On parle de symptômes résiduels de la dépression lorsque l’état dépressif s’améliore, mais que certains troubles persistent.

Il s’agit le plus souvent :

  • de troubles du sommeil, de l’alimentation et de la vie sexuelle
  • d’une sensation de fatigue chronique
  • d’une anxiété
  • d’un pessimisme
  • d’une diminution de l’estime de soi
  • d’un manque de motivation, d’une diminution des ressentis affectifs
  • de la persistance d’idées dépressives.

On parle de dépression chronique lorsque les troubles dépressifs durent depuis plus de deux ans.

Cette chronicisation de la dépression est favorisée par certains facteurs environnementaux : isolement social, burnout, conflits…

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

Une rupture amoureuse, ça fait mal.

La sensation que le monde entier s’effondre, que rien n’a plus de sens, que cette tristesse ne s’apaisera jamais…

Si vous avez déjà vécu une rupture sentimentale, vous comprenez probablement cette douleur.

Ce qu’il faut déjà savoir, c’est que la douleur ressentie après une rupture amoureuse est bien réelle.

Des chercheurs de l’Université du Colorado à Boulder (États-Unis) ont constaté, dans leur étude parue dans le Journal of Neuroscience, que les douleurs émotionnelles et physiques activent des régions cérébrales similaires. Pour le Pr. Tor Wager, principal auteur de l’étude en question, les cœurs brisés ont de « vraies » raisons de croire qu’ils ressentent de la douleur. « Sachez qu’elle est réelle, elle existe sur le plan neurochimique », a-t-il déclaré.

Cette équipe a par ailleurs montré qu’un placebo pouvait s’avérer efficace pour soulager cette douleur : le cerveau des sujets étant persuadés d’avoir reçu un produit pour atténuer leur chagrin d’amour (qui n’était en réalité qu’une simple solution saline) réagissait différemment. En particulier, le cortex préfrontal dorsolatéral, une région cérébrale jouant un rôle clé dans la gestion des émotions, s’activait significativement plus que chez les sujets n’ayant reçu aucun produit. Même constat pour la substance grise périaqueducale, responsable de la sécrétion de dopamine et d’opioïdes, des neurotransmetteurs capables de soulager la déprime.

Les neurotransmetteurs et les hormones, justement, sont les acteurs principaux de la pièce de théâtre de l’amour, et du chagrin qui accompagne une rupture sentimentale.

En réalité, il s’agit avant tout d’une question de chimie, n’en déplaise aux grands romantiques.

L’une des hormones les plus importantes dans la chimie de l’amour est l’ocytocine. Cette molécule est entre autres connue pour contribuer à la régulation du système d’attachement chez les femmes et les hommes, comme chez beaucoup d’autres mammifères, comme l’a établi une étude publiée dans la revue Perspectives on Psychological Science.

En tant qu’hormone circulant dans le sang, un niveau élevé d’ocytocine aux premiers stades d’une relation amoureuse est lié à des interactions plus positives avec son partenaire romantique et diminuerait le risque de se séparer six mois plus tard. Dans le cerveau, elle agit en tant que neurotransmetteur chargé de faire circuler des messages entre les neurones, et affecte la reproduction (ovulation, déclenchement de l’accouchement…), l’attachement et le comportement social.

L’ocytocine travaille main dans la main avec le système dopaminergique, également connu sous le nom de système de la récompense, dont l’hormone principale est la dopamine. Cette hormone est souvent appelée « hormone du plaisir », un nom parfois aussi attribué à l’ocytocine, puisqu’elle est liée à l’orgasme. Mais l’ocytocine et la dopamine sont loin d’être les seules substances à jouer un rôle dans l’attachement romantique. La vasopressine (attachement et fidélité), la sérotonine (bien-être), le cortisol (stress) ou encore la testostérone (désir) ont aussi leur part.

Le système dopaminergique, dont l’activation est la clé dans le sentiment amoureux, s’active lorsqu’on ressent du plaisir. En réaction à cela, le cerveau produit de fortes quantités de dopamine, en guise de « récompense ». C’est notamment ce qui cause les symptômes semblables au sevrage lors d’un chagrin d’amour : en ce sens, l’amour est comparable à une addiction.

D’ailleurs, les zones cérébrales qui s’activent sont les mêmes dans ces deux cas : l’imagerie cérébrale a révélé que les gens récemment tombés amoureux activent plusieurs régions du cerveau associées au système de récompense à la vue d’une photo de la personne aimée (par rapport à la photo d’un ami). Parmi elles, l’aire tegmentale ventrale et le noyau caudé, qui sont des régions associées au plaisir, à l’excitation générale et à une motivation dirigée vers la poursuite et l’obtention d’une récompense.

D’autres changements dans l’activité cérébrale ont également été observés par les chercheurs dans le cadre des relations amoureuses. D’après l’Université de Harvard (États-Unis), l’amour désactive la voie neuronale entre le noyau accumbens et l’amygdale, chargée de faire des évaluations critiques des autres personnes.

Pour autant, l’amour n’est pas complètement aveugle : la relation et le ou la partenaire sont perçus de manière biaisée et optimiste lorsque tout se déroule bien, et de manière plus objective en cas de conflits ou de changements majeurs dans l’engagement.

