anxiété, angoisse, crise angoisse (troubles anxieux)


Si oui, vous n’êtes pas seul.

Ce malaise profond a un nom : le brown-out.

Comme une baisse de tension en électricité, ce syndrome décrit une perte de sens qui épuise progressivement l’individu.

Voici ce que je vous propose pour que vous compreniez ce phénomène de plus en plus courant.

Quand le travail perd son sens

Le brown-out survient lorsque votre travail, au lieu de vous stimuler, vous plonge dans une monotonie accablante. Les tâches, autrefois intéressantes, deviennent soudainement dépourvues de sens.

Cela peut se produire suite à un événement précis, comme l’échec d’un projet important. Ou simplement à cause de la répétition constante de tâches sans but apparent.

Pour certains, cette perte de sens est liée aux fameux bullshit jobs, ces emplois qui, selon l’anthropologue David Graeber, sont dépourvus de véritable utilité sociale. Et peuvent générer une souffrance réelle chez ceux qui les occupent.

Les signes du brown-out

Les symptômes du brown-out sont variés, mais tous traduisent un désengagement profond :

  1. – une lassitude généralisée
  2. – une perte d’intérêt pour des tâches autrefois appréciées
  3. – des accès de colère sans cause évidente.

Le salarié se sent piégé entre la nécessité de conserver son emploi et l’impression de participer à des activités contre-productives (voire inutiles).

Un mal moderne : la technologie en cause

La modernisation du travail, notamment avec l’arrivée de nouvelles technologies, a rendu certains métiers plus monotones et moins stimulants.

Les salariés touchés se sentent dévalorisés, avec l’impression que leur potentiel est étouffé.

Ce sentiment d’inutilité finit par plonger l’individu dans une sorte de désespoir. Où l’absurdité des tâches devient accablante.

  • Le brown-out n’est cependant pas le seul syndrome à refléter ce mal-être au travail. On parle aussi de burn-out (épuisement par surcharge de travail) ou de bore-out (épuisement par ennui).

Bien que leurs causes diffèrent, ces syndromes partagent un point commun : ils épuisent l’individu, que ce soit par l’absurdité des tâches, l’excès de travail, ou le manque d’activité.

L’impact de la pandémie de la covid, et la quête de sens

Depuis la pandémie de covid-19, la question du sens au travail est devenue plus pressante.

Nombreux sont ceux qui, après avoir été confrontés à une crise sanitaire sans précédent, remettent en question leurs priorités professionnelles. Ce questionnement a contribué à la « Grande démission », un phénomène où les salariés, désabusés, choisissent de quitter leur emploi.

Pour beaucoup, cette crise a révélé l’essoufflement d’un système où l’on ne trouve plus de sens à ce que l’on fait au quotidien.

L’engagement au travail, une valeur en déclin

Le brown-out met en lumière un problème plus vaste : le déclin de l’engagement au travail.

Selon une étude de Gallup, seuls 23 % des salariés dans le monde se disent « engagés » dans leur travail, un chiffre qui tombe à 13 % en Europe. Cet engagement, défini par l’implication et l’enthousiasme d’un salarié pour son travail, semble de plus en plus rare.

En conséquence, les entreprises sont forcées de repenser leurs pratiques et modes d’organisation pour s’adapter. Certaines optent pour

  • plus d’autonomie au travail
  • une meilleure flexibilité
  • et un équilibre entre vie professionnelle et personnelle.

Le défi des entreprises : comprendre et agir

Pourtant, malgré ces efforts, le brown-out reste souvent mal compris, en particulier par le management.

Un manque de compréhension, voire un mépris face à ce syndrome, peut aggraver encore le malaise des salariés.

Il est donc crucial que les entreprises reconnaissent la réalité du brown-out et cherchent activement des solutions pour redonner du sens au travail de leurs employés.

Finalement, le brown-out vous pousse à vous interroger :

comment redonner du sens à votre travail

au quotidien ?

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Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

Si vous êtes d’accord, prenez un moment pour (re)penser au sens de votre travail.

Par exemple, en conduisant, en marchant, etc.

Je me suis aperçu que de plus en plus de personnes quittent leur emploi.

Leur raison : la perte de sens, ou brown out.

Elles refusent les « bullshit jobs ». Elles recherchent des alternatives plus significatives.

