souffrance


La séparation parentale (divorce, garde alternée, etc) : comment accompagner votre enfant pour reconstruire sa sécurité et sa confiance

Votre enfant vit un tsunami émotionnel.

Une séparation, même si elle est de plus en plus courante, reste pour lui un événement inattendu et profondément déstabilisant.

C’est un choc, un bouleversement de l’équilibre qu’il pensait éternel. Vous, ses parents, étiez sa base sûre, son cocon.

Maintenant, tout bascule pour lui.


Comment apaiser le choc de la séparation. Comment réinstaurer la sécurité pour votre enfant

L’annonce de la séparation peut frapper votre enfant comme un cyclone qui menace de tout emporter.

Il ou elle traverse une phase de confusion intense, mêlée de tristesse, de colère et d’incompréhension.

Cependant, en tant que parent, vous avez plusieurs ressources pour aider votre enfant à surmonter cette épreuve. Je vous les détaille :


Les étapes d’accompagnement pour réconforter votre enfant après une séparation

1. Reconnaissez l’ampleur du choc ressenti par l’enfant

  • Importance : L’annonce de votre séparation entraîne un premier choc émotionnel qui doit être entendu et validé
  • Comment faire : Expliquez simplement ce qui se passe sans entrer dans les détails conflictuels. Utilisez des mots adaptés à son âge et dites-lui que vous êtes là pour l’écouter. Le simple fait de savoir qu’il peut parler et exprimer ce qu’il ressent est déjà une source de réconfort.

2. Créez un espace pour l’expression de ses émotions

  • Pourquoi : La douleur, la peur et la confusion submergent souvent les enfants. Ils ont besoin d’un espace sûr où ils se sentent libres de parler sans craindre de blesser leurs parents
  • Comment faire : Soyez disponible pour lui, invitez-le à partager ses émotions sans minimiser sa douleur. Si un enfant pleure ou exprime de la colère, écoutez-le avec patience. Dites-lui que toutes ses émotions sont valides, et qu’il n’a pas à les refouler.

La Reconstruction de la Sécurité et de la Confiance, Pas à Pas

3. Rétablissez des repères quotidiens

  • Impact : Les enfants ont besoin de stabilité. Des routines réinstallent un sentiment de prévisibilité et de sécurité dans leur vie
  • Comment : Maintenez des rituels constants : le moment des devoirs, l’histoire du soir, le petit déjeuner. Même si les jours changent, gardez des repères stables.

4. Protégez votre enfant des conflits

  • Pourquoi : Les disputes ou tensions prolongées créent un stress énorme chez les enfants, car elles renforcent l’idée que tout est hors de contrôle
  • Comment faire : Engagez-vous à ne pas parler négativement de l’autre parent devant lui. Essayez de gérer les conflits en privé et de vous montrer, dans la mesure du possible, en tant que partenaires responsables et respectueux.

Restaurer un Sentiment de Confiance dans l’Amour et l’Engagement des Parents

5. Montrez à l’enfant qu’il est aimé inconditionnellement

  • Effet : Rappeler que votre amour est inébranlable et qu’il peut compter sur vous est fondamental pour sa stabilité émotionnelle
  • Comment faire : Prenez le temps, chaque jour, de lui rappeler que vous l’aimez. Mettez en avant ses forces, valorisez ses efforts et montrez votre présence, même dans les petites choses.

6. Préservez sa confiance en l’avenir

  • Pourquoi : L’enfant doit croire que, malgré le changement, un nouvel équilibre peut se créer
  • Comment : Parlez-lui du futur de manière positive. Sans faire de promesses irréalistes, dites-lui qu’il retrouvera peu à peu sa sécurité et qu’ensemble, vous construirez une nouvelle stabilité. Soyez honnête, mais rassurant(e).

Favoriser la Résilience : l’Art de Traverser la Tempête Émotionnelle

7. Encouragez votre enfant à se connaître lui-même

  • Impact : Développer la conscience de ses propres émotions aide l’enfant à comprendre que l’angoisse n’est qu’un passage, et non un état permanent
  • Comment faire : Invitez-le à reconnaître ce qu’il ressent, sans pression. Expliquez que les émotions sont comme des vagues : elles viennent et repartent. Ce message simple l’aidera à comprendre que ses émotions n’ont pas de pouvoir éternel sur lui.

8. Consultez-moi si besoin

  • Pourquoi : Certains enfants peuvent avoir besoin de l’aide d’un tiers neutre pour verbaliser ce qu’ils ressentent ou pour comprendre leurs émotions
  • Comment : En fonction de l’âge et des besoins de l’enfant, envisagez une consultation de psychothérapie ou de coaching familial. Un professionnel pourra l’aider à construire ses propres ressources de résilience, et vous accompagner dans ce processus.

Réinstallez la Confiance et la Sérénité pas à pas

Votre enfant peut, avec le temps et votre soutien, reconstruire sa confiance en lui et en ses proches.

Une séparation n’est jamais un événement anodin.

Mais elle peut être l’occasion de se rapprocher de ses besoins profonds et d’apprendre à exprimer ses émotions.

Prendre rendez-vous avec moi pour une consultation peut vous donner, à vous comme à votre enfant, les outils nécessaires pour franchir cette étape ensemble, sereinement.

Alors, êtes-vous prêt(e) à l’accompagner, pas à pas,

vers une nouvelle sécurité ?

L’addiction aux opiacés : la crise silencieuse qui tue.

L’addiction aux opiacés est devenue une des pires crises sanitaires en France.

Aujourd’hui, ces antidouleurs sont la première cause de décès par overdose.

Quand la douleur ouvre les portes d’un piège insoupçonné…

Prenons l’histoire de Lucie (prénom modifié), ingénieure médicale de 34 ans. Après une simple opération des yeux, un ophtalmologue lui prescrit du Dafalgan codéiné pour soulager sa douleur.

Rapidement, Lucie ressent un double effet : la diminution de la douleur, bien sûr, mais aussi une sensation de bien-être physique. Ce qui devait être un traitement temporaire s’est vite transformé en une dépendance omniprésente.

« Tout de suite, j’ai accroché », raconte-t-elle. « Je ne pouvais plus m’en passer. C’était devenu ma béquille pour affronter chaque journée. »

Chaque année, des milliers de Français se retrouvent dans le même piège.

Vous, peut-être ?

Un mal de dos, une migraine persistante, un stress intense… les raisons peuvent sembler banales, mais le risque est bien réel. Ce glissement de l’usage ponctuel à l’addiction est rapide et destructeur.

1. Les opiacés, des alliés trompeurs

Les opiacés, présents dans des médicaments comme la codéine, le tramadol ou la morphine, agissent rapidement et efficacement contre la douleur.

Ce qui en fait une solution précieuse pour les patients souffrants de douleurs aiguës ou chroniques. Mais ils apportent aussi une sensation d’apaisement, de soulagement mental et physique.

Ce qui commence comme une solution devient vite une habitude… puis un besoin.

Aux États-Unis, la crise des opiacés a fait des ravages. En France, elle reste plus discrète, mais les chiffres montrent une augmentation préoccupante des overdoses et des décès liés à ces médicaments.

Les patients, comme Lucie, n’avaient jamais pensé devenir « accros ». Mais les opiacés trompent, ils se présentent comme des alliés contre la douleur et se révèlent comme des ennemis dévastateurs.

2. L’escalade invisible : de la dépendance à l’addiction

Lucie raconte son expérience : après un sevrage douloureux, elle a consulté un ami rhumatologue lors d’une nouvelle crise de névralgie. Connaissant son passé de dépendance, elle lui fait part de ses inquiétudes.

Mais il la rassure : « le Tramadol, ce n’est pas la même chose. »

« Et j’ai replongé. En pire. »

Cette fois-ci, les effets sont encore plus puissants. Le produit agit, mais les doses doivent être augmentées pour continuer à faire effet.