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Vout type de problématique (ne relevant pas de la psychiatrie, ni remplaçant un traitement médical) peut être traité en psychothérapie :

  1. Acquérir des « ressources » qui vous font défaut : assurance, confiance en soi, sérénité, compréhension, acceptation etc…
  2. Vous libérer des croyances limitantes : « Je suis nul(le).. », « Je ne réussirai jamais », « Qu’est-ce qu’ils vont penser de moi ? », « Je ne mérite pas… » etc… etc…
  3. Apprenez à définir des objectifs et à vous motiver
  4. Ayez une image de vous positive : acceptez-vous tel que vous êtes, ou changer et s’aimer
  5. Libérez-vous de sentiments et d’émotions désagréables : mal-être, colère, culpabilité, ressentiment, anxiété, etc…
  6. Libérez-vous de votre mal-être, de tendance dépressive : retrouvez votre envie de vivre, l’énergie, la joie
  7. Libérez-vous d’un passé difficile : traumatismes, abus sexuels, violences physiques, phobies, etc…
  8. Apprenez à pardonner aux autres ou à vous-même : vous réconcilier et faire preuve de compassion pour vous et les autres
  9. Améliorez votre qualité de communication : mieux communiquer avec vos proches (conjoint, enfants…), établir des relations constructives et gérer les conflits
  10. Gérez un deuil ou une séparation, un problème de couple (actuels ou passés), repérer et changer vos comportements répétitifs
  11. Favorisez votre épanouissement et la guérison (en complémentarité à un traitement médical)
  12. Approfondissez votre « quête intérieure » et votre« mission de vie » : développement de votre potentiel pour réaliser votre « légende personnelle ».

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Un manipulateur en couple, comment ça se passe ?

Toutes celles qui ont vécu une histoire avec un(e) pervers narcissique ou un(e) manipulateur/trice le savent : c’est une relation très difficile à supporter au quotidien.

Si au début tout est beau et surtout très intense, cela se dégrade très vite.

Entre les conflits perpétuels, la culpabilisation, les attaques sournoises et son besoin de tout contrôler, la situation devient bien vite incontrôlable. Bon nombre de fois on a pensé à rompre. Mais son emprise est si forte qu’on n’y parvient pas.

En effet, les périodes difficiles alternent avec des moments particulièrement agréables, où le manipulateur/trice se plie en quatre pour s’assurer qu’on ne le(a) quitte pas.

Et ensuite, ça recommence…

Il/elle vous met la pression, vous fait vous sentir médiocre, remet en question vos qualités.

Il/elle va jusqu’à vous faire douter de l’affection ou de l’estime que les autres ont pour vous, afin de vous isoler de votre entourage.

Le(a) pervers narcissique est-il/elle capable d’aimer ?

Une chose est sûre : dans un couple, le(a) manipulateur/trice a besoin de sa/son partenaire pour se sentir exister. Essayez de partir, et il/elle cherchera à vous retenir.

Par tous les moyens.

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L‘Ennéagramme est l’une des approches de la connaissance de soi les plus utilisées aujourd’hui.

Elle est considérée, également, comme l’une des plus anciennes – elle remonte à quatre mille cinq cents ans – et reste toujours pertinente.

On en retrouve les prémices chez les Babyloniens, les mathématiciens grecs, les premiers chrétiens, en Perse et dans la kabbale juive.

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La pertinence que procure l’Ennéagramme est de nous donner des repères pour répondre à des questions en lien avec notre mode de fonctionnement.

A l’aide de l’ennéagramme, nous pouvons acquérir une meilleure compréhension de la manière dont chacun mobilise son énergie et, ainsi, devenir plus aligné, congruent et présent dans notre environnement personnel et professionnel.

L’ennéagramme a été façonné à partir de l’observation attentive des comportements humains.

Image symbolique de notre évolution psychologique et spirituelle, il s’agit d’une étoile à neuf branches, représentant neuf types de personnalités, neuf « tendances » qui cohabitent en chacun de nous et qui vont être déterminantes dans la construction de notre personnalité.

Outre son intérêt pour l’accompagnement individuel, le coaching, la formation et l’animation de groupe, l’ennéagramme vous propose un processus pour:

  • Mieux se comprendre et comprendre les autres
  • Développer votre potentiel et celui des autres
  • Améliorer l’impact de votre communication
  • Vous affirmez positivement
  • Résoudre des conflits
  • Prendre des décisions
  • Négocier ou gérer des dynamiques d’équipe

Véritable approche d’évolution, de découverte et d’acceptation de soi, l’ennéagramme vous montre comment reconnaitre et anticiper vos comportements sous stress, et à agir en circonstance avec plus de flexibilité et de choix.

-> Psychothérapie et/ou coaching : les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en télé-séances par Skype, WhatsApp ou Zoom (cliquez sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr » pour plus d’informations utiles. Et mailez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin)

Manger de manière consciente, c’est être à l’écoute de son corps.

De tenter de reconnaître et de respecter ce qu’il désire.

En lien avec l’alimentation, les signaux qu’il nous envoie sont la faim et la satiété, nous permettant de quantifier la nourriture à manger pour l’atteinte ou le maintien d’un poids naturel (le poids souhaitable pour sa santé, génétiquement prédéterminé et maintenu par de saines habitudes de vie).