La perte de sens au travail est le sentiment d’être inutile dans son job. De ne rien apporter à la société, de faire un travail dépourvu d’intérêt.

Les risques d’un tel sentiment sont la démotivation, le manque d’engagement (quiet quitting) et, plus grave, la dépression.

Mais, qu’est-ce qui donne vraiment du sens à votre travail ?

  • Le lien social avant tout  Que l’on soit caissier ou policier, ce qui compte souvent, ce sont les relations humaines. Elles permettent de maintenir une forme d’équilibre, malgré les difficultés
  • Ne confondez pas emploi et travail  Un emploi offre un salaire, des perspectives de carrière. Mais le véritable sens du travail réside dans l’engagement de son corps et de son esprit pour créer quelque chose de valeur
  • L’utilité sociale est essentielle  Se sentir utile est un facteur clé pour donner du sens à son travail, même si cela n’apporte pas toujours la reconnaissance espérée
  • La fierté du travail bien fait  C’est plus que de simplement « faire le travail ». C’est aussi recevoir un « jugement de beauté », cette validation de la qualité par ses pairs ou ses supérieurs
  • Le développement personnel  Chaque épreuve au travail peut devenir une opportunité d’apprentissage, à condition que l’organisation le permette

Malheureusement, peu de gens cochent toutes les cases du sens.

Seules 32 % des personnes interrogées déclarent fréquemment ressentir un sens complet dans leur travail.

C’est dans les professions du « care », comme les aides à domicile ou les médecins, que le sens du travail est le plus ressenti.

Et vous, trouvez-vous réellement du sens à votre travail ?

Comment puis-je vous aider ?

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Laissez les vacances vous suivre !

7 conseils pour reprendre votre travail avec le sourire !

  • Retrouvez vos collègues
    Renouer avec ses collègues dès le premier jour, partager des souvenirs de vacances. Ces relations renforcent le bien-être au travail.
  • Contrôlez votre charge de travail
    Ne répondez pas à tous vos e-mails immédiatement. Priorisez les urgences pour éviter de vous submerger dès le retour.
  • Prenez des courtes pauses
    Les pauses sont essentielles. Sortez déjeuner à l’extérieur, prenez un café avec des collègues. Détendez-vous.
  • Évitez les longues journées
    Restez actif après le travail. Ne sombrez pas dans l’inactivité devant la télévision. Retrouver l’énergie des vacances avec des activités physiques ou sociales.
  • Limitez les réunions
    Ne surchargez pas votre agenda. Vous n’avez pas besoin de prouver votre efficacité dès le retour. Reprenez doucement le rythme.
  • Tolérez les collègues râleurs
    Soyez patient avec les collègues négatifs. Ne laissez pas leur stress vous envahir. Prenez du recul, restez zen.
  • Fixez-vous des objectifs réalistes
    Ne vous imposez pas des délais impossibles. Refusez poliment les tâches non prioritaires pour garder un bon rythme dès la reprise.

Et vous, comment laisserez-vous l’esprit des vacances

adoucir votre retour au bureau ?

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Vous n’avez pas besoin de partir loin pour déconnecter.

Durée idéale des vacances : Une étude de l’université de Tampere révèle que 8 à 11 jours suffisent pour récupérer totalement.

Aller au-delà peut mener à l’ennui.

Répétition des pauses : Je conseille de prendre plusieurs pauses d’une semaine dans l’année pour réduire le stress et éviter le burn-out. Plutôt qu’une longue période de vacances.

Le besoin de récupérer : Une semaine de repos est essentielle pour commencer à déconnecter. Mais deux à trois semaines peuvent être nécessaires pour un véritable lâcher-prise.

Importance de changer de rythme : Pour déconnecter, il faut interrompre ses habitudes quotidiennes. Rester connecté à ses mails et réseaux sociaux réduit l’effet des vacances.

Se poser et se reposer : Utiliser le téléphone professionnel en vacances augmente le stress. Je vous recommande de vous « brancher » à d’autres activités, comme le sport, pour favoriser la déconnexion.

Activités créatives et rencontres : Les activités pratiquées en vacances influencent le bonheur plus que la durée du séjour. Stages de poterie, kitesurf, ou équitation peuvent rendre les vacances plus enrichissantes.

