Vous vous sentez stressé au travail ?

Voici quelques mesures à prendre pour lutter contre l’épuisement professionnel :

F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, souffrance, stress, burnout, PNL, téléséance, téléconsultation, Les-symptomes-du-burn-out

1 / Fixez des limites plus raisonnables.

Moins élevées.

Encore moins élevées !

  • Démarrez et terminez le travail à des horaires raisonnables
  • Faites régulièrement des pauses pendant la journée. Marchez 10 minutes à votre pause repas
  • Chaque jour, accordez-vous un temps de déconnexion de votre téléphone, votre ordinateur, vos e-mails et vos réseaux sociaux
  • Prenez des vacances, et coupez-vous du travail le soir et le week-end
  • Apprenez à refuser quelque chose (dites non) lorsque vous ressentez trop de pression dans votre environnement de travail
  • Déléguez vos tâches pour une meilleure gestion du stress.

2 / Préservez votre équilibre vie professionnelle et vie privée

Lorsque vous êtes stressé, vous pouvez facilement oublier de passer du temps avec vos amis et votre famille ou de faire des choses que vous aimez. Nous ne sommes pas en mesure de gérer le stress sur une période prolongée. Mais il ne faut surtout pas abandonner les autres activités et vos relations sociales. Préservez l’équilibre entre votre vie professionnelle et votre vie privée afin de pouvoir vous déconnecter lorsque c’est nécessaire.

Ce sont des moments indispensables pour recharger ses batteries.

3 / Prenez du recul sur une situation stressante

Il est fort probable que votre niveau d’exigence vis-à-vis de vous-même soit élevé. Mais posez-vous les questions suivantes afin de prendre du recul sur une situation qui vous inquiète :

  • est-ce que tout doit être parfait ?
  • Quelle est la pire chose qui arriverait si vous ne vous mettiez pas, vous-même, autant de pression ?

Les conséquences ne sont peut-être pas aussi catastrophiques que vous l’imaginez. Pour réaliser cette prise de recul, une aide de la part d’un psy/coach peut être utile.

4 / Évitez les aliments transformés, les glucides, et la caféine (après 14h)

  • Préservez votre santé en mangeant beaucoup moins de glucides (sucres rapides et lents), et plus de protéines
  • Consommez des aliments frais et sains
  • Consommez suffisamment de magnésium, c’est essentiel à la production d’énergie et le bon fonctionnement de vos mitochondries

CADEAU :

5 / Apprenez à gérer votre stress

Une charge de travail excessive peut facilement donner lieu à une situation de stress et donc favoriser le risque d’épuisement professionnel. Afin de prendre soin de sa santé mentale au travail, il est donc important de maîtriser quelques techniques de relaxation et de gestion du stress au travail.

Les exercices de respiration sont un excellent moyen de diminuer le stress au quotidien, de lutter contre les troubles anxieux et donc d’éviter l’épuisement.

N’ayez pas honte d’avoir besoin d’aide

______

Si ces symptômes vous semblent familiers et que vous craignez le burn out, parlez-en à votre médecin traitant.

Personne n’est à l’abri de présenter un jour ou l’autre un burn out. Vous pouvez faire beaucoup de choses par vous-même mais il est souvent difficile de s’en sortir seul.

Et la prise en charge psy est indispensable pour rétablir un équilibre personnel et professionnel durable.

.
-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂
.
-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

F. Duval-Levesque,psychopraticien,hypnose,coach,mal-être,anxiété,angoisse,addiction,traumatisme,peur,tabac,phobie,souffrance,stress,burnout,PNL,téléséance,téléconsultation,avis,covid-long-symptomes-persistants

Avez-vous des symptômes invalidant plusieurs semaines après la Covid-19 ?

Si oui, voici quoi faire :

1 – Consultez votre médecin traitant

Prenez rendez-vous avec votre médecin traitant. Il évaluera votre situation, et vous oriente si nécessaire. Préparez votre consultation et notez-la sur votre agenda :

  • les troubles que vous ressentez, leur fréquence, leur intensité, leur durée, quels sont les facteurs qui les déclenchent, les aggravent ou au contraire les améliorent
  • ce que vous pouvez faire et ne plus faire dans la vie de tous les jours, les conséquences physiques et psychologiques de vos symptômes
  • l’impact de vos symptômes sur votre qualité de vie, votre vie sociale et professionnelle
  • les autres maladies que vous avez déjà eues ou pour lesquelles vous êtes traité : hypertension artérielle (HTA), diabète, maladie auto-immune, maladie cardiovasculaire, rénale,…

Apportez à votre médecin traitant tous les comptes rendus d’examens que vous avez déjà faits lors de votre maladie, si vous en avez :

  • test PCR
  • prise de sang
  • résultats de saturation du sang en oxygène
  • radiographie
  • scanner
  • compte-rendu d’hospitalisation.

Apportez-lui vos ordonnances et la liste des médicaments pris dans les semaines précédentes et au jour de la consultation.

2 – Symptômes prolongés post-Covid-19 : que pouvez-vous faire pour vous sentir mieux ?

En présence de symptômes prolongés après l’épisode aigu de la Covid-19, adaptez votre quotidien afin de raccourcir et mieux supporter la période de votre convalescence.

  • Il est important de savoir que le temps de récupération peut être plus ou moins long après une infection à la Covid-19. Comme lors d’autres infections virales (par exemple la mononucléose infectieuse, les hépatites virales), le temps nécessaire au retour à l’état de santé préexistant varie d’une personne à l’autre. Ne vous inquiétez pas si vous avez l’impression que vous retrouvez lentement vos forces et votre énergie
  • Reposez-vous autant que de besoin. Respectez votre rythme veille-sommeil et assurez-vous que votre environnement est favorable au sommeil.
  • Pratiquez de l’auto-hypnose, de la relaxation et/ou du yoga
  • Veillez à avoir une alimentation équilibrée et limitez les excitants, arrêtez de boire de l’alcool (ou diminuer au maximum votre consommation). L’alimentation cétogène ou low-carb pourrait vous aider
  • Arrêtez le tabac et/ou toute substance stupéfiante si vous en preniez avant d’être malade
  • Entre les phases de repos, essayez d’exercer une activité physique quotidienne (marche, jardinage, cuisine, bricolage, ménage…), augmentez progressivement la durée et l’intensité, en fonction de vos capacités. L’activité pratiquée ne doit en aucun cas déclencher des symptômes. Respectez les éventuelles contre-indications médicales qui vous ont été faites.
  • Fixez-vous des objectifs réalistes et progressivement atteignables de reprise des activités que vous aviez avant d’être malade.
  • Privilégiez les activités qui vous procurent le plus de plaisir comme des sorties ludiques ou culturelles, etc.

.

-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin

Le reiki, voie naturelle de toute guérison ?


Non.

Le reiki est une méthode élaborée au Japon en 1922, par un maître de méditation.

En quoi cette méditation par le toucher, induisant une relaxation profonde chez la personne, est-elle une voie naturelle de certaines guérisons ?


Le mot japonais reiki est composé de deux kanjis (caractères japonais) : -rei, pour ‘conscience’, et -ki pour ‘énergie’. Tout comme l’aïKIdo utilise l’énergie, c’est-à-dire la force, de l’adversaire, le reiKI utilise l’énergie, c’est-à-dire la force de l’esprit. La “force de l’esprit“ est d’ailleurs la traduction du mot reiki. Quel est l’intérêt d’utiliser la force de l’esprit ?

