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La boulimie, l’hyperphagie, la dépendance alimentaire et les TCA sont tous de graves problèmes de santé mentale qui peuvent avoir un impact dévastateur sur la vie d’un individu.

L’hypnose est un outil efficace dans le traitement de ces affections, car elle peut aider à réduire les fringales et soulager l’anxiété et la dépression.

L’hypnose, et la transe somnambulique, s’avère particulièrement bénéfique dans le traitement de la boulimie, car elle aide à réduire les comportements de tca et de purge. Aide également les gens à développer des mécanismes d’adaptation plus sains pour faire face au stress et à d’autres déclencheurs come la fameuse compulsion.

Avec l’aide de l’hypnose (profonde, pas éricksonienne), les individus peuvent apprendre à mieux gérer leurs émotions et à se libérer du cycle de la dépendance ou de la boulimie.

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F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, souffrance, stress, burnout, IFS, téléséance, téléconsultation, boulimie, tca, hyperphagieLa boulimie est un trouble de l’alimentation qui touche des millions de personnes à travers le monde.

Elle se caractérise par de fréquents épisodes de boulimie et de purge, qui peuvent avoir de graves répercussions sur la santé physique et mentale.

L’hypnose profonde est devenue un traitement de plus en plus populaire et efficace pour la boulimie et l’hyperphagie, car elle aide à créer un sentiment de contrôle sur ses comportements et ses émotions.

Grâce à cette approche thérapeutique, les individus peuvent apprendre à reconnaître les déclencheurs et les sentiments qui conduisent à des épisodes de boulimie et de purge, ainsi qu’à développer des stratégies d’adaptation plus saines.

En utilisant l’hypnose pour traiter la boulimie, ces personnes, en souffrance, peuvent travailler à la guérison à long terme de ce trouble dévastateur.

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Les réseaux sociaux ont beaucoup ajouté au fardeau de mes clientes.

« Tout le monde a le temps de faire la cuisine, et nous sommes submergés de nourriture sur les réseaux sociaux. Ca peut être compliqué à vivre pour certaines personnes« , témoignait une cliente boulimique.

De nombreuses injonctions à « rester en bonne santé » ou éviter la prise de poids, ainsi que de multiples plaisanteries sur l’épidémie d’obésité qui suivrait probablement le confinement ont participé au mal-être des personnes souffrant de TCA.

« Je regarde des vidéos sportives où je suis jugée pour mon manque de motivation à faire quoi que ce soit et où mon corps est dégoûtant comparé à celui des autres. Tout le monde s’améliore et pas moi« , témoigne une autre cliente.

Heureusement, le confinement a aussi eu des effets positifs sur certaines d’entre elles, notamment grâce au contact rapproché avec les personnes du même foyer : « Les crises et les purges ont diminué. Je faisais cela 5 fois par jour. Maintenant que les gens sont à la maison avec moi, elles sont réduites à un jour sur deux« , raconte une des personnes boulimiques.

 

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La personne qui souffre de boulimie nerveuse s’inquiète tout le temps sur ce qu’elle va manger dans la journée.

Bien souvent, dés son réveil.

La seule vue de la nourriture peut provoquer sa compulsion, tellement c’est devenu un automatisme, un réflex.

Boulimie, F.Duval-Levesque psychopraticien, spécialiste addictions, mal-être, soutien psy longues maladies,  coachElle utilise ensuite des méthodes inadéquates pour éviter la prise de poids : vomissements auto-provoqués, l’ingestion de laxatifs, la consommation de comprimés amaigrissants, le jeûne, ou la réalisation excessive d’exercices physiques.

Les crises peuvent arriver en moyenne deux à trois fois par semaine au moins pendant trois mois. Mais récemment, une jeune femme est venue me consulter pour des crises plusieurs fois par jour…

La ventrée est caractérisée par l’ingestion excessive d’aliments avec des intervalles inférieurs à deux heures, où apparaît la perte de contrôle. La personne ne peut pas s’arrêter de manger. La volonté n’a aucune prise.

Ces épisodes peuvent être planifiés ou non, mais il y a toujours une consommation rapide qui cause malaise et douleur.

Il n’y a pas de discrimination dans la nourriture : salé ou sucré, le plaisir a disparu depuis longtemps ! En conséquence les calories et autres aliments à l’IG importants font des ravages. Ces compulsions incontrôlables leur fait honte et les boulimiques mangent en cachette.

Parmi les méthodes compensatoires inadéquates pour prévenir l’augmentation de poids, le plus habituel est le vomissement (60% à 90%). Parfois les patients vomissent après avoir mangé de petites quantités. Un tiers des patients ont recours à d’autres comportements de purge comme les laxatifs et diurétiques, ne se soumettent que rarement au lavage de l’intestin.

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La boulimie est la consommation compulsive de quantités considérables de nourriture – en particulier des desserts, des fromages gras, des pâtes – englouties à toute vitesse.

Elle apparaît plus souvent chez les femmes. La boulimie est une maladie à prendre très au sérieux.

