psychothérapie cognitive et comportementale (TCC)


Voici pourquoi être constamment occupé vous éloigne de l’essentiel.

Nous vivons dans une société où être occupé est devenu une norme.

Mais que cache cette frénésie ?

Vous courez sans fin, mais vers quoi, au juste ?

  • La justification de l’occupation : même une raison absurde suffit à vous pousser à rester occupé. Vous cherchez des excuses, juste pour remplir vos journées.
  • L’illusion de la productivité : se sentir occupé donne l’impression d’être productif, mais en réalité, cela vous empêche souvent de réfléchir ou de créer.
  • Fuir vos pensées : rester « follement occupé » est une stratégie d’évitement. Cela évite de faire face à des vérités inconfortables sur vos vies.
  • La matrice de l’occupation : créez un audit pour classer vos activités en fonction de leur pertinence et de leur sens. Cela vous aide à identifier ce qui est inutile et à vous recentrer sur l’essentiel.

Le mythe du manque de temps : nous disons fréquemment que nous n’avons pas le temps. En réalité, c’est une question de priorités. Reprendre le contrôle passe par un changement de perspective.

Aujourd’hui, l’on confond être occupé avec être productif. Cette frénésie, justifiée par des tâches futiles, vous empêche d’affronter vos propres pensées.

Je parle d’une « stratégie d’évitement » : rester très occupé pour éviter de regarder en face vos vérités inconfortables.

Bref, arrêter de fuir.

Où cela vous mène-t-il vraiment ?

Apprivoiser l’inaction : arrêter cette habitude néfaste. Apprenez à accepter le silence et l’inactivité.

Cela peut sembler effrayant au début, mais c’est la clé pour vous reconnecter avec vous-même.

Car se cacher derrière le mot ‘occupé’, c’est fuir l’essentiel.

Pour reprendre le contrôle :

  • revoyez vos priorités
  • apprivoisez l’inaction
  • apprenez à dire non.

Et vous, que fuyez-vous en restant trop occupé ?

Votre corps crie stop…

L’écoutez-vous vraiment ?

Le burn-out n’est pas qu’une simple fatigue passagère.

C’est un signal d’alarme, un cri silencieux de votre corps et de votre esprit qui vous supplient de ralentir.

Mais voilà, trop souvent, nous ignorons ces signes.

Un jour de plus à ignorer le burn-out, c’est un jour de trop.

Guérir du burn-out, c’est possible, mais cela demande du temps et une approche adaptée.

Voici les 5 étapes essentielles :

  • Couper avec le travail : Un arrêt maladie est indispensable. Deux à trois mois sont fréquemment nécessaires pour vous reposer, refaire le plein d’énergie et vous  reconnecter à vous-même. Ce n’est pas un luxe, c’est une nécessité

  • Se recentrer sur soi : Relaxation, sport doux, moments calmes… Ces activités doivent être au centre de votre quotidien. Elles aident à vous ressourcer, à retrouver un équilibre intérieur

  • Thérapie comportementale et cognitive : C’est l’une des approches les plus efficaces scientifiquement prouvées. Elle permet de redéfinir vos pensées, d’apprendre à gérer le stress et à éviter les comportements épuisants, découvrir quelles valeurs ont été ignorées, enlever vos croyances limitantes. Une aide médicamenteuse peut aussi être envisagée si nécessaire, mais elle doit rester temporaire.

  • Un retour progressif au travail : La peur de rechuter, de ne pas être à la hauteur, est normale. Un retour progressif (30 %, puis 50 %, etc.) est essentiel. Le soutien de votre médecin, de votre psy, de vos collègues et de vos proches est fondamental

  • Éviter la rechute : Un suivi continu, une bienveillance autour de vous, et une écoute attentive de votre corps vous éviteront de replonger. Il faut réapprendre à mettre des limites et à se préserver.

Rappelez-vous : guérir du burn-out, c’est un cheminement, pas une course.

L’essentiel est de ne pas brûler les étapes et de respecter votre rythme.

Si vous ne vous arrêtez pas, votre corps le fera pour vous.

Quels sont les signaux que votre corps vous envoie aujourd’hui,

et que vous ignorez ?

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📞  Appelez-moi au 06 2339 0707 (ou un mail à psytoulouse@gmail.com) pour réserver une séance en présentiel à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.). Avec mon soutien, tout finira par s’arranger 🙂

Depuis 1988, j’aide les personnes à se sentir mieux, retrouver leur bien-être, avec les Thérapies Comportementales et Cognitives (analyse transactionnelle, EMDR, ennéagramme, hypnoses éricksonienne et profonde, PNL, sophrologie, etc.)

Les personnes dépendantes font appel à la sexualité pour :

  1. évacuer leur émotions négatives
  2. et/ou répondre à une utilité inconsciente.

Cela peut se traduire par deux formes de passage à l’acte.

  1. Soit le virtuel avec la connexion assidue à des sites de rencontres, des webcams, des réseaux sociaux orientés sur le sexe
  2. Soit le réel avec la fréquentation compulsive de sex-clubs, de prostituées, d’escort-girls, de backrooms.

Des personnes peuvent très bien ne pas être intéressées par le virtuel, d’autres passer facilement du virtuel au réel.

Cette addiction est très présente chez les 20-40 ans, qui ont été formés à la sexualité via internet, le porno en ligne : ils ne connaissent que cela. Et se disent incapables de toucher l’autre physiquement.

Ils ont besoin de se réfugier derrière cette protection de l’écran et ont peur de se faire rembarrer dans la vie réelle.

Cette dépendance peut devenir très dangereuse, très vite.

La personne dit savoir que son comportement est dangereux, la fait souffrir, mais c’est pourtant plus fort qu’elle, qu’elle ne peut s’arrêter.

C’est une façon d’évacuer le stress, la recherche d’un moment de solitude.

Notamment pour les gens occupant des postes à responsabilités, étant totalement investis dans leur métier.

Le jour où l’addiction, parfois cachée depuis des années, est découverte, cela peut être catastrophique.

