Il existe une charge émotionnelle qui, comme la fameuse charge mentale, peut conduire au burn-out.

Pour vous en prémunir, apprenez à identifier les cinq signaux d’alerte suivants :

1 – Reconnaîssez votre charge affective

La charge émotionnelle peut survenir à différents moments de votre vie.

Et naître d’une succession de contrariétés, de relations compliquées (emprise, manipulation, dépendance), de pressions (extérieures ou de notre fait), de croyances accumulées, d’épreuves récurrentes. Elle peut aussi être la conséquence d’un choc émotionnel violent (licenciement, séparation, deuil).

Comme la fameuse charge mentale, lorsqu’elle dure depuis trop longtemps et/ou lorsqu’elle est trop lourde, elle génère de l’épuisement : le burn-out émotionnel.

2 – Prenez au sérieux “la goutte d’eau”

Celle qui fait déborder le vase : la vexation, la déception, l’exigence, l’échec… de trop !

Comme l’organisme rejette en vomissant l’excès de nourriture ou une nourriture avariée, votre « organisme psychoaffectif » rejette l’événement en excès qui risquerait de vous rendre malades, de vous mettre K.-O. Trop souvent, vous rationaliez les faits en les relativisant, les minimisant, en vous rendant responsables.

Cela pour fuir un conflit, ne pas risquer une sanction, ne pas mettre en péril une situation ou une relation.

C’est un tort, car cette « goutte » est un puissant signal d’alarme qui vous dit que vous êtes en danger.

Elle exige de vous que vous analysiez ce qui a permis que ce « trop » arrive (causes intérieures, causes extérieures) et vous commande de réfléchir aux moyens (à court, moyen et long terme) qui vous éviteraient de porter à nouveau votre charge trop lourde.

3 – Identifiez votre sidération affective

Elle désigne l’état psychique de la personne qui a subi un choc affectif : rejet, exclusion, humiliation, trahison, rupture, deuil…

Son impact diffère d’une personne à l’autre, selon son histoire et sa sensibilité.

La reconnaître, la nommer, avoir conscience du choc et de ses conséquences vous permet de prendre le temps de récupérer, de prendre soin de vous, au lieu de poursuivre votre chemin comme si de rien n’était – en alourdissant votre charge affective par le déni, la culpabilité ou la honte.

4 – Adoptez les bonnes habitudes

-> La première est d’observer l’état dans lequel vous vous trouvez et d’évaluer votre état de saturation (charge agréable, facile à supporter, moyenne, difficile à supporter, saturation intolérable).

-> La deuxième consiste à repérer les blocages et les croyances qui vous empêchent de changer de mode, d’être en relation, de travailler ou de concevoir la vie.

->La troisième : trouver vos limites (qu’est-ce qui peut vous empêcher de vous épuiser ou de vous sacrifier ?).

-> La quatrième : chercher comment réduire votre mal-être, notamment par des pratiques psychocorporelles (Vittoz, sophrologie, pleine conscience) et surtout l’auto-hypnose (qui vous évitera aussi le déni) qui vous remettent en contact avec votre corps et vos sensations.

Cette reconnexion vous permet d’être plus à l’écoute des messages de trop-plein que vous envoient votre corps et votre psychisme, donc de mieux prendre soin de vous-mêmes.

-> Enfin, la cinquième habitude consiste à pratiquer le plus souvent possible l’« ici et maintenant » pour être en contact direct avec votre ressenti physique et émotionnel.

5 – Trouvez l’équilibre, votre harmonie

Le rythme juste, le bon tempo : corps, esprit et cœur doivent vibrer à l’unisson.

Au corps, le sommeil, l’activité sportive, artistique.

À l’esprit, la méditation, l’attention, le rêve (qui permet de comprendre des aspects de notre vie remontant de l’inconscient), l’auto-hypnose surtout (pour vider les émotions refoulées) et aussi l’humour, qui permet de vous libérer de ce qui vous pèse.

Au cœur, l’amour de soi, mais aussi l’amour respectueux et réciproque de l’autre.

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

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Si vous avez le sentiment de ne plus être libre,

si vous parlez constamment d’une personne

quand elle n’est pas là,

et si en sa présence, vous n’êtes pas serein,

ou que vous vous comportez comme

un petit garçon ou une petite fille

et plus comme un(e) adulte,

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vous avez probablement affaire à un manipulateur.

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De même pour ces gens

dont vous mettez cinq jours à vous remettre

d’un simple appel de leur part.

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Se soigner d’une pathologie grave par le gui ?
Combattre le cancer grâce au céleri ?
Gardez votre esprit critique !
Contactez la MIVILUDES en cas de doute derives-sectes.gouv.fr/nous-contacter

Comment déceler l’influence sectaire dans le comportement d’un proche :

  • adoption d’un langage propre au groupe
  • modification des habitudes alimentaires ou vestimentaires
  • refus de soins ou arrêt des traitements médicaux régulièrement prescrits
  • situation de rupture avec la famille ou le milieu social et professionnel
  • engagement exclusif pour le groupe
  • soumission absolue, dévouement total aux dirigeants
  • perte d’esprit critique
  • réponse stéréotypée à toutes les interrogations existentielles.
  • embrigadement des enfants
  • existence d’atteintes à l’intégrité physique ou psychique
  • manque de sommeil

  1. Vous ne pouvez pas vous exprimer
  2. Vous vous sentez isolé(e)
  3. vous êtes déconsidéré(e) auprès de vos collègues
  4. vous êtes discrédité(e)
  5. votre santé est compromise.

