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Quel est le sens du travail ? Le vôtre ?

Vous êtes-vous déjà posé la question ?

Quelle est sa fonction dans la construction de soi ?

Malades du travail, addicts au « toujours plus », victimes de tâches vides de sens… le sentiment de mal-être au travail est en constante progression.

A l’heure du travail 2.0, du télétravail ou de « l’ubérisation »… la santé psychique au travail figure au 1e rang des questionnements contemporains sur ce qui nous construit et sur « ce qui fait sens » pour les individus et les collectifs de travail.

  1. Qu’entend-on par sens du travail ?
  2. Quelle est sa fonction dans la construction de la personne ?

F. Duval-Levesque, psychopraticien, hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, stress, rpsEn 10 fiches, cet ouvrage clarifie les concepts clés : bien-être au travail, satisfaction professionnelle, souffrance, stress, burnout

Pourquoi la question de la santé psychique au travail est-elle devenue aussi centrale aujourd’hui ?

Comment comprendre que les difficultés du vécu quotidien du travail soient restées pendant si longtemps non dites ou reléguées à la sphère privée ?

Faut-il envisager le travail uniquement sous l’angle des risques pour la santé psychique ?

Sous quelles conditions peut-il au contraire contribuer au développement des personnes ?

“Donner du sens au travail”, “être heureux au travail” : de nouvelles injonctions ?

Pour les psychologues du travail, il s’agit de “démasquer” l’imposture des nouveaux “apôtres” experts en développement personnel et autres coachs qui tendent à réduire le « sens » à un mot-valise : « chercher le sens », « recettes pour trouver un sens à sa vie », « la clé du sens de l’existence » et autres conseils d’un inédit commerce du « speed-développement ».

Une tendance qui s’inscrit dans l’idéologie d’un individu responsable de tout (de ses réussites et échecs, de sa carrière, de sa vie et de sa condition). Une idéologie au service des exigences de performance du système.

Figure de l’idéal de réussite ou figure du tabou de l’échec, mais en toute situation jugé  responsable, quel choix s’offre alors à l’individu face à la machine en marche à toute vitesse ?

Autant de questions auxquelles cet ouvrage souhaite apporter des éléments
de réponse.

Il fournit des clés de lecture pour comprendre les débats actuels sur ces questions et leurs enjeux. Il présente des outils pour faciliter l’analyse, prévenir les risques et promouvoir la santé.

A travers des modèles récents et des méthodes d’intervention originales (entretiens collectifs, focus group, co-analyse du travail et créativité, autobiographie de collectifs…), il ouvre de nouvelles perspectives pour agir auprès des personnes et des organisations en posant les conditions d’un travail signifiant dans la vie de chacun ; un travail qui fait sens et qui en donne.

Qui sont les auteurs ?

-> Isabelle Faurie est maître de conférences en Psychologie sociale du Travail et des Organisations à l’UFR de Psychologie de l’Université Toulouse – Jean Jaurès, Laboratoire de Psychologie de la Socialisation – Développement et Travail (LPS-DT, EA 1697). Ses recherches portent principalement sur les liens entre le travail et les processus de socialisation/ désocialisation de la personne et leurs enjeux sur la santé psychique au travail.

-> Brigitte Almudever est professeur de Psychologie sociale du Travail et des Organisations à l’UFR de Psychologie de l’Université Toulouse – Jean Jaurès, Laboratoire de Psychologie de la Socialisation – Développement et Travail (LPS-DT, EA 1697). Ses recherches portent sur les processus de signification/dé-signification du travail et de créativité individuelle et collective, en lien avec les questions de santé psychique et de personnalisation au travail.

Source : La santé psychique au travail, 10 fiches pour comprendre, d’Isabelle Faurie et de Brigitte Almudever, éditions In Press

La peur de manquer financièrement est sûrement l’une des peurs les plus ancrées en nous lorsque l’on envisage une nouvelle voie professionnelle.

C’est normal de la ressentir.

Avant toute chose, il arrive fréquemment que nous “fantasmions” la baisse de revenus : nous imaginons tous que notre niveau de vie va nécessairement baisser si nous changeons de voie professionnelle.

Alors que certaines reconversions peuvent être indolores, comme changer d’entreprise, ou parfois même changer de métier, par exemple de contrôleur de gestion à responsable en ressources humaines. D’autres reconversions, plus challengeantes, vont effectivement peser un peu plus dans le budget du foyer : les témoignages des anciens cadres supérieurs devenus artisans, restaurateurs, ébénistes ou fleuristes nous le rappellent fréquemment.

De manière très pratique et pour calmer cette peur qui nous saisit, nous pouvons commencer à faire la liste de nos charges récurrentes.

  • De combien ai-je besoin pour vivre mensuellement, entre les dépenses de logement, de nourriture, de santé, de transports ?
  • Quelle part le shopping et les loisirs prennent-ils dans mon budget ?
  • A quoi suis-je prêt(e) à renoncer ?
  • Quelle part de mon budget suis-je prêt(e) à consacrer à ma reconversion ?

Si vous envisagez une reconversion un peu plus “radicale”, il va sûrement falloir faire preuve de créativité : comment arrondir vos fins de mois en étant coach ?

Créer une chaîne Youtube, un livre blanc ou un guide, à télécharger à un prix abordable afin de faire connaître votre expertise ? Donner des cours, des conférences ?

Créer son job, vouloir une liberté, c’est parfois aussi diversifier ses sources de revenus…

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Quand l’alcoolisme s’écrit au féminin…

La parité avec l’addiction à l’alcool, c’est fait.

Encore plus souvent que chez les hommes, l’alcoolisme s’associe à d’autres problèmes de santé.

« On regarde encore un homme qui boit comme un bon vivant, mais une femme qui boit comme une femme ‘de mauvaise vie’. Les questions des tabous et de la morale sont de véritables dangers de santé publique, s’insurge la Dr Fatma Bouvet de la Maisonneuve (Hôpital Saint Anne). L’alcoolisme est un condensé de toutes les problématiques psychiques et sociales que vivent les femmes aujourd’hui : éléments dépressifs, cumul des responsabilités, difficultés sexuelles, problèmes conjugaux. »

Au-delà du tabou et de la stigmatisation qui entourent encore la maladie alcoolique lorsqu’elle touche les femmes y compris dans le monde médical, le Dr Bouvet de la Maisonneuve insiste sur la nécessité de bien connaitre les spécificités de la maladie alcoolique chez la femme pour adapter la prise charge.

