alimentation


Un régime riche en graisses et faible en glucides, comme l’alimentation cétogène (LCHF), a ses partisans, mais la grippe n’en fait apparemment pas partie.

Selon une nouvelle étude de l’Université de Yale, publiée ce 15 novembre 2019 dans la revue « Science Immunology », les souris nourries d’un régime cétogène étaient plus aptes à lutter contre le virus de la grippe que les souris nourries d’aliments riches en glucides.

Le régime cétogène, qui comprend de la viande, du poisson, de la volaille et des légumes non féculents, active un sous-ensemble de cellules T dans les poumons non associé auparavant à la réponse du système immunitaire à la grippe, augmentant ainsi la production de mucus à partir de cellules des voies respiratoires pouvant le virus, rapportent les chercheurs.

«C’était une découverte totalement inattendue», a déclaré Akiko Iwasaki, auteure principale, professeur d’immunobiologie et de biologie moléculaire, cellulaire et du développement chez Waldemar Von Zedtwitz, et chercheuse au Howard Hughes Medical Institute.

Le projet de recherche était l’initiative de deux stagiaires – l’un travaillant dans le laboratoire d’Iwasaki et l’autre avec la co-auteure principale Visha Deep Dixit, professeur de médecine comparée et d’immunobiologie Waldemar Von Zedtwitz.

Ryan Molony travaillait dans le laboratoire d’Iwasaki, qui avait découvert que des activateurs du système immunitaire, appelés inflammasomes, pouvaient provoquer des réactions néfastes du système immunitaire chez leur hôte. Emily Goldberg travaillait dans le laboratoire de Dixit, qui avait montré que le régime cétogène bloquait la formation d’inflammasomes.

Les deux se demandaient si le régime alimentaire pouvait affecter la réponse du système immunitaire à des agents pathogènes tels que le virus de la grippe.

Ils ont montré que les souris nourries avec un régime cétogène et infectées par le virus de la grippe avaient un taux de survie supérieur à celles des souris ayant un régime alimentaire normal, riche en glucides.

Plus précisément, les chercheurs ont découvert que le régime cétogène provoquait la libération de cellules T gamma delta, cellules du système immunitaire produisant du mucus dans les membranes cellulaires du poumon, contrairement au régime riche en glucides.

« Cette étude montre que la façon dont le corps brûle les graisses pour produire des corps cétoniques à partir des aliments que nous mangeons peut alimenter le système immunitaire pour lutter contre l’infection grippale », a déclaré Dixit.

Le jeûne raisonné est un mode de vie, plus qu’un régime alimentaire.

Il fait de plus en plus d’adeptes. Explications avec la spécialiste allemande Françoise Wilhelmi, qui a dirigé la clinique Buchinger-Wilhelmi, sur les bords du lac de Constance, en Allemagne.

Depuis soixante ans, Buchinger-Wilhelmi a fait jeûner, dans ses deux cliniques, 300 000 personnes, pendant une ou plusieurs semaines, avec encadrement médical.

Cette spécialiste explique qu’on peut aussi, beaucoup plus simplement, bénéficier des bienfaits du jeûne, chez soi, en répartissant différemment les horaires de ses repas.

« Le principe, explique Françoise Wilhelmi, est de faire, chaque jour, une pause de 12 h à 16 h sans nourriture. On peut par exemple prendre un repas du soir, pauvre en hydrates de carbone (féculents), qui sera terminé à 18 h. Et le repas suivant arrivera entre 8 h et 10 h du matin. »

Ce n’est pas facilement compatible avec les horaires de travail de ceux qui sont dans la vie active.

Mais on peut très bien dîner à un horaire plus tardif, et le lendemain sauter le petit-déjeuner. On arrive ainsi facilement aux 16 heures sans nourriture. Tous les jours, ça semble trop contraignant ? On commence par une fois par semaine…

« Cette pratique est sans aucun danger et ne nécessite aucun suivi médical particulier, commente la médecin. Ce qui n’est pas le cas d’un jeûne de plusieurs jours, où il faut par exemple adapter la posologie pour les personnes qui suivent un traitement médicamenteux. »

Rien de cela avec le jeûne intermittent.

« Un autre avantage, fait remarque Françoise Wilhelmi, est qu’il permet de retrouver la sensation de faim, ce qu’on appelle la « belle faim ». Si la belle faim arrive avant l’échéance, on y va, on mange. L’essentiel est de pratiquer une pause d’au moins 12 h, pendant laquelle on ne boit que de l’eau. Pas de caféine, ni de théine. »

Pourquoi s’infliger cette contrainte ?

« Lors d’un jeûne, répond-elle, un phénomène de nettoyage cellulaire se met en route. Une enzyme de détoxication cellulaire s’active, et élimine les cellules vieillies, mutées ou endommagées. »

Au CNRS de Strasbourg, Carolie Habold avait démontré ce phénomène de régénération cellulaire sur l’intestin des rats.

Chez Buchinger-Wilhelmi, une grande expérience clinique (1) a été menée pendant une année, portant sur 1 422 personnes, venues jeûner pendant des périodes entre 4 et 21 jours.

Elle a montré que de nombreux paramètres, notamment les marqueurs de l’inflammation, sont améliorés grâce au jeûne. « Ces mécanismes, qui existent lors d’un jeûne de plusieurs jours, se déclenchent également si on pratique le jeune intermittent », explique Françoise Wilhelmi.

(1) Publiée dans la revue scientifique en ligne Plos One, sous le titre Safety, health improvement and well-being during a 4 to 21-day fasting period in an observational study including 1422 subjects

 

Sources: ouest-france.fr, divers, ma pratique personnelle depuis des décennies

 

 

Juste sous la vidéo, je vous invite à lire ce qu’a écrit Morgane, où elle explique pourquoi elle a dû fermer les commentaires.

 

Sur la page de son blog (en cliquant ici), j’ai beaucoup apprécié les commentaires respectueux des spectateurs.

J’ai aussi aimé la modération et l’équilibre, le respect de la liberté de chacun, dans chaque réponse de Morgane.

Selon de nouvelles recherches, les décès par cancer du foie ont triplé au cours des 20 dernières années, avec plus du quart des cas concentrés dans les communautés les plus pauvres.

Les conclusions alarmantes de l’Institut national de recherche sur le cancer ont été décrites comme un “réveil” pour le NHS et les décideurs.