Il est urgent pour vous de me voir

pour comprendre ces mécanismes de manipulation

afin de vous protéger et de sortir de ce cercle infernal !

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Trois facteurs du harcèlement moral se retrouvent dans toutes les définitions :

  1. les agissements doivent être répétés
  2. ils impliquent une relation complémentaire ; soit le harceleur instaure une inégalité, soit il renforce celle préexistante (lien hiérarchique ou lien de subordination), afin de mieux dominer
  3. il n’est pas nécessaire que ces agissements soient intentionnels.

En France, un texte de loi est venu fixer sa définition du harcèlement moral afin de pouvoir le sanctionner.

Désormais, le harcèlement moral est « un ensemble d’agissements répétés qui ont pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail susceptible de porter atteinte aux droits du salarié et à sa dignité, d’altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel ».

Le législateur a choisi de ne pas nommer les agissements, ce qui aurait été trop restrictif, laissant aux juges de fond un pouvoir souverain d’appréciation.

Il s’appuie beaucoup plus sur les conséquences du harcèlement que sur ses causes et sa nature.

C’est donc dans l’intérêt de la victime.

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Depuis les années 1990, le harcèlement moral au travail est devenu une préoccupation importante pour les salariés.

Vous, peut-être ?

Qu’on l’appelle harcèlement moral comme en France et en Belgique, harcèlement psychologique comme au Québec, mobbing ou bulluing dans d’autres pays, nulle ne conteste la réalité du phénomène et ses conséquences désastreuses.

Actuellement, les analyses et recherches se font plus fines et ne considèrent pas uniquement le processus lui-même, mais aussi ce qui est à l’origine de ces dérapages, de façons à proposer des solutions de prévention et/ou de guérison.

Toutes pointent la gravité extrême du harcèlement moral en terme de santé pour les individus qu’en terme de productivité pour l’entreprise.

En France, le concept de harcèlement moral a émergé en 1998. Il a rencontré un succès médiatique spectaculaire, conduisant à la promulgation d’un loi un an et demi après.

C’est un processus complexe dont l’origine n’est pas liée à une unique cause, mais à différents facteurs psychologiques, sociologiques et mangériaux, qui interagissent et se renforcent les uns les autres.

S’il trouve sa source dans les modes d’organisation du travail, ses dérives sont renforcées par l’évolution des mentalités dans la société moderne, et le changement que cela implique au niveau des personnes.

Il n’et pas possible de comprendre le harcèlement moral sans prendre en compte la perspective éthique, ou morale, de cette agression. Car ce qui domine du côté des victimes, c’est le sentiment d’avoir été injustement maltraitées, humiliées, méprisées.

Une thérapie à base d’hypnose profonde permet de comprendre, et désactiver, les traumas du passé.

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Quand une personne se plaint d’être victime de harcèlement moral, elle se base sur un ressenti qui peut ne pas correspondre avec ce que pense son entourage.

Encore une difficulté pour elle !

De quoi parle-t-on ?

Pourrait-on parler d’agissements répétés ayant pour but de tourmenter, d’épuiser ou de frustrer une personne, ou bien encore de la provoquer, de l’effrayer, l’intimider ou l’embarrasser ?

Ou un enchaînement, sur une longue période, de propos et d’agissements hostiles, exprimés ou manifestés par une ou plusieurs personnes envers une autre ?

Ou encore, chercher à rabaisser l’autre en utilisant des moyens vindicatifs, cruels, malicieux ou humiliants ?

Le harcèlement se produit-il lorsque plusieurs personnes s’allient pour persécuter tel ou tel collègue par un harcèlement psychologique qui peut prendre les formes suivantes : faire constamment des remarques négatives, ou la critiquer sans arrêt, l’isoler en la laissant sans contact social, et médire ou diffuser de fausses informations sur elle ?

Ou la définition de Marie-France Hirigoyen :

« Le harcèlement moral au travail se définit comme toute conduite abusive (geste, parole, attitude…) qui porte atteinte, par sa répétition ou sa systémisation, à la dignité ou à l’intégrité psychique ou physique d’un salarié, mettant en péril son emploi, ou dégradant le climat du travail. »

Vous avez peut-être deviné que cela peut aussi s’appliquer dans une relation de couple…

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À l’écran il a incarné un des archétypes du mâle alpha : James Bond.

Une fois les lumières des plateaux éteintes, Roger Moore retrouvait une histoire personnelle complexe, faite de violences conjugales, physiques et verbales, dont il a été victime de la part de ses deux première femmes.

La patineuse Steyn Doorn le griffait au visage et au corps, jusqu’au sang, et le lardait d’inquiétantes cicatrices. Un jour, c’est une théière qu’elle lui a lancé au visage.