Stop aux idées reçues : aujourd’hui, ce sont les femmes les plus instruites et qui ont le plus de responsabilités managériales qui tombent dans l’alcool, et plus généralement celles, très actives, qui ressentent la nécessité d’être parfaites. Chez ces femmes, l’alcool est vu comme un moyen de desserrerl’étau, de décompresser.

Il est important de rechercher les facteurs de risques spécifiques aux femmes (abus sexuels dans l’enfance, troubles alimentaires…). Et de repérer également les autres problèmes : addictions autres, dépression, ou troubles anxieux sociaux,  très fréquents dans cette population féminine.

Beaucoup de femmes expliquent qu’elles ont commencé à boire pour pouvoir s’exprimer en public, pour se désinhiber. Traiter ces souffrances en premiers, grâce à l’hypnose profonde, permet d’avoir un terrain meilleur pour travailler sur l’alcool.

Concernant la prise en charge de l’alcoolodépendance, elle se doit d’être globale : médicale, psychothérapique, et même sociale. Sans oublier que ces femmes ont souvent des démêlés judiciaires très fréquents du fait, d’une part, des abus sexuels ou de viols qu’elles ont subis lorsqu’elles sont alcoolisées ou bien de problèmes autour du sujet de la garde des enfants (un facteur aggravant).

Il faut aussi apprendre à vivre autrement, à trouver un autre plaisir dans sa vie, dans une créativité qui a été refoulée.

On trouve très souvent un parcours contrarié, une frustration… Il faut accompagner ces femmes dans la réalisation de soi, dans la conquête de la liberté par rapport au produit mais aussi par rapport à une conformité sociale, par rapport à tout ce qu’on leur impose en termes de conduite.

Enfin, il existe un lien très étroit entre des problématiques féminines très intimes et l’alcool, le désir non satisfait qu’il soit intellectuel, affectif ou sexuel, le mal-être corporel. Il est donc important d’avancer pour qu’elles se réapproprient leur corps.

En conclusion, rien ne se fait sans la participation des clientes, et qu’il faut notamment expliquer dès le départ que la maladie est chronique, qu’elle est émaillée de rechutes, que les rechutes ne sont pas dramatiques et que nous sommes là pour les aider à se ressaisir.

Et que la lumière est au bout du tunnel !

Chez les femmes, les complications liées à l’alcoolodépendance peuvent être plus lourdes que chez les hommes et apparaître dès le premier verre [1].

Elles sont psychiatriques (dépression, troubles anxieux…) et somatiques avec au premier rang, les atteintes hépatiques mais aussi les troubles cardiovasculaires et les cancers.

La mortalité et la morbidité sont plus élevées chez les femmes que chez les hommes notamment en raison de l’effet du produit réparti sur un poids total inférieur à celui des hommes [2,3].

Enfin, autre problématique qui pèse encore un peu plus sur les femmes : la consommation d’alcool pendant la grossesse est toxique pour l’embryon ou le fœtus [4].

Il est clair que cette période de confinement peut aussi être

– l’occasion de se replier encore plus sur les activités numériques et

– d’augmenter le risque de devenir addict.

Quelles sont les addictions majeures… et qui est concerné principalement ? Réseaux sociaux, jeux en ligne, jeux d’argent en ligne, films à volonté, youtube : difficile de se croire à l’abri. Nous sommes évidemment tous concernés.

On a l’impression que tout est fait pour renforcer notre addiction: NETFLIX à volonté, chaînes cryptées qui passent en clair, applications pour nos moindres faits et gestes… Ce confinement mondial est une formidable opportunité commerciale pour l’ensemble de ces opérateurs.

Il ne faut toutefois pas systématiquement tout condamner.

A nous de profiter de ces outils qui vont nous aider si nous restons sur un usage contrôlé. Ayons un emploi du temps équilibré, c’est-à-dire gardons du temps, beaucoup de temps, pour d’autres activités.

Nouvelles victimes : les enfants, qui sont de plus en plus jeunes… Il est probable que les plus jeunes seront ceux qui seront le plus devant toutes sortes d’écrans. Même si cela est très difficile au quotidien, il est important de les distraire de ces écrans qui sont potentiellement toxiques pour leur développement intellectuel.

Il faut, autant que possible, les faire dessiner, lire, jouer à des jeux de constructions, etc… C’est à dire tout faire pour stimuler leur créativité et leur imagination.

Il existe beaucoup de travaux de recherche qui démontrent que l’utilisation excessive d’écrans chez les plus jeunes est responsable de difficultés de communication et de difficultés relationnelles.

Cela n’est pas étonnant dans la mesure où une partie importante de l’apprentissage social ne peut se faire dans de bonnes conditions chez ces enfants.

Quant à savoir si ce mode de développement cognitif et social en feront une génération moins « empathiques », nous pouvons actuellement le craindre, mais pas l’affirmer.

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Duval-Levesque Frederic, psychopraticien, hypnotherapeute, coach, lchf, cétogène, insuline

La bienveillance est à la mode.

On la convoque à toutes les sauces. À tel point qu’elle en perd parfois de sa superbe.

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Comment la favoriser (vraiment) au travail ? Voici le nouveau livre du Dr Rodet. Pragmatique, il offre de multiples pistes d’action.

La bienveillance n’est ni un concept managérial, ni un concept organisationnel, mais un engagement de soi vis-à-vis de l’autre.

Être bienveillant, c’est se soucier de l’autre, lui vouloir du bien, au travers d’une relation humaine vraie et de qualité.

Le dire, c’est bien, le faire au travail, c’est encore mieux…

Pourtant, le stress, le manque de motivation se font sentir dans les entreprises.

On sait aujourd’hui que le travail est une forte source de stress, dont l’impact peut être ravageur sur les individus mais aussi sur les entreprises.

