conseils
14 mai 2023
Comment profiter de mes derniers conseils psy de bien-être
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under addiction-dépendance, alimentation, angoisse, anxiété, épuisement professionnel, bien-être, bonheur, burnout, burn out, burn-out, coaching, confiance en soi, conseils, couple, dépression, estime de soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), guérison, harcèlement, hypnose, hypnothérapie, inquiétude, jugement, leadership, liberté, mal-être, malaise, MonPsy, mort, peur, psychiatre, mutuelle, remboursement, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, psychothérapie cognitive et comportementale (TCC), réflexion, reconversion professionnelle, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, témoignage, technique/protocole | Étiquettes: épuisement professionnel, culpabilité, fatigue, Skype, téléconsultation |Laissez un commentaire
2 mai 2023
5 conseils pour vous rappeler ce que vous lisez
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under anxiété, étude scientifique, bien-être, conseils, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), liberté, peur, soutien psychologique, témoignage | Étiquettes: apprentissage, assimiler, comprendre, courbe d'Ebbinghaus, Ecrire, lecture active, Lire, mémoriser, objectif, souligner, surligner |Laissez un commentaire
Lire, comprendre, mémoriser, 3 étapes pour vous rappeler ce que vous lisez.
Voici 5 conseils pour vous rappeler en détail de vos lectures
1) Définisez votre objectif, et la durée de lecture
Faire des fiches est une méthode très souvent mise en avant.
Le problème est que cela fait perdre beaucoup de temps. N’essayez pas de résumer au maximum chaque élément de votre lecture, cours, leçon, etc…
Appliquez plutôt l’idée suivante :
-> définissez ce qui est important pour vous dans le document/livre/article, et le temps que vous vous accordez pour l’atteindre.
2) Vous questionner durant votre lecture
Un problème majeur qui se pose lorsque vous lisez est cette facilité à rendre votre lecture passive. En clair, lire ce qui apparaît devant vos yeux, sans rien faire d’autre.
Cependant, pour comprendre pleinement un texte, et de ce fait, le mémoriser efficacement, il est nécessaire de se questionner. Au lieu de simplement lire, vous devez apprendre à vous questionner sur ce que l’auteur essaye de faire transparaître.
« Comment se fait-il que X produise Y ? »
« Ah mais X pourrait montrer que Y… »
En somme, essayer de comprendre le pourquoi, le comment pour s’imprégner plus facilement de la pensée de l’auteur, de jouer avec lui. Cette technique demande plus de temps qu’une lecture « classique », elle requiert un certain effort intellectuel, certes.
Toutefois, les bénéfices sont grands pour un modèle qui reste relativement simple. Réfléchir pour mieux mémoriser.
3) La courbe d’Ebbinghaus
Hermann Ebbinghaus est un philosophe et psychologue allemand, souvent considéré comme le père de la psychologie expérimentale de l’apprentissage.
La courbe d’Ebbinghaus est une courbe permettant de comprendre la rétention d’information au fil du temps.
Elle montre la façon dont les informations que nous enregistrons se perdent petit à petit.
En somme, il est possible de voir à quel point un homme peut perdre plus de la moitié des connaissances qu’il a acquises en quelques semaines seulement.
L’idée ici est de relire fréquemment ses textes afin de conserver près de 80% du contenu de base.
Vous devez lire 10 minutes après votre lecture, puis le jour d’après, puis 1 semaine après, puis 1 mois après, et enfin 6 mois après.
4) Lecture rapide
Une petite astuce qui est intéressante : pour retenir mieux, il faut savoir lire plus vite.
En lisant lentement, vous augmentez les risques d’être distrait et donc de perdre le fil de votre lecture. Lire plus vite que la normale, à l’aide d’un crayon pour suivre les lignes par exemple, est un bon moyen de mieux mémoriser et assimiler ce que l’on lit.
5) Ecrire, souligner, surligner…
Au cours de votre lecture, prenez un crayon ou un surligneur et soulignez les éléments importants que vous pouvez voir à travers votre lecture.
En restant actif, vous vous donnez la possibilité de ne pas perdre le fil de votre lecture. Un autre avantage est qu’il vous sera plus facile de revenir plus tard sur votre lecture.
Les éléments mis en évidence permettront une meilleure relecture.
3 avril 2023
5 autres conseils utiles pour éviter votre rechute de burnout
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under épuisement professionnel, bien-être, burnout, burn out, burn-out, coaching, confiance en soi, conseils, espoir, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), hypnose, hypnothérapie, liberté, MonPsy, peur, psychiatre, mutuelle, remboursement, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, psychothérapie cognitive et comportementale (TCC), reconversion professionnelle, séance à distance, soutien psychologique, téléconsultation, téléséance, technique/protocole, travail | Étiquettes: antidépresseur, apprentissage, épuisement professionnel, fragilité, médication, méditation, mes limites, rechute, sport, yoga |Laissez un commentaire
5 autres conseils pour éviter votre rechute de burnout
L‘arrêt de travail, la psychothérapie avec l’outil d’hypnose profonde et/ou la prise d’un antidépresseur font partie de la routine pour traiter l’épuisement professionnel.
D’autres solutions pour se remettre sur pied et éviter la rechute.
