Épuisé(e), irritable, au bord du gouffre ? Vous n’êtes pas seul(e).

Le burnout touche de plus en plus de personnes.

Je dirai même une augmentation en forte hausse depuis la Covid.

Cette semaine, trois nouveaux clients sont arrivés.

Anxiété stratosphérique et épuisement du corps et de la tête.

Ils ont été happés par le tourbillon du stress et de la surcharge de travail. Ils n’ont pas su dire non.

Mais soyons serein et confiant : ils guériront, et retrouveront leur énergie.

Comprenez votre burn-out : 6 signaux qui doivent vous alerter.

Le burn-out ne se résume pas à une simple fatigue passagère.

Loin de là !

Comme vous l’avez remarqué, il se manifeste par un épuisement physique, émotionnel et mental profond, accompagné de symptômes tels que :

  • Fatigue intense et persistante
  • perte de motivation et d’intérêt pour le travail
  • difficultés de concentration et de mémoire
  • troubles du sommeil
  • irritabilité et hypersensibilité
  • sentiment d’échec et de culpabilité

Passez de la spirale infernale au cercle vertueux : des solutions concrètes existent

Ne vous a-t-on pas dit, et même répété, que la guérison d’un burn-out est un processus qui prend beaucoup de temps et de la patience ?

Je vous le dis : en adoptant une approche holistique, en prenant soin de vous, vous retrouverez votre équilibre et votre énergie. Vous pouvez diviser par deux votre arrêt maladie avec une approche thérapeutique adaptée.

Le burn-out est un signal d’alarme que vous ne devez pas ignorer.

En prenant le temps de vous écouter,

et en prenant soin de votre santé mentale-émotionnelle,

vous pouvez sortir de l’épuisement et retrouver un équilibre durable.

Voici quelques pistes à explorer :

  • Reposez-vous : c’est le point de départ indispensable. Accordez-vous du temps pour vous relaxer, dormir et vous reconnecter à vos besoins
  • Consultez un professionnel compétent : un psychopraticien ou un coach vous aidera à identifier les causes de votre burn-out. Et à mettre en place des stratégies pour y faire face
  • Modifiez votre organisation du travail : apprenez à dire non, à déléguer, et à fixer des limites claires entre vie professionnelle et vie personnelle
  • Développez des activités bien-être : sport, yoga, méditation, auto-hypnose… trouvez des pratiques qui vous apaisent, et vous permettent de recharger vos batteries.
  • Se reconnecter à soi : prenez le temps de réfléchir à vos valeurs, vos aspirations, et ce qui donne du sens dans votre vie.

N’oubliez pas, vous n’êtes pas seul(e) !

De nombreuses ressources sont disponibles pour vous accompagner dans votre cheminement vers la guérison. N’hésitez pas à demander de l’aide.

A vous entourer de personnes sincères et bienveillantes.

N’attendez plus, le chemin vers la guérison commence aujourd’hui.

Si vous souhaitez aller plus loin :

-> Réservez un rdv en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.) ou à mon cabinet toulousain. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ».
Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

psychotherapie-addiction-sexuelle-dependance-boulimie-f-duval-levesque-psychopraticien-hypnotherapeute-coach-toulouse-tcc-hypnose-patient-ou-clientLe mot « patient » provient du latin, « patior », qui signifie « souffrir ».

Étant donné que l’individu qui vient consulter un psychopraticien et/ou hypnothérapeute est quelqu’un qui souffre émotionnellement et veut être aidé, il est approprié qu’il soit appelé « patient ».

« Patior »  signifie également « éprouver, attendre ».

Comme le processus thérapeutique consiste à éprouver certaines situations internes, et aussi à savoir attendre pour que les changements puissent avoir lieu, le mot patient ne pourrait être plus adapté.

Le mot « client » se réfère à une transaction commerciale, ce qui est, certes, le cas entre un psy et un patient puisque celui-ci paye pour un traitement. Mais il serait très réducteur d’utiliser ce mot, car il néglige la raison pour laquelle cette personne demande ce service.

