psychothérapie cognitive et comportementale (TCC)


Je vous donne un exemple sur l’hôpital en France, que les réformes successives ont massacré en vingt ans.

Bien avant le COVID, l’effondrement était déjà prévisible.

Pourquoi ?

Quand vous avez des dysfonctionnements majeurs dans une organisation, celle-ci ne reste pas inerte : petit à petit, les meilleurs collaborateurs s’en vont.

Soit ils partent en retraite prématurément, soit ils se mettent à leur compte, soit ils changent de job, soit ils font un burnout.

Par conséquent, les difficultés se reportent sur un plus petit nombre de personnes, ce qui accroît encore la pression sur ceux qui ont à coeur de bien faire leur travail, ne comptent pas leur heure, leur dévouement.

Et on boucle : les meilleurs s’en vont (de manière volontaire ou involontaire avec un burnout), et les restants souffrent encore plus. Ce qui génère de nouveaux départs et burnouts.

Une fois la spirale enclenchée, bon courage pour l’inverser !

C’était déjà à l’oeuvre avant le COVID, ça s’est accéléré.

Et c’était parfaitement prévisible en écoutant ceux qui travaillent dans les hôpitaux.

Au passage, le même phénomène est à l’oeuvre (mais dans une moindre mesure et pour des raisons différentes) à l’éducation nationale, et on parle de plus en plus de pénurie de profs…

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

Il existe une charge émotionnelle qui, comme la fameuse charge mentale, peut conduire au burn-out.

Pour vous en prémunir, apprenez à identifier les cinq signaux d’alerte suivants :

1 – Reconnaîssez votre charge affective

La charge émotionnelle peut survenir à différents moments de votre vie.

Et naître d’une succession de contrariétés, de relations compliquées (emprise, manipulation, dépendance), de pressions (extérieures ou de notre fait), de croyances accumulées, d’épreuves récurrentes. Elle peut aussi être la conséquence d’un choc émotionnel violent (licenciement, séparation, deuil).

Comme la fameuse charge mentale, lorsqu’elle dure depuis trop longtemps et/ou lorsqu’elle est trop lourde, elle génère de l’épuisement : le burn-out émotionnel.

2 – Prenez au sérieux “la goutte d’eau”

Celle qui fait déborder le vase : la vexation, la déception, l’exigence, l’échec… de trop !

Comme l’organisme rejette en vomissant l’excès de nourriture ou une nourriture avariée, votre « organisme psychoaffectif » rejette l’événement en excès qui risquerait de vous rendre malades, de vous mettre K.-O. Trop souvent, vous rationaliez les faits en les relativisant, les minimisant, en vous rendant responsables.

Cela pour fuir un conflit, ne pas risquer une sanction, ne pas mettre en péril une situation ou une relation.

C’est un tort, car cette « goutte » est un puissant signal d’alarme qui vous dit que vous êtes en danger.

Elle exige de vous que vous analysiez ce qui a permis que ce « trop » arrive (causes intérieures, causes extérieures) et vous commande de réfléchir aux moyens (à court, moyen et long terme) qui vous éviteraient de porter à nouveau votre charge trop lourde.

3 – Identifiez votre sidération affective

Elle désigne l’état psychique de la personne qui a subi un choc affectif : rejet, exclusion, humiliation, trahison, rupture, deuil…

Son impact diffère d’une personne à l’autre, selon son histoire et sa sensibilité.

La reconnaître, la nommer, avoir conscience du choc et de ses conséquences vous permet de prendre le temps de récupérer, de prendre soin de vous, au lieu de poursuivre votre chemin comme si de rien n’était – en alourdissant votre charge affective par le déni, la culpabilité ou la honte.

4 – Adoptez les bonnes habitudes

-> La première est d’observer l’état dans lequel vous vous trouvez et d’évaluer votre état de saturation (charge agréable, facile à supporter, moyenne, difficile à supporter, saturation intolérable).

-> La deuxième consiste à repérer les blocages et les croyances qui vous empêchent de changer de mode, d’être en relation, de travailler ou de concevoir la vie.

->La troisième : trouver vos limites (qu’est-ce qui peut vous empêcher de vous épuiser ou de vous sacrifier ?).

-> La quatrième : chercher comment réduire votre mal-être, notamment par des pratiques psychocorporelles (Vittoz, sophrologie, pleine conscience) et surtout l’auto-hypnose (qui vous évitera aussi le déni) qui vous remettent en contact avec votre corps et vos sensations.

Cette reconnexion vous permet d’être plus à l’écoute des messages de trop-plein que vous envoient votre corps et votre psychisme, donc de mieux prendre soin de vous-mêmes.