1- Prenez le temps
Un retour au travail précipité n’est pas une bonne idée lorsqu’on a vécu un épuisement professionnel.
Les gens se sentent mieux, alors ils se disent qu’ils vont reprendre le boulot. Le traitement peut tromper par son efficacité, et le désir de re-travailler est fort. Je l’ai par ailleurs constaté dans le cadre d’une étude : près de la moitié de ceux qui étaient retournés au travail n’allaient pas bien. Le retour au travail ne marque pas la résolution des problèmes de santé. Donc, prenez votre temps !
2- Ayez un entourage positif
« Je faisais déjà attention à mes limites, mais il a fallu que je m’écoute encore plus, dit Mélanie, 34 ans, qui a vécu un burn-out il y a cinq ans. Je m’entoure de gens positifs, qui me tirent vers le haut, pas des gens qui m’utilisent comme bouée. J’ai fait un peu de yoga aussi. Ça me faisait vraiment du bien, mais je ne suis pas très disciplinée sur le plan de l’exercice physique. » Josiane, elle, raconte avoir remis les amis dans sa liste de priorités. « La famille et les amis, c’est la clôture qui permet de marcher sur le bord de la falaise sans tomber dans le précipice. »
3- Faites du sport
« Je ne voulais pas que la médication fasse la job toute seule, explique Philippe, 46 ans. Alors, j’ai fait ce que j’ai dit que je ne ferais jamais : je me suis mis au jogging. Et j’ai fait une chose que j’ai toujours voulu essayer : la méditation. » Il se rappelle encore sa première course, alors qu’il était en plein épisode dépressif : 5 h 30 du matin, l’été, il grillait des cigarettes dehors. « Je me suis mis à courir sans m’arrêter, dit-il. Depuis ce jour-là, je cours régulièrement. Quand j’arrête pendant 10 jours, je le sens. Le jogging et la méditation ont été mon salut. »
4- Prenez soin de vous
« Ç’a été un méga apprentissage, dit Geneviève, qui travaille comme éducatrice dans un CPE. Dès que je sens que je n’ai plus le contrôle sur une situation, l’anxiété se met en place. Je trouve des stratégies pour la détourner. Je me parle, je vais me faire masser. Une fois de temps en temps, je prends un jour de congé. Je prends du temps pour moi. On demeure fragile, mais on apprend à mieux gérer cette fragilité. »
5- Reconstruisez votre vie
Réévaluer son rapport au travail signifie parfois changer de boulot.
« Je me suis rendu compte que je n’aimais pas ça, dit Josiane, à propos de son travail dans le domaine de la publicité. Pour être bien, j’avais besoin de contribuer à la société, de faire quelque chose qui a un impact sur la société. » Elle est pour le moment une maman à la maison « jamais à la maison ». Elle s’implique bénévolement dans la structure parentale de la Commission scolaire de sa ville.
Philippe a aussi modifié sa trajectoire professionnelle : il a réactivé son brevet d’enseignement et fait de la suppléance au secondaire et au primaire. « C’est hyper valorisant », dit-il.
29 mars 2023
Le syndrome de l’imposteur, c’est quoi?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under anxiété, confiance en soi, conseils, estime de soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), hypnose, hypnothérapie, jugement, liberté, mal-être, réflexion, solitude, souffrance, soutien psychologique | Étiquettes: conflit, doute, https://leapoujol-hypnose-therapie.fr/, incompétence, Lea Poujol psy hypnothérapeute, perfection, remise en question |Laissez un commentaire
Léa Poujol - Hypnose & Thérapie
Le syndrome de l’imposteur est un sentiment auto-entretenu d’incompétence et de doute en sa personne, en ses compétences et en ses capacité. Cette tendance psychologique de doute et de remise en question permanente persiste malgré les succès.
Ce sentiment de ne pas être à sa place, de ne pas mériter sa place, résulte d’un conflit entre la perception que l’on se fait des autres et la façon dont on se perçoit soi-même.
La personne sujette au « syndrome de l’imposteur » vit dans la crainte d’être « démasquée », que les autres personnes s’aperçoivent qu’elle n’est si compétente qu’ils le croyaient.
Les conséquences peuvent être différentes chez les personnes concernées:
- elles peuvent se réfugier dans un travail acharné et, à vouloir atteindre la perfection, elles s’épuisent à la tâche pour se prouver qu’elles méritent leurs succès (risque de burnout). Ces constants efforts de surpassement de soi renforcent le sentiment d’incompétence de départ…
Voir l’article original 175 mots de plus
20 mars 2023
Voici pourquoi vous devez changer de travail : 8 indices à tenir compte, sinon…
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under épuisement professionnel, burnout, burn out, burn-out, coaching, conseils, croyance, dépression, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), inquiétude, lassitude, liberté, mal-être, MonPsy, peur, psychiatre, mutuelle, remboursement, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, réflexion, reconversion professionnelle, séance à distance, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, travail | Étiquettes: aigreur, épanouissement, ennui, excuses, frustration, frustrations, hiérarchie, Intuition, jalousie, pyramide de Maslow, résignation, somatisation |Laissez un commentaire
Et s’il était temps pour vous de quitter votre poste, voire même de changer de voie ?
