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30 janvier 2019
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31 mars 2017
La conférence de cardiologie à Davos en Suisse le 12 février 2017, en cliquant ici.
Il y aura probablement un avant et un après cette date.
Durant les 22 minutes de l’intervention du Docteur Salim Yusuf, président de la World Heart Federation, on assiste véritablement à un changement de paradigme !
25 janvier 2015
«J’avais tellement mangé de desserts que mon taux de cholestérol était très élevé.
J’ai consulté une nutritionniste, croyant que mon problème n’était que physique, et là, jai réalisé que je n’avais pas pris un vrai repas depuis des années.
Je ne savais plus manger normalement. Je ne me sentais pas bien, je m’absentais du travail, j’avais de plus en plus d’idées noires, je ne vivais plus», explique Suzanne.
Chose certaine, entre les gavages, les régimes et les purges, la santé tant psychologique (sautes d’humeur, anxiété, contrôle des pulsions, concentration et sommeil) que physique en prend un coup !
Le système digestif se dérègle sous l’effet du jeûne, des grandes quantités de nourriture absorbées, des laxatifs et des vomissements à répétition.
L’usage fréquent de laxatifs accélère le processus digestif et peut causer des ulcères, rendre l’intestin paresseux et entraîner de la constipation et des ballonnements.
À l’extrême, outremanger peut provoquer la rupture de l’estomac.
À cause de l’acidité du contenu de l’estomac, les vomissements récurrents peuvent perforer la paroi de l’oesophage, abîmer les gencives, carier les dents et causer des douleurs musculaires persistantes, des évanouissements fréquents et la perte de cheveux.
À la longue, les vomissements affectent les os, entraînant de l’ostéoporose, et le coeur, provoquant des difficultés cardiaques.
Sources: coupdepouce.com, mon expérience professionnelle
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13 novembre 2014
Après un infarctus, elles vont pourtant moins souvent que les hommes en rééducation, où l’on apprend à gérer les situations stressantes.
Depuis une dizaine d’années, plusieurs études ont clairement démontré l’action négative du stress sur les maladies cardiovasculaires. Il serait même l’un des principaux facteurs de risque pour les candidats à la crise cardiaque, juste derrière le tabac et le cholestérol.
Mais nous ne réagissons pas tous de la même manière face aux agressions.
Et l’impact du stress sur le système cardiovasculaire pourrait même varier en fonction du sexe.
«Nous devons être particulièrement vigilants et prendre en compte les risques liés au stress chez la femme. D’autant qu’après un infarctus, les femmes vont deux fois moins souvent que les hommes en rééducation, alors que c’est là qu’on va leur apprendre à gérer leur stress», souligne le professeur Claire Mounier-Vehier, vice-présidente de la Fédération française de cardiologie, qui a rendu public, le 17 octobre, son livre blanc pour un plan cœur, dans lequel un chapitre entier est consacré aux femmes, «ces grandes oubliées des maladies cardiovasculaires».
Une étude publiée dans le Journal of American College of Cardiology renforce cette nécessité.
Les chercheurs ont constaté que les femmes exposées au stress mental sont plus susceptibles de souffrir d’une ischémie myocardique, c’est-à-dire un manque d’oxygène du tissu musculaire. Elles ont également une augmentation plus importante de l’agrégation plaquettaire et donc plus de risque de développer des caillots sanguins. Enfin, le stress génère plus d’émotions négatives chez les femmes.
Le risque serait donc plus important pour elles que pour les hommes, chez qui le stress provoque une élévation de la tension artérielle et une modification du rythme cardiaque.
«Les réponses physiologiques différentes au stress mental chez les hommes et les femmes ayant une maladie coronaire pourraient expliquer certaines différences liées au sexe qui ont été constatées dans cette maladie», explique le professeur François Carre, cardiologue et professeur de physiologie cardiovasculaire à Rennes. Des études complémentaires sont cependant nécessaires pour analyser les effets du stress sur le long terme.
Néanmoins, le professeur Zainab Samad estime que les médecins devraient prendre en compte ces différences entre les hommes et les femmes dans la prise en charge des malades coronariens. Car, comme le rappelle la Fédération française de cardiologie, les femmes bénéficient de moins d’angiographies, de moins d’électrocardiogrammes d’effort, de moins d’angioplasties, de moins de pontages…
Avec, pour conséquence, une mortalité plus élevée de 7 % par rapport aux hommes. De quoi stresser les femmes !