Le « Cancer Research UK » a également averti que le nombre de tumeurs du foie allait augmenter de 38% d’ici 2035…

Entre 1997 et 2016, plus de 62 000 cancers primitifs du foie ont été diagnostiqués en Angleterre. Le nombre de décès dus à la forme la plus courante de la maladie a considérablement augmenté.

Parmi les hommes, il y avait 2,73 cas pour 100 000 habitants en 1997, avec 1,93 décès. En 2016, ce nombre était passé à 8,82 cas et 5,97 décès.

Parmi les femmes, 0,82 cas ont été diagnostiqués et 0,51 décès pour 100 000 habitants en 1997, passant à 2,2 et 1,4 en 2016.

Un quart des formes les plus graves de la maladie provenaient des communautés les plus défavorisées, avec 58% de cirrhose du foie.

« La présence de cirrhose, en particulier de cirrhose avancée, chez de nombreux patients signifie que les options de traitement sont sévèrement limitées », déclare le Dr Anya Burton. « Nos résultats soulignent le besoin urgent de mettre en place des stratégies de prévention. »

Bien que la recherche ne puisse pas expliquer les augmentations, elle a déclaré qu’il existait des facteurs de risque communs tels que la consommation d’alcool, la toxicomanie et l’obésité, qui sont tous plus courants dans les zones défavorisées.

Le cancer du foie est difficile à diagnostiquer, plus du tiers des patients participant à l’étude apprenant qu’ils étaient atteints de la maladie après s’être présentés à l’urgence.

M. Hassan Malik, chirurgien consultant en chirurgie du foie à l’hôpital universitaire Aintree de Liverpool, qui n’a pas participé aux recherches du CNRI, a déclaré:

«Le triplement du cancer du foie au cours des 20 dernières années est extrêmement préoccupant, et ces données sont un avertissement pour les décideurs et les prestataires de santé qui ont besoin de meilleures stratégies de prévention. Bien que ces nouveaux chiffres ne concernent que l’Angleterre, nous savons que l’alcool, la toxicomanie et la cirrhose du foie qui en résulte sont des problèmes encore plus graves en Écosse et que, par conséquent, les taux de CHC seront probablement plus élevés. »

« Prévenir vaut toujours mieux que guérir, et c’est particulièrement le cas du cancer du foie, qui n’est généralement détecté qu’à un stade avancé, quand il est presque impossible de guérir. »

Cancer Research UK a annoncé 5 000 décès par cancer du foie au Royaume-Uni en 2017, contre 3 200 en 2007.

Environ un quart des cas de cancer du foie peuvent être liés au surpoids ou à l’obésité et 20% au tabagisme.

Environ la moitié des cas sont évitables…

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Pour l’obésité, deux causes possibles :

1) alimentation trop riche en féculent, sucre et fructose, avec des aliments pauvres en choline dû fait d’une alimentation végétarienne et/ou végan.

2) Augmentation d’aflatoxines avec une alimentation végétarienne et/ou végan. Un autre nom possible du cancer du foie: carcinome hépatique-cellulaire.

Quand on pense à la graisse animale, à quoi pensez-vous ?

Taches disgracieuses de cellulite ?

Des bandes de charbons obstruant les artères, à couper de votre steak et à jeter à la poubelle ?

Ou une substance sophistiquée contenant l’un des secrets de l’intelligence humaine ?

Voic quelques faits amusants sur la graisse…

Nous pensons que la graisse est mauvaise: moins nous en mangeons, moins nous portons sur notre corps, mieux c’est.

Mais ce n’est pas la bonne façon de penser… si vous voulez éviter toutes les maladies liées à un désordre métabolique (diabète, alzheimer etc).

Les graisses ne servent pas uniquement à l’isolation du froid, et au stockage d’énergie, mais également à l’absorption des nutriments, à la signalisation cellulaire, à la fonction immunitaire, et à de nombreux autres processus critiques !

Beaucoup de gens pensent que la principale différence entre les graisses végétales et animales réside dans le fait que les aliments d’origine animale contiennent davantage de graisses saturées…

Mais voici quelques faits amusants et gras qui pourraient vous surprendre:

  • Tous les aliments d’origine végétale ou animale contiennent naturellement un mélange de graisses saturées et insaturées.
  • Certains aliments d’origine végétale contiennent plus de graisses saturées que d’aliments d’origine animale, et l’huile de noix de coco arrive en tête du classement à 90% de graisses saturées. C’est plus de deux fois la graisse saturée contenue dans la graisse de boeuf.
  • Le principal type de graisse que l’on trouve dans la viande de porc est un acide gras monoinsaturé (MUFA) appelé acide oléique, la même graisse que celle trouvée dans l’huile d’olive.

Le cancer du sein est le cancer le plus fréquemment contracté par les femmes en France, avec 58 968 nouveaux cas en 2017, selon l’Institut national du cancer (INCA).

On estime, pour la même année, qu’il est responsable de la mort de 11 883 femmes. 18,2 % des femmes atteintes d’un cancer succombent, dans le pays, au cancer du sein.

Le risque d’être touché par cette maladie augmente fortement avec l’âge : 80 % des cas se développent après 50 ans, toujours selon l’INCA.

De nombreuses études ont été réalisées pour explorer les causes du cancer du sein.

De nombreux facteurs de risques ont été identifiés, mais certains sont considérés comme prépondérants, selon l’INCA. Outre le sexe (seulement 1 % des cas touchent des hommes) et l’âge, il s’agit surtout:

– d’antécédents personnels de maladie (par exemple, de précédents cancers du sein, de l’ovaire ou de l’endomètre),

– d’antécédents familiaux de cancers

– ou de prédispositions génétiques.

Des risques liés à l’environnement et au mode de vie existent aussi.

Selon le Centre international de recherche sur le cancer, 15,1 % des nouveaux cas de cancer du sein chez des femmes de plus de 30 ans en 2015 étaient imputables à la consommation d’alcool, ce qui représente un peu plus de 8 000 cas. Par ailleurs, 4,4 % étaient liés à la consommation de tabac. Après 50 ans, 10,6 % des cancers étaient attribuables au surpoids et à l’obésité. Les perturbateurs endocriniens sont également suspectés d’être un facteur de risque.

Les pesticides quant à eux, peuvent jouer un rôle dans l’apparition de certains cancers. Mais la recherche scientifique n’a, à ce jour, pas mis en évidence de possibles effets sur l’apparition du cancer du sein, comme le concluait une expertise de l’Inserm en 2013. Et ce, tant en ce qui concerne la population générale que celle des travailleurs agricoles.

