« Si tu es déprimé, tu vis dans le passé. Si tu es anxieux, tu vis dans le futur. Si tu es en paix, tu vis dans le présent. »

Quel gourou bien-être à la mode nous livre cette vérité ?

Lao Tseu, né au Ve siècle avant JC.

Ah, savourer le présent !

Faisons un petit saut dans le temps. Essayons le XVIe siècle avec le dernier livre du Pr Michel Le­joyeux En bonne santé avec Montaigne (Éditions Robert Laffont).

Ce grand esprit écrivait déjà : « Nous ne som­mes jamais chez nous. Nous sommes au-delà. La crainte, le désir, l’espérance nous dérobent le sentiment de ce qui est pour s’amuser. Un esprit soucieux de l’avenir est malheureux. »

Aujourd’hui, les neurosciences confirment. Selon une étude réalisée auprès de 250 étudiants américains, les jeunes les plus investis dans l’instant présent ont mieux résisté au stress de la pandémie que les autres.

De même, affirme le Pr Lejoyeux, on serait en meilleure santé quand on vit dans la pleine conscience de son corps, de sa respiration, de ses mouvements, de la présence de celles et ceux qui donnent du sens à la vie.

Pour Montaigne, il ne faut pas hésiter à s’échapper vers la rêverie. Comme une arrière-boutique rien qu’à soi dans laquelle il faut prendre l’habitude de discuter avec soi-même, de parler, de rire.

Ce que le philosophe Charles Pépin appelle le vagabondage cérébral : « Quand on ne fait rien, on fait plein de choses. » En revanche, il est temps de fermer son musée personnel de la tristesse. Plutôt que de ressasser ce qui ne va pas, il faut chercher de manière active des motifs de satisfaction.

Parmi eux, se réveiller en musique, marcher tôt en pleine conscience, ne pas tout prévoir pour la journée qui commence, prononcer à voix haute le mot « peut-être », noter ses rêveries, « faire l’amitié » au moins une fois par jour…

-> « Nager est le meilleur médicament que j’ai trouvé contre le chagrin, la fatigue, l’ennui », annonce la journaliste et écrivaine Colombe Schneck. « Nager m’aide à me concentrer, trouver des idées, me tenir droite, ne pas trop râler », renchérit sa sœur Marine.

Ensemble, ces grandes nageuses ont testé les quarante-deux piscines de la capitale. Tarifs, qualité de l’eau, fréquentation, propreté des vestiaires… Elles ont tout passé au crible et publient Paris à la nage (Éditions Allary), un hymne à la natation super documenté qui donne vraiment envie de plonger. Les Schneck sisters insistent : « Comme le yoga, la natation transforme. J’ai enfin atteint ce truc tarte à la crème de tous les guides de développement personnel, être présent au présent. »

-> Fictions propices aux déclics intérieurs, poésie, feel good books et autres ouvrages réparateurs sont nos meil­leurs alliés cet été. Les études menées sur la bibliothérapie le montrent : la lecture est un formidable antistress, elle fait grandir l’empathie, prend soin du cœur, de l’esprit, de la psyché.

La beauté d’un personnage, d’un texte aide parfois à passer un cap.  C’est comme une parole : on peut l’entendre à différents degrés, certains passages nous touchent un jour, d’autres pa­ges, un an plus tard.

Pour soigner, les mots peuvent être dits, comme dans les ateliers de bibliothérapie créative. Et surtout écrits, dans un journal intime. Classique ? La pratique connaît un revival sous le nom de journaling, portée par des figures comme Oprah Winfrey ou Julia Cameron.

Variante en vogue, l’écriture expressive appelle à approfondir nos émotions éprouvantes et boucles négatives ou énergivores plutôt que de détailler les journées ou une vie rêvée. Parmi les exercices proposés dans Les Bienfaits de l’écriture, les bienfaits des mots (Éditions Odile Jacob), la docteure en psychopathologie Nayla Chidiac invite à dessiner en mots «l’anatomie d’un chagrin» (ou d’un échec…) réel ou ima­ginaire.