Sources : sante.lefigaro.fr, Fédération française de cardiologie
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28 octobre 2014
Manger des fruits et légumes réduirait le risque d’AVC de 32%
La Journée européenne de l’AVC est l’occasion d’aborder les facteurs limitant le risque d’attaque cérébrale. Comme la consommation de fruits et légumes.
La 11ème Journée européenne contre l’accident vasculaire cérébral (AVC) est l’occasion de revenir sur les facteurs limitant les risques d’attaque cérébral. L’un des moins connus reste la consommation de fruits et légumes.
L’importance des fruits pour réduire le risque de diabète ou d’anévrisme a déjà été démontrée. Une nouvelle étude, publiée dans la revue Stroke, confirme que les fruits et les légumes réduisent également les risques d’AVC.
Réalisée par des chercheurs chinois, cette méta-analyse analyse les résultats de 20 études ayant testé à l’échelle mondiale 760 629 participants parmi lesquels 16 981 ont subi une attaque. Résultat : le risque d’AVC est réduit de 11 % si une personne consomme 200 grammes de légumes par jour et de 32 % si la personne consomme, en plus des légumes, 200 grammes de fruits.
Ces résultats valent quel que soit l’âge, le sexe ou le type d’AVC.
Les chercheurs ont pris en compte les facteurs de confusion possibles comme l’alcool, le tabagisme, la pression artérielle, l’activité physique et le cholestérol. « C’est une méta-analyse intéressante résumant les résultats de 20 études sur le sujet », s’accordent à dire plusieurs chercheurs français spécialistes de l’AVC.
Selon leurs résultats, les effets bénéfiques de ces aliments sont dûs à plusieurs facteurs : augmenter sa consommation de fruits et de légumes peut diminuer la pression artérielle, améliorer la microcirculation.
La consommation réduit également d’autres facteurs de risques, comme l’indice de masse corporelle, le taux de cholestérol, l’inflammation et le stress oxydatif (ce dernier étant à la base de nombreuses maladies chroniques).
Les agrumes, les pommes, les pêches, et les “légumes-feuilles” (comme les salades, choux, épinards…) sont particulièrement efficaces pour réduire les risques de développer des maladies cardiovasculaires.
(selon l’association France AVC, chaque année, en France, environ 130 000 nouvelles personnes sont victimes d’un AVC. 33 000 en meurent durant le 1er mois. L’AVC est la 1ère cause de handicap acquis de l’adulte et la 2ème cause de démence après la maladie d’Alzheimer).
Et vous, que faites-vous pour vous protéger ?
Sources : sciencesetavenir.fr/sante, association France AVC
20 août 2014
C’est notamment en diminuant le ratio oméga-3/oméga-6 que les statines augmentent le risque de cancer du sein.
Et c’est justement parce qu’elle augmente ce ratio que la diète méditerranéenne protège de cette maladie.
Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme.
Sa survenue est influencée par deux types de facteurs de risque, ceux que l’on ne peut pas modifier (âge, antécédents familiaux, génétique) et ceux sur lesquels on peut intervenir (mode de vie, alimentation).
Ce nouvel article paru dans BMC Medicine (1) rapporte l’analyse de chercheurs français (Michel de Lorgeril et Patricia Salen) sur deux facteurs qui influencent le risque de cancer du sein : le régime méditerranéen qui a un rôle protecteur et les statines, associées à un risque accru de la maladie.
Le régime méditérannéen et les statines représentant habituellement deux stratégies (très différentes) de prévention des maladies cardiovasculaires.
Ce que disent les études
Certaines études rapportent le rôle protecteur des acides gras oméga-3 vis-à-vis du cancer du sein alors que les oméga-6 seraient associés à un risque accru de cancer en général.
Augmenter le ratio oméga 3/oméga-6 pourrait donc être intéressant pour diminuer le risque de cancer du sein.
Les flavonoïdes, qui appartiennent à la famille des polyphénols, sont également associés à une diminution du risque de cancer du sein. Or, les aliments végétaux bio et les graisses animales d’origine bio (notamment produits laitiers) contiennent respectivement plus de polyphénols et un rapport oméga-3/oméga-6 plus élevé que les aliments conventionnels. Les femmes qui souhaitent diminuer leur risque de cancer du sein devraient donc manger bio mais également éviter les contaminants environnementaux, dont les perturbateurs endocriniens, qui sont associés à un risque accru d’obésité, de résistance à l’insuline et de diabète.
Il faut noter cependant que certaines études n’ont pas trouvé d’avantage à manger bio pour diminuer le risque de cancer chez les femmes.