Sa deuxième épouse, Dorothy Squires, le provoquait et le dénigrait sans cesse. Elle, c’est avec sa guitare qu’elle l’a frappé.

Dans l’histoire que vous allez entendre, Magda fera elle aussi du mal à Benjamin. Mais il est amoureux, et se laisse enfermer dans leur histoire. Au fil du temps, la fille qu’il aime dresse méthodiquement les barreaux d’une emprise qui feront de leur relation une prison.

Pour écouter ce podcast, cliquez ici !

Pervers narcissique :

C’est une personne qui a une image dévalorisante d’elle-même, et qui se valorise en rabaissant les autres. Les hommes sont plus souvent touchés que les femmes par la perversion narcissique.

Cette personne se donne l’apparence d’un être supérieur aux autres, et ressent un besoin exacerbé de se faire admirer.

Elle manipule les proches de son entourage et ne ressent aucune culpabilité lorsqu’elle blesse les autres.

Le pervers narcissique peut être un conjoint(e), un(e) ami(e), un(e) collègue ou même uquelqu’une de sa famille, avec qui l’on entretient un lien étroit.

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« Séparation : les enfants d’abord », une immersion dans les bureaux des juges aux affaires familiales du tribunal de Créteil.

Si courante qu’elle en est devenue banale, la séparation des couples avec enfants n’en reste pas moins une source de turbulences qui, parfois, nécessite le recours à la justice et à la médiation pour maintenir un semblant de lien familial en dépit des conflits.

Le documentaire de Delphine Cinier, présenté dans l’émission « Le Monde en face », s’est focalisé sur des paroles d’enfants recueillies par les juges aux affaires familiales (JAF) du tribunal de Créteil (Val-de-Marne), le premier en France à avoir « sanctuarisé » cette parole grâce à la présence d’un avocat aux côtés des enfants.

La réalisatrice en a suivi cinq (deux fratries de jeunes ados et une petite fille de 3 ans et demi) pendant la période délicate qui a suivi la séparation de leurs parents.

Tous ont le droit d’être entendus par un juge, mais c’est ce dernier qui décide qui peut venir s’exprimer dans son bureau, d’après les éléments qui constituent le dossier.

« L’enfant n’est pas là pour nous dire la vérité », avertit une JAF, « il est là pour nous dire ce qu’il souhaite ».

Iris et Adrien ne souhaitent plus voir leur père. Ils ont écrit un courrier à la juge, qui pourtant choisira de ne pas les recevoir, car elle estime qu’ils sont manipulés par leur mère. Ninon et Louis ne veulent plus voir leur père non plus. Trop de violence, d’insultes. Ils sont reçus. Les mots durs, impensables de la part d’un père contre ses propres enfants, résonnent dans le bureau de la juge.

Les parents seront entendus, eux aussi, pour démêler ce qui relève de leur couple de ce qui relève de leurs enfants.

Plus délicat est le cas de la petite Lila, 3 ans et demi, dont la maman a été frappée par son ex-conjoint, qui a désormais interdiction de l’approcher. Celui-ci ne voit sa fille qu’en présence d’une médiatrice familiale, dans un lieu tiers. Là encore, la justice soupçonne la mère de manipuler l’enfant. Une enquêtrice sociale estime de son côté le père apte à s’occuper de Lila car, justifie-t-elle, « il a une nouvelle épouse et un autre enfant… ».

Filmée avec sobriété et délicatesse, cette immersion met en lumière le travail important, même s’il est imparfait, de ces professionnels qui œuvrent pour le maintien – « mais pas à n’importe quel prix » – des liens entre parents et enfants.

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FRANCE 5 – MARDI 25 FÉVRIER À 20 H 50

« Le Monde en face. Séparation : les enfants d’abord », réalisé par Delphine Cinier (Fr., 2019, 70 min). Suivi, à 22 heures, d’un débat animé par Marina Carrère d’Encausse.

-> Psychothérapie et/ou coaching : les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en télé-séances par Skype, WhatsApp ou Zoom (cliquez sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr » pour plus d’informations utiles. Et mailez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin)

By, Nina Teicholz

The EAT-Lancet Report published last week, with headlines globally, stated that to save both planetary and human health, the world’s population needed to cut back dramatically on red meat and other animal products. The prescription is very close to a vegan diet.

News Flash (updated Feb 4th and Feb 7th)

Questions were raised as to whether the EAT-Lancet report underwent external peer review. According to Rosemary Stanton, a well-known nutritionist and supporter of the report (though not an author), the EAT-Lancet authors (who are dubbed “Commissioners”) themselves did their own peer review.. Rosemary Stanton also acknowledged that some of the references are incorrect (see tweet by Kurt Lass, below). Watch this space as we try to resolve the important question about peer review. (This paragraph updated for accuracy and further details on 2/5/19)

EAT Lancet no peer review.png
EATLancet references wrong.png

The Lancet responds:

The Lancet responded in a tweet that the paper did undergo independent, external peer review. Thank you, Lancet, case closed.