Le Défi des 100 jours

Regardez cette vidéo de Lilou Macé

en cliquant ici !

Etes-vous prêt à réinventer votre façon de manger en 100 jours ?

Dans ce tout nouveau cahier d’exercices, Lilou Macé et son père Jym Macé, chef cuisinier, proposent pour cet été 100 défis « feel good » autour de l’alimentation.

Les études ont démontré que manger consciemment permettait de mieux ressentir ses signaux corporels (faim, satiété, émotions, pensées) et de mieux gérer son poids, tout en diminuant les comportements nocifs comme la restriction et la culpabilité.

Des défis ludiques et libérateurs quel que soit le mode alimentaire de chacun.

Ce Défi des 100 jours a été créé en duo père-fille, en combinant le meilleur de leur savoir, afin de permettre à chacun de:

retrouver une alimentation équilibrée, adaptée, vitalisante

et de

créer son propre style de vie alimentaire.

Pour des millions de personnes, manger, au lieu d’être une source d’épanouissement, est devenu une source de conflits, de frustrations et de confusion. Régimes sans fin, malnutrition, envies, addictions, obsession de l’image, peur de la malbouffe et culte du bien-manger deviennent plus dogmatiques que les idées qu’elles dénoncent.

Ce gros livre à spirales de 360 pages offre une approche novatrice et multi-référentielle qui ne se limite pas à la pleine conscience.

Libérant croyances, incohérences, peurs et limitations, l’alimentation retrouve sa place originelle et redevient source de plaisir.

Le défi que vous allez relever, c’est:

  • Chaque jour, une opportunité de tester des défis variés et découvrir de nouveaux outils
  • Un cahier d’exercices, dans lequel on note ses observations, progressions et réussites
  • Une exploration et des bilans quotidiens sur son alimentation pour ne plus être esclave des automatismes : apprendre à observer ce que l’on mange, comprendre les signaux du corps, manger avec ses cinq sens, entraîner son cerveau à aller au-delà des croyances et avant tout développer une attitude bienveillante
  • Changer ses routines et rituels alimentaires et en créer de nouveaux
  • Retrouver sa cohérence alimentaire grâce à ce défi adapté à tout mode alimentaire, toute intolérance et façon de cuisiner (végétariens, crudivores, végans et carnivores, etc.)
  • Créer sa propre méthode au bout de 100 jours.

Et pour vous aider à changer, tout en douceur:

  • Choisir son niveau d’engagement, en relevant le bonus du jour
  • Être inspiré par de nombreux témoignages et citations quotidiennes
  • Des références de livres, d’études scientifiques et des interviews pour aller plus loin
  • Des défis adaptés aux jours de la semaine : le week-end pour les défis tels que confectionner un tableau de bien-être, feng shuiser sa cuisine, faire une détox de jus, créer des rituels, marcher avec ses 5 sens ou faire la libre cueillette – et les mercredis avec les enfants pour des défis tels que cuisiner en musique ou manger avec ses mains
  • Évoluer ensemble autour de l’alimentation en participant au Défi en couple (soirée tantrique), en famille (faire son marché) ou entre amis (un diner dans le noir).

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SEMAINE 1
Jour 1 Samedi – Créer ses intentions
Jour 2 Dimanche – Le tableau de vision alimentation consciente
Jour 3 Lundi – Manger consciemment
Jour 4 Mardi – Mon corps me parle
Jour 5 Mercredi – La cueillette des idiotismes gastronomique et des citations
Jour 6 Jeudi – Les dictatures des régimes et des gourous alimentaires
Jour 7 Vendredi – Assiette à moitié video ou à moitié pleine ?

SEMAINE 2

Jour 8 Samedi – L’état des lieux
Jour 9 Dimanche – Désencombrer
Jour 10 Lundi – Prendre soin de soi
Jour 11 Mardi – L’égo alimentaire
Jour 12 Mercredi – Apprendre des enfants
Jour 13 Jeudi – Les signaux du corps
Jour 14 Vendredi – Hara Hachi Bu

SEMAINE 3

Jour 15 Samedi – « Je mange donc je suis »
Jour 16 Dimanche – Incohérences & authenticité alimentaire
Jour 17 Lundi – Changer sa routine alimentaire
Jour 18 Mardi – Les rituels alimentaires
Jour 19 Mercredi – Créer ses rituels alimentaires
Jour 20 Jeudi – Zéro doute

SEMAINE 4

Jour 22 Samedi – L’expérience du riz
Jour 23 Dimanche – Liquéfiez-vous ! Journée detox
Jour 24 Lundi – Achever l’inachevé
Jour 25 Mardi – Félicitations !
Jour 26 Mercredi – Manger avec sa main non dominante
Jour 27 Jeudi – Les états d’âme
Jour 28 Vendredi – Attitude bienveillante

SEMAINE 5

Jour 29 Samedi – Manger avec les 5 sens
Jour 30 Dimanche – Marcher avec les 5 sens
Jour 31 Lundi – Mandalas visuels et sonores
Jour 32 Mardi – Le goût et l’odorat
Jour 33 Mercredi – Manger avec les mains
Jour 34 Jeudi – Quand je mange je ne fais rien d’autre
Jour 35 Vendredi – Les yeux bandés

Plus d’infos ici !

