Coup de blues de la rentrée : 9 astuces pour vous soulager

L’été s’achève à peine, qu’une rentrée très chargée s’impose déjà à nous.

Fini le farniente et la détente, bonjour le stress et les contrariétés du quotidien… Mais si cette année, pour changer, rentrée rimait avec douceur ?

Découvrez mes 9 conseils :

1/ Relativiser la rentrée

Imaginer le retour comme insurmontable revient à réaliser une prophétie auto-réalisatrice.

Pour éviter de paniquer, il est bon de regarder le mois de septembre sous un nouvel angle grâce à des pensées positives et vivifiantes.

Un exercice simple pour y parvenir est de porter ses lunettes de soleil encore teintées de lumière estivale et de redonner un sens positif au mot « rentrée », entre autres, grâce à la technique de l’anagramme. Prenez une feuille blanche et reconstruisez la rentrée comme il vous plait : le -r peut rimer avec renouveau, le -e avec envie…

2/ Se reconnecter avec son âme d’enfant

Les tâches du quotidien ne sont pas toujours propices au divertissement alors pourquoi ne pas les jouer ? Faire les courses, prendre rendez-vous chez le médecin sont des tâches rébarbatives sauf si l’on endosse un rôle !

Mettez-vous dans la peau d’un super assistant pour affronter les documents administratifs, d’un chef étoilé pour préparer le repas. C’est un exercice qui peut paraître simpliste mais qui se révèle efficace car très ludique.

3/ Prendre du temps pour se recentrer

Se ressourcer dans les moments de stress peut tout à fait se réaliser par petites touches chaque jour.

Asseyez-vous, posez votre main sur votre cœur, fermez les yeux et laissez vos pensées circuler. Si vous identifiez un blocage ou que vous ruminez une idée, couchez-là par écrit. Interrogez-vous sur la manière de vous en libérer. Faites confiance à nos ressources intérieures, elles sont nombreuses, il suffit de les écouter et d’agir.

4/ Oser demander de l’aide et s’entraider

Nous nous forçons souvent à affronter nos obligations seul(e)s, sans aucune aide alors qu’un petit coup de main peut apporter une dose de sérénité bienvenue.

Déléguer n’est pas une honte ! Pourquoi ne pas demander à un ami de récupérer vos enfants puis de les déposer à leurs activités ? Fixer des jours d’entraide à tour de rôle, c’est s’offrir facilement et collectivement des moments bienfaisants.

5/ Faire du temps son allié

Rationaliser le temps permet de s’apaiser face à une to-do list imposante.

Bien souvent nous exagérons le côté chronophage d’une chose à faire. Inconsciemment c’est une façon de lui donner plus d’importance qu’elle n’en a réellement, ce qui nous invite à procrastiner. Mieux vaut ne pas trop cogiter, s’atteler à la tâche et bien souvent celle-ci est exécutée bien plus facilement que nous l’imaginions.

6/ Prendre soin de soi le matin

Adoucir sa journée commence dès le réveil. Le matin est un moment privilégié pour se faire du bien. Se lever un peu plus tôt, pour méditer, prendre une douche plus longue, petit déjeuner sereinement, c’est déjà s’offrir une journée plus relaxante.

7/ Profiter des bienfaits de l’auto-hypnose

En cas de coup dur, rien ne vaut l’utilisation de l’auto-hypnose pour s’offrir une bulle de sérénité. Se réciter, yeux fermés en respirant profondément, des phrases de joie, des mantras bienfaisants, des mots positifs à répéter permettent bien souvent de souffler et de s’apaiser rapidement.

8/ Faire appel au corps

Pour vous sentir bien au quotidien, n’oubliez pas votre corps en le mobilisant  avec douceur.

Pourquoi ne pas se mettre au yoga, au shiatsu ou encore au qi-gong ? Si vous ne souhaitez pas vous lancer dans une nouvelle activité, optez pour des étirements doux ou pratiquez le do-in massage. Des pieds à la tête, en passant par le cou ou les mains, il existe de nombreuses techniques, très simples à apprendre, pour se masser soi-même et rester zen.

9/ Cultiver l’art du silence intérieur

Face à la frénésie du quotidien, le silence est un allié hors pair pour évacuer vos tensions. S’aménager des petits temps de méditation pour faire le vide en soi est excellent pour éviter le trop-plein de stress. Faire des pauses méditatives de 2-3 minutes est très facile à mettre en place.

Dans le métro, ou après le déjeuner, poser ses deux pieds au sol, positionner sa main gauche sur le ventre puis la main droite et respirer calmement. Ou quelques respirations profondes (cohérence cardiaque, etc.)

Un sentiment rassurant devrait vous entourer très rapidement.

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

« Si tu es déprimé, tu vis dans le passé. Si tu es anxieux, tu vis dans le futur. Si tu es en paix, tu vis dans le présent. »

Quel gourou bien-être à la mode nous livre cette vérité ?

