La guérison d’une addiction-dépendance avec un produit se fait en deux étapes chonologiques.

Pour l’alcoolisme et les drogues (héroïne, LSD, de synthèse, médicaments, nicotine, cannabis, sucre), arrêter définitivement de consommer le produit, c’est donc :

1- d’abord entreprendre un sevrage physique

2- Ensuite se lancer dans un processus pour se sortir de la dépendance psychique.

  • On parle de dépendance physique lorsque le métabolisme s’est habitué à un produit dont il a besoin pour fonctionner. Si l’on diminue ou l’on arrête sa consommation, des symptômes de sevrage se manifestent
  • La dépendance psychique signifie que la personne concernée ne peut plus imaginer vivre sans les effets de la drogue. Elle se sent obligée de consommer ; c’est la fameuse compulsion. Sa manière de vivre est entièrement orientée vers la consommation.

Une addiction sans produit comme la pornographie, le jeux, le sexe etc., il n’y a qu’une dépendance psychique à s’occuper. Toutes les substances ne provoquent pas une dépendance physique, mais toutes entraînent une dépendance psychique.

La dépendance physique – douloureuse, voire pénible, selon les substances – peut être surmontée après quelques jours (ou plus d’une semaine…). Elle nécessite un suivi médical. Selon la situation et les produits consommés, il peut s’avérer nécessaire qu’une désintoxication se passe en milieu hospitalier. Par exemple, la phase de désintoxication physique de l’alcool peut entraîner des complications et mettre en danger la vie de la personne.

Vous avez pris la décision d’en finir avec votre dépendance psychique et de vous sentir enfin libre ? C’est excellent.

Supprimer la dépendance psychique avec moi. Pourquoi ?

Grâce à une psychothérapie, il s’agit de ré-apprendre à vivre sans le produit, de travailler sur les motivations à consommer et la maladie de la dépendance afin de prévenir les rechutes. Vous apprendrez ou redécouvirez à reconnaître les besoins qu’auparavant vous cherchiez à combler avec une consommation addictive.

En effet, l’addiction, que ce soit pour l’alcool, la nourriture, le sucre, la drogue, la nicotine, le cannabis, le jeu, la dépendance affective, pornographique, sexuelle… ne dépend pas de votre volonté ou de la prise de médicaments : les déclencheurs sont inconscients. Ils mettent en œuvre les mêmes mécanismes : l’obsession du produit (ou d’une personne), le conflit intérieur (« bagarre » pour consommer, passer à l’acte ou non, etc.), la dévalorisation de soi-même, souffrance (pour soi et pour l’entourage), la dégradation des conditions de vie et de santé.

Voici un exemple du contenu de quelques séances que nous ferons à mon cabinet pour supprimer votre dépendance psychique :

  • Mise en évidence des croyances en rapport avec l’addiction à la nourriture, voire affective
  • Mise en évidence des croyances favorisant la réussite thérapeutique
  • Mise en évidence des stratégies de consommation
  • Définition d’un objectif : déterminer comment transformer une demande ambivalente en objectif positif selon des critères précis
  • La dissociation séquentielle : prendre en compte la nature très particulière de la personnalité « dissociée » d’une personne dépendante et utiliser les moyens adéquats pour lui permettre de trouver d’autres moyens que la consommation pour résoudre ses difficultés personnelles
  • Compulsion (craving) : résoudre cette fameuse compulsion ou supprimer chez vous le besoin irrésistible de combler son manque
  • Prendre en compte et résoudre la culpabilité, la honte, le dégoût de soi, la colère
  • Identifier les émotions que vous ne savez pas gérer
  • Gérer vos besoins : découvrir les besoins réels derrière le besoin de boire, de fumer, de manger, le refus de s’alimenter, etc.
  • Mettre en évidence vos problématiques spécifiques, trouver les causes enfouies dans le passé
  • Créer un futur : vous apprendre à vous créer des projets d’avenir et à donner un sens à votre vie
  • Mise en place de repères aidants
  • La codépendance : vous aider dans ma sortie d’un schéma de codépendance, etc.

Le chemin du rétablissement, de la liberté, de la pleine guérison, en vaut la peine. Cela sera comme un nouveau départ, une nouvelle Vie !

.

Plus d’informations sur mes téléséances en cliquant ici.

-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin

F.Duval-Levesque, Toulouse, phobie, boulimie, angoisse, anxiété, douleur, confiance, estime, psoriasisme, pelade, fibromyalgie, etc

psychotherapie, addiction sexuelle, dépendance, boulimie, F.Duval-Levesque psychopraticien, hypnothérapeute, coach, Toulouse, TCC, hypnose, mal-être, fibromyalgie, échelle douleur

Voici un précieux  livre de guérison !

La fibromyalgie est une maladie classée par la médecine traditionnelle comme étant invalidante, neurodégénérative et évolutive, sans cause et sans traitement et sans possibilité de guérison.

Wikipédia l’a défini comme :

« …une maladie associant des douleurs musculaires et articulaires diffuses, une fatigue, des troubles du sommeil, des troubles cognitifs mineurs et des troubles de l’humeur d’intensité variable et d’évolution chronique. Le diagnostic est établi d’après l’examen clinique, habituellement normal en dehors d’une sensibilité à la pression des tissus mous, et d’analyses biologiques simples, l’ensemble permettant d’écarter d’autres diagnostics.