L’approche holistique du reiki

L’Occident mise avant tout sur l’équilibre et le bon fonctionnement du corps pour essayer d’atteindre une bonne santé. Force est de constater que certains désordres physiques et psychologiques ne se résorbent pas si on ne s’occupe que du corps.

L’Orient, lui, se base sur un constat pour développer des pratiques de santé, qu’elles aient pour vocation de soigner ou de simplement faire du bien. Ce constat est que l’être humain est à la fois constitué d’un corps physique, d’un esprit (conscience), et d’une énergie qui anime son corps et son esprit. Pour cette raison, l’Orient a développé des méthodes qui offrent à l’être humain une approche globale de la santé, c’est-à-dire holistique.

De même, dans le reiki, l’approche est basée sur le corps, l’esprit et l’énergie de la personne.

La voie naturelle, respect de l’intégrité de la personne

 
 

En son temps, le fondateur Mikao Usui expliquait que sa pratique était une méthode naturelle de guérison de l’esprit. ‘Naturel’ rappelle que dans le reiki, le praticien pose à peine les mains sur certaines parties du corps, tout en pratiquant un travail de méditation. 

Cette résonance méditative, induite par le toucher fixe et léger, emmène la personne dans sa relaxation profonde, qui finit par se libérer des tensions physiques et psychologiques qu’elle a accumulées face aux aléas de sa vie. La personne reste allongée, habillée. 

Il n’y a pas d’intervention autre que celle-ci :

  • pas de manipulation du corps, pas d’absorption de substances, pas de contribution de la personne à effectuer tel geste, suivre tel protocole, ou se mettre dans un état d’esprit particulier pour que cela fonctionne. Bref, l’aspect naturel ne se limite pas à la voie douce et sans intrusion au niveau du corps. Il englobe également la non intrusion psychique – et donc l’intégrité holistique et le respect inconditionnel de la personne.

Le reiki, ou la guérison de l’esprit 

Le fondateur du reiki décrivait sa pratique énergétique comme une “guérison spirituelle“, démarche holistique bien connue dans son berceau qu’est l’Orient. Dans une conférence donnée en Allemagne en 2014, le Dalai Lama expliquait : « Au Tibet, nous disons que de nombreuses maladies peuvent être guéries par l’unique médecine de l’amour et de la compassion. Ces qualités sont la source ultime du bonheur humain, et leur nécessité réside au cœur même de notre être »

Tout le monde comprend ici que le Dalai Lama ne prône pas une substitution au médical, ni n’encourage à se détourner de la médecine traditionnelle. Pourtant, face au reiki qui a la même démarche, le sens de “guérison” est systématiquement interprété par tous, officiels pour dénoncer les déviations en santé, et non officiels pour vendre leurs prestations, comme relevant du plan médical avec une guérison des symptômes et traitement de maladies. Rien d’étonnant que le grand public finisse par penser que le reiki va guérir les maladies.

Or, les interviews retrouvées du fondateur du reiki indiquent qu’il n’employait le mot guérison qu’en lien avec l’esprit, et surtout pas le corps. Ce qui exclut déjà toutes les notions de guérison corporelle, y compris des effets sur les cellules et tissus, comme le font croire les formes dénaturées du reiki.

Evidemment, sans promesse mirifique et supérieure aux effets de la médecine traditionnelle, le mythe peut devenir moins intéressant…

Les maîtres de méditation nous disent que la guérison de l’esprit signifie l’arrêt du mal de vivre.

Loin d’être une pratique de guérison corporelle, le reiki est en réalité une méthode pour apaiser le mal-être que ressent la personne au quotidien, au niveau du corps et de l’esprit, avec des variations importantes de son énergie, face à des situations qui la bousculent – travail, vie personnelle, environnement social, maladie… 

Bref, loin d’être réducteur à la maladie, le reiki a pour richesse d’améliorer tous les aspects de la vie de la personne !

A quoi ressemble une séance de reiki sur soi ?

 
 

Les séances que l’on pratique sur soi peuvent durer entre 20 et 30 minutes. Elles sont très réparatrices, car elles procurent un confort du corps et de l’esprit – bref, une sensation de bien-être et de détente profonde, qui remplit tout notre être.

La personne est assise sur une chaise, installée confortablement. Elle pose délicatement les mains sur certaines parties de son corps, suivant un protocole d’application des mains précis. 

Dans le même temps, elle pratique une méditation simple ou une méditation basée sur des outils énergétiques approfondis, selon son niveau de formation. Ce toucher, qui est méditatif, libère les tensions du corps et de l’esprit. Avec une pratique au quotidien, on se sent plus ancré et moins stressé, comme en témoigne une cliente passionnée de la méthode et d’hypnose profonde.

Et si vous pratiquiez le reiki à titre personnel ?

 

.

-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin

En 2015, un rapport d’expertise de l’Inserm a évalué l’efficacité de cette technique en analysant les conclusions de 52 essais cliniques menés pour diverses pathologies.

Résultats rapides et étonnants :

  • l’hypnose permet, lors d’interventions sous anesthésie locale, d‘alléger les quantités de sédatifs et d’antalgiques et de réduire les effets secondaires de la chirurgie (nausées, fatigue, inconfort physique, etc.) (1).

Et encore :

  • Son utilisation entraîne une diminution de la douleur et de l’anxiété ressenties par le patient lors de certains actes médicaux, tels une biopsie mammaire (2), la pose d’un cathéter, ou un examen de radiologie interventionnelle (scanner, IRM, etc.).
  • L’hypnose aide à limiter les troubles digestifs (douleurs au ventre, ballonnements, diarrhée et constipation) provoqués par un syndrome du côlon irritable (3), et se montre efficace dans la prise en charge des douleurs chroniques liées à une arthrite ou un cancer (4).
  • Des chercheurs américains ont ainsi constaté une diminution de la douleur chez des patients atteints d’une tumeur maligne osseuse ayant pratiqué au moins quatre séances hebdomadaires d’auto-hypnose à leur domicile (les participants recevaient un CD dans lequel un thérapeute les guidait pour se relaxer et suggérait des images mentales afin d’induire un état hypnotique) (5).
  • Enfin, des séances d’hypnose ont permis de réduire la fatigue de patients atteints de fibromyalgie, une maladie chronique associant des douleurs musculaires et articulaires diffuses, et de leur apporter une meilleure qualité de sommeil (6).

Références scientifiques :

1. Évaluation de l’efficacité de la pratique de l’hypnose, Inserm, juin 2015.

2. Adjunctive Self-Hypnotic Relaxation for Outpatient Medical Procedures: A Prospective Randomized Trial with Women Undergoing Large Core Breast Biopsy, Lang et al, Pain, 2006.

3. Effects of Gut-Directed Hypnotherapy on Ibs in Different Clinical SettingsResults from Two Randomized, Controlled Trials, Lindfors et al, The American Journal of Gastroenterology, 2012

4. Hypnotherapy for the Management of Chronic Pain, Elkins et al, International Journal of Clinical and Experimental Hypnosis, 2007.

5. Hypnosis to Reduce Pain in Cancer Survivors With Advanced Disease: A Prospective Study, Elkins et al, Journal of Cancer Integrative Medicine, 2004.

6. Controlled Trial of Hypnotherapy in The Treatment of Refractory Fibromyalgia, Haanen et al, The Journal of Rheumatology, 1991

.

-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en télé-séances (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin

Très en vogue pour l’anesthésie et le traitement de la douleur, l’hypnose est désormais aussi utilisée pour vaincre les phobies, la dépression et les addictions.

