malaise
14 mai 2023
Comment profiter de mes derniers conseils psy de bien-être
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under addiction-dépendance, alimentation, angoisse, anxiété, épuisement professionnel, bien-être, bonheur, burnout, burn out, burn-out, coaching, confiance en soi, conseils, couple, dépression, estime de soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), guérison, harcèlement, hypnose, hypnothérapie, inquiétude, jugement, leadership, liberté, mal-être, malaise, MonPsy, mort, peur, psychiatre, mutuelle, remboursement, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, psychothérapie cognitive et comportementale (TCC), réflexion, reconversion professionnelle, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, témoignage, technique/protocole | Étiquettes: épuisement professionnel, culpabilité, fatigue, Skype, téléconsultation |Laissez un commentaire
10 mai 2023
4 conseils précis pour diminuer vraiment votre burnout
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, épuisement professionnel, burnout, burn out, burn-out, coaching, confiance en soi, dépression, estime de soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), harcèlement, inquiétude, jugement, lassitude, mal-être, malaise, MonPsy, peur, psychiatre, mutuelle, remboursement, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, séance à distance, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, travail | Étiquettes: épuisement professionnel, équilibre vie, culpabilité, déconnecter, déconnexion, dire non, exigence, horaires raisonnables, limites, magnésium, médecin traitant, meilleure gestion du stress, pauses, perfection, prendre du recul, pression, prise de recul, relaxation |Laissez un commentaire
Vous vous sentez stressé au travail ?
Voici quelques mesures à prendre pour lutter contre l’épuisement professionnel :
1 / Fixez des limites plus raisonnables.
Moins élevées.
Encore moins élevées !
- Démarrez et terminez le travail à des horaires raisonnables
- Faites régulièrement des pauses pendant la journée. Marchez 10 minutes à votre pause repas
- Chaque jour, accordez-vous un temps de déconnexion de votre téléphone, votre ordinateur, vos e-mails et vos réseaux sociaux
- Prenez des vacances, et coupez-vous du travail le soir et le week-end
- Apprenez à refuser quelque chose (dites non) lorsque vous ressentez trop de pression dans votre environnement de travail
- Déléguez vos tâches pour une meilleure gestion du stress.
2 / Préservez votre équilibre vie professionnelle et vie privée
Lorsque vous êtes stressé, vous pouvez facilement oublier de passer du temps avec vos amis et votre famille ou de faire des choses que vous aimez. Nous ne sommes pas en mesure de gérer le stress sur une période prolongée. Mais il ne faut surtout pas abandonner les autres activités et vos relations sociales. Préservez l’équilibre entre votre vie professionnelle et votre vie privée afin de pouvoir vous déconnecter lorsque c’est nécessaire.
Ce sont des moments indispensables pour recharger ses batteries.
3 / Prenez du recul sur une situation stressante
Il est fort probable que votre niveau d’exigence vis-à-vis de vous-même soit élevé. Mais posez-vous les questions suivantes afin de prendre du recul sur une situation qui vous inquiète :
- est-ce que tout doit être parfait ?
- Quelle est la pire chose qui arriverait si vous ne vous mettiez pas, vous-même, autant de pression ?
Les conséquences ne sont peut-être pas aussi catastrophiques que vous l’imaginez. Pour réaliser cette prise de recul, une aide de la part d’un psy/coach peut être utile.
4 / Évitez les aliments transformés, les glucides, et la caféine (après 14h)
- Préservez votre santé en mangeant beaucoup moins de glucides (sucres rapides et lents), et plus de protéines
- Consommez des aliments frais et sains
- Consommez suffisamment de magnésium, c’est essentiel à la production d’énergie et le bon fonctionnement de vos mitochondries
CADEAU :
5 / Apprenez à gérer votre stress
Une charge de travail excessive peut facilement donner lieu à une situation de stress et donc favoriser le risque d’épuisement professionnel. Afin de prendre soin de sa santé mentale au travail, il est donc important de maîtriser quelques techniques de relaxation et de gestion du stress au travail.
Les exercices de respiration sont un excellent moyen de diminuer le stress au quotidien, de lutter contre les troubles anxieux et donc d’éviter l’épuisement.
N’ayez pas honte d’avoir besoin d’aide
______
Si ces symptômes vous semblent familiers et que vous craignez le burn out, parlez-en à votre médecin traitant.
Personne n’est à l’abri de présenter un jour ou l’autre un burn out. Vous pouvez faire beaucoup de choses par vous-même mais il est souvent difficile de s’en sortir seul.
Et la prise en charge psy est indispensable pour rétablir un équilibre personnel et professionnel durable.
24 avril 2023
Qu’est-ce que le burn out ? Pourquoi vous ?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, épuisement professionnel, burnout, burn out, burn-out, dépression, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), harcèlement, hypnose, hypnothérapie, mal-être, malaise, MonPsy, peur, psychiatre, mutuelle, remboursement, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, psychothérapie, séance à distance, souffrance, stress, téléconsultation, téléséance, travail | Étiquettes: adrénaline, épuisement professionnel, cortisol, fatigue, insécurité, surcharge, tensions |Laissez un commentaire
Nous avons tous des périodes où nous nous sentons stressés.
Mais lorsque cet état se prolonge, cela peut conduire au burn out.
Il est important de repérer les premiers signes de ce syndrome d’épuisement professionnel afin d’en limiter les conséquences.
Un certain niveau de stress peut avoir un effet bénéfique sur votre productivité au travail. Des projets peuvent vous aider à repousser vos limites. En période de fatigue ou d’émotion intense, l’organisme libère des hormones du stress, notamment le cortisol et l’adrénaline. À court terme, cela peut momentanément booster vos performances.
Mais un excès de stress sur des périodes prolongées a l’effet opposé et peut entraîner une pathologie connue sous le nom de burn out. Sans repos ni récupération suffisante, le burn out traduit un épuisement à la fois mental, physique et émotionnel.