-> Enfin, la cinquième habitude consiste à pratiquer le plus souvent possible l’« ici et maintenant » pour être en contact direct avec votre ressenti physique et émotionnel.

5 – Trouvez l’équilibre, votre harmonie

Le rythme juste, le bon tempo : corps, esprit et cœur doivent vibrer à l’unisson.

Au corps, le sommeil, l’activité sportive, artistique.

À l’esprit, la méditation, l’attention, le rêve (qui permet de comprendre des aspects de notre vie remontant de l’inconscient), l’auto-hypnose surtout (pour vider les émotions refoulées) et aussi l’humour, qui permet de vous libérer de ce qui vous pèse.

Au cœur, l’amour de soi, mais aussi l’amour respectueux et réciproque de l’autre.

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Comment dynamiser (fructifier) votre vie professionnelle, et personnelle, grâce à la PNL ?

Qu’est-ce que la PNL peut concrètement vous apporter dans votre quotidien ?

Vous avez envie de retrouver du sens dans votre quotidien, qu’il soit personnel ou professionnel ? Vous souhaitez développer votre écoute ? Vous souhaitez potentialiser vos ressources ?

Vous souhaitez apprendre à explorer d’autres manières d’envisager le monde que le vôtre ? Vous souhaitez mieux définir vos objectifs et les atteindre ?

Vous êtes curieux, vous avez envie de mieux communiquer, de mieux vous connaître, de mieux connaître l’autre, de faire des choix cohérents avec vos valeurs, de trouver du sens à vos actions ?

Alors venez découvrir dans une séance ce que la Programmation Neuro-Linguistique (PNL) vous apportera dans votre vie personnelle et professionnelle.

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F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, tabac, phobie, souffrance, stress, burnout, PNL, téléséance, téléconsultation,avis, témoignage (2)

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Rappel : la durée moyenne de l’arrêt maladie pour un burn-out est de 2 ans.

2 ans !

Si vous faites une psychothérapie, la durée moyenne de l’arrêt est divisé par 2 ou 3.

F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, tabac, phobie, souffrance, stress, burnout, PNL, téléséance, téléconsultation,avis, témoignage (2)

Alors si vous sentez ces 7 premiers signes (ci-dessous), consultez.

1- Épuisement

Un état de fatigue constant non soulagé par le repos peut se traduire rapidement par un épuisement mental et émotionnel. Si vous manquez d’énergie, vous vous sentirez plus facilement débordé et surchargé. En cas de surcharge de travail, il est difficile de se reposer et de récupérer des forces.

2 – Manque d’enthousiasme au travail

Le stress et la frustration peuvent entraîner une négativité et un état d’esprit cynique vis-à-vis du travail. Un cercle vicieux se crée. Vous manquez d’enthousiasme et prenez vos distances sur le plan émotionnel, puis vous vous levez chaque matin sans envie d’aller travailler. Le manque de reconnaissance dans votre travail peut vous rendre encore plus vulnérable au burn out du fait d’une dévalorisation.

3 – Performance réduite au travail

Vous avez du mal à vous concentrer, vous oubliez des choses et vous êtes moins efficace au travail. Vous trouvez difficile de mener à bien vos projets dans les délais imposés. Le burn out affecte la capacité des personnes à gérer leur stress. Ainsi, plus vous êtes stressé, plus il est difficile de gérer les nouveaux facteurs de stress.

4 – Inquiétude et anxiété

Vous ressentez de l’anxiété et de l’inquiétude, notamment en ce qui concerne vos performances au travail. Vos inquiétudes peuvent se calmer lorsque vous rentrez chez vous mais reviennent instantanément en pensant à votre travail. Le burnout est associé au développement de troubles de l’humeur, de symptômes dépressifs et d’anxiété.

5 – Troubles du sommeil

Le stress affecte votre sommeil. Vous souffrez peut-être d’insomnies ou de difficultés à vous endormir, de réveils nocturnes ou précoces sans pouvoir vous rendormir.

6 – Symptômes physiques

Le stress chronique peut provoquer des symptômes physiques tels que des maux de tête (dus à la tension) et des migraines, des maux de dos, des problèmes de peau et autres douleurs d’ordre général.

7 – Irritabilité et troubles de l’humeur

Tout vous agace et vous êtes très souvent de mauvaise humeur sans raisons évidentes. Vos relations amicales et amoureuses peuvent devenir conflictuelles. Pour résumer, si votre quotidien est affecté par un ou plusieurs de ces symptômes, nous vous conseillons de consulter rapidement votre médecin traitant. Si le stress au travail commence à affecter votre vie privée, prenez-le comme un avertissement.

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Le burn out survient dans un contexte de stress professionnel chronique.

