neurosciences et de psychologie à l’Université de Californie à Berkeley, préconise de sortir du lit, d’aller dans une autre pièce et de faire autre chose.
« Parce que votre cerveau va très vite associer votre chambre à un lieu d’éveil, il vous faut briser cette association, souligne-t-il. Retournez au lit seulement quand vous avez sommeil (…). Une analogie serait qu’on ne s’assied jamais à table pour dîner en attendant d’avoir faim, donc pourquoi se mettre au lit en attendant d’avoir sommeil ? »
Le scientifique britannique passe ensuite en revue les principales incidences néfastes du manque de sommeil sur la santé (déficit immunitaire, stress, maladies cardiovasculaires…) ou encore sur la mémoire. « Il se peut que vous ayez entendu ce vieil adage : vous dormirez quand vous serez mort. Eh bien, je suis très sérieux – c’est un conseil mortellement imprudent ! »
Deux conseils à suivre selon lui pour trouver le sommeil : la régularité (se coucher et se réveiller à la même heure quel que soit le jour de la semaine ou du week-end) et « rester au frais » (la température de la pièce doit se situer à environ 18 °C).
-
Un podcast
En 2016, le Britannique Drew Ackerman animait le podcast Sleep with me (Dors avec moi), en direction notamment d’auditeurs aussi insomniaques que lui.
Dans chaque émission, d’une durée d’un peu plus d’une heure, il abordait, d’un ton monocorde, des sujets d’un ennui volontairement mortel pour leur permettre de tomber dans les bras de Morphée. Il assurait alors que vingt minutes suffisaient pour piquer du nez.
Autre podcast, loin d’être soporifique, et de bon conseil pour comprendre et améliorer son sommeil, celui du réseau de podcasts de culture générale Choses à savoir, animé par Louis-Guillaume Kan-Lacas : à travers une quinzaine d’émissions, il dresse un panorama de nos nuits, étayé par des études et des statistiques, et de ce qui peut contribuer à les rendre plus belles que nos jours. Comment savoir si vous dormez bien ? Les heures dormies avant minuit comptent-elles vraiment double ?
-
Une appli
« T’as tout mais tu n’as pas sommeil », chante Stromae, qui se propose de compter les moutons pour celui à qui il s’adresse.
D’autres que lui se font le gardien de nos nuits. Connectés et-ou dotés de capteurs, bandeau de sommeil, appli, bracelet, masque de nuit, oreiller et même matelas permettent d’analyser – de « tracker » – son sommeil et d’en identifier ses phases et comportements : temps d’endormissement, durée des cycles, fréquence des ronflements, des pauses respiratoires et des réveils nocturnes, par exemple, en vue de mieux en saisir les contours, seul ou avec un professionnel de santé.
Dans cette lignée, l’application gratuite iSommeil, développée sous iOS et Android par l’Institut national du sommeil et de la vigilance, contribue à trouver le sommeil (aide à l’endormissement avec une lumière orangée ou une musique douce) et réveille le dormeur (avec une lumière bleue ou une musique stimulante) à l’heure qu’il a programmée. Mais surtout, en glissant le smartphone sous l’oreiller, elle restitue au petit matin son activité nocturne, avec graphiques et sons à la clé. Ce journal de bord délivre également des astuces et des informations pour cibler d’éventuels symptômes de pathologies touchant son sommeil. Peut-être la perspective de dormir enfin sur ses deux oreilles.
-
Un accessoire
Entre autres veilleurs sur notre sommeil, le bien nommé Dodow se propose de « réveiller le sommeil » des personnes souffrant de troubles de l’endormissement ponctuels ou chroniques, selon une méthode inspirée des pratiques respiratoires de la méditation, du yoga et de la sophrologie. Posé à proximité du prétendant au sommeil, le faisceau bleu de ce petit objet design est déclenché par un simple tapotement et diffusé à intervalles réguliers en decrescendo – « Inspirez quand le faisceau s’étend, expirez quand il rétrécit ». Il tend à ralentir progressivement les respirations par minute et à diminuer le flux des pensées pour optimiser les conditions d’endormissement du sujet. Car « dormir, c’est se désintéresser », écrit le philosophe Henri Bergson dans Le Rêve.
-
Une vidéo
Il est une autre voie encore, celle de s’endormir en pleine conscience avec l’aide du psychiatre Christophe André, l’un des ambassadeurs français de la méditation de pleine conscience, auteur du best-seller Méditer jour après jour (Ed. de l’Iconoclaste, 2011).
L’une des 40 vidéos de ses Trois minutes à méditer est dévolue à l’endormissement : « S’endormir est un moment sensible : délicieux lorsqu’on sent venir le sommeil, douloureux lorsqu’il ne vient pas, convient-il. Pour bien dormir, il faut lâcher la peur de ne pas dormir, la peur d’être fatigué le lendemain, lâcher les soucis et inquiétudes qui nous attendent dans l’avenir. Pas facile. » Christophe André guide pas à pas le candidat au sommeil, notamment en l’invitant à « travailler à ouvrir votre esprit à tout ce qui n’est pas des pensées. Ne cherchez pas à chasser les pensées et les soucis, contentez-vous de ne pas les suivre, de ne pas les alimenter. Délibérément, tournez votre esprit vers votre souffle, vers la conscience de votre souffle. Respirez ». Garder son esprit dans son souffle requiert de la patience. Mais, « tôt au tard, le train du sommeil passera », assure le psychiatre.