Cette maladie, fréquente, potentiellement invalidante, touche le plus souvent les femmes d’âge moyen. La cause est inconnue, et une anomalie de fonctionnement du système nerveux central est supposée. Il y aurait une sensibilisation excessive des récepteurs impliqués dans la perception de la douleur. Le traitement, uniquement symptomatique, repose habituellement sur l’association de médicaments et de mesures non médicamenteuses. »

La fibromyalgie est une maladie qui toucherait entre 2 et 3 millions de Français, et près de 14 millions de personnes en Europe. Il a fallu de nombreux rapports et enquêtes pour que cette maladie soit mieux cernée, reconnue et donc mieux encadrée par le milieu médical français.

Et pourtant, si l’on pouvait en guérir ?

Au sortir d’un combat de dix années, Évelyne Jouval, à travers son témoignage, prouve que c’est possible.

Cela au prix de recherches personnelles.

Incomprise par le corps médical et livrée à elle-même face à une médecine conventionnelle ne lui apportant aucune solution, elle a rejeté tout traitement chimique et s’est orientée vers diverses alternatives qui lui ont été bénéfiques.

  • Si cette maladie, dite invisible, échappe à tout examen, pourquoi le nombre de malades explose-t-il ?
  • Pourquoi, alors que la fibromyalgie ne répond à aucun traitement, les professionnels de la santé prescrivent-ils, à outrance, des antidépresseurs, anti-inflammatoires, antidouleurs….aux effets secondaires bien connus ?
  • Pourquoi négligent-ils toute pollution aux métaux lourds ?
  • Pourquoi ne se penchent-ils pas sur les méfaits de l’alimentation industrielle ?
  • Pourquoi ne prennent-ils pas au sérieux les répercussions sur l’organisme d’un corps en déséquilibre acido-basique ?
  • Pourquoi ne proposent-ils pas un changement de l’alimentation et/ou une détoxification de l’organisme ?

En réponse à ces questions, Évelyne Jouval a exploré diverses pistes. Nous les découvrons avec elle.

Thérapies, médecines alternatives non conventionnelles et changement d’alimentation lui ont ouvert le chemin de la guérison.

psychotherapie, addiction sexuelle, dépendance, boulimie, F.Duval-Levesque psychopraticien, hypnothérapeute, coach, Toulouse, TCC, hypnose, mal-être, fibromyalgieElle vous livre son parcours.

Évelyne Jouval choisit d’explorer diverses pistes, seule ou accompagnée de professionnels de santé ouverts et qualifiés.

Grâce à sa ténacité, sa persévérance, son courage et sa foi en sa guérison, l’auteur ouvre un chemin qui permettra à d’autres personnes de s’y aventurer et d’avancer vers leur bien-être.

Ce livre est préfacé par le Docteur Alain Tuan Qui dont voici un extrait de sa préface :

« Ce livre témoignage nous fait comprendre que la voie de la guérison n’est pas une mais multiple, avec le vécu de chacun, ses souffrances et son environnement personnel et familial.

Il faut savoir que dans ce genre de maladie, la dimension holistique (globale) de l’être prend tout son sens et son importance.

L’art de savoir décrypter les messages du corps et de la tête, passera par la rencontre de thérapies aussi bien physiques (nutrition, jeûne, phytothérapie, massages, acupuncture, Yoga, Qi Gong, médecine chinoise et ayurvédique, …) que psychologiques (psychothérapie, psychanalyse, hypnose, sophrologie, …)

à chacun de trouver sa voie et surtout de rencontrer le médecin et/ou le thérapeute qui sera à l’écoute avec ses yeux, ses oreilles, son toucher, son savoir et surtout son cœur.

Donner un espoir de guérison à tous les fibromyalgiques, mais aussi aider leurs proches et les médecins à mieux les comprendre, les soutenir et les guider vers le chemin de la guérison : ce livre aura alors atteint son objectif ! »

 

 

Source: « J’ai guéri de la Fibromyalgie » de Evelyne Jouval, éditions Lysandra

Voici l’amendement à l’article 35 de la loi Santé de Marisol Touraine, voté à l’unanimité ce vendredi 10 avril 2015 en séance à l’Assemblée Nationale :

Marche nordique, F.Duval-Levesque psychopraticien et hypnothérapeute« Dans le cadre du parcours de soins des patients atteints d’une maladie de longue durée, le médecin traitant peut prescrire une activité physique adaptée à la pathologie, aux capacités physiques et au risque médical du patient »

C’est une grande avancée pour toutes les personnes touchées par un cancer, et s’engageant vers la voie de la guérison.

phobie, thérapie, guérison, F.Duval-Levesque, Toulouse

 

.

Bénéficiez d’une information (entretien de 30 minutes gratuit et sans engagement) pour un soutien psychologique, une psychothérapie ou du coaching en cliquant ici

 

 

Voici une technique efficace et rapide pour retrouver une vie normale. Lisez ce qui suit, pour vous informer :

Guérir d'un traumatisme psychique par hypnoseLe traumatisme psychique est une affection méconnue et pourtant très fréquente.

La prise en charge se limite le plus souvent au traitement du symptôme dominant : crises d’angoisse, phobie, dépression réactionnelle, troubles du sommeil, conduites addictives…

La victime voit son état s’améliorer mais reste sans espoir de guérison.

Ce nouveau livre apporte un solution aux victimes présentant un stress post-traumatique d’événements à fort potentiel émotionnel. Cette nouvelle technique a été mise au point par les psychiatres militaires, et adaptée par l’auteur, le Dr Christian Cheveau, à la victimologie quotidienne. Avec l’aide de l’hypnose éricksonienne, le patient permet de dissocier l’événement de l’émotion. Il peut ainsi reprendre le contrôle de l’événement qui posait problème, après quelques séances.