Changer de cadre : Le changement d’environnement est crucial. Je conseille de varier entre mer et montagne pour un véritable dépaysement. Choisissez une destination qui correspond à son mode de vie pour éviter l’ennui ou l’angoisse.

Implication culturelle : L’exposition à une autre culture et la participation à la vie locale peuvent augmenter la créativité, plus qu’un séjour dans un complexe hôtelier isolé.

Ma conclusion :

Ce n’est ni la distance ni la durée qui compte pour déconnecter.

Mais ce que l’on fait de ses vacances.

Changez de rythme,

impliquez-vous dans de nouvelles activités,

et trouvez le cadre qui vous correspond.

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L‘épuisement professionnel peut vous surprendre.

Trop tard…

Décompensation.

Arrêt maladie.

Minimum 1 an…

C’est une évidence, mais la nature montre qu’il y a des saisons, le jour puis la nuit, l’activité puis le repos.

Écoutez la nature.
Écoutez votre corps.
Écoutez votre âme, et votre esprit.

Sinon, demander à votre compagnon ce qu’il pense de votre état mental, émotionnel et physique.

Attention, vous risquez d’être surpris.

Alors, pendant qu’il est encore temps, faites ces 14 choses avant qu’un burn-out arrive :

Dites non

↳ Aimez votre travail
↳ Bien dormir
↳ Réfléchir
↳ Prendre des pauses
↳ Alimentation saine
↳ Chercher du soutien
↳ Profiter des loisirs
↳ Temps de vacances
↳ S’hydrater
↳ Fixer des limites
↳ Déléguer des tâches
↳ Faire de l’exercice régulièrement
↳ Pratiquer la pleine conscience

Ps : Que faites-vous, depuis votre retour de vacances, pour NE PAS vous épuiser ?

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Vous pensez que le travail est tout ?

Détrompez-vous.
Non.

1. Le Phénomène des Vacances Connectées

Arthur, chef de projet de 27 ans, avait prévu des vacances à Amsterdam avec des amis. Mais dès le départ, il n’a pas pu résister à l’appel du travail.

Comme lui, 7 Français sur 10 continuent de répondre aux appels et aux mails professionnels pendant leurs vacances.

2. Les Jeunes Diplômés, les Plus Touchés

Les jeunes diplômés sont particulièrement vulnérables. Leur attitude scolaire les pousse à vouloir être irréprochables.

Aïnhoa, 28 ans, continue de lire ses mails tous les jours même en vacances. Ce comportement est souvent exacerbé par l’essor du télétravail.

3. Les Effets Nocifs du Non-Déconnexion

Ne pas déconnecter augmente le stress et empêche de se reposer.

Arthur revient de vacances encore plus fatigué. Mélissa Pangny, psychologue du travail, confirme que ce rythme peut mener à des migraines, de l’irritabilité et des troubles du sommeil.

4. Le Cadre Légal et les Bonnes Pratiques

Depuis 2017, le droit à la déconnexion permet aux salariés de ne pas être connectés à leurs outils numériques professionnels pendant leur repos. Cependant, la mise en pratique dépend des entreprises.

Les salariés peuvent saisir les prud’hommes si leurs droits ne sont pas respectés.

5. Les Astuces pour Mieux Déconnecter

Pour se préparer à des vacances sans travail, il est conseillé de :

  • Préparer son départ en complétant sa to-do list et en identifiant un collègue pour le remplacer
  • Programmer des messages d’absence
  • Désactiver les notifications ou laisser son ordinateur chez soi
  • S’engager à décrocher auprès de son entourage.

6. Les Conséquences de Ne Pas Déconnecter

Refuser de se déconnecter peut entraîner des sanctions, y compris un licenciement pour faute grave.

L’entreprise doit assurer la sécurité de ses effectifs, et ne pas déconnecter peut être considéré comme de l’insubordination.

Si vous ne lisez que cela :

Arthur a appris de sa mésaventure à Amsterdam. Il promet que pour ses prochaines vacances en Italie, il déconnectera vraiment.

Pour votre bien-être, suivez son exemple et apprenez à couper du travail.

Les vacances sont faites pour

se reposer et revenir plus fort.

Déconnectez,

et vivez pleinement vos moments de repos.