Sinon, quelques séances d’hypnose profonde permettra de découvrir le pourquoi de votre insomnie, pour ensuite… dormir comme un bébé !
.
-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en télé-séances (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin
5 avril 2020
Coronavirus : je crains des « dégâts psychologiques » importants chez les soignants des hôpitaux
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, burnout, burn out, burn-out, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), mal-être, mort, peur, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, réflexion, souffrance, soutien psychologique, stress, témoignage | Étiquettes: épidémie, Covid-19, décompresser, déconfinement, insomnie, moral, réanimation, Surmortalité |Laissez un commentaire
Surmortalité des patients, manque de matériel, stress intense…
Les personnels soignants des hôpitaux risquent de sortir fortement impactés de leurs semaines de lutte contre l’épidémie.
Les dégâts psychologiques après vont être importants : dans les hôpitaux d’Ile-de-France, où la vague de covid-19 est en train de se stabiliser, le manque de matériel et la surmortalité des patients pèsent sur le moral des soignants.
Ils combattent l’épidémie tant bien que mal. Qu’ils en soient remerciés.
« On regarde du jour pour le lendemain ». Le professeur Yves Cohen, chef du service réanimation de l’hôpital Avicenne à Bobigny, en Seine-Saint-Denis, résume la situation matérielle de son établissement.
« Ce qui me fait très peur, c’est le manque de médicament de sédation ». Les 48 lits de réanimation de l’hôpital (au lieu de 16 habituellement) affichent complet.
Sept patients ont été évacués vers la Bretagne et la Normandie cette semaine, évitant ainsi d’avoir à faire un tri parmi les malades.
Mais le Pr Cohen redoute déjà « la fin de la crise », quand « les soignants risquent de décompresser », après s’être sur-investis.
Dans son département, la Seine-Saint-Denis, la mortalité a bondi de 63% entre le 21 et le 27 mars par rapport à la semaine précédente. Même si beaucoup ne sont pas morts à l’hôpital, l’impact psychologique des nombreux décès liés au covid-19 inquiète beaucoup de soignants franciliens.
Sébastien Point, secrétaire Sud-santé à l’hôpital de Versailles évoque « la détresse psychologique des collègues qui doivent fermer les blouses mortuaires quand le patient s’en va ». « Même en réa, ils ont beau être préparés, c’est dur », confie-t-il.
« Vous en avez beaucoup qui craquent, beaucoup qui sont en larmes », décrit Nathalie (prénom modifié), infirmière au Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne), au contact des patients covid. Pour elle, « les dégâts psy vont être importants ». « Les étudiants, j’en parle même pas », ajoute-t-elle.
« Je pense qu’il va y avoir des abandons de formation. On les balance dans la gueule du loup, ils ont 19 ans, ils ne sont pas préparés ».
Pour le moment elle tient le coup, mais depuis le déclenchement de la crise, elle dort mal la nuit et souffre de brûlures d’estomac. Dans son équipe, neuf de ses collègues ont contracté le coronavirus.
Le manque de matériel, partout rationné, accentue le stress ressenti par les personnels soignants. Ils assurent manquer de tout, et en particulier de sur-blouses, indispensables pour prendre en charge les patients.
« Dans mon service, on arrive au bout du stock dans un ou deux jours peut-être », estime Cathy Le Gac, infirmière en réanimation à l’hôpital Beaujon de Clichy, dans les Hauts-de-Seine.
Au-delà, aucune visibilité, donc « on nous demande de les réutiliser » alors qu’elles sont à usage unique, raconte-t-elle. A Versailles, certains soignants se sont confectionnés des protections artisanales avec des sacs poubelles.
Le maire de Montreuil a lui lancé un appel aux entreprises du BTP, aux peintres et restaurateurs pour donner des sur-blouses à l’hôpital de sa ville qui en manque.
Au Kremlin-Bicêtre, sur-blouses et masques ont manqué l’espace d’une heure il y a deux semaines, empêchant les soins d’être prodigués. « Tout est fait de bric et de broc, tout est sur du flux tendu », s’énerve Cathy Le Gac.
« On n’est pas des militaires, on est des soignants, on n’a pas signé pour ça, pour risquer notre vie », surenchérit Sébastien Point.
Dans ce contexte, les hôpitaux d’Ile-de-France continuent de faire face.
L’arrivée de 400 médecins et infirmiers d’autres régions pour venir prêter main forte à leurs collègues franciliens a fait du bien. Tout comme les évacuations de patients vers d’autres régions moins touchées.
Pour autant, les personnels hospitaliers s’attendent encore à de longues semaines de combat. « Je ne comprends même pas qu’on parle du déconfinement, ça continue d’arriver constamment », insiste Nathalie qui se demande toujours « quand tout ça va s’arrêter« .