Screen Shot 2019-02-07 at 9.37.58 AM.png

Report Based on Fundamentally Weak Science

This report is disturbing on a number of fronts. Most importantly, its diet lacks the backing of any rigorous science. Indeed, it does not cite a single clinical trial to support the idea that a vegan/vegetarian diet promotes good health or fights disease. Instead EAT-Lancet relies entirely on a type of science that is weak and demonstrably unreliable, called epidemiology. This kind of science has been shown to be accurate, when tested in rigorous clinical trials, only 0-20% of the time.[1][2] One wouldn’t bet on a football team with such poor odds, so why bet on the public health this way?

Even the most recent U.S. Dietary Guidelines Advisory Committee, which clearly favored a vegetarian diet and recommended it to the entire U.S. public, found, in their review of the scientific evidence, that the power of this diet to fight any nutrition-related disease was “limited”— the lowest rank given for available data.

In the same vein, there is no rigorous (clinical trial) data on humans to show that red meat causes any kind of disease. This data can been seen in a 2-pager that The Nutrition Coalition published last week, in tandem with the EAT-Lancet report.

A One-sided Commission and No Disclosure of Potential Conflicts of Interest

The EAT-Lancet commission was portrayed as the product of 37 scientists from around the world. However, in reality, the authors represented a very narrow range of opinions: 31 out of the 37 (>80%) had established published records as being in favor of vegetarian/vegan or anti-meat diets !

This include…

 

La suite ici.

Dans notre chemin, nous rencontrons des personnes prêtes à influencer de multiples façons notre vie.

Les personnes ayant cette capacité peuvent nous apporter énormément, sauf quand il s’agit de personnes toxiques comme les pervers narcissiques, les sociopathes et les psychopathes.

Ces personnes dites “toxiques” utilisent de nombreuses tactiques de diversion et de manipulation pour asseoir leur contrôle sur les autres.

Les pervers narcissiques, les sociopathes et les psychopathes s’engagent dans des comportements inadaptés dans leurs relations sociales.

Ils exploitent, rabaissent et blessent leurs partenaires, leurs familles et leurs amis. Plusieurs méthodes et tactiques sont utilisées par ces individus pour détourner les situations et manipuler leurs autres personnes.

Voici 10 tactiques de diversion que les personnes toxiques utilisent pour vous calmer et vous dégrader:

1 –  Le gaslighting

Le gaslighting est une tactique de manipulation qui peut être décrite par des petites affirmations trompeuses, comme : « Cela n’a pas eu lieu », « Vous l’avez certainement imaginé », et « Êtes-vous fou? « . Cette technique consiste à fausser la réalité des événements pour faire douter la victime de sa mémoire et de sa santé mentale.

Elle s’appuie sur la dissonance cognitive ou distorsion cognitive qui, en psychologie sociale, indique la simultanéité de pensées et de cognitions qui entraînent un inconfort mental en raison de leur caractère opposé. Souvent utiliser quand un membre du couple est toxique.

2 – La projection

La projection est un mécanisme de défense utilisé pour déplacer la responsabilité des manipulateurs qui refusent de reconnaître leurs défauts et d’assumer leurs actes.

Au lieu d’admettre leurs défauts, ils préféreraient que leurs autres personnes prennent la responsabilité de leurs comportements et se sentent humiliées et honteuses. C’est un moyen qui leur permet de se débarrasser de leur culpabilité et de leur honte inconsciente.

Par exemple, un menteur pathologique qui ne peut s’empêcher de mentir, pour éviter sa culpabilisation, vous accusera de mentir et de fausser la réalité. Une épouse avec un sentiment pathologique de dépendance et de jalousie pourra accuser son partenaire de trop s’accrocher à elle et de l’étouffer. Un collègue de travail incompétent dira que vous êtes inefficace pour justifier sa propre baisse de productivité.

3 – Les conversations absurdes

Il est impossible d’avoir une vraie conversation avec ces personnes toxiques.

Ils utilisent des mensonges et des arguments qui visent à tromper. Leur objectif est de vous discréditer, vous frustrer, vous désorienter jusqu’à ce que vous oubliez le problème initial. Ils vous feront sentir coupable d’être un être humain avec des pensées et des sentiments réels. À leurs yeux, vous êtes toujours la raison de tous les problèmes.

Il faut donc prendre conscience que ces personnes ne se disputent pas avec vous, mais elles se disputent avec elles-mêmes. Le problème ne vient pas de vous, alors n’essayez pas de les raisonner.

4 – Le discours généralisant

Plutôt que de prendre le temps de considérer et d’examiner attentivement différentes perspectives, ces personnes généralisent tous vos propos et arguments en faisant des discours généralisants qui ne reconnaissent pas les nuances.

Par exemple, si vous essayez d’exprimer votre insatisfaction sur un certain comportement, sa réaction sera de vous faire dire ce que vous n’avez pas dit, par exemple « Vous êtes une personne très sensible et qui n’est jamais satisfaite » ou  » Donc je suis une personne méchante, c’est ça que tu penses ?”.

