Dans le cadre de la lutte contre l’addiction aux jeux d’argent et de hasard, quatre mesures de protection des joueurs vont être proposées par le gouvernement.

600 000 Français seraient concernés !

Le ministre a indiqué d’une part le renforcement de la lutte contre les sites de jeux illégaux et leurs publicités, d’autre part la possibilité pour la Française des Jeux d’accéder au fichier des interdits de jeux (35.000 noms) consultables pour le moment uniquement par les casinos et les opérateurs de jeux en ligne.

jeux-argent-en-lignePar ailleurs, le gouvernement souhaite également le renforcement de la protection des avoirs des joueurs en cas de défaillance de l’opérateur. Mais aussi, la simplification de la saisie de la Commission des sanctions de l’Autorité de régulation des jeux en ligne (Arjel).

Le sujet des addictions aux jeux d’argent reste encore peu connu, une seule étude existe en France (masi de nombreuses à l’étranger).

Elle a été menée par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (Ofdt) et l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes).

Elle avait révélé en 2011 que 600.000 Français  (400.000 à risque modéré et 200.000 joueurs excessifs) étaient touchés par l’addiction aux jeux d’argent et de hasard (1,3% de la population).

Mais ce chiffre pourrait être aujourd’hui supérieur, car l’enquête avait été réalisée avant l’ouverture du marché français des jeux en ligne en juin 2010.

 

Source: pourquoi-docteur.nouvelobs.com, Ofdt

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Avec 600.000 personnes à risques, l’addiction aux jeux d’argent est inquiétant.

La France compterait près de 30 millions de joueurs habituels ou occasionnels, qui vont de ceux misant plusieurs centaines d’euros par semaine sur des paris sportifs ou hippiques en ligne à d’autres achetant une ou deux fois dans l’année un ticket d’Euro Millions à 2 euros.

Mais le gouvernement souhaite, lui, se pencher sur le phénomène de l’addiction aux jeux d’argent.

Valérie Fourneyron, ministre des Sports, et Bernard Cazeneuve, ministre du Budget, se sont rendus le 18 juin à l’hôpital Marmottan à Paris. Ces deux ministres entendent « exercer une vigilance particulière »,  sur cette addiction qui reste encore mal cernée en France. Leur but, « mobiliser pour promouvoir une pratique responsable qui protège les joueurs ».

Sur le sujet, une seule étude existe en France.

Elle a été menée par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (Ofdt) et l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes). Elle avait révélé en 2011 que 600.000 Français  (400.000 à risque modéré et 200.000 joueurs excessifs) étaient touchés par l’addiction aux jeux d’argent et de hasard (1,3% de la population).

besoin_d_aide, Duval-Levesque, thérapeute en psychothérapie, psychopraticien certifié & coach, addiction sexuelle, alccolisme, boulimie, hyperphagie, rupture, mal-êtreMais ce chiffre pourrait être aujourd’hui supérieur, car l’enquête avait été réalisée avant l’ouverture du marché français des jeux en ligne en juin 2010.

Des propositions ont été faites pour tenter de faire la police dans ce monde sans règle, situation qui favorise les dérives.

L’Autorité de régulation des jeux en ligne (Arjel) publiait ainsi le vendredi 26 avril un rapport contenant trente-trois propositions afin d’enrayer le phénomène de l’addiction au jeu.

Parmi ses recommandations, l’Arjel proposait une limitation du volume de la publicité des opérateurs de jeux au moment des retransmissions sportives en la cantonnant à un spot publicitaire par opérateur.

Le gendarme des jeux en ligne préconisait également de tendre la main aux joueurs qui voudraient décrocher, et donc de faciliter l’inscription sur le fichier des interdits de jeux du ministère de l’Intérieur. Par ailleurs, elle recommandait aux pouvoirs publics d’interdire toute relance de la part d’un opérateur vers le joueur qui vient de clôturer son compte ou qui arrête momentanément de jouer.

Enfin, l’Arjel souhaitait que les sociétés de jeux en ligne créent des critères d’alerte pour détecter les joueurs « à comportement atypique », comme ceux qui misent des sommes importantes.