En tombant simplement sur un texto, le conjoint découvre qu’il partage la vie de quelqu’un qu’il ne connaît pas vraiment.

Et très souvent ensuite, c’est soit la psychothérapie pour en guérir, soit la rupture du couple.

Êtes-vous prêt d’aller jusqu’à là ?

N’attendez pas le 10 octobre, journée mondiale de la santé mentale !
https://www.who.int/fr/campaigns/world-mental-health-day

Vous avez longtemps porté ce poids sur vos épaules.

Vous avez tenté de tenir bon, jour après jour, en espérant que ça passerait.

Mais, soyons honnêtes : cela ne passe pas, n’est-ce pas ?

La vérité, c’est qu’il y a des choses qu’on ne peut pas affronter seul. Et ce n’est pas grave. Vous n’avez pas à tout gérer, tout comprendre, tout résoudre par vous-même.

Bientôt, c’est la Journée des maladies mentales.

Un moment pour se rappeler que vous n’êtes pas seul. Que derrière chaque sourire forcé, chaque nuit sans sommeil, il y a une personne qui souffre en silence.

Et peut-être que cette personne, c’est vous.


« Je vais vous raconter une histoire. »

Il y a quelques années, une femme nommée Marie traversait une période sombre. De l’extérieur, tout semblait aller bien. Elle avait un bon travail, une belle maison, des amis. Mais à l’intérieur, elle se noyait. Chaque matin, elle devait trouver l’énergie de se lever, de sourire, de faire semblant.

Un jour, épuisée, elle a décidé de franchir une étape qu’elle n’aurait jamais imaginée : aller me voir, moi, un psy. Elle pensait que cela ferait d’elle quelqu’un de « faible », que je la jugerai. Mais c’est là que tout a commencé à changer pour elle.

Le premier pas est souvent le plus difficile, mais il est aussi le plus puissant.

Marie n’était pas faible. Elle était courageuse.


Les maladies mentales ne sont pas visibles, mais elles sont bien réelles.

On ne les voit pas sur une radiographie, elles ne laissent pas de cicatrices sur la peau.

Mais elles marquent profondément, à l’intérieur. Elles affectent la manière dont vous pensez, ressentez, et interagissez avec le monde.

Anxiété, bipolarité, dépression, burn-out… Ces mots vous parlent peut-être.

Ou probablement que vous ne savez même pas comment mettre un nom sur ce que vous ressentez. Et c’est normal.

Mais sachez que vous n’avez pas à attendre d’avoir « touché le fond » pour demander de l’aide. La souffrance mentale n’a pas besoin d’être extrême pour être prise au sérieux.


« Pourquoi n’osez-vous pas ? »

Peut-être que vous avez peur d’être jugé. Certainement que vous pensez que votre problème n’est « pas assez grave ». Probablement que vous croyez encore que vous pouvez vous en sortir seul, comme vous l’avez toujours fait.

Mais imaginez un instant : et si mon aide que vous repoussez depuis si longtemps était la clé pour enfin vous sentir léger ? Pour vous libérer de ce fardeau que vous portez chaque jour ?

Parler à un psy, c’est comme allumer une lumière dans une pièce obscure. Peu à peu, les choses deviennent plus claires, plus gérables. Vous vous rendez compte que vous n’êtes pas si perdu, que vous pouvez trouver des solutions, que vous pouvez guérir.

Un pas. Juste un petit pas. Le vôtre.


« Un psychopraticien (ou un hypnothérapeute), n’est pas là pour vous juger, mais pour vous écouter. »

C’est une main que je vous tends. Je suis formé pour comprendre ce que vous vivez, pour vous aider à mettre des mots sur vos émotions, sur vos blocages. Parfois, tout ce dont vous avez besoin, c’est de dire à haute voix ce que vous gardez à l’intérieur.

Je vous guide, sans vous forcer, sans vous presser. Je suis là pour vous accompagner à votre rythme. Et croyez-moi, cela change tout.

« D’accord, mais combien de temps cela prendra-t-il pour aller mieux ? »

Chaque parcours est unique.

Certains trouvent rapidement un soulagement, d’autres prennent un peu plus de temps. Mais le plus important, c’est que chaque séance, chaque échange, vous rapproche de la guérison.

C’est comme un puzzle. Au début, les pièces semblent éparpillées, sans logique. Puis, peu à peu, elles s’assemblent. Et vous commencez à voir l’image. Votre image.


« Ce n’est pas juste vous. C’est nous tous. »

Les chiffres sont là. Près d’une personne sur cinq souffrira d’un trouble mental au cours de sa vie. Cela signifie que des millions de gens vivent, comme vous, avec cette douleur invisible. Mais parmi eux, beaucoup ont trouvé un chemin vers la guérison grâce à mon soutien et mon accompagnement.

Et vous aussi, vous pouvez y arriver.

Regardez autour de vous. Les personnes qui réussissent, qui semblent avoir tout compris dans la vie, beaucoup d’entre elles ont, à un moment donné, franchi cette même porte. Celle d’un cabinet d’un psy qui a de l’expérience, et vous saurez que les choses avancent.

« Je vais vous donner un autre exemple. »

Sophie, cadre dynamique chez Airbus, pensait qu’elle devait être forte en toute circonstance. Qu’avouer son épuisement était une faiblesse. Jusqu’au jour où, à bout de souffle, elle s’est effondrée.

Elle a dû prendre une pause.

Elle m’a contacté. À travers nos discussions, elle a réalisé que sa course effrénée derrière la performance était une manière d’éviter ses propres insécurités. Grâce à ce travail sur elle-même, Sophie est revenue plus sereine, plus équilibrée. Elle a appris à dire « non », à se respecter.

Aujourd’hui, elle se sent plus épanouie qu’elle ne l’a jamais été.


« Vous avez le droit d’aller mieux. »

Vous avez le droit de dire « stop » à ce qui vous fait du mal.

Vous avez le droit de prendre du temps pour vous.

Prendre soin de votre santé mentale, c’est prendre soin de votre vie, de vos rêves, de vos relations.