Lao Tseu, né au Ve siècle avant JC.

Ah, savourer le présent !

Faisons un petit saut dans le temps. Essayons le XVIe siècle avec le dernier livre du Pr Michel Le­joyeux En bonne santé avec Montaigne (Éditions Robert Laffont).

Ce grand esprit écrivait déjà : « Nous ne som­mes jamais chez nous. Nous sommes au-delà. La crainte, le désir, l’espérance nous dérobent le sentiment de ce qui est pour s’amuser. Un esprit soucieux de l’avenir est malheureux. »

Aujourd’hui, les neurosciences confirment. Selon une étude réalisée auprès de 250 étudiants américains, les jeunes les plus investis dans l’instant présent ont mieux résisté au stress de la pandémie que les autres.

De même, affirme le Pr Lejoyeux, on serait en meilleure santé quand on vit dans la pleine conscience de son corps, de sa respiration, de ses mouvements, de la présence de celles et ceux qui donnent du sens à la vie.

Pour Montaigne, il ne faut pas hésiter à s’échapper vers la rêverie. Comme une arrière-boutique rien qu’à soi dans laquelle il faut prendre l’habitude de discuter avec soi-même, de parler, de rire.

Ce que le philosophe Charles Pépin appelle le vagabondage cérébral : « Quand on ne fait rien, on fait plein de choses. » En revanche, il est temps de fermer son musée personnel de la tristesse. Plutôt que de ressasser ce qui ne va pas, il faut chercher de manière active des motifs de satisfaction.

Parmi eux, se réveiller en musique, marcher tôt en pleine conscience, ne pas tout prévoir pour la journée qui commence, prononcer à voix haute le mot « peut-être », noter ses rêveries, « faire l’amitié » au moins une fois par jour…

-> « Nager est le meilleur médicament que j’ai trouvé contre le chagrin, la fatigue, l’ennui », annonce la journaliste et écrivaine Colombe Schneck. « Nager m’aide à me concentrer, trouver des idées, me tenir droite, ne pas trop râler », renchérit sa sœur Marine.

Ensemble, ces grandes nageuses ont testé les quarante-deux piscines de la capitale. Tarifs, qualité de l’eau, fréquentation, propreté des vestiaires… Elles ont tout passé au crible et publient Paris à la nage (Éditions Allary), un hymne à la natation super documenté qui donne vraiment envie de plonger. Les Schneck sisters insistent : « Comme le yoga, la natation transforme. J’ai enfin atteint ce truc tarte à la crème de tous les guides de développement personnel, être présent au présent. »

-> Fictions propices aux déclics intérieurs, poésie, feel good books et autres ouvrages réparateurs sont nos meil­leurs alliés cet été. Les études menées sur la bibliothérapie le montrent : la lecture est un formidable antistress, elle fait grandir l’empathie, prend soin du cœur, de l’esprit, de la psyché.

La beauté d’un personnage, d’un texte aide parfois à passer un cap.  C’est comme une parole : on peut l’entendre à différents degrés, certains passages nous touchent un jour, d’autres pa­ges, un an plus tard.

Pour soigner, les mots peuvent être dits, comme dans les ateliers de bibliothérapie créative. Et surtout écrits, dans un journal intime. Classique ? La pratique connaît un revival sous le nom de journaling, portée par des figures comme Oprah Winfrey ou Julia Cameron.

Variante en vogue, l’écriture expressive appelle à approfondir nos émotions éprouvantes et boucles négatives ou énergivores plutôt que de détailler les journées ou une vie rêvée. Parmi les exercices proposés dans Les Bienfaits de l’écriture, les bienfaits des mots (Éditions Odile Jacob), la docteure en psychopathologie Nayla Chidiac invite à dessiner en mots «l’anatomie d’un chagrin» (ou d’un échec…) réel ou ima­ginaire.

Commencez par un descriptif de l’événement au scalpel, avec des phrases simples, tranquilles, sans pathos. Introduisez ensuite un «je» qui restitue la description, tel un journaliste qui commenterait un fait divers. Ce passage de l’intime à l’écriture descriptive permet de nous distancier par rapport à la douleur.

« Ces exercices écrits se pratiquent 15 minutes par jour, deux fois par semaine, puis en augmentant la fréquence jusqu’à ce que l’écriture devienne un besoin », indique Nayla Chidiac, qui a fondé les ateliers d’écriture thérapeutique à l’hôpital Sainte-Anne, à Paris. À la clé, un bien-être mental et physique accru. À vos stylos.

-> Intéressant de méditer au moins douze minutes par jour. Rien que le fait de se poser en silence, de mettre ses pieds sous ses genoux, les mains sur ses jambes, de fermer les yeux, de faire trois respirations conscientes, ça change la journée. La méditation du matin a un pouvoir incroyable, notamment en posant des intentions pour la journée : “J’ai envie que la journée se passe bien et j’ai envie de la vivre.”