Longtemps considérée comme une supercherie digne de manipulateurs de salon, l’hypnose connaît un regain d’intérêt dans le corps médical, d’autant que de nombreuses études scientifiques prouvent son efficacité, notamment comme méthode d’anesthésie et de traitement de la douleur.

Un nombre croissant d’hôpitaux recourent ainsi à l’hypnothérapie lors d’accouchements ou d’interventions chirurgicales, afin de détourner le patient de son stress et d’atténuer les douleurs postopératoires, voire les réactions inflammatoires.

Car l’hypnose « reprogramme » notre perception de la réalité.

L’imagerie cérébrale révèle que la personne se soumettant à cette expérience de conscience altérée voit d’abord l’activité de son cerveau se réduire dans un état de relaxation, lequel la rend disponible à la suggestion.

Durant cette seconde phase, les réseaux de l’émotion, de la vue et de la sensation fonctionnent intensément, et l’activité du cerveau s’en trouve profondément modifiée.

Traitement des addictions, des phobies ou des traumatismes… : au travers d’entretiens avec des scientifiques, des médecins et des patients, ce documentaire propose un passionnant tour d’horizon des perspectives thérapeutiques de l’hypnose.

Une expérience de semi-conscience qui témoigne une fois encore des mystères et de la puissance de notre cerveau, qui « voit ce qu’il croit ».

Aujourd’hui, les athlètes de haut niveau font aussi appel à cette technique afin de mieux maîtriser leur mental et d’accroître leurs performances.

Diffusion sur ARTE : samedi 16 septembre, à 22h25

La période des examens est stressante pour les adolescents et… leurs parents.

Voici quelques conseils afin d’aider au mieux votre enfant.

Brevet des collèges, CAP, BEP, baccalauréat ou examens post-bac. A partir de la troisième, l’adolescent emprunte un itinéraire scolaire ponctué d’examens-étapes, avec le stress qu’ils sous-tendent.

« Ces moments correspondent aussi à une pleine transformation de sa personnalité, de sa maturité intellectuelle, de ses capacités à se transposer et à s’organiser. A cet âge-là, les jeunes sont en grande fragilité et en hypersensibilité au niveau de leur estime de soi, et cela s’ajoute aux angoisses de performances, et à la peur, notamment, de l’échec. »

Du point de vue du parent, c’est une double pression qui s’exerce, à commencer par celle de la société : « Les succès aux examens de nos enfants sont autant de trophées exposés dans la vitrine de nos réussites sociale et familiale.»

Demeure aussi l’idée prégnante que le bonheur de ses enfants est étroitement lié à leur réussite scolaire. Or, ce qui importe avant tout est de guider son enfant en fonction de ses atouts, de ses capacités et de ses sensibilités, de manière socratique. Et surtout que le parent ne lui impose pas, par procuration, ses propres choix.

Bannir les « Si tu n’es pas danseuse/charcutier/architecte ou médecin, je te renie » : le chantage affectif n’a pas lieu d’être, pas plus que le prédéterminisme professionnel !

Est-il utile de rappeler que le parent doit rassurer son enfant, notamment dans ces phases d’anxiété liées aux examens, et veiller à son bien-être et à son bon développement. « Il s’agit d’être vigilant et prêt à entendre ce que l’enfant veut pour lui.»

Pour trois profils types d’adolescents engagés dans la dernière ligne droite des révisions, voici les conseils :

1/ Votre fille est une bosseuse. Elle a préparé son examen plus qu’il ne faudrait. Trop perfectionniste, le surmenage guette

Un bon élève, autonome, ne l’est pas par hasard. Ce n’est pas un profil qu’on tire à la loterie, contrairement à ce que voudraient croire certains parents mal lotis ! C’est le fruit d’un travail éducatif préalable. Cet enfant a reçu une éducation, de l’affection et des marques de confiance. S’il est des traits de personnalité innés, la plus grande majorité s’acquiert et est liée à l’environnement dans lequel le jeune évolue.

Dans le cas d’un adolescent trop bosseur, il revient de lui expliquer que son cerveau a aussi besoin de plaisir, de repos et de recharger ses batteries à la manière de son téléphone ! Et on peut filer la métaphore : à force d’être sur des applis énergivores, si on ne le recharge pas, le risque est de tomber à plat. Il en va de même pour son cerveau.

Le parent va pour cela lui suggérer des activités, des « récréations », des temps essentiels mais pas des temps volés à ses révisions. Son cerveau va ainsi se ressourcer, lui évitant l’épuisement cérébral comme psychique. Au parent de « faire diversion » si l’on peut dire et de lui faire part de sa propre expérience, l’assurant que cela a contribué à sa propre réussite. L’exemple a du bon.

2/ Votre fils est dans une situation extrême de stress. Il a perdu l’appétit, est sujet à l’insomnie, et ne cesse de se dévaloriser

Ce jeune est dans une situation de souffrance psychique. Il faudra certainement envisager de recourir à des soins médicaux psychologiques. Ne pas hésiter, dans les cas extrêmes, à prendre rendez-vous avec un psychopraticien ou un thérapeute pour intégrer par exemple des techniques de relaxation et/ou de méditation, de cohérence cardiaque, de digipuncture (EFT), et thérapie EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing, « désensibilisation et reprogrammation par mouvement des yeux ») aussi… afin de mieux gérer cet excès d’anxiété.

En dehors d’un psy, on peut aussi l’inciter à utiliser des techniques de gestion du stress faciles à assimiler, que l’on peut trouver sur Internet, à travers des applis ou en librairie. Cela peut avoir des bienfaits majeurs immédiats.

Pour des cas un peu moins stressés, il n’y a pas de miracle à attendre des apports de vitamines, de magnésium et autres compléments que l’on peut autoprescrire à son enfant. Cela ne peut pas faire de mal, mais aucune étude n’a démontré les bienfaits pro-cognitifs de ces substances. Cela rassure, certes. Le seul complément alimentaire qui a fait ses preuves sont les acides gras oméga 3 issus de la mer.

Les parents doivent rappeler à leur ado que le stress est physiologiquement normal et que l’inverse serait plus inquiétant ! Ils peuvent l’aider à décompresser en lui proposer des activités, en lui réservant attentions et surprises, et surtout en lui épargnant leur propre stress, très contagieux.

Avant tout, lui témoigner sa confiance et sa solidarité et rester calme face à l’épreuve qui l’attend (et vous aussi).

3/ Votre fille procrastine et ne semble pas vouloir s’atteler à ses révisions

C’est l’adolescent qui demande le plus à être coaché. Le procrastinateur, s’il n’est pas dans la quête de sensations fortes et de bouffées d’adrénaline en faisant les choses au dernier moment, est, dans la majorité des cas, paralysé par l’angoisse, d’où son inaction. Le parent doit être très présent, le rassurer et le guider dans son organisation par l’élaboration d’un rétroplanning.

La procrastination est très souvent liée à l’anxiété et à l’angoisse de performances. Pour l’en libérer, le parent doit l’assurer qu’il n’attend pas de lui d’exploits, mais simplement qu’il mette tous les atouts de son côté. Lui rappeler que la persévérance paie.

Le parent doit aider cet adolescent à élaborer et à suivre, bien en amont des examens, un programme précis de révisions avec des objectifs réalisables, un rythme adapté… et un accompagnement quotidien. Si ce « chaperonnage » exacerbe les tensions, et à condition d’en avoir les moyens, mieux vaut déléguer cet accompagnement à un tiers (cours particuliers, par exemple).