« Ce n’est pas le bon moment
Je ne trouverai jamais mieux
C’est la crise
Mon job n’est pas si mal que ça », etc.
Les excuses pour ne pas quitter votre job, qui ne vous plaît plus, ne manquent pas, j’en suis convaincu.
Pour beaucoup, l’aspiration au changement restera un doux fantasme.
Si vous ressentez des frustrations, si vos besoins ne sont plus comblés, prenez le temps de la réflexion. Cela ne sera jamais du temps perdu.
Attention ! Le changement n’a pas besoin d’être radical pour que vous vous sentiez mieux. Il peut s’agir de changer d’entreprise ou de secteur, de développer une deuxième activité, etc.
Voici les 7 signaux qui doivent vous faire réfléchir.
Le 8ème, c’est le vôtre.
1/ Vous êtes de moins en moins motivé
La baisse d’enthousiasme est un vrai signal.
Au quotidien, cela peut se traduire par de l’ennui, un manque d’envie et d’énergie. Passer son temps à regarder sa montre, surfer sur Internet comme on errerait dans la rue, rallonger ses pauses, mettre une heure à boucler un dossier qui ne demandait que quinze minutes…
Le bore-out peut vite être source de souffrances et devenir aussi mauvais pour la santé que le burn-out.
2/ Vous n’êtes pas satisfait de vos relations de travail
Votre job peut vous passionner, mais si vous n’êtes pas ou plus en phase avec vos collègues et/ou vos supérieurs, il se peut que cela vous mine considérablement.
Pour reprendre la pyramide de Maslow, le besoin d’appartenance révèle la dimension sociale de l’individu. On a tous besoin de se sentir accepté par les groupes dans lesquels on évolue, notamment au travail. On se définit aussi par rapport à ces relations. Ainsi, quand vous ne vous reconnaissez plus dans la culture véhiculée par votre entreprise, par les valeurs de votre hiérarchie ou que vous ne vous ressentez plus reconnu par le groupe, il est temps d’aller voir ailleurs !
Une entreprise plus familiale ? Un grand groupe ? Une start-up ? Il y a 1001 manières d’exercer le même poste, à vous de voguer vers une ambiance qui vous conviendra davantage.
3/ Les maux du corps
Boule au ventre, sommeil altéré, palpitations sur le trajet… Lorsque votre corps commence à envoyer des signaux d’alerte, aussi légers soient-ils, il est opportun de prendre du recul. De commencer à faire le point, afin d’identifier s’il s’agit d’un malaise passager ou d’une crise plus profonde nécessitant un changement de job, voire de voie.
Si dès le dimanche soir ou lundi matin, vous ressentez un début de stress, ce n’est pas bon signe. La limite intervient lorsque le corps « parle », et appelle au changement. A partir du moment où vous commencez à somatiser, quand vous en avez plein le dos, quand vous ne « digérez » plus ce que vous faites… jusqu’au burnout, il est plus que temps de bifurquer vers un autre chemin, plus en accord avec vos valeurs.
4/ Vous vous dites que votre travail manque de sens
Vous pouvez avoir une situation professionnelle très confortable, enviée par beaucoup, mais qui au final, ne remplit pas votre besoin de vous accomplir.
Sortez d’une condition purement matérielle pour atteindre votre épanouissement.
C’est ainsi que Marie Treppoz, directrice marketing dans un groupe du Cac 40 a quitté son poste pour donner plus de sens à son travail. Afin de se sentir davantage utile, elle a fondé Welp, un site d’entraide gratuit entre particuliers.
5/ Les gens bien dans leur job vous énervent
Pierre gravit les échelons dans son entreprise, Annabelle vante la bonne entente avec ses collègues, Stéphane et Inès sont ravis de leurs nouvelles missions… Et vous, leur bonheur vous pèse !
L’aigreur, voire la jalousie, envers les proches heureux au travail sont des signaux fréquemment rencontrés chez les insatisfaits au travail. Ils témoignent d’une frustration ou d’un mal-être par un effet miroir.
6/ Vous attendez les jours off avec une attente démesurée
Combien de jours vous reste-t-il à « tenir » avant vos prochains congés ?
Si vous vous posez régulièrement cette question, ce n’est peut-être pas anodin… Une cliente que j’accompagne me disait en ces termes : « J’attends les week-ends et les vacances pour avoir vraiment l’impression de vivre ». S’il est évident que presque tout le monde attend les jours de repos avec impatience, les attendre de façon démesurée en ayant l’impression de mettre sa vie entre parenthèse les jours de travail, témoigne d’un véritable problème.
7/Une petite voix vous dit…
Si au fond de vous, vous avez cette petite voix intérieure qui vous envoie des pensées, des désirs de changement, ne la mettez surtout pas de côté. Ce n’est rien d’autre que votre intuition et elle ne se trompe rarement. Ecoutez-la et autorisez-vous à faire un premier pas vers le changement.
Même si vous êtes bon dans votre travail actuel et qu’il vous paraît « confortable », gardez en tête que vous excellerez dans ce que vous aimez faire. Ne vous résignez jamais. Il est possible de changer de boulot et même de voie à tout âge.
Autorisez-vous à devenir pleinement vous-même, vous avez le droit de vous éclater dans votre travail !