Cet ouvrage permet de comprendre ce qu’est l’hypnose et pourquoi elle est particulièrement efficace dans la suppression des séquelles dues à un trauma : guérison rapide des traumatismes psychiques, indépendamment de leur cause, de leur ancienneté, et quel que soit l’âge et la personnalité de la victime.

Il présente de façon claire et concise la notion de traumatisme psychique : ses circonstances de survenue ses caractéristiques et ses spécificités ce qui le différencie des autres pathologies psychiques. Il est illustré par 39 histoires de guérison choisies parmi un éventail de situations fréquemment rencontrées.

A qui s’adresse ce livre ?

D’abord, aux victimes d’un traumatisme psychique. Aux professionels de santé ensuite, toutes catégories confondues, qui y trouveront des informations pour orienter et conseiller leurs patients et clients.

 Qu’est-ce que l’hypnose éricksonienne ?

L’hypnose ericksonienne est issue de la pratique de Milton Erickson (1901-1980). Caractérisée par une approche souple, indirecte (métaphores) et non dirigiste, cette forme d’hypnose a donné naissance à de nombreux courants de psychothérapie moderne : thérapie familiale, thérapie brève (stratégique, systémique), programmation neuro-linguistique (PNL)…

Biographie de l’auteur :

Le Dr Christian Cheveau, médecin psychothérapeute, exerce à Neufchâteau (Vosges) et à Vendôme (Loir-et-Cher). Il a une formation en psychologie humaniste, en hypnothérapie et en hypnoanalgésie et des formations universitaires sur les aspects biologiques et psychosociaux du stress, et sur les thérapies cognitives et comportementales. Passionné par l’aide psychologique aux victimes, il s’est spécialisé dans la prise en charge des états de souffrance psychique et tout particulièrement dans le diagnostic et le traitement des traumatismes psychiques. Il intervient au sein de L’Institut Français d’Hypnose et dans le cadre de la Formation Médicale Continue.
_
Source: « Guérir d’un traumatisme psychique par hypnose« , du Dr Cheveau, Edition Josette Lyon

 

1) Qu’est-ce que la dépendance sexuelle ?

La dépendance sexuelle est pour certaines personnes une manière de soigner leurs sentiments et/ou de faire face aux tensions, de telle sorte que leurs addictions sexuels deviennent le principal mécanisme de défense face au stress ou au changement.

En général, la personne concernée ne peut pas supporter d’être privée de relations sexuelles pendant tout le temps où elle est seule.

Une personne dépendante sexuelle passe beaucoup de temps à la recherche de l’assouvissement de ses fantasmes ou de ses comportements sexuels. Elle peut encore être sous l’emprise de pratiques sexuelles particulières ou déviantes.
 
2) Pourquoi devient-on dépendant sexuel ?

Cela diffère selon les personnes, mais de manière générale, il existe des raisons biologiques, psychologiques et spirituelles. Voici une – courte – explication des raisons qui font que quelqu’un devient dépendant sexuel.

La raison biologique, c’est quand quelqu’un a habitué son corps à recevoir de l’endorphine et des enképhalines, ce qui se fait principalement quand on fantasme au moment de l’éjaculation, et ce qui produit alors dans le cerveau ces deux produits chimiques.

La raison psychologique vient du besoin de guérir ou d’échapper à des abus sexuels, émotionnels ou physiques. Ceci se trouverait dans une substance produite par l’activité sexuelle, habituellement avant l’alcool et les drogues.

Et spirituellement, ce serait une manière de combler le manque de Dieu. Dans ce cas-là, le sexe devient une spiritualité qui réconforte, qui glorifie la personne et qui est toujours disponible et actuel.

Les dépendants sexuels combinent souvent deux de ces raisons, voire les trois. C’est pour cette raison qu’il vaut mieux s’adresser à un psychopraticien (thérapeute en psychothérapie) quand on veut se libérer d’une dépendance sexuelle. Un psychiatre vous donnera des médicaments… longtemps, et des conseils de bon sens.
 
3) Quelle est la différence entre dépendance sexuelle et grande activité sexuelle ?

Cette question est posée à chaque émission radio ou télé sur le sujet. Une personne qui a une grande activité sexuelle est satisfaite sexuellement.

Cela n’a rien à voir avec l’addiction, qui est une fixation : face à un refus, le dépendant s’imagine être totalement rejetée, être obligée de rompre ou de quitter les lieux, ou ce genre de choses.

Si un refus de relation sexuelle vous pousse à ce type de fonctionnement, vous pourriez bien avec des problèmes de dépendance sexuelle.
 
4) Peut-on être dépendant de la masturbation ?

Oui, et c’est la dépendance sexuelle la plus répandue.

C’est habituellement le premier comportement sexuel que l’on a régulièrement. C’est en général par là que commencent les compulsions sexuelles de dépendances, et ce comportement, sans tenir compte des autres comportements acquis, reste en général actif.
 
5) La pornographie joue-t-elle un rôle dans les dépendances sexuelles ?

La pornographie associée à l’habitude de se masturber est souvent la pierre d’angle des dépendances sexuelles.

Beaucoup de dépendants sexuels ont de grandes difficultés à se libérer de cette combinaison de comportements.

La pornographie et ses fantasmes créent un monde irréel que les dépendants sexuels traversent pendant leur adolescence.

Cela se développe ensuite et crée un objet relationnel qui conditionne leurs émotions et leur sexualité de telle sorte qu’ils éprouvent du plaisir ainsi des centaines de fois avant d’avoir une relation sexuelle avec une personne réelle.
 
6) Peut-on être dépendant sexuel et ne pas avoir de relation sexuelle avec son partenaire ?

OUI!  On appelle cela de l’anorexie sexuelle.