Aujourd’hui, Lucie prend sa dose quotidienne maximale depuis deux ans. Elle planifie ses stocks avant chaque voyage, une routine qui illustre bien l’emprise de l’addiction.

3. La dépendance, un mal caché et mal compris

Un des problèmes majeurs réside dans la perception que nous avons de l’addiction.

Beaucoup associent la dépendance aux drogues illicites, mais oublient qu’une simple prescription d’antidouleurs peut entraîner des effets similaires. Les personnes qui tombent dans ce piège sont souvent des individus sans antécédents de consommation de drogues.

Elles ont suivi un traitement recommandé par un médecin et se retrouvent malgré elles prisonnières d’une substance.

4. Des solutions : prévention, éducation, et alternatives

Informer les patients : avant de prescrire des opiacés, les professionnels de la santé devraient sensibiliser les patients aux risques potentiels, et à la durée limite de consommation.

Encourager les alternatives thérapeutiques : pour les douleurs chroniques, il existe d’autres approches qui n’impliquent pas d’opiacés, comme la physiothérapie, la méditation, l’auto-hypnose ou la thérapie cognitive et comportementale.

Accompagnement au sevrage : le sevrage des opiacés est difficile, voire dangereux sans assistance. Les patients ont besoin d’un encadrement adapté et d’un soutien psychologique.

Lucie l’affirme aujourd’hui : “Je ne peux plus m’en sortir seule”.

Elle représente des milliers d’autres individus, discrets, invisibles, qui luttent quotidiennement contre cette dépendance.

Libérez-vous d’une prison invisible…

La France est encore en mesure de limiter cette crise.

Mais pour cela, il est impératif de reconnaître les dangers des opiacés et d’agir avec force et compassion. L’histoire de Lucie montre la puissance et l’emprise de ces médicaments.

Alors, êtes-vous prêt

à briser le silence sur ce fléau ?

Votre corps crie stop…

L’écoutez-vous vraiment ?

Le burn-out n’est pas qu’une simple fatigue passagère.

C’est un signal d’alarme, un cri silencieux de votre corps et de votre esprit qui vous supplient de ralentir.

Mais voilà, trop souvent, nous ignorons ces signes.

Un jour de plus à ignorer le burn-out, c’est un jour de trop.

Guérir du burn-out, c’est possible, mais cela demande du temps et une approche adaptée.

Voici les 5 étapes essentielles :

  • Couper avec le travail : Un arrêt maladie est indispensable. Deux à trois mois sont fréquemment nécessaires pour vous reposer, refaire le plein d’énergie et vous  reconnecter à vous-même. Ce n’est pas un luxe, c’est une nécessité

  • Se recentrer sur soi : Relaxation, sport doux, moments calmes… Ces activités doivent être au centre de votre quotidien. Elles aident à vous ressourcer, à retrouver un équilibre intérieur

  • Thérapie comportementale et cognitive : C’est l’une des approches les plus efficaces scientifiquement prouvées. Elle permet de redéfinir vos pensées, d’apprendre à gérer le stress et à éviter les comportements épuisants, découvrir quelles valeurs ont été ignorées, enlever vos croyances limitantes. Une aide médicamenteuse peut aussi être envisagée si nécessaire, mais elle doit rester temporaire.

  • Un retour progressif au travail : La peur de rechuter, de ne pas être à la hauteur, est normale. Un retour progressif (30 %, puis 50 %, etc.) est essentiel. Le soutien de votre médecin, de votre psy, de vos collègues et de vos proches est fondamental

  • Éviter la rechute : Un suivi continu, une bienveillance autour de vous, et une écoute attentive de votre corps vous éviteront de replonger. Il faut réapprendre à mettre des limites et à se préserver.

Rappelez-vous : guérir du burn-out, c’est un cheminement, pas une course.

L’essentiel est de ne pas brûler les étapes et de respecter votre rythme.

Si vous ne vous arrêtez pas, votre corps le fera pour vous.

Quels sont les signaux que votre corps vous envoie aujourd’hui,

et que vous ignorez ?

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📞  Appelez-moi au 06 2339 0707 (ou un mail à psytoulouse@gmail.com) pour réserver une séance en présentiel à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.). Avec mon soutien, tout finira par s’arranger 🙂

Depuis 1988, j’aide les personnes à se sentir mieux, retrouver leur bien-être, avec les Thérapies Comportementales et Cognitives (analyse transactionnelle, EMDR, ennéagramme, hypnoses éricksonienne et profonde, PNL, sophrologie, etc.)

« Le silence était assourdissant.

Les murs de ma chambre, autrefois un refuge, semblaient se refermer sur moi. Chaque respiration était un combat. Chaque pensée, un tourbillon sombre. J’étais prisonnier de mon propre esprit.

C’était il y a un an.

Aujourd’hui, je respire.

Je vis.

Je souris même parfois.

Que s’est-il passé ?

J’ai fait le pas. J’ai demandé de l’aide. »

La maladie mentale (troubles anxieux, dépression, burnout, etc) n’est pas une sentence. C’est un défi.

Un défi que vous n’avez pas à affronter seul.

Imaginez un instant.

Vous avez une jambe cassée.

Resteriez-vous chez vous, espérant qu’elle guérisse toute seule ? Non. Vous iriez voir un médecin.

Alors pourquoi traiter différemment votre santé mentale ?

« La plus grande découverte de ma génération est que les êtres humains peuvent modifier leur vie en modifiant leur état d’esprit. » William James

Cette citation a changé des vies. Elle pourrait changer la vôtre.

Parlons chiffres.

Saviez-vous que selon l’OMS, une personne sur quatre souffrira d’un trouble mental au cours de sa vie ? Vous n’êtes pas seul. Loin de là.

Mais voici le plus important : 80% des personnes traitées pour dépression voient une amélioration de leurs symptômes.

80% ! C’est énorme.

Je sais ce que vous pensez. « Ça ne marchera pas pour moi. » « Je suis différent. » « Mon cas est trop grave. »

Beaucoup de mes clients ont ces mêmes pensées. Ils se mentaient à eux-mêmes.

La thérapie n’est pas magique.

Ce n’est pas un remède miracle.

C’est un chemin. Un engagement pour se sentir mieux et autonome.

Parfois difficile, souvent libérateur.

Imaginez-vous sur une plage.

Les vagues arrivent sur le rivage. Chaque vague emporte un peu de votre douleur. Chaque reflux vous rend plus fort. C’est ça, la thérapie.

Vous méritez cette paix. Vous méritez cette force.

« Le courage ne rugit pas toujours. Parfois, le courage est cette petite voix à la fin de la journée qui dit ‘J’essaierai à nouveau demain’. » Mary Anne Radmacher

Votre courage, c’est d’être ici. De lire ces mots. D’envisager un changement.

Laissez-moi vous raconter une histoire.

Celle de Marie.

Marie était cadre dans une grande entreprise. De l’extérieur, sa vie semblait parfaite. Pourtant, chaque matin était une lutte. Se lever. S’habiller. Sourire.

Un jour, elle a craqué. En pleine réunion. Larmes. Tremblements. Panique.

Ce jour-là, Marie a pris une décision.

Demander de l’aide.

Six mois plus tard, Marie ne se reconnaissait plus. Plus d’énergie. Plus de joie. Plus d’espoir.

La thérapie ne l’a pas changée.

Elle l’a révélée. À elle-même.

Vous aussi, vous avez cette force en vous. Cette lumière. Parfois, on a juste besoin d’aide pour la rallumer.

« La guérison est un processus, pas un événement. » Outil de rétablissement des Gamblers Anonymous

Chaque séance est un pas.

Chaque conversation, une victoire.

Parlons pratique.

Comment ça se passe, une thérapie ?