5 –  La déformation de vos propres sentiments et pensées

Les pervers narcissiques, les sociopathes et les autres personnes toxiques essayent de représenter vos différentes opinions, vos émotions et vos expériences vécues de manière fausse ou absurde et de les traduire par des défauts de caractère et des preuves d’irrationalité.

Leur but est de vous faire passer pour une personne inutile et mauvaise, en vous accusant et en s’attaquant à vos émotions.

6 – Les menaces secrètes et manifestes

Ces personnes peuvent vous menacer sans cesse et vous priver d’avoir votre propre identité et votre propre vision. Ils essayeront de vous terrifier pour que vous soyez toujours en accord avec eux.

Ne vous laissez pas faire, posez vos limites et attachez-vous à vos idées et vos opinions.

7  – Les injures

Les narcissiques repoussent de manière préventive toutes les personnes qui peuvent avoir un effet ou une menace sur leur supériorité. Dans leur monde, les narcissiques sont les seules personnes à avoir raison, et tout autre avis entraîne une rage narcissique.

Cette dernière les pousse à vous insulter et à vous rabaisser pour pouvoir vous manipuler facilement.

8 – Le conditionnement destructeur

Les personnes toxiques peuvent vous conditionner pour que vous associez mentalement tous vos points forts, vos talents, vos beaux souvenirs et tous les moments heureux de votre vie à de la frustration, de la souffrance et du malheur.

Ils le font en attaquant, de manière « innocente », vos qualités, vos traits de caractère ou des choses que vous idéalisez, qui vous définissent ou que vous prenez pour modèle. Ils peuvent même vous isoler de vos amis et votre famille et vous rendre dépendant d’eux.

Votre bonheur représente tout ce qu’ils n’ont pas pu avoir et ils chercheront toujours à détruire votre vie, par jalousie ou bien pour mieux vous manipuler.

9 – Les campagnes de diffamation et d’harcèlement

Lorsque ces personnes toxiques n’arrivent pas à contrôler la façon dont vous vous voyez, ils commencent à contrôler la façon dont les autres vous voient. Ils jouent le rôle de la victime pendant que vous êtes jugé toxique.

Ils essayeront tout pour vous éloigner et vous détacher de votre entourage. A l’image d’un pervers narcissique qui parait le gendre idéal pour ses beaux-parents…

10 – La triangulation

La triangulation est le fait de faire intervenir l’opinion, la perspective ou la menace d’une tierce personne.

Cette tactique est le plus souvent utilisée pour valider le point de vue abusif de la personne toxique tout en invalidant en même temps la réaction légitime de la victime face à l’abus.  Les pervers narcissiques aiment trianguler leur partenaire par l’intervention d’autres personnes, comme : des collègues, des ex-partenaires, des amis et même des membres de la famille afin de provoquer la jalousie et l’incertitude en vous.

Ils utilisent également les opinions des autres pour valider leur point de vue.

Sources: santeplusmag.com, le quotidien de mes client(e)s marié(e)s/pacsé(e)s/en couple avec une personne toxique

Comment parler en public, capter son attention, susciter son intérêt ?

Qui ne s’est pas un jour trouvé en difficulté devant un public ?

Comment parler de soi, de son activité, de son produit, de ses résultats, tout en restant naturel, comment parler à des publics différents, à un public très nombreux ?

Ce qui caractérise le monde professionnel et associatif, aujourd’hui, c’est la capacité à bien communiquer dans toutes sortes de situations et devant toutes sortes de personnes.

Ce nouveau livre « Comment parler en public, être écouté et convaincre« , de Pascal Haumont vous aidera à:

  • découvrir ses propres forces et faiblesses en terme d’expression verbale
  • connaître ses réactions instinctives en prise de parole spontanée, s’entraîner à l’improvisation
  • identifier tous les éléments générateurs de stress lors d’une intervention orale
  • prendre conscience de l’image que l’on véhicule face à un public
  • gérer son stress, vaincre son trac, pour être réellement présent afin de générer une ambiance positive
  • déterminer les enjeux de l’intervention orale
  • définir son objectif par rapport à l’intervention et le tenir
  • l’intentionnalité, ou « que voulez-vous faire passer ? »
  • être bien préparé (plan, supports, matériel, premières minutes)
  • Comment parler en public, être écouté et convaincreaccueillir l’auditoire avec calme et empathie
  • déterminer le cadre de l’intervention et gérer le temps
  • savoir introduire pour accrocher son public, développer pour le convaincre, conclure pour le faire réagir
  • utiliser des supports visuels adaptés
  • trouver les mots justes et le langage approprié au public et au contexte
  • aimer ce dont on parle, être soi-même convaincu, trouver du plaisir à parler en public
  • impliquer l’auditoire en lui posant des questions
  • intégrer l’humour, les anecdotes, des exemples et des métaphores
  • s’imposer comme orateur sans aucune agressivité
  • savoir s’affirmer devant un auditoire qui oscille entre bienveillance et opposition
  • se préparer aux difficultés (critique, objection, déstabilisation, manipulation)
  • apprendre à parler en public séparément, d’une même voix, sur un même sujet (concertation entre 2 conférenciers)
  • apprendre à parler en public simultanément avec d’autres, de façon complémentaire, sur un même sujet, lors d’une conférence.

