témoignage


Dry January : Et si vous preniez une pause avec l’alcool ?

Chaque début d’année, un défi unique s’impose pour mettre le corps au repos : le « Dry January ».

C’est simple : 31 jours sans alcool.

Inspirée par l’association britannique Alcohol Change UK, cette initiative aide les participants à reprendre le contrôle après les excès festifs.

Vous aussi, cette année ?

  • Réapprenez la modération : Les résultats montrent que six mois après, 72 % des participants maintiennent une consommation plus équilibrée, signe que le challenge porte ses fruits
  • Votre nouvelle routine plus saine : Selon l’étude de l’université du Sussex, les participants consomment 25 % moins souvent, ressentent des bienfaits sur la santé, et réalisent même des économies – un atout pour le porte-monnaie
  • Un concept adaptable en France : En France, où l’alcool est souvent consommé toute la semaine, on pourrait viser des pauses régulières. De petits ajustements pour des bienfaits au quotidien.

Alors, prêt à faire une vraie pause bien-être, maintenant ?

Reprenez le contrôle de votre consommation : le défi du “Dry January”.

Décidez de ne pas boire une goutte d’alcool pendant un mois.

Une idée qui semble audacieuse, mais dont les résultats sont réels et mesurables.

L’association britannique Alcohol Change UK propose, depuis 2013, le “Dry January” pour se défaire des habitudes et renouer avec la sobriété après les excès de fêtes.

Voici ce qu’on apprend des bienfaits de cette initiative (selon une étude de l’université de Sussex) :

  1. Une transformation durable : ceux qui suivent le défi constatent des effets bien au-delà du mois de janvier. En août, ils boivent moins souvent, en plus petite quantité, et s’enivrent moins. Une pause de 31 jours crée une prise de conscience qui change la consommation sur le long terme
  2. Une meilleure santé physique et mentale : 70 % des participants déclarent mieux dormir, 60 % perdent du poids, et plus de la moitié voient leur concentration s’améliorer. En écartant l’alcool, on gagne en énergie, en clarté mentale, et même en bien-être financier : 88 % des participants économisent de l’argent
  3. Un impact même sans aller au bout : l’essai, même sans réussir les 31 jours complets, entraîne des bénéfices. Les effets sont perceptibles même pour ceux qui n’atteignent pas la fin du défi, ce qui prouve qu’il est bénéfique de simplement essayer
  4. Prendre conscience de sa liberté : je crois que, s’abstenir d’alcool révèle votre capacité à profiter sans consommer. En réalisant cela, vous apprenez à poser des choix conscients sur votre consommation pour le reste de l’année. C’est un processus de réflexion qui vous libèrera de l’automatisme.

Avec chaque année, des millions de participants, le “Dry January” inspire bien au-delà des frontières britanniques.

Qui sait, ce mois pourrait bien transformer votre relation à l’alcool. Et vous apporter un nouvel équilibre.

Tenteriez-vous l’expérience ?

« Six mois après le début de ma procédure de divorce, mon médecin généraliste s’est s’alarmé de la dégradation de mon état.

Il m’a orienté vers un psychopraticien spécialisé dans l’hypnose ericksonienne profonde.

J’étais sous antidépresseurs depuis 4 mois. Je m’absentais de plus en plus souvent du travail. J’avais des idées noires, je me dépréciais, je m’excluais de toute activité sociale. »

Pour Elodie, 43 ans, c’est l’hypnose qui lui a permis de remonter la pente.

« Mon mari disait qu’il valait mieux se séparer et laisser à chacun la possibilité de refaire sa vie, que de vivre en prison.

Je n’ai pas protesté, car au fond de moi, je savais qu’il avait raison, même si cela a été un choc. Nos enfants étaient grands et autonomes.

J’avais peur du vide du quotidien, je ne voyais plus le sens de ma vie, et ressentais aussi la honte du divorce. A cette époque, je me sentais lourde à déplacer, moche à regarder, car toute vie m’avait quittée, sans aucune envie et inutile.

imageSans trop savoir quoi en attendre, j’ai accepté des tâches concrètes à réaliser entre les consultations et des séances de travail sous hypnose.

Je me suis vite sentie en sécurité, avec l’impression que quelque chose pouvait renaître avec ce travail. »

Les bienfaits de l’hypnose dans son processus de guérison

« Le thérapeute m’a fait explorer sous hypnose cette sensation de lourdeur et j’ai alors ressenti que ce poids était présent pour compenser un vide intérieur.

J’ai compris qu’avec le divorce mon équilibre, qui me faisait me sentir utile, pleine et indispensable s’effondrait.

J’ai vécu sous hypnose la façon dont j’avais ressenti toutes ces années la présence de mon mari, pour moi puis à côté de moi, puis l’éloignement et le vide laissé.

Et enfin j’ai vécu un autre vide, comme un champ encore vierge, mais d’où pouvait renaître la vie.

J’ai réalisé que j’étais toujours capable de la recevoir.

J’ai senti une amélioration entre la 3ème et 4ème séance d’hypnose. J’ai pu verbaliser tout cela à la 6ème. Puis, de tous les 15 jours, on a espacé les séances à toutes les 3 à 4 semaines. Je revois mon hypnothérapeute dans 3 mois et, si je juge alors avoir suffisamment de ressources, je volerai de mes propres ailes.

Après 11 consultations au total, je ne suis plus dépressive, et je n’ai plus besoin des antidépresseurs. Peut-être que j’éprouverai le besoin de le revoir à l’approche de la date du divorce.  »

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Arrêtez d’accepter l’inéluctable déclin d’Alzheimer : découvrez une nouvelle stratégie qui pourrait changer l’avenir des malades.

