La reprise au travail est vite synonyme de journée à rallonges.

Entre la gestion du confinement passé, le travail qui s’entasse de plus en plus, le patron ou le supérieur hiérarchique qui en demande toujours plus, les facteurs ne manquent pas pour faire imploser le salarié.

Un burnout du confinement ?

Les risques de burnout restent bien présents : les salariés déjà très investis dans leur travail ont souvent tendance à en faire encore plus. Et le télétravail qui est souvent imposé !

Les travailleurs démarrent plus tôt leur journée de travail pour finir plus tard.

Mais ils doivent jongler entre les urgences liées à la crise sanitaire et les projets programmés dans le cadre d’une reprise. Ils abolissent sans même s’en apercevoir les frontières entre vie privée et vie professionnelle.

5 conseils pour éviter de se laisser déborder :

1 / Conserver des repères

Il est indispensable de garder des horaires et des jalons, pour des fonctions aussi basiques que manger, dormir ou s’habiller. Si l’on passe la journée en short et en tong, la rupture avec le dress code habituel est tellement forte qu’on sape aussitôt ses repères. Les petites choses de tous les jours sont très importantes : si on le perd le rythme qui va avec, on risque de se perdre.

Cette forme de continuité se vérifie évidemment dans le travail : pas de réunion à point d’heure, pas de débordement sur le week-end, pas d’appels téléphoniques ou de mails à tout bout de champ…

L’important, quand on fait du télé-travail, est de parvenir à instaurer une routine, quand bien même l’environnement est exceptionnel. On peut réussir à reproduire une certaine forme de normalité.

Même s’il y a des tâches qui changent, même s’il y a des dossiers soudain plus complexes, il est nécessaire de recréer de nouvelles habitudes chez soi permettant de se fixer un cadre de travail. Se focaliser uniquement sur les effets négatifs de cette crise empêche d’apprécier ses bénéfices.

2  / Établir un planning

Le problème avec cette crise, même maintenant en juin, est que le cadre ou le manager se retrouvent soudain privés des filtres habituels. Parmi ces filtres, il y a les interlocuteurs traditionnels – adjoints, experts, syndicats – mais aussi ces points d’étape formels, comme une réunion préparatoire ou un débriefing, qui font avancer un dossier.

Comme ces partenaires et ces rencontres manquent “physiquement” à l’appel, on se retrouve à tout gérer en même temps, avec le risque d’être rapidement envahi.

Le secret pour y faire face ? Surtout, ne pas improviser ses journées : il est utile d’élaborer la veille pour le lendemain un planning prévisionnel.

Je rappelle aussi que le confinement général n’a pas éteint, loin s’en faut, la capacité de travail des coachs et des psys. Une téléconsultation est toujours possible, avec la satisfaction d’avoir pu échanger, sans jugement, avec un thérapeute. Ce n’est pas parce que l’on est confiné que l’on doit se priver de tout soutien, n’est-ce pas ?

Pendant cette période de crise qui n’en finit pas, je m’entretiens régulièrement avec certains de mes clients dont les journées ont tendance à s’allonger. Ce qui doit alerter sur les signes d’épuisement mental ? Un sommeil difficile, une irritabilité accrue, des bouffées d’angoisse, des troubles alimentaires…

3 / Varier les activités

Pourquoi ne pas, au cœur de la journée de travail, s’accorder un peu de lecture, un peu de musique ou une autre activité récréative ? Il est indispensable de rompre l’enchaînement des activités, sinon on rentre dans de longs tunnels.

C’est valable pour l’addition des tâches professionnelles : il faut proscrire en particulier la succession ininterrompue de visio-conférences ou l’examen trois heures durant d’un dossier sans se lever de sa chaise.

Il est aussi indispensable de se créer des bulles de détente qui rythmeront agréablement la journée, à l’instar d’une pause-café ou d’un rendez-vous (à distance) avec ses collègues et placée sous le seul signe de la convivialité.