Commencez par un descriptif de l’événement au scalpel, avec des phrases simples, tranquilles, sans pathos. Introduisez ensuite un «je» qui restitue la description, tel un journaliste qui commenterait un fait divers. Ce passage de l’intime à l’écriture descriptive permet de nous distancier par rapport à la douleur.

« Ces exercices écrits se pratiquent 15 minutes par jour, deux fois par semaine, puis en augmentant la fréquence jusqu’à ce que l’écriture devienne un besoin », indique Nayla Chidiac, qui a fondé les ateliers d’écriture thérapeutique à l’hôpital Sainte-Anne, à Paris. À la clé, un bien-être mental et physique accru. À vos stylos.

-> Intéressant de méditer au moins douze minutes par jour. Rien que le fait de se poser en silence, de mettre ses pieds sous ses genoux, les mains sur ses jambes, de fermer les yeux, de faire trois respirations conscientes, ça change la journée. La méditation du matin a un pouvoir incroyable, notamment en posant des intentions pour la journée : “J’ai envie que la journée se passe bien et j’ai envie de la vivre.”

Autre conseil pour réduire le stress : faire une tâche l’une après l’autre. Le cerveau est monophasé. Manger + scroller son téléphone + regarder la télé en même temps, c’est le court-circuit assuré.

-> Avec le stress, la malbouffe et la sédentarité, nous souffrons en permanence d’un excès d’acidité qui crée un terrain inflammatoire chronique. Pour rétablir l’équilibre, l’organisme puise dans ses réserves de molécules neutra­lisantes, comme le calcium et le magnésium des os ou des dents, le potassium des muscles. Cet automne, on essaie d’al­ca­liniser ses menus en limitant au maximum les aliments industriels transformés, tous les sucres (friandises, gateaux mais aussi tous les féculents), les boissons gazeuses, en forçant sur les viandes (qui contiennent toutes les protéines dont vous avez besoin), végétaux, légumes.

-> Être tolérante face à nos faiblesses, cesser de zoomer sur ce qui cloche, basculer de l’au­tojugement à l’auto-bonté… La clé de la joie et de la sérénité est dans le rapport que l’on entretient avec soi Selon les travaux de Kristin Neff, professeure agrégée de déve­loppement humain et de culture à l’université du Texas, chercheuse pionnière sur le sujet, l’auto-bonté serait plus puissante que l’estime de soi. Cette dernière nous pousse à l’auto-éva­luation et peut induire angoisse de performance et quête d’approbation sociale.

L’amour de soi n’est pas fondé sur les accomplissements ou les signes extérieurs de réussite. Ce n’est pas être parfait ni être heureux. Le self-love ne fait pas honte, ne rabaisse pas, ne critique pas.

En forgeant un moi plus bienveil­lant, on a plus d’énergie pour vivre pleinement, plus d’amour à partager, des relations plus saines. Mais comment fait-on pour s’aimer, simplement ? Il faut déjà le vouloir et y consacrer des moments réguliers. Des exercices simples, des méditations guidées, de l’auto-hypnose hebdomadaire, font grandir, jour après jour, ce nutriment indispensable à nos vies.

-> En attendant le déclic, le temps ou le budget pour s’offrir les services d’un vrai coach, de multiples ouvrages pratiques et créatifs accompagnent notre envie de changer.