Cela n’obère pas toute réflexion sur le sujet, d’autant que certains pesticides sont susceptibles de contenir des perturbateurs endocriniens. Reste qu’on peut difficilement dire que si une femme sur dix est touchée par le cancer du sein, c’est « dû aux pesticides ». Les propos de Ségolène Royal ont donc fait bondir des spécialistes du sujet comme le président de la Ligue nationale contre le cancer, Axel Kahn.

By, Nina Teicholz

The EAT-Lancet Report published last week, with headlines globally, stated that to save both planetary and human health, the world’s population needed to cut back dramatically on red meat and other animal products. The prescription is very close to a vegan diet.

News Flash (updated Feb 4th and Feb 7th)

Questions were raised as to whether the EAT-Lancet report underwent external peer review. According to Rosemary Stanton, a well-known nutritionist and supporter of the report (though not an author), the EAT-Lancet authors (who are dubbed “Commissioners”) themselves did their own peer review.. Rosemary Stanton also acknowledged that some of the references are incorrect (see tweet by Kurt Lass, below). Watch this space as we try to resolve the important question about peer review. (This paragraph updated for accuracy and further details on 2/5/19)

EAT Lancet no peer review.png
EATLancet references wrong.png

The Lancet responds:

The Lancet responded in a tweet that the paper did undergo independent, external peer review. Thank you, Lancet, case closed.

Screen Shot 2019-02-07 at 9.37.58 AM.png

Report Based on Fundamentally Weak Science

This report is disturbing on a number of fronts. Most importantly, its diet lacks the backing of any rigorous science. Indeed, it does not cite a single clinical trial to support the idea that a vegan/vegetarian diet promotes good health or fights disease. Instead EAT-Lancet relies entirely on a type of science that is weak and demonstrably unreliable, called epidemiology. This kind of science has been shown to be accurate, when tested in rigorous clinical trials, only 0-20% of the time.[1][2] One wouldn’t bet on a football team with such poor odds, so why bet on the public health this way?

Even the most recent U.S. Dietary Guidelines Advisory Committee, which clearly favored a vegetarian diet and recommended it to the entire U.S. public, found, in their review of the scientific evidence, that the power of this diet to fight any nutrition-related disease was “limited”— the lowest rank given for available data.

In the same vein, there is no rigorous (clinical trial) data on humans to show that red meat causes any kind of disease. This data can been seen in a 2-pager that The Nutrition Coalition published last week, in tandem with the EAT-Lancet report.

A One-sided Commission and No Disclosure of Potential Conflicts of Interest

The EAT-Lancet commission was portrayed as the product of 37 scientists from around the world. However, in reality, the authors represented a very narrow range of opinions: 31 out of the 37 (>80%) had established published records as being in favor of vegetarian/vegan or anti-meat diets !

This include…

 

La suite ici.

  • Avis et témoignage du 22 juin 2018 : 

« Bonjour,

J’espère que tu as trouvé déjà ! Sinon, voici ce que j’ai trouvé sur un autre site:

Je connais Frédéric Duval-Levesque. Il officie sutr Toulouse mais il consulte aussi à Lyon et Paris. Pas psychiatre, mais c’est un des meilleurs psychothérapeutes actuellement pour le soutien psychologique des cancéreux, la guérison des dépendances alimentaires aussi.
Je confirme donc l’avis du … Cinoque au-dessus : psychotherapeute.wordpress.com
ou
https://psychotherapeute.wordpress.com/qu…

Sources :
Ses articles professionnels dans la presse médicale française (Le Généraliste) et norvégienne sur la dépression, le mal-être, le stress etc…, ses conférences à La Mutualité (Paris 5ème)

Aline »

 

avis, témoignage, psychotherapie, addiction sexuelle, dépendance, boulimie, F.Duval-Levesque psychopraticien, hypnothérapeute, coach, Toulouse, TCC, hypnose, mal-être

 

Nouvelle adresse du site:
https://duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr/

 

Les repas des fêtes de fin d’année sont des moments de convivialité pendant lesquels on mange et on boit plus que d’ordinaire.

Mais gare !

C’est aussi bien sûr l’occasion de prendre durablement du poids.

Par exemple, dans une étude qui a suivi et pesé régulièrement 195 adultes de septembre à mars, les variations du poids sont parlantes : pendant la période qui précède les fêtes, de fin septembre à mi-novembre, le gain de poids est minime avec 180 grammes en moyenne.

En revanche, on a tendance à prendre du poids pendant les fêtes : ainsi, en février, les participants pesaient en moyenne un demi-kilo de plus (480 grammes) qu’à l’automne.

Repesés à l’automne suivant, ces adultes avaient conservé ce gain de poids.

Les auteurs de l’étude estiment que les kilos pris pendant la période des fêtes contribuent probablement à l’augmentation générale du poids à l’âge adulte (1).

 

(1) Yanovski A. Prospective Study of Holiday Weight Gain. New England Journal of Medicine, 2000;12(342):861-867.

Des chercheurs britanniques ont testé l’efficacité d’une « conseils de bon sens » pour prévenir le gain de poids durant la période de Noël.

Leurs résultats sont publiés dans le British Medical Journal.

« En moyenne, les gens prennent à peu près 1 kg par an et les fêtes comme Noël sont responsables de la majeure partie de ce gain annuel », indiquent les auteurs.

Le poids pris pendant les périodes de fêtes n’est souvent pas perdu par la suite et, bien que ces gains soient faibles (en moyenne), sur une période de 10 ans, ils entraînent une augmentation significative du poids.

Frances Mason de l’Université de Birmingham et ses collègues ont mené cette étude avec 272 personnes, âgées en moyenne de 44 ans, qui ont été assignées au hasard à un groupe recevant la brève intervention ou un groupe témoin qui a reçu un dépliant sur les modes de vie sains qui n’incluait pas de conseils diététiques.

L’étude a été menée en 2016 et 2017. Les participants étaient pesés et mesurés en novembre et décembre, puis des mesures de suivi étaient effectuées en janvier et février 2017 et 2018.

L’intervention incluait trois composantes :

  1. l’encouragement à se peser au moins 2 fois par semaine (idéalement à tous les jours) et de prendre le poids en note afin de favoriser la réflexion sur les causes des changements
  2. la remise d’un dépliant, intitulé « 10 Top Tips », présentant 10 habitudes à développer pour perdre du poids
  3. la remise d’une infographie donnant quelques exemples de temps d’exercice nécessaire pour brûler les calories apportées par différents mets et boissons traditionnels du temps des fêtes.

