Je vous donne ces 7 conseils, fruits de mon expérience à mon cabinet;

Oui, vous pouvez guérir de votre addiction.

Même si elle dure depuis des années. Même si vous en souffrez en silence.

Exemple de guérison ? Celle de l’actrice-chanteuse Demi Lovato.

Artiste adulée, elle a partagé son combat contre la boulimie. Inspirant ainsi des millions de personnes à briser le silence et à cheminer vers la guérison.

Son parcours, illustré par des photos avant / après saisissantes, avec un message d’espoir, montre que la victoire sur la boulimie alimentaire (TCA) est possible.

La psychothérapie s’avère un outil crucial pour vaincre l’addiction. En s’attaquant aux racines profondes du problème, elle offre une transformation durable et complète.

Une cliente guérie m’a dit, récemment, « j’ai fait la paix avec moi-même ».

Voici 7 clés pour vous en sortir :

1. Comprenez les mécanismes de votre addiction

Explorez les ressorts psychologiques qui vous poussent à manger compulsivement. Par exemple, identifiez les émotions difficiles que vous tentez de combler par la nourriture : solitude, ennui, peur, rejet, abandon, etc.

2. Développez une relation saine avec la nourriture

Apprenez à écouter les signaux de faim, et de satiété, de votre corps. Découvrez le plaisir de manger en pleine conscience, sans culpabilité, ni jugement.

3. Apprenez à gérer vos émotions difficiles

Connaissez des outils pour gérer votre stress, votre anxiété, votre tristesse, etc. de manière saine et constructive. Développez des stratégies alternatives à la boulimie (et/ou l’hyperphagie) pour une bonne santé durable.

4. Améliorez votre estime de soi

Renforcez votre confiance en soi et une juste et bonne image corporelle. Apprenez à vous aimer et à vous respecter, au-delà des diktats de la société. Sachez dire non !

5. Développez des relations saines

Entourez-vous d’un réseau de soutien positif et bienveillant. Découvrez comment communiquer ouvertement sur vos ressentis et vos besoins.

6. Apprenez à gérer les rechutes

Comprenez que les rechutes font partie du processus de guérison. Mettez en place des stratégies pour les prévenir. Et les gérer de manière constructive.

7. Fixez-vous des objectifs réalistes

Je vous aiderai aussi comment avoir des objectifs clairs et atteignables pour votre guérison. Vous célèbrerez chaque victoire, si petite soit-elle.

N’oubliez pas, vous n’êtes pas seul(e) !

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Version courte de mon article 😉

-> Ce trouble du comportement alimentaire est un défi complexe, et la guérison est possible. En vous engageant dans une psychothérapie sérieuse, avec un psy compétent, en vous appuyant sur un réseau de soutien solide, vous retrouverez une relation saine avec la nourriture, et vous vous sentirez plus heureux.

N’attendez plus, franchissez le pas vers la liberté et le bien-être !

Voici d’autres informations complémentaires :

  • Le documentaire « Simply Complicated » de Demi Lovato est disponible sur YouTube
  • Ligne d’écoute téléphonique nationale pour les troubles alimentaires : 0 800 05 05 01

N’hésitez pas à partager ce message avec toute personne concernée par l’addiction alimentaire.

Ensemble, brisons le silence de cette maladie, et ouvrons la voie vers la guérison !

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ».
Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

 

Rappel : la durée moyenne de l’arrêt maladie pour un burn-out est de 2 ans.

2 ans !

Si vous faites une psychothérapie, la durée moyenne de l’arrêt est divisé par 2 ou 3.

F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, tabac, phobie, souffrance, stress, burnout, PNL, téléséance, téléconsultation,avis, témoignage (2)

Alors si vous sentez ces 7 premiers signes (ci-dessous), consultez.

1- Épuisement

Un état de fatigue constant non soulagé par le repos peut se traduire rapidement par un épuisement mental et émotionnel. Si vous manquez d’énergie, vous vous sentirez plus facilement débordé et surchargé. En cas de surcharge de travail, il est difficile de se reposer et de récupérer des forces.