 En mode humour, L’Art subtil de s’en foutre. Un guide à contre-courant pour être soi-même, de Mark Manson (Éditions Eyrolles), aborde avec piquant la manière de surmonter les pertes et les échecs. On explore nos valeurs et notre iden­tité d’une façon originale et on se met en mouvement.
● Pour les âmes sensibles au chamanisme, la psychothérapeute Marie Caiazzo partage dans Le Guérissage (Tana Éditions) une boussole qui aide à révéler les ressources intérieures, le Compas (compassion, objectif, mouvement, patience, acceptation, souffle). Grâce à cet outil de transformation inspiré des sagesses amérindiennes, on embrasse nos émotions et nos ressentis pour retrouver notre raison de vivre. Et l’énergie qui va avec.
● Envie de vivre comme une guerrière ? Le Grand Livre des principes toltèques, de Patrice Ras (Éditions Eyrolles), dévoile ces axes de conduite puissants qui envahissent même le milieu du management. Que votre parole soit impeccable ; quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle ; ne faites pas de suppositions ; faites toujours de votre mieux ; soyez sceptique, mais apprenez à écouter…

Ces règles simples transforment nos échecs en prise de conscience, nos besoins en désirs, nos désirs en décisions.

Quand les problèmes deviennent projets, l’envie de déplacer les montagnes revient 🙂

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

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« Pardonner,

c’est délivrer un prisonnier.

Et découvrir que le prisonnier,

c’était vous »

______

Oscar Wilde

  • augmenter votre confiance, votre estime de vous-même ?
  • mieux gérer vos émotions, vous détendre ?
  • vous endormir facilement ?
  • mieux gérer votre stress et votre anxiété ?
  • mieux vous connaitre ?
  • prendre un nouveau départ et revivre ?

Vous avez raison. Je peux vous aider.

Partons ensemble

à la rencontre de votre inconscient bienveillant.

Afin de vous offrir une vie plus sereine et gratifiante !

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Ecouter l’autre,

c’est le faire exister !

  • Éprouvez-vous du ressentiment envers quelqu’un ?
  • Avez-vous de la rancune ?
  • Y a-t-il de la haine en vous ?
  • Les cicatrices sont-elles effacées ? Vous reste-t-il des mouvements de colère ?
  • Avez-vous oublié toutes les souffrances de l’insulte ?
  • Avez-vous été victime d’humiliation ?
  • Les agressions mentales et physiques ont-elles disparu de vos rancœurs ?
  • L’amertume des révoltes intérieures est-elle chose du passé ?
  • Toutes vos peines sont-elles sorties de vos entrailles ?
  • Avez-vous cessé de revenir sur les histoires d’hier ou radotez-vous encore ?
  • Vivez-vous toujours dans le passé ?
  • Quand vous pensez à vos échecs, comment réagissez-vous ?
  • Êtes-vous une proie facile pour ceux qui abusent ?
  • Vous êtes-vous déjà pardonné pour vos erreurs ?
  • Pensez-vous à la vengeance ?

 

Savoir pardonner, c’est avant tout avoir appris à s’aimer.

Pour aimer son prochain et être aimé des autres, il faut commencer par la phase numéro un de l’amour : s’aimer !

Nous avons souvent du mal à pardonner, pensant que ce qui nous arrive est de la faute des autres. Vivre un véritable pardon s’avère difficile voire impossible.

Mais il existe plusieurs raisons pour lesquelles cette ultime étape est importante, sinon essentielle.

Elle permet de nous libérer des expériences du passé qui nous poursuivent, des injustices que nous ruminons constamment, d’abandons non mérités, d’une vie que nous n’avons pas choisie, d’une sangle de mal-être dont nous pensons ne jamais pouvoir nous libérer.

Dans ce nouveau livre, l’auteur guide le lecteur sur le chemin du pardon afin qu’il puisse retrouver la paix du coeur, et se sentir pleinement heureux.

Il les aide à suivre les deux règles fondamentales A (Acceptation) et P (Pardon) pour accéder enfin à une vie harmonieuse, à la paix de l’esprit, du coeur et de l’âme.

Qui est l’auteur ?