Qu’est-ce que le burn out ?
La notion de burn out a été définie pour la première fois dans les années 1970 pour décrire l’épuisement au travail des professionnels de santé et de soin. Elle s’est ensuite appliquée à l’ensemble des syndromes d’épuisement professionnel, quelque soit la profession.
D’après l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), un adulte sur quatre fera un burn out au cours de sa vie. L’OMS a récemment inclus le burn out dans sa Classification internationale des maladies, le décrivant comme “un phénomène lié au travail”.
Dans les faits, le burn out se traduit par
- une diminution de l’engagement au travail, avec un détachement notoire de tout ce qui touche à la profession
- Cela a pour conséquence une inadéquation entre le travailleur et son poste, pouvant aboutir à l’incapacité totale d’effectuer son travail ainsi qu’à une dépression.
Les personnes atteintes ne perdent pas pour autant le goût de réaliser des activités dans la sphère privée. C’est d’ailleurs là que se situe la différence avec la dépression.
Quelles sont les causes du burn out ?
Son origine vient le plus souvent du monde du travail, même s’il existe des situations personnelles pouvant le provoquer, notamment chez les parents.
Il est le plus souvent lié à la vie professionnelle et découle d’une sensation de mal-être au bureau.
Les causes à l’origine de cette sensation sont multiples, il peut s’agir :
- d’une surcharge de travail
- de tensions entre collègues
- de disparités au sein de l’entreprise
- d’objectifs inatteignables ou confus
- de l’insécurité de l’emploi.
D’une ou plusieurs de ces causes.
Cet environnement de travail stressant peut avoir pour conséquence un épuisement professionnel.
Devant une charge de travail trop importante, l’employé est épuisé et connaît alors un surmenage. La personne entre alors dans un état d’épuisement aussi bien sur le plan physique que sur le plan émotionnel et mental (pouvant parfois mener à un épisode dépressif).
21 avril 2023
Quelle est la cause de votre burn out ?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, épuisement professionnel, burnout, burn out, burn-out, dépression, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), harcèlement, inquiétude, lassitude, mal-être, malaise, MonPsy, peur, psychiatre, mutuelle, remboursement, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, séance à distance, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, travail | Étiquettes: épisode dépressif, épuisement professionnel, insécurité, surcharge de travail, surmenage, tensions |Laissez un commentaire
Son origine vient le plus souvent du monde du travail, même s’il existe des situations personnelles pouvant le provoquer, notamment chez les parents.
Il est le plus souvent lié à la vie professionnelle et découle d’une sensation de mal-être au bureau.
Les causes à l’origine de cette sensation sont multiples, il peut s’agir :
- d’une surcharge de travail
- de tensions entre collègues
- de disparités au sein de l’entreprise
- d’objectifs inatteignables ou confus
- de l’insécurité de l’emploi.
Cet environnement de travail stressant peut avoir pour conséquence un épuisement professionnel.
Devant une charge de travail trop importante, l’employé est épuisé et connaît alors un surmenage.
La personne entre alors dans un état d’épuisement aussi bien sur le plan physique que sur le plan émotionnel et mental pouvant parfois mener à un épisode dépressif.
2 avril 2023
Ce que vous devez savoir sur votre burn-out
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, épuisement professionnel, burnout, burn out, burn-out, coaching, dépression, estime de soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), hypnose, hypnothérapie, inquiétude, mal-être, malaise, MonPsy, peur, psychiatre, mutuelle, remboursement, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, psychothérapie cognitive et comportementale (TCC), réflexion, séance à distance, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, témoignage, travail | Étiquettes: anxieux, échec, épuisement, équilibre, courage, dépressifs, détérioration, faiblesse, imperfections, limites, méditation, organisation du travail, perfectionniste, remise en question, rendement boursier, se sentir aimer, valorisation de la compétition entre collègues, valorisation extérieure, yoga |Laissez un commentaire
Une maladie du travail…
Les signes et symptômes vont varier selon les personnes : il y en a qui auront des symptômes plutôt dépressifs et d’autres, plutôt anxieux.
Voici des traits de personnalité partagés par des gens qui ont traversé cette épreuve : courage, perfectionniste, habitués de se débrouiller toutes seuls. Ce sont des personnes résistantes à l’effort, qui cherchent la valorisation extérieure, se sentir aimer, reconnues, etc.
Elles partagent peu, et se retrouvent à tout assumer.
« Il a fallu que j’accepte que j’étais imparfaite, admet Marie-Ève Lamontagne. Il a fallu que j’accepte de l’aide et ça, ç’a été très dur. Pour moi, c’était un échec. Un signe de faiblesse. »
Josiane est consciente d’avoir souvent dépassé ses limites. Après deux burn-out, elle n’avait d’ailleurs pas appris à appuyer sur le frein. Même malade – ses médecins craignaient un cancer – et mère de deux jeunes enfants, elle a continué à faire la « superwoman » et travaillait « comme si de rien n’était ».
Elle a craqué de nouveau !
C’est sûr que, pour certaines personnes, le problème est de ne pas connaître ses limites.
Mais des limites, il n’y en a pas non plus dans ce qui est demandé. Faire porter le blâme de l’épuisement professionnel aux travailleurs, sans réfléchir à l’organisation du travail, à la course au rendement boursier et à la valorisation de la compétition entre collègues ne tient pas la route.
Apprendre à dire non?
Apprendre à dire non, faire du yoga et de la méditation pour apprendre à gérer ses difficultés, c’est bien. Mais ça ne tient pas longtemps dans un contexte de travail. Dire non, on le fait pendant un, deux ou trois mois. Après, on reprend le rythme.
Des recherches incitent d’ailleurs à conclure que le climat existant dans bien des milieux de travail ne favorise pas le retour au boulot. Lorsqu’on revient dans les mêmes conditions – et bien souvent dans des conditions qui se sont détériorées durant l’absence -, le processus d’intégration et de maintien en emploi est extrêmement risqué.