Dans le contexte d’une médecine qui peine à ralentir la progression d’Alzheimer, ce livre novateur propose une alternative prometteuse.

Basé sur une stratégie nutritionnelle audacieuse et encore expérimentale, ce programme offre un nouvel espoir.

En puisant dans les bienfaits du régime cétogène, le Dr Michèle Serrand, gériatre en EHPAD, montre comment ce mode d’alimentation peut apporter une énergie vitale aux neurones des personnes atteintes d’Alzheimer. Et potentiellement ralentir l’évolution de la maladie.


Alzheimer : Et si la Nutrition Pouvait Faire la Différence ?

Le régime cétogène, une source d’énergie pour le cerveau des malades

Lorsque les neurones ne parviennent plus à utiliser le glucose pour fonctionner, leur énergie s’effondre.

Le régime cétogène, en revanche, propose une alternative : les cétones, des corps produits par l’organisme lors de la dégradation des graisses.

Ce livre explique comment les cétones peuvent devenir une source d’énergie pour les neurones, permettant à certains malades d’Alzheimer de retrouver des capacités cognitives perdues.


Comment le régime cétogène agit-il sur le cerveau des malades d’Alzheimer ?

Les effets du régime cétogène chez les malades d’Alzheimer :

  • Amélioration des performances cognitives : Des témoignages relatent des gains sur la mémoire, l’attention, et même les interactions sociales.
  • Ralentissement de la maladie : Pour certains patients, la progression d’Alzheimer semble ralentir, voire être stoppée.
  • Effets variables : Bien que chaque cas soit unique, et que les résultats puissent être modérés pour certains, ce régime présente peu de risques et tout à gagner.

Exemple inspirant : Plusieurs familles ont rapporté voir leurs proches retrouver une partie de leur autonomie après avoir instauré le régime cétogène. Bien qu’il s’agisse de cas individuels, ces expériences offrent un message d’espoir dans la bataille contre Alzheimer.


5 mesures immédiates pour commencer le régime cétogène chez un proche atteint d’Alzheimer

Le livre du Dr Serrand propose des étapes claires pour instaurer cette nouvelle stratégie nutritionnelle. Voici les principales mesures à adopter :

1. Réduire les glucides dans l’alimentation

  • Pourquoi ? : Réduire les glucides permet de passer à un métabolisme qui favorise la production de cétones, indispensables pour alimenter les neurones.
  • Comment ? : Limitez les sucres et féculents (pâtes, riz, pain) et remplacez-les par des sources de graisse saine.

2. Intégrer des graisses de qualité, notamment l’huile de noix de coco

  • Effet : L’huile de noix de coco est une excellente source de triglycérides à chaîne moyenne (TCM), qui favorisent la production rapide de cétones.
  • Pratique : Ajoutez de l’huile de coco dans les plats ou boissons, en respectant des doses adaptées et progressives.

3. Incorporer des aliments cétogènes dans les menus

  • Pourquoi ? : Une alimentation adaptée assure un apport constant en énergie pour le cerveau.
  • Exemples de menus : Le livre fournit des exemples de repas équilibrés, avec des ingrédients tels que les avocats, les noix, les poissons gras et les légumes verts.

4. Envisager des compléments alimentaires

  • Effet : Certains compléments peuvent soutenir la production de cétones ou combler les carences fréquentes chez les malades d’Alzheimer.
  • Comment ? : Consultez les conseils du livre pour identifier les compléments adaptés (acides gras oméga-3, vitamines B, antioxydants).

5. Éviter les métaux lourds et procéder à une détoxication

  • Pourquoi ? : Les métaux lourds (plomb, mercure) peuvent affecter le cerveau. Leur accumulation pourrait aggraver les symptômes d’Alzheimer.
  • Solution : Le livre fournit des recommandations pour limiter les sources de métaux lourds et propose des approches de détoxication.

Aider vos proches à retrouver de l’espoir et de l’autonomie

Ce livre ne promet pas de miracle.

Mais il offre une vision d’espoir pour les familles confrontées au déclin de la mémoire et de l’autonomie de leurs proches.

Les stratégies nutritionnelles présentées ne remplacent pas un suivi médical, mais elles peuvent offrir une piste de soutien pour ceux qui souhaitent explorer des approches complémentaires.

En tant que parent ou aidant, imaginez pouvoir agir pour freiner la progression de la maladie.

Sentez-vous que votre proche

pourrait bénéficier

de ces nouvelles pistes d’accompagnement ?

Une opération sans anesthésie lourde : quand l’hypnose se met au service de la chirurgie cardiaque.

Subir une intervention au cœur sans anesthésie générale, c’est désormais possible, et Gérard Courtois, 88 ans, en est la preuve vivante.

Au CHU de Lille, cet habitant de Saint Jans Cappel a récemment bénéficié d’une approche révolutionnaire où l’hypnose a remplacé presque tous les sédatifs.

En quelques minutes, il a été transporté dans un état de relaxation si profond qu’il a presque oublié qu’il était sur la table d’opération.

Pourquoi l’hypnose ericsonienne ? Les effets secondaires de l’anesthésie, un risque pour les personnes âgées

Chez les patients âgés, les effets secondaires des médicaments comme les anxiolytiques ou les relaxants sont souvent redoutés.

Confusion, troubles de la mémoire, difficulté à récupérer… autant de risques que l’hypnose, une alternative douce, permet d’éviter.