Autre conseil pour réduire le stress : faire une tâche l’une après l’autre. Le cerveau est monophasé. Manger + scroller son téléphone + regarder la télé en même temps, c’est le court-circuit assuré.

-> Avec le stress, la malbouffe et la sédentarité, nous souffrons en permanence d’un excès d’acidité qui crée un terrain inflammatoire chronique. Pour rétablir l’équilibre, l’organisme puise dans ses réserves de molécules neutra­lisantes, comme le calcium et le magnésium des os ou des dents, le potassium des muscles. Cet automne, on essaie d’al­ca­liniser ses menus en limitant au maximum les aliments industriels transformés, tous les sucres (friandises, gateaux mais aussi tous les féculents), les boissons gazeuses, en forçant sur les viandes (qui contiennent toutes les protéines dont vous avez besoin), végétaux, légumes.

-> Être tolérante face à nos faiblesses, cesser de zoomer sur ce qui cloche, basculer de l’au­tojugement à l’auto-bonté… La clé de la joie et de la sérénité est dans le rapport que l’on entretient avec soi Selon les travaux de Kristin Neff, professeure agrégée de déve­loppement humain et de culture à l’université du Texas, chercheuse pionnière sur le sujet, l’auto-bonté serait plus puissante que l’estime de soi. Cette dernière nous pousse à l’auto-éva­luation et peut induire angoisse de performance et quête d’approbation sociale.

L’amour de soi n’est pas fondé sur les accomplissements ou les signes extérieurs de réussite. Ce n’est pas être parfait ni être heureux. Le self-love ne fait pas honte, ne rabaisse pas, ne critique pas.

En forgeant un moi plus bienveil­lant, on a plus d’énergie pour vivre pleinement, plus d’amour à partager, des relations plus saines. Mais comment fait-on pour s’aimer, simplement ? Il faut déjà le vouloir et y consacrer des moments réguliers. Des exercices simples, des méditations guidées, de l’auto-hypnose hebdomadaire, font grandir, jour après jour, ce nutriment indispensable à nos vies.

-> En attendant le déclic, le temps ou le budget pour s’offrir les services d’un vrai coach, de multiples ouvrages pratiques et créatifs accompagnent notre envie de changer.

 En mode humour, L’Art subtil de s’en foutre. Un guide à contre-courant pour être soi-même, de Mark Manson (Éditions Eyrolles), aborde avec piquant la manière de surmonter les pertes et les échecs. On explore nos valeurs et notre iden­tité d’une façon originale et on se met en mouvement.
● Pour les âmes sensibles au chamanisme, la psychothérapeute Marie Caiazzo partage dans Le Guérissage (Tana Éditions) une boussole qui aide à révéler les ressources intérieures, le Compas (compassion, objectif, mouvement, patience, acceptation, souffle). Grâce à cet outil de transformation inspiré des sagesses amérindiennes, on embrasse nos émotions et nos ressentis pour retrouver notre raison de vivre. Et l’énergie qui va avec.
● Envie de vivre comme une guerrière ? Le Grand Livre des principes toltèques, de Patrice Ras (Éditions Eyrolles), dévoile ces axes de conduite puissants qui envahissent même le milieu du management. Que votre parole soit impeccable ; quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle ; ne faites pas de suppositions ; faites toujours de votre mieux ; soyez sceptique, mais apprenez à écouter…

Ces règles simples transforment nos échecs en prise de conscience, nos besoins en désirs, nos désirs en décisions.

Quand les problèmes deviennent projets, l’envie de déplacer les montagnes revient 🙂

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Vos nuits sont parfois blanches, agitées, avec escale à toutes les heures, cauchemardesques, ou encore commençant au petit jour ?

« Etre confiné fait qu’on a une diminution de l’anxiété habituelle au cours de la journée – impression qu’on va louper le train, qu’on est en retard Mais il y a une anxiété sourde du fait de l’épidémie, notamment la nuit », soulignait Marc Rey, président de l’Institut national du sommeil et de la vigilance.

« Le problème du confinement, c’est que, si on n’y prête pas attention, on va vers une désorganisation de notre rythme veille-sommeil, » ajoutait-il, conseillant d’augmenter l’activité de la journée pour garder un certain rythme et éviter de souffrir de troubles du sommeil.

Voici mes 5 idées pour mieux dormir :

  • Une conférence TED

Je me tourne et me retourne dans mon lit sans trouver le sommeil depuis des heures, que dois-je faire ?