  1. Vous prenez rendez-vous. C’est le pas le plus difficile. Et le plus important
  2. Vous parlez. De tout. De rien. De vos peurs. De vos espoirs
  3. Je vous écoute. Sans jugement. Avec bienveillance
  4. J’utilise les TCC (hypnoses, PNL, Analyse Transactionnelle, etc.)
  5. Ensemble, vous trouvez des solutions. Des outils. Des ressources
  6. Vous les mettez en pratique. Pas à pas. Jour après jour
  7. Vous grandissez. Vous vous épanouissez. Vous vivez !

C’est simple ? Non.

C’est possible ? Absolument.

« La plus grande gloire n’est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute. » Confucius

Vous êtes tombé ? Relevez-vous. Avec mon aide.

La maladie mentale n’est pas une faiblesse. C’est une partie de vous. Pas la totalité.

Vous êtes tellement plus.

Vous êtes un ami. Un parent. Un collègue. Un rêveur. Un battant.

Donnez-vous la chance de le redécouvrir.

Imaginez.

Dans un an. Trois ans. Cinq ans.

Où serez-vous ?

Qui serez-vous ?

Avec mon aide, les possibilités sont infinies.

N’attendez plus.

Aujourd’hui est le jour. Votre jour.

Prenez votre téléphone.

Cherchez « psychopraticien-hypnothérapeute près de chez moi ». Appelez.

C’est effrayant ? Oui.

Ça en vaut la peine ? Plus que vous ne pouvez l’imaginer.

Vous n’êtes pas seul.

Vous êtes fort. Vous êtes courageux.

Et vous méritez d’être heureux.

Alors, qu’allez-vous faire maintenant ?

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Depuis 1988, j’aide les personnes à se sentir mieux, retrouver leur bien-être, avec les Thérapies Comportementales et Cognitives (analyse transactionnelle, EMDR, ennéagramme, hypnoses éricksonienne et profonde, PNL, sophrologie, etc.)

Il y a deux grandes erreurs dans la vie :

  1. S’inquiéter de ce que les autres pensent de vous
  2. Croire que les autres pensent à vous

En fait, nous pensons que tout le monde pense à nous…, mais ce n’est pas le cas.

C’est l’effet Spotlight, phénomène psychologique courant.

C’est une tendance à croire que les autres nous remarquent plus qu’ils ne le font vraiment (que les autres remarquent ou observent nos actions, nos comportements, notre apparence ou nos résultats).

Exemple : timidité, manque de confiance, burnout, troubles anxieux.

Vous n’avez pas peur d’échouer, mais vous avez peur de ce que les autres penseront de vous si vous échouez.

Vous avez peur de ce que les autres penseront de vous si vous échouez.

Eh bien, personne ne pense à vous. Ils sont trop occupés à penser à eux-mêmes !

Alors, allez-y.

Faites-le !

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Depuis 1988, j’aide les personnes à se sentir mieux, retrouver leur bien-être, avec les Thérapies Comportementales et Cognitives (analyse transactionnelle, EMDR, ennéagramme, hypnoses éricksonienne et profonde, PNL, sophrologie, etc.)

La tragédie des antidouleurs : comment l’Amérique a été dévastée par les opioïdes.

Chaque année, des dizaines de milliers de vies se terminent brusquement, victimes d’une dépendance qui n’a rien d’accidentelle.

L’addiction aux opioïdes, des antidouleurs ultra-puissants, a détruit la vie de près de 300 000 personnes aux États-Unis.

En seulement vingt ans.

Dans ce scandale sanitaire d’une ampleur sans précédent, les statistiques prennent un visage humain.

1. Un drame qui touche tous les milieux

Les antidouleurs opioïdes n’ont pas épargné de catégorie sociale. Hommes, femmes, enfants – tous sont concernés.

Des douleurs bien réelles, comme l’arthrose ou la sciatique, les ont d’abord poussés vers ces médicaments “miracles”.

En réalité, ils n’ont trouvé qu’une accoutumance qui allait leur coûter bien plus que la douleur initiale.

Exemple : une mère de famille s’effondrant en plein supermarché, sous les yeux de son enfant. Un quadragénaire tombant dans le coma en voiture. Ou encore Emma, ce bébé qui, né dépendant, aurait besoin de huit doses de morphine par jour pour survivre.

2. Le piège de l’OxyContin : le début d’un cercle vicieux

Au cœur de ce désastre se trouve un médicament : l’OxyContin, un antidouleur lancé en 1996 par le laboratoire Purdue.

  • Sa promesse ? Soulager les douleurs efficacement et sans risque.
  • La réalité ? Ce médicament, deux fois plus puissant que la morphine, a rapidement installé une dépendance effrayante.

Les prescriptions étaient encouragées par des médecins grassement payés pour assurer de son innocuité.

Le succès est fulgurant.

Pourtant, le prix à payer s’est révélé terrible : les patients modèles choisis pour vanter le médicament sont, pour la plupart, décédés.

Une survivante vit aujourd’hui un enfer ; ayant dû augmenter les doses sans fin pour calmer une douleur qui ne faisait que se renforcer.

3. Les familles et la société piégées par une industrie influente

Comment expliquer qu’une telle catastrophe ait pu prendre tant d’ampleur ?

La réponse est simple : le poids du lobby pharmaceutique.

Le laboratoire Purdue a utilisé toutes les méthodes possibles pour encourager la consommation de ses produits.

Des visiteurs médicaux, à la manière de vendeurs, n’hésitaient pas à pousser les médecins à prescrire des doses élevées. Plus la prescription montait, plus leurs primes s’envolaient.

La famille Sackler, propriétaire de Purdue, a gagné des milliards en multipliant les prescriptions d’OxyContin, restant dans l’ombre pendant que la crise s’intensifiait.

4. La chute : des procès en cascade contre Purdue et les Sackler

Depuis quinze ans, les autorités ont tenté de faire tomber Purdue.

En 2007, trois cadres du laboratoire ont plaidé coupable, une amende de 600 millions de dollars a été infligée.

Mais les efforts semblent dérisoires face à la puissance du lobby des opioïdes.

Aujourd’hui, l’étau se resserre : des centaines de villes américaines et d’avocats se sont lancés dans des procédures judiciaires contre la famille Sackler et leur laboratoire.

Ce scandale sanitaire est bien plus qu’un simple chiffre.

Il est le miroir d’une société piégée par l’avidité de quelques-uns.

En France,

nous sommes encore loin de ces chiffres,

mais peut-on vraiment rester à l’abri d’un tel fléau ?

N’attendez pas le 10 octobre, journée mondiale de la santé mentale !
https://www.who.int/fr/campaigns/world-mental-health-day

Vous avez longtemps porté ce poids sur vos épaules.

Vous avez tenté de tenir bon, jour après jour, en espérant que ça passerait.

Mais, soyons honnêtes : cela ne passe pas, n’est-ce pas ?

La vérité, c’est qu’il y a des choses qu’on ne peut pas affronter seul. Et ce n’est pas grave. Vous n’avez pas à tout gérer, tout comprendre, tout résoudre par vous-même.

Bientôt, c’est la Journée des maladies mentales.

Un moment pour se rappeler que vous n’êtes pas seul. Que derrière chaque sourire forcé, chaque nuit sans sommeil, il y a une personne qui souffre en silence.

Et peut-être que cette personne, c’est vous.


« Je vais vous raconter une histoire. »

Il y a quelques années, une femme nommée Marie traversait une période sombre. De l’extérieur, tout semblait aller bien. Elle avait un bon travail, une belle maison, des amis. Mais à l’intérieur, elle se noyait. Chaque matin, elle devait trouver l’énergie de se lever, de sourire, de faire semblant.