A contrario, on sait également que la bienveillance – et les émotions positives en général – diminue les effets du stress et favorise à la fois la créativité et la motivation des individus à s’engager dans des activités améliorant ainsi leurs talents et leurs compétences.

Pourquoi, dans ce cas, ne pas développer plus de comportements bienveillants afin de créer une ambiance de travail plus en harmonie avec ce que nous sommes ?

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C’est le voeu de l’auteur et c’est là tout l’intérêt du livre : il s’agit d’un véritable guide pratique destiné à vous aider, que vous soyez manager ou managé, à changer de posture, afin de retrouver santé et envie.

Il vous sera alors possible de transmettre cette motivation autour de vous, clé de votre propre épanouissement au travail et de la réussite individuelle et collective.

Dans ce livre, le sujet est traité avec finesse et de façon très concrète à travers des exemples précis et parlants.

Excellent outil pour le difficile exercice du management, ce livre devrait être dans les mains de tous les managers. A recommander !

« Je partage l’optimisme du docteur Philippe Rodet, il est heureux de penser que la performance durable d’une entreprise est possible grâce à l’épanouissement de son capital humain » Benoit de Ruffray (PDG groupe Eiffage)

Sommaire

  • Introduction – La bienveillance, une mode ?
  • Les grands principes de la bienveillance au travail
  • Mettre en oeuvre la bienveillance au travail
  • Les bienfaits de la bienveillance au travail
  • Conclusion
  • Postface – L’engagement au coeur de la cité

L’auteur Philippe Rodet

Médecin urgentiste de formation, le docteur Philippe Rodet a parcouru le monde pour sauver des vies dans des pays parfois en guerre ; les méfaits du stress dans les situations les plus désespérées n’ont pas de secrets pour lui. Aujourd’hui, en tant que consultant, il oeuvre à la promotion de comportements bienveillants au sein des organisations. Il fait figure d’expert incontournable dans la mise en oeuvre de la bienveillance au travail.

Source: « La bienveillance au travail », de Philippe Rodet, éditions Eyrolles

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Faire partie des 2,2% de la population dite « à haut potentiel », ce n’est pas seulement avoir un QI supérieur à 130. La surefficience intellectuelle s’accompagne de différents traits de personnalité pouvant se révéler être des forces, mais aussi des faiblesses, notamment dans la vie professionnelle.

Même si l’on comprend et accompagne de mieux en mieux la surefficience intellectuelle, elle véhicule encore beaucoup d’idées préconçues, notamment quand elle concerne les adultes.

Comme le souligne la psychologue Monique de Kermadec dans L’adulte surdoué : Apprendre à faire simple quand c’est compliqué, ces derniers ont toujours été « l’objet de fantasmes, d’idées reçues et d’hostilité qui rendent encore plus difficile leur insertion ».

On pourrait notamment penser qu’ils réussissent forcément dans leur vie professionnelle.

L-adulte-surdoue-apprendre-a-faire-simple-quand-on-est-complique, F.Duval-Levesque, hypnopraticien, coach, thérapeute, psychopraticien, PNL, Toulouse, conférencierOr « l’adulte surdoué est aussi hypersensible, hyperémotif, hyperréactif au monde », sans oublier son énergie débordante parfois difficile à canaliser, et son indépendance d’esprit.

Autant de caractéristiques « pouvant le vulnérabiliser, fragiliser son potentiel et en faire quelqu’un d’inadapté à un milieu hautement compétitif ».

Qu’elle est la pemière étape pour éviter cet écueil, trouver sa voie professionnelle et s’y épanouir ?

Pour ne pas être un fardeau, le haut potentiel doit dans un premier temps être validé par un test, puis pleinement accepté par la personne qui en a hérité.

Il lui est alors plus facile de vivre avec. L’accompagnement par un thérapeute est souvent utile, à condition que ce dernier maîtrise le sujet.

L’adulte surdoué prend alors pleinement conscience de sa différence.

Il s’épanouira évidemment plus facilement dans une profession à même d’abreuver sa soif perpétuelle de connaissances, de stimuler son intelligence, de laisser s’épanouir sa créativité. « Il se sentira souvent plus à l’aise aux commandes de sa propre entreprise ou dans une petite structure que dans des grosses sociétés très hiérarchisées ou dans la fonction publique », souligne Monique de Kermadec.

L’adulte surdoué est alors reconnu, et sa différence est valorisée !

Vous souhaiter aller plus loin ?

Entrer en contact avec d’autres adultes surdoués ?

Trouver des coordonnées de thérapeutes ?

Vous pouvez vous rapprocher des associations MENSA France et de l’ANPEIP.

 Source: « L’adulte surdoué : Apprendre à faire simple quand on est compliqué« , Monique de Kermadec, Albin Michel

Dur dur de reprendre sa place dans la file du métro-boulot-dodo après des congés prolongés, n’est-ce pas ?

Les pieds traînent, entre nonchalance et résistance, et les mines hâlées font la moue…

Après cette trêve estivale, enfants comme adultes doivent faire leur rentrée. Chacun s’est défait du ronron du quotidien. Pas facile d’accepter de tourner le dos à ce grisant vent de liberté des congés d’été.

« La rentrée est souvent difficile », admet Patrick Amar, psychologue et directeur de la société de conseil en santé et performance au travail, Axis Mundi, et coauteur avec Silvia André de J’arrête de stresser (Eyrolles, 2013). Après un changement de repères et de rythmes, « c’est dans la suite des choses que ce retour à l’ordre réserve son lot de facteurs stressants et débouche sur une petite déprime passagère ». Mais, nulle crainte, « on s’en remet chaque année ! », relativise M. Amar.

Cet incontournable « sas de décompression » n’enlève en rien les bienfaits des vacances. « On a souvent une perception erronée, notamment sur le fait qu’on se sente fatigué en rentrant ; en général, on ressort reposé de ses vacances, aéré aussi, avec des apports de créativité et de perspectives nouvelles », observe M. Amar. Mais « certains, pour ne pas avoir à vivre le déplaisir d’une chose, ne la vivent pas », explique le psychologue et coach de dirigeants.