Si on ne cherche pas à savoir ce qui, dans le travail, a participé à la détérioration de l’état de santé d’une personne, on la remet à risque.
L’arrêt de travail n’est pas suffisant en soi. Un burn-out est aussi un moment de remise en question profonde pour un individu, qui doit réévaluer son rapport au travail, son désir de reconnaissance, retrouver l’équilibre entre ses besoins personnels et professionnels, des réflexions pour lesquelles une psychothérapie s’avère un outil majeur, selon lui.
Apprendre à accepter de l’aide est tout aussi capital.
On ne peut pas se sortir seul d’un burn-out.
On a besoin de l’appui des autres.
L’épuisement professionnel
est une maladie du stress,
une maladie d’adaptation à des contraintes extérieure
1 avril 2023
Burnout : ces témoignages vous feront du bien
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, épuisement professionnel, burnout, burn out, burn-out, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), inquiétude, mal-être, malaise, MonPsy, peur, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, souffrance, stress, téléconsultation, téléséance, témoignage | Étiquettes: antidépresseurs, arrêt de travail, épuisement, concentration, déni, dépression, mémoire, récidive, rechute |Laissez un commentaire
Parce que vous n’êtes pas seul !
D’autres personnes sont passées par les sensations que vous.
Beaucoup de gens doivent être mis en arrêt de travail pour se refaire une santé mental minée par la fatigue psychique, physique et émotionnelle.
Et beaucoup de gens risquent de rechuter après un premier épisode d’épuisement professionnel s’ils sont dans le déni.
Beaucoup de gens se « brûlent » au travail.
Vous, peut-être ?
L’image semble encore très nette dans la tête de Geneviève. « La première fois que j’ai craqué, j’étais dans le métro, raconte-t-elle. Je me suis mise à pleurer comme une madeleine. Tout le monde me regardait comme si j’étais une freak… » Geneviève, la trentaine, n’était pas une salariée pressée comme un citron par un employeur trop exigeant à l’époque : elle était étudiante et travaillait pour s’éviter des dettes d’études.
Josiane est tombée pour des raisons semblables : à 18 ans, elle étudiait à temps plein, travaillait à temps plein et sortait « comme une fille de 18 ans ». Elle a tout plaqué du jour au lendemain. « Je me suis posée et je me suis reprise en main », dit-elle, en ajoutant que, à cet âge, on peut se remettre vite.
Pour un temps.
Comme Geneviève, Josiane n’a pas seulement vécu un épisode d’épuisement professionnel, mais trois. Une chute brutale et deux rechutes tout aussi brutales. Josiane est allée chercher de l’aide – une psychothérapie, elle a refusé les antidépresseurs – après son deuxième épisode. Geneviève, elle, a fait des psychothérapies et a pris des médicaments, mais n’a pu mettre un mot sur ce qu’elle traversait qu’après son troisième burn-out.
Chute et rechutes
Ce risque de récidive est fréquent. Je parle de « fragilité acquise ». Je m’appuie sur mon expérience de psy pour dire que, à défaut d’opérer des changements dans leur vie professionnelle et personnelle, les rescapés de l’épuisement risquent de voir la roue s’emballer de nouveau. Et rapidement.
Les gens risquent de récidiver dans un délai de deux ans. Ceux qui récidivent courent encore plus le risque d’une autre récidive. Plus le temps passe, plus les récidives risquent d’être rapprochées.
« Je dis souvent que j’ai passé 10 ans en dépression », résume Marie-Ève Lamontagne, 37 ans. Elle a craqué pour la première fois en 2007. Puis, deux fois en 2011. Et aussi en 2013. Chaque fois, elle a arrêté de travailler pendant deux ou trois mois. La dernière fois, elle a décidé de ne plus être salariée et de se consacrer à des projets d’affaires personnels. Le jour de son entretien avec un client potentiel, elle se demandait toutefois si elle n’était pas en train de glisser dans un nouvel épisode d’épuisement.
« J’étais hyper performante au travail. Je suis capable de comprendre vite, d’apprendre vite. C’était hyper valorisant. Alors j’en donnais, j’en donnais et, à un moment donné, j’en ai trop donné », raconte-t-elle, à propos de ses emplois dans le domaine de la télévision. Elle juge aujourd’hui que sa mémoire, sa concentration et sa capacité de gestion ne sont jamais revenues au niveau d’avant son premier burn-out.
Ce sont les graves et répétitifs inconvénients, quand l’on ne suit pas une psychothérapie adaptée, et que l’on se repose sur des traitements médicamenteux seulement.
18 mars 2023
Vous reconnaissez-vous dans ces symptômes du burnout ?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under addiction-dépendance, angoisse, anxiété, épuisement professionnel, burnout, burn out, burn-out, coaching, confiance en soi, estime de soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), hypnose, hypnothérapie, inquiétude, jugement, lassitude, mal-être, malaise, MonPsy, peur, psychiatre, mutuelle, remboursement, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, psychothérapie cognitive et comportementale (TCC), séance à distance, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, travail | Étiquettes: absentéisme, agressivité, autodépréciation, échec professionnel, colère, déconcentration, démotivation, dépersonnalisation, désespoir, déshumanisation, désintérêt, distraction, douleurs musculaires et articulaires, erreurs, fatigue, frustration, indifférence, irritabilité, manque d’initiative, maux de tête, migraines, nervosité, oublis, pensées suicidaires, perte ou gain de poids, pessimisme, repli sur soi, retards, retrait, sentiment d’échec, tristesse, troubles de la mémoire |Laissez un commentaire
Les symptômes physiques
- fatigue persistante
- douleurs musculaires et articulaires
- maux de tête, migraines
- troubles du sommeil
- infections plus fréquentes (rhume, grippe…)
- problèmes de peau
- déséquilibres hormonaux
- perte ou gain de poids
- troubles digestifs (dont ulcère d’estomac)
- troubles cardiovasculaires (hypertension, palpitations)
Les symptômes psychologiques
- irritabilité, nervosité, colère, frustration
- anxiété, inquiétude
- tristesse, désespoir, pensées suicidaires
- démotivation, indifférence, désintérêt
- pessimisme, sentiment d’échec
- baisse de l’estime et de la confiance en soi
Troubles cognitifs :
- distraction, déconcentration, erreurs
- troubles de la mémoire, oublis
Troubles du comportement :
- addictions (alcool, tabac, café, somnifères, anxiolytiques…)
- retrait, repli sur soi, agressivité
- manque d’initiative, retards, absentéisme
- L’épuisement émotionnel : les symptômes physiques et psychologiques apparaissent, la personne victime de burn-out se sent vidée, tout lui paraît insurmontable, toutes les tâches deviennent des corvées… elle n’a plus de projets, et est incapable de se projeter dans l’avenir
- La dépersonnalisation ou déshumanisation : la personne se désinvestit de la relation à l’autre, perd son empathie à l’égard d’autrui, en particulier à l’égard des collègues et des clients ou patients, devient agressive, froide, cynique
- L’autodépréciation et la diminution de l’accomplissement personnel : un sentiment d’échec professionnel et personnel s’installe, le travail n’a plus de sens, la victime de burn-out se sent coupable, doute de sa valeur, perd sa confiance en soi, son estime de soi.