L’hypnose ericksonienne en chirurgie : une alternative douce mais puissante

  • Un voyage au cœur de l’esprit pour un bien-être total
    Gérard raconte qu’il a évoqué avec l’infirmière ses voyages en Thaïlande, en Égypte, et même ses projets de jardinage. En discutant de ses passions, il s’est laissé emporter dans un autre monde, oubliant l’intervention qui se déroulait.
  • L’hypnose : une méthode scientifiquement validée
    Contrairement à certaines idées reçues, l’hypnose n’a rien de mystique. Elle repose sur des techniques qui focalisent l’attention et permettent de gérer la douleur. Je confirme l’impact positif de l’hypnose sur la récupération des patients.

Ce que l’expérience de Gérard nous apprend sur le pouvoir de l’esprit

  • Le cerveau, un outil pour lutter contre la douleur
    L’hypnose démontre ici sa capacité à canaliser l’esprit, permettant à des patients d’accepter des interventions sans lourdes anesthésies. Et pour Gérard, cette expérience s’est révélée non seulement bénéfique, mais aussi apaisante.
  • Une ouverture pour de futures opérations
    Encouragé par le succès de cette intervention, le CHU de Lille forme quatre nouvelles infirmières à l’hypnose pour répondre à la demande croissante. Des centaines d’opérations similaires pourraient bientôt voir le jour.

L’histoire de Gérard vous inspire ?

Et si vous exploriez, vous aussi,

les ressources de votre esprit

pour surmonter vos propres épreuves ?

Complément :

En cliquant ici

L’addiction aux opiacés : la crise silencieuse qui tue.

L’addiction aux opiacés est devenue une des pires crises sanitaires en France.

Aujourd’hui, ces antidouleurs sont la première cause de décès par overdose.

Quand la douleur ouvre les portes d’un piège insoupçonné…

Prenons l’histoire de Lucie (prénom modifié), ingénieure médicale de 34 ans. Après une simple opération des yeux, un ophtalmologue lui prescrit du Dafalgan codéiné pour soulager sa douleur.

Rapidement, Lucie ressent un double effet : la diminution de la douleur, bien sûr, mais aussi une sensation de bien-être physique. Ce qui devait être un traitement temporaire s’est vite transformé en une dépendance omniprésente.

« Tout de suite, j’ai accroché », raconte-t-elle. « Je ne pouvais plus m’en passer. C’était devenu ma béquille pour affronter chaque journée. »

Chaque année, des milliers de Français se retrouvent dans le même piège.

Vous, peut-être ?

Un mal de dos, une migraine persistante, un stress intense… les raisons peuvent sembler banales, mais le risque est bien réel. Ce glissement de l’usage ponctuel à l’addiction est rapide et destructeur.

1. Les opiacés, des alliés trompeurs

Les opiacés, présents dans des médicaments comme la codéine, le tramadol ou la morphine, agissent rapidement et efficacement contre la douleur.

Ce qui en fait une solution précieuse pour les patients souffrants de douleurs aiguës ou chroniques. Mais ils apportent aussi une sensation d’apaisement, de soulagement mental et physique.

Ce qui commence comme une solution devient vite une habitude… puis un besoin.

Aux États-Unis, la crise des opiacés a fait des ravages. En France, elle reste plus discrète, mais les chiffres montrent une augmentation préoccupante des overdoses et des décès liés à ces médicaments.

Les patients, comme Lucie, n’avaient jamais pensé devenir « accros ». Mais les opiacés trompent, ils se présentent comme des alliés contre la douleur et se révèlent comme des ennemis dévastateurs.

2. L’escalade invisible : de la dépendance à l’addiction

Lucie raconte son expérience : après un sevrage douloureux, elle a consulté un ami rhumatologue lors d’une nouvelle crise de névralgie. Connaissant son passé de dépendance, elle lui fait part de ses inquiétudes.

Mais il la rassure : « le Tramadol, ce n’est pas la même chose. »

« Et j’ai replongé. En pire. »

Cette fois-ci, les effets sont encore plus puissants. Le produit agit, mais les doses doivent être augmentées pour continuer à faire effet.

Aujourd’hui, Lucie prend sa dose quotidienne maximale depuis deux ans. Elle planifie ses stocks avant chaque voyage, une routine qui illustre bien l’emprise de l’addiction.

3. La dépendance, un mal caché et mal compris

Un des problèmes majeurs réside dans la perception que nous avons de l’addiction.

Beaucoup associent la dépendance aux drogues illicites, mais oublient qu’une simple prescription d’antidouleurs peut entraîner des effets similaires. Les personnes qui tombent dans ce piège sont souvent des individus sans antécédents de consommation de drogues.

Elles ont suivi un traitement recommandé par un médecin et se retrouvent malgré elles prisonnières d’une substance.

4. Des solutions : prévention, éducation, et alternatives

Informer les patients : avant de prescrire des opiacés, les professionnels de la santé devraient sensibiliser les patients aux risques potentiels, et à la durée limite de consommation.

Encourager les alternatives thérapeutiques : pour les douleurs chroniques, il existe d’autres approches qui n’impliquent pas d’opiacés, comme la physiothérapie, la méditation, l’auto-hypnose ou la thérapie cognitive et comportementale.

Accompagnement au sevrage : le sevrage des opiacés est difficile, voire dangereux sans assistance. Les patients ont besoin d’un encadrement adapté et d’un soutien psychologique.

Lucie l’affirme aujourd’hui : “Je ne peux plus m’en sortir seule”.