Daniel Sévigny est lauteur de « Pensez-Gérez-Gagnez », « Lamour au pluriel », « L’amour singulier », « Conversation entre hommes », « De l’ombre à la lumière », « Les clés du Secret », « L’autoguérison et ses Secrets », « Mon associé cest l’Univers » et « Presse le bouton », tous parus aux Éditions de Mortagne et traduits en plusieurs langues. Il est aussi le concepteur de la formation « Gestion de la Pensée » et du stage « L’amour au pluriel ».

 

Source: « Osons le pardon« , de Daniel Sévigny, éditions de Mortagne

Peut-on affirmer aujourd’hui encore que le sport est un instrument de rapprochement entre les peuples ?

Qu’il jouit d’une certaine autonomie par rapport au politique ?

Le sport, comme d’ailleurs bien d’autres secteurs de la vie sociale, économique, culturelle, est particulièrement sensible aux fluctuations des relations internationales: qu’il soit l’un des instruments privilégiés des politiques étrangères des États (par exemple, avec l’arme de boycottage), qu’il s’affirme comme vecteur des nationalismes, en jouant sur les représentations et le sentiment national de l’opinion publique, ou encore qu’il s’érige en instrument de propagande (les sportifs sont des porte-drapeaux, des ambassadeurs).

psychotherapie, addiction sexuelle, dépendance, boulimie, F.Duval-Levesque psychopraticien, hypnothérapeute, coach, TCC, hypnose, ppolitique, sport haut niveauÀ moins que l’appareil politique et gouvernemental, se substituant à ses propres instances sportives nationales, utilise le sport en tant que ciment de l’identité nationale et instrument de pression internationale (comme ce fut le cas dans l’Italie fasciste, l’Allemagne nazie ou plus récemment dans la Tunisie du président Bourguiba).

Ces phénomènes apparaissent dès le début des JO !

Perçus comme des vitrines des pays hôtes souhaitant défendre et améliorer leur image, voire comme une tribune planétaire pour formuler revendications et prises de position, les JO n’ont eu de cesse, tout au long de leur histoire, d’être le reflet de rivalités géopolitiques, qu’il s’agisse de l’attribution de l’organisation de la compétition ou du décompte des médailles.

Suivis par plus de 4 milliards de téléspectateurs, attirant plus de 10 000 athlètes de 200 délégations nationales différentes, les Jeux olympiques d’été figurent donc, aujourd’hui, parmi les événements les plus populaires au monde… et les plus politiques.

Vous découvrirez, dans ce nouveau livre des éditions Eyrolles, que le mythe fondateur de l’apolitisme ne résiste pas à l’examen des réalités.

Pascal Boniface décrypte l’histoire du mouvement, entre boycott, polémiques et médiatisation.

Il évoque la compétition entre nations, l’affirmation des identités nationales, mais aussi les événements dramatiques et les espoirs portés par l’olympisme.

Il nous donne également de nombreuses clés pour repenser les JO, dans leur approche politique et géopolitique

Lisez cet extrait du sommaire:

  • Le mythe de l’apolitisme olympique
  • Le CIO, un gouvernement mondial ?
  • La paix par les Jeux ?
  • Arrière-pensées politiques et stratégiques
  • De la renaissance à la Première Guerre mondiale
  • L’entre-deux-guerres, institutionnalisation et rivalités politiques d’après-guerre
  • Berlin, les Jeux d’Hitler et du nazisme
  • De la Seconde Guerre mondiale à la guerre froide
  • Melbourne 1956, olympisme et crises internationales
  • Les Jeux olympiques et la décolonisation
  • Rome 1960 et Tokyo 1964, pardon aux ennemis et ouverture à l’Asie
  • Mexico 1968, sang versé et poings levés
  • Munich 1972, les jeux ensanglantés
  • etc…

Qui est l’auteur ?

Pascal Boniface est directeur de l’Institut de relations internationale et stratégiques (IRIS). II enseigne à l’Institut d’études européennes de l’Université Paris-VIII, et a écrit et dirigé une cinquantaine d’ouvrages sui les questions stratégiques. L’IRIS est un centre indépendant d’études en relations internationales. Ses activités comprennent la recherche et l’expertise, les publications, l’organisation de colloques et séminaires et l’enseignement sur les questions internationales.