Il résulte d’un processus lent de dégradation du rapport de l’individu à son travail. Cela peut prendre des semaines, des mois, voire des années pour se remettre d’un burn out. Il faut donc détecter les symptômes potentiels le plus tôt possible, avant qu’ils ne deviennent chroniques. D’installation insidieuse et progressive, les manifestations du burn out sont hétérogènes et plus ou moins importantes.

Cela rend son diagnostic parfois difficile et il peut être confondu avec d’autres troubles psychiques ou maladies. Il existe cependant des signes fréquents permettant de détecter le burn out.

Votre santé mentale vaut plus que tout le reste.

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Le « laser » pour arrêter le tabac : attention à l’enfumage !

Avec le laser, « arrêtez de fumer en une séance », « taux de réussite de 95% »: ces promesses alléchantes fourmillent sur internet en France.

Mais attention !

Cette technique, comme d’autres méthodes prétendument miracle, n’est pas validée scientifiquement, préviennent médecins et autorités.

« Garantie 1 an & sans prise de poids », promet le site d’un important réseau de centres laser anti-tabac.

Selon ses promoteurs, le « laser doux » stimule des points sur le pavillon de l’oreille, une action censée couper le besoin de nicotine… Une technique qui se revendique de « l’auriculothérapie », elle-même dérivée de l’acupuncture.

« Les fumeurs peuvent être en grande difficulté quand ils ont déjà essayé d’arrêter plusieurs fois et tomber dans la trappe très facilement », explique à l’AFP Daniel Thomas, ex-chef du service de cardiologie de l’hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière, porte-parole de la Société francophone de tabacologie (SFT).

Et débourser entre 150 et 350 euros en moyenne par séance.

Pourtant, « il n’y a pas d’étude ou de données scientifiques permettant de montrer l’efficacité de cette méthode« , indique à l’AFP un des services du ministère français de la Santé. Le « laser ne fait pas partie des méthodes validées et qui ont prouvé leur efficacité pour le sevrage du tabac », confirme-t-on sur le site officiel « Tabac-Info-Service ».

Dès 2007, la Société canadienne du cancer alertait sur cette méthode qui bénéficiait de campagnes publicitaires très affirmatives, promettant l’arrêt du tabac, de l’alcool et des drogues.

Quinze ans plus tard, la science est toujours sceptique.

Si la majorité des fumeurs s’arrêtent seuls, les « méthodes validées » pour ceux qui ont besoin d’aide sont les substituts nicotiniques (patchs, gommes …), certains médicaments, et surtout l’hypnose profonde.

Comme le soulignent tous les hypnothérapeutes, c’est la volonté qui reste de toute façon la clé. Le client fait 50% du chemin, le thérapeute l’autre moitié.

Sans compter toutes les autres variables : un fumeur qui veut s’arrêter va probablement s’engager dans de meilleures habitudes de vie (sport, alimentation…) qui vont aider au succès.

Plus d’informations : https://info-tabac.ca/faut-il-se-mefier-du-laser-doux/

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Vous sortez d’un burn-out ?

Et si c’était l’occasion de redonner

un Sens à votre vie ?

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« La vie ce n’est pas d’attendre que l’orage cesse,

c’est d’apprendre à danser sous la pluie »

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Sénèque

Né à Cordoue, dans le sud de l’Espagne, entre l’an 4 av. J.-C. et l’an 1 apr. J.-C., mort le 12 avril 65 apr. J.-C., est un philosophe de l’école stoïcienne, un dramaturge et un homme d’État romain du Iᵉʳ siècle

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Boule d’énergie, Céline avait l’habitude que son corps lui réponde instantanément.

Mais quinze mois après avoir été contaminée, elle n’a toujours pas récupéré.

Comme 15 à 30% des malades.

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Voici les profils qui conduiraient à développer ce syndrome :

  • les étudiants, les chercheurs, les universitaires et les créatifs qui doivent souvent se comparer avec des personnes jugées talentueuses
  • ceux qui ont de brillantes carrières ou qui réussissent très jeunes (le génie perçu comme naturel peut donner l’impression de ne pas mériter vraiment sa place)
  • les aînés de fratrie poussés à réussir par leurs parents et qui peuvent en venir à penser qu’ils n’ont pas vraiment de mérite vu le soutien dont ils bénéficient
  • ceux qui parviennent à leur but par des chemins de traverse (la sociologue devenue journaliste…) ; les minorités sociales ou les groupes sociaux victimes de discriminations (femmes, homosexuels, minorités religieuses…)
  • les enfants de parents brillants
  • ou encore les autoentrepreneurs et les travailleurs indépendants dont les relations professionnelles, notamment les feedbacks (retours d’information) sont limités, ce qui ne leur donne pas toujours la possibilité de s’apprécier à leur juste valeur.

