Xanax, Lexomil et autres : risques de dépendance et de sevrage sévère.

L’agence américaine du médicament, la Food and Drug Administration (FDA), a annoncé le 23 septembre dernier qu’elle exigeait une mise à jour de l’encadré d’avertissement sur l’étiquetage de l’ensemble des médicaments de la classe des benzodiazépines.

Afin d’inclure les risques d’abus, de mauvais usage, d’addiction, de dépendance physique et de réactions de sevrage.

Les benzodiazépines incluent notamment l’alprazolam (Xanax), le bromazépam (Lexomil, Lectopam…) et le diazépam (Valium).

En 2019 aux États-Unis, l’alprazolam (Xanax) est le plus prescrit, représentant 38 % des prescriptions, suivi du clonazépam (Rivotril), prescrit dans 24 % des cas, et du lorazépam (Ativan, Temesta en France), dans 20 % des cas.

« Les benzodiazépines sont d’importantes options de traitement approuvées pour les troubles d’anxiété généralisée, l’insomnie, les convulsions, la phobie sociale et le trouble panique », souligne le communiqué de la FDA. Elles sont également utilisées comme prémédication avant certaines procédures médicales.

Mais, « elles sont aussi couramment utilisées de manière abusive et inappropriée, souvent en association avec des analgésiques opioïdes et d’autres médicaments, l’alcool et des drogues illicites ».

« La dépendance physique peut se produire lorsque les benzodiazépines sont prises de façon régulière pendant plusieurs jours ou semaines », précise le communiqué. « Les patients qui prennent une benzodiazépine depuis des semaines ou des mois peuvent présenter des signes et des symptômes de sevrage lorsque le médicament est arrêté brusquement ou continué à plus faible dose pour éviter le sevrage. »

« L’arrêt brusque des benzodiazépines ou la réduction trop rapide de la dose peut entraîner des réactions de sevrage aiguës, y compris des crises d’épilepsie, qui peuvent mettre la vie en danger. Avant d’arrêter les benzodiazépines, les patients doivent parler à leur fournisseur de soins de santé afin d’élaborer un plan pour diminuer lentement le médicament. »

Bref, tous les professionnels de santé encouragent ces personnes à commencer une psychothérapie en parallèle de ces benzodiazépines ou, au pire, en début de sevrage.

Source : FDA

.

-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en télé-séances (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin

Pour dépasser ses angoisses, vaincre ses phobies voire ses doutes, l’hypnothérapie est le choix des clients.

Parfois, lorsque vous conduisez en voiture, vous pensez à ce que vous avez à faire, ou ce que vous n’avez pas fait, et lorsque vous êtes arrivé, vous vous dites : “Déjà ! Je n’ai pas vu le temps passer !”

Vous étiez alors en hypnose, sans vous en rendre compte. Une hypnose légère de type éricksonienne, bien différente de l’hypnose profonde.

Cette hypnose n’est pas autre chose qu’un état de conscience modifié, à partir duquel l’hypnothérapeute donnera des suggestions à votre inconscient.

Se passer du mental, ce petit vélo que l’on a dans la tête, pour aller en profondeur vers un mieux-être, est évidemment plus puissant.

Si elle est très connue dans le monde du spectacle, l’hypnose l’est beaucoup moins comme outil de thérapie. Elle permet pourtant de lever des freins, des barrières, se débarrasser des croyances «limitantes», d’addictions, comme les drogues, le tabac, ou l’alcool, et bien d’autres choses encore…

Car un problème, plus vous le fuyez, plus il vous suit.

Plus vous y faites face, plus il s’efface !