 

Source: « JO politiques: sport et relations internationales« , de Pascal Boniface, éditions Eyrolles

Comment parler des attentats meurtriers de Paris à un enfant ?

Partout, l’émotion est forte. Une question majeure se pose alors aux parents et aux enseignants : comment expliquer le drame aux plus jeunes ?

enfants

Le Dr Alain Broca, neuropédiatre et spécialiste du développement de l’enfant, fournit quelques conseils aux parents démunis.

Faut-il systématiquement parler de ce genre de drame aux enfants, quelque soit leur âge ?

Dr Alain de Broca : Il faut toujours en parler et répondre à leurs questions, même s’il y a bien sûr la difficulté de parler aux plus jeunes qui n’ont pas la même compréhension du monde que les adultes. Et même si les tragédies faites par l’homme contre l’homme sont angoissantes pour l’enfant, comme pour l’adulte. À noter qu’il est indispensable de revenir sur l’événement même si l’enfant est déjà au courant. Nous sommes en effet à une époque où les enfants ont pu découvrir l’information seuls, en recevant par exemple des alertes sur leur téléphone portable. Sous ce tsunami d’informations, ils ont pu se sentir noyé et bouleversé.

Comment les parents et les enseignants peuvent-ils aborder le sujet avec les enfants ?

Dr Alain de Broca : Ils peuvent aider les enfants à parler de ce qu’ils ont compris. Il est aussi important de leur faire comprendre que tout ce qui est dit par les médias n’est pas toujours totalement vrai, que la vérité se fera sur le temps et les aider à différencier ce qui relève de la rumeur et ce qui est avéré. Il faut également essayer de répondre aux attentes de l’enfant. Et qu’attend un enfant, quelque soit son âge, face à ce monde qui l’entoure ? De la cohérence surtout. L’enfant est toujours très troublé de ne pas comprendre le « pourquoi » des événements, il est donc important d’essayer d’aller au bout de ses explications. Il ne faut pas oublier qu’un enfant a confiance en l’adulte qui croit ce qu’il dit et pense qu’il fait ce qu’il dit.

Comment rassurer l’enfant ?

Dr Alain de Broca : On peut commencer par lui expliquer ce qu’on appelle un deuil national. Cela l’aidera à comprendre que la communauté ne cautionne pas les actes barbares. On peut le rassurer aussi sur le fait que les « motivations » des terroristes, qui invoquent la religion pour commettre des meurtres, ne sont pas fondées, en lui précisant que les religions ne sont absolument pas fondées sur la violence mais sur la paix.

Attentats Paris

attentats Paris, 13112015

« Il s’appelle Pensouillard.

C’est un tout petit hamster.

Il court dans une roulette, à l’intérieur de notre tête…

Certains jours, il court plus vite que les autres… »

On est foutu, on pense tropDerrière le tapage incessant de Pensouillard le hamster (héros de ce livre) se cache notre EGO.

Face aux petits bobos et aux gros tracas de la vie, cet « agité du bocal » nous fait souffrir, nous leurre, nous empêche d’être libres.

Comment le remettre à sa place ?

Dans un style vivant et plein d’esprit, le Dr Serge Marquis nous invite à observer les mouvements de notre ego. A nous amuser de ses pitreries. Puis, à ralentir pour trouver la paix.

Etape par étape, l’auteur nous guide dans une aventure inattendue, celle de la… décroissance personnelle pour ne plus subir la dictature de l’ego.

Une démarche à contre-courant, à la fois divertissante et libératrice. Un concept original et drôle qui renouvèle le développement personnel.

Car un petit pas de moins pour Pensouillard, c’est un grand pas de plus pour vous !

45 000 exemplaires vendus… A peine sorti, ce livre est déjà un succès de librairie !