Le Chat, F.Duval-Levesque, psychopraticien, hypnothérapeute, coach, psychothérapie, soutien psychologique, coachingComme le workaholic, ce bourreau de travail, qui vit son retour de congés d’autant plus facilement qu’il n’est pas parti ou très peu, ou encore parce qu’il n’a pas faussé compagnie à son smartphone en prise directe, jour et nuit, avec son activité professionnelle. Ou l’hyperactif, déjà reparti vers de nouveaux défis…

D’autres – nombreux ! – planifient leurs prochaines vacances, à peine un pied au bureau. « On profite ainsi encore mieux de ses vacances parce qu’on vit dans l’anticipation et notamment des bonheurs à venir », observe M. Amar.

« Le danger, c’est que notre vie quotidienne devienne un mauvais moment à passer entre deux départs en vacances. Il faut garder à l’esprit qu’il y a de forts enjeux de développement, de croissance, de socialisation entre deux périodes de vacances ! Ne vivre qu’à travers les vacances est un signal d’alarme, signalant qu’il faut changer quelque chose dans sa vie. »

Pour échapper au blues, ou ne pas y succomber trop longtemps, il convient avant tout de puiser dans les solutions – personnelles – qui ont été éprouvées les années passées et qui ont fonctionné pour se remettre dans le rythme et recouvrer sa dynamique.

En règle générale, « il importe de s’inscrire dans l’action pour dissiper cette déprime », préconise le psychologue, car « la déprime prospère sur la procrastination ». Mais inutile de précipiter les choses.

« Il faut amorcer la pompe graduellement, très graduellement, et se fixer des objectifs très modestes le premier jour, voire la première semaine de travail, lorsque cela est possible. Ces petites avancées, simples, modestes et réalistes, ont une vertu essentielle, celle de réamorcer la pompe tout en donnant un sentiment d’accomplissement qui va venir dissiper ce blues de rentrée. »

Autre grand classique de la fin août : le retour des problèmes et autres interrogations que l’on avait mis de côté pendant les congés. « La rentrée s’accompagne, souvent avant la reprise, d’une anticipation anxieuse de ce qu’on va retrouver (ou devoir affronter) au travail ou dans sa vie personnelle. »

Comment éviter de céder à la panique ?

  • Il faut hiérarchiser les priorités et ne pas se laisser submerger par tout ce qu’il y a à faire en rentrant. Il faut aller puiser dans les bienfaits des retours de vacances, tels que celui de retrouver le confort de sa maison, ou le plaisir d’une pratique sportive.
  • Penser, aussi, à refaire le lien avec ses sources de soutien social (famille, amis, voisins, collègues).

Et surtout sortir de cette pensée dichotomique selon laquelle lorsque je travaille, je ne m’amuse pas :

  • pourquoi ne pas injecter du plaisir dans son quotidien en conservant à l’esprit des choses plaisantes que l’on a réalisées pendant ses vacances, ou encore pérenniser les résolutions et projets débutés en congés ? Ce moment de retour est propice pour introduire des changements à dose homéopathique.

Tenir une résolution et pas dix, c’est largement suffisant comme programme de rentrée !

 

Sources: lemonde.fr, expérience professionnelle

Réussir mes études de cas, F.Duval-Levesque, psychopraticien, hypnothérapeute, coach, psychothérapie, soutien psychologique

L’éducation des étudiants d’aujourd’hui appartient à la dite génération Y.

Ils évoluent avec internet, et ont par conséquent développé de nouvelles attentes concernant l’interactivité et l’apprentissage (source: Lima et Fabiani, 2012).

Ils ont facilement accès à une masse d’informations sur le Web, mais manquent de raisonnement critique et de créativité nécessaires pour évaluer et pour synthétiser ces éléments d’information.

Ils grandissent dans un environnement de jeux vidéo, de messagerie instantanée et de réseaux sociaux, où l’interactivité est la pierre angulaire de la communication et de l’apprentissage.

Pour ces étudiants, rester assis des heures devant un cours traditionnel devient de plus en plus rédhibitoire.

Le rôle des enseignants du supérieur devra donc passer progressivement de professeur à animateur de pensées collectives, en stimulant les étudiants à la recherche d’informations pour les mettre au service de la résolution de problèmes, ou les préparer à la réflexion individuelle et collective pour trouver des solutions disruptives.

Plutôt qu’utiliser du temps à faire cours aux étudiants sur des faits et des chiffres qu’ils peuvent trouver sur internet, les enseignants doivent être convaincus que les étudiants peuvent trouver des informations par eux-mêmes, et peuvent ensuite en discuter en classe collectivement.

– Quel est le problème? (identification de la problématique)
– Qu’en pensez-vous/quel est votre point de vue sur le comportement décrit (l’attitude/opinion/les faits)
– Que remarquez-vous à propos de… (pour attirer l’attention)</em
 
– Quels autres exemples y a-t-il de… ? (susciter la réflexion)
– Comment pensez-vous que X se sente dans cette situation ? (sensibilité aux sentiments des autres, l’empathie)
– Que pourrait-on faire pour… ? (résolution de problèmes/partager)
 
– Que peut-il faire d’autre ? (propositions alternatives) Voulez-vous le faire ? (préférences personnelles)
– Quel en serait le coût ? (évaluation des propositions)

– Que feriez-vous dans cette situation (identification à la situation exposée)
 
– Que ressentez-vous à propos de ce qui propose votre collègue (évaluation des attitudes/interaction de groupe/partage)
– Pouvez-vous développer l’idée de votre collègue ? (construction d’esprit d’équipe)<

Dans certains contextes, le contenu du cours devrait devenir le devoir à la maison pour l’étudiant (à travers des ressources vidéo Web) et ce qui était des travaux dirigés deviendrait un débat en classe par et avec les étudiants.

Cette approche dite de «classe inversée» (Herreid & Schiller, 2013) s’est depuis accélérée avec l’arrivée des MOOC. Les études de cas ont stimulé ces compétences dans les écoles de commerce pendant presque un siècle.

C’est une partie importante de ce qui est plus communément appelé «la pédagogie d’apprentissage active», en signifiant que l’interaction entre étudiants est la partie centrale de ce processus d’apprentissage.