Ne vous laissez pas piéger par l’idée que « ça ira mieux tout seul ». Parce que, souvent, cela ne s’améliore pas sans aide.

Et c’est OK d’en demander.

« Savez-vous ce que vous pourriez découvrir en franchissant la porte de mon cabinet? »

Imaginez un avenir où vous vous sentez plus léger, où vos pensées ne sont plus un fardeau, où vous vous réveillez avec plus de sérénité. Cet avenir est possible.

Il commence par une décision simple, mais puissante : celle de ne plus affronter cela seul.

Alors, aujourd’hui, faites le premier pas.

Appelez-moi pour que je vous écoute. Ouvrez cette porte.

Et vous, que ferez-vous pour prendre soin de votre santé mentale aujourd’hui ?

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Depuis 1988, j’aide les personnes à se sentir mieux, retrouver leur bien-être, avec les Thérapies Comportementales et Cognitives (analyse transactionnelle, EMDR, ennéagramme, hypnoses éricksonienne et profonde, PNL, sophrologie, etc.)

Le porno lui a volé 14 ans de sa vie.

Voici comment il a réussi à s’en libérer.

  • L’addiction cachée, une lutte solitaire :

    Alain, 32 ans, a été prisonnier de la porno dépendance pendant 15 ans. Un piège silencieux qui l’a isolé dans la honte et la souffrance. Il me raconte son combat pour se libérer d’une addiction souvent banalisée, mais qui peut détruire des vies.

    Ce n’est qu’une vidéo, se dit-il au début. Mais pour lui, cela fini par devenir un refuge toxique. Une obsession qui l’a éloigné de lui-même et des autres.

  • L’escalade insidieuse dès l’adolescence :

    Tout a commencé à 11 ans, lorsqu’il est tombé par hasard sur une cassette érotique. « Ces premières images m’ont fasciné. » Au fil du temps, le besoin de revoir ces scènes s’est installé, de façon plus intense, plus fréquente.

    Vers 15-16 ans, Alain est passé de la simple curiosité à une consommation régulière et incontrôlée de porno. La facilité d’accès via Internet n’a fait qu’aggraver la situation. Cette addiction a progressivement envahi son quotidien. Transformant ses désirs en réflexes mécaniques, vidés de tout plaisir.

  • Un impact dévastateur sur la vie de couple :

    À 24 ans, Alain rencontre celle qui deviendra sa femme. Mais loin de s’apaiser, son addiction complique encore plus sa relation amoureuse. « Je ne voyais plus ma compagne, je ne voyais que les images du porno dans ma tête. »

    Le porno s’invitait dans leur intimité.  Brouillant les lignes entre réalité et fantasme, le laissant souvent déconnecté durant leurs moments à deux. Il sentait que sa compagne souffrait de cette distance invisible.

    Cette addiction, dont il ne pouvait se libérer seul, menaçait de tout détruire.

  • Le début de la guérison par la transparence :

    En un acte de courage, Alain décide de tout avouer à sa femme. C’était un appel au secours déguisé. C’est aussi courageux.

    Ensemble, ils mettent en place des filtres parentaux. Un moyen pour Alain de reprendre le contrôle sur son accès au porno. « Ça a été une étape énorme, car je savais que si je craquais, il y aurait cette barrière pour m’aider. » Ce soutien, ainsi que la possibilité de discuter ouvertement avec sa femme, a été crucial pour ses premiers pas vers la guérison.

  • Une alternative pour se sentir mieux : le bien-être physique :

    C’est après la première grossesse de sa femme que Florent découvre un autre moyen de se libérer de cette spirale.

    Ils décident de perdre du poids ensemble et, rapidement, il se rend compte qu’en prenant soin de son corps, il ressentait de moins en moins le besoin de se tourner vers le porno. « Je remplaçais la quête de plaisir immédiat par celle d’un équilibre de vie. »

    En travaillant sur son bien-être physique, Alain trouve une autre source de satisfaction, moins destructrice, plus saine. Cette quête du bien-être devient son nouvel allié dans la lutte contre l’addiction.

  • Le fidèle allié, son psy-coach qui :

    1. l’a aidé à briser le cercle vicieux de la dépendance en lui offrant des outils concrets pour reprendre le contrôle. Sans rechute.
    2. lui a créé un espace de confiance où la honte n’a plus de place.
    3. par des techniques comme l’hypnose ericksonienne, lui a appris à remplacer les comportements compulsifs par des habitudes saines.
    4. l’a accompagné pour retrouver l’estime de lui, et à reconstruire des relations affectives plus authentiques.

  • Un chemin de guérison long, mais gratifiant :

    Les efforts d’Alain portent enfin leurs fruits. Après quatre ans de contrôles parentaux et de soutien inébranlable de sa femme, six mois de psychothérapie, il réussit à décrocher définitivement. « Aujourd’hui, je peux dire que je suis guéri. » Il a appris à gérer ses pulsions, à se reconnecter à lui-même, et à ceux qu’il aime. Son expérience lui a appris que la guérison est un long processus, fait de petites victoires et de grands défis. Mais qu’elle est possible !

  • Une vigilance constante : Alain sait que l’addiction peut toujours revenir. Il ne milite pas contre la pornographie ni la masturbation, mais met en garde contre leurs dérives lorsqu’elles deviennent des pièges invisibles, destructeurs.

Aujourd’hui, Alain partage son histoire pour aider ceux qui, comme lui, se sentent piégés.

Son message est simple : on peut reprendre le contrôle de sa vie, mais cela demande une prise de conscience, du soutien d’un thérapeute, et surtout de patience et de volonté.

Et si vous faisiez le premier pas aujourd’hui,

avec mon aide,

pour reprendre le contrôle ?

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« Le porno a volé 15 ans de ma vie. Voici comment j’ai repris le contrôle. »

Une addiction silencieuse : Alain, 32 ans, a vécu 15 ans dans l’ombre de la porno dépendance, un piège invisible qui l’a isolé et rongé peu à peu.