Trois règles d’or :

    • Evincer les écrans des smartphones des tables de travail : ils sont, par leurs interactions toutes les (au moins) 14 secondes, trop invasifs ! Les révisions se retrouvent complètement hachées et superficielles. « Du point de vue neuro-scientifique, la mémoire est extrêmement volatile. Avoir deux activités cognitives dans le même temps aboutit à des troubles cognitifs. Le conseil du psychopraticien ? Le jeune doit couper son téléphone, ce deuxième cerveau qui lui sert d’assistance intellectuelle et culturelle, l’incitant à se soustraire à certains apprentissages ! »
    • Veiller à une bonne alimentation : près de 30 % des calories absorbées chaque jour alimentent uniquement le cerveau. « Il est important que l’adolescent sorte de sa malbouffe et prenne des repas équilibrés, hyperprotéinés, riches en oméga 3 et en lipide. Cela revient à mettre de l’essence raffinée dans son cerveau ! »
    • Respecter son rythme et ses temps de sommeil : « Une carence en sommeil est beaucoup plus préjudiciable que le fait d’avoir révisé jusqu’à 3 heures du matin la veille de l’examen. C’est un piège à éviter. » Mais en fonction de la chronobiologie de son enfant, il conviendra de le laisser réviser à partir de 22 heures s’il est plutôt du genre hibou ou de se lever à l’aube s’il est davantage faucon, conseille le thérapeute. « Il ne s’agit pas d’encourager un enfant de troisième à réviser jusqu’à 3 heures du matin non plus ! Il y a des limites. »

Voilà !

Bon courage à tous…

Sources: lemonde.fr, mon expérience professionnelle

Voici des précieux conseils à ceux qui n’ont pas commencé et paniquent, comme à ceux qui veulent s’assurer des révisions productives et sans stress.

Quelles sont les principales difficultés évoquées par les élèves pour la première fois à deux semaines du bac ?

Ils ont l’impression qu’il est déjà trop tard.

Les révisions leur apparaissent comme une montagne, ils ne savent pas par où commencer. Je leur propose de reprendre les rênes, de redevenir le pilote dans l’avion.

Cela commence par avoir une vision de là où ils en sont. Matière par matière, manuel scolaire en main, nous regardons les têtes de chapitre : l’élève doit se projeter en se demandant : serais-je content de tomber là-dessus à l’épreuve du bac ?

Nous faisons trois colonnes, avec les chapitres qu’il faut juste revoir (une lecture en diagonale suffit), ceux qu’ils ont besoin de véritablement réviser, et ce qu’ils ont à apprendre. Cette sorte d’état des lieux est déjà apaisant.

Comment définir les matières à privilégier ?

A J – 15, l’heure n’est pas à la perte de temps, il faut raisonner en stratège. Nous regardons les bulletins de note du deuxième trimestre, les devoirs sur table du troisième.

On cible les matières les plus productives : par exemple, en langues, un élève que j’accompagnais avait 6 en espagnol et 13 en anglais. On a préféré miser sur le bon cheval, et chercher à optimiser sa bonne note d’anglais.

Il est aussi important de faire en sorte d’obtenir une note correcte dans les matières à fort coefficient. On a décidé de ne pas ou peu accorder de temps aux matières qui sont des points forts et aux faibles coefficients.

Il est très important, avec un élève noyé par l’ampleur de la tâche, de trier et hiérarchiser. On définit alors un planning, qui met d’abord l’accent sur ce qu’il y a à apprendre, puis sur les révisions et enfin sur la réactivation des savoirs les mieux maîtrisés.

Et il est souhaitable d’afficher ce planning.

Que conseillez-vous aux élèves qui ont du mal à se mettre au travail ?

Tout d’abord, de définir un lieu de travail qui n’est pas leur chambre. Voilà une génération pour laquelle l’ennemi numéro 1 est la solitude, et pour qui la chambre est l’endroit de trop de tentations.

Si l’on travaille à la maison, la cuisine ou la salle à manger sont souvent appréciées. Ils disent : « Il faut que je travaille là où il y a quelqu’un. » Ils ont un mal fou à s’y mettre seul. Beaucoup de parents mettent leur enfant en internat, la – ou les – dernières années avant le bac, avec une certaine efficacité, car ce genre de structure fixe un cadre de travail.

On voit aussi des parents envoyer leur enfant chez un oncle ou une tante aux vacances de printemps qui précèdent le bac, pour qu’il y ait du monde. Voyez aussi le succès des structures d’accompagnement ou du coaching scolaire, qui montre bien cette difficulté à être seul.

Il est donc bienvenu de préparer son bac hors de chez soi ?

On n’a jamais vu autant de lycéens et d’étudiants silencieux et sans portables dans les bibliothèques et les médiathèques, à l’étage réservé à l’étude. Ils ont besoin d’une ambiance de travail, de voir d’autres qu’eux travailler.

Avec un lycéen que j’accompagne, on a décidé qu’il se rendrait sur le lieu de travail de sa mère : il s’agit de journées cadrées, avec des horaires, une pause déjeuner. Il est important d’avoir une journée structurée, avec des rituels, des horaires fixes, y compris pour manger.

Pour ne pas être seul, le travail en groupe est-il adapté ?

Si, au-delà du quadrinôme, le travail en groupe fonctionne moins bien, le principe du binôme ou du trinôme est idéal. Une vraie dynamique se crée. Cela permet de se confronter à la réflexion de l’autre sur un sujet de philo par exemple.

Voyez le succès des TPE (travaux personnels encadrés) : les élèves ont d’excellents résultats car cela les motive de travailler à deux ou trois. L’habitude d’être connecté à son réseau contribue à la difficulté à être seul, le groupe est une réponse.

Comment organiser une journée de révisions ?

On fait le maximum le matin.

Après le déjeuner de midi, on a moins d’énergie, mieux vaut alors faire des exercices que d’apprendre, se concentrer sur des choses concrètes et pratiques avant de se consacrer de nouveau au réapprentissage. Après 21 heures, il ne faut plus aborder des sujets complexes. Je ne dirais pas la même chose à des étudiants du supérieur, mais à l’âge du bac, c’est préférable.

On définit des plages de 1 h 30 de travail, suivies d’une pause. Le cerveau se dit qu’il peut travailler intensément car il s’agit d’un temps borné, balisé.

Il est contre-productif de se dire : il est 9 heures, je commence et je verrai bien jusqu’où je vais.

Pour être efficace, il faut donc s’assurer des pauses ?

Au Québec, une expérience a comparé les résultats de deux groupes d’enseignants qui devaient corriger des copies. L’un des deux groupes s’est vu proposer de se retrouver pour un café quelques heures plus tard. A l’heure du café, les professeurs du groupe témoin avaient corrigé 30 % de copies en moins que celui à qui on avait fixé un rendez-vous. Cela montre l’importance de s’imposer des perspectives.

Deux lycéennes me disent qu’elles ont décidé de mettre leurs portables dans une autre pièce jusqu’à 16 heures, puis de s’accorder une « pause réseaux sociaux ». Pour les aider, certains jeunes demandent à leurs parents de fixer un cadre.

N’est-il pas souhaitable de se plonger dans une matière pendant tout un après-midi ?

Non, mieux vaut alterner les matières que l’on révise.