Ce nouvel ouvrage présente la méthode des cas et guide l’étudiant pas à pas afin qu’il s’approprie les différentes étapes de cet exercice.

Une large place est faite à l’application de la méthode des cas en proposant des mini-cas (résolus et non résolus) qui mettent en contexte les modèles analytiques dans les domaines du marketing, de la stratégie, de l’entrepreneuriat et de l’innovation.

Un nouvel outil ultra-pédagogique pour permettre aux étudiants de

se « mettre dans les chaussures des décideurs »

(préface d’Yvon Gattaz)

De plus en plus de professeurs utilisent et évaluent les étudiants sur des études de cas.

Les étudiants deviennent acteurs de leur apprentissage et doivent mobiliser des ressources et des outils toujours plus nombreux, nécessaires pour résoudre les défis complexes auxquels ils seront confrontés dans leur vie professionnelle

Cet ouvrage s’adresse aux étudiants en économie-gestion issus des écoles de management et des universités, aux enseignants et aux cadres désireux d’en savoir plus sur les outils de gestion les plus utilisés.

A lire !

Qui sont les auteurs ?

Marcos Lima – Professeur en Marketing, Innovation et Entrepreneuriat à l’EMLV (Ecole de Management Léonard de Vinci), il est également responsable du Département Marketing, Management et Entreprendre du Pôle Universitaire Léonard de Vinci.
Thierry Fabiani – Maître de conférences en marketing à l’IAE-université de Corte (Corse), il est aussi responsable du Master 2 Administration des entreprises

Source: « Réussir mes études de cas« , de Marcos Lima et Thierry Fabiani, éditions Dunod

Pour guérir, il faut d’abord le vouloir, accepter de changer.

Pour Jean-François Marmion, rédacteur en chef du Cercle Psy, « l’idée d’un retour à la normale, au bon vieux temps, à un hypothétique vrai « moi », est illusoire.

La maladie nous transforme, de gré ou de force. Elle met en lumière notre vulnérabilité, l’injustice de la vie, puis, avec un peu de chance, nous recentre sur l’essentiel et nous rend plus fort par la guérison. Ou bien nous laisse un goût d’amertume et d’absurdité.

Mille et une façons de guérirGuérir, c’est mourir un peu. Et parfois, renaître beaucoup… »

Heureusement, à ces 1 001 façons d’aller mal répondent 1 001 façons de se sentir mieux.

En un mot, pour le meilleur ou pour le pire, chaque thérapie comporte une part d’imprévu, de surprise, et de paradoxes.

Du divan aux applis, de la stimulation cérébrale à l’art, de la méditation solitaire aux groupes d’entraide, l’arsenal thérapeutique est aujourd’hui impressionnant pour assurer du sur-mesure.

Les psys s’efforcent, à coups de classifications et de diagnostics, de dégager des tendances générales pour faciliter la compréhension et la prise en charge de la souffrance d’autrui, mais dans le détail, on observe autant de troubles, de comorbidités, de variations symptomatiques, que de patients.

Et là encore, au-delà de ses préférences théoriques et pratiques, chaque praticien doit s’adapter à la singularité du patient, tâtonner parfois, faire preuve de créativité, se remettre sans cesse en question.

Et de même que nous avons chacun une empreinte digitale unique, un patrimoine génétique unique, une histoire unique, vous avez une façon unique, bien à vous, de vous sentir mal, par votre personnalité, votre entourage, votre âge…

Qui que vous soyez, personne n’est exactement comme vous, personne ne l’a jamais été, personne ne le sera plus jamais.

Vous êtes unique.

Tout est bon qui fait du bien.

Voici le sommaire de ce hors-série du Cercle Psy:

 

Source: « Le cercle psy – Mille et une façons de guérir« , hors-série n°4, éditions Cercle Psy

Divers médecins et psychopraticiens ont décrits à leur façon les phases du burn-out.

Il en ressort trois phases principales:

Phase 1 du burn-out

Dans la première phase, nous éprouvons un enthousiasme débordant et avons des buts élevés, idéalistes. Nous tendons simultanément à une légère surévaluation et sommes prêts à travailler infatigablement.

Phase 2 du burn-out

Les premiers problèmes et résistances nous freinent. Nous travaillons encore plus pour compenser jusqu’à ce que les obstacles semblent infranchissables. De premières peurs surgissent, que nous n’avions pas remarquées, mais refoulées dans la première phase.

Nous accusons les autres, critiquons le système, perdons la joie de travailler et mettons en question notre propre compétence, le tout en réfléchissant à tout laisser tomber. Des premiers symptômes physiques se manifestent. Notre irritabilité augmente également.

Phase 3 du burn-out

Nous sommes complètement déçus et démotivés. Les dépressions deviennent quotidiennes et la vie semble futile. Maintenant rien ne va plus.

Le psychologue allemand Matthias Burisch a donné une autre description dans son livre paru en 2010 “Das Burnout-Syndrom (Le syndrome de burn-out)”:

1. Symptômes d’alerte dans la phase initiale de burn-out

  • Engagement excessif d’énergie (par exemple hyperactivité, travail volontaire supplémentaire impayé, et déni de ses propres besoins)
  • Epuisement (par exemple manque d’énergie, manque de sommeil)

2. Baisse de l’engagement

  • Envers les clients et patients (par exemple perte de sentiments positifs, plus grande distance envers les clients)
  • Envers les autres en général (par exemple perte de l’empathie, apparition de cynisme)
  • Envers le travail (par exemple désillusion, aversion et lassitude, absences)
  • Exigences accrues (par exemple ressentir un manque de reconnaissance et/ou le sentiment d’être exploité)

3. Réactions émotionnelles

  • Sous forme de dépression (par exemple sentiments de culpabilité, d’échec, autocommisération)
  • Sous forme d’agression (par exemple reproches à autrui, irritabilité, blâmes à autrui, humeur changeante)

4. Dégradation de la performance cognitive (par ex. désorganisation, incapacité à prendre des décisions, manque de concentration)

  • Baisse de motivation (par ex. service minimal, manque d’initiative)
  • Diminution de la créativité (par ex. imagination et flexibilité moindres)
  • Perte de l’acuité de jugement (par ex. pensée rigide (en noir et blanc), résistance à tout changement quelconque)

5. Nivellement par le bas

  • De la vie émotionnelle (par ex. indifférence)
  • De la vie sociale (par ex. éviter tout contact informel, solitude)
  • De la vie spirituelle (par ex. renoncement aux hobbys, désintérêt général)

6. Réactions psychosomatiques (par ex. sous forme de troubles du sommeil, maux de tête, douleurs respiratoires, etc.)

7. Désespoir: sentiment d’impuissance, désespoir allant jusqu’au suicide

Source : swissharmony.ch

Crises de tétanie, attaques de panique, malaise vagal, angoisses…

Vous, peut-être ?