Aujourd’hui, ce syndrome est communément reconnu.

La principale critique portée au concept concerne l’appellation. Plutôt que de « syndrome », ce qui renvoie à une maladie, les psychologues préfèrent dorénavant parler d’une expérience temporaire.

D’ailleurs, le syndrome de l’imposteur ne figure pas parmi les troubles mentaux que recense le Manuel de diagnostic et de statistique des troubles mentaux (DSM), qui fait autorité en psychologie et psychiatrie.

Plus ou moins longue, cette expérience d’imposture se résout souvent par soi-même, en apprenant à s’apprécier sans condition, en se montrant moins perfectionniste et plus indulgent avec ses erreurs. Le malaise peut aussi se dissiper en parlant avec son entourage, qui joue un rôle essentiel pour rassurer sur sa propre valeur, et quand ce n’est pas suffisant, avec un thérapeute.

Selon mon expérience professionnelle, les femmes seraient davantage sujettes au syndrome de l’imposteur pour plusieurs raisons :

  1. Elles subissent une forte pression pour être performantes et donner une bonne image d’elles, ce qui ne peut qu’accroître le manque de confiance qu’elles éprouvent parfois
  2. Elles restent sous-représentées aux postes de responsabilités et de leadership. Celles qui y parviennent se sentent plus souvent isolées et exposées à la critique
  3. Les clichés qui ont encore la vie dure (« les femmes ne savent pas négocier », « ne savent pas s’exprimer publiquement », « ont du mal avec l’exercice du pouvoir ») et qui peuvent faire douter de soi.

Or, selon des études récentes, les hommes seraient tout autant concernés que les femmes.

L’on aurait tendance à faire du syndrome une spécificité féminine car les premières études ont été menées sur des femmes. Pourtant, des études ultérieures évoquent de nombreux cas d’hommes touchés : des étudiants, de grands universitaires, des hommes d’affaires, des sportifs accomplis, des pères de famille…

Les hommes manifesteraient les mêmes symptômes que les femmes. Leur malaise serait tout aussi fort, dans un monde où la gent masculine doit encore se montrer solide et dissimuler ses doutes, ses faiblesses.

Les femmes iraient chercher de l’aide plus facilement, soit auprès de leurs proches, soit en faisan une psychothérapie. Les hommes se réfugieraient plus souvent dans les conduites addictives (consommation d’alcool) ou chercheraient davantage à éviter les situations stressantes.

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Dans une carrière, l’heure du bilan sonne régulièrement, en particulier en début d’année.

Au bout de quelques temps sur un même poste on a tendance à ronronner, à ne plus vouloir sortir de sa zone de confort.

Il faut pourtant se remettre en question régulièrement et se poser la question : dois-je quitter mon job maintenant et chercher autre chose, ailleurs ? Pour le savoir il existe certains signaux qui ne trompent pas.

En voici 7 autres qui devraient vous convaincre.

1. Votre carrière est au point mort

Si vous n’avez pas eu de promotion ou d’augmentation depuis 3 ans, il est temps de se poser des questions.

Ce statu quo va-t-il durer, êtes-vous seul(e) à stagner dans l’organisation et si oui, les raisons sont-elles liées à votre performance ou à celle de votre entreprise ? Si la faute revient à votre employeur, alors il est temps de le quitter.

2. Votre travail n’est pas reconnu à sa juste valeur

Si vous n’avez aucun feedback de votre manager, aucune reconnaissance sur le travail accompli, c’est sans doute le signe que votre hiérarchie ne s’intéresse plus à vous. Qu’elle pense que vous avez atteint votre seuil d’incompétence ou, plus simplement, qu’elle n’a pas envie d’investir pour vous voir progresser. Dans ce cas, il est temps d’aller voir ailleurs, et de consulter les offres d’emploi.

3. Vous n’apprenez plus rien

Parmi les sources évidentes de motivation au travail, le sentiment de fin de journée compte énormément. Quand vous rentrez chez vous le soir, avez-vous appris quelque chose grâce à votre travail ? Sur vous, sur les autres, sur votre coeur de métier ? Avez-vous, de quelque manière que ce soit, progressé un peu ?

Si la réponse est non, vous devriez peut-être reprendre une formation, ou changer d’air, voir si l’herbe est plus verte devant une autre entreprise.

4. Le turn-over s’accélère

Vous n’êtes pas seul dans une entreprise. Ce qui se passe autour de vous doit aussi vous mettre la puce à l’oreille. Il y a toujours du turn over dans toutes les sociétés, ce n’est pas forcément alarmant.

