Extrait de l’hypnothérapeute américain Milton Érickson : 

 » La compréhension habituelle du phénomène est que l’hypnose peut être induite par des suggestions répétées de fatigue, de somnolence, de dormir. Lorsque les sujets donnent des signes évidents d’être endormi, ils sont prêts pour la procédure thérapeutique.

En fait, ces sujets sont effectivement dans une forme de transe, mais la réalité est qu’il s’agit d’un type de transe ne permettant qu’un usage très limité de la suggestion hypnotique.

L’utilisation de l’hypnose dans une visée thérapeutique requiert, pour des résultats efficaces, un entraînement étalé sur plusieurs heures.

-> Dans cette procédure d’entraînement, les sujets peuvent être hypnotisés, réveillés, ré-hypnotisés, et réveillés de nouveaux, avec chaque entrée et sortie de transe leur permettant d’apprendre petit à petit à reprendre le contrôle sur leurs facultés mentales ainsi que sur une organisation des réponses qui augmentent le degré de dissociation entre la conscience et le subconscient, ce qui a pour conséquence de créer de facto une personnalité hypnotique dissociée. »

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Hypnosis in Psychiatry, Erickson – 1939

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

Sommes-nous tous réceptifs à l’hypnose ?

Pour entrer dans votre transe, la volonté de lâcher prise et la confiance accordée à l’hypnothérapeute doivent être présentes.

Dans une enquête réalisée en 2019 par Harris Interactive, 9% des Français déclaraient avoir déjà consulté un praticien dans le domaine de l’hypnose. Vous, peut-être ?

La moitié d’entre eux y avaient même recours au moins une fois par an et 14% au moins une fois par mois.

Les consultations d’hypnose ont également fait une percée dans certains services hospitaliers, en particulier dans les Centres d’évaluation et de traitement de la douleur. Délestée des oripeaux de sa version théâtrale, l’hypnose apparaît désormais pour ce qu’elle est : une technique qui «entraîne chez le sujet un état modifié de conscience, avec de multiples applications cliniques», notait l’Inserm en 2015 («Évaluation de l’efficacité de la pratique de l’hypnose»). « Ainsi, elle peut être utilisée à différentes visées, notamment antalgique, sédative et psychothérapeutique », estimaient les experts.

Mais êtes-vous réceptif ?

Toute personne vraiment désireuse d’utiliser l’état d’hypnose va y parvenir. En revanche, si un ado est traîné à une séance d’hypnose par ses parents qui espèrent ainsi lui faire aimer les maths ou les langues, il est probable qu’il n’entrera pas dans un état hypnotique, puisque la démarche ne vient pas de lui !

Ce sera différent si, après une discussion avec lui, je peux travailler sur sa propre demande.

Le Dr Jean Becchio, qui travaille depuis vingt-cinq ans en psychiatrie et en soins palliatifs, pense également que l’accès à l’hypnose ne dépend pas de ce qui serait un type de personnalité mais de la volonté du patient d’en bénéficier. « Je me suis aperçu que ce désir est d’autant plus fort que la personne est souffrante, ajoute-t-il. Un fumeur envoyé par sa femme dans l’espoir qu’il arrête le tabac ne sera pas ouvert aux suggestions de l’hypnose. Une personne atteinte d’un cancer du poumon et souffrant terriblement d’une gêne respiratoire y sera beaucoup plus réceptive. »

Certaines personnes sont réceptives aux propositions directes de l’hypnothérapeute avant même d’accéder à un état modifié de conscience. D’autres auront besoin de l’état hypnotique pour que la suggestion fasse son chemin.

Et c’est là que l’expertise et l’écoute de l’hypnothérapeute vont faire la différence. Car il existe plusieurs voies pour y parvenir. Comme par exemple apprendre à lacher prise, ne pas avoir peur, à se lasser aller pour avoir suffsemment confiance en soi pour développer la transe.