L’efficacité potentielle de se peser régulièrement repose sur les principes de l’autorégulation et de la formation d’habitudes, expliquent les chercheurs. Se peser permet de constater comment les comportements affectent le poids et de faire des ajustements.

En moyenne, les participants du groupe d’intervention ont perdu 0,13 kg durant la période des fêtes alors que ceux du groupe témoin ont pris 0,37 kg. Ce qui représente une différence de 0,5 kg.

Ceux du groupe d’intervention limitaient mieux leur consommation d’aliments et d’alcool comparativement à ceux du groupe témoin.

« Rien que le jour de Noël, une personne peut consommer 6 000 calories, soit trois fois l’apport quotidien recommandé », soulignent les chercheurs.

Sources : University of Birmingham, Psychomedia, The BMJ

 

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La plupart des Français ne se sentent pas en meilleure forme qu’avant leurs congés, selon un sondage Odoxa pour le Figaro, France Inter et MNH.

Pour la plupart d’entre nous, les grandes vacances touchent à leur fin… Ou avons déjà repris le travail !

Mais sommes-nous plus reposés qu’avant le départ?

Non, selon un sondage Odoxa pour le Figaro, France Inter et MNH*.

À la question «comment qualifieriez-vous l’impact des congés sur votre état de santé, de fatigue ?», 52% des sondés répondent : «ni plus, ni moins fatigué qu’avant les congés».

Même chez les personnes professionnellement actives, les vacances ne sont pas aussi reposantes qu’escomptées : seuls 43% des actifs se disent moins fatigués. Ce chiffre tombe à 23% parmi les inactifs et les chômeurs.

Des vacances fatigantes ?

Plusieurs hypothèses sous-tendent ce manque de repos : tout d’abord, «l’effet vacances», c’est-à-dire les effets positifs des congés sur la santé, ne dure pas très longtemps.

Un mois seulement, selon une étude publiée dans la revue Journal of Organizational Behavior en 2010. Pour les juillettistes, le temps de ces effets bénéfiques est donc déjà loin.

De plus, les Français ne profitent pas de leurs congés pour prendre de bonnes résolutions : seuls 48% des sondés affirment profiter des vacances pour faire plus de sport et 33% pour faire davantage attention à leur alimentation.

Au total, un peu plus de la moitié des Français seulement dit faire «plus attention» à sa santé. Or une bonne hygiène de vie atténue la fatigue.

Moins de problèmes de santé

Pour les actifs, les vacances sont tout de même l’occasion de se couper du boulot : 86% de ceux interrogés déclarent déconnecter de leur travail. Et tous les Français profitent davantage de leurs proches (82% des sondés) et prennent plus de temps pour eux et pour leurs loisirs (78%).

Enfin, les sondés étaient en meilleure santé durant le mois d’août. Il y a eu moins de cas de rhinopharyngites (6% en août contre 11% en juillet ), de rhumes ou de rhinites (13% contre 21% ) et d’allergies (12% contre 19%).

* Enquête réalisée les 24 et 25 août, sur un échantillon de 1005 personnes représentatives de la population française âgée de 18 ans et plus.

Source: sante.lefigaro.fr

Ce soir sur Arte, ne manquez pas « Les fabuleux pouvoirs de l’hypnose »: un documentaire de 52 minutes sur une thérapie capable de venir à bout des phobies, de lutter contre la douleur, et les addictions.

Passionnant !

Cette approche est encore timide en France, pays de cartesiens…

Pourtant, les indications de l’hypnose sont nombreuses : gestion du stress, phobies, insomnies, addictions, anesthésie, syndrome post-traumatique, etc….

Cette technique, liée à la complexité de notre cerveau n’a sans doute pas révélée toute sa puissance. Et c’est sans doute ce qui peut rebuter.

Longtemps reléguée au rang de sciences occultes ou d’illusionnisme ringard, elle s’affirme comme une voie thérapeutique complémentaire pour 2/3 de personnes réceptives.

A l’origine de ce revirement, des études réalisées par des neurologues fascinés par le fonctionnement de la perception sensorielle induite qui peut contribuer à changer l’image que nous avons de nous, modifier un point de vue ou déprogrammer des réactions automatiques.

Qu’y a-t-il de commun entre Mesmer et un professeur de médecine ?

Quel interêt Bertrand Piccard, l’aventurier (et psychiatre) de Solar Impulse trouve-t-il à l’hypnose, quels champs de possibilités s’ouvrent à cette technique dans le domaine de la santé ?

Réponse à 22h25, et c’est passionnant.

Arte et les éditions Belin ont uni leurs ressources pour nous proposer d’une part un documentaire de 52 minutes de Thierry Berrod et Pierre-François Gaudry (disponible en dvd sur le site Arte, d’autre part un livre sur « Les fabuleux pouvoirs de l’hypnose », signé par la journaliste scientifique Betty Mamane).

Diffusé ce soir à une heure tardive (hélas !), le téléfilm passionne, amuse, instruit.

Il surfe sur la vague des films en noir et blanc, des spectacles d’illusion pour mieux nous plonger dans le dur : le monde fascinant de la recherche scientifique et les perspectives illimitées du pouvoir du cerveau sur notre corps.

Comme quoi le démodé d’hier peut devenir furieusement tendance…

 

Une enquête édifiante sur la manière dont l’industrie du sucre s’ingénie à en augmenter la consommation, faisant fi des risques sanitaires (sur Arte à 20 h 50).

Sur des images d’archives familiales, une fête d’anniversaire bat son plein.

On y voit des gamins se goinfrer de bonbons colorés, de gâteaux moelleux. Quoi de plus normal, le sucre n’est-il pas une ­façon partagée à travers le monde d’exprimer notre amour ?

Après avoir visionné ce documentaire aussi instructif qu’inquiétant consacré aux méfaits du sucre pour notre santé, on regardera peut-être d’un autre œil ces sucreries avalées avec tant de plaisir.

Du Canada au Japon en passant par l’Europe et les Etats-Unis, ­Michèle Hozer interroge des spécialistes, retrace l’histoire du lobby du sucre américain, et en arrive à ce constat : l’industrie sucrière estimant ne pas disposer de preuves irréfutables des effets mortels du sucre, continue de proposer aliments et boissons qui provoquent obésité, hypertension, diabète et maladies cardiaques.

