Vous avez envie de quitter votre job ?

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Mes 4 conseils à suivre :

1 – Préparez le terrain. Si vous quittez votre job de façon « tête brûlée », réactionnaire, réfléchissez vraiment à l’après. N’attendez pas deux ans, ou la fin de vos droits à Pôle emploi, ou celle de votre congé sabbatique pour réfléchir à votre vie d’après, le temps passe très vite.

2 – Négociez. Un 4/5e, plus de télétravail etc. Vous pouvez rester en poste en l’aménageant peut-être un peu différemment et commencer à construire la suite : changer de secteur, vous faire accompagner pour entamer une reconversion etc.

3 – Développez un side project. Un premier pas si vous souhaitez être libre et créer votre boîte ou votre emploi. Vous pouvez aussi slasher, avec plusieurs activités. Le travail de demain sera plus hybride, plus libre.

4 – Ecoutez votre corps. Faites attention aux signaux qu’il vous envoie. Vous avez un coup de blues le dimanche, mal au ventre, au dos, aux épaules, la gorge nouée à l’idée d’aller travailler ? Plus envie, plus de sens à ce que vous faites ? N’allez pas jusqu’au burn-out !

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin

Avec la crise, démissions et burn-out se multiplient à l’hôpital.

Selon une enquête du figaro.fr, plus de 10.000 infirmiers et aides-soigntants ont déjà renoncé à leur vocation.

«Je ne voyais plus les gens comme des patients, mais comme de la viande. Je n’arrivais plus à être empathique.» Après quinze ans de carrière en tant qu’infirmière dans le service d’urgence d’un hôpital du sud de la France, Faustine, 37 ans, a réalisé un deuxième burn-out en août dernier. Elle suit désormais une formation pour devenir coach en communication. «La crise du coronavirus a permis de voir le mal qui ronge l’hôpital depuis plusieurs années», estime-t-elle.

Sous l’effet du stress, décuplé par le Covid, Sandra, auxiliaire en puériculture en maternité, a vu ses mains se couvrir de psoriasis. «Lors du premier bain des bébés, je devais expliquer aux parents que ce n’était pas contagieux», soupire-t-elle. En burn-out, elle est désormais arrêtée et cherche une voie de reconversion.

Comme ces deux femmes, de nombreux soignants renoncent à leur vocation. C’est triste !

Une enquête de la Fédération hospitalière de France (FHF), menée auprès de 300 établissements fin septembre faisait état de 12 200 départs (démissions, retraites, fins de contrat) d’infirmiers et d’aides-soignants depuis le début de l’année. Plus inquiétant, près de 2 000 de ces postes sont restés vacants.

L’Ordre national des infirmiers indique parallèlement que la crise sanitaire a incité 37 % des soignants à changer de métier. Et ce n’est peut-être que la partie émergée de l’iceberg. «On risque de payer l’accumulation des responsabilités qui pèsent sur les épaules des soignants par une vague de départs à la fin de la crise sanitaire», estime Marie-Léandre Gomez, professeur de gestion à l’Essec et experte du management dans les hôpitaux.

Pour tenter de changer le système, mieux vaut parfois en sortir.

Quite à se faire aider pour la reconversion.

Nora était infirmière en bloc opératoire jusqu’en décembre 2020 au Centre hospitalier Jacques-Cœur (Bourges). Excédée par ses conditions de travail durant la crise, elle a décidé de se lancer dans un projet au sein de la coopérative « C’est qui le patron ?! ». Objectif : monter des salles de détente dans les hôpitaux pour prendre soin des soignants. Elle y trouve davantage de sérénité. « Mais même en menant ce projet, je culpabilise énormément d’avoir quitté mon poste. Et je sais que si je suis rappelée en urgence, et même si je ne devrais pas, j’y retournerai. »

Et pour finir, voici le témoignage très récent d’une infirmière :

« J’aurais envie de dire FUYEZ ! Conditions de travail dégradées, rappels incessants, plus aucun rythme respecté, manque de personnels (soit disant par manque de candidatures alors qu’aucune annonce n’est passée), supressions de lits (même si monsieur Véran s’est engagé publiquement à ne plus en supprimer), des contrats très très courts de 1 jour ou 2 jours ou 11 jours, sur des absences programmées de 6 mois, aucun droit à la parole, surtout pour les contractuels, des démissions en augmentation sans qu’aucun questionnement ne soit entamé (« ce sont les jeunes d’aujourd’hui… »), aucune reconnaissance du travail et des professionnels (ségur), domaine du handicap non reconnu, salaires inférieurs au privé, inégalité de salaires entre sanitaire et médico-social même au sein d’un même établissement public (ségur et mission Laforcade) … je m’arrête là… Et tout cela pour créer la casse du service public et finir par privatiser l’hôpital !!! »

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  • augmenter votre confiance, votre estime de vous-même ?
  • mieux gérer vos émotions, vous détendre ?
  • vous endormir facilement ?
  • mieux gérer votre stress et votre anxiété ?
  • mieux vous connaitre ?
  • prendre un nouveau départ et revivre ?