Si cela ne fonctionne pas, cela ne signifie pas que la personne n’a pas la capacité d’entrer en état d’hypnose mais que la façon de faire n’est pas la meilleure. En bref, il incombe à l’hypnothérapeute de s’ajuster à la façon dont le patient est à ce moment-là en relation à sa sensorialité, mais aussi à son corps.

C’est d’autant plus nécessaire que la pratique de l’hypnose nécessite de s’adapter à la singularité de chaque demande, dont les ressorts ne sont pas toujours conscients. Lorsque l’on ressent une douleur chronique ou une angoisse, toute notre attention est focalisée sur celle-ci et parfois un équilibre se crée autour de ce symptôme.

Voici un exemple : le rôle de l’hypnose est alors de permettre de changer d’équilibre et cela peut parfois créer de la résistance. Je pense à une petite fille qui souffrait de migraines. Cela mobilisait l’attention de ses parents, habituellement très occupés, sur elle. À cause de ce bénéfice secondaire, et malgré une réelle souffrance, elle n’aspirait pas à ce que toute sa douleur disparaisse, mais qu’elle soit moins importante.

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Hunkaar : l’hypnose qui donne « enfin » la parole à l’inconscient.

Qui mieux qu’un inconscient sait ce qui est bon pour lui ?

L’hypnothérapeute pratique l’hypnose à des fins thérapeutiques. Il peut être consulté pour aider :

  • troubles du sommeil
  • arrêter de fumer
  • troubles de la sexualité
  • burn out
  • confiance en soi
  • peurs, phobies, angoisses
  • dépression
  • troubles du comportement alimentaire
  • deuils et étapes de vie
  • perte de poids
  • dépendance psychique (avec ou sans produit)
  • traumatisme du passé, etc…

La méthode Hunkaar est née d’une idée très pragmatique de Jean-Emmanuel Combe : l’expérimentation de l’hypnose à travers des questionnements d’inconscients, avec un signaling, et l’écriture et parole automatiques. L’objectif de cette approche est simple : donner le droit et l’envie à chacun de se reconnecter à son propre bonheur intérieur.

Jean-Emmanuel a ainsi interrogé des milliers de parties inconscientes sur leurs besoins, leurs revendications et leurs objections vis à vis des techniques plus classiques utilisées en PNL et en hypnose éricksonienne. Est née finalement une méthode efficace et complète s’appuyant sur un dialogue directe, et sans filtrage, avec l’inconscient.

Que ce soit par le signaling, l’écriture automatique ou même la parole automatique, autant d’outils qui ouvrent des horizons incroyables pour l’accompagnement de personnes en souffrance, rencontrant des difficultés avec leur corps, leurs émotions, ou leurs comportements.

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L‘hypnose profonde est grandement efficace dans le cadre de la dépression (et des troubles anxieux).

Je dis que la dépression est multifactorielle, c’est à dire qu’elle a plusieurs origines. Par exemple, la personne dépressive a grandi avec un de ses deux parents ayant cette maladie. Ou des chocs émotionnels ont favorisé des croyances limitantes, etc.

Les symptômes de la dépression sont divers : fatigue, lassitude, envie de rien, repli sur soi… et parfois, la dépression est accompagnée d’anxiété et de crises de panique.

Une dépression peut s’être installée progressivement dans le temps, comme elle peut avoir été latente et soudainement déclenchée par un événement particulier comme un deuil ou un traumatisme.

L’hypnose est une des meileures alternatives aux thérapies classiques, car elle a la capacité de trouver les origines de la dépression. Ainsi, l’hypnothérapeute peut, grâce à des techniques avancées, apaiser, redonner joie de vivre et le désir et l’envie.

Il vous accompagnera dans le processus de mieux être, avec bienveillance et sans aucun jugement. Pour retrouver votre autonomie, votre liberté émotionnelle !

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1/ Est-ce que tout le monde peut être hypnotisé (en « état modifié de conscience » / « transe hypnotique ») ?