L’état d’angoisse créé par ce mouvement irrésistible est calmé par un vomissement provoqué ou autres moyens de purge. Les fringales, qui ne sont pas suivies de vomissements, ne font pas partie d’un contexte psychopathologique. Cela peut-être de l’hyperphagie. Lorsqu’elles sont répétées, elles mènent parfois à l’embonpoint et à l’obésité.

La boulimie est une pathologie sérieuse, qui peut entraîner des conséquences graves. Il est important de consulter un psychopraticien au plus tôt, si possible avant que les habitudes ne soient profondément ancrées.

La majorité des personnes souffrant de boulimie sont des femmes, sans que l’on sache pourquoi. Elles ne sont pas dans le déni, contrairement aux hommes atteints. Celles-ci reconnaissent leur pathologie mais sont incapables d’en sortir. Ces femmes ont souvent de la difficulté à établir des relations humaines et à les maintenir. Pourquoi ?

Parce qu’elles organisent leur vie en fonction de leur désordre alimentaire (TCA).

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D’autres phénomènes peuvent être associés à la boulimie :

  • Poids corporel diminué, normal ou excessif. Dans les trois cas, le vomissement est un symptôme indissociable. Les personnes souffrant de boulimie qui ont un poids idéal peuvent passer inaperçues, bien qu’elles aient une pathologie grave.
  • Utilisation de diurétiques et/ou de laxatifs. L’abus de ces médicaments chez une personne qui vomit est dangereux à cause de la perte de liquides et de l’altération des électrolytes (sodium, potassium, chlore). La déshydratation peut mener à l’hypotension grave et à la mort.
  • Consommation d’alcool ou de drogues (en général en solitaire). Ces produits sont pris dans le but de calmer les crises d’anxiété et d’angoisse. De plus, il y a risque d’hypoglycémie, en particulier lorsque l’alcool est pris en période de jeûne.
  • Dépression. Des états dépressifs sont fréquents, de même que les gestes d’automutilation et les tentatives de suicide.
  • Troubles menstruels. L’aménorrhée (l’arrêt des menstruations) peut se produire même chez la personne boulimique qui a un poids normal du fait de l’alternance de jeûne et de surconsommation d’aliments. C’est surtout le stress psychique, souvent très important chez ces femmes rarement en paix avec elles-mêmes, qui cause l’aménorrhée. Le risque d’ostéoporose est élevé si l’aménorrhée est prolongée.

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Il existe différents troubles alimentaires comme l’anorexie, la boulimie ou l’hyperphagie, dont les causes psychologiques sont semblables.

  • L’anorexie mentale est liée à un refus conscient et volontaire de s’alimenter qui entraîne une perte de poids importante.
  • La boulimie se caractérise par une première phase durant laquelle une quantité importante de nourriture est ingérée, créant ainsi un sentiment de culpabilité puis une phase de vomissements provoqués appelés « purge », ou par des jeûnes à répétition, du sport à outrance, des laxatifs, des régimes.
  • L’hyperphagie est assimilable à la boulimie par la phase de suralimentation. Cependant, on ne retrouve pas dans l’hyperphagie la notion de contrôle du poids. De nombreux cas d’obésité sont recensés chez les personnes hyperphagiques.
  • L’orthorexie (j’en parlerai dans un prochain article, ou faites une recherche dans mon blog)

Qui en sont les victimes ?

Les principales victimes des troubles alimentaires sont les jeunes femmes. Mais la boulimie peut aussi devenir chronique et certaines de mes clientes ont plus de la quanrantaine…

Ces troubles peuvent apparaître dès l’adolescence, chez des jeunes filles sensibles et dépressives qui subissent le « culte de la minceur ». Les anorexiques, boulimiques et hyperphagiques doivent souvent faire face à un manque de confiance et d’estime de soi.

On considère que tous les ans, 500 jeunes femmes sur 100 000, de 15 à 29 ans, sont soignées pour anorexie dans les pays industrialisés. En France, 5% des filles et jeunes femmes de 15 à 25 ans souffriraient de troubles alimentaires. Peut-être vous ?

Alors comment lutter, en retrouvant la liberté et le plaisir de se nourrir comme l’on veut ?

L’information fiable et précise est primordiale, ces troubles étant encore très peu médiatisés. Il s’agit en effet de maladies à part entière.

Une psychothérapie permet de les soigner avec succès et de retrouver un rapport sain avec l’alimentation.

Références: Anaïs Lhôte, PasseportSanté.net, mon expérience professionnelle

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La boulimie, c’est quoi?

On distingue  deux types de boulimie :

  • la boulimie avec vomissements où le poids est normal ou légèrement inférieur à la normale et qui correspond aux deux tiers des cas
  • la boulimie sans vomissements où le poids est normal ou légèrement supérieur à la normale. La boulimie masculine est beaucoup plus rare (environ un homme pour dix femmes).