En revanche, il est très utile de faire des sujets-types dans le temps de l’épreuve, dans les matières les plus cruciales et dans les conditions du réel, par exemple s’accorder les quatre heures de l’épreuve de sciences économiques et sociales, qui a le plus gros coefficient du bac ES.

Une étude a montré que les élèves obtenant des mentions très bien sont aussi ceux qui s’entraînent plus qu’il ne leur est demandé dans le cadre scolaire.

A J-30, est-il temps de rédiger des fiches de révision ?

C’est un peu tard : on peut faire des mind maps, des cartes mentales.

On prend une feuille au format paysage, on écrit au centre la tête de chapitre, autour les sous-chapitres, puis des dates, des personnages ou notions. On peut consulter des cartes existantes (il y en a beaucoup sur Internet) ou, idéalement, construire la sienne.

Je conseille de stabiloter ses cours, fiches et mind maps avec un même code couleur pour bien retenir ; du jaune pour les gros titres, du rose pour les choses moins importantes, du bleu pour les dates, les personnes…

Sommeil, sport, relaxation…, que recommandez-vous ?

A leur âge, il faut se coucher à 22 h 30 au plus tard, car c’est avant minuit qu’ils auront la meilleure qualité de sommeil, grâce au sommeil profond réparateur. Ceux qui se couchent tard sont souvent les mêmes qui demandent des compléments alimentaires et des vitamines, qui sont à proscrire : j’ai vu des candidats arriver à l’épreuve avec trop d’énergie.

Faire du sport est important. La natation est idéale, car elle permet de se vider. Il est essentiel de se défouler. Dans cette phase, évacuer le stress par l’activité physique me paraît plus important que de se consacrer à la relaxation.

Quelle attitude adopter vis-à-vis de l’entourage, familial et amical ?

Attention à qui vous fréquentez dans les quinze derniers jours. Découragez ceux qui vous découragent ! C’est-à-dire les copains ou les membres de la famille qui vous disent : « Mais tu n’en es que là ! » N’entrez pas dans le conflit, répondez simplement : « C’est ce que tu penses, mais moi, j’avance. »

Parents, veillez à ne pas lancer de petites phrases assassines : « Mais tu n’es pas en train de réviser là ? » Candidats, informez votre entourage : « J’ai quinze jours, j’ai besoin d’être zen, je propose que l’on parle de tout à table sauf de mon bac. » Prévenez-les aussi que si vous avez besoin d’eux, vous leur demanderez.

Les parents peuvent prendre les devants et dire : « Je te fais confiance, si tu as besoin d’aide, c’est toi qui viens me voir. »

En nous aidant à harmoniser nos pensées,nos émotions et nos comportements, la sophrologie favorise un certain équilibre.

Elle permet de mieux mobiliser nos ressources personnelles, et nous
accompagne pour ne pas nous laisser envahir par le stress.

En réalité, la sophrologie est une véritable pédagogie de l’existence, comme le dit Alfonso Caycedo.

Elle permet de mieux exploiter son potentiel, et d’être davantage à l’écoute de soi et de ses sensations. Sa pratique régulière permet de rééquilibrer ses émotions et de renouer avec son corps, pour atteindre l’harmonie.

La sophrologie, c’est « entrer en amitié avec soi-même »…

Comment gérer son stress et renouer avec soi-même

De nombreuses personnes ne sont pas heureuses au travail .

Elles souffrent du stress professionnel avec des répercussions physiques et psychologiques plus ou moins importantes.

Heureux au boulot avec la sophrologieAfin d’accompagner chacun dans la gestion de situations difficiles ou en prévention pour prendre soin de soi, ce nouveau livre partage des méthodes et des techniques issues de la sophrologie.

Pour vous aider à renouer avec vous-même et harmoniser vos émotions, vos corps et vos pensées, pour aborder plus sereinement les situations difficiles et mieux mobiliser vos ressources personnelles, l’auteur Céline Desmons propose 12 séances constituées d’exercices de relaxation dynamique, accessibles et faciles à pratiquer au quotidien.

Dans chaque séance :

  1. des exercices express illustrés de relaxation, des pistes audio pour savoir comment les réaliser ;
  2. les apports pédagogiques et théoriques autour du thème de la séance ;
  3. les nouveaux réflexes et bonnes habitudes à adopter au quotidien pour allier équilibre personnel et efficacité

Stress, anxiété, tension… Prenez soin de vous au boulot avec la sophrologie !

Sommaire:

  1. Comprendre la sophrologie
  2. 12 séances pour un renouveau avec soi-même
  3. Exercices express pour progresser en situation
  4. Les bonnes habitudes pour allier équilibre personnel et efficacité au quotidien
  5. Les réponses à vos questions pratiques.

Qui est l’auteur ?

Céline Desmons, diplômée de l’ESSCA, a travaillé pendant une dizaine d’années dans le domaine du marketing et de la communication au sein de grandes marques cosmétiques et textiles (Clarins, Phytomer, Ekyog). Elle dirige Desmons Conseil qui accompagne les entreprises dans la conception et la mise en œuvre de leur stratégie marketing. Egalement diplômée de l’Institut de Sophrologie de Rennes, elle intervient sur la gestion du stress et des émotions dans le monde du travail.

Source: « Etre heureux au boulot avec la sophrologie« , de Céline Desmons, éditions Eyrolles

Vous êtes débordé ?

Toujours fatigué ?

Préoccupé par votre santé, vos habitudes alimentaires, votre vie sexuelle ?

Apprenez facilement à méditer !

Le principe du calmeCe nouveau livre de Paul Wilson propose une méthode concrète, facile à mettre en œuvre, pour vous aider à vous recentrer, à faire le point.

Grâce à la méditation et à la relaxation, vous vivrez pleinement chaque instant, vous vous sentirez heureux, en forme, vous surmonterez les obstacles en toute sérénité, vous mangerez mieux et dormirez bien.

Paul Wilson nous offre ici la possibilité de transformer radicalement notre vie quotidienne.

Vous allez avoir une petite merveille entre vos mains !

Cet ouvrage se lit très vite et est très simple à comprendre.

Il vous déculpabilisera vraiment si vous ne savez pas méditer, mais tout simplement besoin de calme et de se poser de temps en temps.

Afin de prendre le recul nécessaire…

 

Source: « Le principe du calme« , de Paul Wilson, éditions J’ai Lu Bien-être

Yogathon, F.Duval-Levesque psychopraticien hypnotherapeute coach, Toulouse

Après New-York et Toronto, 

un Yogathon géant et musical aura lieu

pour la première fois 

sur les plages du Prado à Marseille.

Le 21 Juin prochain !

Information et inscription sur :
www.artofliving.org/fr-fr/yogathon-marseille

psychotherapie, burn out, F.Duval-Levesque psychopraticien et hypnothérapeute, TCC

Comment relancer la machine après un burn out ? Voici 7 conseils pour redémarrer et éviter de retomber dans les écueils.

Le burn out, ou le syndrome d’épuisement professionnel est une maladie classée parmi les risques psychosociaux professionnels. Il résulte d’une exposition prolongée à un stress permanent et se caractérise par un ensemble de signes et de symptômes (par exemple, une modification du comportement au travail).

1. Oubliez vos performances passées

Car ce sont celles qui vous ont mené à la rupture. Faites un point sur les limites que vous avez dépassé, prenez conscience du déséquilibre. Ce questionnement sur vos pratiques pré-burn out vous permettra de trouver des réponses et vous évitera d’y retomber.