Elle représente des milliers d’autres individus, discrets, invisibles, qui luttent quotidiennement contre cette dépendance.

Libérez-vous d’une prison invisible…

La France est encore en mesure de limiter cette crise.

Mais pour cela, il est impératif de reconnaître les dangers des opiacés et d’agir avec force et compassion. L’histoire de Lucie montre la puissance et l’emprise de ces médicaments.

Alors, êtes-vous prêt

à briser le silence sur ce fléau ?

Quand je l’ai découverte, je ne savais pas que cela conforterait ce que je pensais déjà de l’alimentation cétogène.

Vous aussi, cliquez sur ce lien :

#KesKonMange Episode 1

NB : mais en fait, tout a commencé à partir de 50 ans

Inverser le Diabète : écoutez ce témoignage Révélateur.

Le NHS (la Sécurité sociale britannique), publie cette vidéo du témoignage d’une femme qui tranquillement a :

  • inversé son diabète (plus de médicament ni d’insuline)
  • diminué fortement son syndrome des ovaires polykystiques
  • perdu massivement du poids (+ de 50 % de son poids)

Simplement après avoir appris à manger sainement, c’est-à-dire en #LCHF.

Le NHS

a homologué l’alimentation low-carb en 2018

comme approche thérapeutique pour lutter contre le diabète.

 

Ils disent que le succès, c’est :

– avoir une carrière, des biens matériels, du pouvoir…

Mais en vérité ?

« Quand saurai-je que j’ai réussi ? « 

Cette question m’a toujours accompagné.

Je pense que le véritable test de réussite c’est :

quand vos enfants deviennent adultes,

ils aiment beaucoup passer du temps avec vous.

Cela montre le type de parent que vous avez été : aimant, attentionné, présent, etc.

Je souligne que 75 % du temps que nous passons avec nos enfants sera écoulé avant qu’ils n’atteignent l’âge de 12 ans.

Y avez-vous pensé ?

Nous disposons d’une fenêtre d’environ 10 ans pendant laquelle, en tant que parents, nous sommes la personne la plus importante dans la vie de nos enfants.

Pouvez-vous y réfléchir ?

Alors ne vous sentez pas coupable de vous absenter du travail.

Profitez-en pour passer du temps avec les personnes qui comptent le plus pour vous : votre partenaire, vos enfants.

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Prenez du temps pour vous

et vos proches

Créez des souvenirs.

Vous vous sentirez beaucoup mieux.

Car n’oubliez pas que le temps vous est compté.

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Le froid peut devenir votre coach puissant en vous poussant à sortir de votre zone de confort.

Et à développer notre résilience.

Exposer le corps au froid déclenche des réponses biologiques bénéfiques, comme une :

– meilleure circulation
– une gestion accrue du stress
– et une stimulation du système immunitaire
.

Sur le plan mental, cela apprend à :

– surmonter des défis
– à renforcer la volonté
– et à améliorer la clarté mentale.


Découvrez comment je peux vous aider avec le yoga tummo, et autres méthodes.

En somme, affronter le froid, c’est s’entraîner à mieux gérer les inconforts de votre vie.

Vous vous sentirez plus fort,

et mieux armer pour dépasser vos problèmes.

La tragédie des antidouleurs : comment l’Amérique a été dévastée par les opioïdes.

Chaque année, des dizaines de milliers de vies se terminent brusquement, victimes d’une dépendance qui n’a rien d’accidentelle.

L’addiction aux opioïdes, des antidouleurs ultra-puissants, a détruit la vie de près de 300 000 personnes aux États-Unis.

En seulement vingt ans.

Dans ce scandale sanitaire d’une ampleur sans précédent, les statistiques prennent un visage humain.

1. Un drame qui touche tous les milieux

Les antidouleurs opioïdes n’ont pas épargné de catégorie sociale. Hommes, femmes, enfants – tous sont concernés.

Des douleurs bien réelles, comme l’arthrose ou la sciatique, les ont d’abord poussés vers ces médicaments “miracles”.

En réalité, ils n’ont trouvé qu’une accoutumance qui allait leur coûter bien plus que la douleur initiale.

Exemple : une mère de famille s’effondrant en plein supermarché, sous les yeux de son enfant. Un quadragénaire tombant dans le coma en voiture. Ou encore Emma, ce bébé qui, né dépendant, aurait besoin de huit doses de morphine par jour pour survivre.

2. Le piège de l’OxyContin : le début d’un cercle vicieux

Au cœur de ce désastre se trouve un médicament : l’OxyContin, un antidouleur lancé en 1996 par le laboratoire Purdue.

  • Sa promesse ? Soulager les douleurs efficacement et sans risque.
  • La réalité ? Ce médicament, deux fois plus puissant que la morphine, a rapidement installé une dépendance effrayante.

Les prescriptions étaient encouragées par des médecins grassement payés pour assurer de son innocuité.

Le succès est fulgurant.

Pourtant, le prix à payer s’est révélé terrible : les patients modèles choisis pour vanter le médicament sont, pour la plupart, décédés.

Une survivante vit aujourd’hui un enfer ; ayant dû augmenter les doses sans fin pour calmer une douleur qui ne faisait que se renforcer.

3. Les familles et la société piégées par une industrie influente

Comment expliquer qu’une telle catastrophe ait pu prendre tant d’ampleur ?

La réponse est simple : le poids du lobby pharmaceutique.

Le laboratoire Purdue a utilisé toutes les méthodes possibles pour encourager la consommation de ses produits.