L’escalade dès l’adolescence : à 11 ans, il découvre le porno par hasard. L’addiction s’installe progressivement. Devenant incontrôlable à l’adolescence. Il se perd dans des pratiques compulsives, hanté par des images.

Des répercussions sur sa vie de couple : Alain rencontre sa femme à 24 ans, mais l’obsession pour le porno sabote leur intimité. Il se sent coupable, déconnecté, incapable de s’épanouir.

Le premier pas vers la guérison : en avouant sa dépendance à sa compagne, il trouve un soutien clé. Ensemble, ils installent des contrôles parentaux pour limiter l’accès au contenu ; une barrière symbolique, mais essentielle.

Trouver une nouvelle quête de bien-être : la perte de poids devient un tournant. En remplaçant l’addiction au porno par un équilibre de vie, il reprend confiance en lui.

Une guérison lente, mais durable : quatre ans après le début des contrôles parentaux, Alain réussit à décrocher définitivement. Sans autre aide que celle de sa femme, sa propre détermination, et le suivi avec moi.

Et si reprendre le contrôle de votre vie

commençait par un simple pas en avant ?

 

 

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Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

Les troubles anxieux touchent 20 % des adultes.

Frappant deux fois plus les femmes.

Ils se manifestent par une anxiété persistante qui perturbe la vie quotidienne.

5 différents types existent :

  • Anxiété généralisée : inquiétude permanente, difficile à contrôler, limitant vos activités
  • Trouble panique : attaques de panique répétées, imprévisibles, associées à une peur intense
  • Phobies : anxiété déclenchée par des objets ou des situations spécifiques, ou crainte des interactions sociales
  • Trouble obsessionnel-compulsif (TOC) : obsessions et compulsions pour apaiser l’anxiété
  • Stress post-traumatique : revivre un traumatisme passé, avec des souvenirs envahissants.

Peut-être avez-vous remarqué que les causes peuvent être variées :

  1. Événements traumatisants
  2. Vulnérabilités biologiques
  3. Dysfonctionnements cérébraux
  4. Certaines maladies
  5. Des parents eux-mêmes anxieux.

Les traitements peuvent associer des thérapies (cognitivo-comportementale, soutien), et des médicaments (anxiolytiques, antidépresseurs). La psycho-éducation fonctionne aussi très bien.

La thérapie cognitivo-comportementale aide à gérer l’anxiété en changeant les pensées irrationnelles et les comportements inadaptés.

Un esprit en proie à l’anxiété est un esprit prisonnier.

Libérez vos angoisses.

Et vous, comment faites-vous face à vos sensations et émotions qui vous remplissent ?

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« L’hypnose est l’induction d’un état psychologique particulier.

Cet état permet au client de réassocier et de réorganiser les complexités intérieures de sa psychologie.

D’une manière adaptée aux expériences psychologiques uniques de la personne hypnotisée. »

Unconscious Mental Activity, in « Hypnosis – Psychoanalytic Implications »

Erickson & Hill, 1944 

Mon décryptage :

L’hypnose ericksonienne est un état psychique qui vous aide à réorganiser vos pensées et vos émotions , en s’adaptant à votre personnalité et à votre vécu.

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Laissez les vacances vous suivre !

7 conseils pour reprendre votre travail avec le sourire !

  • Retrouvez vos collègues
    Renouer avec ses collègues dès le premier jour, partager des souvenirs de vacances. Ces relations renforcent le bien-être au travail.
  • Contrôlez votre charge de travail
    Ne répondez pas à tous vos e-mails immédiatement. Priorisez les urgences pour éviter de vous submerger dès le retour.
  • Prenez des courtes pauses
    Les pauses sont essentielles. Sortez déjeuner à l’extérieur, prenez un café avec des collègues. Détendez-vous.
  • Évitez les longues journées
    Restez actif après le travail. Ne sombrez pas dans l’inactivité devant la télévision. Retrouver l’énergie des vacances avec des activités physiques ou sociales.
  • Limitez les réunions
    Ne surchargez pas votre agenda. Vous n’avez pas besoin de prouver votre efficacité dès le retour. Reprenez doucement le rythme.
  • Tolérez les collègues râleurs
    Soyez patient avec les collègues négatifs. Ne laissez pas leur stress vous envahir. Prenez du recul, restez zen.
  • Fixez-vous des objectifs réalistes
    Ne vous imposez pas des délais impossibles. Refusez poliment les tâches non prioritaires pour garder un bon rythme dès la reprise.

Et vous, comment laisserez-vous l’esprit des vacances

adoucir votre retour au bureau ?

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Les vacances des personnes atteintes de psoriasis : une source d’angoisse et d’isolement.

L’angoisse de vos vacances :
– Près de deux tiers des personnes atteintes de psoriasis redoutent l’été en raison de leur apparence physique. Vous, peut-être ?
– Imaginez un adolescent évitant la plage par peur des moqueries, ses vacances se transformant en source de stress au lieu de plaisir.

Votre peur du regard des autres :
– Le psoriasis, une maladie inflammatoire chronique, provoque des plaques rouges recouvertes de squames, entraînant des complexes chez les patients. L’acné aussi.
– 6 patients sur 10 se cachent sous des vêtements couvrants par honte, et 64 % craignent les commentaires désobligeants.

Vos ressentis négatifs cet été :
– L’été est une saison de stress pour 30 % des patients, provoquant tristesse (29 %) et colère (25 %).
– « Le psoriasis est une pathologie qui isole, » explique Claire Roussel, Directeur médical d’AbbVie France.

Votre isolement social :
– 4 patients sur 10 évitent de sortir lors de journées chaudes, redoutant de montrer leur peau.
– Exemple : Un adulte annulant ses vacances à la mer par peur de la foule, préférant rester chez lui plutôt que de subir les regards.

Annulation de vacances :
– Un quart des personnes atteintes de psoriasis, dont un jeune sur deux, annulent leurs vacances par peur de l’exposition.

Je constate, dans mon travail de psy-coach, que le psoriasis transforme, ce qui devrait être une période de détente, en une source d’angoisse et d’isolement.