Cela advient quand la personne préfère les fantasmes et le monde des fantasmes avec elle-même au détriment de la relation sexuelle avec son partenaire. Le dépendant sexuel évite en fait les relations sexuelles.

Ces couples n’ont donc que peu de relations sexuelles, et quand ils en ont, c’est à la demande de celui des deux qui n’est ni dépendant, ni anorexique sexuel.
 
7) A quoi cela ressemble-t-il d’être le partenaire d’un dépendant sexuel ?

Les avis sont partagés. Le sentiment de solitude, ainsi que l’impression que l’autre ne peut pas s’ouvrir et montrer sa véritable nature, sont toujours ressentis.

Il y a aussi la confusion venant de l’impuissance que l’on ressent devant l’insatisfaction de l’autre en dépit de tous nos efforts.

On peut aussi ressentir de la colère à cause des nombreux besoins qui ne sont pas comblés en tant que personne.
 
8 ) Est-ce que les partenaires de dépendants sexuels peuvent se faire aider, même s’ils sont seuls à recevoir de l’aide ?

Oui, même si la dépendance est niée.

Les sentiments de colère, de perte, de solitude et autres vont au fil des ans affecter le partenaire d’un dépendant sexuel. Il faut affronter ces sentiments et les traiter, que l’on reste en couple ou non.

La dépendance ne dépend en effet pas du partenaire, car elle a souvent commencé avant même que le couple ne se forme. Cette dépendance aurait grandi et fait du mal à tout autre partenaire.
 
9) Peut-on en guérir ?

Oui, on peut guérir de la dépendance sexuelle.

Cela demande du temps et des efforts, de venir aux séances prévues avec le psychopraticien (thérapeute en psychothérapie), mais avec de l’aide et du soutien, le dépendant sexuel peut être guéri dans ses aspects émotionnels, relationnels, sexuels, financiers. La psychanalyse ? Elle n’a pas fait la preuve de son efficacité à guérir définitivement d’une addiction jusqu’ici.
 
10) Peut-on se procurer des études sur les dépendances sexuelles ?

Des recherches et des études ont été faites. Leur liste est mise à jour chaque semaine par les centres de conseil: “Heart to Heart Counselling” aux USA, ainsi que des procédés pratiques de guérison tels que “101 Practical Exercises for sexual addiction recovery ” (101 exercices pratiques pour se libérer de la dépendance sexuelle) ou des groupes de discussions tels que “Twelve Step” (Douze étapes).
 
11) Les femmes peuvent-elles aussi être dépendantes sexuelles ?

Oui ! Le nombre de femmes désirant se libérer d’une dépendance sexuelle ne cesse d’augmenter.

Les comportements sont les mêmes que pour les hommes: masturbation, pornographie, activité sur internet, rencontres et relations amoureuses anonymes.

Une vingtaine de femmes guéries ont écrit ensemble le livre  “She Has a Secret: Understanding Female Sexual Addiction” (Elle a un secret – Comprendre les dépendances sexuelles des femmes). C’est un livre excellent pour toutes les femmes concernées.
 
12) Y a-t-il moyen d’éviter cela à vos enfants ?

Oui ! Même si de nombreux patients racontent que leurs pères étaient des dépendants sexuels (pornographie, relations extra conjugales, prostituées, etc.), ils disent aussi avoir reçu de mauvaises ou peu d’informations sexuelles pour compenser.

Si vous comprenez l’anglais, la vidéo “Good Enough to Wait” est la première vidéo de cette sorte qui aident les enfants à comprendre le lien entre les pensée et le sexe, les effets pervers de la pornographie, comment avoir des relations sexuelles satisfaisantes à long terme, etc.

C’est la meilleure combinaison d’étude sexuelle et de principes spirituels qui offre aux jeunes des informations à la fois bonnes et actuelles.
 

-> Pour une information et un entretien gratuit de 30 à 45 minutes, sans engagement, concernant une aide, un soutien psychologique, ou une psychothérapie -> cliquez ici
 
Puis-je vous recommander de jeter un oeil à mes articles ci-dessous ? Ils pourraient beaucoup vous aider :

L’addiction sexuelle : entre obsession et tabou ! (presque identique à la boulimie alimentaire)

Mal-Etre, Dépression : 7 Conseils Pratiques pour Aller Mieux !

Le Mal-Etre, c’est Quoi au Juste ?

(suite et fin)

La prise en charge comportementale est très importante selon toi. Comment est-elle acceptée par les cancérologues ?

David Servan-Schreiber : « C’est sur ce point que j’ai eu le plus de mal avec les cancérologues. La nutrition encore, ils l’acceptent, parce que c’est ce qui se rapproche le plus d’un médicament. Mais leur faire intégrer l’importance de la méditation, c’est un peu plus éloigné de leur manière de penser. »

L’idée qu’il y aurait une « personnalité du cancer » est-elle bien étayée ?

« Non, ce n’est pas très solide, c’est vrai. Lydia Temoshok a proposé le concept de « personnalité de type C » pour les patients atteints de cancer, par contraste avec la personnalité de type A qui caractérise les tendances agressives et impatientes des cardiaques. Tous les gens qui travaillent avec des patients finissent par tomber sur ce type de personnalité. On ne retrouve pas ces éléments psychologiques chez tous les patients, mais chez pas mal d’entre eux. »

De quels éléments psychologiques s’agit-il ?