Pour faire le diagnostic de boulimie on recherche essentiellement trois critères :

  • Il y a d’abord la crise de boulimie elle-même qui associe l’épisode hyperphagique (ingestion d’une grande quantité d’aliments dans un temps assez court) et le sentiment d’une perte du contrôle alimentaire à ce moment-là (de ne pas contrôler la quantité, de ne pas pouvoir s’arrêter). Cette crise se fait en cachette.
  • Un comportement compensatoire pour prévenir la prise de poids (vomissements, jeûne, prise de médicaments, exercice physique excessif).
  • Car comme dans l’anorexie il y a une perturbation de l’image corporelle (dysmorphophobie) qui se traduit ici surtout par cette obsession et cette peur panique de prendre du poids.

L’âge de survenue le plus fréquent se situe entre 18-20 ans, le plus souvent il s’agit de jeunes filles.

En général les boulimiques font au moins deux crises par semaines et peuvent faire jusqu’à plusieurs crises chaque jour. Il existe plus rarement des épisodes où les crises s’enchaînent parfois jours et nuits : on parle alors d’état de mal boulimique.

La boulimie, pourquoi?

On ne peut comprendre la boulimie sans la relier à l’anorexie. D’abord parce qu’une fois sur deux, des crises de boulimie émaillent les épisodes anorexiques. Ensuite parce que très souvent on retrouve dans les antécédents d’un patient boulimique, un court épisode anorexique passé inaperçu. Comme nous l’avons développé dans le chapitre sur l’anorexie il s’agit d’un déplacement de l’investissement affectif vers des préoccupations alimentaires. « L’objet » alimentaire, surinvesti, occupe alors tout le champ de la conscience. Mais, à la différence de l’anorexique, qui se sent toujours trop  « grosse de ses envies » et  cherche à maigrir sans fin, il y a, dans la boulimie, perte de cette maîtrise. Le passage à l’acte se termine alors par une sensation de malaise, bien sûr physique (la sensation d’avoir trop mangé), mais aussi psychique avec des idées de culpabilité et d’autodépréciation.

Quel traitement, quelle prise en charge?

Le traitement reprend les mêmes principes que celui de l’anorexie avec une prise en charge pluridisciplinaire. Cependant, s’adressant à un public de jeunes adultes et très souvent d’adultes, l’aspect familial y est beaucoup moins développé ainsi que l’aspect organique. La prise en charge la plus classique associe une thérapie bifocale, c’est à dire d’un coté des consultations régulières avec le psychiatre référent et d’un autre un suivi hebdomadaire avec un thérapeute en psychothérapie. L’aspect corporel est privilégié avec des séances de relaxation et parfois de massages. Il existe également des groupes de parole.

Quelle évolution?

La boulimie est une maladie avec une forte propension à la chronicisation cependant son intensité est très variable dans le temps. Il existe des périodes asymptomatiques qui peuvent durer plusieurs mois avant d’observer une nouvelle rechute.

Au niveau organique la complication la plus fréquente est une baisse du potassium sanguin. On note également la survenue de problèmes dentaires, oesophagiens et une augmentation caractéristique du volume des glandes parotides.

L’hyperphagie boulimique c’est quoi ?

Quand il y a des crises de boulimie (cf. ci-dessus) sans comportement compensatoire pour prévenir la prise de poids, sans préoccupations excessives sur son poids ni problème important d’estime de soi, on parle d’hyperphagie boulimique (ou d’hyperphagie incontrôlée), elle s’accompagne souvent d’une obésité.

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Entre 10 et 15 % des femmes âgées de 20 à 40 ans rapportent au moins un comportement alimentaire problématique ou une attitude liée à l’alimentation/alcool qui soit exagérée, selon une étude publiée dans l’International Journal of Eating Disorders.

L’équipe des chercheurs Lise Gauvin et Jean-Marc Brodeur de l’Université de Montréal et Howard Steiger de l’Institut universitaire en santé mentale Douglas a mené des interviews téléphoniques auprès de 1501 femmes demeurant en milieu urbain (Montréal) et âgées en moyenne de 31 ans. La majorité était mariée, non fumeuse et détenait un diplôme universitaire.

Quelque 13,7 % des femmes rapportaient un comportement de boulimie ou d’hyperphagie (binge eating), caractérisé par une consommation excessive de nourriture accompagnée d’un sentiment de perte de contrôle, un à 5 jours par mois ou 1 à 7 fois par mois; 4,1 % rapportaient au moins 8 épisodes de boulimie par mois; 2,5% rapportaient se forcer à vomir ou utiliser des laxatifs ou des diurétiques pour maintenir leur poids.

L’étude montre aussi que 28% des femmes font de l’exercice physique intense 2 fois par mois avec le seul objectif de perdre du poids.

« L’anorexie, qui se caractérise entre autres par une restriction alimentaire extrême, est beaucoup plus rare que les comportements boulimiques », précise Mme Gauvin. Aucune des femmes interrogées ne présentaient d’ailleurs de comportements anorexiques.

Sources : psychomedia, Université de Montréal, Science Daily

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