A vous de découvrir la suite…

Biographie des deux auteurs:

Lilou est auteure, youtubeuse aux millions de vues et fondatrice du Défi des 100 jours. C’est en 2008 qu’elle lance le site francophone http://www.defides100jours.com (40 000 participants) et en juin 2015 qu’elle publie aux éditions Trédaniel, la version papier avec Le cahier d’exercices du Défi des 100 jours (21 000 exemplaires). En avril 2016, elle lance avec l’experte sur l’intuition Sonia Choquette Le Défi des 100 jours pour développer son intuition, et, en 2017, écrit avec son co-auteur Arnaud Riou Le Défi des 100 jours pour vivre la magie au quotidien. Rejoignez-la pour ses directs quotidiens sur Facebook (www.facebook.com/FRLilou (105 000 fans)) ou sur sa chaîne YouTube http://www.lateledelilou.com

Baroudeur et chef depuis l’âge de 14 ans, Jym, père de Lilou Macé, à l’esprit curieux et ouvert, découvre et teste au travers de ses nombreux voyages et nombreuses lectures, depuis plus de 50 ans, une richesse alimentaire internationale qu’il partage généreusement avec les personnes qui l’entourent. Passionné par la cuisine, ce visionnaire autodidacte au parcours atypique explore depuis son plus jeune âge la joie d’une alimentation saine, vitale et consciente.

Source: « Le Défi des 100 jours !« , de Lilou Macé & Jim Macé, édition Guy Trédaniel

Le pouvoir magique des rêves

« Tout accomplissement et toutes les richesses terrestres ont commencé par un rêve »

Citation de Napoléon Hill

Que cela soit au travers de vos rêves nocturnes ou des images et des messages de vos rêves éveillés, votre inconscient est toujours là, auprès de vous.

Il vous guide, et vous donne des clefs sur votre vie quotidienne, et sur les chemins possibles de votre avenir.

Ecoutez-le !

La nouvelle méthode pour prendre votre vie en main… décoder vos rêves pour mieux vous connaitre, éclairer vos choix et agir sur votre vie.

Oui, c’est possible avec le nouveau livre de Simone Berno !

Oserez-vous essayer ?

Notre inconscient sait des choses que nous-mêmes ignorons. Les rêves peuvent nous transmettre ce savoir.

C’est pourquoi la lecture de nos rêves est la « voie royale » pour dialoguer avec notre inconscient et prendre sa vie en main.

Oui, le décryptage de nos rêves est un formidable outil pour nous guider dans nos choix, nous éclairer sur une situation, résoudre un problème, rétablir un équilibre psychique, adoucir une expérience vécue…

Simone Berno, thérapeute depuis 20 ans, propose dans son nouveau livre un programme complet en 3 temps, émaillé de nombreux exemples et exercices, pour transformer sa vie grâce à la compréhension des rêves :

1/ Une étape préliminaire au travail du rêve pour se familiariser avec le champ onirique, ses fondements scientifiques et psychologiques

– quand rêve-t-on ? Les cycles de sommeil et la production des rêves
– à quoi servent les rêves ? Dans notre processus psychologique, le rêve évoque nos besoins, nos désirs, nos conflits : il est un outil de la connaissance de soi.

2/ Le mode d’emploi pour décrypter le message de ses rêves

– la mémoire : des rituels pour s’autoprogrammer au moment du coucher (méditation, invocation des rêves…) de manière à se souvenir de ses rêves au réveil
– la restitution : une trame des questions qu’il faut se poser au moment de noter ses rêves
– le langage : un guide complet pour décoder la symbolique des éléments du rêve (personnages, lieux, actions, sensations)
– la mécanique : une méthode pour extraire le sens du rêve à partir de son vécu

3/ Un répertoire thématique, illustré de cas concrets, pour identifier les types de rêves et leurs rôles (compensation, réassurance, alerte, orientation…) et y trouver les solutions à nos besoins (dépasser un conflit, gagner en confiance, prendre une décision…)

– les rêves qui apportent des réponses à nos problématiques
– les rêves pour comprendre ses complexes et les dépasser
– les rêves pour nous alerter
– les rêves prémonitoires

Grâce à une démarche originale de développement personnel, fondée sur l’utilisation du rêve :

– un parcours avec nos rêves nocturnes, basé sur l’oeuvre alchimique revisitée à la lumière des connaissances psychologiques actuelles : plonger dans son inconscient pour transformer ce qui nous entrave et réaliser son potentiel. A chaque étape, le rêveur demande à son inconscient un rêve dont l’interprétation lui permettra de franchir un cap.
– un parcours avec nos rêves éveillés, fondé sur la méditation dirigée, pour ceux qui ne se souviennent pas de leurs rêves.

Utilisez le pouvoir de vos rêves

comme un véritable outil de développement personnel !

Source: « Le pouvoir magique des rêves« , de Simone Berno, éditions Solar

Voici un nouveau livre qui vous parlera du monde professionnel au féminin.

Au fil des pages, vous serez adroitement guidée dans les méandres de cette grande aventure qu’est votre carrière.

L’épanouissement dans le travail est une quête que vous devez connaître.

Parfois, souvent, vous avez cette chance.