Les patients craignent le jugement des autres, ce qui les pousse à éviter les activités estivales et à s’enfermer.

L’accompagnement et le soutien, comme ceux offerts à mon cabinet, sont essentiels pour aider ces personnes en souffrance à vivre pleinement, malgré leur pathologie.

Vos vacances devraient être synonymes de liberté et de joie,

non d’angoisse et de repli sur soi !

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Avez-vous déjà eu l’impression que, quels que soient vos progrès ou vos succès, vous ne les méritez pas vraiment ?

Si c’est le cas, vous êtes en bonne compagnie !

Car le sentiment d’imposture est un phénomène qui touche de nombreuses personnes qui réussissent.

Exemples : l’écrivain Maya Angelou, le physicien Albert Einstein. Ils pensaient tous deux qu’ils ne méritaient pas l’attention dont leur travail faisait l’objet.

Les réalisations du niveau de celles d’Angelou ou d’Einstein sont rares. Mais leur sentiment d’imposture est extrêmement répandu. C’est ce que je constate dans mes interventions en thérapie ou en coaching.

Ce sentiment d’insécurité injustifié est connu sous le nom de syndrome de l’imposteur.

Mais savez-vous ce qu’est ce syndrome de l’imposteur ?

Il a été étudié pour la première fois par la psychologue Pauline Rose Clance en 1978.

Les personnes hautement qualifiées ou accomplies ont tendance à penser que les autres le sont tout autant. Cela peut les amener à penser qu’elles ne méritent pas les honneurs et les opportunités qui leur sont offertes par rapport à d’autres personnes.

Il donne à beaucoup d’entre nous l’impression que nous n’avons pas mérité notre succès. Ou que nos idées ne méritent pas d’être prises en compte.

Dans certains cas, il peut même empêcher les gens de partager leurs idées, de postuler pour l’université ou d’occuper certains emplois. Ils se dévalorisent.

-> Je vous explique ce qui rend le syndrome de l’imposteur si courant : c’est l’expérience de « l’ignorance pluraliste ». Alors que nous nous remettons tous en question en privé, nous pensons que nous sommes seuls à douter parce que personne d’autre n’exprime ses propres pensées.

Comme il est difficile de savoir :

  • à quel point nos collègues travaillent dur
  • à quel point ils trouvent certaines tâches difficiles
  • ou à quel point ils doutent d’eux-mêmes,

il n’y a pas de moyen facile de se débarrasser du sentiment d’être moins capable que les gens qui nous entourent.

Malgré son nom, il ne s’agit pas d’une maladie.

Et il n’est pas lié à la dépression, à l’anxiété ou à l’estime de soi. Il s’agit d’un sentiment, d’une expérience, d’une croyance dont il peut être difficile de se défaire.

Je pense que fait de l’appeler « syndrome » minimise l’universalité de ce sentiment (qui a été établi indépendamment du sexe, de la race, de l’âge et de la profession).

Comment surmonter le syndrome de l’imposteur

1) Commencez par engager la conversation

Le seul moyen infaillible de faire taire votre critique intérieur est de parler de ce qui se passe dans votre esprit.

  • Cela peut paraître simple, mais je pense que de nombreuses personnes hésitent à partager ce qu’elles ressentent. Elles craignent que les commentaires des autres ne fassent que confirmer leurs inquiétudes.

Cependant, lorsque les gens parlent de leur sentiment de ne pas être à leur place, ils apprennent que d’autres personnes autour d’eux ont ressenti la même chose dans le passé.

Le fait d’apprendre qu’un mentor ou un ami de confiance a vécu la même chose peut apporter de la clarté et du soulagement à ceux qui souffrent du syndrome de l’imposteur.

2) Recueillez ensuite vos expériences positives

Nous sommes nombreux à rejeter les compliments que nous recevons pour notre travail et à ne nous souvenir que des critiques.

  • La prochaine fois que quelqu’un commencera à chanter vos louanges, appréciez vraiment ce que l’on vous dit.

Vous combattrez alors votre propre syndrome de l’imposteur en recueillant et en réexaminant les commentaires positifs.

S’efforcer d’écouter les mots d’encouragement, et d’y réfléchir, peut contribuer à apaiser les angoisses la prochaine fois que le doute surgira.

3) Enfin, sachez que vous n’êtes pas seul

Je suggère que des conversations ouvertes sur les défis à relever soient un autre moyen d’atténuer le sentiment d’imposture.

Ces nouvelles expériences peuvent vous aider à réaliser que vous n’êtes pas aussi seul que vous le pensez dans vos insécurités.

J’insiste : il est important de prendre conscience des défis académiques et professionnels – où les erreurs peuvent provenir d’une défaillance de l’équipement plutôt que de la compétence – pour vous épanouir et renforcer votre confiance en vous.

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Conçu pour vous.

Et déconstruisez le cercle vicieux de votre anxiété.

Comment ?

Avec mes 36 ans d’expérience professionnelle.

Avec les TCC (thérapies cognitives et comportementales). Et l’hypnose profonde.

Votre angoisse prend-elle le contrôle de votre vie ?

Vous sentez-vous souvent submergé par l’anxiété, parfois même dès le réveil, sans savoir pourquoi ni comment vous en sortir ?

Avez-vous une boule dans la gorge ou dans l’estomac qui reste même quand « tout va bien » ?

Sentez-vous bloqué dans vos activités quotidiennes, sociales ou professionnelles ?

Êtes-vous fatigué de chercher une solution ? Avez-vous l’impression que cela ne s’arrêtera jamais ?

Ce sont une partie des symptômes que font vivre les troubles d’anxiété, voire les crises d’angoisse.

Mon accompagnement est-il pour vous ?

Une thérapie-coaching est conçu pour toutes les personnes qui souffrent d’anxiété.

Allant à de l’anxiété légère à de l’anxiété sévère, voire invalidante (comme le trouble d’anxiété généralisée, le trouble panique, les phobies, les TOC, etc).