Un jour, épuisée, elle a décidé de franchir une étape qu’elle n’aurait jamais imaginée : aller me voir, moi, un psy. Elle pensait que cela ferait d’elle quelqu’un de « faible », que je la jugerai. Mais c’est là que tout a commencé à changer pour elle.

Le premier pas est souvent le plus difficile, mais il est aussi le plus puissant.

Marie n’était pas faible. Elle était courageuse.


Les maladies mentales ne sont pas visibles, mais elles sont bien réelles.

On ne les voit pas sur une radiographie, elles ne laissent pas de cicatrices sur la peau.

Mais elles marquent profondément, à l’intérieur. Elles affectent la manière dont vous pensez, ressentez, et interagissez avec le monde.

Anxiété, bipolarité, dépression, burn-out… Ces mots vous parlent peut-être.

Ou probablement que vous ne savez même pas comment mettre un nom sur ce que vous ressentez. Et c’est normal.

Mais sachez que vous n’avez pas à attendre d’avoir « touché le fond » pour demander de l’aide. La souffrance mentale n’a pas besoin d’être extrême pour être prise au sérieux.


« Pourquoi n’osez-vous pas ? »

Peut-être que vous avez peur d’être jugé. Certainement que vous pensez que votre problème n’est « pas assez grave ». Probablement que vous croyez encore que vous pouvez vous en sortir seul, comme vous l’avez toujours fait.

Mais imaginez un instant : et si mon aide que vous repoussez depuis si longtemps était la clé pour enfin vous sentir léger ? Pour vous libérer de ce fardeau que vous portez chaque jour ?

Parler à un psy, c’est comme allumer une lumière dans une pièce obscure. Peu à peu, les choses deviennent plus claires, plus gérables. Vous vous rendez compte que vous n’êtes pas si perdu, que vous pouvez trouver des solutions, que vous pouvez guérir.

Un pas. Juste un petit pas. Le vôtre.


« Un psychopraticien (ou un hypnothérapeute), n’est pas là pour vous juger, mais pour vous écouter. »

C’est une main que je vous tends. Je suis formé pour comprendre ce que vous vivez, pour vous aider à mettre des mots sur vos émotions, sur vos blocages. Parfois, tout ce dont vous avez besoin, c’est de dire à haute voix ce que vous gardez à l’intérieur.

Je vous guide, sans vous forcer, sans vous presser. Je suis là pour vous accompagner à votre rythme. Et croyez-moi, cela change tout.

« D’accord, mais combien de temps cela prendra-t-il pour aller mieux ? »

Chaque parcours est unique.

Certains trouvent rapidement un soulagement, d’autres prennent un peu plus de temps. Mais le plus important, c’est que chaque séance, chaque échange, vous rapproche de la guérison.

C’est comme un puzzle. Au début, les pièces semblent éparpillées, sans logique. Puis, peu à peu, elles s’assemblent. Et vous commencez à voir l’image. Votre image.


« Ce n’est pas juste vous. C’est nous tous. »

Les chiffres sont là. Près d’une personne sur cinq souffrira d’un trouble mental au cours de sa vie. Cela signifie que des millions de gens vivent, comme vous, avec cette douleur invisible. Mais parmi eux, beaucoup ont trouvé un chemin vers la guérison grâce à mon soutien et mon accompagnement.

Et vous aussi, vous pouvez y arriver.

Regardez autour de vous. Les personnes qui réussissent, qui semblent avoir tout compris dans la vie, beaucoup d’entre elles ont, à un moment donné, franchi cette même porte. Celle d’un cabinet d’un psy qui a de l’expérience, et vous saurez que les choses avancent.

« Je vais vous donner un autre exemple. »

Sophie, cadre dynamique chez Airbus, pensait qu’elle devait être forte en toute circonstance. Qu’avouer son épuisement était une faiblesse. Jusqu’au jour où, à bout de souffle, elle s’est effondrée.

Elle a dû prendre une pause.

Elle m’a contacté. À travers nos discussions, elle a réalisé que sa course effrénée derrière la performance était une manière d’éviter ses propres insécurités. Grâce à ce travail sur elle-même, Sophie est revenue plus sereine, plus équilibrée. Elle a appris à dire « non », à se respecter.

Aujourd’hui, elle se sent plus épanouie qu’elle ne l’a jamais été.


« Vous avez le droit d’aller mieux. »

Vous avez le droit de dire « stop » à ce qui vous fait du mal.

Vous avez le droit de prendre du temps pour vous.

Prendre soin de votre santé mentale, c’est prendre soin de votre vie, de vos rêves, de vos relations.

Ne vous laissez pas piéger par l’idée que « ça ira mieux tout seul ». Parce que, souvent, cela ne s’améliore pas sans aide.

Et c’est OK d’en demander.

« Savez-vous ce que vous pourriez découvrir en franchissant la porte de mon cabinet? »

Imaginez un avenir où vous vous sentez plus léger, où vos pensées ne sont plus un fardeau, où vous vous réveillez avec plus de sérénité. Cet avenir est possible.

Il commence par une décision simple, mais puissante : celle de ne plus affronter cela seul.

Alors, aujourd’hui, faites le premier pas.

Appelez-moi pour que je vous écoute. Ouvrez cette porte.

Et vous, que ferez-vous pour prendre soin de votre santé mentale aujourd’hui ?

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Depuis 1988, j’aide les personnes à se sentir mieux, retrouver leur bien-être, avec les Thérapies Comportementales et Cognitives (analyse transactionnelle, EMDR, ennéagramme, hypnoses éricksonienne et profonde, PNL, sophrologie, etc.)

Le burn-out n’est pas qu’une simple fatigue.

C’est un signal d’alarme.

Un cri intérieur qui dit qu’il est temps de changer.

Voici comment vous pouvez commencer à guérir.

Vous reposer : Le premier pas vers la guérison

Le burn-out puise ses racines dans le surmenage. Le corps et l’esprit sont épuisés.

Un arrêt de travail est souvent nécessaire pour s’éloigner du quotidien professionnel et reprendre des forces. C’est le moment de vous reconnecter à vous-même, de laisser le stress retomber et de vous détendre.

Mais attention, trop s’éloigner de son travail peut rendre le retour difficile.

Votre corps saura vous dire quand il est temps de reprendre, une fois que l’épuisement aura laissé place à une sensation de légèreté retrouvée.

Posez-vous les bonnes questions : Comprendre pour avancer

Pourquoi suis-je épuisé ?

D’où vient ce stress constant ?

Est-ce vraiment ce métier qui me convient ?

Ces questions sont essentielles pour aller de l’avant.

L’épuisement professionnel est généralement le reflet d’un déséquilibre dans votre vie quotidienne. Comprendre ses sources permet d’agir à la racine.

Parfois, une réorganisation de votre vie, ou même un dialogue avec votre employeur, peut suffire à apaiser certaines tensions.

Je dis souvent : votre burn-out, c’est comme si vous marchiez avec des chaussures trop petites. À un moment, vous devez les enlever, et comprendre pourquoi vous les portiez depuis trop longtemps.

Suivez un traitement adapté : votre clé de la reconstruction

Tout burn-out n’est pas identique, mais tous requièrent un traitement.

Parfois, un arrêt de travail prolongé est indispensable.

Par moment, un soutien médicamenteux léger.

Ce qui est toujours nécessaire, c’est une prise en charge psychologique. Des thérapies cognitivo-comportementales, de l’hypnose profonde et de l’auto-hypnose, de la relaxation ou encore la méditation vous aideront à retrouver un équilibre.

Mon travail de psy-coach est un grand soutien pour explorer les causes profondes de votre épuisement.

Et n’oubliez pas : le retour au travail doit être préparé.

La visite de pré-reprise est un moment clé. Elle permet d’organiser un retour progressif et adapté.

Travailler de nouveau, mais différemment.