Des visiteurs médicaux, à la manière de vendeurs, n’hésitaient pas à pousser les médecins à prescrire des doses élevées. Plus la prescription montait, plus leurs primes s’envolaient.

La famille Sackler, propriétaire de Purdue, a gagné des milliards en multipliant les prescriptions d’OxyContin, restant dans l’ombre pendant que la crise s’intensifiait.

4. La chute : des procès en cascade contre Purdue et les Sackler

Depuis quinze ans, les autorités ont tenté de faire tomber Purdue.

En 2007, trois cadres du laboratoire ont plaidé coupable, une amende de 600 millions de dollars a été infligée.

Mais les efforts semblent dérisoires face à la puissance du lobby des opioïdes.

Aujourd’hui, l’étau se resserre : des centaines de villes américaines et d’avocats se sont lancés dans des procédures judiciaires contre la famille Sackler et leur laboratoire.

Ce scandale sanitaire est bien plus qu’un simple chiffre.

Il est le miroir d’une société piégée par l’avidité de quelques-uns.

En France,

nous sommes encore loin de ces chiffres,

mais peut-on vraiment rester à l’abri d’un tel fléau ?

Une expérience simple pour une leçon de vie inoubliable.

Cette simple histoire a changé ma façon de concevoir le bonheur (tout le monde devrait la lire !) :

Une enseignante a demandé à ses élèves d’écrire leur nom sur un ballon. Et de le lâcher dans sa classe.

Et voilà que trente ballons s’agitent dans les airs…

Elle a ensuite donné aux élèves une minute pour trouver le ballon sur lequel figurait leur nom. Au bout d’une minute, aucun élève n’a pu retrouver son ballon.

L’enseignante a alors demandé aux élèves de prendre le premier ballon qu’ils avaient trouvé, et de le donner à la personne dont le nom figurait dessus.

En quelques secondes, tout le monde a retrouvé son ballon !

L’enseignant explique ensuite :

« Ces ballons représentent votre bonheur.

Si vous vous concentrez sur votre propre bonheur, vous risquez de ne jamais le trouver. Concentrez-vous sur l’aide à apporter aux autres pour qu’ils trouvent leur bonheur, et vous trouverez le vôtre aussi.

Vous ne trouverez jamais le bonheur si vous vous concentrez sur vous-même. Aucune des belles choses que vous achetez ne vous apportera jamais ce sentiment durable de satisfaction.

Le bonheur et l’épanouissement durables proviennent de l’action au service des autres, au niveau de la micro-famille, de la communauté ou de la planète. »

Dans un monde de plus en plus individualiste, cette histoire nous rappelle l’importance de l’altruisme.

Voici donc comment trouver votre bonheur

en aidant les autres !

Le bonheur n’est pas une destination, mais un voyage.

Et le meilleur moyen de le parcourir

est de tenir la main de quelqu’un d’autre 🙂

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-> Appelez-moi au 06 2339 0707 (ou un mail à psytoulouse@gmail.com) pour réserver une séance en présentiel à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.).

Ensemble, et accompagné, tout finira par s’arranger 🙂

Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog.

(Hypocondrie : une peur dévastatrice. L’hypocondrie n’est pas juste une peur de la maladie. C’est une obsession qui contrôle la vie)

Vous n’êtes pas malade.

Votre esprit vous joue des tours.

Imaginez un monde avec lequel votre corps cesse de vous alarmer en permanence. Un monde où la peur irrationnelle de la maladie disparaît.

L’hypnose est cette porte vers la liberté. Vers une vie sans cette constante angoisse de l’hypocondrie.

Delphine, 34 ans, ancienne cliente, raconte : « Dès l’enfance, je cherchais constamment des symptômes. Plus je lisais sur la médecine, plus ma peur grandissait. » Cette angoisse, amplifiée par l’information médicale, la plonge dans une spirale de panique. À tel point qu’une simple toux déclenche ses crises.

L’hypnose ericksonienne, un remède inattendu.

Mais comment en sortir ?

Léa a choisi l’hypnothérapie profonde à mon cabinet toulousain.

L’hypnose ne guérit pas au sens médical.

Elle révèle des ressources profondes, enfouies en nous. C’est une aide précieuse. L’hypnose permet de réveiller des capacités intérieures. Pas de magie. Pas de contrôle. Juste un accès direct à ce qui est en nous. C’est une méthode douce, qui peut ressembler à :

  • une méditation, où l’on est conscient et détendu à la fois
  • ou bien à un sommeil profond, avec une distorsion temporelle par exemple*.

Comprendre le message caché

L’hypocondrie, comme toutes les phobies, cache souvent une intention positive. Ce n’est pas la maladie (le symptôme) que l’on fuit, mais un problème plus profond (la cause).

Un jeune patient, autrefois paralysé par sa peur de mourir, a découvert grâce à l’hypnose que son hypocondrie venait d’une blessure amoureuse non cicatrisée. Son inconscient l’alertait sur ce qu’il fuyait vraiment : l’amour.

La clé, c’est vous

En quatre séances, Delphine a changé.

Son hypocondrie s’est envolée lorsqu’elle a exploré une autre facette de sa personnalité, celle d’une « potentielle surdouée ».

Plus besoin de diagnostic formel. La simple découverte de cette hypothèse a suffi pour désamorcer sa peur.

Depuis, elle fait face aux maladies sans angoisse.

Et vous, êtes-vous prêt

à explorer vos propres ressources inconscientes

pour guérir ?