Quelle que soit votre relation à l’anxiété et l’angoisse, vous trouverez toutes les clés pour comprendre, agir et vous libérer, avec mon approche.

C’est beaucoup plus qu’un simple répertoire de techniques contre l’anxiété.

J’insiste particulièrement sur la méthode que vous adopterez pour diminuer votre anxiété progressivement.

Par ailleurs, mon accompagnement est le fruit de plusieurs années de travail que j’ai effectué. De mon expertise aussi dans le traitement des troubles anxieux.

Vous trouverez enfin beaucoup de conseils, d’exemples et d’exercices issus de ma pratique auprès de mes patients. Il me tient à cœur de vous offrir une aide de qualité. En présentiel, ou en distanciel.

C’est très simple : si vous souffrez d’anxiété, le programme saura vous aider. Parce qu’il vous enseignera tout ce que vous devez apprendre et modifier dans votre propre quotidien. Il vous outillera pour faire face à l’anxiété.

Et vous donnera le courage de l’affronter.

Découvrez-en plus !

Juste, regardez quelques articles de mon site.

Si vous les appréciez, et les trouver aidants, alors sachez que je vous apporterai toutes les techniques essentielles pour vaincre l’anxiété.

C’est ce programme qui fera toute la différence pour vous.

Oui.

Lors des séances avec votre psy, il n’a pas toujours le temps de vous expliquer votre trouble d’anxiété, et les mécanismes spécifiques dans ses moindres détails.

Avec moi, vous profiterez d’une aide complémentaire. Elle vous permettra de comprendre de manière pédagogique votre anxiété. Vous saurez toutes les techniques efficaces pour guérir.

Oui, mon approche complète parfaitement une thérapie en cours.

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-> Réservez un rdv en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.) ou à mon cabinet toulousain, ou à votre domicile. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ».
Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

 

Ce que la plupart des gens ne savent pas, c’est que la nourriture n’est pas que des calories.

C’est de l’information.

Ce que vous mangez contient des messages.

Qui communiquent avec toutes les cellules de votre corps.

 

Si la nourriture et les boissons que vous consommez

transmettent un message à votre corps,

que vous dirait-il ?

Voici les 3 dernières raisons (sur 15) d’arrêter l’addiction au porno :

(également pour la boulimie, l’hyperphagie, etc.)

 

Vous étiez parti pour faire une simple recherche sur Internet ou regarder vos réseaux sociaux et vous terminez sur un site pornographique…

…il s’est écoulé beaucoup de temps, du temps perdu.

Regarder du X est une activité particulièrement chronophage.

Qui calme sur le moment, puis engendre une dose de stress importante devant le peu de temps qu’il reste pour faire ce que l’on s’était pourtant décidé à faire.

La pornographie ne calme pas, elle augmente le stress.

Vous perdez du temps, que vous ne mettez pas à profit les projets qui vous animent et pour vos relations.

En arrêtant la pornographie, vous gagnerez du temps.   

 

Avant d’en regarder, vous y pensez.

Après en avoir regardé, vous y penser encore.

Votre esprit est distrait par le sexe et votre corps par cette tension sexuelle qui vous habite.

Par moment, vous n’arrivez pas bien à vous concentrer.

Forcément, votre productivité diminue.

Cela génère du stress et de la tension que vous allez vouloir évacuer, en y retournant, encore et toujours…

La pornographie vide l’individu de sa puissance, de sa créativité, de sa capacité à produire.

En arrêtant d’en regarder, vous augmenterez votre productivité.

 

Vous regardez des images pornographiques en cachette, dans votre coin.

C’est votre « jardin secret » et vous pensez que tant que personne ne le sait, il n’y a pas de mal à se faire du bien.

Mais en réalité, vous avez l’impression d’avoir une double vie, d’avoir deux personnalités. Il y a la personne que les gens connaissent, aiment, admirent.

Et puis…

Il y a cet autre vous, cette personne capable de regarder des images dégradantes, violentes, avilissantes…

Par peur d’être démasqué, vous vous renfermez sur vous-même. Vous n’osez plus vous confier, vous ouvrir aux autres, vous dévoiler, vous laissez aimer…

En arrêtant la pornographie, vous renforcerez vos relations amicales, familiales, conjugales, car vous pourrez être vrai. Authentique.

16 – Et vous, quelle est votre raison principale ?

(par exemple, le « Putain, merde, y-en-à-marre !!! » salvateur)

😉

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Ces 3 raisons – motivations profondes sont aussi utiles pour d’autres addictions : boulimie, hyperphagie, jeux, etc.

Supprimez le porno et vous verrez clair sur ce qui ne vous convient pas dans votre vie !

Plus d’échappatoire, plus d’opium, plus de plaisir artificiel…

Vous allez ressentir ce qui vous fait souffrir. Rassurez-vous, c’est une bonne chose.

Votre cerveau recevra enfin distinctement le message concernant ce qui ne va pas. L’inconfort, que vous ressentez, créera la motivation pour trouver une solution.

Il va y avoir du changement.

Et c’est une bonne nouvelle. Car il n’y a, en effet, aucun intérêt à rester pendant des années dans une situation insatisfaisante, aucun.

La débauche n’est jamais une solution.

En arrêtant la pornographie, vous aurez la force de régler vos problèmes.

Le cerveau est programmé pour rechercher un partenaire sexuel dans le but de se reproduire.

Ce mécanisme se déclenche à l’adolescence, lors des transformations de la puberté.

Le problème, c’est que la consommation de pornographie vient dérégler ce processus. Le cerveau ne fait pas la différence entre un plaisir obtenu dans une relation sexuelle et un plaisir obtenu par une masturbation devant des vidéos pornographiques.

Le cerveau croit avoir accompli sa mission, celle de trouver un partenaire et de se reproduire.

Alors qu’il n’en est rien. Vous envoyez une fausse information à votre cerveau. Vous le trompez.

Il ne va donc pas adopter le comportement nécessaire pour avoir un acte sexuel parce qu’il n’en a pas la motivation.

En arrêtant la pornographie, vous regagnerez votre motivation pour avoir une vie sexuelle épanouie.