2. Modifiez les contours de votre poste

Parlez-en à votre hiérarchie. Redéfinissez les contours de vos missions en vue de les alléger et les rendre plus atteignables. Apprenez à déléguer vos tâches, demandez s’il est possible d’embaucher une personne pour vous épauler, négociez des jours de télétravail… Il vous faut changer définitivement votre environnement !

3. Fixez vos propres limites

Et pour votre plus grand bien, apprenez à les respecter. Décrochez de votre portable, de vos mails après une certaine heure. Déterminez le nombre maximal de dossier à traiter dans la journée, le nombre de rendez-vous dans la semaine… Les limites doivent également être fixées dans la vie personnelle. Selon Sabine Bataille, coach et sociologue, « parvenir à un équilibre de vie global est essentiel pour se reconstruire ».

4. Faites respecter ces limites

Avant votre burn out, vous faisiez passer les autres avant vous, chaque demande extérieure (de vos collègues ou de votre hiérarchie) était une priorité… Il est temps d’inverser les rôles : soyez votre propre priorité et sachez dire « non » (tout en planifiant une date d’accomplissement ultérieure). Il peut être difficile de dire « non » à son manager. Alors, lorsqu’il vous demande plusieurs tâches pour une même date butoir => fixez avec lui les priorités.

5. Fixez des sous-objectifs

Si un objectif vous paraît inatteignable, fixez-vous des objectifs intermédiaires. A l’accomplissement de chacun de ses objectifs, vous vous féliciterez et vous rapprocherez du but final sans vous en rendre compte. Soyez indulgent avec vous même est sachez reconnaître votre propre travail. N’attendez plus la reconnaissance des autres ! Voyez le travail que vous avez déjà réalisé, plutôt que de regarder celui qu’il vous reste à faire, ce simple changement de perspective peut modifier votre manière de travailler.

6. Prenez le temps de vous ménager

Ne vivez pas pour votre travail. Imposez une barrière une fois que vous avez fini votre journée de labeur. Si vous n’y parvenez pas, dites vous que la relaxation fait parti du travail et qu’elle est primordiale pour garantir la meilleure efficience. Prenez du temps pour votre famille, pour vos amis et surtout pour vous même ! Vous ressourcer vous permettra de recharger les piles à bloc.

7. Retrouver le « plaisir » du travail

Le burn out à éteint votre flamme, votre envie du travail, vous n’y trouvez plus aucun plaisir. Une notion néanmoins importante pour tenir dans la durée. Posez-vous les questions qui apportent du sens à votre place dans l’entreprise :

Etes-vous satisfait ?
Ce travail/métier a-t-il du sens pour vous ?
Qu’apportez vous à l’entreprise, mais surtout, que vous apporte l’entreprise ?

Cet introspection vous permettra de remettre les pendules à l’heure et, le cas échéant, à rectifier votre tir en revoyant votre plan carrière.

 

 

 

.

Bénéficiez d’une information (entretien de 30 minutes gratuit et sans engagement) pour un soutien psychologique, une psychothérapie ou du coaching en cliquant ici

1 – Relâchez progressivement votre corps

Assis confortablement, fermez les yeux. Les mains sur les cuisses, les jambes allongées. Sentez les contacts du fauteuils.

Prenez conscience de la détente sur votre visage : votre cuir chevelu, votre front se relâche, les joues se décrispent, votre mâchoire s’entrouvre légèrement. Prenez conscience de la détente de votre nuque et de vos épaules. Cette vague de détente descend le long de vos bras jusqu’aux bouts de vos doigts. Puis votre poitrine, vos organes, votre bassin puis vos jambes se relâchent à leur tour, jusqu’à l’extrémité des orteils.

Votre corps est à présent bien relâché, et s’enfonce un peu plus dans le fauteuil. Cette sensation vous apaise et vous rassure.

 

2 – Concentrez-vous sur votre respiration

Vous vous sentez en sécurité, en confiance. Maintenant que votre corps s’est peu à peu abandonné à la détente, c’est au tour de votre mental de rendre les armes et de se laisser gagner par le calme. Pas question de le laisser papillonner.

Pour cela, recentrez-vous sur votre respiration. Inspirez profondément quelques secondes et à l’expiration soufflez par la bouche en laissant échapper un « hang… ». A chaque expiration, ce son vibre en vous et vous libère un peu plus des éventuelles crispations résiduelles.

Ressentez ce qui se passe en vous en respirant ainsi, sentez l’air qui entre dans vos narines et qui oxygène chacune des cellules de votre corps. Suivez le trajet de l’air qui nourrit votre corps. Le bruit de votre respiration est le seul à perturber votre silence intérieur.

 

3 – Choisissez une « ancre »

Comme pour figer cette douce torpeur mentale et corporelle, vous allez vous imprégner de l’évocation positive d’un mot. Choisissez un terme qui évoque le calme et le bien-être, par exemple « détente », puis inspirez. Bloquez votre respiration quelques secondes.

Soufflez et remplissez votre corps de l’évocation positive de ce mot, en le répétant intérieurement comme un mantra.

 

Durée : minimum trois minutes

 

.

Bénéficiez d’une information (entretien de 30 minutes gratuit et sans engagement) pour un soutien psychologique, une psychothérapie ou du coaching en cliquant ici

 

Hier, c’était la journée mondiale contre le cancer. L’occasion de faire le point sur notre hygiène de vie et de prendre enfin quelques bonnes résolutions pour notre santé.

6. La viande rouge avec modération

Dernièrement, le Conseil supérieur de la Santé (CSS) a recommandé de ne consommer de la viande rouge fraîche ou sous forme de hachis préparés qu’occasionnellement et d’éviter autant que possible les charcuteries à base de viande rouge.

Selon ses conclusions, l’incidence du cancer colorectal pourrait en effet diminuer de 10 à 20% si ces recommandations étaient appliquées.

Toutefois, la consommation modérée de viande rouge reste une source précieuse de protéines. Pour diminuer les risques cancérigènes, il est conseillé d’utiliser des épices et des herbes aromatiques telles que l’ail et le romarin lors de la cuisson
et du rôtissage de la viande rouge. Ces derniers contiennent naturellement des antioxydants.

7. Le café, l’allié inattendu

Plusieurs études l’ont confirmé ces dernières années, le café aurait des vertus anti-cancer.

En 2011, l’Association pour la recherche sur le cancer américaine avait annoncé que consommer trois tasses par jour réduisait notamment le risque de cancer de la peau. Quelques mois plus tard, une autre étude américaine montrait, elle, que le café non décaféiné avait un effet protecteur pour notre gorge.

Quant aux Suédois, ils ont annoncé qu’en cas de cancer du sein, les patientes traitées par le tamoxifène pourraient réduire leur risque de récidive en buvant du café. Dernièrement, on apprenait que le café avec également des vertus protectrices contre le cancer de l’utérus. Mais comme toujours tout est une question de modération !

8. Pas de pesticides dans mon assiette!

Pour prévenir l’apparition de cancer, évitez les expositions aux produits toxiques tels que les pesticides ou insecticides par exemple. Ils sont des perturbateurs endocriniens et sont donc reliés au développement de certaines maladies comme le cancer du sein.

Optez régulièrement pour une alimentation biologique si vous lepouvez. N’oubliez surtout pas de laver correctement vos fruits et légumes avant de les consommer.

9. Bronzez intelligemment!

Le nombre de cancer de la peau connaît un accroissement alarmant chez les moins de 40 ans depuis les dernières décennies. S’il est évidemment conseillé de bien se protéger avant de se mettre au soleil, c’est surtout les cabines de bronzage qui sont pointées du doigt dans ce fléau.

