Le « laser » pour arrêter le tabac : attention à l’enfumage !

Avec le laser, « arrêtez de fumer en une séance », « taux de réussite de 95% »: ces promesses alléchantes fourmillent sur internet en France.

Mais attention !

Cette technique, comme d’autres méthodes prétendument miracle, n’est pas validée scientifiquement, préviennent médecins et autorités.

« Garantie 1 an & sans prise de poids », promet le site d’un important réseau de centres laser anti-tabac.

Selon ses promoteurs, le « laser doux » stimule des points sur le pavillon de l’oreille, une action censée couper le besoin de nicotine… Une technique qui se revendique de « l’auriculothérapie », elle-même dérivée de l’acupuncture.

« Les fumeurs peuvent être en grande difficulté quand ils ont déjà essayé d’arrêter plusieurs fois et tomber dans la trappe très facilement », explique à l’AFP Daniel Thomas, ex-chef du service de cardiologie de l’hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière, porte-parole de la Société francophone de tabacologie (SFT).

Et débourser entre 150 et 350 euros en moyenne par séance.

Pourtant, « il n’y a pas d’étude ou de données scientifiques permettant de montrer l’efficacité de cette méthode« , indique à l’AFP un des services du ministère français de la Santé. Le « laser ne fait pas partie des méthodes validées et qui ont prouvé leur efficacité pour le sevrage du tabac », confirme-t-on sur le site officiel « Tabac-Info-Service ».

Dès 2007, la Société canadienne du cancer alertait sur cette méthode qui bénéficiait de campagnes publicitaires très affirmatives, promettant l’arrêt du tabac, de l’alcool et des drogues.

Quinze ans plus tard, la science est toujours sceptique.

Si la majorité des fumeurs s’arrêtent seuls, les « méthodes validées » pour ceux qui ont besoin d’aide sont les substituts nicotiniques (patchs, gommes …), certains médicaments, et surtout l’hypnose profonde.

Comme le soulignent tous les hypnothérapeutes, c’est la volonté qui reste de toute façon la clé. Le client fait 50% du chemin, le thérapeute l’autre moitié.

Sans compter toutes les autres variables : un fumeur qui veut s’arrêter va probablement s’engager dans de meilleures habitudes de vie (sport, alimentation…) qui vont aider au succès.

Plus d’informations : https://info-tabac.ca/faut-il-se-mefier-du-laser-doux/

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin

Fumer, est un facteur aggravant face au coronavirus.

Cette période de confinement n’est sans doute pas la plus simple pour se débarrasser d’une addiction.

Pourtant, le comité national contre le tabagisme l’assure : «Il est clairement démontré que les fumeurs présentent un risque majoré de contracter le coronavirus et de développer une forme grave de la maladie Le comité rappelle notamment que fumer altère les défenses immunitaires et les capacités pulmonaires.

Jean-Philippe Santoni, pneumologue à la Fondation du Souffle, l’atteste : «Il y a en effet une augmentation du risque de formes sévères de la maladie chez les fumeursIl s’appuie notamment sur une étude menée sur des malades du SARS-CoV-2 en Chine et publiée dans The New England Journal of Medicine. «On y apprend que le risque de passage en réanimation et de décès passe de 5 % à 12 % pour les fumeurs par rapport aux non-fumeurs.»

Le pneumologue met également en garde contre l’usage du cannabis qui entraîne aussi des lésions pulmonaires, avec un risque accru «chez les jeunes qui se passent les joints» et portent régulièrement leurs doigts à la bouche. «Le fait de partager une cigarette, un joint, un dispositif de vapotage ou tout autre produit ou matériel peut favoriser les contaminations», confirme-t-on à la Direction générale de la santé.

Le tabac n’est certes pas considéré comme un facteur aussi probant que le diabète ou l’immunodépression.

Mais toutes les personnes qui ont des fragilités pulmonaires et qui sont susceptibles d’avoir une BPCO (broncho-pneumopathie chronique obstructive, maladie chronique inflammatoire des bronches très souvent liée au tabagisme) doivent faire attention : dès lors qu’il y a défaillance des capacités pulmonaires, le Covid-19 risque de renforcer ces atteintes de façon parfois dramatique.

De son côté, le Centre européen de prévention et contrôle des maladies (ECDC) évoque le rôle que pourrait jouer une enzyme appelée ACE2 dans la transmission de la maladie, en se fondant sur une étude de l’université de Caroline du Sud. Comme l’explique Jean-Philippe Santoni, «le virus est comme un vaisseau spatial ennemi qui vient s’accrocher à une cellule, et des études montrent que l’un des récepteurs sur lesquels il s’accroche est cette enzyme ACE2, qui est notamment surexprimée chez les fumeurs chroniques».

Danger pour les fumeurs, mais aussi pour les vapoteurs ?

Ce qui est certain, c’est que les particules présentes dans la vapeur exhalée par les vapoteurs infectés par le coronavirus sont potentiellement porteuses du virus. Cette question du tabagisme passif est prégnante en ces temps de confinement, avec les risques de propagation du virus par la toux des fumeurs mais aussi potentiellement par la fumée inhalée par l’entourage.

«La fumée du tabac, qui génère des particules, est le premier polluant domestique en France, rappelle le pneumologue Jean-Philippe Santoni. Pour ce virus, il est possible que les particules puissent être vecteur du virus et favoriser sa pénétration dans les bronches

Face à ces risques, le Pr Yves Martinet, président du comité national contre le tabagisme, appelle fumeurs et vapoteurs à «arrêter le plus vite possible», en allant voir un psy et/ou un hypnothérapeute, ou du moins à ne pas fumer à l’intérieur de leur logement.

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Tabac : pourquoi est-il si difficile d’arrêter ?