Le travail peut et doit être un moment d’épanouissement : lorsque vous êtes pleinement aligné avec ce que vous faites, vous êtes heureux d’aller travailler.
26 janvier 2023
Recalé à votre master de licence de psychologie ? Que faire ?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, bien-être, coaching, confiance en soi, conseils, espoir, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), inquiétude, liberté, peur, stress | Étiquettes: CDD, formation d'infirmière, IFSI, licence en psycho, Parcours sup |Laissez un commentaire
Plutôt que des CDD d’aides soignants, si vous n’avez pas obtenu de master à l’issue de votre licence en psycho, vous pouvez préparer et présenter le concours d’entrée à l’IFSI (ou maintenant y candidater par Parcours sup) : votre profil y est recherché et apprécié.
Et vous aurez un métier avec des possibilités d’exercice variés.
Idem le diplôme en STAPS, qu’on retrouve aussi en IFSI (formation d’infirmier).
Des solutions existent ; bonne chance !
19 janvier 2023
Parcoursup et anxiété : vous n’êtes pas seul !
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, épuisement professionnel, burnout, burn out, burn-out, coaching, confiance en soi, conseils, dépression, espoir, estime de soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), hypnose, hypnothérapie, inquiétude, lassitude, mal-être, malaise, MonPsy, peur, psychologue, remboursement, mutuelle, réflexion, reconversion professionnelle, séance à distance, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, témoignage | Étiquettes: angoisse scolaire, anxieuse, élève de terminale, bilans de compétences, coach en orientation, compétition, conseiller d’orientation, hyperanxiogène, optimisation de ses atouts, orientation, peur du déclassement, plate-forme d’admission postbac, procédure Parcoursup, se réaliser soi, solution personnalisée |Laissez un commentaire
Coachs, et avocats spécialisés dans l’orientation, luttent contre le stress généré autour de la plate-forme d’admission postbac, dont la première phase d’inscription a commencé ce 18 janvier.
Sur le papier, rien ne l’y poussait tellement.
Mère d’une élève de terminale dans un lycée réputé de la région parisienne, avec d’excellentes notes dans toutes les matières, Elise le reconnaît volontiers : « Objectivement, nous n’avions aucune raison de nous inquiéter pour notre fille. » Pourtant, saisie d’une vive anxiété à l’approche des choix pour le postbac, cette cadre du secteur médico-social a décidé de payer les services d’une coach en orientation pour son enfant. « Un contexte hyperanxiogène entoure la procédure Parcoursup : on ne sait rien des algorithmes, j’avais peur qu’elle se retrouve sans aucun choix qui lui plaise vraiment », justifie-t-elle.
La mère de famille a entendu parler du coaching par quelqu’un de son entourage. « C’était une solution personnalisée et, dans la masse anonyme des élèves, c’était rassurant, souligne-t-elle. Concrètement, la coach a surtout fait un travail de liste de formations que j’aurais pu faire seule. Que ma fille puisse confronter ses idées m’a déstressée. »
Dans le lycée de sa fille, il y a bien des psychologues d’orientation ou des professeurs impliqués, mais elle craignait que cela ne suffise pas. « La compétition entre les élèves nous pousse à avoir recours au privé pour nous différencier, c’est regrettable », déplore-t-elle..
Dans ce processus d’orientation, il faut avant tout “se réaliser soi”. Le coaching scolaire en fait partie, Pour cela, il reprend beaucoup aux codes du coach en entreprise, avec une forme semblable à celle des bilans de compétences qui s’appuient sur un registre de la rhétorique de soi, de la confiance personnelle mais aussi de l’optimisation de ses atouts.
Isabelle, journaliste secrétaire de rédaction de 52 ans dans une commune moyenne des Landes, avait pour souci d’éviter que sa fille lycéenne « ne se trompe trop dès maintenant ». « En première, elle était sèche niveau idées. Cela me rendait très anxieuse, je me disais qu’il fallait anticiper, explique cette mère. Dans son lycée, la personne chargée de l’orientation devait s’occuper de trois établissements : ce n’était pas possible. »
Ce nouveau marché privé doit en partie son essor à la précarité des moyens publics : on ne compte en France, en moyenne, qu’un conseiller d’orientation pour 1 500 élèves dans le secondaire. « Cela assoit une sorte d’orientation à deux vitesses, inégalitaire socialement. Ce n’est pas anodin d’avoir l’opportunité de passer du temps à parler avec un adulte qui ne soit ni un parent ni un enseignant, dans une posture réflexive. Et tout le monde n’y a pas accès », constate Anne-Claudine Oller.
Mais avoir recours à ces différents services est aussi – et peut-être avant tout – un outil de réassurance pour les parents des classes moyennes et supérieures ciblées.
Selon les deux chercheuses, comme pour le coaching, les parents qui déposent des recours sont issus de milieux plutôt privilégiés et ce phénomène concerne plutôt des élèves ayant de bons résultats.
Mais tout ce marché de l’anxiété concerne aussi les classes moyennes : désignées initialement comme les gagnantes de la massification scolaire et de la méritocratie, elles sont rappelées à l’ordre par Parcoursup. Avec cette procédure jugée opaque et la médiatisation des injustices qui en résultent, il y a une peur du déclassement et donc la recherche d’acteurs externes pour y remédier.