Dans sa conférence TED qu’il a donnée en 2019 – la mission des conférences TED est, depuis trente ans, « de diffuser des idées qui en valent la peine » – et intitulée « Le sommeil est votre super-pouvoir », Matthew Paul Walker, professeur de neurosciences et de psychologie à l’Université de Californie à Berkeley, préconise de sortir du lit, d’aller dans une autre pièce et de faire autre chose.

« Parce que votre cerveau va très vite associer votre chambre à un lieu d’éveil, il vous faut briser cette association, souligne-t-il. Retournez au lit seulement quand vous avez sommeil (…). Une analogie serait qu’on ne s’assied jamais à table pour dîner en attendant d’avoir faim, donc pourquoi se mettre au lit en attendant d’avoir sommeil ? »

Le scientifique britannique passe ensuite en revue les principales incidences néfastes du manque de sommeil sur la santé (déficit immunitaire, stress, maladies cardiovasculaires…) ou encore sur la mémoire. « Il se peut que vous ayez entendu ce vieil adage : vous dormirez quand vous serez mort. Eh bien, je suis très sérieux – c’est un conseil mortellement imprudent ! »

Deux conseils à suivre selon lui pour trouver le sommeil : la régularité (se coucher et se réveiller à la même heure quel que soit le jour de la semaine ou du week-end) et « rester au frais » (la température de la pièce doit se situer à environ 18 °C).

  • Un podcast

En 2016, le Britannique Drew Ackerman animait le podcast Sleep with me (Dors avec moi), en direction notamment d’auditeurs aussi insomniaques que lui.

Dans chaque émission, d’une durée d’un peu plus d’une heure, il abordait, d’un ton monocorde, des sujets d’un ennui volontairement mortel pour leur permettre de tomber dans les bras de Morphée. Il assurait alors que vingt minutes suffisaient pour piquer du nez.

Autre podcast, loin d’être soporifique, et de bon conseil pour comprendre et améliorer son sommeil, celui du réseau de podcasts de culture générale Choses à savoir, animé par Louis-Guillaume Kan-Lacas : à travers une quinzaine d’émissions, il dresse un panorama de nos nuits, étayé par des études et des statistiques, et de ce qui peut contribuer à les rendre plus belles que nos jours. Comment savoir si vous dormez bien ? Les heures dormies avant minuit comptent-elles vraiment double ?

  • Une appli

« T’as tout mais tu n’as pas sommeil », chante Stromae, qui se propose de compter les moutons pour celui à qui il s’adresse.

D’autres que lui se font le gardien de nos nuits. Connectés et-ou dotés de capteurs, bandeau de sommeil, appli, bracelet, masque de nuit, oreiller et même matelas permettent d’analyser – de « tracker » – son sommeil et d’en identifier ses phases et comportements : temps d’endormissement, durée des cycles, fréquence des ronflements, des pauses respiratoires et des réveils nocturnes, par exemple, en vue de mieux en saisir les contours, seul ou avec un professionnel de santé.

Dans cette lignée, l’application gratuite iSommeil, développée sous iOS et Android par l’Institut national du sommeil et de la vigilance, contribue à trouver le sommeil (aide à l’endormissement avec une lumière orangée ou une musique douce) et réveille le dormeur (avec une lumière bleue ou une musique stimulante) à l’heure qu’il a programmée. Mais surtout, en glissant le smartphone sous l’oreiller, elle restitue au petit matin son activité nocturne, avec graphiques et sons à la clé. Ce journal de bord délivre également des astuces et des informations pour cibler d’éventuels symptômes de pathologies touchant son sommeil. Peut-être la perspective de dormir enfin sur ses deux oreilles.

  • Un accessoire

Entre autres veilleurs sur notre sommeil, le bien nommé Dodow se propose de « réveiller le sommeil » des personnes souffrant de troubles de l’endormissement ponctuels ou chroniques, selon une méthode inspirée des pratiques respiratoires de la méditation, du yoga et de la sophrologie. Posé à proximité du prétendant au sommeil, le faisceau bleu de ce petit objet design est déclenché par un simple tapotement et diffusé à intervalles réguliers en decrescendo – « Inspirez quand le faisceau s’étend, expirez quand il rétrécit ». Il tend à ralentir progressivement les respirations par minute et à diminuer le flux des pensées pour optimiser les conditions d’endormissement du sujet. Car « dormir, c’est se désintéresser », écrit le philosophe Henri Bergson dans Le Rêve.

  • Une vidéo

Il est une autre voie encore, celle de s’endormir en pleine conscience avec l’aide du psychiatre Christophe André, l’un des ambassadeurs français de la méditation de pleine conscience, auteur du best-seller Méditer jour après jour (Ed. de l’Iconoclaste, 2011).