Notre époque est pleine de contradictions: nous craignons plus que jamais d’être exposés à certains produits (pesticides, perturbateurs endocriniens) sans que leur impact ne soit précisément connu, mais nous banalisons des pratiques dont on sait depuis des décennies qu’elles sont extrêmement nocives..

C’est le cas de l’alcool mais aussi du tabac, qui compte encore en France quelque 12 millions d’adeptes quotidiens.

Pourquoi continuons-nous à consommer sciemment et massivement un produit mortel ?

La réponse tient en partie en huit lettres: N I C O T I N E.

En se fixant à des récepteurs présents à la surface des cellules, cette molécule est capable d’activer le circuit de la récompense.

«La plupart des animaux vertébrés ont dans leur système nerveux central ce mécanisme qui repère, apprend et valorise les comportements qui augmentent les chances de survie, explique le Pr Henri-Jean Aubin, psychiatre addictologue à l’hôpital Paul-Brousse à Villejuif (Val-de-Marne). Les drogues telles que la nicotine parviennent à tromper le cerveau en piratant ce système de récompense.»

Certaines personnes, désavantagées par leurs gènes, y sont plus sensibles que d’autres. «Elles doivent consommer davantage de nicotine pour pouvoir activer leur système de récompense et elles rechutent plus facilement après une période d’abstinence», explique Uwe Maskos, chercheur à l’Institut Pasteur et coauteur d’une étude publiée sur la question le 4 octobre dernier dans la revue Current Biology.

En accaparant le circuit de la récompense, la nicotine bouleverse profondément les comportements des fumeurs.

«On parle alors d’addiction, qui est aussi un processus de perturbation de la prise de décision s’accompagnant d’une automatisation des comportements de consommation et d’une perte de contrôle, détaille Philippe Faure, neurophysiologiste et directeur de recherches au CNRS. Chaque fois que vous fumez, la nicotine active le système de récompense ; c’est la répétition de ces activations qui conduit à l’addiction.»

Une fois installée, celle-ci est rythmée par une sensation de manque chronique.

«Entre 2 cigarettes, les personnes vont moins bien sur le plan de l’humeur et des performances cognitives. À chaque fois qu’ils reprennent une cigarette, cela les soulage de ce déficit», poursuit le Pr Aubin. Ainsi, alors que les fumeurs pensent que le tabac les aide à gérer leur stress, la réalité est qu’il dégrade leur qualité de vie psychologique. «Le tabac augmente le risque de développer une dépression et réduit les possibilités d’en sortir», souligne le médecin.

Le bien-être psychique met du temps à revenir à la normale après l’arrêt, ce qui décourage plus d’un fumeur à écraser sa dernière cigarette.

«Sans aide extérieure, ces personnes vont être fragilisées pendant deux à quatre semaines», constate le Pr Aubin. L’hypnothérapie est la meilleure solution pour arrêter définitivement, en s’occupant du « pourquoi » plutôt que du « symptôme ».

Autre obstacle majeur au sevrage tabagique: l’addiction à la nicotine entame considérablement le libre arbitre.

«Lorsque l’on est sous l’emprise d’une drogue, les systèmes de contrôle perdent de leur force, explique Philippe Faure. Les gens savent pertinemment que fumer n’est pas bon, mais lorsqu’ils en ressentent l’envie, l’effort qu’ils doivent fournir pour contrôler l’impulsion est beaucoup trop important.»

À cela s’ajoutent des craintes plus rationnelles qui, elles aussi, font obstacle à l’arrêt du tabac : la peur de prendre du poids, de ne pas gérer le stress ou de ne pas savoir comment se comporter dans des situations sociales où l’habitude de fumer est bien ancrée.

La motivation est l’un des pivots essentiels dans l’arrêt du tabac.

Pour le Pr Aubin, elle repose sur deux éléments. «D’une part, il faut être capable d’évaluer l’importance que l’on donne à l’envie d’arrêter de fumer, analyser ce que l’on y perd et ce que l’on y gagne. D’autre part, il faut avoir confiance en sa capacité à changer son comportement», souligne-t-il.

«Et surtout, il faut leur répéter quels sont les bénéfices liés à l’arrêt du tabac. On ne dit pas assez qu’au bout de quelques semaines, l’état mental s’améliore considérablement. Sans parler de la santé cardiaque et pulmonaire», insiste le médecin.

Sources: sante.lefigaro.fr, mon expérience de psychopraticien depuis 1988

Motivation et implication :

vos deux facteurs de réussite pour un arrêt du tabac !

Maintenant, en avez-vous vraiment envie ?

Je vous propose, là maintenant, de noter votre motivation sincère d’arrêter de fumer sur une échelle de 1 à 10.

Si je vous parle de motivation sincère, c’est parce que votre moteur personnel, rien qu’à vous, est important.

En effet, les raisons un peu communes d’un arrêt du tabac comme la santé et l’argent par exemple, bien qu’elles puissent faire profondément partie de ce qui vous amène à envisager cet arrêt du tabac, doivent se ressentir pour assurer votre succès.

Alors ? 4, 6, 9 sur 10 ?

Si vous êtes en dessous de 7, je vous invite à prendre le temps de bien mesurer vos motivations. Vous perdriez probablement votre temps et votre argent dans des séances qui s’avèreraient inefficaces faute de réel moteur.

Quelle que soit votre « note », vous pouvez vous poser ces deux questions :

  • qu’est-ce que je vais gagner en arrêtant de fumer, et qu’est-ce que cela représente pour moi ?
  • qu’est-ce que je vais perdre en arrêtant de fumer, et qu’est-ce que cela représente pour moi ?

S’observer : le premier ingrédient du changement !

Aujourd’hui, quand vous fumez, quand en avez-vous envie ?