Ces recours sont le signe d’un nouveau rapport à l’institution scolaire, plus facilement contestée, mais aussi de l’anxiété liée à l’incertitude de l’admission postbac. Cette velléité s’accompagne d’ailleurs régulièrement de suivis psychologiques, ou de la prise de médicaments contre le stress : la santé avant tout contre l’angoisse scolaire.
Le moment de l’accès au supérieur s’est peu à peu construit comme une étape cruciale de bifurcation sociale, un “one shot”, avec une seule chance.
Le stress est une réaction presque attendue, le signe qu’on est bien investi comme candidat : alors payer pour un service destiné à s’apaiser ou prendre des anxiolytiques paraît normal. La pression est forte dans les familles, qui se transforment en mini-entreprises de la constitution du dossier Parcoursup. C’est aussi un moment où les parents se retournent sur leur propre parcours.
Je vois arriver, dans mon cabinet, beaucoup d’états anxieux et dépressifs liés à cette conjonction de problématiques, avec prise de traitements.
7 janvier 2023
Comment éviter un baby blues (et une dépression post-partum) avec ces 2 entretiens de prévention obligatoires
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, bien-être, burnout, burn out, burn-out, coaching, confiance en soi, conseils, dépression, espoir, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), inquiétude, lassitude, mal-être, peur, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, solitude, souffrance, stress, téléconsultation, téléséance | Étiquettes: accouchement, état dépressif ou anxieux, événement stressant, déprime, entretien postnatal, fatigue, humeur instable, isolement, mal-être, maternité, sage-femme |Laissez un commentaire
L’arrivée d’un bébé est un grand changement dans la vie des parents.
Parfois les émotions négatives prennent le dessus : fatigue, mal-être, déprime…
Le baby blues concerne 50 à 80 % des femmes qui accouchent, et 10 à 20 % des mères sont touchées par une dépression post-partum dans les semaines qui suivent l’accouchement. En cas de difficultés, il ne faut pas hésiter à en parler avec une professionnelle de santé (comme celle que je vous recommande en fin de mon article).
Depuis le 1er juillet, pour mieux accompagner les jeunes mères dans les semaines qui suivent la naissance, un entretien postnatal précoce leur est proposé systématiquement. Il peut être réalisé par une sage-femme ou un médecin entre la 4ème et 8ème semaine après l’accouchement.
L’objectif de cet entretien est :
- de repérer les premiers signes de la dépression du post-partum (état dépressif ou anxieux, fatigue, humeur instable…)
- d’identifier d’éventuels facteurs de risques qui exposent les parents à cette dépression (isolement, événement stressant…)
- d’évaluer les éventuels besoins de la femme ou du couple en termes d’accompagnement.
Le professionnel de santé peut proposer un 2e entretien entre la 10e et la 14e semaine qui suivent l’accouchement, afin de continuer l’accompagnement s’il le juge nécessaire ou à la demande du ou des parents.
Cet entretien est pris en charge aux taux habituels (70 % par l’assurance maladie obligatoire).
En plus de l’entretien postnatal obligatoire décrit avant, une consultation postnatale est prévue dans les 6 à 8 semaines qui suivent l’accouchement. Cette consultation permet d’aborder divers thèmes : contraception, alimentation, troubles urinaires…. Elle est obligatoire et peut être réalisée par un médecin ou par une sage-femme. Cette consultation est aussi prise en charge à 100 % par l’Assurance Maladie.
D’autres rendez-vous médicaux peuvent également être proposés selon l’état de santé de la jeune mère et de ses souhaits mais ils ne sont pas obligatoires :
- un suivi à domicile par une sage-femme lors de la sortie de la maternité jusqu’au 12e jour de l’enfant par une sage-femme : ces séances sont prises en charge par l’Assurance Maladie à 100 %
- 2 séances de suivi postnatal avec une sage-femme. Ces séances peuvent être réalisées, en cas de besoin, du 8e jour jusqu’à la 14e semaine après l’accouchement, au cabinet ou à domicile. Elles sont prises en charge par l’Assurance Maladie à 100 % jusqu’au 12e jour après la naissance et à 70 % au-delà
- des séances de rééducation périnéale et abdominale, qui peuvent être prescrites après l’accouchement. Ces séances sont prises en charge à 100 % par l’Assurance Maladie.
14 décembre 2022
Quoi choisir, entre deux solutions ?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under anxiété, bien-être, bonheur, coaching, confiance en soi, conseils, couple, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), réflexion, sagesse, solitude | Étiquettes: altruisme, compassion, culpabilité, générosité |Laissez un commentaire
3 novembre 2022
« Lisez ce que vous aimez, jusqu’à ce que vous aimez lire »
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under bien-être, coaching, confiance en soi, conseils, espoir, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), liberté, livres, réflexion, soutien psychologique, témoignage | Étiquettes: attention, concentration, connaissance, lecture, mémorisation, mieux écrire, savoir, stimulation, stimulation cognitive, tranquillité, vocabulaire |Laissez un commentaire
30 octobre 2022
5 conseils pour que vous viviez mieux le passage à l’heure d’hiver
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under bien-être, conseils, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), liberté, MonPsy, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, psychothérapie cognitive et comportementale (TCC), réflexion, sagesse, soutien psychologique, téléconsultation, téléséance, témoignage | Étiquettes: épuisement professionnel, exposition au soleil, fatigue, luminosité, luminothérapie, psychiatre, Psychiatre-addictologue, psychologue, rythme circadien, rythme de vie, sieste, tonus, troubles psychologiques, vitamine C, vitamine D |Laissez un commentaire
5 astuces pour mieux vivre l’heure d’hiver !