L’une des 40 vidéos de ses Trois minutes à méditer est dévolue à l’endormissement : « S’endormir est un moment sensible : délicieux lorsqu’on sent venir le sommeil, douloureux lorsqu’il ne vient pas, convient-il. Pour bien dormir, il faut lâcher la peur de ne pas dormir, la peur d’être fatigué le lendemain, lâcher les soucis et inquiétudes qui nous attendent dans l’avenir. Pas facile. » Christophe André guide pas à pas le candidat au sommeil, notamment en l’invitant à « travailler à ouvrir votre esprit à tout ce qui n’est pas des pensées. Ne cherchez pas à chasser les pensées et les soucis, contentez-vous de ne pas les suivre, de ne pas les alimenter. Délibérément, tournez votre esprit vers votre souffle, vers la conscience de votre souffle. Respirez ». Garder son esprit dans son souffle requiert de la patience. Mais, « tôt au tard, le train du sommeil passera », assure le psychiatre.

Sinon, quelques séances d’hypnose profonde permettra de découvrir le pourquoi de votre insomnie, pour ensuite… dormir comme un bébé !

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en télé-séances (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin

psychotherapie, addiction sexuelle, dépendance, boulimie, F.Duval-Levesque psychopraticien, hypnothérapeute, coach, Toulouse, TCC, hypnose, mal-être, fibromyalgie, échelle douleur

Voici un précieux  livre de guérison !

La fibromyalgie est une maladie classée par la médecine traditionnelle comme étant invalidante, neurodégénérative et évolutive, sans cause et sans traitement et sans possibilité de guérison.

Wikipédia l’a défini comme :

« …une maladie associant des douleurs musculaires et articulaires diffuses, une fatigue, des troubles du sommeil, des troubles cognitifs mineurs et des troubles de l’humeur d’intensité variable et d’évolution chronique. Le diagnostic est établi d’après l’examen clinique, habituellement normal en dehors d’une sensibilité à la pression des tissus mous, et d’analyses biologiques simples, l’ensemble permettant d’écarter d’autres diagnostics.

Cette maladie, fréquente, potentiellement invalidante, touche le plus souvent les femmes d’âge moyen. La cause est inconnue, et une anomalie de fonctionnement du système nerveux central est supposée. Il y aurait une sensibilisation excessive des récepteurs impliqués dans la perception de la douleur. Le traitement, uniquement symptomatique, repose habituellement sur l’association de médicaments et de mesures non médicamenteuses. »

La fibromyalgie est une maladie qui toucherait entre 2 et 3 millions de Français, et près de 14 millions de personnes en Europe. Il a fallu de nombreux rapports et enquêtes pour que cette maladie soit mieux cernée, reconnue et donc mieux encadrée par le milieu médical français.

Et pourtant, si l’on pouvait en guérir ?

Au sortir d’un combat de dix années, Évelyne Jouval, à travers son témoignage, prouve que c’est possible.

Cela au prix de recherches personnelles.

Incomprise par le corps médical et livrée à elle-même face à une médecine conventionnelle ne lui apportant aucune solution, elle a rejeté tout traitement chimique et s’est orientée vers diverses alternatives qui lui ont été bénéfiques.

  • Si cette maladie, dite invisible, échappe à tout examen, pourquoi le nombre de malades explose-t-il ?
  • Pourquoi, alors que la fibromyalgie ne répond à aucun traitement, les professionnels de la santé prescrivent-ils, à outrance, des antidépresseurs, anti-inflammatoires, antidouleurs….aux effets secondaires bien connus ?
  • Pourquoi négligent-ils toute pollution aux métaux lourds ?
  • Pourquoi ne se penchent-ils pas sur les méfaits de l’alimentation industrielle ?
  • Pourquoi ne prennent-ils pas au sérieux les répercussions sur l’organisme d’un corps en déséquilibre acido-basique ?
  • Pourquoi ne proposent-ils pas un changement de l’alimentation et/ou une détoxification de l’organisme ?

En réponse à ces questions, Évelyne Jouval a exploré diverses pistes. Nous les découvrons avec elle.

Thérapies, médecines alternatives non conventionnelles et changement d’alimentation lui ont ouvert le chemin de la guérison.

psychotherapie, addiction sexuelle, dépendance, boulimie, F.Duval-Levesque psychopraticien, hypnothérapeute, coach, Toulouse, TCC, hypnose, mal-être, fibromyalgieElle vous livre son parcours.

Évelyne Jouval choisit d’explorer diverses pistes, seule ou accompagnée de professionnels de santé ouverts et qualifiés.

Grâce à sa ténacité, sa persévérance, son courage et sa foi en sa guérison, l’auteur ouvre un chemin qui permettra à d’autres personnes de s’y aventurer et d’avancer vers leur bien-être.

Ce livre est préfacé par le Docteur Alain Tuan Qui dont voici un extrait de sa préface :

« Ce livre témoignage nous fait comprendre que la voie de la guérison n’est pas une mais multiple, avec le vécu de chacun, ses souffrances et son environnement personnel et familial.