Le sport, ou à défaut un minimum d’exercice physique, font évidemment partie d’un éventail élargi d’activités. En période de stress, bouger un peu se révèle un bon antidote. Finalement, toutes les choses qui empêchent de rester vissé (devant son ordinateur) se révèlent profitables.

4 / Rester informé, pas surinformé

Le climat n’a jamais été aussi anxiogène : entre crise sanitaire, tourmente économique, fragilités de notre civilisation et perspectives plus qu’incertaines, rien ne manque pour être durablement ébranlé.

Voilà pourquoi on évite d’être perpétuellement connecté aux circuits d’informations. Une fois par jour, le journal de 20 heures par exemple, c’est parfaitement suffisant, et encore on peut faire des pauses. Ou survoler, deux ou trois fois par jour, sa veille informative.

5 / Cultiver la bienveillance

Le lien entre le manager et ses équipes évolue en cette période de reprise générale. En parlant à quelqu’un, on ne peut plus faire abstraction de sa santé, de celle de ses proches et de son environnement personnel.

Alors qu’avant le confinement on abordait presque brutalement un dossier, l’approche est aujourd’hui plus nuancée.

Une forme de respect tend à s’instituer : elle est précieuse parce que chacun prend conscience que le quotidien de son interlocuteur dépasse, et de loin, sa seule fonction professionnelle. Encourager cette bienveillance – même si elle est un peu formelle – contribue à apaiser un peu la tension quotidienne.

La phase de reprise est très intéressante : les entreprises seront-elles capables de conserver ces attitudes qui contribuent au bien-être du salarié, ou le naturel reviendra-t-il au galop avec son lot d’injonctions ?

Pour l’instant, nous nous adaptons à la nouvelle donne et aux difficultés quotidiennes qui peuvent entamer notre bonne humeur.

C’est pourtant indispensable : un peu de méthode Coué, pour se dire que les choses vont finir par s’améliorer, peut agir sur le moral et également aider à traverser cette crise avec plus de sérénité.

Définition du burnout :

Le syndrome d’épuisement professionnel, ou burnout, est un ensemble de réactions consécutives à des situations de stress professionnel chronique dans lesquelles la dimension de l’engagement est prédominante.

Il se caractérise par 3 dimensions :

  • l’épuisement émotionnel: sentiment d’être vidé de ses ressources émotionnelles
  • la dépersonnalisation ou le cynisme : insensibilité au monde environnant, déshumanisation de la relation à l’autre (les usagers, clients ou patients deviennent des objets), vision négative des autres et du travail,
  • le sentiment de non-accomplissement personnel au travail : sentiment de ne pas parvenir à répondre correctement aux attentes de l’entourage, dépréciation de ses résultats, sentiment de gâchis…

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en télé-séances (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin

 

Annoncé pour le 11 mai, le déconfinement sera pour certains une source de stress et d’anxiété.

Comment faire face à la peur du Covid-19 et de l’inconnu ?

« Ce qui est très stressant, d’une manière générale, ce sont les changements de régimes et d’habitudes », lance le Dr Charles-Édouard Notredame, psychiatre et chef de clinique au CHU de Lille. Comme le passage au confinement a pu constituer une source de stress, le déconfinement peut agir de la même manière.

« Le confinement a pu représenter une absence de libertés, en bousculant nos repères et nos habitudes. Finalement, on a fini par s’accoutumer à ce nouveau mode de vie. Les gens doivent se réadapter à un changement de repères avec le déconfinement. Ce sont les efforts d’adaptation qui peuvent être très stressants », souligne le praticien.

Pour la Dr Rachel Bocher, cheffe du service psychiatrie au CHU de Nantes, « ce qui peut rendre les gens anxieux en ce moment est un mélange de plusieurs choses : l’épidémie, le confinement et le flou des consignes qui sont données ».

Mais le ressenti lié au déconfinement sera très variable d’une personne à une autre.