Mais ce qui peut l’être c’est quand il s’accélère de façon évidente. Si des employés-clés, des pivots quittent le navire, vous devez vous demander (ou leur poser directement la question) de ce qui les pousse vers la sortie.

5. Une restructuration se profile

« L’occasion fait le larron », l’expression est valable dans le monde du travail. Mais c’est vrai que si votre entreprise fusionne, se réorganise, change de direction ou de style de management, vous avez le droit vous dire que c’est le moment de partir. La fin d’un cycle est toujours plus propice à un départ. Une page se tourne, vous avez envie d’écrire une autre histoire, d’ajouter une ligne à votre CV.

Et si les restructurations se multiplient dans votre entreprise depuis quelques années, le doute n’est plus permis. Par ici la sortie : démission ou rupture conventionnelle, à vous de voir.

6. Les chasseurs de têtes s’intéressent à vous

Les recruteurs aiment les gens en poste, de la même manière que les banques ne prêtent qu’aux riches. Si votre profil intéresse les cabinets de chasse ou de recrutement, que vous êtes régulièrement contacté, il ne faut pas hésiter.

Entretenir une relation sur la durée avec un chasseur de têtes permet d’être à l’affût des meilleures opportunités. Soyez prêts à les saisir dès qu’elles se présenteront.

7. Vous sentez que c’est le bon moment

Parfois l’intuition, vaut plus que tous les signaux faibles. Si vous ressentez que vous avez envie de poursuivre votre carrière ailleurs, il faut oser franchir le pas.

Partir quand on est au sommet peut s’avérer un choix judicieux. Comme les sportifs de haut niveau qui décident de s’en aller après avoir décroché un trophée, quitter une entreprise suite à un succès permet de laisser (et de garder) le meilleur des souvenirs.

 

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Travail : pourquoi tant de démissions ?

Poser sa démission…

…un rêve caressé par de nombreux salariés, en quête de plus de sens, d’autres façons de travailler ou d’être managés.

Et qui devient de plus en plus réalité pour nombre d’entre eux.

Certaines entreprises sont ainsi confrontées à des vagues de départs et des secteurs peinent considérablement à recruter.

Il a quitté un CDI sans avoir un autre emploi derrière.

Il y a deux mois, Mickaël, 33 ans, a « claqué sa dém ». Fini Paris, direction Annecy et la montagne, pour ce chef de projet amoureux des grands espaces. « J’aimais mon travail, mon équipe, il y avait une bonne ambiance. Mais je n’étais pas dans mon élément. La ville m’étouffait, je trouvais l’atmosphère anxiogène. J’ai voulu obtenir plus de télétravail, mais la politique du groupe était 2 jours par semaine, pas plus. » Mickaël tente une dernière fois de négocier et face à son manager « qui ne pouvait faire autrement qu’appliquer les directives », pose sa démission dans la foulée. « Je serais resté si j’avais pu obtenir plus de télétravail et m’installer à la montagne. Si j’ai démissionné, sans rien derrière, c’était pour me forcer à avancer, déclencher l’action et ne pas rester dans cette bulle pesante pour moi encore longtemps à me dire ‘je le ferai demain’. »

Sa démission posée, il ressent un immense soulagement. « Ca m’a confirmé que c’était le bon choix ».

Mickaël n’est pas le seul à avoir posé sa démission récemment. Depuis le début de la pandémie, de nombreux salariés ont quitté leur emploi. En France, le nombre de démissions de personnes en CDI a bondi de 10,4% en juin 2021 et de 19,4% en juillet 2021 par rapport à juin et juillet 2019. Soit 302 000 départs en deux mois. Le nombre de ruptures conventionnelles a lui aussi progressé de 15,4% et 6,1% sur la même période, pour atteindre 85 000 départs, d’après les chiffres de la Dares (ministère du Travail).

Si le raz-de-marée du Big Quit, ou la Grande Démission, qui frappe les Etats-Unis, où 38 millions de personnes ont quitté leur travail en 2021, ne semble pas submerger la France, une vague de départs est néanmoins bien à l’œuvre, symbole d’un monde du travail en véritable mutation.

Covid : démissions en pagaille

La crise sanitaire que nous traversons a joué un rôle de révélateur pour de nombreux salariés. Confiné, puis soumis à de nombreuses restrictions, face à la maladie, à l’incertitude, chacun s’est interrogé, remis en question :

  • Qu’est-ce que j’ai envie de faire de ma vie ?
  • Qu’est-ce qui est essentiel pour moi ?
  • Quelle place est-ce que je donne à mon travail ?