Statines et cancer du sein
Dans un certain nombre d’études, les traitements médicamenteux par statines sont associés à un risque accru de cancer du sein. Dernièrement, une étude (2) menée sur des femmes âgées de 55 à 74 ans a montré que l’utilisation de statines pendant une période de 10 ans, multiplie par 2 en moyenne le risque de cancer du sein.
L’effet des statines sur le risque de cancer du sein aurait des explications biologiques : d’abord les statines diminuent le ratio oméga-3/oméga-6, ensuite elles diminuent le cholestérol. Or, un ratio élevé entre oméga-3/oméga-6 est associé à un risque plus faible de cancer du sein et de la même façon un cholestérol bas a été souvent (mais pas toujours) associé à un taux de cancer plus élevé.
De plus, les statines sont toxiques pour les mitochondries et le dysfonctionnement mitochondrial est impliqué dans le développement des tumeurs et la progression du cancer.
Il existe également des preuves convergentes pour soutenir l’hypothèse que les statines augmentent la résistance à l’insuline et l’apparition de diabète. Or le diabète augmente le risque de cancer du sein.
Enfin les statines auraient un effet sur l’immunité, ce qui pourrait entraver les défenses anti-tumorales et augmenter le risque de cancer.
Diète méditerranéenne et cancer du sein
Pour réduire le risque de cancer du sein, le fait de diminuer celui d’une résistance à l’insuline, d’un syndrome métabolique et d’un diabète peut s’avérer bénéfique. Augmenter le ratio oméga-3/oméga-6 aussi.
Or, la diète méditerranéenne présente des caractéristiques qui sont de véritables atouts santé : consommation élevée de fibres, de flavonoïdes, ratio élevé d’oméga-3/oméga-6 et aliments à faible index glycémique.
Ainsi, la diète méditerranéenne permet de diminuer le risque de diabète et de syndrome métabolique et, logiquement, celui de cancer du sein. Le seul bémol est la consommation d’alcool, modérée dans la diète méditerranéenne mais associée à un risque accru de cancer du sein.
Enfin, ces habitudes alimentaires doivent être associées à l’exercice physique.
Sources :
(1) de Lorgeril M1, Salen P. Do statins increase and Mediterranean diet decrease the risk of breast cancer? BMC Med. 2014 Jun 5;12:94. doi: 10.1186/1741-7015-12-94.
(2) McDougall JA1, Malone KE, Daling JR, Cushing-Haugen KL, Porter PL, Li CI. Long-term statin use and risk of ductal and lobular breast cancer among women 55 to 74 years of age. Cancer Epidemiol Biomarkers Prev. 2013 Sep;22(9):1529-37. doi: 10.1158/1055-9965.EPI-13-0414. Epub 2013 Jul 5.
lanutrition.fr
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14 avril 2014
En Occident, et plus particulièrement France, la pression médiatique et médicale a réduit le jeûne à un quasi exercice physique dévolu aux hurluberlus du new age. Et la menace des accusations de sectarisme refroidit bien des initiatives.
En Allemagne, cependant, ainsi qu’en Suisse, plusieurs lieux de jeûne en milieu médicalisé fonctionnent en permanence. C’est le cas de la clinique Buchinger à Überlingen qui a développé sa propre méthode, à base d’eau, tisanes, jus de fruits, bouillons de légumes, tandis que d’autres pratiquent le jeûne hydrique (eau uniquement) [2].
Le réalisateur du reportage d’ARTE y a rencontré des praticiens convaincus et des « malades » en pleine santé, dans les domaines les plus divers.
Pour l’hypertension, les résultats sont visibles au bout de quelques jours : triglycérides et cholestérol se normalisent, et la tension se restreint à des normes correctes, ce qui permet d’arrêter les prises de bétabloquants.
Pour les maladies d’accumulation comme la goutte, il en est de même, et les résultats sont généralement acquis, au prix d’une hygiène de vie très bien acceptée.
Dans le cas du diabète de type 2 (baisse de l’efficacité de l’insuline), la mise en route d’un jeûne fait immédiatement baisser le taux de glucose du sang, ce qui met au repos le pancréas, et permet aux cellules de retrouver une sensibilité normale à l’insuline. Là encore, les médicaments peuvent le plus souvent être mis de côté, avec des principes alimentaires plus naturels.