Vous pensez que nous ne sommes pas tous égaux quand nous prenons la parole et que briller devant un public est réservé à quelques grands orateurs ?

Détrompez-vous, chacun peut parvenir à parler en public, avec clarté, aisance et conviction !

À l’appui d’exercices simples, d’exemples concrets et de témoignages évocateurs, l’auteur, Pascal Haumont, vous transmet des conseils pratiques pour vous aider à dépasser vos inhibitions, développer l’attitude et la confiance qui vous permettront enfin d’oser prendre la parole en public.

…Et pour soutenir votre discours, ajoutez du visuel à vos présentations avec des outils de type PowerPoint…

À l’issue de chacune de vos interventions, vous pourrez alors vous dire :

« J’étais préparé,

ils m’ont regardé,

ils m’ont écouté,

et je les ai convaincus ! »

 

 

Source: « Comment parler en public, être écouté et convaincre« , de Pascal Haumont, éditions Gereso

Nouvelle interview : Irène Frachon, la pneumologue qui a révélé l’affaire du Mediator, estime qu’il y a un gros décallage entre l’annonce d’Olivier Laureau et ce que l’on voit sur le terrain.

LE FIGARO – Quatre semaines après la mort de Jacques Servier, à quelques mois du procès parisien et la veille d’une audience à Nanterre devant déterminer la date de la tenue du procès là-bas, le nouveau patron du laboratoire, Olivier Laureau redit ce que martèle le laboratoire depuis le début: nous indemniserons toutes les victimes du Mediator. Pourquoi?

Irène FRACHON – Le nouveau président des laboratoires Servier reprend mot pour mot les déclarations de Jacques Servier: oui, nous indemniserons tout le monde. C’est un effet d’annonce mais avec derrière le même enfumage que d’habitude, autrement dit, des paroles sans actes. Car aujourd’hui, dans le cadre des procédures civiles, Servier a commencé à indemniser mais le couteau sous la gorge, une fois qu’il a épuisé tous les recours et toutes les contestations possibles. Seules les victimes qui ont tenu le coup, physiquement et moralement face à cet adversaire qui conteste pied à pied toutes les conclusions d’experts. Les victimes en sortent traumatisées.

Je vois chaque jour des dossiers de malades désemparés par les contestations incessantes de Servier qui nie les liens de cause à effet entre la prise du médicament et la pathologie. Au civil, c’est l’enfer pour les victimes. Non content d’avoir empoisonné des patients pendant des années, Servier torture les victimes au civil. Il est édifiant d’entendre un tel déni de la réalité du terrain.

LE FIGARO – Quid de ce qui se passe à l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (Oniam) pour les indemnisations de victimes?

Irène FRACHON – Justement, l’annonce d’Olivier Laureau tombe bien car il y a d’excellentes nouvelles pour les victimes du Mediator avec l’Oniam. En 2012 et 2013, le travail de son collège d’experts était déplorable avec un taux d’indemnisation dérisoire. La ministre de la Santé a entendu les critiques et a assuré, fin 2012, qu’il ne devait pas y avoir de «victimes de l’indemnisation». Elle a tenu parole. Le collège a été modifié dans sa composition et on a observé un changement majeur de la qualité des avis rendus avec une explosion du pourcentage de dossiers retenus pour l’indemnisation. La déclaration du nouveau patron de Servier doit donc être prise au mot: les victimes doivent reprendre confiance dans le processus de l’Oniam. Il subsiste néanmoins un problème: le manque de moyens donné par la ministre de la Santé pour traiter dans les délais les dossiers. Il faudrait trois CDD de 18 mois pour accélérer le processus.

LE FIGARO – On peut choisir l’Oniam quand bien même on a engagé une procédure civile d’indemnisation…

Irène FRACHON – Oui, quand les procédures au civil sont embourbées. Il faut savoir que l’on peut faire une demande à l’Oniam en même temps qu’une procédure civile est en cours. Sans oublier que saisir l’Oniam est gratuit alors que le civil coûte très cher. En résumé, les victimes n’ont rien à perdre à aller à l’Oniam.

 

Sources: lefigaro.fr, Oniam

Le reconnaître au type de relation qu’il entretient avec les autres.

Le manipulateur dévalorise et rabaisse. Quoi que l’on fasse, ce n’est jamais assez bien.

Il connaît ou fait mieux que les autres ; il ne fait aucun compliment, mais trouve toujours le petit détail qui lui permet de dire que ce n’est pas parfait.

Le manipulateur détruit souvent de manière insidieuse et ne peut s’empêcher de critiquer. Il aimerait tout contrôler, mais comme il ne peut pas y arriver, il montre sa puissance en pointant la faiblesse ou les erreurs des autres.

Si l’on est fier de ce que l’on a accompli, il trouvera un prétexte pour nous rabaisser et nous dévaloriser.