Suivre au plus près la course du soleil : adaptez votre rythme de vie en fonction de la luminosité ! Et ainsi, vous respecterez votre rythme circadien.
1/ A l’heure d’hiver, se coucher plus tôt pour se lever plus tôt permet de profiter un maximum de la luminosité matinale.
2/ Profitez des bienfaits de la luminothérapie : s’il ne vous est pas possible de modifier vos horaires de lever et de coucher, pour éviter les petites chutes dépressives lorsque le soleil se fait plus rare, il faut s’éclairer au maximum. La luminothérapie est une très bonne option pour ceux qui ressentent particulièrement un manque d’énergie à l’entrée de l’hiver. Pour profiter au maximum des bienfaits de la luminothérapie, il faut que celle-ci soit pratiquée le matin afin d’avoir un effet coup de boost très appréciable.
3/ Privilégiez la vitamine C : certains, pour mieux affronter le passage à l’heure d’hiver sont tentés d’opter pour une cure de vitamines et notamment de vitamine C réputée pour soulager la fatigue et augmenter le tonus. En cas de coup de mou, il est possible de prendre ponctuellement un petit supplément en vitamine C.
4/ Augmentez vos apports en vitamine D : plutôt que de se supplémenter en vitamine C, augmenter vos apports en vitamine D dont la synthèse est déclenchée par l’exposition au soleil. Il est vrai qu’en hiver certaines carences peuvent apparaître. Or la vitamine D est essentielle pour le bon fonctionnement de notre organisme et la protection de notre santé sur un plan global.
Une façon naturelle et simple de s’assurer un bon apport en vitamine D est de manger plus souvent du poisson gras (saumon, hareng…).
5/ Profitez des bienfaits de la sieste : En cas de coup de pompe ponctuel, ne résistez pas à l’appel des micro-siestes et de leurs nombreux bienfaits !
28 octobre 2022
La caféine est-elle votre amie, à vous aussi ?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under anxiété, bien-être, conseils, liberté, réflexion, témoignage | Étiquettes: café, fatigue, kawa |Laissez un commentaire
12 octobre 2022
Comment survivre à une attaque nucléaire
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, épuisement professionnel, burnout, burn out, burn-out, conseils, espoir, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), inquiétude, mort, peur, réflexion, souffrance, stress | Étiquettes: activation neutronique, alerte nucléaire, apocalypse, bombe nucléaire, missiles, radiations, radiosensibilité, rayonnement, simulateur Nukemap, souffle de l'explosion, syndrome d'irradiation, zone létale |Laissez un commentaire
Vous pensiez passer une journée tranquille…
Soudain : les sirènes retentissent.
La télévision s’arrête, flash spécial.
C’est confirmé, des missiles nucléaires se dirigent sur Paris (et toutes les grandes villes de France).
Vous n’avez que quelques minutes pour vous préparer, et… et vous allez faire BEAUCOUP D’ERREURS !
Ca on le sait car le 13 Janvier 2018 à Hawaii, par erreur, une alerte nucléaire a été déclenché…, les gens ont fait N’IMPORTE QUOI !
Je vous explique donc, tout ce qu’il ne faut pas faire … pour survivre à une attaque nucléaire.
En cas d’alerte nucléaire, le gouvernement français recommande de :
- Se mettre rapidement à l’abri dans un bâtiment en dur
- Se tenir informé via les médias et les réseaux sociaux
- Ne pas aller chercher les enfants à l’école
- Limiter ses communications téléphoniques
- Prendre des comprimés d’iode stable sur instruction du préfet et selon la posologie
- Se préparer à une éventuelle évacuation
11 octobre 2022
Guérison de votre burn out : ne brûlez pas les étapes
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, épuisement professionnel, bien-être, burnout, burn out, burn-out, coaching, confiance en soi, conseils, espoir, estime de soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), inquiétude, jugement, lassitude, liberté, mal-être, MonPsy, peur, psychologue, remboursement, mutuelle, réflexion, reconversion professionnelle, séance à distance, solitude, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, témoignage, travail | Étiquettes: épuisement professionnel, bilan de compétences, CPF, formation, psychiatre, Psychiatre-addictologue, psychologue, rebondir, reconstruction, troubles psychologiques |Laissez un commentaire
5 octobre 2022
Voici comment apprendre à dire « Non. »
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under anxiété, bien-être, coaching, confiance en soi, conseils, harcèlement, inquiétude, jugement, liberté, MonPsy, peur, psychologue, remboursement, mutuelle, réflexion, reconversion professionnelle, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, témoignage, travail | Étiquettes: affirmation de soi, épuisement professionnel, courage, Derek Sivers, excuses, priorités, projets et engagements, psychiatre, Psychiatre-addictologue, psychologue, seuil de refus, troubles psychologiques |Laissez un commentaire
Établir des priorités signifie généralement dire « non » à certains projets et engagements.