Il faut savoir que dans ce genre de maladie, la dimension holistique (globale) de l’être prend tout son sens et son importance.

L’art de savoir décrypter les messages du corps et de la tête, passera par la rencontre de thérapies aussi bien physiques (nutrition, jeûne, phytothérapie, massages, acupuncture, Yoga, Qi Gong, médecine chinoise et ayurvédique, …) que psychologiques (psychothérapie, psychanalyse, hypnose, sophrologie, …)

à chacun de trouver sa voie et surtout de rencontrer le médecin et/ou le thérapeute qui sera à l’écoute avec ses yeux, ses oreilles, son toucher, son savoir et surtout son cœur.

Donner un espoir de guérison à tous les fibromyalgiques, mais aussi aider leurs proches et les médecins à mieux les comprendre, les soutenir et les guider vers le chemin de la guérison : ce livre aura alors atteint son objectif ! »

 

 

Source: « J’ai guéri de la Fibromyalgie » de Evelyne Jouval, éditions Lysandra

Instabilité émotionnelle, impulsivité, perturbation de l’attention, dépression….

Le trouble bipolaire doit être contrôlé pour mieux vivre au quotidien.

Cet ouvrage est conçu pour vous y aider.

Dans un premier temps, il propose un programme de psycho-éducation : vous allez acquérir une meilleure connaissance de votre trouble, de son origine et de ses manifestations afin de savoir comment mieux vous prendre en charge. À la fin de cette première étape un questionnaire va vous permettre de procéder à une véritable auto-évaluation. Vous serez ensuite guidé pour apprendre à utiliser la méditation en pleine conscience, la mindfulness, par une démarche progressive.

Mieux contrôler mon trouble bipolaire avec la mindfulness

Grâce à cette pratique vous serez en mesure d’accéder à des moments de pause et de recentrage,

vous réduirez votre niveau d’anxiété

et vous contrôlerez vos émotions.

Ce cahier propose des outils adaptables à chacun pour permettre d’une manière générale de mieux prendre soin de soi et d’agir efficacement sur les déterminants du trouble.

Cet ouvrage propose une adaptation de la méditation basée sur la pleine conscience en prévention de la  rechute dépressive pour les personnes atteintes de troubles bipolaires.

En effet, l’approche de Mindfulness a été démontrée scientifiquement quant à ses effets positifs pour donner une qualité de vie et des outils efficaces dans ce combat quotidien.

Les auteurs donnent un éclairage simple, clair, accessible à tous, tenant compte de la capacité de chacun, avec ses possibilités propres, dans la bienveillance envers soi et sans jugement de valeur. En douze chapitres, les auteurs proposent une approche et la pratique de la méditation de pleine conscience à l’usage des personnes atteintes de troubles bipolaires;

 

Sommaire

Le Trouble Bipolaire (déterminants, modèle bio-psycho-social, les troubles de l’humeur et la bipolarité, les traitements médicamenteux, la psychoéducation et les psychothérapies).

L’intérêt de la méditation et de la pratique de la pleine conscience dans le traitement des troubles bipolaires.

Les différents courants de la méditation (Yoga, Mindfulness, la MBCT).

Le Mindfulness en  huit séances (présence et pilote automatique, vivre dans sa tête, rassembler l’esprit qui se promène / pleine conscience de la respiration, reconnaître l’aversion/ rester présent, permettre/ lâcher prise, les pensées ne sont pas des faits, comment prendre soin de moi au mieux, maintenir et élargir les nouveaux acquis).

Conclusion, plan d’action personnel, bibliographie et liens web.

 

Biographie des auteurs

Sylvie Beacco – Sylvie Beacco est instructeur de Yoga (ViniYoga) depuis 1995, psychothérapeute (ARS), sophrologue et praticien certifié EMDR. Elle s’est formée à la MBCT avec Zindel Segal
Christian Gay – psychiatre, cofondateur de « France dépression », coordinateur d’un programme psychoéducatif destiné aux patients bipolaires. Auteur notamment de Vivre avec un maniaco-dépressif (Hachette, 2008, Fayard 2010), Vivre avec des hauts et des bas (Hachette littérature 2002, J’ai lu, 2004), Guide des médicaments psy (Livre de poche 2001),

 

Publics

Personnes concernées par cette pathologie, et leur entourage

 

Source: « Mieux contrôler mon trouble bipolaire avec la mindfulness« , de Sylvie Beacco et Dr Christian Gay, éditions Dunod

Sincérité, écoute, générosité, empathie de l’auteur, voici les mots qui me viennent, en lisant ces deux nouveaux  livres du dr Mouysset.

Avant, le médecin était le savant tout puissant, capable dans le pire des cas de vous convaincre que vous étiez malade, et dans le meilleur de vous soigner.

Mais sans jamais se déposséder de sa science. Car sa science, c’était son pouvoir.