Quand en avez-vous besoin ?

Quelle différence faites-vous entre la cigarette envie et la cigarette besoin ?

Il y en a une troisième : la cigarette automatique que l’on saisit et fume par habitude sans à peine s’en rendre compte.

Cette cigarette, aussi automatique qu’elle soit, a aussi son utilité même si elle peut vous échapper. L’inconscient ne s’amuse pas à dépenser de l’énergie pour un comportement inutile.

Lorsque vous allumerez votre prochaine cigarette, je vous demanderai d’y faire attention…

…de remettre de la conscience dans votre geste devenu si automatique (c’est en effet une étape importante du changement) et de vous demander là aussi :

  • est-ce que j’en ai envie ?
  • est-ce que j’en ai besoin ?
  • est-ce que ça peut attendre ?

Vous commencerez alors à transformer doucement mais surement votre rapport à la cigarette, et vos séances d’hypnose vous garantiront un succès sur le long terme.

 

Le mois de novembre 2017 est l’occasion d’arrêter de fumer grâce à l’événement « Moi(s) sans tabac ».

Entre application mobile et kit gratuit, tout est mis en place par le gouvernement pour aider au mieux les fumeurs qui souhaitent arrêter définitivement !

« Le tabac, c’est tabou. On en viendra tous à bout ».

Beaucoup de cinéfils connaissent cette réplique culte du film Le Pari.

Ce mois de novembre sera l’occasion de l’appliquer avec la deuxième édition du « Moi(s) sans tabac ».

L’idée : encourager les fumeurs à tenir un mois sans cigarette grâce à de nombreuses aides, en espérant créer le déclic pour un abandon définitif du tabac.

Selon l’étude de Santé conduite par l’institut Français Opinion Way (1) pour la société mutualiste étudiante SMEREP, le nombre d’étudiants français fumeurs est en hausse cette année.

26 % des étudiants se déclarent fumeurs occasionnels ou réguliers, contre 22 % l’année dernière. Parmi eux, près de 20 % ne souhaitent pas arrêter de fumer.

L’étude révèle que 86 % des étudiants ont arrêté le tabac par la volonté seule.

Pour tous les autres qui souhaitent arrêter définitivement, ce « Moi(s) sans tabac » est l’occasion parfaite pour essayer de tenir. Je vous ai listé cinq bonnes raisons d’arrêter la cigarette pendant ce mois spécial.

1. Augmenter ses chances d’arrêter définitivement

Décider d’arrêter de fumer est une première étape compliquée. Mais tenir cet engagement est encore plus difficile. Or, au-delà d’un mois, les chances d’arrêter définitivement de fumer sont multipliées par 5. Faire l’effort de tenir un mois vaut alors le coup !

2. Économiser de l’argent avec l’augmentation des paquets de cigarettes

Toucher au portefeuille vous fera peut-être arrêter de fumer pour de bon… L’assemblée a voté le 27 octobre la hausse du prix du tabac. Le paquet va augmenter de 35 centimes d’ici la fin 2017, d’un euro en mars 2018, puis de 50 centimes en avril et novembre 2019, de 50 centimes en avril 2020 et de 40 centimes en novembre 2020. Le paquet de cigarettes devrait alors coûter jusqu’à 10 euros d’ici fin 2020. De quoi faire réfléchir…

3. Faire partie d’une communauté pour se soutenir mutuellement

Sur le site tabac-info-service, vous pouvez rejoindre l’équipe qui vous ressemble pour bénéficier du soutien de cette communauté. Vous pouvez choisir votre équipe par thème, comme par exemple la team vapoteurs, la team burger-frites ou la team salade-quinoa. Il est également possible de choisir son équipe selon sa zone géographique.

4. Obtenir un kit gratuit pour se faire aider

Une fois la décision d’arrêter de fumer prise, il vous suffit de s’inscrire sur le site de tabac-info-service pour recevoir un kit gratuitement. Chaque kit est composé d’un livret Je me prépare, d’un agenda 30 jours pour arrêter de fumer, d’une carte Le stress ne passera pas par moi et d’une roue Je calcule mes économies.

5. Sinon, profitez de l’hypnose pour arrêter en deux séances

Avec deux séances en moyenne (parfois une seule), tous mes clients deviennent non-fumeurs. Ce que je leur demande avant: être motivé. Après, je m’occupe du reste.

Voilà !

(1) L’enquête a été réalisé avec deux questionnaires en ligne du 20 avril au 21 mai 2017 auprès de 701 étudiants d’Île-de-France et 500 étudiants de toute la France, et du 20 avril au 21 mai 2017 auprès de 400 lycéens d’Ilede-France et 412 lycéens de toute la France.

 

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pour un soutien psychologique, une psychothérapie
ou du coaching (en cliquant ici)

C’est sa dernière addiction…

Naomi Campbell a réussi à se défaire de toutes ses addictions sauf de la cigarette.

Une habitude qu’elle ne veut plus avoir en 2017, et elle tente donc le tout pour le tout.

« J’ai encore un problème avec le tabac, a-t-elle avoué sur le plateau de The View face à Whoppi Goldberg. Je fume moins, mais c’est vraiment dur de s’en débarrasser, donc je vais retourner voir un hypnothérapeute. »

La top a toutes les cartes en main pour réussir. Elle a déjà résolu ses problèmes avec la drogue par le passé, ainsi qu’avec l’alcool.

Afin de la convaincre d’arrêter définitivement le tabac, Whoopi Goldberg a fait part de sa propre expérience.

Aujourd’hui ancienne fumeuse, l’actrice de Sister Act a fait usage de la cigarette pendant 40 ans. Ce qui l’a définitivement convaincue d’arrêter, c’est une vidéo de « deux gamins qui avaient la mucoviscidose ».