2 – Manque d’enthousiasme au travail

Le stress et la frustration peuvent entraîner une négativité et un état d’esprit cynique vis-à-vis du travail. Un cercle vicieux se crée. Vous manquez d’enthousiasme et prenez vos distances sur le plan émotionnel, puis vous vous levez chaque matin sans envie d’aller travailler. Le manque de reconnaissance dans votre travail peut vous rendre encore plus vulnérable au burn out du fait d’une dévalorisation.

3 – Performance réduite au travail

Vous avez du mal à vous concentrer, vous oubliez des choses et vous êtes moins efficace au travail. Vous trouvez difficile de mener à bien vos projets dans les délais imposés. Le burn out affecte la capacité des personnes à gérer leur stress. Ainsi, plus vous êtes stressé, plus il est difficile de gérer les nouveaux facteurs de stress.

4 – Inquiétude et anxiété

Vous ressentez de l’anxiété et de l’inquiétude, notamment en ce qui concerne vos performances au travail. Vos inquiétudes peuvent se calmer lorsque vous rentrez chez vous mais reviennent instantanément en pensant à votre travail. Le burnout est associé au développement de troubles de l’humeur, de symptômes dépressifs et d’anxiété.

5 – Troubles du sommeil

Le stress affecte votre sommeil. Vous souffrez peut-être d’insomnies ou de difficultés à vous endormir, de réveils nocturnes ou précoces sans pouvoir vous rendormir.

6 – Symptômes physiques

Le stress chronique peut provoquer des symptômes physiques tels que des maux de tête (dus à la tension) et des migraines, des maux de dos, des problèmes de peau et autres douleurs d’ordre général.

7 – Irritabilité et troubles de l’humeur

Tout vous agace et vous êtes très souvent de mauvaise humeur sans raisons évidentes. Vos relations amicales et amoureuses peuvent devenir conflictuelles. Pour résumer, si votre quotidien est affecté par un ou plusieurs de ces symptômes, nous vous conseillons de consulter rapidement votre médecin traitant. Si le stress au travail commence à affecter votre vie privée, prenez-le comme un avertissement.

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Le burn out survient dans un contexte de stress professionnel chronique.

Il résulte d’un processus lent de dégradation du rapport de l’individu à son travail. Cela peut prendre des semaines, des mois, voire des années pour se remettre d’un burn out. Il faut donc détecter les symptômes potentiels le plus tôt possible, avant qu’ils ne deviennent chroniques. D’installation insidieuse et progressive, les manifestations du burn out sont hétérogènes et plus ou moins importantes.

Cela rend son diagnostic parfois difficile et il peut être confondu avec d’autres troubles psychiques ou maladies. Il existe cependant des signes fréquents permettant de détecter le burn out.

Votre santé mentale vaut plus que tout le reste.

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

Vout type de problématique (ne relevant pas de la psychiatrie, ni remplaçant un traitement médical) peut être traité en psychothérapie :

  1. Acquérir des « ressources » qui vous font défaut : assurance, confiance en soi, sérénité, compréhension, acceptation etc…
  2. Vous libérer des croyances limitantes : « Je suis nul(le).. », « Je ne réussirai jamais », « Qu’est-ce qu’ils vont penser de moi ? », « Je ne mérite pas… » etc… etc…
  3. Apprenez à définir des objectifs et à vous motiver
  4. Ayez une image de vous positive : acceptez-vous tel que vous êtes, ou changer et s’aimer
  5. Libérez-vous de sentiments et d’émotions désagréables : mal-être, colère, culpabilité, ressentiment, anxiété, etc…
  6. Libérez-vous de votre mal-être, de tendance dépressive : retrouvez votre envie de vivre, l’énergie, la joie
  7. Libérez-vous d’un passé difficile : traumatismes, abus sexuels, violences physiques, phobies, etc…
  8. Apprenez à pardonner aux autres ou à vous-même : vous réconcilier et faire preuve de compassion pour vous et les autres
  9. Améliorez votre qualité de communication : mieux communiquer avec vos proches (conjoint, enfants…), établir des relations constructives et gérer les conflits
  10. Gérez un deuil ou une séparation, un problème de couple (actuels ou passés), repérer et changer vos comportements répétitifs
  11. Favorisez votre épanouissement et la guérison (en complémentarité à un traitement médical)
  12. Approfondissez votre « quête intérieure » et votre« mission de vie » : développement de votre potentiel pour réaliser votre « légende personnelle ».