Et vous,

quand allez-vous écouter votre corps

avant qu’il ne vous crie de l’aide ?

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Ensemble, et accompagné, tout finira par s’arranger 🙂

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Le burn-out, un fléau silencieux.

(mais vous pouvez vous en sortir)

Un matin, tout s’effondre.

Le réveil sonne, mais le corps refuse de bouger. La fatigue n’est plus physique, elle est ancrée profondément, dans l’âme.

C’est ça, le burn-out. Et il frappe sans prévenir.

Comment s’en sortir ?

Comment retrouver l’énergie de vivre ?

Voici les clés essentielles pour guérir, sans tomber dans l’excès des solutions miracles.

1 / Stopper. Respirer.

La première étape est simple, mais cruciale :

Arrêtez de travailler !

L’épuisement est tel que vous devez accepter de faire une pause. Un arrêt-maladie de deux à trois mois est souvent nécessaire.

C’est l’occasion de vous reposer, physiquement et mentalement. Le sport doux, la relaxation, et surtout reprendre des activités que vous aimez, mais sans pression. Il ne s’agit pas de « faire plus », mais de « faire mieux ».

Mon premier mantra : « Le repos n’est pas un luxe, c’est une nécessité pour retrouver l’équilibre. « 

2 / Fatigue extrême, démotivation, perte de sens… Et si c’était le moment de tout stopper pour mieux renaître ?

L’aide d’un thérapeute : indispensable.

Le burn-out n’est pas qu’un simple coup de fatigue.

S’occuper de soi, c’est aussi accepter de se faire aider par un psy. Les thérapies cognitivo-comportementales (TCC) sont particulièrement efficaces. Elles offrent des outils concrets pour libérer les émotions négatives, affronter les pensées négatives, et reprendre confiance en soi (entre autres). Plusieurs séances seront nécessaires pour vous accompagner vers un nouveau départ.

Dans les cas les plus graves, des antidépresseurs peuvent être prescrits, mais toujours sous la supervision d’un médecin. Le but n’est pas de masquer la douleur, mais de l’accompagner dans un processus de guérison.

3 / Prévenir la rechute.

Une fois votre repos assuré, vient l’étape délicate du retour au travail.

Elle fait peur. C’est normal.

La peur de ne plus être à la hauteur, d’être jugé, et pire, de rechuter. Ici, la reprise doit être progressive, sous l’œil attentif du médecin du travail. Un temps partiel thérapeutique peut être mis en place : 30 %, puis 50 %, jusqu’à retrouver pleinement ses forces.

Mon deuxième mantra : « Revenir à soi est un voyage. Pas une course. »

Le soutien de l’entourage professionnel est vital. Les collègues, la hiérarchie, tous doivent faire preuve de bienveillance. Créer un climat de confiance est essentiel pour vous éviter le retour du burn-out.

L’équilibre entre sur-médicalisation et sur-analyse.

Attention à ne pas tomber dans l’excès.

Ni la surmédicalisation, ni la sur-analyse des relations professionnelles ne sont la solution.

Ce qui compte, c’est d’écouter votre corps, d’accepter ses limites et de prendre du recul.

Les solutions miracles sont nombreuses, mais rarement efficaces sur le long terme. L’important est de trouver un rythme de vie qui vous respecte.

Le burn-out n’est pas une faiblesse. C’est un signal d’alarme que votre corps vous envoie. La guérison demande du temps, du soutien et un travail sur soi.

Et vous,

êtes-vous prêt à écouter

ce que votre corps vous dit vraiment ?

 

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(Hypocondrie : une peur dévastatrice. L’hypocondrie n’est pas juste une peur de la maladie. C’est une obsession qui contrôle la vie)

Vous n’êtes pas malade.

Votre esprit vous joue des tours.

Imaginez un monde avec lequel votre corps cesse de vous alarmer en permanence. Un monde où la peur irrationnelle de la maladie disparaît.

L’hypnose est cette porte vers la liberté. Vers une vie sans cette constante angoisse de l’hypocondrie.

Delphine, 34 ans, ancienne cliente, raconte : « Dès l’enfance, je cherchais constamment des symptômes. Plus je lisais sur la médecine, plus ma peur grandissait. » Cette angoisse, amplifiée par l’information médicale, la plonge dans une spirale de panique. À tel point qu’une simple toux déclenche ses crises.

L’hypnose ericksonienne, un remède inattendu.

Mais comment en sortir ?

Léa a choisi l’hypnothérapie profonde à mon cabinet toulousain.

L’hypnose ne guérit pas au sens médical.

Elle révèle des ressources profondes, enfouies en nous. C’est une aide précieuse. L’hypnose permet de réveiller des capacités intérieures. Pas de magie. Pas de contrôle. Juste un accès direct à ce qui est en nous. C’est une méthode douce, qui peut ressembler à :

  • une méditation, où l’on est conscient et détendu à la fois
  • ou bien à un sommeil profond, avec une distorsion temporelle par exemple*.

Comprendre le message caché

L’hypocondrie, comme toutes les phobies, cache souvent une intention positive. Ce n’est pas la maladie (le symptôme) que l’on fuit, mais un problème plus profond (la cause).

Un jeune patient, autrefois paralysé par sa peur de mourir, a découvert grâce à l’hypnose que son hypocondrie venait d’une blessure amoureuse non cicatrisée. Son inconscient l’alertait sur ce qu’il fuyait vraiment : l’amour.

La clé, c’est vous

En quatre séances, Delphine a changé.

Son hypocondrie s’est envolée lorsqu’elle a exploré une autre facette de sa personnalité, celle d’une « potentielle surdouée ».

Plus besoin de diagnostic formel. La simple découverte de cette hypothèse a suffi pour désamorcer sa peur.

Depuis, elle fait face aux maladies sans angoisse.

Et vous, êtes-vous prêt

à explorer vos propres ressources inconscientes

pour guérir ?

⇾ *L’hypnose ericsonienne et somnambulique, un atout puissant contre l’hypocondrie

L’hypnose somnambulique va encore plus loin. C’est un état d’hypnose profond, où l’esprit devient extrêmement réceptif aux suggestions. Contrairement à l’hypnose légère, ici, le conscient s’efface presque entièrement, laissant la voie libre à l’inconscient pour travailler. Pour les hypocondriaques, cet état est particulièrement bénéfique. Il permet de reprogrammer des schémas de pensée ancrés, souvent responsables de la peur maladive. Les croyances limitantes, comme l’obsession de la maladie, peuvent être directement adressées et modifiées en profondeur. Cette approche rapide et efficace donne des résultats spectaculaires, parfois en une ou deux séances.

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Vous ne vous en rendez peut-être pas encore compte, mais il est temps de changer de job.

7 conseils pour une prise de conscience ci-dessous.

Il y a des signes que l’on ignore, par habitude, par confort.

Mais ces signaux sont là, et ils ne mentent pas.

Si vous en reconnaissez certains, il est probablement temps de franchir le pas.

Votre carrière stagne : Si depuis trois ans, ni promotion ni augmentation ne sont à l’horizon, vous n’êtes sûrement plus une priorité pour votre employeur. Vous méritez mieux que ce statu quo.

Aucune reconnaissance : Si votre travail n’est plus remarqué, c’est un message clair. Sans feedback ni reconnaissance, pourquoi restez-vous ? Vous valez plus que de l’indifférence.

Vous n’apprenez plus rien : Une journée de travail sans évolution, c’est un signe. Vous méritez un environnement dans lequel vous progressez chaque jour, personnellement et professionnellement.

Le turn-over explose : Quand vos collègues talentueux quittent le navire, posez-vous la question : pourquoi sont-ils partis ? Une entreprise qui voit partir ses meilleurs éléments pourrait être en déclin.