Le télétravail y est pour beaucoup mais chez les salariés qui n’en ont pas, on voit aussi de nouvelles attentes envers leur travail. Si celles-ci ne sont anticipées ou comblées, cela engendre des frustrations, des déceptions et l’envie de quitter son job.

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Démissionner, Louise y pensait depuis un moment déjà.

Senior manager depuis deux ans dans un grand cabinet de conseil, elle vient de trouver un poste de directrice de pôle dans une entreprise de taille intermédiaire (ETI) dans le secteur de l’agroalimentaire. Ses aspirations ? Plus de sens et travailler moins, profiter davantage de la vie. « On a tous réfléchi avec le Covid. J’ai réalisé à quel point j’étais peu considérée dans mon travail, sans reconnaissance, sans le salaire qui allait avec les efforts que je fournissais, sans le droit de déconnecter, de couper : je travaillais le soir, le week-end, et même pendant mes vacances. Sauf qu’aujourd’hui, je ne le supporte plus, et surtout, je n’ai plus à le supporter ».

Le retour à la croissance qui se dessine va de pair avec un marché de l’emploi, qui, dans de nombreux secteurs, redevient plus dynamique. « Pendant deux ans, on a eu une épée de Damoclès au-dessus de la tête, avec la peur de finir au chômage si on ‘ne travaillait pas bien’. Dans ma boîte, il y a eu de nombreuses charrettes. Quinze personnes de mon pôle – sur 40 – ont ainsi été poussées dehors. Aujourd’hui, ce principe de faire stresser les gens qui ont intérêt à être de bons soldats et à dire oui à tout n’existe plus. »

La pression s’est même inversée. Dans l’ancien service de Louise, ils sont 5 – sur 15 – à avoir posé leur démission dans les six derniers mois. « C’est une vraie fuite des talents, ce sont les bons éléments qui partent. »

Santé psychologique : non négociable !

Quête de sens, souhait d’être utile, envie de flexibilité et de liberté

Les aspirations des démissionnaires ne sont pas nouvelles.

Ce qui a changé, c’est qu’elles sont devenues non négociables.

Avant, il y avait beaucoup de doutes (par exemple, ‘vais-je pouvoir négocier un 4/5e ?’), de résignation, mais désormais, les gens osent vraiment, ils sont plus droits dans leurs bottes. Ils ont expérimenté, le télétravail notamment, et savent que ça marche, qu’ils sont plus productifs.

Alors pourquoi repartir sur quelque chose qui ne leur convient pas ?

Et ils ont raison : ils ont le droit d’aller vers ce qui est bon pour eux ! C’est à cette condition que le travail, c’est la santé.

Camille a démissionné à peine un an après avoir commencé un poste dans la communication.

« Au début, tout était merveilleux, les missions, le management bienveillant. Puis la bienveillance s’est essoufflée, la routine a pris le dessus, c’était tous les jours le même train-train, le climat n’était ni à l’optimisme ni aux projets. J’ai commencé à étouffer et à venir en traînant des pieds. Puis, une nouvelle chef est arrivée. Un management à l’ancienne, aucune souplesse, une grande rigidité, aucune chaleur humaine ou intention de nous connaître, elle n’avait pas confiance en nous, nous fliquait. On ne pouvait pas faire entendre nos idées, suggestions, nos choix. En quelques mois, je me suis mise à en souffrir ». La jeune femme cherche alors activement un autre travail et pose sa démission, triste, mais soulagée.

Quitter son job pour préserver sa santé mentale : un héritage de la crise.

La santé psychologique devient plus que jamais une motivation qui détermine les choix professionnels. Dans les baromètres réalisés pendant la crise, 2/3 des gens disaient ne plus vouloir travailler dans des environnements qui pouvaient menacer leur équilibre psychologique. Ce qui a changé aussi, c’est que nous n’attendons plus d’être affecté par un stress intense ou un burn-out : on anticipe et on fait ses choix professionnels en conséquence.

Ce qui peut expliquer que certains secteurs peinent actuellement à recruter, comme la restauration, le médicosocial, la grande distribution ou encore le conseil et l’audit, des secteurs exigeants, durs, où l’équilibre de vie peut être un enjeu .

Nouvelles et justes valeurs à satisfaire

Pour Charlotte, les confinements ont été le déclic pour partir de Paris.

« J’ai compris que je pouvais faire ma vie ailleurs. Je voyais aussi beaucoup de personnes quitter la capitale, avec un ras-le-bol des horaires impossibles et du trop de pression. J’avais besoin de reconnecter avec d’autres valeurs ». Elle décide de placer sa vie personnelle en priorité sur sa vie professionnelle. Démission posée, direction Bordeaux pour cette account manager. « Je ne pensais pas retrouver du travail si vite. J’ai eu le choix entre deux boîtes et je n’ai pas choisi d’aller dans celle qui me payait le mieux, mais dans celle où j’ai senti le plus de cohérence et de « vibes » humaines avec les équipes. J’attends d’une entreprise qu’elle soit humaine, flexible, motivante, ce que je ne trouvais plus dans mon ancien poste. »

Les collaborateurs seraient-ils devenus plus exigeants ?