Qui est l’auteur ?

Serge Marquis, détient un doctorat en médecine (Université Laval) et une maîtrise en médecine du travail (London School of Hygiene and Tropical Medicine à Londres). Il a développé un intérêt tout particulier pour le stress, l’épuisement professionnel et la détresse psychologique dans l’espace de travail. Il s’est également intéressé à la difficulté de maintenir un équilibre entre la vie au travail et à l’extérieur de celui-ci. Il a soigné un grand nombre de personnes devenues dysfonctionnelles au travail. Consultant dans le domaine de la santé mentale au travail (T.O.R.T.U.E.), il est l’auteur avec Eugène Houde d’un livre intitulé « Bienvenue parmi les humains » et de « Pensouillard le hamster, petit traité de décroissance personnelle » paru en octobre 2011 aux Éditions Transcontinental au Québec, qui a reçu la mention Coup de coeur de Renaud-Bray.

Source : « On est foutu, on pense trop !« , du Dr Serge Marquis, éditions de la Martinière

 

Le deuil, à la suite de la mort d’une personne aimée ou d’une séparation, est une des plus grandes épreuves de la vie qui, un jour ou l’autre, atteint chacun de nous.

Source d’une grande souffrance, d’une véritable douleur morale, d’un profond désespoir, d’anxiété, de dépression et de manifestations fonctionnelles variées, le deuil est un facteur de déséquilibre transitoire, un traumatisme aux effets prolongés.

Dans la majorité des cas, aussi pénible soit-il, le deuil suit normalement son cours et arrive a son terme. Pour 5 % des personnes, il va provoquer des complications au niveau de la santé physique, mentale, de l’équilibre psychologique et des relations sociales.

Dans ce nouveau livre de Lucien Essique, l’auteur vous invite à un cheminement pour appréhender ces épreuves de rupture.

Du premier au dernier souffle, notre vie n’est que mutation.

De la première fusion cellulaire à l’extinction de notre effervescence biologique, notre être va apprendre à vivre, à grandir, à ressentir, à aimer.

Mais notre vie est jalonnée de pertes et de deuils.

Cependant, ces séparations ne signifient pas l’oubli ; la mort ne se confond pas avec le néant, la vie ne s’arrête pas après un deuil.

L’auteur propose des outils pour accompagner les différentes séparations et traverser les périodes de deuils.

Au-delà des affres de la perte, des déchirures, il est possible de s’ouvrir à un nouvel horizon de paix, d’amour et d’énergie de vie.

Un livre à lire, pour grandir !

les séparations et les deuils, une source d'évolutionLes principales thématiques du livre :

  • Les premières séparations de votre existence
  • Les séparations, les pertes de l’enfance
  • Les séparations amoureuses
  • Les situations inachevées de votre vie
  • La mort, le deuil d’êtres chers
  • Vivre le deuil
  • Vivre après un deuil
  • Au-delà de la mort du corps, l’âme, le souffle de la vie, une part d’éternité…
  • La vie après la vie, ou comment communiquer avec les âmes qui nous ont quittés
  • Comment percevoir cette forme de communication subtile qui nous relie ?

Qui est l’auteur ?

-> Lucien Essique est thérapeute, formateur et consultant en relations humaines.

Émerveillé par les possibles d’évolution de l’être, il nous invite à ouvrir une nouvelle voie : celle de l’harmonisation de notre être sur la fréquence de l’amour. Il dispense aujourd’hui de nombreuses formations, il anime et forme des personnes aux constellations familiales et les accompagne vers plus d’amour et de libération.

 

Source : « Les séparations et les deuils, une source d’évolution« , de Lucien Essique, éditions Dangle

Yogathon, F.Duval-Levesque psychopraticien hypnotherapeute coach, Toulouse

Après New-York et Toronto, 

un Yogathon géant et musical aura lieu

pour la première fois 

sur les plages du Prado à Marseille.