« Comme moi, il s’agit souvent de personnes qui ne se sont pas senties pleinement accueillies dans leur enfance. Leurs parents ont pu être violents ou coléreux ou froids, distants et exigeants. Ces enfants ont reçu peu d’encouragements et développé un sentiment de vulnérabilité ou de faiblesse. Par la suite, pour être sûrs d’être aimés, ils se sont conformés à ce qu’on attendait d’eux plutôt que de suivre leurs propres penchants. Ils deviennent des adultes qui se mettent rarement en colère, ils sont toujours prêts à aider les autres, évitent les conflits. Pour garantir leur sécurité émotionnelle, ils s’investissent dans un seul aspect de leur vie : le travail, le mariage, les enfants. Lorsque celui-ci est menacé ou perdu, la douleur de l’enfance resurgit. Elle s’accompagne de sentiments d’impuissance, de désespoir et d’abandon, qui peuvent peser sur l’équilibre psychologique et corporel. C’est ce qu’un de mes collègues thérapeutes appelle le « touché-coulé ». La première blessure de l’enfance est supportable. Lorsqu’un deuxième coup frappe au même endroit, tout l’édifice psychologique et physique peut s’effondrer. »

Comment vit-on après un cancer ?

« On se soumet à des examens régulièrement, c’est une espèce d’habitude. J’ai conscience que mon corps porte des cellules plus agressives que la moyenne des gens, et qu’il faut garder ces cellules sous contrôle. »

Qu’y a-t-il pour toi après « Anticancer » ?

« Je suis en train de mettre au point un programme pour l’hôpital Pompidou à Paris. C’est parti du constat que les patients demandent aux cancérologues des conseils sur ce qu’ils doivent manger, et que les médecins ne savent pas toujours quoi répondre. Il faut aussi apprendre aux gens à se parler et parler de leurs émotions, mais ça, ça se met tout naturellement en place dans le cadre d’un programme qui s’intéresse à l’aspect nutrition, parce que tu constitues des groupes et bien sûr les patients en viennent naturellement à se parler. Ensuite, il faut amener les patients à se recentrer, cela vient facilement, c’est l’objectif de la méditation. Enfin, leur apprendre à dépasser les traumatismes du passé. »

Quel peut être l’impact de ce type de programme environnement-nutrition-esprit sur le cours de la maladie ?

« On ne sait pas très bien, mais je pense qu’il peut être énorme. Je ne peux pas dire que j’ai trouvé la solution définitive contre le cancer, que ça va résoudre tous les problèmes, mais je crois sincèrement que cela peut réduire le risque de cancer chez les personnes en bonne santé, et cela peut réduire le risque de mortalité chez ceux qui ont ou ont eu un cancer. Beaucoup de gens sont encore en vie grâce à ce type d’intervention. Je vais faire ce que je peux, avec ce livre, ce programme pour l’hôpital, et le site Internet que je lance, anticancer.fr. »

Cher lecteur, courez acheter son livre !

duval-levesque, psy, guerison, cancer, boulimie, anorexie, depression, stress, rémission, dependance, soutien psychologique

.

 

Pour une information et un entretien gratuit de 30 à 45 minutes, sans engagement, concernant une aide, un soutien psychologique, ou une psychothérapie -> cliquez ici

(suite)

Tu consacres un chapitre et même un livret entier aux aliments anticancer.

légumes, sain, rémission, guérison, médecine naturelle, cancer, fruitsDavid Servan-Schreiber : « Certains aliments de notre régime peuvent servir d’engrais aux tumeurs, d’autres au contraire renferment des molécules anticancer. Dans ce domaine, j’ai été très impressionné par le travail que fait Richard Béliveau, un chercheur de l’université de Montréal. J’aime beaucoup ce qu’il fait, je l’ai rencontré à plusieurs reprises et j’ai continué de travailler avec lui à distance. Toutes les études convergent pour souligner l’intérêt du thé vert, du soja, de l’ail, du curcuma, des fruits rouges, des champignons, des légumes crucifères.

Chaque jour à chaque repas, on peut choisir des aliments qui détoxifient les carcinogènes, donnent un coup de fouet au système immunitaire, bloquent le développement des vaisseaux nécessaires à la croissance des tumeurs, préviennent l’inflammation… »

Adieu aux bagels, au coca, au chili ?

« Tout ça, c’est fini, et je n’ai pas le moindre regret, je n’y pense jamais. Le plus frappant en matière de changement nutritionnel, lorsqu’on se met à manger sainement, c’est qu’on n’a plus envie de revenir en arrière, on n’a plus envie de ces frites, ce coca, ces plats préparés. Même, le sucre… j’ai considérablement réduit le sucre. Et quand on en mange, on n’est pas bien du tout. Bien sûr, il m’arrive de manger épisodiquement de ces aliments, mais après, je ne me sens pas bien.

A l’inverse, je me surprends à noter le plaisir que j’ai eu si je n’ai mangé que des légumes, des pois, des fruits et un peu de pain. Je remarque à quel point je me suis senti plus alerte et plus léger toute la journée. »

Que peux-tu dire à celles et ceux qui veulent accomplir le même changement ?

« C’est difficile de rompre avec un comportement alimentaire. Lorsque je fais des formations, plutôt que de commencer par retrancher des familles d’aliments, je conseille d’abord aux gens d’ajouter quelque chose à leur régime : ajouter du thé vert, du curcuma, du sirop d’agave

L’objectif reste de manger beaucoup moins de sucre et de farine blanche, moins de graisses animales. Il ne s’agit pas de les éliminer complètement, mais de les réduire à des mets occasionnels plutôt que d’en faire la base de notre alimentation. »

Les recommandations nutritionnelles que tu fais rejoignent en tous points celles de LaNutrition.fr. Elles sont donc parfois assez éloignées de ce qui est conseillé par les autorités sanitaires.