Oui ! Certaines personnes sont plus réceptives que d’autres, mais étant un phénomène naturel que vous pratiquez quotidiennement (rêveries, automatismes etc), tout le monde peut être sous Hypnose. C’est juste une question de temps et de lâcher prise en toute confiance.

(L’hypnose de spectacle est à différencier de l’Hypnose Ericksonienne, seul 10% de la population est réceptif à celle-ci.)

2/ L’hypnothérapeute prend-elle le contrôle de mon esprit ?

Absolument pas ! Vous n’êtes ni endormi ni sous « l’emprise » du psy. L’état d’hypnose peut être même considéré comme un état d’hyper-conscience. Vous ne ferez rien que vous n’ayez envie de faire.

3/ Vais-je me souvenir de tout ?

Il est possible que certaines parties du travail effectué restent au niveau inconscient pour ne pas que le conscient interfère dans la mise en place des changements. L’inconscient n’est qu’une partie de vous, c’est donc en total respect et accord avec vous même.

4/ Combien de séances sont nécessaires pour atteindre mon objectif ?

Tout dépend de la problématique et de votre sensibilité au changement. On ne peut définir à l’avance le nombre de séances, mais gardez simplement à l’esprit que l’hypnose ericksonienne et/ou profonde fait partie des thérapies brèves (grand maximum 10 séances).

Ce sont les questions que l’on me pose le plus souvent.

Si certaines réponses ont besoin d’être approfondies ou si vous avez d’autres questions,

contactez moi par e-mail ou téléphone, je vous répondrai avec plaisir !

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Pour dépasser ses angoisses, vaincre ses phobies voire ses doutes, l’hypnothérapie est le choix des clients.

Parfois, lorsque vous conduisez en voiture, vous pensez à ce que vous avez à faire, ou ce que vous n’avez pas fait, et lorsque vous êtes arrivé, vous vous dites : “Déjà ! Je n’ai pas vu le temps passer !”

Vous étiez alors en hypnose, sans vous en rendre compte. Une hypnose légère de type éricksonienne, bien différente de l’hypnose profonde.

Cette hypnose n’est pas autre chose qu’un état de conscience modifié, à partir duquel l’hypnothérapeute donnera des suggestions à votre inconscient.

Se passer du mental, ce petit vélo que l’on a dans la tête, pour aller en profondeur vers un mieux-être, est évidemment plus puissant.

Si elle est très connue dans le monde du spectacle, l’hypnose l’est beaucoup moins comme outil de thérapie. Elle permet pourtant de lever des freins, des barrières, se débarrasser des croyances «limitantes», d’addictions, comme les drogues, le tabac, ou l’alcool, et bien d’autres choses encore…

Car un problème, plus vous le fuyez, plus il vous suit.

Plus vous y faites face, plus il s’efface !

  • Il m’arrive d’accompagner des clients chez le dentiste, ou les préparer avant une opération, une infiltration, afin de vaincre leur phobie, peur, crainte, angoisse. Egalement afin de réduire leur état de stress lors d’une future chirurgie, en complément d’une anesthésie générale ou locale, ou pour soulager une douleur aiguë.
  • Et intervenir aussi auprès de personnes ayant des douleurs chroniques ou ayant un cancer, afin de soulager leurs souffrances physiques et psychologiques. Egalement un accompagnement pour les futures mamans dans la gestion de la douleur obstétricale et leurs offrir un apprentissage à l’auto-hypnose.

Une hypnose éricksonienne dure dure de 45 minutes à deux heures, durant lesquelles on reste au bord du rêve.

Pourquoi pas plus ? Il ne s’agit pas d’endormir le client, mais de l’aider à faire appel à son inconscient.

Dans l’hypnose, le corps est relâché, à l’état naturel. Le conscient s’est tu, l’inconscient a pris le relais. Il ne juge pas, et c’est très efficace… Sauf évidemment lorsque le patient n’arrive pas à lâcher-prise, et/ou est dans le contrôle.