  • Il m’arrive d’accompagner des clients chez le dentiste, ou les préparer avant une opération, une infiltration, afin de vaincre leur phobie, peur, crainte, angoisse. Egalement afin de réduire leur état de stress lors d’une future chirurgie, en complément d’une anesthésie générale ou locale, ou pour soulager une douleur aiguë.
  • Et intervenir aussi auprès de personnes ayant des douleurs chroniques ou ayant un cancer, afin de soulager leurs souffrances physiques et psychologiques. Egalement un accompagnement pour les futures mamans dans la gestion de la douleur obstétricale et leurs offrir un apprentissage à l’auto-hypnose.

Une hypnose éricksonienne dure dure de 45 minutes à deux heures, durant lesquelles on reste au bord du rêve.

Pourquoi pas plus ? Il ne s’agit pas d’endormir le client, mais de l’aider à faire appel à son inconscient.

Dans l’hypnose, le corps est relâché, à l’état naturel. Le conscient s’est tu, l’inconscient a pris le relais. Il ne juge pas, et c’est très efficace… Sauf évidemment lorsque le patient n’arrive pas à lâcher-prise, et/ou est dans le contrôle.

Après une anamnèse (discussion du présent et du passé) permettant d’exprimer les besoins et envies du client, une stratégie est mise en place pour aller du problème à la solution. En parlant à notre inconscient, « l’endroit où sont stockées les 90 % de nos capacités cérébrales non utilisées », l’hypnothérapeute suggère à la personne un travail sur elle-­même sans qu’elle fasse quoi que se soit.

Pendant la transe, on descend en profondeur, comme avec un escalier, par des suggestions auditives ou visuelles qui correspondent le mieux. L’hypnose procédera à un nettoyage, un rangement au plus profond du client, dans la direction qu’il souhaite.

Bien installé dans son fauteuil, le patient ferme les yeux mais ne s’endort à aucun moment.

Je ne parle pas à son mental, mais à son inconscient.

Un état d’apaisement s’empare rapidement de lui, les bruits aux alentours n’ont pas disparu, mais il ne les entend plus.

La séance terminée, les suggestions chemineront en lui, et apporteront leurs bienfaits, durant les jours et les semaines qui suivent.

Alors, quand allez-vous essayer, vous aussi ?

 

Selon une note des services de lutte contre les trafics de stupéfiants, la concentration en THC de la résine de cannabis est passée de 11% à 26,5% en huit ans…

D’après les spécialistes, plus sa qualité augmente, plus le risque de développer une maladie psychiatrique est grand, et plus l’addiction est importante.

    • Quels sont les mécanismes de l’addiction au cannabis ? Comment réussir à arrêter de consommer sans rechuter ? Est-ce qu’il y a une solution miracle ?
    • Le cannabis est-il à l’origine de maladies psychiques ? Y a t-il un lien entre usage de cannabis et schizophrénie ?
    • Le cannabis nuit-il à la fertilité ? Qu’en est-il sur les femmes enceintes ?
    • Consommer du cannabis à l’adolescence est-il plus risqué qu’à l’âge adulte ?
    • Quels sont les risques d’une consommation à long terme pour le corps ? Le cannabis altère-t-il les capacités d’apprentissage et la motivation ?
    • Le cannabis conduit-il à consommer d’autres drogues ?
    • Pourquoi est-il pertinent de dédier un plan de prévention sur l’addiction au cannabis ?

Autant de questions qui interpellent.

Heureusement, les réponses existent.

Elles permettent de surmonter cette dépendance avec une psychothérapie.

Journal intime,

voyage initiatique,

chronique spirituelle,

ce nouveau livre vous transformera !

Une vidéo de l’auteur ? Cliquez ici !

Golden boy à Wall Street, amateur de fêtes et de drogues…, Jonathan plaque tout du jour au lendemain pour partir à la recherche du bonheur.

L’auteur a découvert (en lisant Eckhart Tolle), que non seulement nous étions une majorité à subir un mental suractif, mais aussi que, loin d’être un signe d’intelligence, cette activité cérébrale frénétique était la cause principale de notre mal-être.