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Pourquoi arrêter de regarder du porno ?

Voici 16 (très) bonnes raisons d’arrêter :

16 – Et vous, quelle est votre raison ?
Ces raisons – motivations profondes sont aussi utiles pour d’autres addictions : boulimie, hyperphagie, jeux, etc.
Dans mes prochains articles, je détaillerai chacune de ces raisons.
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Si vous, ou quelqu’un dans votre entourage, semble souffrir d’une addiction à la pornographie, ce qui suit vous intéressera.

Notez si l’un de ces 8 signes d’addiction est présent dans la journée, la semaine :

  1. Incapacité à résister à l’envie de regarder du porno, malgré une volonté affirmée d’arrêter
  2. Augmentation du temps consacré à ça
  3. Poursuite de la consommation de pornographie, malgré l’impact négatif sur les relations
  4. Mentir, cacher et dissimuler les traces de sa consommation d’images, de textes, etc.
  5. Consommer du porno dans des lieux à risque (au travail, en public, etc.)
  6. Recherche de pornographie contraire à l’éthique ou susceptible d’avoir des conséquences juridiques
  7. Expérimenter des dysfonctionnements sexuels liés à une masturbation excessive
  8. Choisir de regarder du porno au détriment de ses relations, de ses loisirs, de sa carrière, etc.

Attention : chaque signe d’alerte n’est pas en soi une confirmation directe d’une addiction à la pornographie.

Si vous constatez que c’est le moment de changer, que vous vous identifiez ou non comme dépendant à la pornographie, agissez.

Un soutien psy, et/ou une psychothérapie, vous aideront à revoir votre relation avec le porno, la masturbation, et le sexe.

 

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Épuisé(e), irritable, au bord du gouffre ? Vous n’êtes pas seul(e).

Le burnout touche de plus en plus de personnes.

Je dirai même une augmentation en forte hausse depuis la Covid.

Cette semaine, trois nouveaux clients sont arrivés.

Anxiété stratosphérique et épuisement du corps et de la tête.

Ils ont été happés par le tourbillon du stress et de la surcharge de travail. Ils n’ont pas su dire non.

Mais soyons serein et confiant : ils guériront, et retrouveront leur énergie.

Comprenez votre burn-out : 6 signaux qui doivent vous alerter.

Le burn-out ne se résume pas à une simple fatigue passagère.

Loin de là !

Comme vous l’avez remarqué, il se manifeste par un épuisement physique, émotionnel et mental profond, accompagné de symptômes tels que :

  • Fatigue intense et persistante
  • perte de motivation et d’intérêt pour le travail
  • difficultés de concentration et de mémoire
  • troubles du sommeil
  • irritabilité et hypersensibilité
  • sentiment d’échec et de culpabilité

Passez de la spirale infernale au cercle vertueux : des solutions concrètes existent

Ne vous a-t-on pas dit, et même répété, que la guérison d’un burn-out est un processus qui prend beaucoup de temps et de la patience ?

Je vous le dis : en adoptant une approche holistique, en prenant soin de vous, vous retrouverez votre équilibre et votre énergie. Vous pouvez diviser par deux votre arrêt maladie avec une approche thérapeutique adaptée.

Le burn-out est un signal d’alarme que vous ne devez pas ignorer.

En prenant le temps de vous écouter,

et en prenant soin de votre santé mentale-émotionnelle,

vous pouvez sortir de l’épuisement et retrouver un équilibre durable.

Voici quelques pistes à explorer :

  • Reposez-vous : c’est le point de départ indispensable. Accordez-vous du temps pour vous relaxer, dormir et vous reconnecter à vos besoins
  • Consultez un professionnel compétent : un psychopraticien ou un coach vous aidera à identifier les causes de votre burn-out. Et à mettre en place des stratégies pour y faire face
  • Modifiez votre organisation du travail : apprenez à dire non, à déléguer, et à fixer des limites claires entre vie professionnelle et vie personnelle
  • Développez des activités bien-être : sport, yoga, méditation, auto-hypnose… trouvez des pratiques qui vous apaisent, et vous permettent de recharger vos batteries.
  • Se reconnecter à soi : prenez le temps de réfléchir à vos valeurs, vos aspirations, et ce qui donne du sens dans votre vie.

N’oubliez pas, vous n’êtes pas seul(e) !

De nombreuses ressources sont disponibles pour vous accompagner dans votre cheminement vers la guérison. N’hésitez pas à demander de l’aide.

A vous entourer de personnes sincères et bienveillantes.

N’attendez plus, le chemin vers la guérison commence aujourd’hui.

Si vous souhaitez aller plus loin :

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Lorsque j’aborde la dépendance ou l’addiction d’un(e) de mes client(e)s, j’entre dans son territoire complexe et profondément humain.

Les croyances, valeurs, pensées, émotions et comportements qui sont derrière vos addictions sont souvent tissés dans les fils de votre histoire personnelle, de vos expériences et de vos relations.

-> Voici ce dont j’ai mis l’accent la semaine dernière au cabinet, avec des client(e)s souffrant de boulimie alimentaire, de porno-addiction, de paris sportifs, etc.

1. Croyances et réussite thérapeutique :

  • Croyances limitantes : chacun de nous porte des croyances profondes sur soi-même et sur le monde. Certaines de vos croyances peuvent renforcer l’addiction. Par exemple, “Je ne peux pas gérer le stress sans fumer” ou “Je ne mérite pas d’être heureux”. Est-ce votre cas ?
  • Réussite thérapeutique : la prise de conscience de ces croyances est essentielle pour la réussite thérapeutique. En remplaçant les croyances limitantes par des croyances positives, vous ouvrez la voie à votre guérison.

2. Stratégies favorisant l’addiction :

  • Évitement : votre addiction peut servir de moyen d’échapper à vos émotions difficiles ou à vos situations inconfortables. La drogue, la nourriture ou d’autres comportements addictifs deviennent alors des stratégies pour éviter la douleur.
  • Renforcement : les comportements addictifs sont souvent renforcés par des récompenses immédiates, même si elles ont des conséquences négatives à long terme. Est-ce que vous vous en êtes aperçu ?