En conséquence, ça aurait autant de sens d’appeler « client » la personne qui va chez un psy que d’appeler « client » la personne qui va chez un médecin ; dans les deux cas la personne qui consulte souffre et cherche de l’aide pour soulager cette souffrance.

« C‘est une grande force, l’espoir,

c’est une source de résilience, de succès et de bonheur. »

Après Happiness, le grand livre du bonheur et Love, le grand livre de l’amour, l’auteur belge Leo Bormans s’intéresse à l’espoir dans son nouvel ouvrage.

L’espoir ne discrimine pas: il touche les hommes et les femmes, les plus vieux comme les plus jeunes, les riches et les moins fortunés…

Hope, Le grand livre de l'espoir, psychotherapie, addiction sexuelle, dépendance, boulimie, F.Duval-Levesque psychopraticien et hypnothérapeute, TCCSa portée est universelle: il est à la fois une ressource psychologique indispensable pour traverser les périodes orageuses, un outil précieux quand vient le temps de se fixer des objectifs, et, surtout, un gage inestimable de foi et de confiance en la vie.

Changer de perspective dans de nombreux aspects de la vie.

Voilà ce que vous propose ce beau livre !

Selon sa (bonne) formule, l’auteur belge Leo Bormans a demandé à cent experts d’écrire un texte sur ce thème.

Le résultat est à la hauteur de l’ambition : le thérapeute Guy Corneau – qui a lui-même traversé l’épreuve du cancer –, le professeur d’université portugais Arménio Rego, les Canadiens Maja Djikic et Keith Oatley, spécialistes du développement personnel, le chirurgien australien Miles Little, et tant d’autres, déploient leurs expériences et leurs convictions profondes en matière d’espoir.

Ce sentiment qu’il y a du mieux à venir, disent-ils, est fondamental à notre survie, pour traverser les périodes difficiles.

Une lecture qui donne du punch !

 

Source: « Hope – Le grand livre de l’espoir« , Leo Bormans, Les éditions de L’Homme

Ne vous laissez plus faire ! 10 leçons pour s'affirmerVous est-il souvent arrivé de ne pas savoir dire « non » à une demande ?

De ne pas oser dire que quelque chose vous dérange ?

Que vous n’êtes pas d’accord ?…

Ne soyez plus victime des autres ou de vous-même !

On a souvent peur de s’affirmer car on craint la réaction – si ce n’est le jugement – des autres à notre égard. Et puis un jour, on essaie… et ça passe !

En effet, on a trop tendance à se sentir bloqué par une vision déformée de nous-même et de la réalité.

Le Dr Wayne W. Dyer nous donne ici 10 « leçons », assorties de tests révélateurs, pour reprendre confiance en soi et adopter une position de gagnant dans la vie.

Qui est l’auteur ?

Docteur en psychologie et psychopraticien, Wayne W. Dyer est l’auteur de nombreux best-sellers, dont « Le pouvoir de l’intention » et « Les dix secrets du succès et de la paix intérieure ». Ecrivain et conférencier de renommée internationale, il a enseigné des principes psychologiques et spirituels fondamentaux.

 

Source: « Ne vous laissez plus faire ! 10 leçons pour s’affirmer« , du Dr Wayne W.Dyer, éditions J’ai Lu Bien-Etre

Autisme, déficience intellectuelle, hyperactivité, troubles de l’attention ou des apprentissages…

Les troubles neuro-développementaux sont présents dès la petite enfance.

Ils entraînent des comorbidités multiples : dysfonctionnements cognitifs, psychoaffectifs, sensoriels.

Les troubles neuro-développementaux approche psychopathologiqueDe 3 à 8 % des enfants européens seraient concernés.

Comment identifier de façon précoce ces différentes atteintes ?

Comment favoriser une prise en charge rapide, et permettre une évolution plus positive chez l’enfant ?

Comment accompagner les adultes ?

En 10 fiches synthétiques, ce nouvel ouvrage fait le point sur ces troubles. 10 fiches pour apprendre, réviser et retenir l’essentiel d’un concept en pédopsychologie.