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Le retour de vacances peut être un choc brutal.

Je peux vous l’écrire, je suis aussi passer par là.

Voici comment gérer la reprise avec sérénité :

1. Acceptez le Blues Post-Vacances

Revenir au travail avec des pieds de plomb est normal. C’est le signe que vous avez passé de bonnes vacances.

-> Si vous rentrez avec la boule au ventre, cela peut indiquer que vos vacances n’ont pas été assez reposantes. Ou que votre situation professionnelle ou personnelle ne vous convient plus. Appelez-moi pour que l’on en parle.

2. Planifiez une Rentrée en Douceur

Pour ceux avec une vie de famille, décalez les rentrées des uns et des autres.

Cela évite que tout le monde ne retourne à l’école ou au travail le même jour. Réduisant ainsi le stress familial et permettant une transition plus douce.

3. Visualisez Votre Année comme un Marathon

Pensez à votre année comme un marathon entrecoupé de sprints.

Imaginez des périodes d’accélération, de décélération et des moments de repos. Cette visualisation vous aide à mieux gérer votre énergie. Et à prévoir vos prochaines vacances.

4. Gardez du Temps pour Vous Toute l’Année

Il est essentiel de garder des moments pour vous-même tout au long de l’année.

Prenez soin de votre bien-être en planifiant des pauses régulières, et des activités qui vous ressourcent.

Ce que vous devez savoir :

Survivre au retour de vacances demande de l’anticipation et de la gestion de votre énergie.

En acceptant le blues post-vacances, en planifiant une rentrée en douceur, en visualisant votre année comme un marathon et en gardant du temps pour vous :

-> Vous pouvez transformer cette période souvent redoutée en une transition harmonieuse.

Prenez soin de vous, chaque jour compte !

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« Vous ne vous soucieriez pas autant

de ce que les autres pensent de vous

si vous réalisiez à quel point ils le font rarement. »

______
Eleanor Roosevelt

  • (1884-1962. Figure politique, diplomate et militante américaine.
  • Epouse du président US Roosevelt)

Pensée du jour :

L’épuisement

n’est pas un symbole de statut social

Vous pensez que ne jamais vous couper de votre travail est une preuve de dévouement ?
Non.

Détrompez-vous.

Ne me croyez pas. Demandez à votre femme (ou mari).


1. Comprenez l’Importance du Repos

Pauline Laigneau, fondatrice de Gemmyo, l’a appris à ses dépens : sans pause, elle frôlait le burn-out. Elle insiste : « Prendre du recul résout de nombreux problèmes. »

2. Anticipez et Planifiez

Choisissez une période creuse pour minimiser les interruptions. Rami Baitiéh, ex-DG de Carrefour France, recommande août pour son calme. Planifiez les tâches à terminer avant de partir, comme le fait Arnaud Naudan, président de BDO.

3. Déléguez et Organisez

Apprenez à déléguer. Axelle Mathery, DG de Maison 123, organise des permanences pour gérer les urgences. Pauline Laigneau impose un cadre strict : un point hebdomadaire et des contacts uniquement pour des urgences réelles.

4. Gardez des Garde-fous

Limitez l’utilisation de votre téléphone. Olivier Kretz, du groupe immobilier Kretz, l’enferme dans sa chambre pour éviter les distractions. Justine Hutteau configure ses applications pour n’utiliser que celles à titre personnel.

5. Évitez les Tentations

Optez pour des destinations lointaines ou changez de fuseau horaire pour limiter les tentations de travailler. Axelle Mathery choisit des endroits éloignés et Rami Baitiéh évite les magasins Morrisons pour ne pas céder à l’inspection.

6. Explorez de Nouveaux Hobbies

Les dirigeants utilisent leurs vacances pour des activités intenses ou immersives. Arnaud Naudan prépare l’Ultra-Trail du Mont-Blanc, tandis qu’Olivier Kretz pratique le kitesurf, une activité qui nécessite une concentration totale.

7. Retournez aux Valeurs Essentielles

Reconnectez-vous avec la nature. Olivier Kretz et Justine Hutteau trouvent la paix loin de la frénésie urbaine, redécouvrant leurs sens et appréciant la solitude.