De fait, un patient, c’était aussi un être crédule, un malade réduit à sa maladie, vulnérable et dépendant du diagnostic, des soins et du savoir du sachant.

Aujourd’hui, le malade a accès à l’information, consulte plusieurs spécialistes pour avoir des avis différents, connait son dossier médical etc… Il est en droit d’être traité comme une personne, et non plus comme une pathologie.

Pourtant, que de progrès reste à faire !

Cancer, devenir acteur de sa guérisonLe dr Mouysset, oncologue, nous livre ici la quasi intégralité de sa thèse de médecine consacrée aux effets d’une psychothérapie de groupe particulière, de type soutien-expression.

Sa thèse décrit un état des lieux et une base pour construire une véritable démarche d’Accompagnement Thérapeutique, et un nouveau concept en cancérologie qui a fait ses preuves depuis les travaux de l’oncolgue Carl Simonton.

C’est sur cette base et en tenant compte de l’immense intérêt de cette pratique (68 % de survie supplémentaires) que le Dr Mouysset a conçu le Centre Ressource, à Aix-en-Provence, où son approche humaniste est mise en application depuis fin 2011.

Le Centre Ressource est un lieu qui, hors du contexte médical, permet aux personnes atteintes de cancer de bénéficier de soins de mieux-être (ostéopathie, massages, réflexologie, esthétique, etc.), de participer à des activités de groupe (natation, yoga, etc.) et de suivre le programme mis en place par le Dr Mouysset pour donner à chacun un maximum de chances de guérir.

 Au Centre Ressource, les malades atteints de cancer suivent pendant un an un PPACT, Programme Personnalisé d’Accompagnement Thérapeutique.

En groupe, ils se retrouvent pour comprendre ce qui leur arrive, affronter la réalité, mais aussi trouver les ressources pour traverser l’épreuve : nutrition, meilleure compréhension des mécanismes du développement de la maladie et des traitements, prise en compte de l’influence de l’environnement et de l’émotionnel…

On leur offre la possibilité de reprendre en main les rênes de leur santé.

Et cela marche !

Les bénéfices de cet Accompagnement Thérapeutique sont exceptionnels : 68 % de survie en plus.

Cancer, efficacité de l'accompagnement thérapeutiqueDans ce deuxième livre, le Dr Mouysset présente le Centre Ressource.

Des personnes atteintes de cancer ayant eu accès au centre témoignent de ce que cet accompagnement représente ou a représenté dans leur chemin vers la santé.

Une molécule chimique capable d’obtenir un tel résultat bouleverserait le paysage de la cancérologie.

Il serait temps que l’expérience de cet Accompagnement Thérapeutique se multiplie.

Au patient de se prendre en main (tout en suivant ses traitements allopathiques recommandés par son oncologue) !

 

 

Pour découvrir le Centre Ressource, c’est par ici !

Qui est l’auteur Jean-Loup Mouysset ?

Créateur du Centre Ressource, le Dr Mouysset est oncologue, et a pris le parti de soigner des malades et non des maladies, et de « remettre l’humain au cœur des soins ».

Sources: «Devenir acteur de sa guérison» et «Efficacité de l’accompagnement thérapeutique» du Dr J-L Mouysset, éditions Mosaïque-Santé

Imprégnée de pratiques ancestrales (yoga, bouddhisme tibétain, zen japonais…), de l’hypnose ou encore du training autogène, la sophrologie a émergé et s’épanouit en France, depuis plus de cinquante ans.

Plurielle, elle représente une méthode particulièrement intéressante et créatrice, et concerne les champs aussi variés que la thérapie au sens large, la prophylaxie, la pédagogie et le social.

Elle fait partie des méthodes psychocorporelles qui apportent une réponse pertinente aux souffrances contemporaines.

Très didactique, ce nouveau « Aide-mémoire de sophrologie »  (éditions Dunod), synthétise les notions essentielles de la sophrologie en trois parties :

. les concepts généraux
. les principes méthodologiques
. les applications thérapeutiques.

http://amzn.to/1fPCgstMieux connaître les principes fondamentaux de la sophrologie, les pratiques (individuelles ou groupales), les techniques clés, les champs et domaines d’intervention (stress, douleurs, addictions, au travail, à l’école), apprendre à construire des séances de sophrologie :

– cet ouvrage répertorie toutes les notions à connaître et constitue ainsi un outil précieux de formation.

Fondée dans les années 1960 par Alfonso Caycedo, le neuropsychiatre colombien, la sophrologie a connu de fortes évolutions initiées à la fois par son fondateur et par ses nombreux disciples.