Dans chaque fiche : un résumé, des mots-clés, QCM, exercices, quiz ou cas cliniques. Chacune d’entre elle illustre la variété et la richesse des pratiques du psychopraticien dans ce champ.

Attention ! Ce livre n’est pas une revue exhaustive des troubles neuro-développementaux. Mais il se présente comme une première approche accessible et technique de ces troubles. Il vous permettra de guider votre réflexion.

Ce livre des éditions In Press vous proposera aussi une ouverture sur les différentes possibilités d’accompagnement tant psychologique, scolaire que législatif.

Les concepts abordés permettent de comprendre les profils comportementaux et cognitifs de ces enfants.

Bref, l’objectif principal de livre éminament pratique est de permettre une meilleure connaissance et compréhension du fonctionnement de ces enfants, afin de mieux tenir compte de leur spécificité. Favoriser ainsi leur insertion personnelle et sociale.

Un livre-outil qui répond au plus près aux attentes des étudiants, des professionnels… et des parents !

Je  recommande !

 

Pour aller plus loin: Joly Fabien, « Le corps en question : psychopathologie des troubles instrumentaux (ou plaidoyer pour une approche complexe des dyspraxies et des troubles psychomoteurs) »Le Carnet PSY 7/2009 (n° 138) , p. 39-49
www.cairn.info/revue-le-carnet-psy-2009-7-page-39.htm.

Biographie de l’auteur

Jeanne Kruck est maître de conférences en psychopathologie développementale à l’université Toulouse Jean Jaurès.
Lucie Bouvet est neuropsychologue et maître de conférences en psychopathologie développementale à l’université Toulouse Jean Jaurès.

Source: « Les troubles neuro-développementaux : approche psychopathologique – 12 fiches pour comprendre« , de Jeanne Kruck et Lucie Bouvet, Edition In Press

La solution passe par trois points :

1. Une dédramatisation, car il est inutile de se culpabiliser, il vaut mieux prendre ses phobies avec humour et indulgence envers soi-même

2. Une auto-analyse assez précise de ses peurs et de ses comportements (quelles sont les situations que je redoute, que j’évite, et comment je peux les expliquer sur la base de mon histoire et de mon environnement ?)

3. Une confrontation très progressive aux situations redoutées, par très petites étapes et sans jamais se faire violence, mais en revanche en y restant confronté longtemps et souvent (tous les jours si possible).

SI vous êtes phobique des clowns : si vous vous y sentez prêt, habituez-vous à regarder un joli masque de clown en photo, puis un moins joli, puis regardez beaucoup de photos et de films, allez acheter un déguisement, jouez avec, etc. Tout ceci devrait très bien fonctionner.

Si ça n’est pas le cas ou que cela vous paraît trop difficile, faites-vous aider d’un professionnel, notamment d’un psychopraticien pratiquant les thérapies comportementales et cognitives. Quelques séances suffisent le plus souvent.

 

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Bénéficiez d’une information (entretien de 30 minutes gratuit et sans engagement) pour un soutien psychologique, une psychothérapie ou du coaching en cliquant ici

Notez que le burnout ne constitue pas un diagnostic reconnu en santé mentale.

Les personnes qui en souffrent reçoivent généralement un diagnostic de trouble de l’adaptation ou de dépression (majeure).

Burnout, burn out,  f-duval-levesque-psychotherapie-psychopraticien-hypnotherapeute-emdr-sophrologie-coach-formateur-addiction-dependances-boulimie-depressionComment arrive le burn out ?

Le burnout, ou épuisement professionnel, est un syndrome psychologique qui survient dans un contexte où une personne est exposée à un environnement de travail stressant. Elle fait face à de grandes exigences, avec des ressources insuffisantes pour y répondre.

Si vous allez voir un psychopraticien (nouveau nom pour psychothérapeute), il vous aidera à aller mieux, et verra avec vous :

  • L’aspect préventif : apprendre à écouter les réactions de son corps pour détecter les signes du stress.
  • L’aspect curatif : apprendre à retrouver ses moyens, prendre du recul et lâcher prise avant la rupture.
  • L’aspect confiance en soi : redécouvrir et développer la confiance en soi pour un travail à long terme.