« Le débat sur le sucre en est au stade du débat sur le tabac dans les années 1960 ! On retrouve chez les responsables de l’industrie sucrière les mêmes stratégies que chez les ­cigarettiers d’autrefois », estime Stan Glantz, directeur du Centre pour le contrôle du tabac.

Pour ne pas effrayer le client, l’industrie agroalimentaire sait parfaitement cacher la quantité de sucre sous diverses appellations : lactose, sirop de glucose ou de maïs, saccharose. Le sucre est composé de deux molécules : le glucose, source d’énergie, et le fructose, métabolisé ­presque uniquement par le foie.

Toxique, le sucre ? A haute dose évidemment, mais pas seulement, et c’est cela qui est inquiétant.

Aujourd’hui, un tiers des Américains souffrent de stéatose hépatique, une maladie qui, avant 1980, n’était même pas répertoriée !

Depuis trente ans, la consommation de sucre a augmenté de 46 % dans le monde.

Depuis le début des années 1980, la consommation d’aliments transformés et sucrés est passée de 11,6 % à 22,7 %. D’autres statistiques ? 74 % des plats cuisinés vendus en supermarché contiennent des sucres ajoutés. Et ce n’est pas un problème spécifiquement américain puisque, au niveau mondial, une personne sur douze en souffre.

Revenant en arrière, le documentaire rappelle les stratégies mises au point dans les années 1960 et 1970 aux Etats-Unis par la puissante Sugar Association.

En août 1974, des consommateurs appuyés par des professionnels de santé demandent à la Food and Drug Administration (FDA) de limiter la quantité de sucre autorisée dans les céréales que les gamins dévorent au petit déjeuner. Les pressions sur la FDA seront finalement payantes. Au début des années 1970, les débats sur les effets nocifs du sucre furent nombreux.

Quarante ans plus tard, on retrouve les mêmes débats, les mêmes questions, les mêmes esquives de la part des industriels concernés. Qui, par ailleurs, subventionnent généreusement des conférences sur l’obésité…

Pédiatre et endocrinologue américain, Robert Lustig combat depuis longtemps l’industrie du sucre et ses interventions recueillies dans ce documentaire sont édifiantes.

« Je ne suis pas contre les gens qui gagnent de l’argent. Je suis contre ceux qui en gagnent en empoisonnant les autres. C’est ce qu’a fait l’industrie du tabac, et c’est ce que l’industrie agroalimentaire fait aujourd’hui. »

Vous reprendrez bien une part de gâteau ?

« Sucre, le doux mensonge », de Michèle Hozer (2015, 90 min), sur Arte à 20 h 50.

 

Manger de manière consciente, c’est être à l’écoute de son corps.

De tenter de reconnaître et de respecter ce qu’il désire.

En lien avec l’alimentation, les signaux qu’il nous envoie sont la faim et la satiété, nous permettant de quantifier la nourriture à manger pour l’atteinte ou le maintien d’un poids naturel (le poids souhaitable pour sa santé, génétiquement prédéterminé et maintenu par de saines habitudes de vie).

Le Défi des 100 jours

Regardez cette vidéo de Lilou Macé

en cliquant ici !

Etes-vous prêt à réinventer votre façon de manger en 100 jours ?

Dans ce tout nouveau cahier d’exercices, Lilou Macé et son père Jym Macé, chef cuisinier, proposent pour cet été 100 défis « feel good » autour de l’alimentation.

Les études ont démontré que manger consciemment permettait de mieux ressentir ses signaux corporels (faim, satiété, émotions, pensées) et de mieux gérer son poids, tout en diminuant les comportements nocifs comme la restriction et la culpabilité.

Des défis ludiques et libérateurs quel que soit le mode alimentaire de chacun.

Ce Défi des 100 jours a été créé en duo père-fille, en combinant le meilleur de leur savoir, afin de permettre à chacun de:

retrouver une alimentation équilibrée, adaptée, vitalisante

et de

créer son propre style de vie alimentaire.

Pour des millions de personnes, manger, au lieu d’être une source d’épanouissement, est devenu une source de conflits, de frustrations et de confusion. Régimes sans fin, malnutrition, envies, addictions, obsession de l’image, peur de la malbouffe et culte du bien-manger deviennent plus dogmatiques que les idées qu’elles dénoncent.

Ce gros livre à spirales de 360 pages offre une approche novatrice et multi-référentielle qui ne se limite pas à la pleine conscience.

Libérant croyances, incohérences, peurs et limitations, l’alimentation retrouve sa place originelle et redevient source de plaisir.

Le défi que vous allez relever, c’est:

  • Chaque jour, une opportunité de tester des défis variés et découvrir de nouveaux outils
  • Un cahier d’exercices, dans lequel on note ses observations, progressions et réussites
  • Une exploration et des bilans quotidiens sur son alimentation pour ne plus être esclave des automatismes : apprendre à observer ce que l’on mange, comprendre les signaux du corps, manger avec ses cinq sens, entraîner son cerveau à aller au-delà des croyances et avant tout développer une attitude bienveillante
  • Changer ses routines et rituels alimentaires et en créer de nouveaux
  • Retrouver sa cohérence alimentaire grâce à ce défi adapté à tout mode alimentaire, toute intolérance et façon de cuisiner (végétariens, crudivores, végans et carnivores, etc.)
  • Créer sa propre méthode au bout de 100 jours.

Et pour vous aider à changer, tout en douceur:

  • Choisir son niveau d’engagement, en relevant le bonus du jour
  • Être inspiré par de nombreux témoignages et citations quotidiennes
  • Des références de livres, d’études scientifiques et des interviews pour aller plus loin
  • Des défis adaptés aux jours de la semaine : le week-end pour les défis tels que confectionner un tableau de bien-être, feng shuiser sa cuisine, faire une détox de jus, créer des rituels, marcher avec ses 5 sens ou faire la libre cueillette – et les mercredis avec les enfants pour des défis tels que cuisiner en musique ou manger avec ses mains
  • Évoluer ensemble autour de l’alimentation en participant au Défi en couple (soirée tantrique), en famille (faire son marché) ou entre amis (un diner dans le noir).

defi-des-100-jours-alimentation-consciente

SEMAINE 1
Jour 1 Samedi – Créer ses intentions
Jour 2 Dimanche – Le tableau de vision alimentation consciente
Jour 3 Lundi – Manger consciemment
Jour 4 Mardi – Mon corps me parle
Jour 5 Mercredi – La cueillette des idiotismes gastronomique et des citations
Jour 6 Jeudi – Les dictatures des régimes et des gourous alimentaires
Jour 7 Vendredi – Assiette à moitié video ou à moitié pleine ?