-> Psychothérapie et/ou coaching : les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en télé-séances par Skype, WhatsApp ou Zoom (cliquez sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr » pour plus d’informations utiles. Et mailez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin)
9 juin 2017
« Au secours, mon ado passe des examens ! »
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under alimentation, angoisse, anxiété, étude scientifique, bien-être, coaching, confiance en soi, conseils, espoir, estime de soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), leadership, liberté, mal-être, peur, psychothérapie cognitive et comportementale (TCC), réflexion, souffrance, soutien psychologique, stress, témoignage, technique/protocole, travail | Étiquettes: acides gras oméga 3, adrénaline, éducation, baccalauréat, BEP, Brevet des collèges, CAP, capacités, chantage affectif, chaperonnage, chronobiologie, cohérence cardiaque, décompresser, de digipuncture (EFT), echec, et thérapie EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing, hypersensibilité, insomnie, magnésium, malbouffe, maturité intellectuelle, méditation, parents, perfectionnisme, performances, persévérance, personnalité, plaisir, procrastinateur, rétroplanning, réussites sociale et familiale, relaxation, repos, sommeil, surmenage, vitamines |Laissez un commentaire
La période des examens est stressante pour les adolescents et… leurs parents.
Voici quelques conseils afin d’aider au mieux votre enfant.
Brevet des collèges, CAP, BEP, baccalauréat ou examens post-bac. A partir de la troisième, l’adolescent emprunte un itinéraire scolaire ponctué d’examens-étapes, avec le stress qu’ils sous-tendent.
« Ces moments correspondent aussi à une pleine transformation de sa personnalité, de sa maturité intellectuelle, de ses capacités à se transposer et à s’organiser. A cet âge-là, les jeunes sont en grande fragilité et en hypersensibilité au niveau de leur estime de soi, et cela s’ajoute aux angoisses de performances, et à la peur, notamment, de l’échec. »
Du point de vue du parent, c’est une double pression qui s’exerce, à commencer par celle de la société : « Les succès aux examens de nos enfants sont autant de trophées exposés dans la vitrine de nos réussites sociale et familiale.»
Demeure aussi l’idée prégnante que le bonheur de ses enfants est étroitement lié à leur réussite scolaire. Or, ce qui importe avant tout est de guider son enfant en fonction de ses atouts, de ses capacités et de ses sensibilités, de manière socratique. Et surtout que le parent ne lui impose pas, par procuration, ses propres choix.
Bannir les « Si tu n’es pas danseuse/charcutier/architecte ou médecin, je te renie » : le chantage affectif n’a pas lieu d’être, pas plus que le prédéterminisme professionnel !
Est-il utile de rappeler que le parent doit rassurer son enfant, notamment dans ces phases d’anxiété liées aux examens, et veiller à son bien-être et à son bon développement. « Il s’agit d’être vigilant et prêt à entendre ce que l’enfant veut pour lui.»
Pour trois profils types d’adolescents engagés dans la dernière ligne droite des révisions, voici les conseils :
1/ Votre fille est une bosseuse. Elle a préparé son examen plus qu’il ne faudrait. Trop perfectionniste, le surmenage guette
Un bon élève, autonome, ne l’est pas par hasard. Ce n’est pas un profil qu’on tire à la loterie, contrairement à ce que voudraient croire certains parents mal lotis ! C’est le fruit d’un travail éducatif préalable. Cet enfant a reçu une éducation, de l’affection et des marques de confiance. S’il est des traits de personnalité innés, la plus grande majorité s’acquiert et est liée à l’environnement dans lequel le jeune évolue.
Dans le cas d’un adolescent trop bosseur, il revient de lui expliquer que son cerveau a aussi besoin de plaisir, de repos et de recharger ses batteries à la manière de son téléphone ! Et on peut filer la métaphore : à force d’être sur des applis énergivores, si on ne le recharge pas, le risque est de tomber à plat. Il en va de même pour son cerveau.
Le parent va pour cela lui suggérer des activités, des « récréations », des temps essentiels mais pas des temps volés à ses révisions. Son cerveau va ainsi se ressourcer, lui évitant l’épuisement cérébral comme psychique. Au parent de « faire diversion » si l’on peut dire et de lui faire part de sa propre expérience, l’assurant que cela a contribué à sa propre réussite. L’exemple a du bon.
2/ Votre fils est dans une situation extrême de stress. Il a perdu l’appétit, est sujet à l’insomnie, et ne cesse de se dévaloriser
Ce jeune est dans une situation de souffrance psychique. Il faudra certainement envisager de recourir à des soins médicaux psychologiques. Ne pas hésiter, dans les cas extrêmes, à prendre rendez-vous avec un psychopraticien ou un thérapeute pour intégrer par exemple des techniques de relaxation et/ou de méditation, de cohérence cardiaque, de digipuncture (EFT), et thérapie EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing, « désensibilisation et reprogrammation par mouvement des yeux ») aussi… afin de mieux gérer cet excès d’anxiété.
En dehors d’un psy, on peut aussi l’inciter à utiliser des techniques de gestion du stress faciles à assimiler, que l’on peut trouver sur Internet, à travers des applis ou en librairie. Cela peut avoir des bienfaits majeurs immédiats.