La spasmophilie, qui concerne environ 20 % de la population des pays occidentalisés, reste un concept mal défini par la médecine officielle.

Spasmophiles  Libérez vos émotionsHypersensibles, c’est ainsi que l’on peut avant tout caractériser les personnes concernées.

Hypersensibles à leur environnement physique et psychologique.

Parce que les spasmophiles maintiennent prisonnières leurs émotions, ne s’autorisant pas à lâcher prise et à laisser libre cours à leurs talents, leur créativité, leurs penchants naturels…

Les symptômes de la spasmophilie pourraient être comparés aux vapeurs qui s’échappent de la cocotte-minute pour l’empêcher d’exploser. Ce sont des signes annonciateurs à prendre en compte pour ne pas les laisser évoluer vers une maladie chronique dont il sera plus difficile de se relever.

Le rythme de vie trépidant des pays occidentalisés ainsi que l’évolution des modes de vie et de notre nutrition, multiplient les risques d’une manifestation de la spasmophilie.

Pour le Dr Dupire, cette maladie résulte d’un conflit entre le corps sensoriel et l’esprit chez une personne hypersensible sur les plans physique, émotionnel et psychologique.

Dans son nouvel ouvrage, il tente de donner à chacun les clés pour résoudre ce conflit et reprendre en main les rênes de sa santé.

Il propose et analyse différents moyens permettant de rééquilibrer l’état spasmophile, dont : la stimulation sensorielle, la sophrologie, la nutrition, l’homéopathie, la méditation…

A lire !

Pour lire des extraits de cet ouvrage : http://fr.calameo.com/read/0014755635df7b3518ec8

Qui est l’auteur ?

Jean Dupire est médecin homéopathe, nutritionniste, co-fondateur de l’association Pommes et Sens. Il est également à l’origine de la méthode « spiruline-poisson » et de recherches sur la malnutrition. Il a fondé en 1991 l’association humanitaire NSB (Nutrition Santé Bangui) dont il est directeur de projet.

Auteur de plusieurs livres sur la nutrition, La Spiruline : un Superaliment, Le régime plaisir avec la méthode Pommes et Sens, Le goût retrouvé d’une alimentation saine, Objectif : Malnutrition.

Source : « Spasmophiles ? Libérez vos émotions !« , du Dr Jean DUPIRE, éditions Mosaique-Santé

1/ Avec des arguments instinctifs : ce qui peut assurer la survie physique et psychologique dans le présent, choisir d’agir ou non, changer ou non, énergie vitale, créativité dans l’action, etc.

2/ Avec des arguments émotionnels : répondre aux désirs, besoins, ceux des autres, relations aux autres, l’instant présent, etc.

3/ Avec des arguments mentaux : analyse, choix, décisions, plans, projets, futur, etc.

 

 

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L‘Ennéagramme a pour base l’idée que tout être humain dispose de trois formes d’intelligence : le centre instinctif, le centre émotionnel et le centre mental.

  1. Le centre instinctif assure notre survie physique et psychologique dans le présent. Pour ce faire, il compare le présent aux situations passées semblables et choisit d’agir ou non, de changer ou non. C’est le centre de notre énergie vitale, de nos actes spontanés, de notre coordination physique, de notre créativité dans l’action.
  2. Le centre émotionnel s’intéresse à nos désirs et à nos besoins et à ceux des autres. Il se préoccupe de nos relations aux autres. A l’instar de nos émotions, il vit profondément dans l’instant.
  3. Le centre mental est le lieu du raisonnement, des choix, des décisions, des plans et des projets. Il raisonne par analyse et synthèse à partir d’informations se voulant objectives. Il est orienté vers le futur.

(le mot centre est utilisé pour bien marquer que chacun de ces trois modes de fonctionnement a un rôle particulier et des objectifs propres)

 

Source : enneagramme.com

Recherche intérieure, spiritualité, quête de sens…

Des managers et des dirigeants ont transformé leur approche des affaires unidimensionnelle en approche plus humaine, associant performance économique et impact social. Comment ? Avec la méditation et l’engagement humain.

La méditation est une pratique de sagesse simple et profonde. Et elle est adoptée par un nombre croissant de décideurs.

Comment ils méditent, sans risquer de la transformer en un outil d’efficacité ou un simple remède anti-stress ?

Comment comprendre que nous ne choisissons pas la manière dont la méditation va nous changer, mais qu’il faut être à l’écoute de la manière dont elle oeuvre en nous ?

Ces décideurs qui méditent et s'engagent, Un pont entre sagesse et businessL’auteur, Sébastien Henry, nous livre ses réponses, dans cette plongée dans la vie professionnelle des décideurs en entreprise, en politique en dans l’enseignement supérieur.

C’est pourquoi son nouveau livre « Ces décideurs qui méditent et s’engagent » décrit clairement les avantages de cette technique, « un pont entre sagesse et business », et en explique les raisons neuroscientifiques.

Ce livre, enrichi par des entretiens avec 60 décideurs à travers le monde, donne des indications sur ce qui peut être retiré de la méditation et le parcours qui attend les décideurs. Sans être un guide d’initiation à cette pratique, il propose de nombreux exercices.

Bien plus qu’une technique de gestion du stress, la méditation leur permet de développer un leadership inspirant, qui associe sérénité, créativité, présence, connaissance de soi accrue, compréhension plus fine des collaborateurs et prise de décision plus juste et plus rapide. La méditation propose aussi un cheminement invitant à redéfinir son rôle en tant que décideur et la place de son égo.