SEMAINE 2

Jour 8 Samedi – L’état des lieux
Jour 9 Dimanche – Désencombrer
Jour 10 Lundi – Prendre soin de soi
Jour 11 Mardi – L’égo alimentaire
Jour 12 Mercredi – Apprendre des enfants
Jour 13 Jeudi – Les signaux du corps
Jour 14 Vendredi – Hara Hachi Bu

SEMAINE 3

Jour 15 Samedi – « Je mange donc je suis »
Jour 16 Dimanche – Incohérences & authenticité alimentaire
Jour 17 Lundi – Changer sa routine alimentaire
Jour 18 Mardi – Les rituels alimentaires
Jour 19 Mercredi – Créer ses rituels alimentaires
Jour 20 Jeudi – Zéro doute

SEMAINE 4

Jour 22 Samedi – L’expérience du riz
Jour 23 Dimanche – Liquéfiez-vous ! Journée detox
Jour 24 Lundi – Achever l’inachevé
Jour 25 Mardi – Félicitations !
Jour 26 Mercredi – Manger avec sa main non dominante
Jour 27 Jeudi – Les états d’âme
Jour 28 Vendredi – Attitude bienveillante

SEMAINE 5

Jour 29 Samedi – Manger avec les 5 sens
Jour 30 Dimanche – Marcher avec les 5 sens
Jour 31 Lundi – Mandalas visuels et sonores
Jour 32 Mardi – Le goût et l’odorat
Jour 33 Mercredi – Manger avec les mains
Jour 34 Jeudi – Quand je mange je ne fais rien d’autre
Jour 35 Vendredi – Les yeux bandés

Plus d’infos ici !

A vous de découvrir la suite…

Biographie des deux auteurs:

Lilou est auteure, youtubeuse aux millions de vues et fondatrice du Défi des 100 jours. C’est en 2008 qu’elle lance le site francophone http://www.defides100jours.com (40 000 participants) et en juin 2015 qu’elle publie aux éditions Trédaniel, la version papier avec Le cahier d’exercices du Défi des 100 jours (21 000 exemplaires). En avril 2016, elle lance avec l’experte sur l’intuition Sonia Choquette Le Défi des 100 jours pour développer son intuition, et, en 2017, écrit avec son co-auteur Arnaud Riou Le Défi des 100 jours pour vivre la magie au quotidien. Rejoignez-la pour ses directs quotidiens sur Facebook (www.facebook.com/FRLilou (105 000 fans)) ou sur sa chaîne YouTube http://www.lateledelilou.com

Baroudeur et chef depuis l’âge de 14 ans, Jym, père de Lilou Macé, à l’esprit curieux et ouvert, découvre et teste au travers de ses nombreux voyages et nombreuses lectures, depuis plus de 50 ans, une richesse alimentaire internationale qu’il partage généreusement avec les personnes qui l’entourent. Passionné par la cuisine, ce visionnaire autodidacte au parcours atypique explore depuis son plus jeune âge la joie d’une alimentation saine, vitale et consciente.

Source: « Le Défi des 100 jours !« , de Lilou Macé & Jim Macé, édition Guy Trédaniel

10 commandements nutritionnels à retenir si vous adoptez une alimentation à index glycémique (IG) bas pour réguler votre diabète ou pour maigrir. Ils sont issus du Nouveau régime IG diabète.

Adopter une alimentation à IG bas est d’une simplicité enfantine car elle fait appel à votre bon sens. Pas d’associations compliquées à gérer, aucune privation : vous mangez à votre faim. Il s’agit d’une alimentation savoureuse, car elle privilégie des aliments du terroir, peu transformés et de haute qualité nutritionnelle.

Voici les dix règles à retenir pour adopter ce régime santé et plaisir.

1. Du pain et des céréales à IG bas ou modéré, c’est-à-dire inférieur à 55

Pains bis ou complets multicéréales (froment + avoine, orge ou seigle) au levain, et du riz complet ou riz basmati (même blanc). Même si ces types de pains sont plus chers à l’achat, ils se conservent jusqu’à une semaine, donc pas de gaspillage et surtout, ils apportent des vitamines et des minéraux indispensables au bon fonctionnement de votre organisme. Si vous consommez des céréales au petit déjeuner, les plus favorables sont les flocons d’avoine traditionnels. Cependant, certaines grandes marques affichent aussi des IG bas (All-Bran, plusieurs Mueslis…).

2. Au moins 3 fruits et 3 légumes par jour

Les fruits et légumes jouent un rôle central dans ce régime, parce qu’ils ont généralement un IG bas et qu’ils constituent une excellente source d’antioxydants. Si vous devez perdre du poids, ils conviennent particulièrement car ils diminuent la sensation de faim. Les fruits et les légumes doivent représenter au moins la moitié de chaque repas. Ce qui est facilement réalisable avec une entrée de crudités, des légumes cuits en accompagnement du plat et un fruit en dessert. Et si vous avez un petit creux dans la matinée ou dans l’après-midi, prenez une collation de fruits frais et secs.  Rappelons que les pommes de terre ne sont ni des légumes ni des « sucres lents ». Ce sont au contraire des sucres rapides puisqu’elles ont un IG élevé.

3. Des légumes secs deux fois par semaine

Riches en fibres, en vitamines et minéraux, mais aussi en protéines, les légumes secs ont des IG bas tout en apportant peu de calories. En plus, ils servent d’aliments de base à la flore intestinale et contribuent ainsi à la bonne santé du système digestif.

4. Des noix et des oléagineux secs (noisettes, amandes…) chaque jour

N’ayez pas peur des graisses que contiennent les noix : ce sont de bonnes graisses qui prendront, dans les membranes de vos cellules, la place des graisses saturées et protégeront votre cœur et vos artères. Et dans le cadre de ce régime, aucune crainte de prendre des kilos ! Ils agrémenteront à merveille vos plats ainsi que vos desserts et pourront être consommés en cas de petite faim.

5. Du poisson deux à trois fois par semaine

Le poisson n’a pas d’impact sur la glycémie puisqu’il ne contient pas de glucides. En plus, il apporte souvent des oméga-3 qui réduisent le risque de maladies cardiovasculaires, jouent un rôle dans le fonctionnement cérébral et préviendraient en particulier la dépression. Le saumon, les sardines, les maquereaux et le hareng font partie des poissons les plus riches en oméga-3.