Pour des cas un peu moins stressés, il n’y a pas de miracle à attendre des apports de vitamines, de magnésium et autres compléments que l’on peut autoprescrire à son enfant. Cela ne peut pas faire de mal, mais aucune étude n’a démontré les bienfaits pro-cognitifs de ces substances. Cela rassure, certes. Le seul complément alimentaire qui a fait ses preuves sont les acides gras oméga 3 issus de la mer.
Les parents doivent rappeler à leur ado que le stress est physiologiquement normal et que l’inverse serait plus inquiétant ! Ils peuvent l’aider à décompresser en lui proposer des activités, en lui réservant attentions et surprises, et surtout en lui épargnant leur propre stress, très contagieux.
Avant tout, lui témoigner sa confiance et sa solidarité et rester calme face à l’épreuve qui l’attend (et vous aussi).
3/ Votre fille procrastine et ne semble pas vouloir s’atteler à ses révisions
C’est l’adolescent qui demande le plus à être coaché. Le procrastinateur, s’il n’est pas dans la quête de sensations fortes et de bouffées d’adrénaline en faisant les choses au dernier moment, est, dans la majorité des cas, paralysé par l’angoisse, d’où son inaction. Le parent doit être très présent, le rassurer et le guider dans son organisation par l’élaboration d’un rétroplanning.
La procrastination est très souvent liée à l’anxiété et à l’angoisse de performances. Pour l’en libérer, le parent doit l’assurer qu’il n’attend pas de lui d’exploits, mais simplement qu’il mette tous les atouts de son côté. Lui rappeler que la persévérance paie.
Le parent doit aider cet adolescent à élaborer et à suivre, bien en amont des examens, un programme précis de révisions avec des objectifs réalisables, un rythme adapté… et un accompagnement quotidien. Si ce « chaperonnage » exacerbe les tensions, et à condition d’en avoir les moyens, mieux vaut déléguer cet accompagnement à un tiers (cours particuliers, par exemple).
Trois règles d’or :
-
- Evincer les écrans des smartphones des tables de travail : ils sont, par leurs interactions toutes les (au moins) 14 secondes, trop invasifs ! Les révisions se retrouvent complètement hachées et superficielles. « Du point de vue neuro-scientifique, la mémoire est extrêmement volatile. Avoir deux activités cognitives dans le même temps aboutit à des troubles cognitifs. Le conseil du psychopraticien ? Le jeune doit couper son téléphone, ce deuxième cerveau qui lui sert d’assistance intellectuelle et culturelle, l’incitant à se soustraire à certains apprentissages ! »
- Veiller à une bonne alimentation : près de 30 % des calories absorbées chaque jour alimentent uniquement le cerveau. « Il est important que l’adolescent sorte de sa malbouffe et prenne des repas équilibrés, hyperprotéinés, riches en oméga 3 et en lipide. Cela revient à mettre de l’essence raffinée dans son cerveau ! »
- Respecter son rythme et ses temps de sommeil : « Une carence en sommeil est beaucoup plus préjudiciable que le fait d’avoir révisé jusqu’à 3 heures du matin la veille de l’examen. C’est un piège à éviter. » Mais en fonction de la chronobiologie de son enfant, il conviendra de le laisser réviser à partir de 22 heures s’il est plutôt du genre hibou ou de se lever à l’aube s’il est davantage faucon, conseille le thérapeute. « Il ne s’agit pas d’encourager un enfant de troisième à réviser jusqu’à 3 heures du matin non plus ! Il y a des limites. »
Voilà !
Bon courage à tous…
Sources: lemonde.fr, mon expérience professionnelle
8 mars 2016
Un remède de grand-mère que vous devez avoir dans votre armoire à pharmacie
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under étude scientifique, bien-être, conseils, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), stress | Étiquettes: éditions Mosaïque-Santé, Chlorumagène, chlorure de magnésium, diabète, fatigue, hydroxyde de magnésium, Hypertension, insomnie, pharmacie, Rebelle-Santé, symptômes |Laissez un commentaire
Insomnie, stress, fatigue,
diabète, hypertension, troubles circulatoires,
maladies infectieuses…
Il serait dommage que vous vous passiez de ce remède !
Le Dr Martin du Theil, médecin du début du XXe siècle, s’appuyait sur l’idée de Claude Bernard : « Le terrain est tout, le microbe n’est rien », et prônait déjà la prise en compte des causes réelles des maladies plutôt que de se contenter d’en soulager les symptômes.
Son expérience l’a conduit à constater que la santé en général était fortement dépendante de l’équilibre du système nerveux.
Il a travaillé à la conception d’un médicament à la fois préventif et curatif pour mille et un problèmes de santé.
Ainsi est né l’hydroxyde de magnésium, commercialisé sous l’appellation Chlorumagène, du chlorure de magnésium à l’état natif, 100 % efficace, sans son goût affreux !
Un produit toujours vendu en pharmacie, et dont on se transmet les secrets de génération en génération.
Le Dr Martin du Theil fut pharmacien et médecin. Son ouvrage La défense par le système nerveux est paru pour la première fois en 1929 et a été publié et republié jusqu’à atteindre plus de 160 000 exemplaires.
Il était temps de le proposer à nouveau à la lecture, pour que chacun profite, comme il se doit, de l’hydroxyde de magnésium.