« Pour certains, le confinement a pu suspendre des contraintes liées à la vie sociale, qui étaient sources d’angoisse. Je pense par exemple à des adolescents qui avaient des difficultés dans le milieu scolaire. D’autres personnes ont pu aussi se retrouver dans des situations de conflits familiaux, voir de violences intra-familiales, et percevront le déconfinement comme un soulagement », ajoute Charles-Édouard Notredame.

Comment faire face à une « anxiété du déconfinement » ?

Il faut prendre le temps pour intégrer la co-existence avec le coronavirus au quotidien. Ce qui est le plus difficile, c’est cette période de transition.

Face à une situation de détresse ou d’angoisse, des mesures simples peuvent être appliquées par tous : faire attention à son sommeil, adopter une alimentation équilibrée en baissant fortement sa consommation de sucre et de féculent, et faire de l’activité physique dans la mesure du possible…

Il faut reprendre une vie avec des rythmes : se lever, manger et se coucher à des heures définies, faire des activités stimulantes, qu’elles soient intellectuelles ou physiques. La meilleure façon pour ne pas être confronté à une angoisse, c’est de ne pas en faire une obsession.

Rétablir un lien social avec ceux qui nous entourent est également bénéfique. Ne pas s’isoler et rester en contact avec ses proches, c’est très important.

En cas d’angoisse ou d’anxiété trop forte, il ne faut pas hésiter à en parler et faire appel à un thérapeute au cabinet ou en téléconsultation avec Skype. Quelques séances d’hypnose profonde avec moi vous permettra vous sentir plus fort et confiant.

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Longtemps restée marginale en thérapie, la séance à distance connaît un essor grandissant.

Un engouement que plébiscite mes clients habitant en dehors de Toulouse. Et qui pourrait, à l’avenir, faciliter l’accès aux psychothérapies pour tous, et ceux habitant loin.

Les téléconsultations modifient aussi les pratiques psys, ne serait-ce que par les limitations sensorielles qu’elles impliquent.

Dès lors que j’utilise la vidéotransmission, je suis obligé d’adapter mes façons de d’écouter, de regarder et de parler, ce qui change les intéractions avec mes clients.

Pour m’assurer que je fais du bon travail, je pose davantage de questions au client, et même à le voir en face à face la première fois; surtout en hypnothérapie.

Consulter son psys depuis le canapé du salon ? Un confort auquel une de mes clientes, 41 ans, a goûté pour la première fois fin mars.

« Epidémie de Covid-19 oblige, mon psy m’a proposé de faire ma consultation de suivi de suivide burn-out et d’anxiété à distance », raconte cette ingénieure commerciale chez Orange. Habituée au numérique, au télétravail et aux visioconférences, ma cliente en est ressortie conquise.

« Au bout de quelques minutes, j’avais vraiment l’impression d’être comme en face à face, témoigne-t-elle. L’échange était très fluide et m’a permis d’avoir les réponses à mes questions, et me sentir mieux, sans attendre le déconfinement. »

La télépsy est donc une forme de pratique thérapeutique à distance utilisant les technologies de l’information et de la communication. Et elle suscite un engouement croissant à mon cabinet.

Et les clients utilisateurs sont loin d’être tous des « digital natives ». D’après mes derniers chiffres, 15 % ont entre 55 et 64 ans et 11 % sont âgés de plus de 65 ans… !

Mes clients ont longtemps nourri la crainte que la téléconsultation réduise le niveau de qualité de la séance, déshumanise la relation avec le thérapeute. Mais quand le nombre de cas de Covid-19 a explosé, ils ont soudain ressenti une obligation vitale de distanciation sociale pour ralentir la propagation du distanciation sociale.

La téléconsultation est alors apparue pour beaucoup comme la seule solution possible pour continuer leurs psychothérapies. En l’espace de vingt-quatre heures, j’ai donc dû m’y remettre et revoir, comme nous tous, ma façon de travailler.

Nous avons parfois besoin d’être au pied du mur pour changer nos habitudes.