« L’un des deux finissait par dire, « tout ce que je veux, c’est respirer comme une personne normale ». Il avait 9 ans, et je me suis dit, « je fume depuis 40 ans, et tout ce que ce gamin veut, c’est pouvoir respirer sans danger ». Ça m’a convaincue… A chaque fois que tu vas fumer, dis-toi que certaines personnes veulent juste pouvoir respirer correctement. »

Naomi Campbell a pris rendez-vous chez l’hypnothérapeute pour arrêter de fumer une bonne fois pour toutes.

 

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Je me suis aperçu que les femmes ont généralement plus de mal d’arrêter de fumer que les hommes.

Il serait plus facile, pour les femmes, d’arrêter de fumer à partir d’un moment particulier de leur cycle menstruel.

Au moment des règles, un pic d’hormone, les oestradiols, favorise les comportements addictifs et rendrait plus difficile l’arrêt de la cigarette. En revanche, en 2ème partie de cycle, une autre hormone, la progestérone, prend le dessus et inhible le centre de récompense et d’envie irrépressible, diminuant alors l’envie de fumer.

J’ai donc constater qu’il serait ainsi plus facile pour les femmes d’arrêter de fumer pendant la seconde moitié de leur cycle menstruel.

 

Sources: Nicotine Tab Res. 04/04/2015 (4): 390-7, mon expérience profesionnelle

 

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La ministre de la Santé Marisol Touraine a annoncé jeudi 6 octobre qu’un kit d’aide gratuit serait distribué à partir du 10 octobre aux fumeurs souhaitant participer en novembre à l’opération « Moi(s) sans tabac ».

Inciter les personnes à arrêter de fumer pendant au moins trente jours.

La campagne de l’opération « Moi(s) sans tabac », détaillée jeudi 6 octobre par le ministère de la Santé, s’inspire d’une opération déjà menée en Grande-Bretagne depuis 2012.

La première année, le défi avait été relevé par 350 000 fumeurs outre-Manche. Un effet d’entraînement que le gouvernement voudrait bien reproduire en France.

Le top départ de l’opération sera donné le 1er novembre. La durée de trente jours a été choisie car elle « multiplie par cinq les chances d’arrêter de fumer définitivement », a précisé le ministère.

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Les participants sont invités à s’inscrire dès le 10 octobre sur le site tabac-info-service.fr ou via l’application Tabac Info Service, sur lesquels ils pourront commander gratuitement un kit d’aide, disponible également en pharmacie.

« Ce kit contient une brochure pour préparer son arrêt, détaille Olivier Smadja, le coordinateur de cette campagne à Santé Publique France. Il contient également un agenda sur trente jours, qui livrera des conseils, des messages de félicitations et d’encouragements, ainsi que des informations sur les bénéfices que vous engrangez et les économies que vous avez faites en arrêtant de fumer. »

Pour inciter les fumeurs à participer, une campagne d’affichage débutera également le 10 octobre, accompagnée de messages diffusés à la télévision et sur internet.

À partir du mois de novembre, des opérations de communication seront organisées dans l’espace public ou en entreprise.

« Tous les professionnels de santé des services de l’État, des collectivités locales et des entreprises seront mobilisés pour aider les fumeurs à s’arrêter et leur permettre également l’accès aux traitements dont l’efficacité est démontrée », explique Olivier Smajda.

Huit millions de personnes en France se disent aujourd’hui prêtes à arrêter de fumer. Le tabac est responsable de 73 000 décès chaque année.

Sinon, sachez qu’avec l’hypnose,

l’arrêt définitif du tabac se fait en trois séances maximum,

pour 80% de mes client-patients.

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Toulouse : l’hôpital Larrey lance un défi aux fumeurs !

Pour la 7ème année consécutive, l’unité de coordination d’aide au sevrage tabagique de l’hôpital Larrey organise une journée spécifiquement toulousaine de sensibilisation au sevrage tabagique, le jeudi 13 octobre.

Un défi national, Moi(s) sans tabac, sera notamment lancé…

Le défi a été initié et annoncé en mai 2016  par le Ministère des Affaires sociales et de la Santé.

L’idée ? Faire stopper totalement la cigarette aux fumeurs durant le mois de novembre. Tous ensemble, donc, puisque le défi est collectif et national.

psychotherapie-addiction-sexuelle-dependance-boulimie-f-duval-levesque-psychopraticien-hypnotherapeute-coach-tcc-hypnose-cigarette-tabac-nicotineL’hôpital Larrey de Toulouse, et plus précisément l’unité de coordination d’aide au sevrage tabagique (UCAST), s’y associe.

Jeudi 13 octobre, à l’occasion de la 7ème journée spécifiquement toulousaine de sensibilisation au sevrage tabagique, les équipes mobilisées tenteront de convaincre des fumeurs de relever le défi.

Le principal argument est le suivant : « cesser de fumer pendant un mois, c’est 5 fois plus de chance de réussir à arrêter de fumer ».

Comme toujours, chaque futur ex-fumeur pourra faire le point sur sa consommation, sa motivation, son type et son degré de dépendance.

Et cerise sur le gâteau, les élèves du lycée hôtelier de Toulouse mitonneront aux volontaires des petits plats adaptés au sevrage.

Une raison supplémentaire d’arrêter qui s’ajoute à tant d’autres :

  • les odeurs de tabac sur les vêtements, les cheveux, dans la voiture
  • l’haleine de h….
  • le stress post-perte de briquet
  • les kilomètres pour trouver un tabac ouvert le dimanche soir
  • la sueur froide du manque pendant un voyage de 10 heures en avion
  • le souffle court après deux minutes de course
  • le refus de votre enfant de vous embrasser parce que « ça sent pas bon »
  • les vêtements brûlés et troués
  • la culpabilité de la pollution des mégots…

(Liste non exhaustive)

Sinon, sachez qu’avec l’hypnose,

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1 – Quand fumez-vous votre première cigarette après votre réveil ?