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Voici un précieux  livre de guérison !

La fibromyalgie est une maladie classée par la médecine traditionnelle comme étant invalidante, neurodégénérative et évolutive, sans cause et sans traitement et sans possibilité de guérison.

Wikipédia l’a défini comme :

« …une maladie associant des douleurs musculaires et articulaires diffuses, une fatigue, des troubles du sommeil, des troubles cognitifs mineurs et des troubles de l’humeur d’intensité variable et d’évolution chronique. Le diagnostic est établi d’après l’examen clinique, habituellement normal en dehors d’une sensibilité à la pression des tissus mous, et d’analyses biologiques simples, l’ensemble permettant d’écarter d’autres diagnostics.

Cette maladie, fréquente, potentiellement invalidante, touche le plus souvent les femmes d’âge moyen. La cause est inconnue, et une anomalie de fonctionnement du système nerveux central est supposée. Il y aurait une sensibilisation excessive des récepteurs impliqués dans la perception de la douleur. Le traitement, uniquement symptomatique, repose habituellement sur l’association de médicaments et de mesures non médicamenteuses. »

La fibromyalgie est une maladie qui toucherait entre 2 et 3 millions de Français, et près de 14 millions de personnes en Europe. Il a fallu de nombreux rapports et enquêtes pour que cette maladie soit mieux cernée, reconnue et donc mieux encadrée par le milieu médical français.

Et pourtant, si l’on pouvait en guérir ?

Au sortir d’un combat de dix années, Évelyne Jouval, à travers son témoignage, prouve que c’est possible.

Cela au prix de recherches personnelles.

Incomprise par le corps médical et livrée à elle-même face à une médecine conventionnelle ne lui apportant aucune solution, elle a rejeté tout traitement chimique et s’est orientée vers diverses alternatives qui lui ont été bénéfiques.

  • Si cette maladie, dite invisible, échappe à tout examen, pourquoi le nombre de malades explose-t-il ?
  • Pourquoi, alors que la fibromyalgie ne répond à aucun traitement, les professionnels de la santé prescrivent-ils, à outrance, des antidépresseurs, anti-inflammatoires, antidouleurs….aux effets secondaires bien connus ?
  • Pourquoi négligent-ils toute pollution aux métaux lourds ?
  • Pourquoi ne se penchent-ils pas sur les méfaits de l’alimentation industrielle ?
  • Pourquoi ne prennent-ils pas au sérieux les répercussions sur l’organisme d’un corps en déséquilibre acido-basique ?
  • Pourquoi ne proposent-ils pas un changement de l’alimentation et/ou une détoxification de l’organisme ?

En réponse à ces questions, Évelyne Jouval a exploré diverses pistes. Nous les découvrons avec elle.

Thérapies, médecines alternatives non conventionnelles et changement d’alimentation lui ont ouvert le chemin de la guérison.

psychotherapie, addiction sexuelle, dépendance, boulimie, F.Duval-Levesque psychopraticien, hypnothérapeute, coach, Toulouse, TCC, hypnose, mal-être, fibromyalgieElle vous livre son parcours.

Évelyne Jouval choisit d’explorer diverses pistes, seule ou accompagnée de professionnels de santé ouverts et qualifiés.

Grâce à sa ténacité, sa persévérance, son courage et sa foi en sa guérison, l’auteur ouvre un chemin qui permettra à d’autres personnes de s’y aventurer et d’avancer vers leur bien-être.

Ce livre est préfacé par le Docteur Alain Tuan Qui dont voici un extrait de sa préface :

« Ce livre témoignage nous fait comprendre que la voie de la guérison n’est pas une mais multiple, avec le vécu de chacun, ses souffrances et son environnement personnel et familial.