⇾ *L’hypnose ericsonienne et somnambulique, un atout puissant contre l’hypocondrie

L’hypnose somnambulique va encore plus loin. C’est un état d’hypnose profond, où l’esprit devient extrêmement réceptif aux suggestions. Contrairement à l’hypnose légère, ici, le conscient s’efface presque entièrement, laissant la voie libre à l’inconscient pour travailler. Pour les hypocondriaques, cet état est particulièrement bénéfique. Il permet de reprogrammer des schémas de pensée ancrés, souvent responsables de la peur maladive. Les croyances limitantes, comme l’obsession de la maladie, peuvent être directement adressées et modifiées en profondeur. Cette approche rapide et efficace donne des résultats spectaculaires, parfois en une ou deux séances.

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-> Appelez-moi au 06 2339 0707 (ou un mail à psytoulouse@gmail.com) pour réserver une séance en présentiel à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.).

Ensemble, et accompagné, tout finira par s’arranger 🙂

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Le porno lui a volé 14 ans de sa vie.

Voici comment il a réussi à s’en libérer.

  • L’addiction cachée, une lutte solitaire :

    Alain, 32 ans, a été prisonnier de la porno dépendance pendant 15 ans. Un piège silencieux qui l’a isolé dans la honte et la souffrance. Il me raconte son combat pour se libérer d’une addiction souvent banalisée, mais qui peut détruire des vies.

    Ce n’est qu’une vidéo, se dit-il au début. Mais pour lui, cela fini par devenir un refuge toxique. Une obsession qui l’a éloigné de lui-même et des autres.

  • L’escalade insidieuse dès l’adolescence :

    Tout a commencé à 11 ans, lorsqu’il est tombé par hasard sur une cassette érotique. « Ces premières images m’ont fasciné. » Au fil du temps, le besoin de revoir ces scènes s’est installé, de façon plus intense, plus fréquente.

    Vers 15-16 ans, Alain est passé de la simple curiosité à une consommation régulière et incontrôlée de porno. La facilité d’accès via Internet n’a fait qu’aggraver la situation. Cette addiction a progressivement envahi son quotidien. Transformant ses désirs en réflexes mécaniques, vidés de tout plaisir.

  • Un impact dévastateur sur la vie de couple :

    À 24 ans, Alain rencontre celle qui deviendra sa femme. Mais loin de s’apaiser, son addiction complique encore plus sa relation amoureuse. « Je ne voyais plus ma compagne, je ne voyais que les images du porno dans ma tête. »

    Le porno s’invitait dans leur intimité.  Brouillant les lignes entre réalité et fantasme, le laissant souvent déconnecté durant leurs moments à deux. Il sentait que sa compagne souffrait de cette distance invisible.

    Cette addiction, dont il ne pouvait se libérer seul, menaçait de tout détruire.

  • Le début de la guérison par la transparence :

    En un acte de courage, Alain décide de tout avouer à sa femme. C’était un appel au secours déguisé. C’est aussi courageux.

    Ensemble, ils mettent en place des filtres parentaux. Un moyen pour Alain de reprendre le contrôle sur son accès au porno. « Ça a été une étape énorme, car je savais que si je craquais, il y aurait cette barrière pour m’aider. » Ce soutien, ainsi que la possibilité de discuter ouvertement avec sa femme, a été crucial pour ses premiers pas vers la guérison.

  • Une alternative pour se sentir mieux : le bien-être physique :

    C’est après la première grossesse de sa femme que Florent découvre un autre moyen de se libérer de cette spirale.

    Ils décident de perdre du poids ensemble et, rapidement, il se rend compte qu’en prenant soin de son corps, il ressentait de moins en moins le besoin de se tourner vers le porno. « Je remplaçais la quête de plaisir immédiat par celle d’un équilibre de vie. »

    En travaillant sur son bien-être physique, Alain trouve une autre source de satisfaction, moins destructrice, plus saine. Cette quête du bien-être devient son nouvel allié dans la lutte contre l’addiction.

  • Le fidèle allié, son psy-coach qui :

    1. l’a aidé à briser le cercle vicieux de la dépendance en lui offrant des outils concrets pour reprendre le contrôle. Sans rechute.
    2. lui a créé un espace de confiance où la honte n’a plus de place.
    3. par des techniques comme l’hypnose ericksonienne, lui a appris à remplacer les comportements compulsifs par des habitudes saines.
    4. l’a accompagné pour retrouver l’estime de lui, et à reconstruire des relations affectives plus authentiques.

  • Un chemin de guérison long, mais gratifiant :

    Les efforts d’Alain portent enfin leurs fruits. Après quatre ans de contrôles parentaux et de soutien inébranlable de sa femme, six mois de psychothérapie, il réussit à décrocher définitivement. « Aujourd’hui, je peux dire que je suis guéri. » Il a appris à gérer ses pulsions, à se reconnecter à lui-même, et à ceux qu’il aime. Son expérience lui a appris que la guérison est un long processus, fait de petites victoires et de grands défis. Mais qu’elle est possible !

  • Une vigilance constante : Alain sait que l’addiction peut toujours revenir. Il ne milite pas contre la pornographie ni la masturbation, mais met en garde contre leurs dérives lorsqu’elles deviennent des pièges invisibles, destructeurs.

Aujourd’hui, Alain partage son histoire pour aider ceux qui, comme lui, se sentent piégés.

Son message est simple : on peut reprendre le contrôle de sa vie, mais cela demande une prise de conscience, du soutien d’un thérapeute, et surtout de patience et de volonté.