 

2 – Avez-vous du mal à ne pas fumer lorsque c’est interdit ? (au travail, dans les lieux publics, …)

 

3 – Quelle est la cigarette que vous détesteriez le plus perdre ?

 

4 – Combien de cigarettes fumez-vous par jour ?

 

5 – Fumez-vous davantage les premières heures après le réveil que pendant le reste de la journée ?

 

6 – Fumez-vous si vous êtes malade et alité la majeure partie de la journée ?

 

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Faites ce test rapide,

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Si vous voulez vous débarrasser de la cigarette,

moins de cinq séances suffisent…

grâce à l’hypnose !

La vaste majorité des fumeurs ignore complètement ce que contient leur cigarette, révèle une nouvelle étude.

Savez-vous ce qu’il y a dans votre cigarette ?

Une étude, publiée aujourd’hui dans le journal BMC Public Health, affirme en tout cas que les Américains ne le savent pas.

Les chercheurs de l’université de Caroline du Nord se sont rendu compte que «seul un quart des adultes et un tiers des fumeurs ont fait des recherches sur la composition de la cigarette. La vaste majorité restante ignore complètement ce qu’elle contient ».

Un constat important car, comme en France, le tabac est la première cause de décès évitable outre-Atlantique (480.000 morts par an).

Pour Marcella Boynton, auteure de l’article, «le public souhaite avoir accès à plus d’information sur les composés chimiques présents dans les cigarettes. Que ce soit directement sur les paquets (55 %) ou sur Internet (29 %). Cela encouragerait peut-être les démarches de sevrage et dissuaderait les autres de commencer». Aujourd’hui, aux États-Unis, la composition chimique est absente des paquets tandis que les messages de prévention sont discrètement placés sur leur côté.

Ces données ont été obtenues grâce à un questionnaire soumis à 5014 citoyens de tous âges, sexes et milieux sociaux. Résultat, plus d’un tiers des sondés est incapable de citer un seul des 96 composants toxiques de la fumée de cigarette et seulement 2 % en connaissent quatre. L’enquête révèle également que 66% de la population pense que la Food and Drug Administration (FDA), l’agence américaine des médicaments, est capable de légiférer efficacement sur les cigarettes, mais elle ne lui fait pas confiance pour autant.

cigarette, F.Duval-Levesque, psychopraticien, hypnothérapeute, coach, psychothérapie, soutien psychologique, coachingEn France, «il n’existe pas d’études équivalentes mais les résultats seraient identiques », assure le Dr Pierre Rouzaud, tabacologue et président de l’association Tabac et Liberté. «Les fumeurs sont dans l’ignorance complète de ce qu’ils fument. Mais on ne peut pas leur en vouloir, c’est un réflexe humain! Ils préfèrent rester dans leur addiction et se dire que le cancer, c’est pour les autres.»

Selon le tabacologue, «les Américains ont raison de se méfier de l’État et les Français devraient faire de même. Le gouvernement enchaîne les mesures timides comme le paquet neutrealors qu’il sait très bien que seule une hausse de prix est réellement efficace ».

Une mesure qui a d’ailleurs déjà fait ses preuves dans le pays: dans le cadre du premier «plan cancer», la valeur du paquet était passée de 4,08 euros en 2003 à 5 euros en 2004, soit 19 % de hausse, avec à la clé un recul «historiques» des ventes de 22 %. Les hausses de prix suivantes n’ont entraîné que des reculs plus faibles.

Sources: sante.lefigaro.fr, mon expérience professionnelle

En 2010, 5 % des personnes âgées de 40 à 59 ans déclarent avoir eu des idées suicidaires au cours des deux dernières semaines précédant l’enquête Santé et itinéraire professionnel (SIP).

Leurs indicateurs de santé sont plus dégradés au moment de l’enquête que les autres personnes du même âge, et elles sont plus isolées sur le plan social ou relationnel. Elles sont trois fois plus nombreuses à déclarer une santé altérée et plus de la moitié n’ont pas eu une activité sociale régulière.

Les personnes déclarant des idées suicidaires sont également deux fois plus nombreuses à fumer quotidiennement ou à avoir une consommation d’alcool à risque chronique. En outre, elles occupent moins souvent des emplois et lorsqu’elles travaillent, elles sont davantage exposées aux risques psychosociaux.

Ce mal-être actuel s’inscrit dans des carrières spécifiques. En effet, les personnes déclarant des idées suicidaires passent plus de temps hors de l’emploi. Elles sont aussi moins satisfaites de leur parcours professionnel et ont des sentiments exacerbés sur la place du travail dans leur vie.

Les écarts de santé, d’emploi et de conditions de travail entre les personnes déclarant les idées suicidaires et les autres sont généralement plus importants que ceux observés entre hommes et femmes.

Source: Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques

 

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Aujourd’hui, c’est la journée mondiale contre le cancer.

L’occasion de faire le point sur notre hygiène de vie et de prendre enfin quelques bonnes résolutions pour notre santé.

Ce 4 février célèbre comme chaque année la Journée mondiale contre le cancer.

Son but est de réunir les forces du monde entier afin de lutter contre cette maladie.

Chaque année, près de 8 millions de personnes meurent du cancer mais bon nombre de ces décès pourraient être évités avec une meilleure aide publique et un meilleur financement des programmes de prévention, de dépistage et de traitement.

Mais la prévention anti-cancer passe aussi par une bonne hygiène de vie. Alors voici quelques réflexes à adopter dans votre vie afin de rester en bonne santé!