6. De la viande, des œufs deux à quatre fois par semaine

Viande rouge pour les femmes entre puberté et ménopause (en raison des besoins en fer), viandes blanches de préférence pour les autres femmes et la plupart des hommes. Privilégier les viandes les moins grasses présentant des teneurs en acides gras saturés basses. Les œufs sont bons pour tous. Pour les végétariens, les steaks de soja et le tofu offrent d’excellentes alternatives à la viande. Tous ces aliments ont un IG bas.

7. Des laitages avec modération

Pas plus d’un à deux par jour, en raison de leurs effets marqués sur l’insuline (lait et yaourts). Les fromages ne sollicitent pas l’insuline mais ils sont riches en graisses saturées et souvent trop salés. Même avec peu de laitages, une alimentation à IG bas assure à l’os une bonne santé parce qu’il est riche en potassium et en calcium (fruits, légumes, céréales complètes).

8. De l’huile de colza et d’olive pour l’assaisonnement et la cuisine, de préférence portant la mention « première pression à froid »

L’huile d’olive pourra s’utiliser pour la cuisson puisqu’elle supporte bien les hautes températures et l’huile de colza pour les crudités afin d’apporter tous les acides gras essentiels. Des margarines végétales aux oméga-3 pourront aussi remplacer le beurre pour les tartines par exemple, mais pas pour la cuisson. Pour cette dernière, la graisse de canard ou l’huile d’arachide pourront remplacer l’huile d’olive.

9. Une meilleure écoute de vos signaux de satiété

Il vous faudra en effet vous familiariser avec deux habitudes : ne pas attendre d’être affamé pour se mettre à table et ne pas attendre d’être totalement rassasié avant d’en sortir ! Choisir de petites assiettes pour y mettre de petites portions et surtout mâcher longuement afin d’éviter les inconforts digestifs et de détecter les signaux de satiété car un repas pris trop rapidement, même copieux, ne rassasie pas.

10. Du plaisir et de la bonne humeur

Vous pourrez inclure tous les aliments à IG bas que vous trouverez, si vous ne prenez pas plaisir à manger, vos efforts risquent d’être réduits à néant en un rien de temps. Le corps humain a besoin de manger des aliments qu’il aime, et ceci dans une ambiance détendue, sereine et sans stress.

La période des examens est stressante pour les adolescents et… leurs parents.

Voici quelques conseils afin d’aider au mieux votre enfant.

Brevet des collèges, CAP, BEP, baccalauréat ou examens post-bac. A partir de la troisième, l’adolescent emprunte un itinéraire scolaire ponctué d’examens-étapes, avec le stress qu’ils sous-tendent.

« Ces moments correspondent aussi à une pleine transformation de sa personnalité, de sa maturité intellectuelle, de ses capacités à se transposer et à s’organiser. A cet âge-là, les jeunes sont en grande fragilité et en hypersensibilité au niveau de leur estime de soi, et cela s’ajoute aux angoisses de performances, et à la peur, notamment, de l’échec. »

Du point de vue du parent, c’est une double pression qui s’exerce, à commencer par celle de la société : « Les succès aux examens de nos enfants sont autant de trophées exposés dans la vitrine de nos réussites sociale et familiale.»

Demeure aussi l’idée prégnante que le bonheur de ses enfants est étroitement lié à leur réussite scolaire. Or, ce qui importe avant tout est de guider son enfant en fonction de ses atouts, de ses capacités et de ses sensibilités, de manière socratique. Et surtout que le parent ne lui impose pas, par procuration, ses propres choix.

Bannir les « Si tu n’es pas danseuse/charcutier/architecte ou médecin, je te renie » : le chantage affectif n’a pas lieu d’être, pas plus que le prédéterminisme professionnel !

Est-il utile de rappeler que le parent doit rassurer son enfant, notamment dans ces phases d’anxiété liées aux examens, et veiller à son bien-être et à son bon développement. « Il s’agit d’être vigilant et prêt à entendre ce que l’enfant veut pour lui.»

Pour trois profils types d’adolescents engagés dans la dernière ligne droite des révisions, voici les conseils :

1/ Votre fille est une bosseuse. Elle a préparé son examen plus qu’il ne faudrait. Trop perfectionniste, le surmenage guette

Un bon élève, autonome, ne l’est pas par hasard. Ce n’est pas un profil qu’on tire à la loterie, contrairement à ce que voudraient croire certains parents mal lotis ! C’est le fruit d’un travail éducatif préalable. Cet enfant a reçu une éducation, de l’affection et des marques de confiance. S’il est des traits de personnalité innés, la plus grande majorité s’acquiert et est liée à l’environnement dans lequel le jeune évolue.

Dans le cas d’un adolescent trop bosseur, il revient de lui expliquer que son cerveau a aussi besoin de plaisir, de repos et de recharger ses batteries à la manière de son téléphone ! Et on peut filer la métaphore : à force d’être sur des applis énergivores, si on ne le recharge pas, le risque est de tomber à plat. Il en va de même pour son cerveau.

Le parent va pour cela lui suggérer des activités, des « récréations », des temps essentiels mais pas des temps volés à ses révisions. Son cerveau va ainsi se ressourcer, lui évitant l’épuisement cérébral comme psychique. Au parent de « faire diversion » si l’on peut dire et de lui faire part de sa propre expérience, l’assurant que cela a contribué à sa propre réussite. L’exemple a du bon.

2/ Votre fils est dans une situation extrême de stress. Il a perdu l’appétit, est sujet à l’insomnie, et ne cesse de se dévaloriser

Ce jeune est dans une situation de souffrance psychique. Il faudra certainement envisager de recourir à des soins médicaux psychologiques. Ne pas hésiter, dans les cas extrêmes, à prendre rendez-vous avec un psychopraticien ou un thérapeute pour intégrer par exemple des techniques de relaxation et/ou de méditation, de cohérence cardiaque, de digipuncture (EFT), et thérapie EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing, « désensibilisation et reprogrammation par mouvement des yeux ») aussi… afin de mieux gérer cet excès d’anxiété.

En dehors d’un psy, on peut aussi l’inciter à utiliser des techniques de gestion du stress faciles à assimiler, que l’on peut trouver sur Internet, à travers des applis ou en librairie. Cela peut avoir des bienfaits majeurs immédiats.