3. L’addiction comme tentative d’auto-guérison :

  • Comprendre la douleur : votre addiction peut être vue comme une tentative désespérée de soulager une douleur intérieure. Elle peut être un moyen de combler votre vide émotionnel, de calmer une anxiété profonde, de sortir de l’ennui, etc.
  • Écouter vos besoins : en explorant vos besoins profonds grâce à l’hypnose, votre inconscient trouvera des moyens plus sains de les satisfaire. Par exemple, chercher des connexions sociales, des moyens de gérer le stress ou des activités créatives, etc.

4. La transe de l’addiction :

  • État altéré de conscience : l’addiction crée une transe dissociative hypnotique, où vous êtes contrôlé par votre compulsion (craving). Où vous ne voyez pas le temps passé, vous oubliez où vous êtes.
  • Sortie de transe : après la compulsion de l’addiction, vous revenez à vous-même, et vous ressentez du dégoût, de la colère, de la culpabilité, etc.

5. Émotions non gérées :

  • Émotions refoulées : vous avez du mal à gérer vos émotions, et donc elles sont enfouies profondément. Votre addiction sert alors de moyen d’échapper à ces émotions parfois intenses.
  • Apprendre à ressentir : apprenez à ressentir et à exprimer vos émotions. C’est un premier pas vers votre guérison.

6. Codépendance :

  • Relations dysfonctionnelles : la codépendance se produit lorsque vos relations sont basées sur des besoins non satisfaits et des schémas de comportement malsains (triangle de Karpman).
  • Sortir du schéma : identifiez vos schémas. Travaillez à établir des relations plus saines est crucial pour vous en sortir.

En fin de compte, la guérison de votre addiction est un voyage individuel.

Il nécessite du courage, de la compassion envers soi-même, et un soutien psy. Si vous ou quelqu’un que vous connaissez lutte contre une dépendance, cette personne est en grande souffrance. N’hésitez donc pas à chercher de l’aide.

Car vous n’êtes pas seul.

Il y a toujours de l’espoir pour votre avenir : 

libre et épanouissant 🙂

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Je vous donne ces 7 conseils, fruits de mon expérience à mon cabinet;

Oui, vous pouvez guérir de votre addiction.

Même si elle dure depuis des années. Même si vous en souffrez en silence.

Exemple de guérison ? Celle de l’actrice-chanteuse Demi Lovato.

Artiste adulée, elle a partagé son combat contre la boulimie. Inspirant ainsi des millions de personnes à briser le silence et à cheminer vers la guérison.

Son parcours, illustré par des photos avant / après saisissantes, avec un message d’espoir, montre que la victoire sur la boulimie alimentaire (TCA) est possible.

La psychothérapie s’avère un outil crucial pour vaincre l’addiction. En s’attaquant aux racines profondes du problème, elle offre une transformation durable et complète.

Une cliente guérie m’a dit, récemment, « j’ai fait la paix avec moi-même ».

Voici 7 clés pour vous en sortir :

1. Comprenez les mécanismes de votre addiction

Explorez les ressorts psychologiques qui vous poussent à manger compulsivement. Par exemple, identifiez les émotions difficiles que vous tentez de combler par la nourriture : solitude, ennui, peur, rejet, abandon, etc.

2. Développez une relation saine avec la nourriture

Apprenez à écouter les signaux de faim, et de satiété, de votre corps. Découvrez le plaisir de manger en pleine conscience, sans culpabilité, ni jugement.

3. Apprenez à gérer vos émotions difficiles

Connaissez des outils pour gérer votre stress, votre anxiété, votre tristesse, etc. de manière saine et constructive. Développez des stratégies alternatives à la boulimie (et/ou l’hyperphagie) pour une bonne santé durable.

4. Améliorez votre estime de soi

Renforcez votre confiance en soi et une juste et bonne image corporelle. Apprenez à vous aimer et à vous respecter, au-delà des diktats de la société. Sachez dire non !

5. Développez des relations saines

Entourez-vous d’un réseau de soutien positif et bienveillant. Découvrez comment communiquer ouvertement sur vos ressentis et vos besoins.

6. Apprenez à gérer les rechutes

Comprenez que les rechutes font partie du processus de guérison. Mettez en place des stratégies pour les prévenir. Et les gérer de manière constructive.

7. Fixez-vous des objectifs réalistes

Je vous aiderai aussi comment avoir des objectifs clairs et atteignables pour votre guérison. Vous célèbrerez chaque victoire, si petite soit-elle.

N’oubliez pas, vous n’êtes pas seul(e) !

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Version courte de mon article 😉

-> Ce trouble du comportement alimentaire est un défi complexe, et la guérison est possible. En vous engageant dans une psychothérapie sérieuse, avec un psy compétent, en vous appuyant sur un réseau de soutien solide, vous retrouverez une relation saine avec la nourriture, et vous vous sentirez plus heureux.

N’attendez plus, franchissez le pas vers la liberté et le bien-être !

Voici d’autres informations complémentaires :

  • Le documentaire « Simply Complicated » de Demi Lovato est disponible sur YouTube
  • Ligne d’écoute téléphonique nationale pour les troubles alimentaires : 0 800 05 05 01

N’hésitez pas à partager ce message avec toute personne concernée par l’addiction alimentaire.

Ensemble, brisons le silence de cette maladie, et ouvrons la voie vers la guérison !

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ».
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-> Svp, pourriez-vous me rendre un petit service ?

C’est juste jeter un coup d’oeil à mon nouveau site.

Je l’ai construit pour vous donner un maximum de
valeur et de conseils. Avec un design « plus moderne »,
plus clair, et plus lisible pour vous.
Je veux bien faire,
mais je manque maintenant de recul…

Voici le lien direct pour vous faire une idée:

cliquez ici 🙂
(https://www.fredericduvallevesque.com)

Qu’en pensez-vous ?

Un grand merci 🙂

 

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