Selon les experts, cette explosion des cancers de la peau chez les jeunes adultes s’expliquerait par un usage accru des salons de bronzage surtout chez les femmes. Les cabines à UV seraient responsables à elles seules de près de 800 morts par an en Europe. Tout comme l’exposition au soleil, les cabines à UV sont aujourd’hui classées comme « cancérogènes certains pour l’homme » par le Centre international de recherche sur le cancer (Circ).

Alors cet été, bronzons intelligemment!

10. Evitez le stress

Selon une étude, un salarié sur deux seraient stressés au travail.

Pourtant on sait aussi que le stress reste un facteur non négligeable de nombreuses pathologies. Il augmente notamment le risque d’infarctus, de diabète, d’insomnie, d’allergies, de dépression… des facteurs aggravants du cancer.

Même si jusqu’à ce jour, aucun lien direct n’a encore été établi entre stress et cancer, il ouvre cependant un climat favorable à l’apparition de cette maladie.

Face à ce constat, plusieurs méthodes s’offrent à nous : faire des séances de yoga, sophrologie ou de relaxation, faire l’amour, bien dormir, prendre du temps pour soi…

Et si on commençait déjà par sourire à la vie ? La bonne humeur, la pensée positive et la joie de vivre reste, eux, votre meilleur allié contre la maladie !

 

.

Bénéficiez d’une information (entretien de 30 minutes gratuit et sans engagement) pour un soutien psychologique, une psychothérapie ou du coaching en cliquant ici

pnl-pour-les-nuls, F.Duval-Levesque, psychothérapie, psychopraticien, coach, formateur, addiction, dépendances, boulimie, dépression

  • Modéliser une ensemble de compétence et les enseigner efficacement
  • Rendre un processus mental plus efficace, plus rapide ou plus créatif
  • Comprendre un individu à travers son langage non-verbal, ses filtres de communication, sa carte du monde
  • Améliorer notre communication
  • Apprendre plus rapidement et efficacement
  • Changer des croyances (des pensées qui nous paraissent être vraies)
  • Changer des comportements (même installés depuis des années)
  • Modifier un état de conscience, développer plus de sensibilité dans les 5 sens
  • Créer des changements durables
  • Apporter une relaxation profonde
  • Enlever ou modifier une douleur, une sensation ou émotion désagréable
  • Modifier les perceptions et ressentis vis-à-vis d’une expérience passée
  • Clarifier nos objectifs
  • Utiliser le langage de manière élégante pour amener quelqu’un à changer
  • Mieux gérer le temps
  • S’améliorer dans quasiment n’importe quel domaine
  • Développer la créativité
  • Augmenter la capacité de résilience

.

Bénéficiez d’une information, avec entretien gratuit et sans engagement de 30-40 minutes, pour une aide, un vrai soutien psychologique, ou une psychothérapie (cliquez ici)

F.Duval-Levesque, psychotherapie, psychopraticien, hypnotherapeute, EMDR, sophrologie, coach, formateur, addiction, dependances, boulimie, depression

  1. Commencer par des améliorations modestes. Plutôt que d’essayer de ne plus jamais vomir, diminuez graduellement la fréquence des vomissements. Écrivez ce que vous avez éprouvé lorsque vous avez réussi à ne pas vomir ou décrivez-le à votre psychopraticien.
  2. Diminuer la prise de diurétiques ou de laxatifs. Si vous avez l’habitude de prendre ces médicaments, diminuez les doses en procédant par étapes successives.
  3. Manger en petites quantités. Mangez peu, très peu même dans certains cas. L’objectif est de dissocier la consommation de nourriture du vomissement qui suit automatiquement.
  4. Éviter de vous isoler. Même si cela vous demande beaucoup d’efforts, essayez de sortir de cet état d’introspection pour vous orienter vers des activités externes. Inscrivez-vous à des cours ou à des activités selon vos habiletés et vos goûts. Choisissez des activités de formation ou de loisirs pour entrer en contact avec d’autres personnes au lieu de rester isolé chez vous.
  5. Pratiquer la relaxation. La relaxation ou des exercices de détente choisis selon vos goûts peuvent vous aider à réduire le stress.
  6. Ne pas garder le réfrigérateur plein de nourriture. Évitez d’acheter des aliments en prévision de vos crises de boulimie. Ne vous facilitez pas l’accès à de grandes quantités de nourriture ou à l’alcool.
  7. Ne pas vomir. Même si vous avez une crise de boulimie, essayez de ne pas vomir après avoir mangé.
  8. Éviter de prendre de l’alcool en période de jeûne. La consommation d’alcool en période de jeûne est extrêmement dangereuse. Si vous prenez en plus des diurétiques et des laxatifs, le risque de déshydratation et d’hypotension grave pouvant entraîner la mort est très grand.
  9. Cesser de vous documenter sur l’alimentation, les régimes, la psychologie. Vous avez probablement beaucoup de connaissances dans ces domaines si vous êtes boulimique. Plus que moi, certainement ! Mais vous vous rendez compte que « savoir n’est pas guérison »… Il est plus important de pratiquer des activités physiques, de rencontrer des personnes etc, que de tout connaître sur votre pathologie.

.

Bénéficiez d’une information, avec entretien gratuit et sans engagement de 30-40 minutes, pour une aide, un vrai soutien psychologique, ou une psychothérapie (cliquez ici)

L‘hypnose peut être efficace pour diminuer les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes de la ménopause, selon une étude publiée dans la revue Menopause.

Gary R. Elkins de l’Université Baylor et ses collègues ont mené cette étude avec 187 femmes qui avaient au moins 7 bouffées de chaleur par jour ou 50 par semaine. Elles ont été assignées au hasard à faire partie d’un groupe participant à des sessions d’hypnothérapie ou à des sessions d’information et de support.

Celles qui recevaient le traitement d’hypnose ont participé à cinq sessions où elles recevaient des suggestions d’imagerie mentale évoquant la fraîcheur, un lieu sécurisant ou la relaxation selon leur préférence. Elles recevaient aussi un enregistrement audio d’induction hypnotique à pratiquer quotidiennement. Le groupe témoin participaient à 5 séances d’information et de support et recevait un enregistrement audio d’informations.

Les participantes enregistraitent dans un journal quotidien leurs bouffées de chaleur et la fréquence de ces dernières étaient aussi mesurées objectivement au moyen d’un appareil mesurant la conductance de la peau.

Après 12 semaines, celles qui ont reçu l’hypnothérapie rapportaient 75 % moins de bouffées de chaleur, comparativement à 13 % de celles du groupe témoin. La conductance de la peau indiquait une réduction de 57% comparativement à 10% pour le groupe témoin.

Elles rapportaient aussi moins d’interférence avec leur vie et un meilleur sommeil.

L’hypnose pourrait améliorer la fonction du système nerveux parasympathique, surnommé système du repos et de la digestion (« rest and digest »), qui inhibe le système nerveux sympathique, qualifié de système de la fuite ou du combat (« fight or flight »). Ce dernier contrôle des fonctions telles que la transpiration et le rythme cardiaque.

Références: psychomedia.qc.ca, psychcentral.com, Psych Central, webmd.com

.


Pour une information et un entretien gratuit de 30 à 45 minutes, sans engagement, concernant une aide, un soutien psychologique, ou une psychothérapie -> cliquez ici

Il y a un an, le docteur Marc Bonnel a trouvé un truc imparable pour diminuer l’appréhension qui saisit chacun de nous lorsqu’il franchit le seuil du cabinet dentaire. Donc pour se simplifier la tâche.