Oui. Nous assistons à l’émergence de « collaboracteurs », qui font des choix éclairés au regard de la raison d’être et de l’éthique des entreprises, de la façon dont elles traitent les salariés, du management et des conditions de travail. Loin de l’idée reçue selon laquelle les salariés, notamment les nouvelles générations, seraient des enfants gâtés, qui ne voudraient plus bosser.

Cette crise montre bien que personne n’est gâté, on peut tous être exposés à des risques psychosociaux. Les jeunes générations sont réputées se démotiver vite, démissionner vite. En témoignent le nombre croissant de démissions de jeunes diplômés après un an de vie professionnelle.

Mais les jeunes – et les moins jeunes d’ailleurs – veulent toujours bosser, mais ils veulent faire des choses qui leur plaisent vraiment. Ils ne veulent plus d’un job sans sens ou qu’on leur donne des conduites sans liberté d’action.

Entreprises : s’adapter ou…

Face à ces attentes nouvelles des salariés, les entreprises vont devoir s’adapter, se transformer.

Sans quoi elles auront des difficultés à recruter, connaîtront l’absentéisme, le turn over, des arrêts de travail. Le psychologue du travail rappelle aussi que la crise n’est pas finie, et que 2/3 des salariés conditionnent leur engagement avec la façon dont ils ont été traités pendant cette dernière : c’est donnant-donnant.

Ces exigences, de sens, de déconnexion, d’équilibre des vies, d’un management positif et sain, on les retrouve désormais dès les entretiens d’embauche, notamment chez les plus jeunes. Mickaël, par exemple, pose directement ses conditions : 50% de télétravail au moins.

Ce que lui, Camille, Louise et Charlotte ne veulent plus revivre ? Le manque de confiance, de dialogue, d’ouverture d’esprit sur les conditions de travail, de bienveillance aussi.

Pour Louise, « les entreprises trop ancrées dans les schémas traditionnels, qui n’ont pas compris que les mentalités ont changé, ne pourront pas survivre. Ailleurs, il y a mieux ».

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin

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Pour la plupart d’entre nous, prendre l’avion est synonyme de félicité…

En revanche, pour d’autres, s’envoler dans les airs s’apparentent à un cauchemar éveillé…

Angoisse de prendre l’avion qui peut se transformer en peur panique qui vous cloue au sol…

Le plancher des vaches comme planche de salut…

Sensation que l’on va mourir au décollage, à l’atterrissage, mais aussi en vitesse de croisière…

Palpitations, mains moites, estomac noué, pour ne pas dire plus…

Et vous, quelles sont les raisons qui vous empêchent de vous envoler sans peur les mains dans les poches : évitez-vous de prendre le moyen de transport le plus sûr du monde, avec l’ascenseur ?

Comment surmontez-vous votre phobie, votre angoisse de l’avion ?

L’embarquement est immédiat.

Mayday, mayday, vous cédez à la panique.

Vite, quelques astuces rapides pour vous calmer.

On ne va pas épiloguer, les statistiques sont formelles, l’argument implacable : l’avion est le moyen de transport le plus sûr, comparé à la voiture ou au train.

Sauf que rien n’y fait, cette affirmation ne rassurera jamais tout à fait un passager effrayé. Comme c’est le cas, à un degré plus ou moins élevé, pour près de 20 % des voyageurs, selon les chiffres de l’association internationale du transport aérien (IATA). Parmi eux, un cinquième (soit 4 % du total) souffrirait même d’une anxiété maladive, plus connue sous le nom d’aérophobie.

C’était sans compter ces 5 conseils, faciles et rapides, pour surmonter cette peur :

1 – Représentez-vous toutes les étapes de votre voyage

Une vraie phobie nécessitera une vraie préparation avec un hypnothérapeute.

Je conseille de visualiser, plusieurs fois, toutes les étapes du voyage, de façon à dédramatiser l’action lorsqu’elle aura lieu le jour-J. Plus on répète un scénario, plus il devient familier. Et moins on y réfléchit.

Départ du domicile, transport jusqu’à l’aéroport, check-in des billets, décollage ou atterrissage, pour surmonter sa phobie, chaque geste devra être décortiqué.

2 – Maîtrisez votre respiration

Ça y est, les portes d’embarquement s’affichent.