« Je ne suis pas étonné que ce dont je parle dans le livre ne soit pas en accord avec les plans de la nutrition officielle. Dans une salle d’attente, j’ai consulté un guide alimentaire de l’American Cancer Society. C’était effrayant. En France, le Programme national nutrition santé conseille de manger plus de céréales et de féculents qui pour la plupart sont surchargés d’oméga-6, avec en plus un index glycémique élevé. »

La notion d’index glycémique comme moyen de mieux choisir ses aliments, qui est très présente dans ton livre, a d’ailleurs été rejetée par les autorités sanitaires françaises.

« Je ne le savais pas. C’est pourtant d’une évidence absolue ! Il suffit de lire le livre que tu as publié sur le sujet. »

Ne risques-tu pas de devoir assumer le rôle de porte-drapeau d’une nutrition alternative ?
« Je ne me suis concentré que sur le cancer. Je me suis intéressé aux facteurs nutritionnels qui peuvent influencer la maladie. Tout ce qui augmente la glycémie, l’insuline, l’IGF, l’inflammation contribue à développer les tumeurs. Tout ce qui les fait baisser s’oppose au développement des tumeurs. Il est clair que l’équilibre oméga-3/oméga-6 contribue à bloquer l’inflammation et la croissance des tumeurs. Il faut contrôler ça à fond. Maintenant, je suis psychiatre et neuroscientifique. Je ne suis pas nutritionniste, je vais essayer de ne pas me battre sur leur terrain. Il y a des problèmes qui se posent à moi immédiatement, à commencer par l’épidémie de cancers. C’est le grand problème de la médecine aujourd’hui. C’est une maladie multifactorielle, qu’il faut aborder de tous les côtés. »
La dernière partie de l’interview de David Servan-Schreiber là.

Cher lecteur, vous avez là de multiples sujets de réflexion, n’est-ce pas ? C’est ce que font mes patients cancéreux en psychothérapie dans mon cabinet. Plus de conseils en cliquant ici.

.

 

Pour une information, un entretien gratuit de 30 à 45 minutes, sans engagement, concernant une aide, un soutien psychologique, ou une psychothérapie -> cliquez ici

La suite !

Tu racontes que plusieurs années se sont passées après le traitement de ton cancer pour que ton mode de vie change du tout au tout.

David Servan-Schreiber :« Quelques années après ma première opération, il me semblait que tout était rentré dans l’ordre. Une amie qui était au courant de ma maladie m’a demandé un jour ce que je faisais pour soigner mon « terrain. » Je lui ai répondu que j’avais été très bien soigné et il n’y avait rien d’autre à faire que d’espérer que la tumeur ne reviendrait pas. Quelque temps après, j’ai appris, en passant un scanner, que mon cancer était revenu. C’est une nouvelle terrible d’apprendre qu’on a rechuté.

C’est à ce moment que j’ai réalisé que j’allais devoir m’occuper de mon « terrain. » je me suis dit : « Que faire pour que mon corps lutte ? » »

Comment vivais-tu à l’époque ?

David :« J’étais pris par le travail et la naissance de mon fils. J’avais beaucoup diminué l’activité physique et laissé tomber un intérêt éphémère pour la méditation. Je mangeais presque chaque jour du chili con carne, des bagels, du coca-cola, du café au lait. Avec le recul, je réalise que c’était une combinaison explosive : un mélange de farines blanches à index glycémique élevé, de sucres et graisses animales bourrées d’oméga-6, d’hormones et de toxines ! »

Si tu n’avais pas été touché par la maladie, aurais-tu changé ton alimentation ?

« Je pense que je serais passé à côté de ça. On n’apprend rien sur la nutrition en fac de médecine. On apprend qu’il faut manger moins de calories pour maigrir, moins de sel pour faire baisser la tension. C’est considéré comme une discipline « sale » dans la mesure où c’est compliqué, il y a beaucoup trop de variables, tu ne sais jamais quelle est la plus importante. Et puis, ce n’est pas comme un médicament. On n’est jamais sûr que les gens vont suivre les recommandations qu’on leur donne. La conséquence, c’est que l’enseignement de la médecine se tient à l’écart de la nutrition. »

Il y a, selon toi, trois principaux facteurs environnementaux impliqués dans l’épidémie de cancers.

« Oui, à commencer par la consommation excessive de sucres raffinés et de farines blanches. Ces aliments stimulent l’inflammation et la croissance des cellules à travers l’insuline et l’IGF (insulin-like growth factor). Egalement la consommation excessive d’oméga-6 dans les graisses végétales et animales comme les laitages, les œufs et la viande. Ces deux facteurs sont responsables d’un terrain inflammatoire favorable au cancer. Il faut y ajouter l’exposition aux contaminants de l’environnement. « 

Tu consacres un chapitre à notre environnement toxique. Penses-tu qu’il a pu jouer un rôle dans ton cas personnel ?

pesticide, poison, maladie, cancer, toxique, avenir, alimentation« De l’âge de deux ans à neuf ans, j’ai joué tous les étés dans des champs de maïs aspergés d’atrazine, en Normandie. Toute ma vie, jusqu’au jour où on m’a diagnostiqué un cancer, j’ai bu du lait, mangé des yaourts, de la viande, des œufs qui provenaient de vaches, de moutons, de poules nourries avec du maïs nourri aux pesticides. J’ai croqué des pommes qui avaient reçu de multiples traitements, bu de l’eau probablement contaminée. Je ne saurai jamais quelle a été la contribution des pesticides comme l’atrazine à mon cancer. »

Suite de l’interview très bientôt : abonnez-vous au flux RSS pour savoir quand… ou cliquez ici.

.