Sophie Lacoste, rédactrice en chef du magazine Rebelle-Santé, a préfacé l’ouvrage et porté quelques annotations au manuscrit initial du Dr du Theil, afin de le replacer dans le contexte actuel. Elle s’intéresse tout particulièrement aux remèdes naturels. Elle est l’auteure de nombreux ouvrages : Les Surprenantes vertus du jeûne, D’ici et d’ailleurs, les aliments qui guérissent, Ma Bible des trucs de santé, Ma Bible de la phytothérapie…
Source: « Hydroxyde de magnésium, une panacée à connaître : le Chlorumagène« , du Dr Martin du Theil, préface et annotations de Sophie Lacoste, éditions Mosaïque-Santé
13 juin 2015
Stress : les mécanismes d’une usure au quotidien
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under étude scientifique, burnout, burn out, burn-out, coaching, conseils, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), mal-être, malaise, réflexion, souffrance, stress, travail | Étiquettes: adaptation, énergie, combat, fatigue, fragilité, fuite, hypothalamus, insomnie, irritable, lutte, mal ventre, récupération, souplesse, Tension, vigilance, vulnérabilité |Laissez un commentaire
L’histoire du stress
Il s’agit d’un mécanisme complexe qui rendait nos lointains ancêtres capables de réagir à une situation nouvelle par le combat ou la fuite.
Sans lui, la race humaine aurait probablement disparu.
Le stress est la forme qu’utilise l’organisme pour mobiliser l’énergie emmagasinée et la rendre immédiatement disponible, qu’il s’agisse de dévaler les escaliers du métro avant que la rame ne s’ébranle, ou de prendre la parole en public.
Le stress vous permet tout simplement de faire face ou de vous adapter aux innombrables demandes de l’existence.
Son mécanisme
Lorsque vous percevez un facteur de stress, des impulsions nerveuses stimulent l’hypothalamus. Cette glande adresse à son tour des messages tant à l’hypophyse qu’aux glandes surrénales.
Ces manifestations sont dues à un afflux d’hormones dans le sang et dans les terminaisons nerveuses : adrénaline dans un premier temps, puis cortisol.
Le stress agit en trois phases :
Phase 1 : l’alarme
L’alarme a pour but de mettre le corps en situation de combattre ou de fuir. La respiration et le pouls s’accélèrent, les mains deviennent moites…
Le facteur de stress peut être psychologique tout autant que physique.
Phase 2 : la résistance
La résistance (ou la vigilance) est censée permettre au corps de s’adapter à la situation à laquelle il vient d’être confronté. L’organisme agit comme si sa survie même était menacée.
Cette phase se prolonge aussi longtemps qu’une action ou une réaction sont jugées nécessaires (une appréciation qui dépend largement de facteurs psychologiques). Pour cette raison, et par suite de la tension extrême que nous faisons peser sur nos organes clés, dont le cœur, c’est bien au cours de la phase 2 que nous sommes les plus vulnérables.
Malheureusement, nombreux sont ceux qui restent dans cette phase de résistance bien après que le challenge auquel ils étaient confrontés soit passé. Les chefs d’entreprise, les policiers, les pilotes de ligne sont coutumiers des séjours prolongés en phase 2.
Incapables de se relaxer, certains sont en permanence sur la brèche, qu’ils le veulent ou non.
Phase 3 : la récupération
La phase 3 commence au moment où vous avez le sentiment que la situation stressante a disparu.
Le corps saisit cette opportunité pour se détendre et récupérer. Les sécrétions hormonales diminuent, le sang reflue vers la périphérie, le système digestif et le cerveau. De longs séjours en phase 2 nécessitent de longues périodes de récupération.
Dans la réalité, combien sommes-nous à respecter cette alternance ?
Ne pas savoir couper le «thermostat» du stress, c’est gaspiller de l’énergie en vain, une énergie qui manquera cruellement au moment où l’on en aura réellement besoin.
Plus grave, cette permanente mise sous tension affecte certainement à long terme les systèmes immunitaire et cardiovasculaire, ouvrant la voie aux infections, aux troubles cardiaques, etc…
.
27 janvier 2015
Le burn-out peut-il vous toucher ?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, coaching, conseils, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), mal-être, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, psychothérapie cognitive et comportementale (TCC), réflexion, souffrance, soutien psychologique, stress, travail | Étiquettes: concentration, insomnie, sommeil |Laissez un commentaire
Vous sentez-vous, en permanence, stressé ?
Avez-vous du mal à être attentif et à vous concentrer ?
Etes-vous surmené et ne trouvez-vous plus le sommeil ?
La qualité et la rentabilité de votre travail sont-ils à la baisse ?
Oui ?
Pour toutes ces questions ?
Vous vivez certainement un stress chronique, qui dépasse largement les seuils acceptables. Il vous brûle de l’intérieur.
.
12 novembre 2014
Comment guérir d’un traumatisme par hypnose, grâce à cette technique mise au point par des psychiatres des Armées
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, étude scientifique, bien-être, conseils, dépression, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), mal-être, malaise, peur, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, psychothérapie cognitive et comportementale (TCC), réflexion, souffrance, soutien psychologique, stress, témoignage, technique/protocole | Étiquettes: conduites addictives, guérison, hypnoanalgésie, hypnose ericksonienne, insomnie, phobie, psychiatres, trauma, victimologie |Un commentaire
Voici une technique efficace et rapide pour retrouver une vie normale. Lisez ce qui suit, pour vous informer :
Le traumatisme psychique est une affection méconnue et pourtant très fréquente.