C’est vrai pour la défense du climat comme pour la transformation de la thérapie !

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Et vous, comment décidez-vous ?

Sommes-nous libres de choisir, ou au contraire nos décisions sont-elles déterminées par notre histoire, notre environnement, ou nos habitudes ?

Au-delà de la prise de décision, dans ce livre passionnant, le lecteur se trouve emmené dans un cheminement personnel pour se recentrer sur sa propre finalité, son rôle en tant qu’individu dans l’entreprise ou dans la sphère privé.

Il est tentant de s’en remettre plutôt à notre bon sens, à la capacité d’analyse dont nous disposons déjà, et à notre intuition.

Comme le souligne l’auteur de ce livre, Sylvie-Nuria Noguer, les mauvaises décisions peuvent toutefois coûter très cher. Et il existe un enjeu formidable à progresser dans la qualité de nos décisions.

Pour les « décideurs », il s’agit d’identifier des « décisions courageuses et alignées avec notre finalité et nos aspirations profondes au bureau comme à la maison ». Pour notre entreprise, nous pouvons évoluer par exemple vers des décisions moins affectées par nos biais décisionnels, et plus à l’écoute de parties prenantes que nous tendons parfois à négliger au cœur de l’action.

« Oubliez la raison, misez tout sur l’intuition ! » semble être la nouvelle donne. Cependant l’intuition sans discernement ne suffit pas pour guider le décideur face à la complexité.

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Le parcours professionnel de l’auteure dans le domaine de la RSE l’amène ainsi à nous inviter à davantage prendre en compte l’impact sociétal de nos choix, mais sans pour autant forcer notre regard.

J’aime personnellement beaucoup:

  • le chapitre des biais décisionnels, qui peuvent échapper à notre conscience si nous n’y prêtons pas suffisamment attention
  • il possède une dimension pratique, avec notamment une relecture de nos propres décisions guidée par des questions de coaching. Un temps d’introspection particulièrement précieux quand nous sommes pris par la vitesse
  • il fait appel à une variété de sources, en plus de l’expérience de l’auteure, comme les fondements du discernement spirituel, les neurosciences, et les principes de la Communication NonViolente (CNV).

Prendre quelques heures pour lire le livre que vous avez dans les mains est à mes yeux une décision sage car il rassemble plusieurs éléments lui conférant une vraie valeur : il présente un processus en 7 étapes, permettant de passer en revue les points auxquels être attentifs au cours d’une prise de décision.

La première partie de ce livre invite le lecteur à mieux se connaître en tant que décideur, à partir d’une relecture de ses décisions guidée par des questions de coaching. Elle présente également les points d’appui du processus de décision en sept étapes présenté en deuxième partie : caractéristiques des systèmes complexes, résultats d’études scientifiques sur les systèmes de pensée et les émotions intervenant dans la prise de décision, et fondements philosophiques et spirituels du discernement.

La deuxième partie est conçue comme un guide d’autocoaching à travers lequel le lecteur pourra expérimenter un processus de décision en sept étapes pour faire des choix libres, cohérents et éclairés. Chaque étape comprend des notions tirées de travaux scientifiques, des exemples concrets, ainsi que des questions et des outils pratiques pour l’inviter à appliquer le processus à une situation de son choix.

Enfin, la troisième partie propose des pistes de réflexion pour cultiver le discernement dans les organisations et donner du sens aux décisions dans le milieu de l’entreprise.

Qui est l’auteure ?

Sylvie-Nuria Noguer est coach professionnelle certifiée, formatrice et facilitatrice.

Ingénieure Arts et Métiers avec une spécialisation en psychosociologie, en ingénierie de l’environnement et en administration des entreprises, elle a dirigé une équipe de consultants en développement durable et enseigné aux programmes MBA d’HEC et de l’université McGill à Montréal pendant plusieurs années.

Elle accompagne aujourd’hui les leaders et leurs équipes pour une performance durable et des décisions alignées sur leur raison d’être, en France et au Canada.