Après une anamnèse (discussion du présent et du passé) permettant d’exprimer les besoins et envies du client, une stratégie est mise en place pour aller du problème à la solution. En parlant à notre inconscient, « l’endroit où sont stockées les 90 % de nos capacités cérébrales non utilisées », l’hypnothérapeute suggère à la personne un travail sur elle-­même sans qu’elle fasse quoi que se soit.

Pendant la transe, on descend en profondeur, comme avec un escalier, par des suggestions auditives ou visuelles qui correspondent le mieux. L’hypnose procédera à un nettoyage, un rangement au plus profond du client, dans la direction qu’il souhaite.

Bien installé dans son fauteuil, le patient ferme les yeux mais ne s’endort à aucun moment.

Je ne parle pas à son mental, mais à son inconscient.

Un état d’apaisement s’empare rapidement de lui, les bruits aux alentours n’ont pas disparu, mais il ne les entend plus.

La séance terminée, les suggestions chemineront en lui, et apporteront leurs bienfaits, durant les jours et les semaines qui suivent.

Alors, quand allez-vous essayer, vous aussi ?

 

Un appel à la mobilisation générale des professionnels de santé contre le tabac, responsable de « 220 morts par jour, soit 1,2 million de décès depuis l’an 2000 », a été lancé mardi à l’initiative de l’Alliance contre le tabac, qui les invite a signer « l’Appel des 100.000 » en ligne.

Accessible sur le web (http://appeldes100000.fr), l’appel invite les professionnels à « aborder le sujet du tabac avec chacun de leurs patients, les orienter vers une solution adaptée et les suivre dans leur sevrage ».

Avec « 30% de fumeurs », la France reste « la lanterne rouge des pays européens », note sur son blog Michèle Delaunay, présidente de l’Alliance contre le tabac qui ambitionne de réunir cent mille signatures. Elle donne deux chiffres pour résumer ce fléau: « 78.000 morts/an et 27,5 milliards de dépenses annuelles pour les seuls soins des dégâts sanitaires du tabagisme ».

« Cet appel sera transmis à tous les candidats à l’élection présidentielle », précise-t-elle.

Selon le texte de l’appel, les professionnels de santé signataires demandent aux responsables politiques, élus et futurs élus « d’utiliser la mesure la plus efficace contre le tabagisme », la hausse du prix du tabac pour « atteindre 10 euros » le paquet de cigarettes.

Il est également demandé aux élus de rendre possible les actions de groupe des victimes du tabac et de leur famille contre les cigarettiers, de rompre avec les lobbies du tabac et « de faire respecter réellement la loi Evin et l’interdiction de la vente de tabac aux mineurs ».

Toujours à l’attention des élus, les initiateurs de l’appel leur demandent de se donner pour objectif d’« atteindre dans dix ans moins de 10% de fumeurs en France ».

Une partie des recettes fiscales du tabac devrait alimenter de façon permanente un fonds de prévention pour la réduction du tabagisme, ajoute le texte.

Pour leur part, les professionnels s’engagent à parler avec leurs patients de leur consommation de tabac et les orienter vers leur médecin traitant ou un hypnothérapeute. Les signataires s’engagent en outre à « cibler en priorité » les jeunes, les femmes enceintes, les populations fragiles ou en difficulté.

Un fumeur vit en moyenne 15 ans de moins qu’un non fumeur, souligne l’Appel qui s’inscrit dans l’opération « Moi(s) sans tabac » lancée par le ministère de la Santé pour arrêter de fumer en novembre.

« L’Appel des 100.000 », qui recueillait déjà lundi plus d’un millier de signatures, est soutenu par de nombreuses associations et institutions comme la Ligue contre le cancer, la Croix-Rouge ou la Mutualité française, ainsi que par des sociétés savantes et des réseaux de lutte contre les addictions (ANPAA) et les sept ordres des professions de santé (médecins, sages-femmes, kinés, etc.).