Il faut savoir que dans ce genre de maladie, la dimension holistique (globale) de l’être prend tout son sens et son importance.

L’art de savoir décrypter les messages du corps et de la tête, passera par la rencontre de thérapies aussi bien physiques (nutrition, jeûne, phytothérapie, massages, acupuncture, Yoga, Qi Gong, médecine chinoise et ayurvédique, …) que psychologiques (psychothérapie, psychanalyse, hypnose, sophrologie, …)

à chacun de trouver sa voie et surtout de rencontrer le médecin et/ou le thérapeute qui sera à l’écoute avec ses yeux, ses oreilles, son toucher, son savoir et surtout son cœur.

Donner un espoir de guérison à tous les fibromyalgiques, mais aussi aider leurs proches et les médecins à mieux les comprendre, les soutenir et les guider vers le chemin de la guérison : ce livre aura alors atteint son objectif ! »

 

 

Source: « J’ai guéri de la Fibromyalgie » de Evelyne Jouval, éditions Lysandra

Le médecin traitant est le mieux placé pour repérer et signaler les incestes.

Pourtant, les signalements à la justice sont rares.

Pour aider les professionnels de santé à mieux repérer ces maltraitances sexuelles intrafamiliales et connaître la démarche à suivre afin de les signaler, la HAS vient de publier des recommandations spécifiques.

« L’inceste est très fréquent et gravement sous-estimé » alerte le Dr Cédric Grouchka (membre du collège de la HAS). En effet, selon un sondage de l’Association des victimes de l’inceste, 3% de la population française, soit 2 millions de personnes en sont ou en ont été victimes. Et en moyenne, celles-ci attendent 16 ans avant de révéler leur agression. Mais dans les faits, on constate moins de 15 000 déclarations de violence faites sur mineur, dont l’inceste. « Ce gouffre entre ces deux éléments chiffrés peut faire craindre que 90% des incestes ne soient pas signalés à la justice », s’inquiète Cédric Grouchka.

Le rôle du généraliste et du thérapeute en psychothérapie est essentiel dans le repérage et le signalement de l’inceste.

Et la sous-déclaration, flagrante, repose sur plusieurs freins : « les médecins ne connaissent pas forcément les signes d’alerte, les signes évocateurs étant extrêmement rares ; ils ignorent aussi la procédure de signalement et enfin, ils peuvent craindre des poursuites judiciaires de la part de la famille ».

Pour lever les blocages, la HAS vient de publier des recommandations* et des outils sur ce délicat sujet.

Cumul de signes peu spécifiques

« Les médecins doivent penser à l’inceste très souvent », martèle Cédric Grouchka. Ils doivent savoir que les signes sont peu spécifiques et qu’il faut s’inquiéter devant un faisceau de présomption : des troubles du comportement alimentaire, du sommeil, des difficultés scolaires, addiction, des modifications du comportement habituel du mineur pour laquelle il n’existe pas d’explication claire, parfois des signes génito-anaux chez l’enfant prépubère sans cause médicale et qui se répètent. De même, il faudra être attentif au comportement de l’entourage familial lors de la consultation.

Le signalement, toute une procédure

Ensuite, les documents de la HAS donnent également des repères pratiques pour effectuer un signalement à la justice, qui est le seul moyen pour mettre en place une protection judiciaire immédiate d’un enfant en danger. Un formulaire de signalement est disponible sur le dite de la HAS et sur le site de l’ordre national des médecins (CNOM). En cas d’urgence, le procureur de la République du tribunal de grande instance sera contacté directement par téléphone (coordonnées disponibles au numéro d’appel 17). Mais le médecin peut aussi s’adresser, en cas de doute ou de questionnement, à la cellule départementale de protection de l’enfance (ou cellule de recueil des informations préoccupantes CRIP). Par ailleurs, indépendamment du signalement, en cas de nécessité de protection urgente, une hospitalisation est recommandée, éventuellement sous un prétexte médical afin de protéger le mineur.