Source: « Donner du sens à vos décisions » – Éditions Eyrolles

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Rentrée scolaire : comment aider son enfant à se remettre dans le bain ?

Souvent source d’inquiétude chez les plus jeunes, la rentrée scolaire peut aussi être appréhendée par leurs parents. Comment s’y préparer, pour l’affronter sereinement ?

A l’approche de la rentrée scolaire, comment aider notre enfant à gérer ses appréhensions?

Tout d’abord, il ne faut pas imaginer que l’enfant en ressentira forcément.

Au contraire, c’est même cela qui pourrait l’inquiéter: les appréhensions qu’éprouvent un enfant sont souvent liées aux nôtres.

Ensuite, il faut savoir que la majeure partie du temps, nous ne pouvons pas parler de véritable peur, mais plutôt d’une forme de déception, parce que les vacances vont se terminer, et qu’il va falloir se remettre au travail.

Généralement, les «vraies» inquiétudes sont liées à un changement important de niveau. Autrement dit, une entrée en primaire ou en classe de 6ème, par exemple. Et dans ce type de contexte, être inquiet est normal, voire même préférable, puisque cela signifie que l’enfant prend à cœur sa scolarité, qu’il a envie de s’investir.

rentree scolaire,Que faire lorsque notre enfant a peur de retourner en classe, parce qu’il est en échec scolaire, ou peu intégré socialement?

Tout simplement lui répéter que nous croyons en lui, en ses capacités, et que nous allons tout mettre en œuvre pour lui venir en aide.

L’été est la période où l’on a tendance à mettre de côté certaines règles de vie. Comment reprendre les bonnes habitudes en douceur?

C’est à cela que sert la dernière semaine de vacances.

Chaque jour, on pourra aller se coucher un quart d’heure plus tôt, redéfinir des horaires de repas raisonnables, réduire l’usage des tablettes ou le visionnage de la télévision… D’autant plus que c’est dommage de gaspiller autant de temps devant les écrans. Il existe une multitude d’activités bien plus enrichissantes à réaliser.

Il est très important de profiter de la fin des vacances, de partager des moments de joie en famille, que ce soit à travers des activités culturelles, sportives ou artistiques. C’est à cela que sert la pause estivale. A réaliser des choses, que l’on n’a malheureusement pas l’occasion de faire le reste de l’année, lorsque les parents travaillent.

Préconisez-vous que l’enfant «se replonge» dans le programme scolaire de l’année précédente?

Seulement s’il est confronté à de réelles difficultés scolaires.

Et même dans ce cas de figure, je conseillerais aux parents de ne pas lui faire réviser tout le programme, mais seulement les chapitres qu’il n’a pas du tout acquis.

De toute manière, la prochaine année scolaire va servir à le faire progresser. Ce serait vraiment dommage de gâcher la fin des vacances. Encore une fois, il vaut mieux privilégier les activités, les échanges diversifiés : ce sont eux qui vont réellement aider l’enfant à progresser, à s’épanouir.

Sources: lefigaro.fr, divers

Si vous lisez mon blog régulièrement et si vous vous intéressez au développement personnel, ce n’est sûrement pas par hasard.

Dans votre vie, vous avez probablement envie de quelque chose de nouveau ou quelque chose de plus. Ai-je raison ?

Vous vous posez des questions…

Et c’est bien, vous êtes sur la voie de l’action.

Vous allez trouver une solution qui fonctionne, oui, je le crois.

Pour moi, une des meilleures façons de prendre une décision, c’est de me poser cette simple question :

« Quand j’aurai 80 ans,

est-ce que je vais regretter d’avoir dit non à cette opportunité ? »

Alors, est-ce que ça vaudrait le coup de tester ce que cela donne ?

Suis-je prêt à rompre avec mes habitudes pour apporter

un peu d’excitation et d’aventure dans ma vie ?

Juste, essayez.

Là, aujourd’hui !