Toulouse : l’hôpital Larrey lance un défi aux fumeurs !

Pour la 7ème année consécutive, l’unité de coordination d’aide au sevrage tabagique de l’hôpital Larrey organise une journée spécifiquement toulousaine de sensibilisation au sevrage tabagique, le jeudi 13 octobre.

Un défi national, Moi(s) sans tabac, sera notamment lancé…

Le défi a été initié et annoncé en mai 2016  par le Ministère des Affaires sociales et de la Santé.

L’idée ? Faire stopper totalement la cigarette aux fumeurs durant le mois de novembre. Tous ensemble, donc, puisque le défi est collectif et national.

psychotherapie-addiction-sexuelle-dependance-boulimie-f-duval-levesque-psychopraticien-hypnotherapeute-coach-tcc-hypnose-cigarette-tabac-nicotineL’hôpital Larrey de Toulouse, et plus précisément l’unité de coordination d’aide au sevrage tabagique (UCAST), s’y associe.

Jeudi 13 octobre, à l’occasion de la 7ème journée spécifiquement toulousaine de sensibilisation au sevrage tabagique, les équipes mobilisées tenteront de convaincre des fumeurs de relever le défi.

Le principal argument est le suivant : « cesser de fumer pendant un mois, c’est 5 fois plus de chance de réussir à arrêter de fumer ».

Comme toujours, chaque futur ex-fumeur pourra faire le point sur sa consommation, sa motivation, son type et son degré de dépendance.

Et cerise sur le gâteau, les élèves du lycée hôtelier de Toulouse mitonneront aux volontaires des petits plats adaptés au sevrage.

Une raison supplémentaire d’arrêter qui s’ajoute à tant d’autres :

  • les odeurs de tabac sur les vêtements, les cheveux, dans la voiture
  • l’haleine de h….
  • le stress post-perte de briquet
  • les kilomètres pour trouver un tabac ouvert le dimanche soir
  • la sueur froide du manque pendant un voyage de 10 heures en avion
  • le souffle court après deux minutes de course
  • le refus de votre enfant de vous embrasser parce que « ça sent pas bon »
  • les vêtements brûlés et troués
  • la culpabilité de la pollution des mégots…

(Liste non exhaustive)

Sinon, sachez qu’avec l’hypnose,

l’arrêt définitif du tabac se fait en trois séances maximum,

pour 80% de mes clients-patients.

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Bénéficiez d’une information (entretien de 30 minutes gratuit et sans engagement) pour un soutien psychologique, une psychothérapie ou du coaching en cliquant ici

psychotherapie-addiction-sexuelle-dependance-boulimie-f-duval-levesque-psychopraticien-hypnotherapeute-coach-toulouse-tcc-hypnose-patient-ou-clientLe mot « patient » provient du latin, « patior », qui signifie « souffrir ».

Étant donné que l’individu qui vient consulter un psychopraticien et/ou hypnothérapeute est quelqu’un qui souffre émotionnellement et veut être aidé, il est approprié qu’il soit appelé « patient ».

« Patior »  signifie également « éprouver, attendre ».

Comme le processus thérapeutique consiste à éprouver certaines situations internes, et aussi à savoir attendre pour que les changements puissent avoir lieu, le mot patient ne pourrait être plus adapté.

Le mot « client » se réfère à une transaction commerciale, ce qui est, certes, le cas entre un psy et un patient puisque celui-ci paye pour un traitement. Mais il serait très réducteur d’utiliser ce mot, car il néglige la raison pour laquelle cette personne demande ce service.

En conséquence, ça aurait autant de sens d’appeler « client » la personne qui va chez un psy que d’appeler « client » la personne qui va chez un médecin ; dans les deux cas la personne qui consulte souffre et cherche de l’aide pour soulager cette souffrance.