Hunkaar : l’hypnose qui donne « enfin » la parole à l’inconscient.

Qui mieux qu’un inconscient sait ce qui est bon pour lui ?

L’hypnothérapeute pratique l’hypnose à des fins thérapeutiques. Il peut être consulté pour aider :

  • troubles du sommeil
  • arrêter de fumer
  • troubles de la sexualité
  • burn out
  • confiance en soi
  • peurs, phobies, angoisses
  • dépression
  • troubles du comportement alimentaire
  • deuils et étapes de vie
  • perte de poids
  • dépendance psychique (avec ou sans produit)
  • traumatisme du passé, etc…

La méthode Hunkaar est née d’une idée très pragmatique de Jean-Emmanuel Combe : l’expérimentation de l’hypnose à travers des questionnements d’inconscients, avec un signaling, et l’écriture et parole automatiques. L’objectif de cette approche est simple : donner le droit et l’envie à chacun de se reconnecter à son propre bonheur intérieur.

Jean-Emmanuel a ainsi interrogé des milliers de parties inconscientes sur leurs besoins, leurs revendications et leurs objections vis à vis des techniques plus classiques utilisées en PNL et en hypnose éricksonienne. Est née finalement une méthode efficace et complète s’appuyant sur un dialogue directe, et sans filtrage, avec l’inconscient.

Que ce soit par le signaling, l’écriture automatique ou même la parole automatique, autant d’outils qui ouvrent des horizons incroyables pour l’accompagnement de personnes en souffrance, rencontrant des difficultés avec leur corps, leurs émotions, ou leurs comportements.

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin

500 salariés de la BPCE ont manifesté, mardi, devant le siège parisien du groupe financier pour dénoncer leur souffrance au travail et demander des augmentations salariales.

Erosion des effectifs, multiplication des tâches, perte du contact humain, objectifs commerciaux toujours plus ambitieux et déconnectés des besoins des clients : les griefs sont nombreux. «On est en surrégime constant», témoigne un salarié. «Désormais nous devons travailler en multicanal, c’est-à-dire gérer l’accueil physique des clients, le téléphone et les services en ligne, mais nous ne sommes pas assez nombreux», poursuit une autre.

En cause: les réductions successives d’effectifs au cours des dernières années. «Rien qu’entre 2013 et aujourd’hui, on est passé de 115 000 à 108 000 salariés», estime un syndicaliste.

Après 35 ans de boîte, un gréviste, gestionnaire clientèle à la Caisse d’épargne et syndiqué à la CFTC, explique comment son métier a changé du tout au tout.

«Aujourd’hui, il faut vendre, vendre, vendre. Le but premier du banquier c’est de réussir à provoquer des besoins», explique ce quinqua qui a parfois «l’impression de faire le tapin». Un sentiment partagé par sa collègue: «ce que l’on aime, c’est le contact avec les clients. Là c’est de l’abattage. On est loin du vrai conseil.»

Mais s’ils ne se retrouvent pas dans leur nouveau rôle, les salariés n’ont guère le choix que de jouer le jeu.

medicament 5«Dans les agences, le personnel a de plus en plus d’objectifs à atteindre», résume Christian Lebon, de la CGT, qui évoque un management «par la peur» et une pression constante. «Il y a en permanence un chantage à la part variable et à l’évolution de carrière», poursuit-il.

Exemple avec les «challenges» régulièrement proposés par la direction aux salariés, explique une chargée de clientèle. «Une semaine, il faut vendre des plans d’épargne logement, la suivante, des participations sociales ou des conventions obsèques. Bientôt il nous faudra proposer des téléphones!», s’agace-t-elle.

«Dans les agences bancaires, on tient aux anxiolytiques», raconte, les larmes aux yeux, une directrice adjointe. «Il faut recevoir les clients, monter les dossiers, répondre au téléphone, il n’y a jamais un moment où l’on peut se poser».

Stress, troubles du sommeil, boule au ventre, les grévistes racontent, à tour de rôle, les mêmes maux. «Le soir, on est lessivés», conclut l’une d’entre eux. Une souffrance que les délégués syndicaux se «bouffent en pleine face», selon une élue CGT. «On nous appelle en pleurs, certains nous disent qu’ils vont se défenestrer», grince-t-elle.

Au total, depuis 2011, les syndicats recensent 29 tentatives de suicides au sein de la seule Caisse d’épargne. «Sans oublier tous les autres qui n’arrivent à travailler qu’en prenant des médicaments», note Bernard Charrier du syndicat unifié-UNSA.

 

Sources : liberation.fr, figaro.fr