 

Pour une information, un entretien gratuit d’environ 30 minutes, sans engagement, concernant une aide, un soutien psychologique, ou une psychothérapie -> cliquez ici

 

L‘avez-vous déjà lu ?

Je vous propose d’en parler entre-nous aujourd’hui et dans mes deux prochains articles.

Le nouveau livre de David Servan-Schreiber s’appelle « Anticancer ».

Son but ? Proposer des pistes pour s’en protéger ou en guérir : par la détoxification, l’alimentation optimisée, la guérison des blessures psychologiques.

Voilà un des défis à relever : aider votre système immunitaire à reprendre le dessus.

Travailler à leur propre guérison, en être partie prenante, c’est ce que font désormais mes patients avec mon aide.

Corps et esprit se trouvent ainsi unis pour que le processus de guérison se mette en place.

David ne parle pas seulement du cancer en tant que médecin et chercheur.

Révélant sa maladie, il revient aussi sur les joies et les peines qui font aujourd’hui de lui un homme considérablement « plus en vie »anticancer, guérison, rémission, psy, toulouse, duval-levesque, thérapie, nature, aliments, nourriture, sain, comportements, recettes, cuisine vivante qu’il y a quinze ans.

Sur un sujet qui se prêtait à la dramatisation, il se dégage pourtant de la lecture de ton livre une impression de sérénité. Est-ce volontaire ?

David Servan-Schreiber : « Non, je ne l’ai pas fait exprès. J’ai écrit comme je le sens, je n’ai pas cherché à rendre le propos serein. »

Tu révèles dans ce livre – c’est le fil directeur – que tu as été traité pour une tumeur du cerveau il y a 14 ans.

« Oui, c’est une époque où j’étais assez sûr du succès, confiant dans la science pure et dure, pas vraiment attiré par le contact avec les patients. Je voulais faire de la recherche, publier des articles, intervenir dans les congrès. J’avais fait beaucoup de sacrifices, beaucoup investi pour l’avenir.

Et tout à coup, avec la découverte de cette tumeur, j’ai été placé devant la possibilité qu’il n’y ait pas d’avenir du tout. »

N’est-ce pas difficile de parler de soi à la première personne sur un sujet aussi intime ?

« C’est ce qui m’a longtemps fait hésiter à écrire ce livre. Je n’avais pas envie de me livrer, je pensais que je ne le ferais jamais. Mais mon frère m’a convaincu. Au début j’ai dit non. Mais finalement ça m’a beaucoup libéré. »

Dans ton livre, tu expliques que l’annonce d’un cancer peut avoir des effets positifs.

« Tant que la maladie ne nous a pas touché, la vie paraît infinie. Nous pensons qu’il sera toujours temps de trouver le bonheur.

Mais l’annonce d’une maladie comme le cancer m’a ouvert les yeux sur l’instant présent, comme cela a été le cas pour beaucoup de patients. Beaucoup d’ailleurs regrettent d’avoir à eu à attendre le diagnostic de cette maladie pour prendre conscience de ça. Finalement, la vie devient plus riche. On fait attention à ce qu’on mange, on pense à prendre contact avec soi et avec les autres, bref on fait des choses qu’on avait envie de faire plus tôt mais qu’on repoussait.

On se demande bien sûr ce qu’il faut faire pour que son corps lutte, et on arrive à la conclusion qu’il faut enrichir sa vie, vivre plus consciemment. Bien sûr, il n’est pas indispensable d’avoir un cancer pour aller vers ça. »

Marie-Claire, une de mes anciennes patientes parisiennes, aujourd’hui guérie, reconnait que “l’esprit fait beaucoup. » Elle tient même à ajouter : « je voyais la différence avec d’autres femmes atteintes d’un cancer du sein comme moi, mais qui ne suivaient pas une thérapie cognitive et comportementale…

Avec mon psy (Frédéric Duval-Levesque), c’était pas du tout une psychanalyse. C’était un échange constructif, une relation en face à face; il m’apprenais à mobiliser mes ressources intérieures afin que je puisse influencer le cours de ma maladie. Ca a marché ! »

Cher lecteur, la suite de cette interview en cliquant ici.

N.B. : afin de mettre toutes les chances de votre coté pour guérir avec mon aide et mon soutien, cliquez là.

.

 

Pour une information, un entretien gratuit d’environ 30 minutes, sans engagement, concernant une aide, un soutien psychologique, ou une psychothérapie -> cliquez ici

 

Quittez l’abattement, la résignation, la soumission, la passivité !

Voilà le défi à relever : aider votre système immunitaire à reprendre le dessus.

J’invite les malades à imaginer que la chimio sous perfusion peut être ressenti comme un liquide guérisseur… Comme une fontaine de jouvence qui, en se diffusant, détruit les mauvaises cellules… Comme des grains de raisin qui vont se flétrir et petit à petit se détacher des grappes…

En suivant quelques règles, chaque patient imagine sa propre interprétation.

« Je ne vais plus subir. Ma guérison ne va plus dépendre des autres; je vais la préparer avec amour : ma vie, ma santé m’appartiennent. »

Travailler à leur propre guérison, en être partie prenante, c’est ce que font désormais mes patients, trois fois par jour. Ils imaginent leur traitement leur faisant du bien et leur système immunitaire redevenant de plus en plus combattif.

« Je suis désormais totalement présente et active pendant le temps de la perfusion, affirme Anne. Je visualise le trajet du produit dans mon corps, je l’imagine allant là où j’ai mal, tout particulièrement dans le dos, et me soulageant. »

nature, vitalité, croissance, vert

Corps et esprit se trouvent ainsi unis pour que le processus de guérison se mette en place.