16 mars 2023
Risquez-vous un burnout, bientôt ?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under anxiété, épuisement professionnel, burnout, burn out, burn-out, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), harcèlement, inquiétude, jugement, mal-être, malaise, MonPsy, psychiatre, mutuelle, remboursement, psychologue, remboursement, mutuelle, séance à distance, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, travail | Étiquettes: épuisement professionnel, démotivation, désespoir, fatigue intense, saturation, tristesse |Laissez un commentaire

Le terme anglais burnout vient du verbe « to burn out » qui signifie au sens propre griller ou se consumer.
Au sens figuré, ce terme signifie s’épuiser, s’user, s’éteindre. En effet, la personne atteinte de burn-out se sent vidée, démotivée. la moindre tâche lui paraît insurmontable et ne voit pas d’issue à sa situation.
Donc, la cause du burnout : un stress chronique au travail.
15 mars 2023
Baby Blues ou dépression Post-Partum, quelles différences ?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under anxiété, couple, dépression, inquiétude, lassitude, mal-être, malaise, peur, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress | Étiquettes: accouchement, baby blues, culpabilité, dépression post-partum, déprime, fatigue, irritabilité, manque de sommeil, naissance, psy Lea Poujol Lauragais, vulnérabilité |Laissez un commentaire
Voici le début d’un intéressant article de la psy Lea Poujol, dont j’ai assuré la formation :
Le baby blues et la dépression post-partum sont deux états psychologiques, qui surviennent après l’accouchement.
A / Le baby blues est aussi appelé syndrome du troisième jour car il apparait dans les premiers jours qui suivent l’accouchement, généralement le troisième jour après la naissance de l’enfant.
C’est un état transitoire qui dure quelques jours (de quelques heures à 15 jours environ).
Cet état de déprime passager s’explique par des causes physiologiques : la chute d’hormones de grossesse, une augmentation du stress et un manque de sommeil.
- Les émotions font des haut et des bas, on passe du rire aux larmes sans savoir pourquoi
- Les symptômes se manifestes par de l’irritabilité, de l’anxiété, de la vulnérabilité et des sautes d’humeur
- Le baby blues touche un large nombre de femme : 60 à 80% des mères y sont confrontées
- Dans la plupart des cas, les symptômes s’estompent d’eux-mêmes sans intervention extérieures.
B / La dépression post-partum, aussi appelée dépression post-natale, peut survenir à n’importe quel moment pendant la première année suivant l’accouchement.
Beaucoup plus grave que la baby blues, elle peut s’étaler dans la durée et nécessite de l’aide et des soins.
La dépression post-partum n’est pas due a des causes physiologique, mais bien à des causes psychologique engendrée par une
(cliquez ici pour lire la suite)
19 janvier 2023
Parcoursup et anxiété : vous n’êtes pas seul !
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, épuisement professionnel, burnout, burn out, burn-out, coaching, confiance en soi, conseils, dépression, espoir, estime de soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), hypnose, hypnothérapie, inquiétude, lassitude, mal-être, malaise, MonPsy, peur, psychologue, remboursement, mutuelle, réflexion, reconversion professionnelle, séance à distance, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, témoignage | Étiquettes: angoisse scolaire, anxieuse, élève de terminale, bilans de compétences, coach en orientation, compétition, conseiller d’orientation, hyperanxiogène, optimisation de ses atouts, orientation, peur du déclassement, plate-forme d’admission postbac, procédure Parcoursup, se réaliser soi, solution personnalisée |Laissez un commentaire
Coachs, et avocats spécialisés dans l’orientation, luttent contre le stress généré autour de la plate-forme d’admission postbac, dont la première phase d’inscription a commencé ce 18 janvier.
Sur le papier, rien ne l’y poussait tellement.
Mère d’une élève de terminale dans un lycée réputé de la région parisienne, avec d’excellentes notes dans toutes les matières, Elise le reconnaît volontiers : « Objectivement, nous n’avions aucune raison de nous inquiéter pour notre fille. » Pourtant, saisie d’une vive anxiété à l’approche des choix pour le postbac, cette cadre du secteur médico-social a décidé de payer les services d’une coach en orientation pour son enfant. « Un contexte hyperanxiogène entoure la procédure Parcoursup : on ne sait rien des algorithmes, j’avais peur qu’elle se retrouve sans aucun choix qui lui plaise vraiment », justifie-t-elle.
