5 astuces pour mieux vivre l’heure d’hiver !

Suivre au plus près la course du soleil : adaptez votre rythme de vie en fonction de la luminosité ! Et ainsi, vous respecterez votre rythme circadien.

1/ A l’heure d’hiver, se coucher plus tôt pour se lever plus tôt permet de profiter un maximum de la luminosité matinale.

2/ Profitez des bienfaits de la luminothérapie : s’il ne vous est pas possible de modifier vos horaires de lever et de coucher, pour éviter les petites chutes dépressives lorsque le soleil se fait plus rare, il faut s’éclairer au maximum. La luminothérapie est une très bonne option pour ceux qui ressentent particulièrement un manque d’énergie à l’entrée de l’hiver. Pour profiter au maximum des bienfaits de la luminothérapie, il faut que celle-ci soit pratiquée le matin afin d’avoir un effet coup de boost très appréciable.

3/ Privilégiez la vitamine C : certains, pour mieux affronter le passage à l’heure d’hiver sont tentés d’opter pour une cure de vitamines et notamment de vitamine C réputée pour soulager la fatigue et augmenter le tonus. En cas de coup de mou, il est possible de prendre ponctuellement un petit supplément en vitamine C.

4/ Augmentez vos apports en vitamine D : plutôt que de se supplémenter en vitamine C, augmenter vos apports en vitamine D dont la synthèse est déclenchée par l’exposition au soleil. Il est vrai qu’en hiver certaines carences peuvent apparaître. Or la vitamine D est essentielle pour le bon fonctionnement de notre organisme et la protection de notre santé sur un plan global.

Une façon naturelle et simple de s’assurer un bon apport en vitamine D est de manger plus souvent du poisson gras (saumon, hareng…).

5/ Profitez des bienfaits de la sieste : En cas de coup de pompe ponctuel, ne résistez pas à l’appel des  micro-siestes et de leurs nombreux bienfaits !

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

Comment reconnaitre et soigner une dépression hivernale :

  • ce trouble de l’humeur saisonnier, qui disparaît au printemps, toucherait jusqu’à 10% de la population.

Peut-être vous ?

Il n’est pas rare de se sentir fatigué et abattu pendant les saisons automnale et hivernale.

Le sort du chat roulé en boule sur notre canapé nous semble alors des plus enviables : si seulement nous pouvions dormir le plus possible, en attendant le printemps… Mais ce banal «blues de l’hiver» finira par disparaitre, je vous rassure.

Celui-ci survient à une période particulière de l’année (en automne ou en hiver, voire plus rarement en été) et disparaît spontanément au printemps.

Le Dr Éric Charles, psychiatre au Centre hospitalier Esquirol de Limoges et auteur d’Antidépresseurs, anxiolytiques, somnifères… Vérités et contre-vérités sur les psychotropes (Jouvence), rappelle que les symptômes seraient en grande partie les mêmes que ceux de la dépression : tristesse, idées noires, ralentissement physique et psychique, perte d’envie et de volonté, difficulté à prendre des décisions, disparition du plaisir.

 

«Dans la dépression saisonnière toutefois, les symptômes somatiques et neurovégétatifs sont souvent inversés par rapport à ceux d’un épisode dépressif “classique”. Au lieu d’une perte d’appétit, il y a une envie plus forte pour les hydrates de carbone et les aliments riches en glucides – sucreries, féculents – avec une prise de poids, ainsi qu’une tendance à dormir beaucoup, plutôt qu’à souffrir d’insomnie», précise le médecin.

Les causes de cette affection font encore l’objet de plusieurs hypothèses.

On évoque une sensibilité rétinienne à la lumière réduite en hiver, ou encore un retard de phase du rythme circadien. Dans les deux cas, ces phénomènes affecteraient la sécrétion de mélatonine et de vitamine D.

Le fait d’être une femme serait un facteur de risque avéré de dépression saisonnière, comme il l’est de manière générale pour la dépression.

Tout cela fait dire au Dr Guillaume Fond, psychiatre à l’hôpital de la Conception à Marseille et auteur de Je fais de ma vie un grand projet (Flammarion) qu’«en France nous manquons de données pour ce trouble mal étudié. Un fait est certain : dans la période de transition de l’été à l’automne surviennent plusieurs phénomènes qui composent un cocktail explosif pour certaines personnes. La baisse du taux de vitamine D et de la luminosité en sont deux. On a aussi tendance à consommer moins de fruits et de légumes qu’en été, et plus d’aliments ultratransformés inflammatoires. Il y a enfin le stress lié à la rentrée et une activité physique plus réduite. Tous ces facteurs peuvent concourir à la survenue de dépressions qualifiées de saisonnières».

Les recommandations à l’adresse des personnes qui souffrent d’un abattement lié à l’hiver font consensus : s’exposer une trentaine de minutes à la lumière du matin, pratiquer une activité physique régulière (mais pas le soir afin d’éviter les insomnies) et manger de manière équilibrée et régulière. Pratiquer l’auto-hypnose peut également en aider certains.

Le Dr Guillaume Fond conseille en outre de se supplémenter quotidiennement en omégas 3, en vitamine D et en zinc, qui ont prouvé leur efficacité dans le traitement de la dépression. «En cette saison, il est normal d’être un peu en retrait, rappelle le Dr Christine Barois, psychiatre. Par contre, lorsque l’on n’arrive plus à fonctionner professionnellement, familialement et socialement, il existe un risque de dépression. Et là, il faut aller voir un psy.»

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