Et si vous faisiez le premier pas aujourd’hui,

avec mon aide,

pour reprendre le contrôle ?

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-> Appelez-moi au 06 2339 0707 (ou un mail à psytoulouse@gmail.com) pour réserver une séance en présentiel à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.).

Ensemble, et accompagné, tout finira par s’arranger 🙂

Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog.

 

« Le porno a volé 15 ans de ma vie. Voici comment j’ai repris le contrôle. »

Une addiction silencieuse : Alain, 32 ans, a vécu 15 ans dans l’ombre de la porno dépendance, un piège invisible qui l’a isolé et rongé peu à peu.

L’escalade dès l’adolescence : à 11 ans, il découvre le porno par hasard. L’addiction s’installe progressivement. Devenant incontrôlable à l’adolescence. Il se perd dans des pratiques compulsives, hanté par des images.

Des répercussions sur sa vie de couple : Alain rencontre sa femme à 24 ans, mais l’obsession pour le porno sabote leur intimité. Il se sent coupable, déconnecté, incapable de s’épanouir.

Le premier pas vers la guérison : en avouant sa dépendance à sa compagne, il trouve un soutien clé. Ensemble, ils installent des contrôles parentaux pour limiter l’accès au contenu ; une barrière symbolique, mais essentielle.

Trouver une nouvelle quête de bien-être : la perte de poids devient un tournant. En remplaçant l’addiction au porno par un équilibre de vie, il reprend confiance en lui.

Une guérison lente, mais durable : quatre ans après le début des contrôles parentaux, Alain réussit à décrocher définitivement. Sans autre aide que celle de sa femme, sa propre détermination, et le suivi avec moi.

Et si reprendre le contrôle de votre vie

commençait par un simple pas en avant ?

 

 

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-> Réservez un rdv en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.) ou à mon cabinet toulousain, ou à votre domicile. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ».

Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

Vous n’êtes pas là ! Mais en vacances…
  • L’art de Ne Rien Faire
    • S’asseoir tranquillement, sans distractions, peut être agréable.
    • Mon conseil : Imaginez-vous sur une chaise, sans téléphone ni musique, laissant vos pensées vagabonder librement. C’est loin d’être ennuyeux. C’est libérateur !
  • Le Mythe de l’Occupation
    • Nous planifions souvent trop d’activités pour éviter l’ennui.
    • Rappel : Dans votre quotidien, vous fuyez l’ennui en refusant d’attendre sans distractions. Pourtant, cela pourrait vous être bénéfique.
  • Étude Japonaise
    • Une étude du Journal of Experimental Psychology révèle que les gens sous-estiment leur capacité à apprécier le « ne rien faire ».
    • Donnée : 259 étudiants ont participé à des expériences pour mesurer leur appréciation du temps passé sans distractions.
  • Découverte Surprise
    • Les participants, après avoir prédit qu’ils s’ennuieraient, ont finalement trouvé agréable de ne rien faire.
    • Histoire : Après 20 minutes de silence total, sans aucune distraction, les étudiants ont apprécié ces moments d’introspection. Plus qu’ils ne l’avaient anticipé.
  • Les Bienfaits de l’Inactivité
    • Ne rien faire stimule la créativité. Aide à résoudre les problèmes.
    • À retenir : La pensée, sans contrainte, peut entraîner des expériences positives et gratifiantes.
  • La Puissance de la Réflexion
    • Les moments de réflexion, sans stimulation externe, favorisent la créativité. Et soulagent les émotions négatives.
    • Mon conseil : Un moment de vagabondage mental peut vous donner une idée géniale. Ou apaiser vos soucis.

Les vacances sont l’occasion parfaite pour expérimenter l’art de ne rien faire.

En abandonnant vos habitudes d’hyperactivité, vous pouvez découvrir les bienfaits insoupçonnés de l’introspection et du vagabondage mental. Ces moments de calme et de réflexion ne sont pas seulement agréables, ils peuvent aussi nourrir votre créativité et améliorer votre bien-être émotionnel.

Alors, cet été,

pourquoi ne pas essayer de simplement ne rien faire ?

Vous pourriez être surpris de combien vous l’apprécierez.

  • Profitez de chaque instant pour vous reposer, observez le monde qui vous entoure.
  • Evadez-vous au travers de la lecture ou de la méditation. Toutes ces activités peuvent contribuer à cultiver un état d’esprit différent, propice à l’inspiration, et à la tranquillité intérieure.

En laissant de la place à l’oisiveté, vous offrez à votre esprit l’opportunité de se régénérer et de se ressourcer.

Ce qui peut avoir un impact positif sur votre humeur et votre capacité à gérer le stress quotidien, à votre retour de vacances.

Vous ne me croyez pas ?

Essayez !

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Notre société est devenue si paresseuse…

Je vous le prouve :

une promenade de 20 minutes est désormais considérée comme un exercice !

La marche devrait être une activité normale. Mais notre mode de vie moderne l’a transformée en activité.

Voici 5 conseils simples d’être debout, et marcher plus, pour donner un coup de jeune à votre cerveau :

1. Faites vos réunions à pied
3. Garez-vous plus loin
3. Marchez après les repas
4. Prenez l’escalier plutôt que l’ascenseur
5. Marchez dès le matin

Je ne marche pas pour faire de l’exercice.

Mais je marche si je manque d’énergie.

Ou si j’ai besoin d’un coup de pouce créatif.

Mon expérience personnelle : la marche améliore mon humeur, mon énergie, mon humeur, ma créativité, augmente le BDNF et améliore la matière blanche dans mon cerveau.