La mère de famille a entendu parler du coaching par quelqu’un de son entourage. « C’était une solution personnalisée et, dans la masse anonyme des élèves, c’était rassurant, souligne-t-elle. Concrètement, la coach a surtout fait un travail de liste de formations que j’aurais pu faire seule. Que ma fille puisse confronter ses idées m’a déstressée. »
Dans le lycée de sa fille, il y a bien des psychologues d’orientation ou des professeurs impliqués, mais elle craignait que cela ne suffise pas. « La compétition entre les élèves nous pousse à avoir recours au privé pour nous différencier, c’est regrettable », déplore-t-elle..
Dans ce processus d’orientation, il faut avant tout “se réaliser soi”. Le coaching scolaire en fait partie, Pour cela, il reprend beaucoup aux codes du coach en entreprise, avec une forme semblable à celle des bilans de compétences qui s’appuient sur un registre de la rhétorique de soi, de la confiance personnelle mais aussi de l’optimisation de ses atouts.
Isabelle, journaliste secrétaire de rédaction de 52 ans dans une commune moyenne des Landes, avait pour souci d’éviter que sa fille lycéenne « ne se trompe trop dès maintenant ». « En première, elle était sèche niveau idées. Cela me rendait très anxieuse, je me disais qu’il fallait anticiper, explique cette mère. Dans son lycée, la personne chargée de l’orientation devait s’occuper de trois établissements : ce n’était pas possible. »
Ce nouveau marché privé doit en partie son essor à la précarité des moyens publics : on ne compte en France, en moyenne, qu’un conseiller d’orientation pour 1 500 élèves dans le secondaire. « Cela assoit une sorte d’orientation à deux vitesses, inégalitaire socialement. Ce n’est pas anodin d’avoir l’opportunité de passer du temps à parler avec un adulte qui ne soit ni un parent ni un enseignant, dans une posture réflexive. Et tout le monde n’y a pas accès », constate Anne-Claudine Oller.
Mais avoir recours à ces différents services est aussi – et peut-être avant tout – un outil de réassurance pour les parents des classes moyennes et supérieures ciblées.
Selon les deux chercheuses, comme pour le coaching, les parents qui déposent des recours sont issus de milieux plutôt privilégiés et ce phénomène concerne plutôt des élèves ayant de bons résultats.
Mais tout ce marché de l’anxiété concerne aussi les classes moyennes : désignées initialement comme les gagnantes de la massification scolaire et de la méritocratie, elles sont rappelées à l’ordre par Parcoursup. Avec cette procédure jugée opaque et la médiatisation des injustices qui en résultent, il y a une peur du déclassement et donc la recherche d’acteurs externes pour y remédier.
Ces recours sont le signe d’un nouveau rapport à l’institution scolaire, plus facilement contestée, mais aussi de l’anxiété liée à l’incertitude de l’admission postbac. Cette velléité s’accompagne d’ailleurs régulièrement de suivis psychologiques, ou de la prise de médicaments contre le stress : la santé avant tout contre l’angoisse scolaire.
Le moment de l’accès au supérieur s’est peu à peu construit comme une étape cruciale de bifurcation sociale, un “one shot”, avec une seule chance.
Le stress est une réaction presque attendue, le signe qu’on est bien investi comme candidat : alors payer pour un service destiné à s’apaiser ou prendre des anxiolytiques paraît normal. La pression est forte dans les familles, qui se transforment en mini-entreprises de la constitution du dossier Parcoursup. C’est aussi un moment où les parents se retournent sur leur propre parcours.
Je vois arriver, dans mon cabinet, beaucoup d’états anxieux et dépressifs liés à cette conjonction de problématiques, avec prise de traitements.
16 décembre 2022
Dépression saisonnière : quelles conséquences sur votre moral ?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, épuisement professionnel, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), inquiétude, lassitude, mal-être, malaise, MonPsy, psychiatre, mutuelle, remboursement, psychologue, remboursement, mutuelle, séance à distance, solitude, stress, téléconsultation, téléséance | Étiquettes: baisse d'énergie, baisse de luminosité, fatigue, fin de l’automne, hiver, manque de vitalité, température |Laissez un commentaire
La fin de l’automne et le début de l’hiver peuvent avoir des répercussions sur votre santé mentale.
Je me suis intéressé à la fatigue engendrée par l’arrivée de cette saison pour mes clients.
L’automne est arrivé avec son lot de changements. La température est plus fraîche et le ciel vire régulièrement au gris. Et la transition n’est pas facile ! Certaines personnes le vivent mal et évoquent des conséquences sur leur santé mentale.
L’arrivée de l’automne est synonyme de baisse d’énergie. Vous aussi ?
La fin de l’automne n’arrive jamais seule. Elle est très souvent accompagnée d’une petite baisse de moral bien visible. Un sondage mené par YouGov pour le HuffPost recense cet état d’esprit. 41 % des personnes interrogées confient être particulièrement fatiguées pendant cette saison, 22 % avouent même ressentir une certaine déprime saisonnière.
Le froid qui s’installe progressivement et les journées qui raccourcissent ont aussi des conséquences sur l’énergie. Plus de 60 % des interrogés jugent l’automne et le début de l’hiver comme étant directement responsable de leur manque de vitalité. La baisse de luminosité naturelle pourrait probablement en être une des raisons.
Pour pallier cette carence, 30% des interrogées comptent adapter leur alimentation, 26% prendre des vitamines et compléments alimentaires, et 44% consultent un psy pour se sentir mieux.
Et ils ont bien raison.
Le changement de saison est propice à votre fatigue. Le corps réagit à chaque changement saisonnier. Ses mécanismes sont multiples et il n’est pas rare que le système immunitaire ait du mal à s’adapter à la luminosité et aux nouvelles températures.
À cet épuisement physique s’ajoute une fatigue psychologique, appelée dépression saisonnière. Ce trouble est un problème de société assez courant dans les pays nordiques dans lesquels la luminosité est très faible. Les femmes seraient davantage touchées que les hommes.
Heureusement, de nombreuses solutions existent pour réduire les effets du changement de saison sur le moral.
Alors, quand prendrez-vous rendez-vous pour vous sentir mieux ?