Restructuration en vue : Une réorganisation ? Un changement de direction ? C’est souvent l’occasion de réfléchir à un nouveau départ. Profitez-en pour écrire le prochain chapitre de votre carrière.

Les chasseurs de têtes vous appellent : Si des recruteurs vous contactent régulièrement, ne fermez pas les yeux. C’est peut-être l’opportunité que vous attendiez. Saisissez-la.

Votre instinct vous le dit : Parfois, la meilleure boussole, c’est votre intuition. Si au fond de vous, vous sentez que c’est le bon moment pour partir, suivez votre ressenti.

Quittez en beauté, comme un champion qui quitte après avoir triomphé !

Alors, êtes-vous prêt à écouter ces 7 signes

et à envisager un nouveau départ ?

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Le porno lui a volé 14 ans de sa vie.

Voici comment il a réussi à s’en libérer.

  • L’addiction cachée, une lutte solitaire :

    Alain, 32 ans, a été prisonnier de la porno dépendance pendant 15 ans. Un piège silencieux qui l’a isolé dans la honte et la souffrance. Il me raconte son combat pour se libérer d’une addiction souvent banalisée, mais qui peut détruire des vies.

    Ce n’est qu’une vidéo, se dit-il au début. Mais pour lui, cela fini par devenir un refuge toxique. Une obsession qui l’a éloigné de lui-même et des autres.

  • L’escalade insidieuse dès l’adolescence :

    Tout a commencé à 11 ans, lorsqu’il est tombé par hasard sur une cassette érotique. « Ces premières images m’ont fasciné. » Au fil du temps, le besoin de revoir ces scènes s’est installé, de façon plus intense, plus fréquente.

    Vers 15-16 ans, Alain est passé de la simple curiosité à une consommation régulière et incontrôlée de porno. La facilité d’accès via Internet n’a fait qu’aggraver la situation. Cette addiction a progressivement envahi son quotidien. Transformant ses désirs en réflexes mécaniques, vidés de tout plaisir.

  • Un impact dévastateur sur la vie de couple :

    À 24 ans, Alain rencontre celle qui deviendra sa femme. Mais loin de s’apaiser, son addiction complique encore plus sa relation amoureuse. « Je ne voyais plus ma compagne, je ne voyais que les images du porno dans ma tête. »

    Le porno s’invitait dans leur intimité.  Brouillant les lignes entre réalité et fantasme, le laissant souvent déconnecté durant leurs moments à deux. Il sentait que sa compagne souffrait de cette distance invisible.

    Cette addiction, dont il ne pouvait se libérer seul, menaçait de tout détruire.

  • Le début de la guérison par la transparence :

    En un acte de courage, Alain décide de tout avouer à sa femme. C’était un appel au secours déguisé. C’est aussi courageux.

    Ensemble, ils mettent en place des filtres parentaux. Un moyen pour Alain de reprendre le contrôle sur son accès au porno. « Ça a été une étape énorme, car je savais que si je craquais, il y aurait cette barrière pour m’aider. » Ce soutien, ainsi que la possibilité de discuter ouvertement avec sa femme, a été crucial pour ses premiers pas vers la guérison.

  • Une alternative pour se sentir mieux : le bien-être physique :

    C’est après la première grossesse de sa femme que Florent découvre un autre moyen de se libérer de cette spirale.

    Ils décident de perdre du poids ensemble et, rapidement, il se rend compte qu’en prenant soin de son corps, il ressentait de moins en moins le besoin de se tourner vers le porno. « Je remplaçais la quête de plaisir immédiat par celle d’un équilibre de vie. »

    En travaillant sur son bien-être physique, Alain trouve une autre source de satisfaction, moins destructrice, plus saine. Cette quête du bien-être devient son nouvel allié dans la lutte contre l’addiction.

  • Le fidèle allié, son psy-coach qui :

    1. l’a aidé à briser le cercle vicieux de la dépendance en lui offrant des outils concrets pour reprendre le contrôle. Sans rechute.
    2. lui a créé un espace de confiance où la honte n’a plus de place.
    3. par des techniques comme l’hypnose ericksonienne, lui a appris à remplacer les comportements compulsifs par des habitudes saines.
    4. l’a accompagné pour retrouver l’estime de lui, et à reconstruire des relations affectives plus authentiques.

  • Un chemin de guérison long, mais gratifiant :

    Les efforts d’Alain portent enfin leurs fruits. Après quatre ans de contrôles parentaux et de soutien inébranlable de sa femme, six mois de psychothérapie, il réussit à décrocher définitivement. « Aujourd’hui, je peux dire que je suis guéri. » Il a appris à gérer ses pulsions, à se reconnecter à lui-même, et à ceux qu’il aime. Son expérience lui a appris que la guérison est un long processus, fait de petites victoires et de grands défis. Mais qu’elle est possible !

  • Une vigilance constante : Alain sait que l’addiction peut toujours revenir. Il ne milite pas contre la pornographie ni la masturbation, mais met en garde contre leurs dérives lorsqu’elles deviennent des pièges invisibles, destructeurs.

Aujourd’hui, Alain partage son histoire pour aider ceux qui, comme lui, se sentent piégés.

Son message est simple : on peut reprendre le contrôle de sa vie, mais cela demande une prise de conscience, du soutien d’un thérapeute, et surtout de patience et de volonté.

Et si vous faisiez le premier pas aujourd’hui,

avec mon aide,

pour reprendre le contrôle ?

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« Le porno a volé 15 ans de ma vie. Voici comment j’ai repris le contrôle. »

Une addiction silencieuse : Alain, 32 ans, a vécu 15 ans dans l’ombre de la porno dépendance, un piège invisible qui l’a isolé et rongé peu à peu.

L’escalade dès l’adolescence : à 11 ans, il découvre le porno par hasard. L’addiction s’installe progressivement. Devenant incontrôlable à l’adolescence. Il se perd dans des pratiques compulsives, hanté par des images.

Des répercussions sur sa vie de couple : Alain rencontre sa femme à 24 ans, mais l’obsession pour le porno sabote leur intimité. Il se sent coupable, déconnecté, incapable de s’épanouir.

Le premier pas vers la guérison : en avouant sa dépendance à sa compagne, il trouve un soutien clé. Ensemble, ils installent des contrôles parentaux pour limiter l’accès au contenu ; une barrière symbolique, mais essentielle.

Trouver une nouvelle quête de bien-être : la perte de poids devient un tournant. En remplaçant l’addiction au porno par un équilibre de vie, il reprend confiance en lui.

Une guérison lente, mais durable : quatre ans après le début des contrôles parentaux, Alain réussit à décrocher définitivement. Sans autre aide que celle de sa femme, sa propre détermination, et le suivi avec moi.

Et si reprendre le contrôle de votre vie

commençait par un simple pas en avant ?

 

 

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Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

Les troubles anxieux touchent 20 % des adultes.

Frappant deux fois plus les femmes.

Ils se manifestent par une anxiété persistante qui perturbe la vie quotidienne.

5 différents types existent :

  • Anxiété généralisée : inquiétude permanente, difficile à contrôler, limitant vos activités
  • Trouble panique : attaques de panique répétées, imprévisibles, associées à une peur intense
  • Phobies : anxiété déclenchée par des objets ou des situations spécifiques, ou crainte des interactions sociales
  • Trouble obsessionnel-compulsif (TOC) : obsessions et compulsions pour apaiser l’anxiété
  • Stress post-traumatique : revivre un traumatisme passé, avec des souvenirs envahissants.

Peut-être avez-vous remarqué que les causes peuvent être variées :

  1. Événements traumatisants
  2. Vulnérabilités biologiques
  3. Dysfonctionnements cérébraux
  4. Certaines maladies
  5. Des parents eux-mêmes anxieux.

Les traitements peuvent associer des thérapies (cognitivo-comportementale, soutien), et des médicaments (anxiolytiques, antidépresseurs). La psycho-éducation fonctionne aussi très bien.