1. Adieu la cigarette

L’ennemi No 1 de la lutte contre le cancer est bien évidemment le tabac. Si au départ, on le rendait principalement responsable du cancer du poumon, on sait aujourd’hui que les pathologies liées au tabagisme et au tabagisme passif sont bien plus nombreuses.

Presque tous les organes du corps sont attaqués par ce poison !

Fumer contribue aussi au cancer du foie, de la gorge, de la vessie mais aussi au diabète et bien d’autres maladies. Alors si en 2014, vous la teniez enfin cette résolution d’arrêter de fumer ?

2. Tous au sport modéré

C’est bien connu:  » Bouger, c’est la santé « .

La sédentarité est une des principales causes de l’augmentation du nombre de cancers au cours de ces 20 dernières années. Si le sport permet directement de prévenir certains cancers comme celui du côlon ou du sein, son meilleur rôle reste surtout d’améliorer notre qualité de vie.

Pratiquer une activité physique régulière permet de mieux lutter contre l’anxiété, la dépression, la fatigue et le surpoids, des facteurs favorisant l’apparition du cancer.

Bonne nouvelle, 30 minutes par jour suffisent déjà pour avoir des effets bénéfiques sur notre santé. Et pas besoin de s’inscrire en salle. Troquez l’ascenseur contre les escaliers, marchez au lieu de prendre la voiture pour des petits trajets, passez l’aspirateur, faite un tour à vélo avec les enfants, allez promener le chien un peu plus longtemps,…

3. Misez sur les bons aliments

Il n’y a plus de doute là-dessus, avoir une alimentation saine est un atout majeur pour notre santé.

De nombreux aliments sont d’ailleurs réputés pour leur vertus préventives contre le cancer. C’est notamment le cas des poissons gras riches en Oméga 3, (saumon, thon, maquereau) qui, en plus de prévenir les maladies cardio-vasculaires, permettraient de baisser de 14% le risque de cancer du sein. La camomille et la carotte seraient également des aliments à privilégier pour éviter ce cancer.

L’ail, l’artichaut, les épinards, la tomate ou encore le curcuma ont eux un rôle protecteur contre le cancer du côlon, ainsi que le brocoli qui permet également de prévenir le cancer de la prostate.

Oranges, pamplemousses, abricots, poivrons, carottes : tous ces fruits et légumes à la peau jaune ou orangée ont en commun d’être riches en caroténoïdes et en polyphénols. Or, selon une étude, cette particularité aurait un effet positif sur la santé des femmes: elle réduirait de plus de moitié le risque de souffrir d’un cancer de la vessie.

Les fruits rouges (mûres, fraises, framboises) sont eux riches en antioxydants et permettent de prévenir certains cancers de la bouche, du pharynx et de l’œsophage.

Le champion toute catégorie reste surtout le thé vert. Particulièrement riche en antioxydants, il est un puissant protecteur contre le développement des tumeurs cancérigènes.

4. L’alcool, avec modération

Si le tabac est l’ennemi juré de la prévention anti-cancer, l’alcool est tout aussi responsable de cette épidémie. Une étude récente a démontré que boire deux verres d’alcool par jour était suffisant pour augmenter le risque de développer un cancer.

Classé comme substance cancérigène par l’OMS depuis 1988, l’alcool est souvent considéré comme responsable de cancers de la bouche, de la gorge et du foie. C’est essentiellement vrai chez les hommes.

Chez les femmes, en revanche, la consommation d’alcool, même modérée, est liée à une augmentation du nombre de cancers du sein.

5. Limitez le sel

D’après une étude américaine, une alimentation trop riche en sel renforce l’action de la bactérie Helicobacter pylori, présente chez la moitié de la population mondiale.

Si cette bactérie reste à l’état dormant chez de nombreuses personnes, elle serait directement impliquée dans la formation de cancers et dans des maladies gastriques graves tels des ulcères, des infections gastriques ou encore, des gastrites chroniques.

L’Organisation mondiale de la santé recommande une consommation maximale de 5 g de sel par jour.

L’effet néfaste du sel sur la santé passe en particulier par l’augmentation de la pression artérielle qu’entraîne une consommation excessive. Alors n’ayez plus la main trop légère sur la salière mais évitez aussi les préparations industrielles bien souvent très – trop – chargée en sel.

(la suite demain !)

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Le comédien avait tourné dans des publicités télévisées à la fin des années 1970.

Chapeau de cowboy vissé sur la tête, cigarette à la bouche, l’acteur Eric Lawson représentait entre 1978 et 1981 le géant du tabac Marlboro dans ses publicités télévisées.

Il est décédé le 10 janvier à 72 ans, chez lui à San Luis Obispo, dans l’État de Californie aux États-Unis, d’une maladie pulmonaire liée à la cigarette, a annoncé sa femme dimanche à l’agence américaine Associated Press.

marlboro-man-400x400Le comédien avait commencé à fumer à l’âge de 14 ans.

Il a ensuite participé à des campagnes anti-tabac tout en continuant à fumer.

Il décida d’y renoncer lorsqu’un médecin lui diagnostiqua une broncho-pneumopathie chronique obstructive, maldie grave qui se caractérise par une toux grasse avec expectorations et d’un emphysème pulmonaire, cause de sa mort.

«Il savait que la cigarette avait une emprise sur lui», a raconté son épouse, Susan Lawson. «Il le savait mais il ne pouvait pas s’arrêter».

L’acteur avait également joué dans plusieurs films et séries télévisées tels que «Drôles de Dames» ou «Dynastie» ainsi que «Alerte à Malibu».

Eric Lawson est le troisième «Monsieur Marlboro» décédé d’une maladie liée au tabagisme.

Avant lui, David Millar est mort en 1987 d’emphysème et David McLean en 1995 d’un cancer du poumon.