Ces projets et engagements ne doivent pas nécessairement être liés au travail.
Au cours des deux dernières semaines, je me suis retrouvé à lutter pour dire « non » à quelques opportunités professionnelles, ainsi qu’à quelques opportunités personnelles, comme des rencontres avec des amis et la planification d’un prochain voyage.
En principe, dire « non » semble facile.
En pratique, c’est généralement beaucoup plus difficile – et c’est une chose pour laquelle j’essaie de m’améliorer.
Je suis convaincu qu’il existe un moyen de dire « non » sans avoir l’impression d’être un salaud ou de passer pour tel.
Et je suis également convaincu que c’est une compétence qui vaut la peine d’être maîtrisée.
Voici ma méthode du « Ouah, super ! » ou du « Non. »
Je tiens cette méthode de l’entrepreneur et musicien Derek Sivers. Voici une version courte du message de Derek (il a également écrit un livre sur le sujet).
Son conseil est le suivant : lorsque vous vous demandez si vous devez vous lancer dans un nouveau projet ou prendre un nouvel engagement, il vous suffit de vérifier si vous ressentez quelque chose comme un « Ouah, super ! ». Si vous ressentez autre chose qu’un « Ouah, super ! », alors c’est un « NON. »
Il n’y a pas d’intermédiaire entre le « HEUREUX » et le « NON. »
Donc si vous ne ressentez pas un fort oui, n’essayez pas de vous trouver des excuses pour accepter le projet.
Avec ce filtre, je constate que 95% de mes décisions de projet ou d’engagement sont prises par défaut.
Appelons ces 95 % mon « seuil de refus ».
Cela signifie que si quelqu’un me présente 100 nouveaux projets et engagements en un an, 95 de ces opportunités ne vont pas me faire crier « Ouah, super ! ». Elles me font généralement ressentir quelque chose comme « hmm, ça pourrait être une bonne idée et ça pourrait être amusant, mais je ne suis pas trop sûr ».
Dans ces cas-là, j’essaie de m’empêcher de trouver des excuses pour entreprendre le projet (comme me convaincre que « peut-être que le projet pourrait aller quelque part si j’y consacre un peu de temps… »). Au lieu de cela, je fais de mon mieux pour dire non aussi poliment que possible.
Ce que Derek veut dire, c’est que si vous êtes tiède à propos de quelque chose, faites-en un « NON ».
Le « seuil de refus » est susceptible de changer avec le temps. Lorsque vous débutez, il est logique qu’il y ait plus d’opportunités qui ressemblent à un « Ouah, super ! ». Au fur et à mesure que les choses se développent, il est probable que le nombre d’opportunités qui ressemblent à un « Ouah, super ! » diminue.
Il y a plusieurs raisons à cela : votre jugement sur le potentiel d’un projet s’améliore avec le temps, vos engagements personnels et professionnels augmentent, ce qui rend le seuil d’un « bon projet » plus élevé, etc.
2 octobre 2022
Phobie scolaire : quelles solutions ?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, épuisement professionnel, burnout, burn out, burn-out, confiance en soi, conseils, dépression, espoir, estime de soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), harcèlement, inquiétude, mal-être, malaise, MonPsy, peur, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, réflexion, séance à distance, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, témoignage, technique/protocole, travail | Étiquettes: absentéisme, anorexie mentale, épuisement professionnel, études, cours par correspondance, crises d'angoisse, déscolariser, deuil, empathie, examens, médecin scolaire, moqueries, perfectionniste, psychiatre, Psychiatre-addictologue, psychologue, réintégration scolaire, spasmophilie, troubles psychologiques |Laissez un commentaire
Face au refus catégorique de leur enfant d’aller en classe, les parents se voient parfois dans l’obligation de le déscolariser, et d’accepter, même temporairement, la solution des cours par correspondance.
Une situation dangereuse.
Plus l’absentéisme se prolonge, moins bon est la suite, et que le seul moyen de combattre les peurs de votre enfant / adolescent est qu’il s’y confronte.
Dès qu’un parent repère chez son enfant des difficultés à aller à l’école, que celui-ci affirme qu’il n’aime pas ça et essaye de la fuir, il faut entamer un échange avec lui et tenter de comprendre pourquoi.
Il faut aussi aller en parler avec l’équipe pédagogique, le médecin scolaire, et surtout, ne jamais négliger la possibilité que l’on puisse avoir besoin de se faire aider. Puis s’adresser à son médecin traitant, qui saura nous diriger, en cas de besoin, vers un centre médico-psycho-pédagogique (CMPP) ou un psychopraticien / hypnothérapeute.
Les familles qui me consultent viennent généralement en dernier recours, alors que leur enfant n’a pas mis les pieds au collège ou au lycée depuis plusieurs mois, parfois plusieurs années. Je travaille sur leur anxiété d’un côté, avec un partenariat avec leur médecin traitant, et sur leur réintégration scolaire de l’autre.
Fort heureusement, tous les enfants malades de l’école ne nécessitent pas une prise en charge lourde.