Lorsqu’un parent adopte ce type de comportement avec son enfant (ou un chef avec son employé), il détruit, et pour longtemps, le capital confiance de sa victime.

pervers-narcissique-manipulateurVoici quelques exemples :

– Il a suffi de quelques mois à Jeanne, une secrétaire confirmée pour perdre confiance en elle à force d’être critiquée et rabaissée par un chef brouillon. Qui se contredisait sans vergogne, pour mieux lui reprocher les erreurs qu’il commettait lui-même.

– Hélène ne parle jamais la première. Elle attend que ses collègues fassent des propositions, pour ensuite critiquer ce qui est proposé. Elle relève la moindre faute ou le plus petit dysfonctionnement, mais elle le fait avec tellement de justesse que tout le monde pense qu’elle est utile au groupe. Avec le temps, ses collègues finissent par douter d’eux-mêmes et de leurs compétences sans se rendre compte qu’ils sont victimes d’une manipulation.

Voici comment une mère « encourage » son fils, de retour de sa première leçon de clarinette : « Tu te donnes bien du mal, ce n’est pas facile, mais c’était mieux hier ». Puis, s’adressant à son mari, elle ajoute : « Je suis sûre qu’il va y arriver, il fait beaucoup d’efforts, mais c’était mieux hier… ». Écoeuré d’être systématiquement critiqué pour ses fausses notes et de ne jamais recevoir de compliments pour les progrès réalisés, il décidera rapidement d’arrêter la musique.

Le manipulateur ne s’intéresse pas aux autres. Il ne ressent rien, ou ne montre aucune émotion. Par contre, ce qui lui arrive est d’une gravité, d’une importance extrême, et mérite l’attention de tous.

Lorsque le manipulateur, dans son cadre familial est préoccupé par un problème quelconque, toute sa famille doit se mettre au diapason de son état émotionnel. Femme, mari ou enfants savent qu’il faut devenir transparent pour ne pas attirer sa colère.

Mais chacun sait aussi que le manipulateur finit toujours par trouver un prétexte pour décharger sa fureur. C’est un écraseur d’ego qui sait tout mieux que tout le monde. Il a toujours une aventure, une histoire ou une anecdote plus impressionnante que la vôtre, pour vous amener à penser que vous êtes petit, minable ou sans intérêt.

Contacts utiles :

Le 3919 est un numéro destiné aux victimes et aux témoins de violences conjugales.
Appel gratuit du lundi au vendredi de 8h à 22h, les jours fériés de 10h à 20h.

stop-violences-femmes.gouv.fr

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Bénéficiez d’une information (entretien de 30 minutes gratuit et sans engagement)

pour un soutien psychologique, une psychothérapie ou du coaching en cliquant ici

Qui est l’auteur ?

Philippe Lebreton est docteur ès sciences éonomiques, master en PNL, praticien certifié MBTI et formé à l’analyse systémique. Formateur, consultant et coach chez CSP Formation, il intervient auprès des managers et dirigeants en management, leadership et communication d’influence. Il a déjà écrit « L’efficacité sans stress » et « L’Art de convaincre ».

A la lecture du nouveau livre de Philippe Lebreton (des Editions Eyrolles), vous découvrirez que vous avez déjà des compétences pour convaincre.

Que vous gagneriez à cultiver votre capacité d’influence et votre force de persuasion, pour mener à bien tout ce qui vous tient à coeur. Dans le respect des valeurs des personnes qui vous entourent, bien entendu !

50 exercices pour développer son influence, de Philippe Lebreton, éditions EyrollesCela dit, dans toute forme de communication il y a influence.

Nous sommes tous influençables. Et, revers de la médaille, nous sommes tous influenceurs.

Vous-même, si vous voulez obtenir un service d’un ami, en sachant dès le départ que cela ne sera pas évident, qu’allez-vous faire ?

Consciemment ou non, vous ferez preuve d’influence…

Parfois cela marche, et parfois cela ne marche pas.

A la lecture de ce petit livre fort instructif, vous pourrez mettre des mots sur des situations et des attitudes vécues. Vous comprendrez mieux les mécanismes d’une certaine manipulation. Vous saurez mieux motiver les autres vers un objectif commun.

5 chapitres, avec 45 exercices interactifs :

  1. Qu’est-ce l’influence ? Comment prendre du recul sur ses mécanismes
  2. Comment poser les bases relationnelles afin de vous mettre en phase avec votre entourage
  3. Connaître un large éventail de techniques pour influencer votre cible, toujours avec intégrité
  4. Quelles sont les étapes progressives de l’influence
  5. Enfin, comment vous perfectionner, en mixant différentes tecniques selon des situations données.

Imaginez comment vous pourriez interagir avec un patron exigeant, un vendeur indélicat, un voisin irascible…

Alors, pensez-vous que ce livre est fait pour vous ?

 

Référence: « 50 exercices pour développer son influence« , de Philippe Lebreton, éditions Eyrolles

 

 

Ces traits sont :

– le narcissisme (sens grandiose de sa propre valeur, être très centré sur soi, sentiment de supériorité, rechercher attention et admiration, penser que les choses sont dues)

– le machiavélisme (manipulation, cynisme, tromperie, immoral et stratégique pour arriver à ses fins)

– la psychopathie (absence de remords et de culpabilité, insensibilité, instabilité, penchant antisocial, impulsivité, irresponsabilité).