Vous verrez ensuite.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

 

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Pour optimiser ses efforts lors d’un régime, éviter la faim ou les craquages, ces petites astuces toutes simples sont terriblement efficaces !

On mange avec des baguettes

Il faut vingt minutes avant que la sensation de satiété intervienne. On le sait, mais en pratique, il n’est pas toujours facile de changer ses habitudes. Pour ralentir le rythme et laisser au cerveau le temps d’analyser ce qu’on est en train de manger, on remplace la fourchette par des baguettes. Si, si, y compris pour la salade verte !

On en profite pour bien mâcher, action qui permet à l’organisme de produire de l’histamine, une substance impliquée dans le processus de satiété.

On se débarrasse des tentations

On vide les placards des biscuits salés et sucrés qui s’y trouvent, on laisse les enfants terminer les glaces dans le congélateur (on n’en rachète pas) et on sécurise les autres tentations (bonbons, chocolats…) dans un endroit difficile d’accès (par exemple dans une boîte au-dessus des meubles hauts dans la cuisine).


On calme ses pulsions de grignotage

On va craquer, on a envie de manger «quelque chose de bon», de grignoter ? « On commence par se demander si on a vraiment faim, pourquoi on a envie de manger », conseille Céline Dai, diététicienne au centre de thalasso Thalazur à Cabourg.

Si l’envie ne passe pas, si la pulsion est trop forte, on va se laver les dents avec un dentifrice bien mentholé, on se prépare une infusion à la menthe ou bien un verre d’eau parfumé avec quelques gouttes d’Antésite (concentré de réglisse à diluer, sans sucre ni édulcorant, en grandes surfaces. A cause de la présence de réglisse, on évite en cas d’hypertension).

Imparable pour faire oublier aux papilles cette envie de chocolat ou de fromage…

 

 

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Que veut dire le mot PNL ?

PROGRAMMATION

À partir des expériences vécues depuis notre plus tendre enfance, nous avons créé et enregistré des programmes complexes pour penser, analyser, ressentir et nous adapter à notre environnement et aux personnes qui nous entourent.

Propres à chaque personne et à ses expériences, ces programmes, une fois enregistrés, deviennent rapidement des automatismes, des habitudes.

Ainsi, est le fonctionnement de chaque individu.

NEURO

Ces programmes sont codés et enregistrés dans les neurones. La capacité de nous programmer repose sur notre activité neurologique.

En effet, c’est parce que nous possédons un système nerveux et un système neurologique que nous sommes capables de percevoir notre environnement, de sélectionner nos comportements, de penser, de ressentir les choses et d’agir.

Plusieurs protocoles de changement de la PNL sont fondées sur la création ou la réorganisation de ces programmes de pensée et de comportements.

LINGUISTIQUE

Nos programmes mentaux se manifestent à travers le langage verbal et non verbal.

Notre langage structure et reflète la façon dont nous pensons et organisons notre vision des choses.

Le discours d’une personne est riche en informations sur la manière dont celle-ci construit ses expériences de vie.

 

 

 

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Combien de fois avez-vous décidé d’en finir avec vos mauvaises habitudes ?

Combien de fois vous êtes-vous promis de reprendre votre vie en main ? De vous donner du temps pour accomplir vos projets privés et professionnels, vos rêves ?

Tout d’abord, faites une chose à la fois.

Si vous planchez sur un document, vous vous mettrez sous cloche. Vous résisterez à la tentation de répondre au téléphone, de consulter vos mails ou de converser avec le premier collègue  qui pointe son museau pour vous entretenir du dernier match de foot.

Devenez séquentiel, considérez qu’il y a « un temps pour tout, et un temps pour chaque chose ».Passez un contrat avec vous-même, optez pour une monotâche pendant une durée limitée, afin d’atténuer l’impact du système de veille qui déplace votre attention.

Et si je prenais mon tempsLa paix des sens, c’est pour le cinquième âge ! Réapprenez à vous servir de tous vos capteurs sensoriels, source de plaisir et de réjouissances… Pour vous réapproprier le temps présent: l’ici et maintenant.