Elle peut notamment devenir la source d’un engagement à inventer de nouvelles formes de business qui répondent aux défis sociaux et environnementaux actuels.

Pratique, bourré de cas réel vécus, terre à terre, inspirant, on trouve dans cet ouvrage des clés pour commencer ou poursuivre une pratique laïque fondée sur des siècles de recherche spirituelle.

Et devenir un meilleur décideur.

Voici un extrait du sommaire :

Préfaces de Matthieu Ricard et Thierry Marx.

Introduction
Plus qu’un effet de mode, un pont entre sagesse et business qui prend forme ?
Une pratique simple et profonde, abordable de façon laïque
Quand les décideurs rencontrent la méditation: entre enthousiasme et frustration
De la pratique régulière au leadership inspirant
Un transformation intérieure qui invite à repenser son rôle de décideur
Des carrières qui traduisent un engagement et font évoluer le monde de l’entreprise
Vers un seuil critique de décideurs conscients et engagés qui répondent aux défis du monde
Conclusion

L’auteur, Sébastien Henry est chef d’entreprise et coach de dirigeants et formateur en management. Il est l’auteur de « Emotional intelligence and leadership in Asia » chez Wiley et de « Quand les décideurs s’inspirent des moines » chez Dunod. Il parle 6 langues, dont le chinois et le japonais.

Pour aller plus loin sur ce passionnant sujet :

http://business.lesechos.fr/directions-generales/0203593658644-la-meditation-dans-l-entreprise-sagesse-creativite-bien-etre-au-travail-101091.php
« Quand les décideurs s’inspirent des moines, 9 principes pour donner du sens à votre action », de Sébastien Henry, aux éditions Dunod aussi.
« Connectez-vous à vous-même. Une nouvelle voie vers le succès, le bonheur », de Chade-Meng Tan, édition Belfond

 

Source: « Ces décideurs qui méditent et s’engagent, Un pont entre sagesse et business« , de Sébastien Henry, Collection Stratégies et Management, édition Dunod

 

Un livre, « La force des introvertis », que j’ai lu d’une traite avec beaucoup d’intérêt et de plaisir.

Si l’on en croit les statistiques, un tiers des gens seraient plutôt introvertis (même si ce terme peut regrouper une catégorie assez hétérogène d’individus).

La mode est aux extravertis, aux gens qui parlent haut et fort. La socialisation est prônée à tous les niveaux.

On vous reproche votre réserve, un goût pour l’isolement, votre exigence pour la réflexion…

Dans une société qui valorise l’extraversion, les introvertis sont jugés trop sérieux, peu charismatiques, faibles, voire arrogants. L’introversion serait-elle un handicap ?

Les gens plus discrets sont souvent regardés comme des être bizarres, égoistes ou tout simplemet ennuyeux.

A travers un point de vue anthropologique, sociologique, psychologique et biologique, afin de mieux comprendre les différences et similitudes entre les extravertis et les introvertis, l’auteur Laurie Hawkes  invite les « invisible », « timide », « sauvage », « incapable de… », « névrosé », « coincé » à prendre conscience de leurs forces et de leurs atouts, rappellant que « quand quelque chose ne nous plaît pas, rien ne nous oblige à nous plier aux envies des autres ».

-hypnose-f-duval-levesque-psychotherapie-coach-psychopraticien-hypnose-emdr-sophrologie-addiction-dependance-depression-mal-etre-soutien-psy-boulimie-addiction-sexuelle, introvertiEn général autonomes, fidèles, profonds, enclins à réfléchir, les introvertis sont peut être la voix de la sagesse dans notre monde toujours plus haut, toujours plus fort…

Comme dans tous ses autres ouvrages, Laurie Hawkes décrit avec une grande clarté un type de personnalité fréquemment décriée, dont elle nous montre les qualités méconnues.

Hypersensibles aux stimuli extérieurs, les introvertis ont en fait besoin de solitude pour se protéger et se ressourcer.

Or leur difficulté à nouer des liens spontanés nuit à leur image sociale, ralentit leur intégration au groupe, disqualifie leur voix lorsque d’autres sont prompts à s’arroger une place et à s’exprimer impulsivement. Ce manque apparent de compétence dans les rapports humains masque pourtant une richesse intérieure, une qualité de concentration et d’analyse, une créativité féconde pour des liens authentiques et une vie pleine.

Ce livre invite chacun à cultiver sa singularité comme une force, à apprendre à connaître l’autre plutôt que de chercher à se transformer soi-même.

Elle donne aussi des conseils fort utiles aux personnes qui souffrent de ne pas se sentir intégrées dans une société où, souvent, c’est ceux qui font « beaucoup de bruit pour rien » que l’on écoute.

A lire et à faire partager !

Voici le sommaire :

  • Je crois que je suis introverti…
    • « Ah ! Si seulement j’étais extraverti… »
    • Les mille et un visages de l’introversion
    • Le cas Obama
  • Est-ce un problème ?
    • Pourquoi suis-je introverti ?
    • Un monde pour extravertis
    • Une force !
    • Sauf quand… Les « maladies » des introvertis
  • Bien vivre sa vie d’introverti
    • Comment faire son propre malheur
    • Le monde moderne a du bon !
    • Vieillir aussi a du bon !
    • S’épanouir dans sa vie professionnelle
    • S’épanouir dans sa vie privée
    • S’épanouir dans sa famille
    • Autothérapie

    Laurie Hawkes, née sur Long Island (USA), est arrivée en France en 1961 à l’âge de six ans. Psychologue clinicienne par les études universitaires, elle est devenue psychopraticienne (anciennement psychothérapeute), qualifiée par le SNPPsy et la FF2P. Avec 8 collègues, elle a participé à la création de l’EAT-Psychothérapie-Paris-Ile de France (école d’analyse transactionnelle) au sein de laquelle elle enseigne. Elle pratique une psychothérapie relationnelle basée sur l’analyse transactionnelle et la gestalt, avec une influence parfois perceptible du tango argentin.