Chez les plus jeunes (en maternelle et primaire) et lorsque l’on réagit vite, il suffit parfois d’un peu de fermeté et de conviction de la part des parents pour résoudre le problème.
Mais quelle que soit l’ampleur de la peur, et l’âge de celui qui en souffre, l’empathie, l’écoute et le soutien sont la meilleure attitude que les parents puissent adopter.
Le témoignage très intéressant d’Ophélie, 20 ans :
« Ma phobie scolaire s’est d’abord déclenchée en primaire, puis véritablement au collège, après un deuil dans ma famille. C’est à ma rentrée en seconde que j’ai véritablement compris qu’il allait m’être impossible de poursuivre ma scolarité normalement.
J’avais des crises d’angoisse, de spasmophilie, des maux de tête et de ventre. Il m’est même arrivé de m’évanouir. Je suis aussi tombée dans l’anorexie mentale à cause de ma peur de l’école, pensant que lorsque je serais trop affaiblie, on ne me forcerait plus à y aller.
La raison de ma peur ? Je pense qu’il y en a plusieurs.
J’ai toujours été de nature timide et perfectionniste. Je me mettais la pression pour avoir les meilleures notes possibles alors que j’apprenais et étudiais facilement. D’un point de vue relationnel, j’ai toujours eu du mal à m’entendre avec les gens de mon âge, je me sentais à l’écart. Les moqueries de mes camarades du collège n’y ont rien arrangé. Le décès dans ma famille a été, je pense, la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. J’ai eu l’impression de grandir d’un seul coup, et de ne plus savoir à qui parler…
À partir de la seconde, j’ai décidé de suivre des cours par correspondance. Ça n’a vraiment pas été facile. J’étais dégoûtée des études. J’avais peur des examens, du Bac surtout. Alors, après la seconde, j’ai arrêté mes cours pour me consacrer à l’écriture.
Aujourd’hui, je pense pouvoir dire que « je m’en suis sortie » : j’ai publié deux romans et un recueil de poésies. Je continue à écrire et j’espère vraiment réussir sur cette voie. Néanmoins, je ne suis pas sûre que je pourrais un jour reprendre le chemin de l’école. »
Souhaitez-vous plus d’informations ?
- Phobie scolaire, de Marie-France Le Heuzey
- Peur du loup, peur de tout, de Béatrice Copper-Royer
- Moi j’aime pas trop l’école, de Gilles-Marie Valet et Anne Lanchon
30 septembre 2022
Qu’est-ce qu’il y a derrière votre burnout ?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, épuisement professionnel, burnout, burn out, burn-out, coaching, conseils, dépression, estime de soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), harcèlement, inquiétude, jugement, lassitude, mal-être, malaise, MonPsy, peur, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, séance à distance, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, travail | Étiquettes: énervement, épuisement professionnel, épuisement professionnel, conflit de valeurs, culpabilité, cynisme, démotivation, déshumanisation, désintérêt, fatigue, frustration, insomnie, inutilité, manque reconnaissance, psychiatre, Psychiatre-addictologue, psychologue, surchage, surmenage, troubles psychologiques |Laissez un commentaire
26 septembre 2022
6 conseils aux patrons pour éviter les prochaines démissions
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1/ Soyez à l’écoute des salariés, créez les conditions (baromètres, sondages, groupes de travail) pour que les gens puissent s’exprimer de façon authentique.
2/ Questionnez la raison d’être de votre entreprise. Quel est votre rôle dans la société ?
3/ Revoyez l’organisation et l’efficacité des modes de travail. Recrutez différemment, instaurez des temps de travail différents, le télétravail de manière pérenne…
4/ Faites de la santé psychologique un levier de management pour développer une culture de sécurité psychologique.
5/ Favorisez la progression de carrière. La revalorisation salariale, c’est le minimum syndical. Innovez !
6/ Instaurez une vraie politique de Qualité de Vie au Travail.
24 septembre 2022
11 nouvelles façons de réduire très vite votre stress
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under anxiété, bien-être, burnout, burn out, burn-out, confiance en soi, conseils, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), mal-être, MonPsy, psychologue, remboursement, mutuelle, soutien psychologique, stress, technique/protocole | Étiquettes: anorexie, épuisement, épuisement professionnel, carrière, céphalées, cervicalgies, concentration, culpabilité, débrancher, fatigue, hostilité, isolement, lombalgies, méditer, mémoire, motivation, psychiatre, Psychiatre-addictologue, psychologue, ralentir, relaxation, repli sur soi, ressentiment, tensions, trouble dépressif, troubles gastro-intestinaux, troubles psychologiques, vertiges |Laissez un commentaire
10 septembre 2022
6 précieux conseils pour éviter un burnout
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under addiction-dépendance, angoisse, anxiété, coaching, confiance en soi, conseils, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), inquiétude, mal-être, malaise, MonPsy, peur, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, psychothérapie cognitive et comportementale (TCC), réflexion, reconversion professionnelle, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, technique/protocole | Étiquettes: arrêt maladie, épuisement professionnel, dire non, fatigue, fixer des limites, pression, psychiatre, psychologue, représentants du personneltroubles psychologiques |Laissez un commentaire
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