29 octobre 2022
Changer d’heure : un contre-sens chronobiologique
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, épuisement professionnel, étude scientifique, bien-être, dépression, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), inquiétude, lassitude, mal-être, malaise, MonPsy, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, réflexion | Étiquettes: changement d’heure, décalage d’horaire, déprime saisonnière, ensoleillement, heure d’été, heure d’hiver, rythme biologique, soleil, somnolence |Laissez un commentaire
Quels sont les impacts du changement d’heure sur votre organisme ?
C’est un rituel depuis 1976 en France.
Au printemps, nous passons à l’heure d’été, l’horloge est avancée d’une heure.
En automne, nous passons à l’heure d’hiver, l’horloge est alors retardée d’une heure.
Mais quels sont les impacts de ce décalage d’horaire sur votre organisme, votre énergie et votre sommeil ?
Changer d’heure : un contre-sens chronobiologique pour l’heure d’été
Il faudrait supprimer le changement d’heure pour ne garder que l’heure d’hiver.
L’idée est d’avoir un rythme biologique qui suit l’heure solaire. A l’heure d’été, nous avons deux heures de décalage par rapport au soleil. C’est plus sympathique pour avoir des soirées ensoleillées le plus longtemps possible, mais pour la santé et l’énergie, l’heure d’hiver est bien plus indiquée.
Mais cette histoire de changement d’heure n’est en réalité qu’un détail de la non-concordance entre nos rythmes de vie et notre rythme biologique.
Idéalement, c’est toute notre organisation sociale qui serait à revoir si nous souhaitions respecter notre rythme biologique. En effet, depuis l’aube de l’humanité nous sommes conditionnés pour travailler plus l’été, afin d’effectuer les moissons, les vendanges, faire des stocks de vivres pour l’hiver, période à laquelle nous nous reposions.
Aujourd’hui, nous faisons totalement l’inverse avec un pic d’activité lors des mois d’hiver et un long repos estival.
Heure d’été, heure d’hiver : un impact mesuré sur la santé
Quid de notre santé, notamment en termes de temps de sommeil, sur la question du changement d’heure ?
Au niveau de l’heure d’hiver, il n’y a pas de réduction du temps de sommeil donc il n’y a pas beaucoup de conséquences sur notre santé. En revanche à l’heure d’été, nous perdons une heure de temps de repos ce qui est assez important et peut provoquer des baisses d’énergie dans la journée, des tendances à la somnolence…
Mais ce manque de sommeil est rattrapé plus ou moins facilement sur la durée selon les individus.
En réalité, si nous vivons parfois difficilement le passage à l’heure d’hiver, c’est surtout à cause du manque d’ensoleillement qui peut provoquer une déprime saisonnière.
Le passage à l’heure d’hiver coïncide avec une diminution de l’ensoleillement. Ainsi, il faut se coucher plus tôt pour se lever plus tôt et profiter au maximum du soleil. Pour les personnes qui auraient de longues amplitudes de travail – qui commencent le matin alors que le soleil n’est pas levé et terminent à la nuit tombée – il faut s’obliger à sortir un maximum sur le temps de midi pour profiter des rayons du soleil.
19 octobre 2022
« Et vous, ça va au travail ? »
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, épuisement professionnel, burnout, burn out, burn-out, dépression, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), harcèlement, inquiétude, lassitude, mal-être, malaise, MonPsy, peur, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, reconversion professionnelle, séance à distance, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, travail | Étiquettes: absentéisme, arrêts maladie, épuisement professionnel, motif psychologique, psychiatre, Psychiatre-addictologue, psychologue, troubles musculo-squelettiques, troubles psychologiques |Laissez un commentaire
Et vous, ça va ? C’est l’un des constats les plus marquants de la dernière étude Malakoff Humanis sur l’absentéisme au travail : la santé mentale des salariés se dégrade très nettement. Alors qu’ils ne concernaient « que » 11% des absences en 2016, les « troubles psychologiques » représentent aujourd’hui 20% des arrêts maladie en France soit la 2e cause d’absentéisme (et même la 1ère pour les arrêts longs) derrière les « maladies ordinaires ». Mais pour la 1ère fois devant les « troubles musculo-squelettiques ». |
|
7 octobre 2022
Personne ne veut manger de la fausse viande (photo d’un rayonnage de supermarché anglais)
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under alimentation, lassitude, malaise, peur, témoignage | Étiquettes: aliments industriels, Beyond Meat, Bill Gates, cancers, diabète, Hypertension, lobbies, maladies chroniques, malbouffe, obésité, risques sanitaires, ultratransformé, viande végan |Laissez un commentaire
2 octobre 2022
Phobie scolaire : quelles solutions ?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, épuisement professionnel, burnout, burn out, burn-out, confiance en soi, conseils, dépression, espoir, estime de soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), harcèlement, inquiétude, mal-être, malaise, MonPsy, peur, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, réflexion, séance à distance, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, témoignage, technique/protocole, travail | Étiquettes: absentéisme, anorexie mentale, épuisement professionnel, études, cours par correspondance, crises d'angoisse, déscolariser, deuil, empathie, examens, médecin scolaire, moqueries, perfectionniste, psychiatre, Psychiatre-addictologue, psychologue, réintégration scolaire, spasmophilie, troubles psychologiques |Laissez un commentaire
Face au refus catégorique de leur enfant d’aller en classe, les parents se voient parfois dans l’obligation de le déscolariser, et d’accepter, même temporairement, la solution des cours par correspondance.
Une situation dangereuse.
Plus l’absentéisme se prolonge, moins bon est la suite, et que le seul moyen de combattre les peurs de votre enfant / adolescent est qu’il s’y confronte.
Dès qu’un parent repère chez son enfant des difficultés à aller à l’école, que celui-ci affirme qu’il n’aime pas ça et essaye de la fuir, il faut entamer un échange avec lui et tenter de comprendre pourquoi.