Car ces joueurs excessifs sont souvent totalement déconnectés de la réalité comme le prouve la dernière étude du Centre de neurosciences cognitives. Pour ces chercheurs, il s’agit de patients souffrant d’un biais d’optimisme qui modifierait leurs décisions dans des situations impliquant des paris finianciers risqués. Autrement dit, ces derniers auraient tendance à surestimer leur change de gagner.

Même si la crise économique a freiné les Français dans les dépenses aux jeux d’argent en 2012, le total des sommes misées a quasiment doublé en dix ans, passant de 47,5 à 89 millions d’euros par jour.

Sources: pourquoi-docteur.nouvelobs.com, Arjel

 

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L‘arrivée des jeux en ligne en France a multiplié par cinq le nombre de joueurs à risque, selon les enquêtes menées par les observatoires de référence.

Les joueurs de jeux d’argent et de hasard sur Internet sont plus à risque de jeu pathologique que les adeptes des jeux traditionnels (selon deux études menées par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) et l’Observatoire des jeux (ODJ), publiées dans la revue Tendances).

Deux ans après la loi du 12 mai 2010, établissant une ouverture à la concurrence du marché des jeux en ligne dans les domaines des paris sportifs, des paris hippiques et du poker, les chercheurs estiment que 3,7 % de la population française jouent en ligne.

imagesLa proportion de joueurs à risque d’addiction est de 17 % en ligne comparativement à 2,8 % mesuré avec le même outil en 2010, avant l’ouverture des jeux en ligne.

La grande majorité des joueurs traditionnels jouent occasionnellement à des types de jeux induisant moins de risques d’addiction, tels que les jeux de loterie, précise l’OFDT.

Le jeu problématique en ligne semble plus fréquent avec les machines à sous et les jeux traditionnels de casino. Le poker se situe en troisième position. Les jeux de grattage et de tirage sont les moins liés au jeu problématique.

Les joueurs problématiques en ligne sont en plus grande proportion des hommes (57 %) et l’âge médian (50% sont plus jeunes et 50% sont plus vieux) lors de la première expérience en ligne est de 33 ans. Les joueurs de poker sont toutefois plus jeunes.

Le jeu pathologique figure, dans le DSM-IV (1) parmi les troubles du contrôle des impulsions et dans le DSM-5, dans le chapitre des troubles reliés à une substance et troubles addictifs. Ce changement reflète les études qui montrent que le jeu active le système cérébral dit de récompense, ce qui produit des effets similaires aux drogues.

Sources: psychomedia.qc.ca, Le Nouvel Observateur

 

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Vous êtes addictif aux jeux d’argent ou vous connaissez quelqu’un de votre entourage qui en soufre ? Ceci vous intéressera.

La première enquête réalisée en France sur les addictions aux jeux d’argent a été dévoilée vendredi 16 septembre 2011. L’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) a étudié ce phénomène dans le cadre du Baromètre santé 2010 de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes).

Les conclusions ? Inquiétantes !

600.000 personnes possèdent des problèmes avec ce type de divertissements. Parmi eux, 200.000 sont qualifiés de joueurs « excessifs».

Le docteur Abdou Belkacem, addictologue au centre hospitalier de Sèvres, répond aux questions de France-Soir.fr sur la dépendance aux jeux d’argent et de hasard.

France-soir.fr : Avez-vous remarqué une hausse de vos consultations pour des problèmes d’addiction aux jeux d’argent ?

Abdou Belkacem : Oui, je reçois plus de patients pour des problèmes liés au jeu depuis plusieurs mois, même si ce type d’addiction ne représente pas plus de 10 % des malades que je traite, par rapport aux autres addictions liées aux psychotropes, comme l’alcool et les drogues. D’après l’étude réalisée par l’OFDT, entre 0,5 et 1 % de la population générale est concernée par la dépendance au jeu, soit 600 000 personnes. Il est difficile d’évaluer clairement cette recrudescence à une échelle globale et nationale, mais à mon niveau, je constate effectivement une hausse.

Comment soigne-t-on la dépendance aux jeux ?

Le soin apporté dépend du diagnostic. Il faut d’abord distinguer deux types de patients. La première catégorie regroupe les joueurs problématiques, qui sont légèrement touchés par l’addiction. Ils se rendent compte de leur problème mais n’ont pas subi trop de pertes et peuvent encore se contrôler. Pour eux, de simples consultations pour dialoguer et leur apporter un discours préventif suffisent.