En France, toute publicité vidéo ou radiophonique sur le tabac est interdite par la loi Veil du 9 juillet 1976 .

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L‘interdiction de fumer dans les cafés et restaurants s’est accompagnée d’une « baisse brutale », de l’ordre de 15%, du taux d’infarctus et d’accidents vasculaires cérébraux en moins de deux mois ! (étude remise au ministère de la Santé)

Selon cette évaluation des bénéfices de l’interdiction de fumer, « l’interdiction de fumer dans le secteur CHRD (cafés-hôtels-restaurants-discothèques) montre une baisse brutale – de l’ordre de 15% – du taux d’infarctus du myocarde et du taux d’accidents vasculaires cérébraux, accompagnant la baisse de l’exposition dans le secteur CHRD qui restait très forte en décembre 2007 ».

« Cet important et rapide bénéfice pour la santé des Français est à confirmer dans les deux mois qui viennent et constitue un encouragement à appliquer strictement ce décret dans tous les secteurs », commente son auteur, le Pr Bertrand Dautzenberg.infarctus

Il a été chargé, en novembre 2006, d’effectuer une surveillance mensuelle des effets de la loi entrée en vigueur partiellement en février 2007 et étendue aux cafés-restaurants en janvier 2008.

« J’ai été surpris pas la rapidité des effets sur la santé, ce qui prouve que le tabagisme passif tue vite, et beaucoup« , a déclaré à l’AFP le Pr Dautzenberg.

Pour arrêter – définitivement – de fumer, c’est ici.

Ce n’est pas moi qui le dit, mais l’OMS !

Méfiez-vous des cigarettes électroniques et de leurs allégations santé !

L’OMS attire l’attention des consommateurs sur le fait qu’elles ne constituent en aucun cas une méthode validée d’arrêt du tabagisme.

Et encore moins une aide au sevrage approuvée par l’Organisation. «Nous ne disposons d’aucune donnée scientifique prouvant l’efficacité et la sécurité de ce produit» insiste le Dr Ala Alwan, sous-directeur général chargé des maladies non transmissibles et de la santé mentale à l’OMS.

«Les industriels devraient immédiatement retirer de leurs brochures commerciales les allégations insinuant que l’OMS les considère comme un moyen sûr et efficace pour arrêter de fumer»

Développée en Chine en 2004, la cigarette électronique (qui ressemble à s’y méprendre à une clope classique !) est constituée d’un tube en métal, d’un réservoir contenant de la nicotine liquide, d’un microprocesseur et d’un pulvérisateur. Elle fonctionne à l’aide d’une batterie rechargeable et ne dégage pas de fumée.

Préoccupé par le succès grandissant de ces cigarettes, le groupe d’étude de l’OMS en charge de la réglementation des produits du tabac a décidé de se saisir de la question lors de sa prochaine réunion de travail. Laquelle se tiendra à Durban en Afrique du Sud, du 12 au 14 novembre prochain.

Comme je le disais à un client en séance cette après-midi, il ne me faut que cinq séances ( la dernière espacée de trois semaines) pour qu’un fumeur stoppe le tabac. Définitivement. Alors, un tube de métal avec de la nicotine liquide dedans… 😦

Source : OMS, 19 septembre 2008

Un article de lanutrition.fr en parle aussi : cliquez !


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Connaissez-vous le Dr. Howard B. Moss ?

Lui et des collègues du « National Institute on Alcohol Abuse and Alcoholism » américain ont effectué des analyses sur un large échantillon national : 1.484 personnes, rencontrant les critères de la dépendance à l’alcool.

Ils révèlent cinq catégories appartenant à cette maladie. Les voici :

  1. – jeune adulte: 31.5% des alcooliques. Buveurs jeunes adultes, avec un taux relativement faible de toxicomanie (abus d’autres substances) et d’autres troubles mentaux ainsi qu’un faible taux d’alcoolisme familial. Ils cherchent rarement de l’aide pour leur problème d’alcool.
  2. – Jeune antisocial: 21% des alcooliques. Ils tendent à être au milieu de la vingtaine, ont commencé précocement à boire régulièrement et à avoir des problèmes avec l’alcool. Plus de la moitié proviennent de familles où il y a des problèmes d’alcoolisme. Près de la moitié ont des diagnostics psychiatriques de trouble de la personnalité antisociale. Plusieurs sont en dépression majeure, ont un trouble bipolaire ou des problèmes d’anxiété. Plus de 75% fument la cigarette, et plusieurs ont aussi une addiction à la cocaïne ou à d’autres drogues. Plus du tiers de cette catégorie recherchent de l’aide pour leur problème d’alcool.
  3. – Fonctionnel: 19.5% des alcooliques. Typiquement d’âge moyen, avec un emploi stable et une famille. Environ un tiers ont une histoire multi-générationnelle d’alcoolisme, environ un quart ont fait une dépression majeure au cours de leur vie et près de 50% sont des fumeurs.
  4. – Familial intermédiaire: 19.5% des alcooliques. D’âge moyen. La moitié proviennent de familles avec un alcoolisme multi-générationnel. Près de la moitié ont déjà fait une dépression et 20% ont un trouble bipolaire. La plupart fument la cigarette et près du cinquième ont des problèmes avec l’usage de la cocaïne et de la marijuana. Seulement 25% cherchent un traitement pour le problème d’alcool.
  5. – Chronique sévère: 9% des alcooliques. Principalement d’âge moyen qui ont eu des problèmes précoces avec la consommation d’alcool avec des taux élevés de trouble de la personnalité antisociale et de criminalité. Près de 80% viennent de familles avec des problèmes multigénérationnels d’alcoolisme. Ils présentent les plus haut taux de troubles psychiatriques incluant la dépression, le trouble bipolaire et les troubles anxieux ainsi que des taux élevés de dépendance à la cigarette, au cannabis, à la cocaïne et aux opiacés (héroïne). Deux tiers de ceux-ci cherchent de l’aide, ce qui en fait le type le plus prévalent dans la clientèle des traitements de l’alcoolisme.