Pour des cas un peu moins stressés, il n’y a pas de miracle à attendre des apports de vitamines, de magnésium et autres compléments que l’on peut autoprescrire à son enfant. Cela ne peut pas faire de mal, mais aucune étude n’a démontré les bienfaits pro-cognitifs de ces substances. Cela rassure, certes. Le seul complément alimentaire qui a fait ses preuves sont les acides gras oméga 3 issus de la mer.

Les parents doivent rappeler à leur ado que le stress est physiologiquement normal et que l’inverse serait plus inquiétant ! Ils peuvent l’aider à décompresser en lui proposer des activités, en lui réservant attentions et surprises, et surtout en lui épargnant leur propre stress, très contagieux.

Avant tout, lui témoigner sa confiance et sa solidarité et rester calme face à l’épreuve qui l’attend (et vous aussi).

3/ Votre fille procrastine et ne semble pas vouloir s’atteler à ses révisions

C’est l’adolescent qui demande le plus à être coaché. Le procrastinateur, s’il n’est pas dans la quête de sensations fortes et de bouffées d’adrénaline en faisant les choses au dernier moment, est, dans la majorité des cas, paralysé par l’angoisse, d’où son inaction. Le parent doit être très présent, le rassurer et le guider dans son organisation par l’élaboration d’un rétroplanning.

La procrastination est très souvent liée à l’anxiété et à l’angoisse de performances. Pour l’en libérer, le parent doit l’assurer qu’il n’attend pas de lui d’exploits, mais simplement qu’il mette tous les atouts de son côté. Lui rappeler que la persévérance paie.

Le parent doit aider cet adolescent à élaborer et à suivre, bien en amont des examens, un programme précis de révisions avec des objectifs réalisables, un rythme adapté… et un accompagnement quotidien. Si ce « chaperonnage » exacerbe les tensions, et à condition d’en avoir les moyens, mieux vaut déléguer cet accompagnement à un tiers (cours particuliers, par exemple).

Trois règles d’or :

    • Evincer les écrans des smartphones des tables de travail : ils sont, par leurs interactions toutes les (au moins) 14 secondes, trop invasifs ! Les révisions se retrouvent complètement hachées et superficielles. « Du point de vue neuro-scientifique, la mémoire est extrêmement volatile. Avoir deux activités cognitives dans le même temps aboutit à des troubles cognitifs. Le conseil du psychopraticien ? Le jeune doit couper son téléphone, ce deuxième cerveau qui lui sert d’assistance intellectuelle et culturelle, l’incitant à se soustraire à certains apprentissages ! »
    • Veiller à une bonne alimentation : près de 30 % des calories absorbées chaque jour alimentent uniquement le cerveau. « Il est important que l’adolescent sorte de sa malbouffe et prenne des repas équilibrés, hyperprotéinés, riches en oméga 3 et en lipide. Cela revient à mettre de l’essence raffinée dans son cerveau ! »
    • Respecter son rythme et ses temps de sommeil : « Une carence en sommeil est beaucoup plus préjudiciable que le fait d’avoir révisé jusqu’à 3 heures du matin la veille de l’examen. C’est un piège à éviter. » Mais en fonction de la chronobiologie de son enfant, il conviendra de le laisser réviser à partir de 22 heures s’il est plutôt du genre hibou ou de se lever à l’aube s’il est davantage faucon, conseille le thérapeute. « Il ne s’agit pas d’encourager un enfant de troisième à réviser jusqu’à 3 heures du matin non plus ! Il y a des limites. »

Voilà !

Bon courage à tous…

Sources: lemonde.fr, mon expérience professionnelle

Un décret paru vendredi au Journal officiel va rendre obligatoire un certificat médical pour les mannequins, et l’insertion d’une mention « photo retouchée » sur les clichés de mode retravaillés.

Le monde de la mode va bientôt se vouloir plus encadré en France !

Un décret publié en ce vendredi 5 mai 2017 dans les colonnes du Journal officiel imposera ainsi deux dispositions aux personnes travaillant dans ce milieu, dans le but affiché de “prévenir les troubles du comportement alimentaire”.

Par voie de communiqué, le ministère de la Santé a annoncé qu’à compter du 1er octobre 2017, il sera “obligatoire d’accompagner les photographies à usage commercial de la mention ‘photographie retouchée’ lorsque l’apparence corporelle des mannequins a été modifiée par un logiciel de traitement d’images, pour affiner ou épaissir leur silhouette”.

Quant à savoir quels clichés sont précisément concernés, il s’agit des photographies “insérées dans des messages publicitaires” dans la presse papier ou internet, sur les affiches et les catalogues.

Seconde disposition établie, la délivrance d’un certificat médical d’une durée maximale de deux ans à l’égard de tout mannequin désirant exercer dans un cadre légal.

Un certificat qui sera remis par la médecine du travail “dans le cadre des visites d’information et de prévention ou des examens médicaux d’aptitude” stipulés dans le code du travail, et qui est censé attester “que l’état de santé global de la personne […], évalué notamment au regard de son indice de masse corporelle, lui permet l’exercice de l’activité de mannequin”.

Cette disposition s’appliquera dès samedi et concernera également les mannequins venant d’un autre pays de l’espace économique européen.

Certificat médical pour les mannequins à partir de samedi !

Pour le ministère de la Santé, ces dispositions, par ailleurs votées dans la loi Santé de janvier 2016, “visent à agir sur l’image du corps dans la société pour éviter la promotion d’idéaux de beauté inaccessibles et prévenir l’anorexie chez les jeunes”, de même qu’à “protéger la santé d’une catégorie de la population particulièrement touchée par ce risque : les mannequins”.

Changement de paradigme nutritionnel

chez les cardiologistes à Davos

 

La conférence de cardiologie à Davos en Suisse le 12 février 2017, en cliquant ici.

Il y aura probablement un avant et un après cette date.

Durant les 22 minutes de l’intervention du Docteur Salim Yusuf, président de la World Heart Federation, on assiste véritablement à un changement de paradigme !

  • Plus l’alimentation est riche en glucides et pauvre en lipides et plus vous augmentez votre risque cardiovasculaire.
  • Les graisses saturées ne sont pas notre ennemi.
  • Le cholestérol n’est pas notre ennemi.
  • Il faudrait plutôt augmenter la consommation de sodium (sel).
  • Mangez des œufs ! c’est bon pour vous !
  • Ancel Keys et l’étude des 7 pays sont une escroquerie !
  • Nina Teicholz avait raison !
Bref, il faut vraiment écouter et voir cette vidéo pour le croire !
Un véritable virage à 180° qui devrait faire grincer des dents tellement la révolution est importante…

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