Retrouver son « temps intime », celui que l’on consacre à soi-même et non pas aux autres ou aux exigences du travail… Comment ? « Débranche… » le disait la chanson de France Gall. Une excellente idée pour contrer l’injonction du « dépèche-toi ! »

Nous n’avons jamais autant communiqué mais, curieusement, nous nous sentons de plus en plus incompris et isolés…

Se désintoxiquer de toute addiction numérique pendant un temps choisi, voilà une bonne idée. Ce nouveau livre de Catherine Berliet, « Et si je prenais mon temps ! », vous y aidera.

Vous réaliserez l’intérêt de traiter votre charge de travail avec circonspection et distance. Vous saurez cibler vos efforts en privilégiant les activités à forte valeur ajoutée et vous découvrirez l’art de diminuer vos plans de charge.

Puis vous découvrirez comment adopter un système d’organisation simple et efficace. Vous saurez vous éviter d’être en surchage grâce à la mise en place d’une méthodologie et à l’utilisation d’outils qui vous faciliteront la vie.

La simplification n’est-elle pas la sophistication suprême ?

Léonard de Vinci l’écrivait déjà au 15ème siècle.

Référence: « Et si je prenais mon temps ! », de Catherine Berliet, aux éditions Eyrolles

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Qu’est qu’un « bon » couple ?

Les bons couples partagent souvent de petites habitudes, qui sont faciles à suivre.

Voici 10 clés pour entretenir l’amour dans votre couple :

  1. Couchez-vous à la même heure. Les bons couples se couchent à la même heure, et à moins qu’ils ne soient trop épuisés, le contact peau à peau déclenche toujours chez eux la petite étincelle de l’amour/tendresse/complicité.
  2. Cultivez des intérêts communs. Lorsque la passion s’atténue, il est normal de réaliser que l’on a finalement peu de centres d’intérêt en commun, mais il est quand même assez facile de trouver des activités que chacun aime et que l’on peut pratiquer ensemble. De plus, chacun doit avoir ses propres hobbies pour cultiver son indépendance et constamment renouveler l’intérêt de son partenaire.
  3. Marchez ensemble, main dans la main, ou côte à côte. Vous montrez ainsi à votre moitié que vous êtes avec elle.
  4. Faites de la confiance et du pardon un mode de fonctionnement habituel. Lorsque survient une dispute qui ne peut pas être résolue (cela arrive), adoptez une attitude conciliante et de respect.
  5. Intéressez-vous à ce que votre conjoint(e) fait de bien, plutôt qu’à ses carences. Il faut mettre en valeur le positif.
  6. Embrassez-vous chaque jour lorsque vous vous retrouvez après le travail. Notre peau a la mémoire des contacts agréables, faits d’amour, des contacts mauvais (l’abus) et du manque de contact (négligence). En s’embrassant, les couples se maintiennent dans le contact agréable, ce qui les fortifie pour faire face à l’anonymat dont nous souffrons tous.
  7. Rappelez-lui que vous l’aimez quotidiennement, et souhaitez-lui de passer une bonne journée. C’est une façon idéale de l’armer pour affronter les petites tracas qui l’attendent.
  8. Souhaitez-lui une bonne nuit tous les soirs, même lorsque vous n’en avez pas le cœur. Cela lui indiquera que quoi qu’il arrive, votre couple compte toujours beaucoup à vos yeux.
  9. Opérez un contrôle météo en cours de journée : appelez votre conjoint(e) et prenez des nouvelles du déroulement de sa journée. De cette façon, vous vous mettez en diapason avec ses émotions et vous pourrez avoir une attitude adaptée lorsque vous vous retrouverez après le travail.
  10. Soyez fier(e) de vous montrer avec votre partenaire en public. On voit souvent les bons couples en public se toucher d’une manière affectueuse. C’est une manière de rappeler aux autres qu’ils sont engagés l’un à l’autre.

Y-a plus qu’a !