Le 21 Juin prochain !

Information et inscription sur :
www.artofliving.org/fr-fr/yogathon-marseille

« Notre planète n’a pas besoin de gens qui « réussissent ».

La planète a désespérément besoin de plus de faiseurs de paix,

de guérisseurs, de conteurs d’histoires et de passionnés de toutes sortes, »

 

____
Dalaï-lama Tenzin Gyatso

« L‘homme est comme un marcheur qui,

à travers les déserts de la vie,

a soif d’une eau vive, jaillissante et fraîche,

capable de désaltérer en profondeur

son désir intime

de lumière, d’amour, de beauté et de paix« 

 

__________
Pape François, discours en mai 2013

« Va, reste calme au milieu du bruit et de l’impatience et
  souviens-toi de la paix qui découle du silence.
 
    Si tu le peux, mais sans renoncement, sois en bons termes
  avec tout le monde; dis ce que tu penses, clairement,
  simplement; et écoute les autres, même les sots et les
  ignorants, car eux aussi ont quelque chose à dire.
 
    Évite les gens grossiers et violents car ils ne sont que
  tourments pour l’esprit. Si tu te compares aux autres tu
  pourras devenir vaniteux ou amer; mais sache qu’ici-bas,
  il y aura toujours quelqu’un de plus grand ou de plus petit
  que toi.
 
 vie   Sois fier de ce que tu as fait et de ce que tu veux faire.
  Aime ton métier, même s’il est humble; c’est un bien précieux
  en notre époque troublée. Sois prudent dans le monde des
  affaires, car on pourrait te jouer de vilains tours. Mais
  que ceci ne te rende pas aveugle; bien des gens luttent pour
  un idéal et partout sur la terre on meurt pour ce que l’on
  croit.
 
    Sois toi-même, surtout dans tes affections. Fuis le cynisme
  en amour car il est un signe de sécheresse du coeur et de
  désenchantement.
 
    Que l’âge t’apporte la sagesse et te donne la joie d’avoir
  des jeunes autour de toi. Sois fort pour faire face aux
  malheurs de la vie; mais ne te détruis pas avec ton
  imagination; bien des peurs prennent naissance dans la
  fatigue et la solitude. Et, malgré la discipline que tu
  t’imposes, sois bon envers toi-même.
 
    Tu es un enfant de l’univers, tout comme les arbres et les
  étoiles et tu as le droit d’être ici; et même si cela n’est
  pas clair en toi, tu dois être sûr que tout se passe dans
  l’univers comme c’est écrit. Par conséquent, sois en paix
  avec ton Dieu quelle que soit en toi son image, et à travers
  ton travail et tes aspirations, au milieu de la confusion
  de la vie, sois en paix avec ton âme.
 
    Dis-toi qu’en dépit de ses faussetés, de ses ingratitudes,
  de ses rêves brisés, le monde est tout de même merveilleux.
  Sois prudent. Et tâche d’être heureux. »

(Traduction d’un texte gravé sur l’église Saint-Paul de
Baltimore, USA.)

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Bénéficiez d’une information (entretien de 30 minutes gratuit et sans engagement) pour un soutien psychologique, une psychothérapie ou du coaching en cliquant ici

Nelson MandelaLe 27 avril 1994, un président noir était élu, pour la première fois, à la tête de l’Afrique du Sud; c’était Nelson Mandela.

Il vient de mourir. Il avait 95 ans.

Une occasion de (re)lire le discours d’investiture qu’il prononça, le 10 mai 1994, devant 60.000 personnes, après son élection du 27 avril.

« Majestés, Altesses, invités distingués, camarades et amis,

Aujourd’hui, nous tous, par notre présence ici et par nos célébrations dans d’autres régions de notre pays et du monde, nous conférons gloire et espoir à une liberté tout juste née.

De l’expérience d’un désastre humain inouï qui a duré beaucoup trop longtemps, doit naître une société dont toute l’humanité sera fière.