Il faut aussi aller en parler avec l’équipe pédagogique, le médecin scolaire, et surtout, ne jamais négliger la possibilité que l’on puisse avoir besoin de se faire aider. Puis s’adresser à son médecin traitant, qui saura nous diriger, en cas de besoin, vers un centre médico-psycho-pédagogique (CMPP) ou un psychopraticien / hypnothérapeute.
Les familles qui me consultent viennent généralement en dernier recours, alors que leur enfant n’a pas mis les pieds au collège ou au lycée depuis plusieurs mois, parfois plusieurs années. Je travaille sur leur anxiété d’un côté, avec un partenariat avec leur médecin traitant, et sur leur réintégration scolaire de l’autre.
Fort heureusement, tous les enfants malades de l’école ne nécessitent pas une prise en charge lourde.
Chez les plus jeunes (en maternelle et primaire) et lorsque l’on réagit vite, il suffit parfois d’un peu de fermeté et de conviction de la part des parents pour résoudre le problème.
Mais quelle que soit l’ampleur de la peur, et l’âge de celui qui en souffre, l’empathie, l’écoute et le soutien sont la meilleure attitude que les parents puissent adopter.
Le témoignage très intéressant d’Ophélie, 20 ans :
« Ma phobie scolaire s’est d’abord déclenchée en primaire, puis véritablement au collège, après un deuil dans ma famille. C’est à ma rentrée en seconde que j’ai véritablement compris qu’il allait m’être impossible de poursuivre ma scolarité normalement.
J’avais des crises d’angoisse, de spasmophilie, des maux de tête et de ventre. Il m’est même arrivé de m’évanouir. Je suis aussi tombée dans l’anorexie mentale à cause de ma peur de l’école, pensant que lorsque je serais trop affaiblie, on ne me forcerait plus à y aller.
La raison de ma peur ? Je pense qu’il y en a plusieurs.
J’ai toujours été de nature timide et perfectionniste. Je me mettais la pression pour avoir les meilleures notes possibles alors que j’apprenais et étudiais facilement. D’un point de vue relationnel, j’ai toujours eu du mal à m’entendre avec les gens de mon âge, je me sentais à l’écart. Les moqueries de mes camarades du collège n’y ont rien arrangé. Le décès dans ma famille a été, je pense, la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. J’ai eu l’impression de grandir d’un seul coup, et de ne plus savoir à qui parler…
À partir de la seconde, j’ai décidé de suivre des cours par correspondance. Ça n’a vraiment pas été facile. J’étais dégoûtée des études. J’avais peur des examens, du Bac surtout. Alors, après la seconde, j’ai arrêté mes cours pour me consacrer à l’écriture.
Aujourd’hui, je pense pouvoir dire que « je m’en suis sortie » : j’ai publié deux romans et un recueil de poésies. Je continue à écrire et j’espère vraiment réussir sur cette voie. Néanmoins, je ne suis pas sûre que je pourrais un jour reprendre le chemin de l’école. »
Souhaitez-vous plus d’informations ?
- Phobie scolaire, de Marie-France Le Heuzey
- Peur du loup, peur de tout, de Béatrice Copper-Royer
- Moi j’aime pas trop l’école, de Gilles-Marie Valet et Anne Lanchon
1 octobre 2022
Ce que vous ignorez sur la dépression
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under anxiété, épuisement professionnel, burnout, burn out, burn-out, confiance en soi, dépression, estime de soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), harcèlement, inquiétude, jugement, lassitude, mal-être, malaise, MonPsy, mort, peur, psychologue, remboursement, mutuelle, séance à distance, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance | Étiquettes: abattement, accouchement, alcool, Alzheimer, anxiolytiques, appétit, épisode dépressif, épuisement professionnel, baby blues, culpabilité, déprime, détresse, dévalorisation, fatigabilité, hallucinations, hypnotiques, idées délirantes, inutilité, manquer d'énergie, parkinson, perte de confiance en soi et d'estime de soi, perte du désir, pessimmisme, pleurs, psychiatre, Psychiatre-addictologue, psychologue, repli sur soi, retentissement professionnel, sommeil, suicide, tristesse, troubles psychologiques |Laissez un commentaire
Il est important de détecter précocement un premier épisode dépressif car le traitement permet alors d’atténuer rapidement les symptômes.
Une dépression traitée tardivement peut entraîner des complications.
Quand évoquer un épisode dépressif ?
La dépression se caractérise par une association de symptômes, différente d’une personne à l’autre.
Dans tous les cas, ces symptômes, plus ou moins sévères, sont présents presque chaque jour, durent au moins deux semaines, sont source de détresse et ont un retentissement professionnel, social et familial. On parle alors d’épisode dépressif caractérisé et non de simple « déprime » ou réaction dépressive passagère.
Lors d’un état dépressif, la personne se plaint d’au moins deux symptômes parmi ceux-ci :
- une tristesse constante, une humeur dépressive qui dure presque toute la journée et qui se répète pratiquement tous les jours depuis au moins deux semaines. Elle peut s’accompagner de pleurs
- un abattement et une perte d’intérêt et de plaisir pour des activités du quotidien et aussi pour les activités habituellement agréables
- une réduction de l’énergie ou une fatigabilité anormale. La personne souffre d’une fatigue intense, souvent dès le matin et a l’impression de manquer d’énergie en permanence. Cette fatigue n’est pas améliorée par le repos ou le sommeil.
D’autres troubles (au moins deux) sont présents dans la dépression :
- une dévalorisation de soi, une perte de confiance en soi et d’estime de soi, un sentiment d’inutilité ;
- un sentiment d’inutilité et une culpabilité excessive et injustifiée
- une vision du futur et de la vie très négative avec des perspectives pessimistes
- des pensées autour de la mort en général, et parfois autour du suicide
- une diminution de la capacité de concentration, d’attention et de mémorisation
- une dégradation du sommeil. Il devient peu réparateur, souvent trop court avec des réveils précoces, le matin
- une perte de l’appétit qui peut entraîner un amaigrissement.