En revanche, pour la deuxième catégorie, celle des joueurs pathologiques, les soins sont beaucoup plus lourds et longs. Il s’agit de patients qui ont perdu le contrôle, qui ont misé et perdu beaucoup d’argent, et qui se trouvent dans une phase de désespoir. Leur état est également lié à une dépression. Il faut donc soigner cette dépression, leur donner un traitement médicamenteux et les encadrer au plus près avec une psychothérapie comportementale et cognitive. Les actions menées pour les aider dépassent parfois le cadre médical. Des mesures de protection judiciaire peuvent être prises, comme l’interdiction de jouer, car certains arrivent chez nous au bord de la ruine.

Quelles sont les explications de cette addiction ?

Il y a souvent des facteurs sociaux qui entrent en jeu. Au départ, les patients que je soigne sont fragilisés. Ils vivent des situations difficiles et subissent un quotidien pénible. Pour s’évader et oublier leurs soucis, ils se réfugient dans le jeu. L’addiction intervient également après un déclic associé à un gros gain, obtenu avec une petite mise. Le fait de gagner une énorme somme d’argent en jouant procure à certains une forte sensation de plaisir, ceux qui souffrent de dépendance veulent retrouver à tout prix ce sentiment.

Peut-on dresser un profil type du joueur compulsif ?

Toutes les catégories socioprofessionnelles sont concernées. Les plus défavorisés sont ceux qui misent les sommes les plus importantes. S’il fallait faire ressortir un profil, il s’agirait d’un homme dont l’âge se situe entre 40 et 45 ans. Il peut aussi exister des antécédants familiaux.

Les traitements sont-ils efficaces ?

Il va falloir du temps pour vérifier l’efficacité des traitements à grande échelle. La récente étude de l’OFDT est la première réalisée en France, le phénomène est analysé depuis peu de temps chez nous. A mon niveau, je dirais que oui, les traitements portent leurs fruits. L’addiction au jeu se soigne mieux que l’addiction aux psychotropes. Deux paramètres rendent parfois difficiles le traitement : une dépendance simultanée à d’autres produits, comme le tabac et l’alcool, et l’absence de produits de substitution, qui existent par exemple pour soigner l’addiction à la drogue.

Quels conseils donneriez-vous aux joueurs, pour les mettre en garde contre une éventuelle dépendance ?

Les joueurs doivent se poser deux questions sur leur comportement :

1-Suis-je capable de m’arrêter ?

2-Suis-je arrivé à la transgression, c’est-à-dire au mensonge, au cumul de dettes pour parier, etc. ?

Si ces deux interrogations amènent des doutes, les personnes concernées doivent en parler avec un soignant. Je tiens par ailleurs à souligner l’importance de l’entourage des malades. Nous recevons bien sûr les personnes concernées elles-mêmes par une addiction au jeu, mais nous pouvons aussi écouter leurs proches et leur apporter des réponses.

 

Sources: francesoir.fr, mon expérience à mon cabinet toulousain

 

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Jeux d’argent : 600.000 Français totalement accros

Addiction aux jeux de tirage, Rapido, paris sportifs… Quelque 600.000 Français (1,3% de la population) sont concernés, selon la première enquête menée en France sur ce sujet par le très sérieux Observatoire des drogues et toxicomanies.

L’enquête, réalisée en juin 2010, avant l’ouverture du marché français des jeux en ligne, a été menée par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) et l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) dans le cadre du Baromètre santé 2010, auprès de 25.034 personnes.

L’addiction aux jeux d’argent et de hasard est une pathologie comparable à la dépendance à l’alcool, à la nourriture, au tabac ou au cannabis.

Les enquêteurs ont mesuré l’addiction grâce à l’outil de repérage du jeu « problématique », dit « indice canadien du jeu excessif » (ICJE). Il permet de calculer, parmi les joueurs actifs, la proportion de joueurs à « risque modéré » et de joueurs « excessifs ».

Les jeux concernés sont ceux de tirage, de grattage, le Rapido, le PMU, les paris sportifs, les machines à sous et le poker (casinos), et les jeux sur internet.