La prise en charge se limite le plus souvent au traitement du symptôme dominant : crises d’angoisse, phobie, dépression réactionnelle, troubles du sommeil, conduites addictives…
La victime voit son état s’améliorer mais reste sans espoir de guérison.
Ce nouveau livre apporte un solution aux victimes présentant un stress post-traumatique d’événements à fort potentiel émotionnel. Cette nouvelle technique a été mise au point par les psychiatres militaires, et adaptée par l’auteur, le Dr Christian Cheveau, à la victimologie quotidienne. Avec l’aide de l’hypnose éricksonienne, le patient permet de dissocier l’événement de l’émotion. Il peut ainsi reprendre le contrôle de l’événement qui posait problème, après quelques séances.
Cet ouvrage permet de comprendre ce qu’est l’hypnose et pourquoi elle est particulièrement efficace dans la suppression des séquelles dues à un trauma : guérison rapide des traumatismes psychiques, indépendamment de leur cause, de leur ancienneté, et quel que soit l’âge et la personnalité de la victime.
Il présente de façon claire et concise la notion de traumatisme psychique : ses circonstances de survenue ses caractéristiques et ses spécificités ce qui le différencie des autres pathologies psychiques. Il est illustré par 39 histoires de guérison choisies parmi un éventail de situations fréquemment rencontrées.
A qui s’adresse ce livre ?
D’abord, aux victimes d’un traumatisme psychique. Aux professionels de santé ensuite, toutes catégories confondues, qui y trouveront des informations pour orienter et conseiller leurs patients et clients.
Qu’est-ce que l’hypnose éricksonienne ?
L’hypnose ericksonienne est issue de la pratique de Milton Erickson (1901-1980). Caractérisée par une approche souple, indirecte (métaphores) et non dirigiste, cette forme d’hypnose a donné naissance à de nombreux courants de psychothérapie moderne : thérapie familiale, thérapie brève (stratégique, systémique), programmation neuro-linguistique (PNL)…
Biographie de l’auteur :
8 septembre 2014
Votre enfant ne souffrirait-il pas de phobie scolaire ?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, confiance en soi, conseils, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), mal-être, malaise, peur, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, psychothérapie cognitive et comportementale (TCC), réflexion, souffrance, soutien psychologique, stress | Étiquettes: insomnie, manifestations psychosomatiques, mort, phobie |Laissez un commentaire
Phobie scolaire : comment aider un enfant en souffrance ?
Chez certains élèves particulièrement anxieux, la simple idée d’aller en classe provoque une peur panique s’accompagnant de nombreuses manifestations psychosomatiques.
Rien à voir avec un caprice. C’est une véritable angoisse nécessitant une prise en charge spécifique.
Submergés par l’angoisse, les enfants confrontés à la phobie scolaire sont pris de véritables crises de panique à l’heure de partir à l’école. Ils pleurent, crient, supplient de pouvoir rester à la maison, menacent de fuguer… Ils souffrent souvent de maux de ventre, de maux de tête et/ou d’insomnie, voire de vomissements, de diarrhées, de tachycardie, de tétanie… Des pathologies existantes telles que l’asthme ou l’eczéma peuvent s’aggraver. Ces symptômes disparaissent le plus souvent le week-end et pendant les vacances.
Comment expliquer des réactions aussi fortes ? Souvent un terrain anxieux familial…
Il est difficile de trouver une origine précise au développement d’une phobie scolaire. Comme pour toute phobie, l’insconscient joue un grand rôle.
Les enfants ont généralement un terrain particulièrement anxieux, parfois familial. Ce sont souvent des élèves appliqués, voire perfectionnistes. La phobie scolaire peut aussi trouver ses fondements dans une peur ancienne de la mort réactivée par un traumatisme récent, un deuil familial par exemple.
Il ne faut surtout pas forcer un enfant présentant des symptômes de phobie scolaire à aller en cours. Malgré tout, même si sa souffrance est réelle et doit être prise en charge, les psychopraticiens sont unanimes : plus il va éviter l’école, plus il lui sera difficile d’y retourner.
.
Bénéficiez d’une information (entretien de 30 minutes gratuit et sans engagement) pour un soutien psychologique, une psychothérapie ou du coaching en cliquant ici
15 juin 2014
Comment bien dormir la veille du bac (1/2)
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, bien-être, coaching, confiance en soi, conseils, espoir, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), liberté, mal-être, malaise, peur, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, psychothérapie, psychothérapie cognitive et comportementale (TCC), soutien psychologique, stress | Étiquettes: Homéopathie, insomnie, mémoire, somnifère |Laissez un commentaire
- Comment éviter une insomnie la veille du bac ?
Le compte à rebours est lancé.