Marie-Claire reconnait que « l’esprit fait beaucoup; je vois la différence avec mes amies atteintes d’un cancer du sein comme moi, mais qui se refusent à s’aider par l’imagerie mentale… ».

 

Cher lecteur, saviez-vous que le cerveau ne fait pas la différence entre la réalité et une chose intensément imaginée ?

NB : pour mettre toutes les chances de votre coté pour guérir grâce à mon aide, cliquez .

 

Pour une information et un entretien gratuit de 30 à 45 minutes, sans engagement, concernant une aide, un soutien psychologique, ou une psychothérapie -> cliquez ici

Connaissiez-vous ce titre ?

Le Dr Carl Simonton a été le précurseur de cette approche et a été largement suivi. J’applique moi-même ses principes pour mes patients, avec succès.

Simonton, cancer, guérison, psychothérapie, rémissionC’est la bible du patient atteint de toute grave maladie.

Il est l’auteur de la fameuse étude (1971 à 1978), qui montre que la survie est deux fois plus longue et la qualité de vie améliorée pour ses patients au stade terminal ayant bénéficié d’un soutien psychologique. Etude suivie par beaucoup d’autres depuis, dont la mienne qui est identique quant aux résultats.

« Je sais que chaque patient mène son propre combat dans sa vie. Mais je sais aussi que la manière de faire face aux problèmes que l’existence nous réserve, fait la différence pour guérir. » Dr C. Simonton.

Ce chercheur américain cherche à mobiliser les ressources intérieures du patient afin que celui-ci puisse essayer d’influencer le cours de sa maladie, agir sur sa qualité de sa vie.

Car avoir un diagnostic de cancer n’est pas une condamnation, c’est un appel pour prendre conscience, se prendre en charge, évoluer et … guérir.

La méthode Simonton se propose d’apprendre aux personnes atteintes de cancer à vivre leur maladie et ses traitements d’une façon plus constructive, tout en augmentant l’efficacité de ces derniers par une meilleure gestion du stress et des émotions. Cette approche, que j’applique à mes patients, leur permet de garder le même rythme d’activités pendant les traitements qu’avant, pour la moitié d’entre eux ! Et le taux de survie est multiplié par deux

L’application de cette méthode permet à la personne malade d’interpréter elle-même sa réalité, de re-découvrir ses possibilités de choix, de se ré-approprier le pouvoir de décider consciemment de ce qu’elle veut vivre, de s’engager activement en faveur de sa guérison sans toutefois s’attacher au résultat.

En effet, une stabilisation de la douleur émotionnelle permet à son tour la stimulation des défenses naturelles de l’organisme, c’est-à-dire du système immunitaire.

C’est ce que je pense du livre Dr Carl Simonton : excellent livre de vulgarisation pour les patients, le manuel de la guérison, tant que les malades seront livrés à eux-mêmes après être sortis du cabinet du médecin généraliste ou celui de l’oncologue.

Mais à compléter, car il a été écrit en 1978 !

Je vous recommande donc aussi les livres d’Anne Ancelin-Schützenberger (traductrice du livre de C. Simonton), par exemple. Du Dr Siegel aussi.

Mon article du 10 mai 2007 « Cancer : plus vous êtes impliqué dans votre traitement, plus vous avez de chance de guérir » et celui du 22 avril 2007 « Cancer : la psychothérapie double les chances de guérison au minimum » vous donneront d’autres informations (cliquez sur les titres des articles pour les lire directement).

Cher lecteur, les avez-vous déjà lus ?

Pour une information et un entretien gratuit de 30 à 45 minutes, sans engagement, concernant une aide, un soutien psychologique, ou une psychothérapie -> cliquez ici

 

Voici une étude célèbre.

psy, inconscient, psychothérapie, traumatisme Elle démontre l’efficacité de l’esprit et des émotions pour changer le cours des tumeurs malignes.

Elle a été conforté par d’autres études américaines depuis.

Ce travail scientifique prouve définitivement que la psychothérapie de type Simonton-Siegel-Cunningham est absolument indispensable pour chaque cancéreux (toujours en complément du traitement médical).

Les résultats ? Ils sont étonnants, jugez-en.

Chez les patients en vie :

  1. Maladie stabilisée : 27 %
  2. Aucun signe de la maladie : 22 %
  3. Tumeur en train de régresser : 19 %
  4. Croissance de la tumeur (rechute) : 32 %

Ce que vous devez retenir : pour 68 % des patients, l’efficacité d’un traitement médical avec une psychothérapie est prouvé.

Et ce n’est pas tout. Les patients vivants ont, en moyenne, vécu deux fois plus longtemps que ceux ayant reçu seulement un traitement médical. Même les patients qui sont décédés ont quand même vécu une fois et demi plus longtemps que ceux du groupe sans psychothérapie. Je précise que tous les patients étaient considérés médicalement condamnés, avec moins d’un an à vivre, au début de l’étude…

Les résultats que j’obtiens, avec un recul de dix ans, sont sensiblement les mêmes.

Attention ! Je parle bien de psychothérapie cognitive et comportementale, développée par Simonton, Siegel et Cunningham. Pas d’une psychanalyse, ou bien le patient la poursuivra au paradis…

 

Et vous, cher lecteur, pensez-vous qu’il y ait suffisamment de psychothérapeutes formés à cette approche dans nos hôpitaux ?

 

NB : pour mettre toutes les chances de votre coté pour guérir grâce à mon aide, cliquez .

 

Pour une information et un entretien gratuit de 30 à 45 minutes, sans engagement, concernant une aide, un soutien psychologique, ou une psychothérapie -> cliquez ici