Il pouvait enfin mettre des mots sur le mal qui l’avait affligé toutes ces années sans qu’il puisse le nommer : la tyrannie du mental et l’incapacité à vivre l’instant présent.

Jonathan Lehmann, Journal intime d'un touriste du bonheur

Alors, pendant 3 ans, il va à la rencontre de penseurs et de maîtres spirituels à travers le monde, apprend la méditation, découvre le chamanisme.

Et cherche des réponses à son mal-être dans les sagesses ancestrales ; mais aussi les sciences, comme la neurologie, la psychologie positive et cognitive…

Avec beaucoup de lucidité, de talent et d’humour, il nous raconte les tribulations d’un touriste du bonheur en Inde : son shopping spirituel d’ashram en ashram, de gourou en gourou, son coming-out mystique, son combat incessant contre la tyrannie du mental…

Loin des ouvrages habituels de développement personnel où on l’on nous donne des conseils de manière trop sérieuse, trop rigide, celui-ci est d’un genre nouveau où se mêlent témoignages personnels et chroniques.

C’est une bouffée d’air frais !

Dans un style vivant, décomplexé et plein de drôleries, Jonathan Lehmann nous transmet toute la richesse des enseignements universels qu’il a reçus et qui ont nourri son cheminement vers le bonheur.

Tout cela dans un tourbillon d’aventures et d’humour !

Profond, attachant, drôle, un joli cocktail pour la réussite de ce beau livre…

…dans la continuité des « Antisèches » et ses supers méditations via l’application « 7mind ».

Qui est l’auteur ?

Jonathan Lehmann est né en 1978, d’un père américain et d’une mère française. Élève brillant, il étudie le droit dans les plus grandes universités américaines et entre dans un illustre cabinet d’avocats new-yorkais. Il démissionnera sept ans plus tard, pour partir « à la recherche du bonheur ». En 2015, il créé la page des « Antisèches du bonheur » sur Facebook, pour partager le fruit de ses lectures et expériences : dédiée au développement personnel et à la méditation.

Source: « Journal intime d’un touriste du bonheur », de Jonathan Lehmann, éditions de La Martinière

Etes-vous cyberdépendant ?

Le débat fait rage autour de la très controversée « cyberdépendance ».

Nombre de cliniciens et psychopraticiens spécialisés, à l’instar des membres de l’Observatoire 
des mondes numériques en sciences humaines (1), préfèrent parler d’« usages problématiques » 
d’Internet et des jeux vidéo, arguant que le terme « cyberaddiction » n’est reconnu dans aucune classification internationale des troubles psychiatriques.

Un récent rapport (2), auquel a contribué le psychiatre Serge Tisseron, affirme pourtant que « les neurosciences apportent des indications sur les modalités selon lesquelles les écrans pourraient anormalement solliciter le « circuit de la récompense » du cerveau (la recherche du plaisir) notamment dans le cas de pratique excessive de jeux vidéo et/ou des réseaux sociaux  ».

En d’autres termes, l’usage de ces jeux aurait des effets similaires à ceux de drogues comme la cocaïne : celle-ci empêche 
la recapture de dopamine, un neurotransmetteur impliqué dans la motivation et le plaisir ; cette libération artificielle de dopamine dans le système nerveux engendre une sensation d’euphorie, que l’utilisateur n’aura de cesse de vouloir retrouver.

De quoi avaliser 
la thèse d’une « addiction aux écrans ». Et vous, qu’en pensez-vous ?

Les auteurs 
du rapport estiment toutefois que les conséquences néfastes de l’usage des écrans (repli sur soi, troubles 
de l’humeur et du sommeil) sont souvent réversibles, 
et préconisent une « régulation » de l’utilisation de 
ces supports durant l’enfance et l’adolescence.

Si cela n’a pas été fait à cette période (sous la supervision de parents), une psychothérapie courte donnera des explications et permettra de retrouver une utilisation normale des écrans qui nous entourent, dans la vie quotidienne.