Alors, sachez vous en montrez digne : que sont Josy, Jean-Claude, Gérard, Arlette et tous les autres, au regard des conditions inhumaines dans lesquelles d’autres femmes du monde exercent leur métier ?

Prenez de la hauteur !

mon-guide-pour-maffirmer-au-boulot-toute-seule-comme-une-grande-psychotherapie-addiction-sexuelle-dependance-boulimie-f-duval-levesque-psychopraticien-hypnotherapeute-coach-toulouse-tcc-hyAffirmez-vous par votre inventivité, vos spécificités de femmes…

Ne devenez pas des garçons manqués pour mieux nous plaire ou ne plus entendre nos sacarsmes.

Croyez à la cohabitation positive !

Et, si elle n’existe pas  sur votre lieu de travail, installez-la à force de patience, de respect mutuel, de professionnalisme et d’intelligence.

Façonnez votre destin, ne vous enlisez pas dans la fatalité sociale ou intellectuelle. Osez forcer les barrages, les préjugés, les idées ancrées, les mauvais esprits.

Croyez en vous , ne vous interdisez rien sous prétexte que « cela n’est pas pour vous » !

Quant à la place que le travail doit prendre dans votre vie, à vous de la déterminer.

De pousser le curseur plus ou moins loin vers la vie privée…

Qui sont les deux auteurs ?

Sylvie Pichon-Maquelle : auparavant journaliste en presse quotidienne et hebdomadaire, elle est aujourd’hui rédactrice indépendante en communication. Elle est l’auteur de plusieurs ouvrages, notamment Mon guide pour aller mieux toute seule comme une grande, écrit avec Chantal Duvault-Tavernier.

Marie-Stéphane Berthe : coach en entreprise depuis dix arts, elle est spécialisée dans la médiation des conflits. Elle accompagne les dirigeants et leurs équipes dans le but de développer l’intelligence relationnelle au sein du monde du travail.

Source: « Mon guide pour m’affirmer au boulot toute seule, comme une grande » de Sylvie Pichon-Maquelle et Marie-Stéphane Berthe, éditions Prat

Découvrez les 7 ressources indispensables pour devenir un manager leader.

Le leadership définit généralement la capacité d’un individu à mener ou à conduire d’autres individus ou organisations vers des objectifs à atteindre.

On évoque alors une faculté d’inspirer autrui, de le guider.

Par le passé, on associait leadership et autorité alors qu’il s’agit de deux concepts différents.

Gagner en leadership, psychotherapie, addiction sexuelle, dépendance, boulimie, F.Duval-Levesque psychopraticien, hypnothérapeute, coach, TCC, hypnoseOn considérait également cette capacité à inspirer autrui comme étant essentiellement liée au charisme de l’individu. Une qualité presque innée chez l’individu.

On sait aujourd’hui qu’il est non seulement possible de développer son charisme, mais qu’une série d’autres capacités essentielles au leadership peuvent être acquises : la vision, la stratégie, la persuasion, la communication, la confiance, la gestion de conflits ou encore l’éthique.

On s’est également rendu compte que les qualités de leadership peuvent être suscitées, éveillées et développées par des exercices spécifiques. Voici ce que ce nouveau livre de Bertrand Duséhu vous fera découvrir.

Le manager doit toujours être le personnage central d’une équipe, celui qui donne confiance, celui qui rassure, celui qui entraîne. Il est donc essentiel qu’il connaisse son degré de leadership et les moyens de l’entretenir.

Mais tout manager n’est pas un leader.

Pourtant, il devrait prendre en compte cet aspect indispensable qu’est le leadership, non seulement pour gagner en pouvoir légitime, mais surtout pour vivre sa vie professionnelle avec le plus d’efficacité possible.

Manager aujourd’hui associe la complexité de la mission à des exigences génératrices de stress, dont certains managers paient le prix fort…

Mais bien utilisé, le leadership permettra plus de latitude dans sa pratique managériale et un équilibre plus satisfaisant entre sa vie professionnelle et personnelle.

Le manager idéal n’existe pas !

Mais fort de ce constat, Bertrand Duséhu vous démontre qu’il est possible d’utiliser au mieux vos capacités, tout en surveillant vos fragilités, pour acquérir un vrai leadership ou le faire progresser.

 

Source: « Gagner en leadership« , de Bertrand Duséhu, édition GERESO

« C‘est une plage tranquille, avec du sable fin couleur or, vous le faites glisser entre votres doigts, on entend les vagues, sous un ciel bleu azur. »

Je lui parle calmement.

La cliente, confortablement assise dans mon cabinet, hoche doucement la tête. Elle se sent bien. Quelques séances d’hypnothérapie lui suffiront pour se débarrasser de sa phobie de l’avion.

Utilisées aussi dans le traitement de la douleur, qu’elle soit liée aux soins, aiguë ou chronique (migraines, lombalgies, douleurs cancéreuses), les applications de l’hypnose sont multiples : arrêt du tabac, troubles du comportement alimentaire, dépressions, phobies, stress, troubles sexuels, etc.

L’hypnose est un état naturel, un état de conscience modifié. Comme lorsque l’on se plonge dans un livre en se coupant du bruit environnant.