Source: « La force des introvertis », édition Eyrolles, Laurie Hawkes

 

 

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  • Modéliser une ensemble de compétence et les enseigner efficacement
  • Rendre un processus mental plus efficace, plus rapide ou plus créatif
  • Comprendre un individu à travers son langage non-verbal, ses filtres de communication, sa carte du monde
  • Améliorer notre communication
  • Apprendre plus rapidement et efficacement
  • Changer des croyances (des pensées qui nous paraissent être vraies)
  • Changer des comportements (même installés depuis des années)
  • Modifier un état de conscience, développer plus de sensibilité dans les 5 sens
  • Créer des changements durables
  • Apporter une relaxation profonde
  • Enlever ou modifier une douleur, une sensation ou émotion désagréable
  • Modifier les perceptions et ressentis vis-à-vis d’une expérience passée
  • Clarifier nos objectifs
  • Utiliser le langage de manière élégante pour amener quelqu’un à changer
  • Mieux gérer le temps
  • S’améliorer dans quasiment n’importe quel domaine
  • Développer la créativité
  • Augmenter la capacité de résilience

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Voici le troisième tome d’une trilogie commencée avec « La solution intérieure. Vers une nouvelle médecine du corps et de l’esprit »(Fayard, 45000 exemplaires vendus en grand format) et « La maladie a-t-elle un sens ? Enquête au-delà des croyances » (Fayard, 40000 exemplaires vendus en grand format) – deux succès qui séduisent un large public par leur portée, la clarté de leur propos.

Dans ce nouveau livre profondément humaniste, Thierry Janssen parle d’optimisme et d’altruisme, d’intégrité et de créativité, de discernement et d’humilité, d’humour et de gratitude.

Il témoigne aussi de l’expérience éclectique de l’auteur – chirurgien devenu thérapeute en psychothérapie, spécialisé dans l’accompagnement de personnes atteintes de maladies graves.

Après nous avoir invités à élargir notre conception de la médecine et la maladie, Thierry Janssen propose une autre manière de parler du bonheur et de la bonne santé.

L’approche est originale.

Bien que déjà développé dans le monde anglo-saxon, et à l’inverse de la tendance psychanalytique actuelle de ne voir en l’être humain que des défauts et des névroses, il nous rappelle que nous sommes d’abord les détenteurs d’un potentiel éminemment positif.

Pour lui, le défi est de prendre conscience de ce potentiel et de le manifester à travers nos actes.

Soucieux d’alimenter notre réflexion à partir d’éléments concrets, inscrits dans notre culture scientifique, l’auteur démontre par exemple comment les émotions agréables – provoquées par des attitudes dites « positives », comme l’optimisme et l’altruisme – participent à notre bien-être physique, psychique et social. A l’inverse de l’impact du stress sur nos organismes.

Il s’appuie aussi sur les récentes découvertes d’une discipline – encore peu pratiquée en France en thérapie – introduite au début des années 2000 aux États-Unis par le psychologue américain Martin Seligman : la psychologie positive.

En quelques années, celle-ci a fourni une quantité impressionnante de données, dont témoignent les nombreuses notes réunies à la fin de l’ouvrage.

Nous découvrons alors que les différentes définitions du bonheur, révélées par les grands textes de la philosophie occidentale et par les plus récentes découvertes, peuvent être résumées dans le concept du « bonheur authentique » – un bonheur fait de plaisir, d’engagement et de sens.

Car la véritable félicité n’est pas seulement hédoniste, elle est aussi eudémoniste. Il nous explique comment, à travers ce que l’on appelle « l’expérience optimale du flux » ou à l’aide de la « méditation en pleine conscience », nous pouvons créer les conditions propices à l’émergence de des émotions bénéfiques, qui nous encouragent à nous réaliser pleinement, librement et heureusement.

Le défi positif nous ouvre des horizons sur ce que nous pourrions être.

Ce livre puise sa force dans la pensée existentialiste, et nous met face à notre responsabilité.

Volontairement pragmatique, il contient des propositions concrètes pour parvenir à nos fins, en laissant – et encourageant – un espace à notre propre créativité, évitant le piège des recettes toutes faites.

Réaliste, il nous oblige enfin à préciser nos intentions dans la conclusion qui remet en cause la conception purement matérialiste et trop facile de la félicité et notre définition de la « prospérité ». Il étudie finalement la mise en place potentielle d’ « institutions positives » capables de nous aider à révéler le potentiel vertueux qui nous permet de vivre une bonne et une belle vie – « une vie éthique et esthétique ».

Bref, un livre grand public à lire !

Source: « Le défi positif », de Thierry Janssen, éditions LLL, que vous pouvez trouver ici

N.B. Thierry Janssen est un ancien chirurgien, reconverti depuis 12 ans en psychothérapie, spécialisé dans l’accompagnement des patients atteints de maladies physiques. Il est notamment l’auteur des livres : Le Travail d’une vie (Paris, Robert Laffont, 2001) ; Vivre en paix (Paris, Robert Laffont, 2003) ; Vivre le cancer du sein autrement (Paris, Robert Laffont, 2006) ; La Solution intérieure (Paris, Fayard, 2006) et La maladie a-t-elle un sens ? (Paris, Fayard, 2008)

Laissez des responsabilités à vos collaborateurs…

Une entreprise appréciée est une entreprise qui montre une réelle considération à l’égard de ses salariés. Lorsque la direction encourage vraiment ses employés à prendre des responsabilités et à tenter des choses, ceux-ci la payent en retour grâce à leur créativité et leur capacité à innover.  

« La fierté du travail accompli est au cœur de la relation entre un salarié et son entreprise », note Patrick Dumoulin. Un collaborateur qui a l’impression d’apporter une véritable valeur ajoutée est un collaborateur investi.

« Je suis bien conscient que toute entreprise doit gagner de l’argent mais dans ma nouvelle agence, j’ai le sentiment que le personnel passe avant les profits, constate Benoit, le publicitaire. Cela me donne d’autant plus envie de me battre pour l’agence. »

Lorsque les opportunités professionnelles sont importantes et que l’entreprise donne à ses salariés les moyens de leur ambition, chacun s’y retrouve.

Sources:  journaldunet.com

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