Vous avez raison. Je peux vous aider.

Partons ensemble

à la rencontre de votre inconscient bienveillant.

Afin de vous offrir une vie plus sereine et gratifiante !

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Depuis qu’il est venu me consulter, un client est convaincu que la retraite n’est « pas la fin des haricots ».

Il verra davantage ses petits-enfants, voyagera avec sa femme et se lancera dans la rénovation d’une traction avant Citroën, qu’il mettra plus tard à la disposition d’une association caritative, pour les mariages.

« Surtout, ne mettez pas tous vos oeufs dans le même panier ! », conseille tel psychopraticien à ses nombreux clients. Il s’agit de penser à court, moyen et long termes.

Il y a une vingtaine d’années, avec la retraite à 60 ans, nous sommes passés de la retraite-repos à la retraite-loisirs.

Aujourd’hui, avec parfois trente années de retraite à vivre, un pouvoir d’achat qui n’est plus ce qu’il était, de grands enfants parfois encore à charge, des petits-enfants à garder et des parents vieillissants, certains envisagent une reprise partielle d’activité, panachée de repos et de loisirs.

Même en retraite, la génération pivot, comme je l’appelle, n’a pas fini de jouer les soutiens de famille.

 

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Les premiers temps de la retraite sont ceux du passage angoissant d’un temps très structuré à un temps déstructuré.

Période de bouleversements psychologiques, familiaux, sociaux, de perte de statut, d’utilité sociale, d’identité, de réseau relationnel, l’entrée dans la retraite peut être vécue comme une petite mort.

Mais pour les retraités, difficile de confier tout cela : dans une société touchée par le chômage et préoccupée par l’avenir des retraites, ils sont souvent considérés comme des privilégiés, n’ayant pas légitimité à se plaindre.

Mes séances à mon cabinet en qualité de psychopraticien (nouvelle appellation pour psychothérapeute), ou les séminaires de préparation, leur offrent un espace de parole, où ils peuvent se plaindre, eux aussi.

« La retraite est un passage, un moment de crise avec, comme à l’adolescence, un questionnement sur l’identité« , témoigne Carmen Siger, psychologue et formatrice à l’Ecole des parents. Pour tous ceux qui ont été poussés vers la sortie, placardisés, qui n’ont pas pu transmettre leurs compétences, le stage, poursuit-elle, « permet aussi de décolérer et d’entrer dans un processus de deuil de la vie professionnelle et de reconstruction active« .

Accepter le changement pour se forger une nouvelle identité et ne pas demeurer éternellement « l’ancien directeur marketing de… » telle entreprise.

S’écouter enfin, se dessiner un rythme personnel, éviter d’être une nouvelle fois happé par les autres – petits-enfants, enfants, parents.

Ouvrir le dialogue dans le couple pour trouver un nouvel équilibre et s’aménager des sphères d’autonomie.

Combattre, surtout, l’idée que la retraite est une fin en soi, que l’on sera heureux en attendant que le temps passe.

Il faut trouver une raison de se lever le matin.

Certains pensent que les albums photos et les mots croisés vont remplir leur vie…

Mon leitmotiv : le « projet de vie ». Accomplissement, parfois, d’un rêve d’adolescent.

 

 

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Ne plus travailler, être libre comme l’air… et déprimer.

Voilà à quoi ressemblent les premiers mois de la retraite, plus souvent qu’on ne le dit.

Eden tant attendu, récompense finale d’une vie de labeur, la retraite constitue aussi un bouleversement majeur qui doit se préparer, sous peine de déconvenues.

Depuis peu, l’offre de stages de préparation à la retraite s’ouvre à la dimension psychologique. L’association L’Ecole des parents, comme le grand groupe de retraites complémentaires Reunica, qui tous deux offrent depuis belle lurette des formations à la retraite, sont beaucoup plus sollicités qu’autrefois. La même chose à mon cabinet, où de jeunes retraités toulousains viennent me confier leur blues.

Signe des temps, des spécialistes du coaching investissent ce marché prometteur. Sous l’effet du « papy-boom », 5,5 millions de personnes sont partis en retraite entre 2006 et 2012 (chez les seuls salariés du régime général).