Pour qui cherche à répondre rigoureusement à la question « Qu’est-ce que la sophrologie ? », cet ouvrage très intéressant, dans une démarche épistémologique ouverte, intègre la diversité des enseignements des multiples écoles et des champs d’application :

– médecine générale, obstétrique, psychologie, psychomotricité, orthophonie, pédagogie, monde du travail et monde sportif…

Qu’entend-on par entraînement sophrologique ?

Qu’est-ce que l’espace phronique ?

Quelles sont les complémentarités de l’hypnose et de la sophrologie ?Etc, etc…

Autant de réponses apportées par Nathalie Baste, sophrologue, qui font de cet ouvrage des éditions Dunod une référence.

C’est également un outil de travail à l’usage de l’étudiant et du praticien en activité.

Nathalie Baste, auteur de cet « Aide-mémoire de sophrologie », est psychologue clinicienne en libéral et au centre d’étude et de traitement de la douleur du CHU St Etienne, responsable pédagogique du DU « synthèse des techniques de relaxation, sophrologie, hypnose » sur l’université Jean Monnet de St Etienne et chargée d’enseignement sur cette université, à l’université de Lyon 1, ainsi qu’à l’école de sophrologie de Luxembourg, membre de la Société Française de Sophrologie

Hier, c’était la journée mondiale contre le cancer. L’occasion de faire le point sur notre hygiène de vie et de prendre enfin quelques bonnes résolutions pour notre santé.

6. La viande rouge avec modération

Dernièrement, le Conseil supérieur de la Santé (CSS) a recommandé de ne consommer de la viande rouge fraîche ou sous forme de hachis préparés qu’occasionnellement et d’éviter autant que possible les charcuteries à base de viande rouge.

Selon ses conclusions, l’incidence du cancer colorectal pourrait en effet diminuer de 10 à 20% si ces recommandations étaient appliquées.

Toutefois, la consommation modérée de viande rouge reste une source précieuse de protéines. Pour diminuer les risques cancérigènes, il est conseillé d’utiliser des épices et des herbes aromatiques telles que l’ail et le romarin lors de la cuisson
et du rôtissage de la viande rouge. Ces derniers contiennent naturellement des antioxydants.

7. Le café, l’allié inattendu

Plusieurs études l’ont confirmé ces dernières années, le café aurait des vertus anti-cancer.

En 2011, l’Association pour la recherche sur le cancer américaine avait annoncé que consommer trois tasses par jour réduisait notamment le risque de cancer de la peau. Quelques mois plus tard, une autre étude américaine montrait, elle, que le café non décaféiné avait un effet protecteur pour notre gorge.

Quant aux Suédois, ils ont annoncé qu’en cas de cancer du sein, les patientes traitées par le tamoxifène pourraient réduire leur risque de récidive en buvant du café. Dernièrement, on apprenait que le café avec également des vertus protectrices contre le cancer de l’utérus. Mais comme toujours tout est une question de modération !

8. Pas de pesticides dans mon assiette!

Pour prévenir l’apparition de cancer, évitez les expositions aux produits toxiques tels que les pesticides ou insecticides par exemple. Ils sont des perturbateurs endocriniens et sont donc reliés au développement de certaines maladies comme le cancer du sein.

Optez régulièrement pour une alimentation biologique si vous lepouvez. N’oubliez surtout pas de laver correctement vos fruits et légumes avant de les consommer.

9. Bronzez intelligemment!

Le nombre de cancer de la peau connaît un accroissement alarmant chez les moins de 40 ans depuis les dernières décennies. S’il est évidemment conseillé de bien se protéger avant de se mettre au soleil, c’est surtout les cabines de bronzage qui sont pointées du doigt dans ce fléau.

Selon les experts, cette explosion des cancers de la peau chez les jeunes adultes s’expliquerait par un usage accru des salons de bronzage surtout chez les femmes. Les cabines à UV seraient responsables à elles seules de près de 800 morts par an en Europe. Tout comme l’exposition au soleil, les cabines à UV sont aujourd’hui classées comme « cancérogènes certains pour l’homme » par le Centre international de recherche sur le cancer (Circ).

Alors cet été, bronzons intelligemment!

10. Evitez le stress

Selon une étude, un salarié sur deux seraient stressés au travail.

Pourtant on sait aussi que le stress reste un facteur non négligeable de nombreuses pathologies. Il augmente notamment le risque d’infarctus, de diabète, d’insomnie, d’allergies, de dépression… des facteurs aggravants du cancer.

Même si jusqu’à ce jour, aucun lien direct n’a encore été établi entre stress et cancer, il ouvre cependant un climat favorable à l’apparition de cette maladie.

Face à ce constat, plusieurs méthodes s’offrent à nous : faire des séances de yoga, sophrologie ou de relaxation, faire l’amour, bien dormir, prendre du temps pour soi…

Et si on commençait déjà par sourire à la vie ? La bonne humeur, la pensée positive et la joie de vivre reste, eux, votre meilleur allié contre la maladie !

 

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