Dans quelques heures, 481 532 candidats plancheront sur l’épreuve de philosophie du baccalauréat. La pression monte, le rythme cardiaque s’accélère, et le sommeil… ne vient pas. Ce sommeil si précieux qui permet de « récupérer physiquement et physiologiquement, d’évacuer les angoisses, de réguler la vie affective et sociale, de mémoriser et consolider les apprentissages des jours précédents », rappelle le chronobiologiste Hubert Montagner. Autant de conditions qui favorisent la réussite d’un examen.
- Quelle est la recette miracle pour dormir ?
« Il n’en n’existe pas », tranche le pédopsychiatre Patrice Huerre, co-auteur avec son fils de La Prépa sans stress. Chacun a ses méthodes. « L’important, c’est de s’interroger sur sa propre expérience », estime-t-il. Vers quelle heure ai-je tendance à m’assoupir ? Quelles activités m’aident à trouver le sommeil ? Qu’est-ce qui me stimule, ou à l’inverse, m’apaise ? « Si le jeune se pose ces questions, il trouvera par lui-même un remède contre l’insomnie. »
Un avis partagé par le docteur et spécialiste du sommeil Sylvie Royant-Parola : « Il faut rester fidèle à ses habitudes, ne pas faire de la veille du bac un jour différent des autres ». Il est par exemple inutile de se mettre au lit à 20 heures si vous êtes un « couche tard ». Sans cautionner les excès, elle rappelle que « casser son rythme naturel, se désynchroniser en essayant de dormir beaucoup plus que de coutume » est contre-productif.
Pour bien dormir, il faut d’abord s’écouter. Les trois experts donnent néanmoins quelques conseils qui facilitent l’entrée dans le sommeil.
- Homéopathie ou somnifère ?
Eviter les somnifères ou les anxiolytiques, « surtout si vous n’en avez jamais pris auparavant », alerte M. Huerre. Certains jeunes les tolèrent, d’autres pas. Parmi les effets secondaires, les troubles de la mémoire, la nausée, la fièvre et parfois même un réveil difficile. « Si vous ignorez comment vous réagissez à ce type de produit, ce n’est pas la peine de le découvrir la veille du bac », met-il en garde.
De son côté, Mme Royant-Parola les recommande seulement « à petite dose » et en dernier recours, « pour ceux qui frôlent la crise de nerfs ». « Mieux vaut ça que ne pas fermer l’œil de la nuit », estime-t-elle.
Hubert Montagner, lui, conseille du doliprane ou de l’aspirine, qui « assoupissent et apaisent » et ont le mérite d’être complètement « inoffensifs ». Les paracétamols font baisser la température du corps. Or, « moins on a chaud, mieux on dort », résume Mme Royant-Parola.
C’est pourquoi prendre une douche froide ou aérer sa chambre avant d’aller se coucher peut s’avérer utile. Quant aux produits homéopathiques, « ils rassurent plus qu’ils n’agissent », estime Mme Royant-Parola. Mais comme l’insomnie est avant tout psychologique…
Sources : campus.lemonde.fr, INSV, La Prépa sans stress
.
Bénéficiez d’une information (entretien de 30 minutes gratuit et sans engagement) pour un soutien psychologique, une psychothérapie ou du coaching en cliquant ici
5 février 2014
5 autres réflexes anti-cancer pour tous les jours – à lire !
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under alimentation, étude scientifique, bien-être, conseils, croyance, dépression, espoir, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), guérison, liberté, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, psychothérapie cognitive et comportementale (TCC), sagesse, soutien psychologique, stress | Étiquettes: cabines de bronzage, café, infarctus, insecticides, insomnie, perturbateurs endocriniens, pesticides, relaxation, sophrologie, tamoxifène, viande rouge, yoga |Laissez un commentaire
Hier, c’était la journée mondiale contre le cancer. L’occasion de faire le point sur notre hygiène de vie et de prendre enfin quelques bonnes résolutions pour notre santé.
6. La viande rouge avec modération
Dernièrement, le Conseil supérieur de la Santé (CSS) a recommandé de ne consommer de la viande rouge fraîche ou sous forme de hachis préparés qu’occasionnellement et d’éviter autant que possible les charcuteries à base de viande rouge.
Selon ses conclusions, l’incidence du cancer colorectal pourrait en effet diminuer de 10 à 20% si ces recommandations étaient appliquées.
Toutefois, la consommation modérée de viande rouge reste une source précieuse de protéines. Pour diminuer les risques cancérigènes, il est conseillé d’utiliser des épices et des herbes aromatiques telles que l’ail et le romarin lors de la cuisson
et du rôtissage de la viande rouge. Ces derniers contiennent naturellement des antioxydants.
7. Le café, l’allié inattendu
Plusieurs études l’ont confirmé ces dernières années, le café aurait des vertus anti-cancer.
En 2011, l’Association pour la recherche sur le cancer américaine avait annoncé que consommer trois tasses par jour réduisait notamment le risque de cancer de la peau. Quelques mois plus tard, une autre étude américaine montrait, elle, que le café non décaféiné avait un effet protecteur pour notre gorge.
Quant aux Suédois, ils ont annoncé qu’en cas de cancer du sein, les patientes traitées par le tamoxifène pourraient réduire leur risque de récidive en buvant du café. Dernièrement, on apprenait que le café avec également des vertus protectrices contre le cancer de l’utérus. Mais comme toujours tout est une question de modération !