Vraiment, la marche est l’un des moyens les plus sous-estimés de vous construire un meilleur cerveau.

NB : le BDNF est une protéine qui favorise la naissance et la croissance des neurones et l’augmentation des synapses
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Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

 

Et vous trouverez toutes les références citées en cliquant ici.

Bon visionnage 🙂

Vous savez, il n’y a rien de mal à être quelqu’un qui parle peu.

Ce n’est pas parce que vous n’aimez pas le small talk ou que vous ne faites pas semblant que vous êtes timide.

Vous êtes simplement introverti, et c’est une qualité.

Vous avez votre propre façon de penser, de ressentir et de communiquer.

Vous n’avez pas besoin de parler pour le plaisir de parler, vous préférez exprimer ce qui compte vraiment pour vous.

Vous avez aussi votre propre rythme énergétique. Les conversations peuvent vous fatiguer plus vite que les autres, et vous avez besoin de moments de solitude pour vous ressourcer. C’est normal, et vous avez le droit de respecter vos besoins.

Il est important de reconnaître et de respecter nos propres limites, ainsi que celles des autres. Chacun a sa propre manière de fonctionner, et c’est cette diversité qui rend le monde si intéressant !

Ne laissez pas les autres vous faire croire que vous êtes mal à l’aise ou que vous avez peur ! Vous êtes juste différent, et c’est une richesse.

Le monde a besoin de diversité, de personnes qui savent écouter, réfléchir et créer.

Soyez fier de qui vous êtes, et ne vous sentez pas coupable de vos choix.

Vous n’êtes pas timide, vous êtes introverti, et c’est une force.

Le pouvoir des introvertis dans un monde trop bavard, n’est-ce pas ?

Je vous donne ces 7 conseils, fruits de mon expérience à mon cabinet;

Oui, vous pouvez guérir de votre addiction.

Même si elle dure depuis des années. Même si vous en souffrez en silence.

Exemple de guérison ? Celle de l’actrice-chanteuse Demi Lovato.

Artiste adulée, elle a partagé son combat contre la boulimie. Inspirant ainsi des millions de personnes à briser le silence et à cheminer vers la guérison.

Son parcours, illustré par des photos avant / après saisissantes, avec un message d’espoir, montre que la victoire sur la boulimie alimentaire (TCA) est possible.

La psychothérapie s’avère un outil crucial pour vaincre l’addiction. En s’attaquant aux racines profondes du problème, elle offre une transformation durable et complète.

Une cliente guérie m’a dit, récemment, « j’ai fait la paix avec moi-même ».

Voici 7 clés pour vous en sortir :

1. Comprenez les mécanismes de votre addiction

Explorez les ressorts psychologiques qui vous poussent à manger compulsivement. Par exemple, identifiez les émotions difficiles que vous tentez de combler par la nourriture : solitude, ennui, peur, rejet, abandon, etc.

2. Développez une relation saine avec la nourriture

Apprenez à écouter les signaux de faim, et de satiété, de votre corps. Découvrez le plaisir de manger en pleine conscience, sans culpabilité, ni jugement.

3. Apprenez à gérer vos émotions difficiles

Connaissez des outils pour gérer votre stress, votre anxiété, votre tristesse, etc. de manière saine et constructive. Développez des stratégies alternatives à la boulimie (et/ou l’hyperphagie) pour une bonne santé durable.

4. Améliorez votre estime de soi

Renforcez votre confiance en soi et une juste et bonne image corporelle. Apprenez à vous aimer et à vous respecter, au-delà des diktats de la société. Sachez dire non !

5. Développez des relations saines

Entourez-vous d’un réseau de soutien positif et bienveillant. Découvrez comment communiquer ouvertement sur vos ressentis et vos besoins.

6. Apprenez à gérer les rechutes

Comprenez que les rechutes font partie du processus de guérison. Mettez en place des stratégies pour les prévenir. Et les gérer de manière constructive.

7. Fixez-vous des objectifs réalistes

Je vous aiderai aussi comment avoir des objectifs clairs et atteignables pour votre guérison. Vous célèbrerez chaque victoire, si petite soit-elle.

N’oubliez pas, vous n’êtes pas seul(e) !

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Version courte de mon article 😉

-> Ce trouble du comportement alimentaire est un défi complexe, et la guérison est possible. En vous engageant dans une psychothérapie sérieuse, avec un psy compétent, en vous appuyant sur un réseau de soutien solide, vous retrouverez une relation saine avec la nourriture, et vous vous sentirez plus heureux.

N’attendez plus, franchissez le pas vers la liberté et le bien-être !

Voici d’autres informations complémentaires :

  • Le documentaire « Simply Complicated » de Demi Lovato est disponible sur YouTube
  • Ligne d’écoute téléphonique nationale pour les troubles alimentaires : 0 800 05 05 01

N’hésitez pas à partager ce message avec toute personne concernée par l’addiction alimentaire.

Ensemble, brisons le silence de cette maladie, et ouvrons la voie vers la guérison !

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ».
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-> Svp, pourriez-vous me rendre un petit service ?

C’est juste jeter un coup d’oeil à mon nouveau site.

Je l’ai construit pour vous donner un maximum de
valeur et de conseils. Avec un design « plus moderne »,
plus clair, et plus lisible pour vous.
Je veux bien faire,
mais je manque maintenant de recul…

Voici le lien direct pour vous faire une idée:

cliquez ici 🙂
(https://www.fredericduvallevesque.com)

Qu’en pensez-vous ?

Un grand merci 🙂

 

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