Remarques diverses : ils ont observé que les jeunes adultes constituent la catégorie la plus importante. Près de 20% des alcooliques sont fonctionnels, bien éduqués et ont de bons revenus.

Par ailleurs, plus de la moitié des alcooliques des États-Unis n’ont pas d’histoire familiale multi-générationnelle d’alcoolisme, suggérant que leur forme d’alcoolisme n’a probablement pas de cause génétique.

Règle générale, l’alcoolisme est plus sévère lorsqu’il est accompagné de troubles psychiatriques et de toxicomanie.

Cette étude confirme chaque jour ce que je vois dans ma clientèle : il n’y a pas qu’une sorte d’alcoolique.

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Avant d’arrêter, il est indispensable de connaître votre niveau de dépendance à la nicotine, n’est-ce pas ?

Le test de Fagerström vous permet d’évaluer quantitativement votre addiction. Répondez à ces questions, en toute franchise, et vous aurez votre niveau de dépendance.

1. Dans quel délai après le reveil fumez-vous votre première cigarette ?
  • Moins de 5 minutes
  • 6 à 30 minutes
  • 31 à 60 minutes
  • Après 60 minutes
2. Trouvez-vous difficile de vous abstenir de fumer dans les endroits où c’est interdit ?
  • Oui
  • Non
3. A quelle cigarette de la journée vous sera-t-il le plus difficile à renoncer ?
  • La première, le matin
  • N’importe quelle autre
4. Combien de cigarettes fumez-vous par jour ?
  • 31 ou plus
  • 21 à 30
  • 11 à 20
  • 10 ou moins
5. Fumez-vous à un rythme plus soutenu le matin que l’après-midi ?
  • Oui
  • Non
6. Fumez-vous lorsque vous êtes malade et que vous devez rester au lit presque toute la journée ?
  • Oui
  • Non

Les résultats ! Quels résultats ?

Plus vous choisissez les premières réponses, plus votre dépendance est forte ! Et vous connaissez certainement les problèmes que cela engendre. A moins que vous ne soyez dans le déni.

Bref, il est temps de réfléchir sérieusement à vivre sans tabac… Si vous ne le faites pas pour vous-même, pensez à l’exemple que vous donnez à vos proches.

Sachez enfin qu’il faut moins de cinq séances de psychothérapie, trois en moyenne, pour se débarrasser définitivement du tabac. Sans grossir. Sinon je vous offre les séances suivantes… jusqu’à ce que le tabac ne soit plus qu’un lointain souvenir.

Ce test pour l’alcool ? Pourquoi pas !

Un joint de cannabis serait jusqu’à cinq fois plus nocif qu’une cigarette… Selon un étude de l’Institut de recherche médicale de Nouvelle-Zélande, si vous fumez un joint de cannabis, c’est aussi nocif que si vous fumiez 2 à 5 cigarettes ! La consommation de cannabis est associée à une dégradation du fonctionnement des bronches : obstruction respiratoire, ce qui sollicite davantage les poumons. drogue, intoxication, dépendance, tabac, volontéLes fumeurs de joint souffrent de respiration sifflante, de toux, d’oppression de la poitrine, d’expectorations. Cette étude, publiée dans la revue spécialisée Thorax, a été réalisée sur 339 patients adultes répartis en quatre groupes : les fumeurs de cannabis, les fumeurs de tabac, les fumeurs de tabac et de cannabis, et les non-fumeurs. Chaque participant a été soumis à des examens de tomodensitométrie des poumons (scanner à rayons X assisté par ordinateur) et à des tests respiratoires. L’équivalence entre un joint et « 2 à 5 cigarettes » est cohérente avec les niveaux de goudron et de carboxyhémoglobine qui sont de trois à cinq fois plus élevés pour un joint que pour une cigarette. La carboxyhémoglobine (THC) est une forme d’hémoglobine associée au monoxyde de carbone qui est un gaz très toxique. En revanche, l’emphysème, maladie des poumons susceptible d’évoluer vers une insuffisance respiratoire chronique, a été constatée quasiment exclusivement chez les fumeurs de tabac. Le principe actif du cannabis imprègne principalement les graisses du cerveau, zone vulnérable, 10 fois plus irriguée que le reste du corps. Ces lipides du cerveau sont comme une éponge pour le THC en circulation dans le sang. Un seul joint par semaine suffit pour provoquer une forme d’intoxication chronique par stockage. En fonction des individus, il faut attendre 10 à 30 jours pour éliminer complètement le THC du joint « occasionnel ». Chez un gros consommateur, il faut attendre jusqu’à 18 mois pour obtenir l’évacuation totale après sevrage ! Le THC en fort dosage stocké peut être brutalement relaché par les cellules graisseuses lors d’un stress ou d’une émotion forte, sur une contrariété par exemple. Il peut entraîner ainsi des réactions disproportionnées, parfois associées à des troubles de mémoire ou perte de contrôle : violence, attitude suicidaire… Le cannabis aggrave considérablement les risques d’accidents de la route et perturbe fortement les apprentissages scolaires et les attitudes professionnelles. Sa consommation est donc non seulement un danger mais un facteur grave d’exclusion sociale. – la suite de l’article demain – Alors, cher lecteur, vous l’écrasez ce joint ? Pour une information et un entretien gratuit de 30 à 45 minutes, sans engagement, concernant une aide, un soutien psychologique, ou une psychothérapie -> cliquez ici