Concernant les « malades de l’humeur », les résultats en Allemagne confirment les études soviétiques. Les malades retrouvent un esprit positif, avec les changements hormonaux correspondant : hausse du cortisol au petit matin, de la dopamine dans la journée, et de la sérotonine le soir, baisse de l’insuline et des hormones thyroïdiennes. L’efficacité à long terme dépendra en revanche des causes initiales de la dépression.
Liste des cliniques en Allemagne, Espagne et Russie où se pratique le jeûne en milei médicalisé :
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29 mai 2013
Blocage hépatique :
le rôle du foie est de purifier les cellules et d’aider à la digestion. On ne peut pas vivre sans foie. Le jeûne et les pilules à base de acetominophe (analgésiques vendus sans ordonnance) augmentent le risque d’insuffisance et de blocage hépatique. La perte du cycle menstruel, la déshydratation (les femmes risquent une trop grande concentration de fer dans le sang) et une insuffisance cardiaque chronique peuvent mener à l’insuffisance et au blocage hépatique.
Pouls irrégulier ou ralenti, arythmies, angines de poitrine, attaques cardiaques :
Il y a de nombreux facteurs associés avec les comportements de troubles alimentaires qui peuvent mener à des alertes ou à des attaques cardiaques. Un arrêt cardiaque soudain peut mener à des dommages irréversibles au cœur… ou à une mort instantanée. Des déséquilibre des électrolytes (spécialement la carence en potassium), la déshydratation, la malnutrition, la tension basse, l’hypotension orthostatique extrême, le pouls anormalement lent, les déséquilibres des électrolytes, des déséquilibres hormonaux : tous posent de sérieux problèmes au cœur. La tension trop haute, l’accumulation de graisse autour du cœur, un haut taux de cholestérol, le manque d’exercice dû au manque de mobilité, le diabète et les déséquilibres hormonaux peuvent aussi être de grands facteurs de risque pour le cœur.
Infertilité, problèmes durant la grossesse :
Causée par la perte du cycle menstruel et les déséquilibres hormonaux. La malnutrition et les carences en vitamines peuvent aussi mettre en danger la possibilité de mener une grossesse à terme, et participent aussi à l’augmentation des risques de mettre au monde un enfant malformé. Grossesse à haut risque, fausse couche, enfant mort-né et enfants nés avec des maladies chroniques, mineures ou sévères (tous ces risques sont dus à la déshydratation, et les carences en vitamines et hormonales).
Dépression :
Humeur changeante et dépression peuvent être causés par des facteurs physiologiques comme le déséquilibre des électrolytes, des carences en vitamines et hormonales, la malnutrition et la déshydratation. Vivre avec les comportements de TCA peut mener à la dépression. Elle peut aussi ramener la victime dans les cycle du TCA (ou peut avoir été initialement le problèmes qui a causé le TCA). Stress au sein de la famille, le travail ou le relations peuvent tous en être les causes. Il y a aussi un pourcentage de personnes nées avec une prédisposition à la dépression, basée sur une histoire familiale. Peut mener au suicide.
Température corporelle basse – causée par la perte de la couche isolante de graisse et par la basse tension.
Crampes, ballonnements, constipation, diarrhée, incontinence – activité intestinale augmentée ou diminuée.
Difficultés digestives :
Une carence en enzymes digestives mène le corps à devenir incapable de digérer et d’absorber les nutriments. Ceci peut mener à des problèmes de mauvaise absorption, de malnutrition et de déséquilibre des électrolytes.
Faiblesse et Fatigue :
Causées par des habitudes alimentaires anarchiques, des déséquilibres des électrolytes, des carences en vitamines et en minéraux, la dépression, la malnutrition, des problèmes cardiaques
Convulsions :
Le risque accru de convulsion chez les anorexiques et les boulimiques est lié à la déshydratation. Il est aussi possible que des lésions cérébrales causées par une malnutrition de long terme et un manque d’oxygénation du cerveau puissent jouer un rôle.
1 avril 2013
Pour commencer, arrêtez de prêter des sentiments à l’autre, et de vous dire que cette situation lui convient car cela m’étonnerait que cela soit le cas…
Il dort beaucoup, il est fatigué ?
Est-ce qu’il ne serait pas déprimé ou est-ce qu’il n’aurait pas un problème de santé ?
Dans un premier temps, lui demander s’il ne serait pas déprimé, anémié ou s’il n’aurait pas un problème de cholestérol, par exemple.
L’idée c’est surtout d’engager le dialogue et de ne pas attaquer directement par des demandes d’ordre psychologique, car les hommes n’aiment pas ça, vous avez remarqué ?