La thérapie cognitivo-comportementale aide à gérer l’anxiété en changeant les pensées irrationnelles et les comportements inadaptés.

Un esprit en proie à l’anxiété est un esprit prisonnier.

Libérez vos angoisses.

Et vous, comment faites-vous face à vos sensations et émotions qui vous remplissent ?

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Si oui, vous n’êtes pas seul.

Ce malaise profond a un nom : le brown-out.

Comme une baisse de tension en électricité, ce syndrome décrit une perte de sens qui épuise progressivement l’individu.

Voici ce que je vous propose pour que vous compreniez ce phénomène de plus en plus courant.

Quand le travail perd son sens

Le brown-out survient lorsque votre travail, au lieu de vous stimuler, vous plonge dans une monotonie accablante. Les tâches, autrefois intéressantes, deviennent soudainement dépourvues de sens.

Cela peut se produire suite à un événement précis, comme l’échec d’un projet important. Ou simplement à cause de la répétition constante de tâches sans but apparent.

Pour certains, cette perte de sens est liée aux fameux bullshit jobs, ces emplois qui, selon l’anthropologue David Graeber, sont dépourvus de véritable utilité sociale. Et peuvent générer une souffrance réelle chez ceux qui les occupent.

Les signes du brown-out

Les symptômes du brown-out sont variés, mais tous traduisent un désengagement profond :

  1. – une lassitude généralisée
  2. – une perte d’intérêt pour des tâches autrefois appréciées
  3. – des accès de colère sans cause évidente.

Le salarié se sent piégé entre la nécessité de conserver son emploi et l’impression de participer à des activités contre-productives (voire inutiles).

Un mal moderne : la technologie en cause

La modernisation du travail, notamment avec l’arrivée de nouvelles technologies, a rendu certains métiers plus monotones et moins stimulants.

Les salariés touchés se sentent dévalorisés, avec l’impression que leur potentiel est étouffé.

Ce sentiment d’inutilité finit par plonger l’individu dans une sorte de désespoir. Où l’absurdité des tâches devient accablante.

  • Le brown-out n’est cependant pas le seul syndrome à refléter ce mal-être au travail. On parle aussi de burn-out (épuisement par surcharge de travail) ou de bore-out (épuisement par ennui).

Bien que leurs causes diffèrent, ces syndromes partagent un point commun : ils épuisent l’individu, que ce soit par l’absurdité des tâches, l’excès de travail, ou le manque d’activité.

L’impact de la pandémie de la covid, et la quête de sens

Depuis la pandémie de covid-19, la question du sens au travail est devenue plus pressante.

Nombreux sont ceux qui, après avoir été confrontés à une crise sanitaire sans précédent, remettent en question leurs priorités professionnelles. Ce questionnement a contribué à la « Grande démission », un phénomène où les salariés, désabusés, choisissent de quitter leur emploi.

Pour beaucoup, cette crise a révélé l’essoufflement d’un système où l’on ne trouve plus de sens à ce que l’on fait au quotidien.

L’engagement au travail, une valeur en déclin

Le brown-out met en lumière un problème plus vaste : le déclin de l’engagement au travail.

Selon une étude de Gallup, seuls 23 % des salariés dans le monde se disent « engagés » dans leur travail, un chiffre qui tombe à 13 % en Europe. Cet engagement, défini par l’implication et l’enthousiasme d’un salarié pour son travail, semble de plus en plus rare.

En conséquence, les entreprises sont forcées de repenser leurs pratiques et modes d’organisation pour s’adapter. Certaines optent pour

  • plus d’autonomie au travail
  • une meilleure flexibilité
  • et un équilibre entre vie professionnelle et personnelle.

Le défi des entreprises : comprendre et agir

Pourtant, malgré ces efforts, le brown-out reste souvent mal compris, en particulier par le management.

Un manque de compréhension, voire un mépris face à ce syndrome, peut aggraver encore le malaise des salariés.

Il est donc crucial que les entreprises reconnaissent la réalité du brown-out et cherchent activement des solutions pour redonner du sens au travail de leurs employés.

Finalement, le brown-out vous pousse à vous interroger :

comment redonner du sens à votre travail

au quotidien ?

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Vous pensez que le travail est tout ?

Détrompez-vous.
Non.

1. Le Phénomène des Vacances Connectées

Arthur, chef de projet de 27 ans, avait prévu des vacances à Amsterdam avec des amis. Mais dès le départ, il n’a pas pu résister à l’appel du travail.

Comme lui, 7 Français sur 10 continuent de répondre aux appels et aux mails professionnels pendant leurs vacances.

2. Les Jeunes Diplômés, les Plus Touchés

Les jeunes diplômés sont particulièrement vulnérables. Leur attitude scolaire les pousse à vouloir être irréprochables.

Aïnhoa, 28 ans, continue de lire ses mails tous les jours même en vacances. Ce comportement est souvent exacerbé par l’essor du télétravail.

3. Les Effets Nocifs du Non-Déconnexion

Ne pas déconnecter augmente le stress et empêche de se reposer.

Arthur revient de vacances encore plus fatigué. Mélissa Pangny, psychologue du travail, confirme que ce rythme peut mener à des migraines, de l’irritabilité et des troubles du sommeil.

4. Le Cadre Légal et les Bonnes Pratiques

Depuis 2017, le droit à la déconnexion permet aux salariés de ne pas être connectés à leurs outils numériques professionnels pendant leur repos. Cependant, la mise en pratique dépend des entreprises.

Les salariés peuvent saisir les prud’hommes si leurs droits ne sont pas respectés.

5. Les Astuces pour Mieux Déconnecter

Pour se préparer à des vacances sans travail, il est conseillé de :

  • Préparer son départ en complétant sa to-do list et en identifiant un collègue pour le remplacer
  • Programmer des messages d’absence
  • Désactiver les notifications ou laisser son ordinateur chez soi
  • S’engager à décrocher auprès de son entourage.

6. Les Conséquences de Ne Pas Déconnecter

Refuser de se déconnecter peut entraîner des sanctions, y compris un licenciement pour faute grave.

L’entreprise doit assurer la sécurité de ses effectifs, et ne pas déconnecter peut être considéré comme de l’insubordination.

Si vous ne lisez que cela :

Arthur a appris de sa mésaventure à Amsterdam. Il promet que pour ses prochaines vacances en Italie, il déconnectera vraiment.

Pour votre bien-être, suivez son exemple et apprenez à couper du travail.

Les vacances sont faites pour

se reposer et revenir plus fort.

Déconnectez,

et vivez pleinement vos moments de repos.

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Pensée du jour :

L’épuisement

n’est pas un symbole de statut social

Vous pensez que ne jamais vous couper de votre travail est une preuve de dévouement ?
Non.

Détrompez-vous.

Ne me croyez pas. Demandez à votre femme (ou mari).


1. Comprenez l’Importance du Repos

Pauline Laigneau, fondatrice de Gemmyo, l’a appris à ses dépens : sans pause, elle frôlait le burn-out. Elle insiste : « Prendre du recul résout de nombreux problèmes. »

2. Anticipez et Planifiez

Choisissez une période creuse pour minimiser les interruptions. Rami Baitiéh, ex-DG de Carrefour France, recommande août pour son calme. Planifiez les tâches à terminer avant de partir, comme le fait Arnaud Naudan, président de BDO.

3. Déléguez et Organisez

Apprenez à déléguer. Axelle Mathery, DG de Maison 123, organise des permanences pour gérer les urgences. Pauline Laigneau impose un cadre strict : un point hebdomadaire et des contacts uniquement pour des urgences réelles.