C’est donc un état d’hyper-contrôle, permettant à une personne d’avoir des capacités supplémentaires par rapport à l’éveil simple. Contrairement à ce que l’étymologie du mot pourrait suggérer, l’hypnose n’est en rien comparable au sommeil. Pourtant, cette pratique fait parfois peur, et évoque même pour certains l’envoûtement. On est pourtant très loin du phénomène de foire ou de spectacle.

Douleur post-opératoire atténuée, meilleure convalescence, fatigue amoindrie : ses effets sont très positifs, à tout âge. « Cela peut aussi rendre l’effet des médicaments plus efficace », ajoute ce médecin.

Pour que cela fonctionne, trois conditions doivent être remplies : le patient doit être motivé, collaborer et avoir confiance dans l’hypnothérapeute.

Pour en savoir plus, je vous invite à lire ce « Guide de l’hypnose », pour tout public.

Le guide de l'hypnose, F.Duval-Levesque hypnothérapeute psychopraticienQu’est-ce que l’hypnose ?

Comment agit-elle ?

Dans quels cas y recourir ?

Pychopraticiens, hypnothérapeutes, médecins, psychiatres, anesthésistes, répondent de façon claire et attrayante, chacun écrivant un chapitre différent. Ils ont fait de l’hypnose un instrument privilégié de leur pratique.

Pourquoi un guide de l’hypnose ? Il répond à toutes les questions que l’on peut se poser.

L’hypnose n’agit pas comme un médicament. Elle ne soigne pas les maladies. Mais elle soigne le rapport d’une personne à ses symptômes et plus généralement à ce qu’elle vit difficilement : maladie, accident, deuil, conflits…

Ce vécu a une expression toute personnelle et individuelle. Il n’y a donc pas de recette, ni de protocole que l’on pourrait appliquer systématiquement. Le chemin thérapeutique dépend de ce que le patient va mettre en avant. A travers l’hypnose, l’intérêt est porté à la singularité d’une personne.

Si le médicament s’adresse à une maladie, l’hypnose est tournée vers la personne et individualise le soin.

Peurs, anxiété, harcèlement, phobies, addictions (alcool, tabac, boulimie), mais aussi douleur, anesthésie… ce guide explique tous les cas où il est recommandé de recourir à l’hypnose.

Un abécédaire de l’hypnose et 9 exercices d’auto-hypnose viennent compléter cet ouvrage.

Le grand guide tout public que l’on attendait pour éclairer et démystifier l’hypnose.

Sous la direction du Dr Jean-Marc Benhaiem, et avec les contributions du Dr Francis Bertrand, Pascale Chami d’Agraives, Dr Héloïse Delavenne Garcia, Dr Xavier Kieffer, Dr Catherine Leloutre-Guibert, Dr Dominique Mendy, Dr Corinne Pissevin, Dr Patrick Richard, Dr Dina Roberts, Dr Gregory Tosti, Dr Pascal Vesproumis.

Source : « Le guide de l’hypnose« , sous la direction du Dr Benhaiem, édition In Press

Beaucoup de femmes vivent ce trouble alimentaire dans le plus grand secret, souvent depuis des années.

Généralement, la boulimie sert à gérer des émotions ou des conflits.

Elle découle habituellement d’une faible estime de soi et d’une image corporelle négative.

Ces facteurs sont souvent amplifiés par une situation familiale difficile ou un discours parental très axé sur la minceur et/ou sur les injonctions culpabilisantes « tu dois… », « il faut que… ».

Il n’est pas rare de découvrir un parent dominateur ou ayant une forte personnalité.

 

Généralement, la boulimie sert à gérer des émotions ou des conflits.

Elle découle habituellement d’une faible estime de soi et d’une image corporelle négative.

Ces facteurs sont souvent amplifiés par une situation familiale difficile ou un discours parental très axé sur la minceur.

Les dernières recherches indiquent que certaines personnes auraient une susceptibilité aux troubles alimentaires inscrite dans leurs gènes. La boulimie s’associe d’ailleurs à tout un spectre de problèmes héréditaires tels la dépression, les troubles anxieux et l’alcoolisme.

Tous sont contrôlés par les mêmes mécanismes cérébraux, qui gèrent également la satiété.

«On est plus vulnérable à un trouble alimentaire en présence d’un autre élément déclencheur. Un régime, par exemple, n’a pas son pareil pour dérégler les taux de sérotonine. Cela dit, n’importe qui peut développer un trouble boulimique en se restreignant trop sur le plan alimentaire, avec ou sans prédisposition génétique», précise le Dr Steiger

Pas étonnant que, dans les sociétés qui ont fait de la minceur un idéal, le nombre de cas de boulimie soit en progression.

«C’est ce désir d’être mince à tout prix qui déclenche la perte de contrôle sur l’appétit. La boulimie est le contrecoup de cette culture qui valorise tant la minceur. Or, ce n’est pas facile de résister à ces pressions», observe le Dr Steiger.

Beaucoup de femmes vivent ce trouble alimentaire dans le plus grand secret. Et beaucoup d’hommes sont pornodépendants ou ayant une addiction sexuelle.

Vous aussi, peut-être ?

 

Sources : coupdepouce.com, mon expérience professionnelle

 

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Bénéficiez d’une information (entretien de 30 minutes gratuit et sans engagement) pour un soutien psychologique, une psychothérapie ou du coaching en cliquant ici

À l’approche de Noël, certains ressentent aussi une appréhension.