Signaler… ou pas : que craindre ?

Enfin, le document de la HAS aborde les risques qu’il y aurait à signaler… comme à ne pas signaler.

Dans le cadre d’un signalement pour maltraitance sur mineur, le médecin est de facto levé du secret médical. Au niveau pénal, il risque une plainte pour dénonciation calomnieuse qui ne peut entrainer une condamnation que s’il est prouvé que le médecin savait pertinemment au moment de la déclaration que les faits étaient inexacts. Au niveau civil, le médecin peut être confronté à une demande de dommages et intérêts, ce qui suppose qu’il ait commis une faute en lien direct et certain avec un dommage. Pour éviter cela, il est d’autant plus important de connaître et respecter scrupuleusement les règles qui sont données par la HAS dans les recommandations. Et savoir que, à contrario, un non signalement peut exposer le médecin à des poursuites pour entrave à la justice ou omission de porter secours à une personne en danger.

*« Repérage et le signalement de l’inceste par les médecins : reconnaître les maltraitances sexuelles intrafamiliales chez le mineur », HAS.

Sources: Charlotte Demarti, legeneraliste.fr

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Connaissiez-vous ce titre ?

Le Dr Carl Simonton a été le précurseur de cette approche et a été largement suivi. J’applique moi-même ses principes pour mes patients, avec succès.

Simonton, cancer, guérison, psychothérapie, rémissionC’est la bible du patient atteint de toute grave maladie.

Il est l’auteur de la fameuse étude (1971 à 1978), qui montre que la survie est deux fois plus longue et la qualité de vie améliorée pour ses patients au stade terminal ayant bénéficié d’un soutien psychologique. Etude suivie par beaucoup d’autres depuis, dont la mienne qui est identique quant aux résultats.

« Je sais que chaque patient mène son propre combat dans sa vie. Mais je sais aussi que la manière de faire face aux problèmes que l’existence nous réserve, fait la différence pour guérir. » Dr C. Simonton.

Ce chercheur américain cherche à mobiliser les ressources intérieures du patient afin que celui-ci puisse essayer d’influencer le cours de sa maladie, agir sur sa qualité de sa vie.

Car avoir un diagnostic de cancer n’est pas une condamnation, c’est un appel pour prendre conscience, se prendre en charge, évoluer et … guérir.

La méthode Simonton se propose d’apprendre aux personnes atteintes de cancer à vivre leur maladie et ses traitements d’une façon plus constructive, tout en augmentant l’efficacité de ces derniers par une meilleure gestion du stress et des émotions. Cette approche, que j’applique à mes patients, leur permet de garder le même rythme d’activités pendant les traitements qu’avant, pour la moitié d’entre eux ! Et le taux de survie est multiplié par deux

L’application de cette méthode permet à la personne malade d’interpréter elle-même sa réalité, de re-découvrir ses possibilités de choix, de se ré-approprier le pouvoir de décider consciemment de ce qu’elle veut vivre, de s’engager activement en faveur de sa guérison sans toutefois s’attacher au résultat.

En effet, une stabilisation de la douleur émotionnelle permet à son tour la stimulation des défenses naturelles de l’organisme, c’est-à-dire du système immunitaire.

C’est ce que je pense du livre Dr Carl Simonton : excellent livre de vulgarisation pour les patients, le manuel de la guérison, tant que les malades seront livrés à eux-mêmes après être sortis du cabinet du médecin généraliste ou celui de l’oncologue.

Mais à compléter, car il a été écrit en 1978 !

Je vous recommande donc aussi les livres d’Anne Ancelin-Schützenberger (traductrice du livre de C. Simonton), par exemple. Du Dr Siegel aussi.

Mon article du 10 mai 2007 « Cancer : plus vous êtes impliqué dans votre traitement, plus vous avez de chance de guérir » et celui du 22 avril 2007 « Cancer : la psychothérapie double les chances de guérison au minimum » vous donneront d’autres informations (cliquez sur les titres des articles pour les lire directement).

Cher lecteur, les avez-vous déjà lus ?

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