Pour les entreprises qui proposent ces formations à leurs salariés, il s’agit de faciliter les départs en douceur, même lorsqu’ils sont largement anticipés.

D’ailleurs, je vois que les jeunes retraités se montrent moins réticents que leurs aînés à l’idée de se faire aider.

Raymond Gazeaux, 58 ans, cadre dans une filiale de L’Oréal, n’a guère hésité quand son entreprise lui a proposé de suivre un stage de l’Ecole des parents. Dans quelques semaines (« le 18 septembre, un jeudi »), il plongera dans l’inactivité :

« J’appréhende un peu la retraite, avoue-t-il. Dans mon entourage proche, un retraité a fait une dépression. Du jour au lendemain, il s’est retrouvé cloîtré chez lui, sans repères. En trois mois, il a dégringolé… »

Il n’est pas rare, en effet, que l’euphorie des premiers mois cède la place à un grand vide.

Surtout si, dans le couple, l’un s’arrête avant l’autre. Surtout si c’est l’homme, moins habitué que la femme à vivre avec des champs d’implication divers.

Face à cette angoisse du « je ne suis plus rien », certains nient l’évidence, d’autres se réfugient dans l’hyperactivité, comme « une fuite en avant pour repousser la problématique, qui a pourtant toutes les chances de revenir ».

 

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Changer de job, c’est une décision qui se mûrit.

Pour ceux et celles qui hésitent encore, voici mes 10 conseils d’une reconversion professionnelle réussie !

  1. S’interroger sur sa motivation : est-ce une décision contrainte par le contexte économique ou est-ce une véritable envie personnelle ? Votre envie est-elle profonde ou est-elle liée à une démotivation passagère au travail ?
  2. Réfléchissez à ce que vous aimeriez faire : il faut souvent remonter loin pour discerner ce qui nous attire véritablement, indépendamment de notre parcours professionnel. Réveillez ses rêves d’enfant est un bon moyen d’identifier vos aspirations profondes que vous avez enfouies en vieillissant.
  3. Sondez vos proches : que cela soit un membre de votre famille, un ami, un collègue, les personnes qui nous connaissent sont un miroir efficace. Elles peuvent nous suggérer un domaine professionnel dans lequel elles nous verraient évoluer.
  4. Définissez votre système de valeurs : aider les autres, privilégier sa vie privée, être indépendant… autant de critères qui peuvent orienter votre choix. Changer de métier, c’est avant tout adopter un style de vie qui nous ressemble plus. C’est aussi savoir s’affranchir de l’éducation que vous avez reçue, qui façonne fréquemment une trajectoire.
  5. Listez vos atouts : une fois que votre projet commence à se dessiner, vous pouvez faire un bilan de compétences. Cette étape est celle de la concrétisation, c’est là que vous prendrez conscience des métiers qui correspondent à votre parcours et à votre personnalité.
  6. Préparez le terrain : qui dit reconversion dit formation. Vous n’allez pas vous improviser patronne de restaurant, ni éducatrice spécialisée. S’inscrire à des cours du soir, effectuer des stages, construire son réseau, la préparation peut être longue. Tout plaquer sur un coup de tête peut s’avérer très angoissant, autant assurer ses arrières.
  7. Evaluez vos ressources : avant de vous lancer, mesurer contraintes de budget et de temps. Les enjeux ne sont pas les mêmes quand on a la trentaine et des enfants en bas âge que lorsque les ados sont sur le point de quitter la maison, ou que l’on approche de la retraite. Avoir un conjoint qui vous appuie dans votre démarche est également un soutien précieux.
  8. Gérer vos freins : Exit la culpabilité qui pourrait vous faire reculer, ou la peur du jugement des autres. L’important est d’oser aller au bout de votre envie.
  9. Lancez-vous : vous vous jetez à l’eau et vous y croyez ! Evitez de vous fixer des objectifs ambitieux et pensez moyen terme plutôt que long terme. La politique des petits pas permet d’aller de petits succès en petit succès. Vous prendrez davantage confiance en vous.
  10. Gardez le cap : rien ne se passe comme vous l’avez prévu. N’hésitez pas à réaménager votre plan. Et, toujours, gardez en tête que, même si vous échouez, votre CV sera enrichi de votre expérience !

« La gloire et le succès procurent des émotions hautes en couleur, mais qui ne sont pas le bonheur.

J’ai réalisé avec l’âge que le bonheur consiste en une succession d’instants discrets – pour moi, c’est un bouquet de fleurs dans les bras, marcher dans la rue pour rentrer chez moi. »

Inès de la Fressange

Cher Lecteur, quelle est votre définition du bonheur ?

 

 

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