Explications sur les émotions ravivées par cette fête, où la famille tient la première place.

Il y a ceux qui adorent Noël et ceux qui détestent.

Entre les deux, il y a ceux qui s’en réjouissent tout en ressentant une légère appréhension à l’approche de l’échéance.

Décryptons les émotions ravivées par cette fête où la famille – présente ou absente – tient la première place.

Pourquoi Noël éveille-t-il des sentiments mitigés chez bon nombre de personnes ?
C’est le propre de toutes les réjouissances collectives obligatoires ! La culture, les médias alimentent l’idée que tout le monde partage la même joie. Même quand on n’est pas seul ni en souffrance, il existe un décalage entre la complexité de la réalité – avec ses conflits, ses tensions, ses soucis – et l’image lisse et naïve de la famille, véhiculée par la publicité à cette occasion.

Par ailleurs, cette célébration de la famille est pesante pour les personnes célibataires ou sans enfant. Pas facile quand on est le seul adulte sans conjoint de se retrouver chez ses parents, avec ses frères et sœurs, entouré de neveux et nièces…

p1Est-ce que des émotions d’enfance sont alors ravivées ?
Forcément ! Noël est comme un révélateur et ravive plein de choses, notamment des rivalités fraternelles. Même à 50 ans, on est toujours bouleversé de constater que son petit frère a reçu cette année encore le plus beau cadeau.

Une personne me disait que c’était elle – en tant que fille – qui réunissait tout le monde au moment de Noël car ses parents séparés n’en prenaient jamais l’initiative. Elle avait l’impression de remplir une tâche qui n’était pas la sienne. Noël réveillait en elle un sentiment blessant : ses parents n’avaient pas été capables d’assumer la pérennité du lien familial.

Est-ce qu’on n’espère pas trop de cette fête ?
Nous attendons trop des autres, en général. À chaque Noël, nous avons l’espoir inconscient que des blessures seront réparées, des liens restaurés. Mais nos parents ne changeront pas par magie. Notre belle-fille revêche ne va pas se transformer soudain en bru idéale. Les efforts des uns et des autres, quand il y en a, sont souvent insuffisants face au poids des blessures de notre histoire. Il faut savoir les apprécier sans se laisser envahir par la déception.

Comment s’alléger du poids de ces attentes ?
En acceptant l’ambivalence des relations humaines et en assumant notre liberté. En imaginant d’autres façons de se rencontrer que les grandes réunions de famille.

Enfin, en cessant de nous croire responsables de tout : l’unité familiale se crée ou se déconstruit sur plusieurs générations, selon les aléas de la vie. Dans certaines familles, il y a une tradition de lien. Dans d’autres, les déménagements, l’éloignement géographique finissent par rendre les rassemblements plus difficiles.

 

 

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La dépendance se voit en plusieurs points (on parle ici toujours du point de vue du dépendant) :

  • Le besoin de contact constant : Nous devons toujours l’appeler, savoir où il est sinon on se sent pas bien. Nous ne sommes plus capable de fonctionner normalement.
  • Tout ou rien : Avec la personne aimé, c’est l’amour fou! Cependant, le mauvais point c’est qu’on est tellement passionné par l’autre que dès que quelque chose va mal, on est prêt à rompre. Les émotions sont trop fortes. La relation devient tendue et c’est presque invivable.
  • Vivre à travers l’autre : Dans une relation de dépendance, notre propre vie est mise de côté, elle n’a plus vraiment d’importance. Tout ce qui importe dans notre vie est l’autre, le dépendant vie donc sa vie au travers de la vie de l’autre. Donc, dans un sens on ne peut vivre sans l’autre car sa vie est devenue la nôtre.
  • S’effacer pour laisser toute la place à l’autre : Puisque notre partenaire est l’objet de notre idolâtrie et que notre propre vie n’est qu’un vide total sans lui, nous nous éteignons petit à petit pour ne pas ‘’déranger’’ l’autre. Nous ne voulons pas être en compétition avec le partenaire alors nous nous effaçons pour ne pas nuire ni déranger.
  • Au diable la dignité : Dans une relation de dépendance, nos inhibitions ne sont plus se qu’elles étaient. Dès que le couple est en jeu, nous n’hésitons pas à recourir aux larmes, aux cris et aux menaces. N’importe quoi pour convaincre l’autre de rester. Rien de bon ne peut sortir de cela car l’autre ne restera que par pitié pour vous plutôt que par amour.
  • L’énergie du désespoir : En désespoir de cause, l’imagination est à son zénith. Même si elle est souvent la cause des conflits, l’imagination sera là pour trouver des stratégies d’attaque et de défense en cas de conflits. En effet, prise de panique nous pouvons trouver pleins de ressources en inventant des scénarios pour séduire le partenaire.
  • Le dévouement acharné : Tout faire pour l’autre et même laisser tomber ce qui nous est chère pour ne pas déplaire à l’autre. On fini toujours par se rendre compte que le sacrifice a été fait absolument pour rien et que cela n’en valait pas la peine.
  • Le phénomène d’isolement : Nous devons nous isoler avec la personne pour pouvoir mieux surveiller ce qu’elle fait et aussi pour que la personne n’ai que nous. Nous voulons que notre partenaire nous trouve indispensable à sa vie.
  • Aimer pour deux : Même après une infidélité, le dépendant se convainc que la relation est toujours possible. Même si l’autre semble tout à fait désintéresser, elle s’accroche à de petits gestes d’affections anodins, qui n’en sont peut-être même pas.