La réaction de votre organisme ne se fait pas attendre. Cœur qui s’accélère, front qui perle de sueur, tremblements, mains crispées et moites… La crise d’angoisse est imminente. Pour remédier à cet état de panique, il faut impérativement maîtriser son souffle. Pour ce faire, essayez cet exercice de respiration abdominale. Main sur le ventre, fermez les yeux. Comptez ensuite les temps d’inspiration et d’expiration. Inspirer 3 secondes, expirer 6 secondes. Répéter l’exercice jusqu’à ce que la crise de panique s’arrête.

Rester concentré sur sa respiration permet au cerveau d’oublier les raisons de son angoisse.

3 – Visualisez une «image ressource»

Autre astuce pour calmer votre peur de l’avion, se raccrocher à ce que l’on appelle une «image ressource».

Il s’agit d’une image positive, qui peut être aussi bien connue, qu’imaginaire et que l’on associe à des sensations agréables. Le cerveau ne fait pas de différence entre le réel et l’imaginaire. Dans les deux cas, il enclenche les mêmes circuits de récompense.

Fermer les yeux, et visualiser cette image. Elle devrait vous permettre de retrouver votre calme et votre sérénité. Et ce, malgré le décollage imminent de l’appareil !

4 – Répétez un geste d’ancrage

Un peu dans la même veine que «l’image ressource», il existe également une autre solution pour apaiser ses angoisses. Celle de répéter un geste «d’ancrage».

Assis sur le siège côté hublot, vous serrez les poings très fort en attendant le décollage ? Bingo, sans le savoir, vous effectuez déjà ce qu’on appelle également un geste «signal». Il s’agit d’un geste naturel sur lequel vous vous concentrez. Comme l’image ressource, il vous détournera de la raison principale de votre stress.

Cela peut être n’importe quel mouvement, n’importe quel geste. Par exemple, serrer un doigt, saisir son poignet, se toucher l’oreille…

5 – Misez sur la «cohérence cardiaque»

Pour calmer des palpitations un peu trop intenses – turbulences obligent -, je suggère de miser sur la cohérence cardiaque.

Cet exercice de respiration consiste à caler son souffle sur les battements de son cœur. Physiologiquement, si le corps est apaisé et les battements du cœur réguliers, le mental s’apaise alors également. Pour ce faire, il suffit d’enchaîner des phases d’inspiration et d’expiration de cinq secondes chacune et ce pendant cinq minutes.

Le petit plus de cette méthode ? Ces effets durent plusieurs heures.

Bon vol !

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« L’esprit est un réservoir incroyablement vaste

dont la plupart des gens ne réalisent pas encore le potentiel. 

La transe est une période de liberté permettant la découverte,

l’exploration intérieure et la réalisation de nos potentiels. »

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Milton Erickson – Traité pratique de l’hypnose.

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Jouer aux paris sportifs ou au loto est devenu en France une véritable passion nationale.

Depuis la fin des années 1950, l’apparition de nouveaux jeux n’a cessé d’entretenir la frénésie et de faire croître les dépenses en jeux d’argent. L’engouement est tel aujourd’hui que près de 50 milliards d’euros sont dépensés annuellement dans les bars-tabacs, les casinos, les salles de jeu ou encore sur Internet.

Ce qui s’apparente à une nouvelle addiction est entretenu par des opérateurs qui savent susciter le désir de jouer tout en profitant des biais de raisonnement des parieurs qui n’ont guère conscience d’être statistiquement condamnés à ne jamais pouvoir gagner le gros lot.

Le jeu, qui séduit de plus en plus les jeunes générations, est ainsi devenu un problème de santé publique.

La dépendance aux paris de toutes sortes va de pair avec de multiples pathologies : endettement, interdiction bancaire, perturbations conjugales et familiales, vies professionnelles chaotiques, perte d’estime de soi, santé en danger…

L’État français, dont la mission est pourtant d’agir contre ces ravages, reste très timide. Lui-même a, en fait, beaucoup à gagner financièrement avec de telles pratiques.

Afin de limiter les effets de cette hypocrisie publique, l’idée de « jeu responsable » a fait récemment son chemin. Il suffirait par exemple de communiquer, comme on peut le faire à propos de l’alcool, sur les risques d’une consommation non maîtrisée.

À ce jour, malheureusement, une telle stratégie n’a toujours pas fait ses preuves. Parce qu’il y a urgence, conclut T. Amadieu, l’auteur, il reste donc à inventer une politique du jeu réellement responsable.

Mais est-ce possible ?

Ou juste hypocrite de le penser ?

Source : « La fabrique de l’addiction aux jeux d’argent », Thomas Amadieu, Le Bord de l’eau, 2021

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