Parmi les joueurs problématiques, 0,9% (400.000 personnes) présentent un « risque modéré » et 0,4% sont des joueurs « excessifs » (200.000 personnes), soit 1,3% de joueurs « problématiques » en France.

Le profil du joueur « excessif » : des hommes à 75%, jeunes (41 ans en moyenne). Près de la moitié d’entre eux (47%) dépensent plus de 1.500 euros par an contre 7,1% pour l’ensemble des joueurs actifs.

« On peut considérer qu’il y a addiction à partir du moment où la personne concernée essaye de réduire sa conduite sans y parvenir, » explique Marc Valleur, psychiatre et médecin chef de l’hôpital Marmottan spécialisé dans les soins et l’accompagnement des pratiques addictives.

« La dépendance aux jeux est un peu comparable à une dépendance aux excitants. Les jeux de sensations sont des décharges d’adrénaline réputées. »

Les opérateurs de jeux en ligne demandent une réforme fiscale afin de rendre les paris sportifs et hippiques et le poker en ligne « plus attractifs ». Ils attendent une réponse du gouvernement à l’automne…

Et vous, qu’en pensez-vous ?

Sources : franceinfo.fr, Nathanaël Charbonnier

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« On vous le prescrit pour quinze jours, vous en prenez pour trente ans… »

Quelques faits sur la dépendance à cet anxiolytique, en deux parties

Une femme essaie de dormir (Alyssa L. Miller/Flickr)

Selon l’Observatoire français des drogues et toxicomanies [2], la France compte 3,8 millions de consommateurs réguliers de psychotropes, anxiolytiques en tête.

Si 62% se le font délivrer par ordonnance, 38% se fournissent sur le marché parallèle, dit encore l’OFDT.

Les benzodiazépines [3], dont le Lexomil est la vedette, sont décrits ainsi par le dictionnaire Vidal :

« Famille de médicaments aux effets tranquillisants, sédatifs et anticonvulsivants. Ils favorisent la relaxation musculaire et l’endormissement»

Le pied ? Il faut lire la suite de la définition :

« Pris à forte dose ou pendant une durée trop longue, ils entraînent une dépendance. Leur arrêt brutal expose à un syndrome de sevrage »

Pour savoir qui en prend, quels sont les abus, comment s’en sortir, Rue89 a consulté la littérature et interrogé deux experts.

« Une volonté de régler les problèmes rapidement »

Depuis 1991, la durée de prescription de Lexomil est limitée à trois mois, contre six auparavant. La rencontre avec ce médicament se fait généralement à l’occasion d’une crise aiguë (insomnie, difficultés professionnelles ou sentimentales, deuil…), mais elle doit normalement rester ponctuelle.

« On vous le prescrit pour quinze jours et vous en prenez pour trente ans », résume un professionnel, inquiet de l’accoutumance.

Rapide, efficace, délivré facilement, pas cher et provoquant peu d’effets secondaires, le Lexomil a beaucoup d’atouts pour lui.

Perçu comme une alternative à la psychothérapie, il correspond à « la volonté de régler les problèmes rapidement, à un besoin d’immédiateté, alors que si on prenait le temps, on pourrait se passer de médicaments », remarque Geneviève Lafaye, psychiatre et addictologue à l’hôpital Paul-Brousse de Villejuif.

De l’adolescent à la personne âgée, il n’y a pas de consommateur type. Les médecins surveillent particulièrement l’addiction chez les personnes âgées et le développement d’une consommation hors prescription chez les jeunes qui se servent dans la salle de bains des parents.

« Un arrêt brutal est déconseillé »

(la suite demain,  dans mon tout prochain article)


Sources :
photo : Alyssa L. Miller/Flickr

[1] http://www.doctissimo.fr/medicament-XANAX.htm
[2] http://www.ofdt.fr/ofdtdev/live/produits/psychotr/conso.html#aff_rech
[3] http://www.chu-rouen.fr/ssf/prod/benzodiazepines.html
[4] http://asset.rue89.com/files/synthese_bzd_-_version_finale_2008.pdf
[5] http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_601509/modalites-d-arret-des-benzodiazepines-et-medicaments-apparentes-chez-le-patient-age

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