Ensuite, et c’est le plus important selon moi, c’est de ne pas parler de vos frustrations.
Plutôt que de dire « je suis frustrée et tu ne fais pas beaucoup d’efforts », n’hésitez pas à lui dire ce que vous ressentez. Par exemple, « c’est dommage parce que j’aime bien qu’on fasse l’amour ensemble » ou « je t’aime et ça me manque qu’on ne fasse plus l’amour ». Peut-être a-t-il plus l’air de fuir que de ne pas avoir envie ? Surtout que parfois les hommes ont peur et craignent de ne pas être à la hauteur.
Proposez lui aussi des activités qui permettent de vous rapprocher physiquement: des massages par exemple.
Sinon, le risque c’est de rester trop longtemps sans faire l’amour et ça risque de devenir plus compliqué.
Bref, beaucoup de bon sens, dans ce que j’écris 🙂
11 novembre 2010
En tout cas, elle risque de faire pâlir d’envie les accros du régime Dukan, condamnés à la nourriture hautement protéinée sans la moindre trace de sucre.
Mark Haub, professeur de nutrition à l’université du Kansas, a testé un régime à base de chips mexicaines, de biscuits au chocolat et à la crème, de céréales sucrées et autres snacks prohibés avec horreur par tous les habituels faiseurs de régime.
L’homme voulait ainsi démontrer que dans le cadre d’un régime, c’est davantage le nombre de calories ingérées qui compte que leur composition.
Il s’est ainsi limité à consommer 1 800 calories par jour (notamment avec ces ingrédients considérés comme de la “junk food”) et a perdu pas moins de douze kilos en dix semaines.
On pourrait objecter que ce n’est pas le poids qui compte en matière de régime, qu’il faut aussi prendre en compte le taux de cholestérol et de triglycérides par exemple. Eh bien une analyse sanguine a révélé que ces indicateurs s’étaient améliorés durant son régime. Même son pourcentage de masse grasse a diminué.
Reste que l’homme ne recommande pas de faire un tel régime. Continuant à manger (modérément) des légumes et des protéines, il voulait surtout montrer que les populations consommant beaucoup de cette “junk food” pouvaient tout de même perdre du poids en continuant à la consommer, mais en diminuant les quantités.
De plus, l’homme tient à rappeler que sur dix semaines, il est impossible de mesurer l’effet du manque de fruits et de légumes sur la santé.
Sources : sur CNN et sur la page Facebook du médecin
2 avril 2009
La compagnie pharmaceutique Eli Lilly and Co a annoncé vendredi qu’elle met à jour l’étiquetage pour les États-unis de ses médicaments Zyprexa (Olanzapine) et Symbyax (combinaison d’Olanzapine et de fluoxetine – Prozac).
Cette décision intervient dans le contexte de pourparlers avec la FDA (Food and Drugs Administration), l’autorité de surveillance du médicament, a indiqué la compagnie.
Les étiquettes comporteront des avertissements concernant le gain de poids, les niveaux élevés de triglycérides, de cholestérol et de sucre sanguin.
Le Zyprexa (approuvé en 1996) est un antipsychotique atypique (ou de deuxième génération) utilisé pour le traitement de la schizophrénie et du trouble bipolaire. Le Symbyax (approuvé en 2003) est utilisé pour le traitement du trouble bipolaire.
Le Zyprexa est aussi couramment utilisé « off label » (hors approbation, mais légale) pour le traitement des troubles anxieux.
L’avertissement indiquera que les patients traités avec le Zyprexa peuvent prendre du poids jusqu’à deux ans après le début du traitement, contrairement aux affirmations précédentes de la compagnie selon lesquelles la prise de poids atteignait un plateau quelques mois après le début du traitement.
En décembre passé, dans une série d’articles, le New York Times affirmait que Lilly avait caché pendant une décennie des informations importantes aux médecins sur les liens du Zyprexa avec l’obésité et un taux de sucre sanguin élevé (hyperglycémie) qui est un facteur de risque pour le diabète.
Le Times rapportait que, selon des publications de la compagnie, 30% des patients prenant le Zyprexa ont pris 10 kilos (22 livres) en un an, certains rapportant même un gain de 45 kilos (100 livres) ou plus !
Les préoccupations sur les effets secondaires du Zyprexa ont augmenté depuis au moins 2004, rapporte cette semaine le New York Times et les prescriptions. Les parts de marché ont baissé drastiquement durant la même période.
Sources: CNN, New York Times. Ne comptez pas sur les médias français pour vous donner ce genre d’informations…