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“En amour, on n’est jamais trompé que par soi-même.”

Si nos histoires d’amour finissent mal en général, c’est parce que nous répétons indéfiniment le même scénario, inspiré par notre enfance.

Identifier ce « script » inconscient peut nous aider à changer de rôle. A nous engager enfin dans une aventure différente.

Un scénario de vie est une situation repétitive vers laquelle on se dirige de façon inéluctable. Tout en sachant qu’elle nous mettra en échec dans la vie sentimentale, mais aussi dans la vie professionnelle, la façon de vivre les traumatismes, les conduites impulsives à risque.

Le dénouement est donc prévu et il nous parait évidente notre incapacité à évoluer, n’est-ce pas ? On a pourtant l’impression que c’est toujours le même film qui repasse…

Pourquoi cette fatalité ?

Il s’agit le plus souvent de situations d’échec qui se répètent, sur le plan professonnel et sentimental, ou des conduites à risque : actes impulsifs, tentatives de suicide, actes de violence agie ou subie etc.

La répétition des mêmes échecs et des mêmes conflits témoigne d’un problème profond qui perdure bien souvent depuis l’enfance.

Pour la vie sentimentale :

– les mariages et divorces à répétition
– la recherche incessante et sans cesse déçue de l’amour parfait
– passer des heures à se faire belle dans la salle de bain
– la sexualité à répétition sans satisfaction et sans amour
– le rejet des partenaires qui s’effectue de la même manière et de façon répétitive
– l’incapacité à faire un choix ou à prendre une décision.

Pour la vie professionnelle :

– l’ambition professionnelle qui se heurte aux mêmes conflits
– l’incapacité à rébondir après un échec professionnel
– les conflits répétés avec les collègues sans raison ou sans grande raison objective
– l’incapacité à se dégager d’une situation pénible
– l’incapacité à accepter la réussite sans angoisse ni dévalorisation personnelle
– la peur du contact avec les autres
– l’inhibition de l’action
– l’épuisement la perte de plaisir.

Pour les traumatismes :

– les traumatismes psychologiques répétés
– les traumatismes physiques répétés
– l’incapacité à prendre de la distance par rapport à un traumatisme.

Pour les conduites impulsives à risque :

– la violence et l’agressivité répétées
– les addictions alimentaires, sexuelles, drogue, alcool
– les accidents à répétition.

Pourquoi tant de ratages ?

Crises, séparations, divorces, échecs… Autant de révélateurs d’un mal-être affectif.

Les témoignages de mes patient(e)s montrent bien l’importance de la reproduction des schémas infantiles – répétitions familiales, loyauté ou, au contraire, désobéissance au modèle parental – le poids des normes sociales.

Il plus facile de repérer ainsi ce qui, dans l’amour, tend vers l’impossible et d’identifier la mécanique subtile et diabolique qui vous précipite dans le désamour…

La suite demain et après-demain.

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Êtes-vous dépendant(e) au travail (workaholic)?

Voyez les 7 critères de l’échelle de Bergen.

Des chercheurs norvégiens et britanniques, dont les travaux sont publiés dans le Scandinavian Journal of Psychology, ont développé un test d’évaluation de la dépendance au travail (workaholism), l’Échelle d’addiction au travail de Bergen (Bergen Work Addiction Scale). Ce test est basé sur le modèle des critères diagnostiques de l’addiction en général dont celles aux substances psychoactives.

Cecilie Schou Andreassen et ses collègues des universités de Bergen et Nottingham Trent ont élaboré ce test sur la base d’une étude menée avec 12 135 employés de 25 entreprises. Des études de validation menées avec des groupes de différents secteurs de travail montrent que les résultats concordent avec ceux d’autres tests de dépendance au travail.

L’échelle comporte 7 items qui reflètent les critères de base de l’addiction. Voyez si vous rencontrez ces critères.

Pour chacune des questions suivantes, indiquez leur fréquence:

1 : Jamais
2 : Rarement
3 : Parfois
4 : Souvent
5 : Toujours

  • Vous réfléchissez à la manière dont vous pourriez libérer plus de temps pour travailler
  • Vous passez beaucoup plus de temps à travailler que prévu initialement
  • Vous travaillez afin de réduire des sentiments de culpabilité, d’anxiété, d’impuissance ou de dépression
  • Des personnes vous ont suggéré de travailler moins sans que vous les écoutiez
  • Vous devenez stressé(e) si vous ne pouvez pas travailler
  • Vous dépriorisez les hobbies, les loisirs, ou l’exercice à cause de votre travail
  • Vous travaillez tellement que cela a nuit à votre santé.

Un notation de 4 ou 5 à 4 items ou plus indique une dépendance au travail, indique la chercheuse.

Des études, rappelle-t-elle, ont montré que la dépendance au travail est associée à l’insomnie, aux problèmes de santé, à l’épuisement professionnel et au stress ainsi qu’aux conflits entre le travail et la famille.

Références: psychomedia.qc.ca, eurekalert.org, The University of Bergen

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