Ce dentiste, qui partage avec trois confrères un cabinet rue Houdan, en centre-ville, a installé dans sa salle, au bout du fauteuil de soin, un grand écran. Et a commencé à projeter, en musique, à ses patients allongés les photographies du parc de Sceaux prises du haut de son cerf-volant par Florence Arnaud, l’institutrice en retraite dont nous vous avions conté la passion pour la photo aérienne.

De nouvelles photos, qui pour l’instant n’ont fait l’objet d’aucune publication.

« Enfants, adultes, personnes âgées, tout le monde la connaît à Sceaux, où elle a enseigné pendant des décennies, rappelle le Dr Bonnel. Tout le monde a été intrigué par son cerf-volant rouge flottant au-dessus du parc. Donc immédiatement, avant même le démarrage des soins, la conversation s’engage et l’attention des patients est détournée, on sort de l’univers dentaire. »

Ensuite commence le défilé de superbes photos, avec des effets de zoom sur certains détails. « Et là, on passe de l’appréhension à l’enchantement. » Les patients fréquentent ce parc, ont un lien affectif avec lui, cherchent où se trouve tel endroit photographié, reconnaissent les cerisiers en fleurs, tentent de deviner en quelle saison telle image a été prise. Le dentiste, tout en s’affairant, explique par le menu les techniques de Mme Arnaud, comment elle accroche son appareil photo à un cerf-volant, une perche ou un drone… Et ça marche ! « Le stress diminue. La pilule du soin passe mieux. »

Depuis quelques mois, Florence Arnaud a commencé à travailler en trois dimensions. Elle organise déjà des séances de projections chez elle. Bientôt, chez le Dr Bonnel, des  soins dentaires en immersion, avec lunettes 3D ?

Référence: http://sceaux.blog.lemonde.fr, © Antonin Sabot pour la photo

.


Pour une information et un entretien gratuit de 30 à 45 minutes, sans engagement, concernant une aide, un soutien psychologique, ou une psychothérapie -> cliquez ici

Le mot stress a été introduit en français vers 1936 par le physiologiste canadien Hans Selye.
Il désigne la réponse de l’organisme (aussi appelée « syndrome général d’adaptation ») à des stresseurs, c’est-à-dire à des situations ou des événements qui sont perçus comme exerçant une demande ou étant agressants. La signification du terme a ensuite été élargie pour englober la cause de cette réaction.Le stress ou syndrome d’adaptation se développe en trois phases:

  1. La réaction d’alarme est la phase initiale où l’organisme reconnaît l’agression et se prépare à agir (soit à combattre, soit à fuir). Cette réaction implique les systèmes nerveux et endocrinien. Les glandes endocrines libèrent des hormones (cortisol et adrénaline) qui accélèrent les rythmes cardiaque et respiratoire, élèvent la glycémie, augmentent la sudation, dilatent les pupilles et ralentissent la digestion.
  2. Au stade de résistance, l’organisme s’adapte à un stresseur persistant et régule les perturbations provoquées par la réaction d’alarme.
  3. Le stade de l’épuisement est atteint lorsque, en présence d’une agression ou d’une demande persistantes, l’organisme ne parvient plus à compenser la réaction d’alerte chronique. Une réaction de stress prolongée (chronique) affaiblit les réserves énergétiques de l’organisme et a des impacts négatifs sur les systèmes cardio-vasculaire (tension artérielle élevée par exemple) et immunitaire. Le stress peut ainsi conduire à diverses maladies et accélère certains aspects du vieillissement.

La réponse de stress de l’organisme peut être modifiée ou atténuée par la relaxation décrite par Herbert Benson en 1970.

  • Alors que la réaction de fuite ou de combat, ou de stress, est modulée par le système nerveux sympathique, la réaction de relaxation est modulée par le système nerveux parasympathique. Elle a des effets opposés à la réaction de stress: ralentissement du rythme cardiaque et respiratoire, réduction de la tension artérielle et musculaire, baisse importante de la consommation d’oxygène.
  • La réponse de relaxation peut être induite, à divers degrés, par la psychothérapie comportementale et cognitive, la détente, les techniques de relaxation, l’activité physique et le rire notamment.

Référence: psychomedia.qc.ca, wikipedia


.


Les Français manquent de sommeil. Vous, peut-être.

Que faire pour mieux dormir?

Une enquête TNS Healthcare réalisée pour l’Institut national du sommeil et de la vigilance (ISV, dont les résultats sont rendus publics à l’occasion de la 7e Journée nationale du sommeil, indique qu’un Français sur trois est fatigué et qu’un sur cinq souffre d’insomnie.

À l’occasion de cette journée, les spécialistes veulent alerter sur l’importance pour la santé physique et mentale de dormir autant que le corps le demande.

Voici quelques conseils, appuyés par les recherches, pour un meilleur sommeil:
  1. Faites de votre sommeil une priorité. Le sommeil est nécessaire pour la santé tout comme une bonne alimentation, l’exercice physique et la gestion du stress. Le manque de sommeil a été associé à la dépression, aux risques accrus d’accidents cardio-vasculaires, de diabète et d’obésité.
  2. Réservez au moins une heure ou deux avant le coucher pour vous détendre. Considérez ce temps comme une pause ou un congé où il n’est plus question d’essayer de résoudre les problèmes. Remettez vos tâches, vos soucis et vos réflexions au lendemain. Faites des choses agréables et faciles. Cette étape est nécessaire pour faire baisser le niveau d’activation physiologique … et pour ajouter de l’agrément à vos journées.
  3. Développez un rituel avant d’aller au lit. Le rituel vous conditionne à la relaxation et au coucher. Il devient associé dans votre esprit à la fin des activités et il facilite la baisse du niveau d’activation.
  4. Allez au lit uniquement lorsque vous vous sentez somnolent.
  5. Essayez de ne pas vous coucher et vous lever trop tard la fin de semaine afin de ne pas perturber votre rythme de sommeil.
  6. Il est souvent conseiller de réserver votre lit uniquement au sommeil et aux activités sexuelles. Sur ce point, à vous de voir comment vous réagissez. S’il peut être mauvais pour le sommeil de passer la soirée au lit à lire, regarder la télévision ou même travailler, il peut aussi être aidant d’inclure dans le rituel du coucher un peu de lecture ou de télévision au lit. Attention pour lire et regarder des choses plaisantes. Pour plusieurs, ce n’est pas un bon temps pour se tenir au courant de l’actualité.
  7. Apprenez une technique de relaxation et pratiquez-la au coucher.
  8. L’exercice physique régulier aide à la qualité du sommeil. Évitez cependant l’exercice exigeant trois heures avant le coucher.
  9. Évitez la caféine environ 4  heures avant le coucher. Évitez également l’alcool qui peut vous aider à vous endormir, mais dont les symptômes de sevrage au cours de la nuit peuvent causer des éveils et sont souvent associés à des cauchemars et des réveils en sueurs.
  10. Ne mangez pas lourdement avant de vous coucher.
  11. Minimisez le bruit (au moyen de bouchons au besoin) et la lumière.

Et suivez ces conseils… 😉

 

Sources: psychomedia, divers

.


Pour une information et un entretien gratuit de 30 à 45 minutes, sans engagement, concernant une aide, un soutien psychologique, ou une psychothérapie -> cliquez ici