4. Gardez des Garde-fous

Limitez l’utilisation de votre téléphone. Olivier Kretz, du groupe immobilier Kretz, l’enferme dans sa chambre pour éviter les distractions. Justine Hutteau configure ses applications pour n’utiliser que celles à titre personnel.

5. Évitez les Tentations

Optez pour des destinations lointaines ou changez de fuseau horaire pour limiter les tentations de travailler. Axelle Mathery choisit des endroits éloignés et Rami Baitiéh évite les magasins Morrisons pour ne pas céder à l’inspection.

6. Explorez de Nouveaux Hobbies

Les dirigeants utilisent leurs vacances pour des activités intenses ou immersives. Arnaud Naudan prépare l’Ultra-Trail du Mont-Blanc, tandis qu’Olivier Kretz pratique le kitesurf, une activité qui nécessite une concentration totale.

7. Retournez aux Valeurs Essentielles

Reconnectez-vous avec la nature. Olivier Kretz et Justine Hutteau trouvent la paix loin de la frénésie urbaine, redécouvrant leurs sens et appréciant la solitude.

8. Trouvez un Équilibre

La déconnexion totale n’est pas pour tout le monde. Fatiha Ouichou, coach, suggère de maintenir un lien léger avec le travail. Axelle Mathery et Arnaud Naudan trouvent un équilibre en répondant, parfois, à leurs messages.

Ma conclusion (mais trouvez la vôtre) :

La clé du succès des dirigeants passe par l’art de la déconnexion.

Ces stratégies permettent de revenir reposé

et prêt à affronter les défis de la rentrée.

Adoptez ces pratiques et trouvez VOTRE équilibre entre travail et repos.

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Les vacances des personnes atteintes de psoriasis : une source d’angoisse et d’isolement.

L’angoisse de vos vacances :
– Près de deux tiers des personnes atteintes de psoriasis redoutent l’été en raison de leur apparence physique. Vous, peut-être ?
– Imaginez un adolescent évitant la plage par peur des moqueries, ses vacances se transformant en source de stress au lieu de plaisir.

Votre peur du regard des autres :
– Le psoriasis, une maladie inflammatoire chronique, provoque des plaques rouges recouvertes de squames, entraînant des complexes chez les patients. L’acné aussi.
– 6 patients sur 10 se cachent sous des vêtements couvrants par honte, et 64 % craignent les commentaires désobligeants.

Vos ressentis négatifs cet été :
– L’été est une saison de stress pour 30 % des patients, provoquant tristesse (29 %) et colère (25 %).
– « Le psoriasis est une pathologie qui isole, » explique Claire Roussel, Directeur médical d’AbbVie France.

Votre isolement social :
– 4 patients sur 10 évitent de sortir lors de journées chaudes, redoutant de montrer leur peau.
– Exemple : Un adulte annulant ses vacances à la mer par peur de la foule, préférant rester chez lui plutôt que de subir les regards.

Annulation de vacances :
– Un quart des personnes atteintes de psoriasis, dont un jeune sur deux, annulent leurs vacances par peur de l’exposition.

Je constate, dans mon travail de psy-coach, que le psoriasis transforme, ce qui devrait être une période de détente, en une source d’angoisse et d’isolement.

Les patients craignent le jugement des autres, ce qui les pousse à éviter les activités estivales et à s’enfermer.

L’accompagnement et le soutien, comme ceux offerts à mon cabinet, sont essentiels pour aider ces personnes en souffrance à vivre pleinement, malgré leur pathologie.

Vos vacances devraient être synonymes de liberté et de joie,

non d’angoisse et de repli sur soi !

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Avez-vous déjà eu l’impression que, quels que soient vos progrès ou vos succès, vous ne les méritez pas vraiment ?

Si c’est le cas, vous êtes en bonne compagnie !

Car le sentiment d’imposture est un phénomène qui touche de nombreuses personnes qui réussissent.

Exemples : l’écrivain Maya Angelou, le physicien Albert Einstein. Ils pensaient tous deux qu’ils ne méritaient pas l’attention dont leur travail faisait l’objet.

Les réalisations du niveau de celles d’Angelou ou d’Einstein sont rares. Mais leur sentiment d’imposture est extrêmement répandu. C’est ce que je constate dans mes interventions en thérapie ou en coaching.

Ce sentiment d’insécurité injustifié est connu sous le nom de syndrome de l’imposteur.

Mais savez-vous ce qu’est ce syndrome de l’imposteur ?

Il a été étudié pour la première fois par la psychologue Pauline Rose Clance en 1978.

Les personnes hautement qualifiées ou accomplies ont tendance à penser que les autres le sont tout autant. Cela peut les amener à penser qu’elles ne méritent pas les honneurs et les opportunités qui leur sont offertes par rapport à d’autres personnes.

Il donne à beaucoup d’entre nous l’impression que nous n’avons pas mérité notre succès. Ou que nos idées ne méritent pas d’être prises en compte.

Dans certains cas, il peut même empêcher les gens de partager leurs idées, de postuler pour l’université ou d’occuper certains emplois. Ils se dévalorisent.

-> Je vous explique ce qui rend le syndrome de l’imposteur si courant : c’est l’expérience de « l’ignorance pluraliste ». Alors que nous nous remettons tous en question en privé, nous pensons que nous sommes seuls à douter parce que personne d’autre n’exprime ses propres pensées.

Comme il est difficile de savoir :

  • à quel point nos collègues travaillent dur
  • à quel point ils trouvent certaines tâches difficiles
  • ou à quel point ils doutent d’eux-mêmes,

il n’y a pas de moyen facile de se débarrasser du sentiment d’être moins capable que les gens qui nous entourent.

Malgré son nom, il ne s’agit pas d’une maladie.

Et il n’est pas lié à la dépression, à l’anxiété ou à l’estime de soi. Il s’agit d’un sentiment, d’une expérience, d’une croyance dont il peut être difficile de se défaire.

Je pense que fait de l’appeler « syndrome » minimise l’universalité de ce sentiment (qui a été établi indépendamment du sexe, de la race, de l’âge et de la profession).

Comment surmonter le syndrome de l’imposteur

1) Commencez par engager la conversation

Le seul moyen infaillible de faire taire votre critique intérieur est de parler de ce qui se passe dans votre esprit.

  • Cela peut paraître simple, mais je pense que de nombreuses personnes hésitent à partager ce qu’elles ressentent. Elles craignent que les commentaires des autres ne fassent que confirmer leurs inquiétudes.

Cependant, lorsque les gens parlent de leur sentiment de ne pas être à leur place, ils apprennent que d’autres personnes autour d’eux ont ressenti la même chose dans le passé.

Le fait d’apprendre qu’un mentor ou un ami de confiance a vécu la même chose peut apporter de la clarté et du soulagement à ceux qui souffrent du syndrome de l’imposteur.

2) Recueillez ensuite vos expériences positives

Nous sommes nombreux à rejeter les compliments que nous recevons pour notre travail et à ne nous souvenir que des critiques.

  • La prochaine fois que quelqu’un commencera à chanter vos louanges, appréciez vraiment ce que l’on vous dit.

Vous combattrez alors votre propre syndrome de l’imposteur en recueillant et en réexaminant les commentaires positifs.

S’efforcer d’écouter les mots d’encouragement, et d’y réfléchir, peut contribuer à apaiser les angoisses la prochaine fois que le doute surgira.

3) Enfin, sachez que vous n’êtes pas seul

Je suggère que des conversations ouvertes sur les défis à relever soient un autre moyen d’atténuer le sentiment d’imposture.

Ces nouvelles expériences peuvent vous aider à réaliser que vous n’êtes pas aussi seul que vous le pensez dans vos insécurités.

J’insiste : il est important de prendre conscience des défis académiques et professionnels – où les erreurs peuvent provenir d’une défaillance de l’équipement plutôt que de la compétence – pour vous épanouir et renforcer votre confiance en vous.

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