Nos actions quotidiennes, en tant que simples Sud-Africains, doivent susciter une réalité sud-africaine concrète qui renforcera la foi de l’humanité en la justice, confirmera sa confiance en la noblesse de l’âme humaine et maintiendra tous nos espoirs envers une vie glorieuse pour tous.

Tout ceci, nous le devons tant à nous-mêmes qu’aux peuples du monde qui sont si bien représentés ici, aujourd’hui.

Je n’hésite pas à dire à mes compatriotes que chacun d’entre nous est aussi intimement attaché à la terre de ce beau pays que le sont les célèbres jacarandas* de Pretoria et les mimosas du bushveld**.

Chaque fois que l’un d’entre nous touche le sol de ce pays, nous ressentons un sentiment de renouveau personnel. L’humeur nationale change avec les saisons.

Nous sommes mus par un sentiment de joie et d’euphorie lorsque l’herbe verdit et que les fleurs s’épanouissent.

Cette unité spirituelle et physique que nous partageons tous avec cette patrie commune explique l’intensité de la douleur que nous avons tous portée dans nos cœurs lorsque nous avons vu notre pays se déchirer dans un conflit terrible, et lorsque nous l’avons vu rejeté, proscrit et isolé par les peuples du monde, précisément parce qu’il était devenu la base universelle de l’idéologie et de la pratique pernicieuse du racisme et de l’oppression raciale.

Nous, le peuple d’Afrique du Sud, nous sentons profondément satisfaits que l’humanité nous ait repris en son sein, et que le privilège rare d’être l’hôte des nations du monde sur notre propre terre nous ait été accordé, à nous qui étions hors-la-loi il n’y a pas si longtemps.

Nous remercions tous nos distingués invités internationaux d’être venus prendre possession avec le peuple de notre pays de ce qui est, après tout, une victoire commune pour la justice, la paix, la dignité humaine.

Nous sommes sûrs que vous continuerez à être à nos côtés lorsque nous aborderons les défis de la construction de la paix, de la prospérité, de la démocratie, et que nous nous attaquerons au sexisme et au racisme.

Nous apprécions infiniment le rôle qu’ont joué les masses de nos concitoyens et leurs dirigeants politiques, démocratiques, religieux, féminins, jeunes, économiques, traditionnels et autres pour parvenir à cette conclusion. Et parmi eux se trouve notamment mon second vice-président, l’honorable Frederik Willem De Klerk.

Nous aimerions également rendre hommage à nos forces de sécurité, tous grades confondus, pour le rôle distingué qu’elles ont joué en protégeant nos premières élections démocratiques et la transition vers la démocratie des forces sanguinaires qui refusent toujours de voir la Lumière.

Le temps est venu de panser nos blessures… »

(la suite demain dimanche… !)

(*) Arbres dont les fleurs mauves sont écloses du printemps à l’automne, les innombrables jaracandas de Pretoria constituent, depuis la fin du XIXe siècle, l’une des particularités de la ville.

(**) Savane sud-africaine.

sourire« Si nous sommes incapables de sourire,

alors le monde ne connaîtra pas la paix.

Ce n’est pas en manifestant contre les missiles que nous apportons la paix.

C’est par notre capacité

de sourire, de respirer et d’incarner la paix que nous pourrons faire la paix »

 

Thich Nhat Hanh

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Bénéficiez d’une information, avec entretien gratuit et sans engagement de 30-40 minutes, pour une aide, un vrai soutien psychologique, ou une psychothérapie (cliquez ici)

Thich-Nhat-Hanh

« Si nous sommes incapables de sourire,

alors le monde ne connaîtra pas la paix.

Ce n’est pas en manifestant contre les missiles que nous apportons la paix.

C’est par notre capacité de sourire, de respirer et d’incarner la paix

que nous pourrons faire la paix »


Thich Nhat Hanh