 

(1) Parmi ses membres, on compte notamment Yann Leroux et 
Thomas Gaon, auteurs de contributions sur le site web http://www.omnsh.org. 
Voir l’entretien de Thomas Gaon, « L ‘addiction à Internet n’a pas 
de sens en soi », Sciences Humaines, mensuel n°231, novembre 2011.
(2) Jean-François Bach, Olivier Houdé, Pierre Léna, Serge Tisseron, « L’enfant et les écrans », avis de l’Académie des Sciences, 17 janvier 2013.

 

Sources : le-cercle-psy.scienceshumaines.com, omnsh.org, mon expérience de psychopraticien

 

 

.

Bénéficiez d’une information (entretien de 30 minutes gratuit et sans engagement) pour un soutien psychologique, une psychothérapie ou du coaching en cliquant ici

 

La boulimie est la consommation compulsive de quantités considérables de nourriture – en particulier des desserts, des fromages gras, des pâtes – englouties à toute vitesse.

Elle apparaît plus souvent chez les femmes. La boulimie est une maladie à prendre très au sérieux.

L’état d’angoisse créé par ce mouvement irrésistible est calmé par un vomissement provoqué ou autres moyens de purge. Les fringales, qui ne sont pas suivies de vomissements, ne font pas partie d’un contexte psychopathologique. Cela peut-être de l’hyperphagie. Lorsqu’elles sont répétées, elles mènent parfois à l’embonpoint et à l’obésité.

La boulimie est une pathologie sérieuse, qui peut entraîner des conséquences graves. Il est important de consulter un psychopraticien au plus tôt, si possible avant que les habitudes ne soient profondément ancrées.

La majorité des personnes souffrant de boulimie sont des femmes, sans que l’on sache pourquoi. Elles ne sont pas dans le déni, contrairement aux hommes atteints. Celles-ci reconnaissent leur pathologie mais sont incapables d’en sortir. Ces femmes ont souvent de la difficulté à établir des relations humaines et à les maintenir. Pourquoi ?

Parce qu’elles organisent leur vie en fonction de leur désordre alimentaire (TCA).

mécanismes de la boulimie, F.Duval-Levesque, psychotherapie, psychopraticien, hypnotherapeute, EMDR, sophrologie, coach, formateur, addiction, dependances, boulimie, depression

D’autres phénomènes peuvent être associés à la boulimie :

  • Poids corporel diminué, normal ou excessif. Dans les trois cas, le vomissement est un symptôme indissociable. Les personnes souffrant de boulimie qui ont un poids idéal peuvent passer inaperçues, bien qu’elles aient une pathologie grave.
  • Utilisation de diurétiques et/ou de laxatifs. L’abus de ces médicaments chez une personne qui vomit est dangereux à cause de la perte de liquides et de l’altération des électrolytes (sodium, potassium, chlore). La déshydratation peut mener à l’hypotension grave et à la mort.
  • Consommation d’alcool ou de drogues (en général en solitaire). Ces produits sont pris dans le but de calmer les crises d’anxiété et d’angoisse. De plus, il y a risque d’hypoglycémie, en particulier lorsque l’alcool est pris en période de jeûne.
  • Dépression. Des états dépressifs sont fréquents, de même que les gestes d’automutilation et les tentatives de suicide.
  • Troubles menstruels. L’aménorrhée (l’arrêt des menstruations) peut se produire même chez la personne boulimique qui a un poids normal du fait de l’alternance de jeûne et de surconsommation d’aliments. C’est surtout le stress psychique, souvent très important chez ces femmes rarement en paix avec elles-mêmes, qui cause l’aménorrhée. Le risque d’ostéoporose est élevé si l’aménorrhée est prolongée.

.

Bénéficiez d’une information, avec entretien gratuit et sans engagement de 30-40 minutes, pour une aide, un vrai soutien psychologique, ou une psychothérapie (cliquez ici)