Ils ont été surnommés la triade noire de la personnalité par les psychologues Delroy L. Paulhus et Kevin M. Williams en 2002

5 bonnes questions:

  1. La personne  promet-elle  la  résolution  de  tous  les  problèmes rencontrés grâce à une méthode « novatrice et révolutionnaire » ?
  2. La personne qualifie-t-elle mon enfant de «spécial» ou d’«exceptionnel» ?
  3. La personne critique-t-elle ce qu’elle nomme la «médecine conventionnelle» et le recours aux médicaments ?
  4. La personne critique-t-elle ma famille,  mes amis ou encore les services de l’État en charge de la santé ?
  5. La personne me propose-t-elle à moi, ou à d’autres membres de la famille, de suivre également une thérapie avec elle ?

5 bonnes réactions:

  1. Se méfier des solutions «miracle», souvent coûteuses, et/ou impliquant des séances nombreuses et rapprochées.
  2. Être attentif à tout changement important de comportement de l’enfant ou d’un proche.
  3. Ne pas s’isoler, ni isoler l’enfant dans une relation exclusive avec le «praticien ».
  4. En parler autour de soi et auprès des pédiatres, médecins, et autres professionnels de santé.
  5. En cas de doute, ne pas attendre qu’il soit trop tard pour interroger la Miviludes (derives-sectes.gouv.fr ou miviludes@pm.gouv.fr)

Comment détecter une dérive sectaire ?

Des critères élaborés sur la base du travail accompli par plusieurs commissions d’enquêtes parlementaires ont permis d’établir un faisceau d’indices facilitant la caractérisation d’un risque de dérive sectaire :

  • la déstabilisation mentale
  • le caractère exorbitant des exigences financières
  • la rupture avec l’environnement d’origine
  • l’existence d’atteintes à l’intégrité physique
  • l’embrigadement des enfants
  • le discours antisocial
  • les troubles à l’ordre public
  • l’importance des démêlés judiciaires
  • l’éventuel détournement des circuits économiques traditionnels
  • les tentatives d’infiltration des pouvoirs publics.

Un seul critère ne suffit pas pour établir l’existence d’une dérive sectaire et tous les critères n’ont pas la même valeur. Le premier critère (destabilisation mentale) est toutefois toujours présent dans les cas de dérives sectaires.

Sur la base des signalements reçus depuis une dizaine d’année, la MIVILUDES a précisé le contenu de ces critères de manière à déterminer des signaux d’alerte. Ces signaux d’alerte sont indiqués ci-après à titre d’information. Ils n’ont aucun caractère impératif ou exhaustif et découlent de l’analyse des situations de dérives sectaires transmises à la MIVILUDES. Ils peuvent toutefois aider des victimes, des proches de victimes, des acteurs institutionnels, professionnels ou associatifs, à déceler un risque de dérive sectaire. Plusieurs d’entre eux sont nécessaires pour caractériser une telle situation.

Atteinte aux personnes

Comment déceler l’influence sectaire dans le comportement d’un proche :

  • adoption d’un langage propre au groupe
  • modification des habitudes alimentaires ou vestimentaires
  • refus de soins ou arrêt des traitements médicaux régulièrement prescrits
  • situation de rupture avec la famille ou le milieu social et professionnel
  • engagement exclusif pour le groupe
  • soumission absolue, dévouement total aux dirigeants
  • perte d’esprit critique
  • réponse stéréotypée à toutes les interrogations existentielles.
  • embrigadement des enfants
  • existence d’atteintes à l’intégrité physique ou psychique
  • manque de sommeil

Atteintes aux biens

Comment déceler l’influence sectaire en matière économique et financière ?

  • acceptation d’exigences financières de plus en plus fortes et durables
  • engagement dans un processus d’endettement
  • legs ou donations à des personnes physiques ou morales en lien avec le groupe auquel appartient la victime
  • obligation d’acheter ou de vendre certains matériels ou services comme condition incontournable d’appartenance au groupe
  • participation à des conférences, stages, séminaires, retraites, en France ou à l’étranger
  • existence d’escroqueries ou de publicité mensongère sur les qualités substantielles d’un produit ou d’un service

Atteintes à la vie sociale et démocratique

Comment déceler l’influence sectaire dans le domaine de la vie sociale et démocratique ?

  • discours antisocial ou anti démocratique
  • critique des institutions de la République
  • troubles à l’ordre public
  • perturbation du fonctionnement normal des services publics (par exemple intrusion non autorisée dans les hôpitaux pour empêcher certains actes médicaux)
  • existence de condamnations judiciaires ou ordinales
  • détournement des circuits économiques traditionnels
  • tentatives d’infiltration ou de déstabilisation des pouvoirs publics
  • publication de documents ayant l’apparence d’un caractère officiel dénigrant certains services publics
  • détournement de marques, dessins, titres et modèles officiels pour amener une confusion dans l’esprit du public