8. Pas de pesticides dans mon assiette!
Pour prévenir l’apparition de cancer, évitez les expositions aux produits toxiques tels que les pesticides ou insecticides par exemple. Ils sont des perturbateurs endocriniens et sont donc reliés au développement de certaines maladies comme le cancer du sein.
Optez régulièrement pour une alimentation biologique si vous lepouvez. N’oubliez surtout pas de laver correctement vos fruits et légumes avant de les consommer.
9. Bronzez intelligemment!
Le nombre de cancer de la peau connaît un accroissement alarmant chez les moins de 40 ans depuis les dernières décennies. S’il est évidemment conseillé de bien se protéger avant de se mettre au soleil, c’est surtout les cabines de bronzage qui sont pointées du doigt dans ce fléau.
Selon les experts, cette explosion des cancers de la peau chez les jeunes adultes s’expliquerait par un usage accru des salons de bronzage surtout chez les femmes. Les cabines à UV seraient responsables à elles seules de près de 800 morts par an en Europe. Tout comme l’exposition au soleil, les cabines à UV sont aujourd’hui classées comme « cancérogènes certains pour l’homme » par le Centre international de recherche sur le cancer (Circ).
Alors cet été, bronzons intelligemment!
10. Evitez le stress
Selon une étude, un salarié sur deux seraient stressés au travail.
Pourtant on sait aussi que le stress reste un facteur non négligeable de nombreuses pathologies. Il augmente notamment le risque d’infarctus, de diabète, d’insomnie, d’allergies, de dépression… des facteurs aggravants du cancer.
Même si jusqu’à ce jour, aucun lien direct n’a encore été établi entre stress et cancer, il ouvre cependant un climat favorable à l’apparition de cette maladie.
Face à ce constat, plusieurs méthodes s’offrent à nous : faire des séances de yoga, sophrologie ou de relaxation, faire l’amour, bien dormir, prendre du temps pour soi…
Et si on commençait déjà par sourire à la vie ? La bonne humeur, la pensée positive et la joie de vivre reste, eux, votre meilleur allié contre la maladie !
.
Bénéficiez d’une information (entretien de 30 minutes gratuit et sans engagement) pour un soutien psychologique, une psychothérapie ou du coaching en cliquant ici
2 novembre 2013
Comment Reconnaître Votre Dépression
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under anxiété, étude scientifique, burnout, burn out, burn-out, dépression, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), mal-être, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, psychothérapie cognitive et comportementale (TCC), souffrance, soutien psychologique | Étiquettes: baisse de la libido, concentration, culpabilité, DSM IV, fatigue, hallucinations, insomnie, isolement social, mémoire, persécution, perte d'appétit et de poids, pleurs, tristesse |Laissez un commentaire
Cette maladie touche 3 millions de Français chaque année.
La dépression, du latin «depressio» («enfoncement») est un trouble psychiatrique caractérisé principalement par une tristesse intense et la perte d’intérêt ou de plaisir pour les activités habituelles.
À la différence de la simple déprime, ces symptômes sont durables, au moins deux semaines selon le DSM IV (le manuel américain qui définit les critères diagnostiques des troubles psychiatriques). Ils représentent un changement par rapport au comportement habituel de la personne.
De plus, en cas de dépression, la tristesse et la perte d’intérêt sont accompagnées de
– changements de comportement (ralentissement des gestes, retrait et isolement social…),
– de manifestations émotionnelles (pleurs fréquents, perte de réactivité face aux événements extérieurs, anxiété, sentiment de culpabilité…),
– de troubles cognitifs (perte d’expressivité dans la voix, difficultés de concentration et de mémoire, pensées négatives voire suicidaires),
– et de symptômes biophysiologiques (insomnie, perte d’appétit et de poids, baisse de la libido, fatigue).
Dans les cas les plus sévères, les personnes ont parfois des symptômes psychotiques, c’est-à-dire des idées délirantes (par exemple de culpabilité ou de persécution) ou des hallucinations.
La dépression est une maladie hétérogène, c’est-à-dire que le type et l’intensité des symptômes varient en fonction des personnes. Néanmoins, les études épidémiologiques permettent de dégager des tendances générales qui sont vraies dans un grand nombre de cas.
Ainsi, chaque année, environ trois millions de personnes en France souffrent de dépression (3 à 7 % des adultes), les femmes étant atteintes deux fois plus souvent que les hommes.
Cette maladie est la seconde cause de morbidité et sous-tend 50 % des arrêts maladie et 70 % des 12.000 suicides enregistrés chaque année.
Le premier épisode de dépression survient la plupart du temps autour de l’âge de 30 ans et dure en moyenne 6 mois.
Cependant, deux ans après un épisode initial, près de la moitié des personnes sont encore, ou à nouveau, dépressives et la maladie dépressive devient souvent chronique.
Sources: sante.lefigaro.fr, Dr Maria Melchior, Centre de recherche en épidémiologie et santé des populations (Unité Inserm 1018), mon expérience professionnelle
.
Bénéficiez d’une information (entretien de 30 minutes gratuit et sans engagement)
pour un soutien psychologique, une psychothérapie ou du coaching en cliquant ici
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.