La dépression peut retentir sur l’organisme et être responsable de douleurs multiples, de perturbations sexuelles avec perte du désir et du plaisir sexuel, d’un ralentissement de l’activité ou au contraire d’une agitation.
La personne dépressive n’a pas toujours conscience de sa maladie. C’est l’entourage ou le médecin au cours d’une consultation qui évoquent le diagnostic d’épisode dépressif.
La dépression chez les personnes âgées
Chez les personnes âgées, la dépression comporte un risque suicidaire élevé. Il est donc important de reconnaître rapidement un épisode dépressif qui se traduit plutôt par :
- des plaintes physiques (fatigue, perte d’appétit, repli sur soi…)
- des troubles dits cognitifs (troubles de la mémoire ou de l’attention).
Un épisode dépressif peut survenir dans l’évolution d’une maladie d’Alzheimer ou d’une maladie de Parkinson ou, au contraire, en être le premier symptôme.
La dépression chez l’enfant et l’adolescent
La dépression existe aussi chez l’enfant et l’adolescent et elle s’exprime de manière spécifique.
Chez l’enfant, la dépression peut se manifester par des comportements de retrait, d’absence ou, au contraire, d’irritabilité, d’agitation, par des plaintes répétées qui concernent le corps (douleur à répétition…)
Chez l’adolescent, la dépression peut apparaître sous forme :
- de troubles de l’humeur avec tristesse, abattement, découragement, pleurs fréquents, angoisse envahissante. L’adolescent est grincheux, colérique, agressif, « sur les nerfs »… ou au contraire indifférent, sans motivation, sans entrain et en retrait de tout
- de troubles de la perception de soi. L’adolescent est envahi par des idées de dévalorisation, de culpabilité, par le sentiment de ne pas être aimé, par des désirs de mort. Les idées suicidaires font souvent partie des symptômes de la dépression de l’adolescent
- de symptômes physiques très souvent présents. L’adolescent présente des troubles du comportement alimentaire (anorexie ou boulimie), des insomnies, une somnolence anormale dans la journée, des maux de ventre, des malaises à répétition, une agitation avec impossibilité à rester assis, tortillement des mains…
- d’un désinvestissement scolaire, d’un arrêt des activités de loisir, d’un isolement
- de comportements nuisibles pour leur santé : abus d’alcool, de drogues, de médicaments (anxiolytiques, hypnotiques), usage immodéré d’internet, des réseaux sociaux, des jeux vidéos, prises de risque dans les comportements sexuels, fugues.
La dépression après un accouchement
Il est fréquent qu’après la naissance de son enfant, la maman présente des émotions vives marquées par un peu de tristesse et des pleurs incontrôlés : c’est le baby blues qui passe rapidement.
Cependant, certaines femmes présentent des troubles de l’humeur persistants et une dépression du post-partum s’installe. Une prise en charge rapide est nécessaire pour soigner la maman et lui permettre d’établir une relation de qualité avec son nourrisson.
Le diagnostic de la dépression
Il est difficile de juger par soi-même de son état psychologique. L’évaluation par un médecin est indispensable.
Le médecin peut utiliser des outils d’évaluation (questionnaires) pour poser le diagnostic d’épisode dépressif caractérisé. Il existe également un auto-questionnaire que la personne dépressive peut utiliser pour mieux formuler ses plaintes. Le médecin recherche l’existence d’une maladie associée et interroge la personne sur son passé et celui de sa famille. Si elle l’accepte, le médecin peut aussi s’entretenir avec certains de ses proches.
Il évalue la sévérité de l’épisode dépressif :
- est-il léger, modéré ou sévère ?
- quel est le retentissement sur la vie quotidienne, familiale et professionnelle ?
- existe-t-il un risque suicidaire ?
- y a t-il d’autres manifestations psychologiques associées : hallucinations, idées délirantes ?
Le diagnostic d’épisode dépressif caractérisé est posé :
- quand les signes durent plus de quinze jours ;
- quand, durant cette période, chaque jour ou presque, la personne se sent triste, sans espoir ou a perdu ses centres d’intérêt ;
- quand cet état de souffrance est associé à plusieurs autres symptômes de la dépression.
30 septembre 2022
13 signaux d’alerte pour éviter le burn out
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under anxiété, épuisement professionnel, burnout, burn out, burn-out, coaching, dépression, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), harcèlement, mal-être, malaise, peur, psychologue, remboursement, mutuelle, réflexion, séance à distance, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, travail | Étiquettes: anorexie, épuisement professionnel, épuisement professionnel, céphalées, cervicalgies, concentration, culpabilité, fatigue, hostilité, isolement, lombalgies, mémoire, motivation, psychiatre, Psychiatre-addictologue, psychologue, repli sur soi, ressentiment, tensions, trouble dépressif, troubles gastro-intestinaux, troubles psychologiques, vertiges |Laissez un commentaire
30 septembre 2022
Qu’est-ce qu’il y a derrière votre burnout ?
Posted by Frederic Duval-Levesque (psychopraticien, hypnothérapeute et coach depuis 1988) under angoisse, anxiété, épuisement professionnel, burnout, burn out, burn-out, coaching, conseils, dépression, estime de soi, F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse), harcèlement, inquiétude, jugement, lassitude, mal-être, malaise, MonPsy, peur, psychologue, remboursement, mutuelle, psychopraticien, hypnopraticien, hypnotiseur, séance à distance, solitude, souffrance, soutien psychologique, stress, téléconsultation, téléséance, travail | Étiquettes: énervement, épuisement professionnel, épuisement professionnel, conflit de valeurs, culpabilité, cynisme, démotivation, déshumanisation, désintérêt, fatigue, frustration, insomnie, inutilité, manque reconnaissance, psychiatre, Psychiatre-addictologue, psychologue, surchage, surmenage, troubles psychologiques |Laissez un commentaire
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.