8. Trouvez un Équilibre

La déconnexion totale n’est pas pour tout le monde. Fatiha Ouichou, coach, suggère de maintenir un lien léger avec le travail. Axelle Mathery et Arnaud Naudan trouvent un équilibre en répondant, parfois, à leurs messages.

Ma conclusion (mais trouvez la vôtre) :

La clé du succès des dirigeants passe par l’art de la déconnexion.

Ces stratégies permettent de revenir reposé

et prêt à affronter les défis de la rentrée.

Adoptez ces pratiques et trouvez VOTRE équilibre entre travail et repos.

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Les vacances des personnes atteintes de psoriasis : une source d’angoisse et d’isolement.

L’angoisse de vos vacances :
– Près de deux tiers des personnes atteintes de psoriasis redoutent l’été en raison de leur apparence physique. Vous, peut-être ?
– Imaginez un adolescent évitant la plage par peur des moqueries, ses vacances se transformant en source de stress au lieu de plaisir.

Votre peur du regard des autres :
– Le psoriasis, une maladie inflammatoire chronique, provoque des plaques rouges recouvertes de squames, entraînant des complexes chez les patients. L’acné aussi.
– 6 patients sur 10 se cachent sous des vêtements couvrants par honte, et 64 % craignent les commentaires désobligeants.

Vos ressentis négatifs cet été :
– L’été est une saison de stress pour 30 % des patients, provoquant tristesse (29 %) et colère (25 %).
– « Le psoriasis est une pathologie qui isole, » explique Claire Roussel, Directeur médical d’AbbVie France.

Votre isolement social :
– 4 patients sur 10 évitent de sortir lors de journées chaudes, redoutant de montrer leur peau.
– Exemple : Un adulte annulant ses vacances à la mer par peur de la foule, préférant rester chez lui plutôt que de subir les regards.

Annulation de vacances :
– Un quart des personnes atteintes de psoriasis, dont un jeune sur deux, annulent leurs vacances par peur de l’exposition.

Je constate, dans mon travail de psy-coach, que le psoriasis transforme, ce qui devrait être une période de détente, en une source d’angoisse et d’isolement.

Les patients craignent le jugement des autres, ce qui les pousse à éviter les activités estivales et à s’enfermer.

L’accompagnement et le soutien, comme ceux offerts à mon cabinet, sont essentiels pour aider ces personnes en souffrance à vivre pleinement, malgré leur pathologie.

Vos vacances devraient être synonymes de liberté et de joie,

non d’angoisse et de repli sur soi !

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Avez-vous déjà eu l’impression que, quels que soient vos progrès ou vos succès, vous ne les méritez pas vraiment ?

Si c’est le cas, vous êtes en bonne compagnie !

Car le sentiment d’imposture est un phénomène qui touche de nombreuses personnes qui réussissent.

Exemples : l’écrivain Maya Angelou, le physicien Albert Einstein. Ils pensaient tous deux qu’ils ne méritaient pas l’attention dont leur travail faisait l’objet.

Les réalisations du niveau de celles d’Angelou ou d’Einstein sont rares. Mais leur sentiment d’imposture est extrêmement répandu. C’est ce que je constate dans mes interventions en thérapie ou en coaching.

Ce sentiment d’insécurité injustifié est connu sous le nom de syndrome de l’imposteur.

Mais savez-vous ce qu’est ce syndrome de l’imposteur ?

Il a été étudié pour la première fois par la psychologue Pauline Rose Clance en 1978.

Les personnes hautement qualifiées ou accomplies ont tendance à penser que les autres le sont tout autant. Cela peut les amener à penser qu’elles ne méritent pas les honneurs et les opportunités qui leur sont offertes par rapport à d’autres personnes.

Il donne à beaucoup d’entre nous l’impression que nous n’avons pas mérité notre succès. Ou que nos idées ne méritent pas d’être prises en compte.

Dans certains cas, il peut même empêcher les gens de partager leurs idées, de postuler pour l’université ou d’occuper certains emplois. Ils se dévalorisent.

-> Je vous explique ce qui rend le syndrome de l’imposteur si courant : c’est l’expérience de « l’ignorance pluraliste ». Alors que nous nous remettons tous en question en privé, nous pensons que nous sommes seuls à douter parce que personne d’autre n’exprime ses propres pensées.

Comme il est difficile de savoir :

  • à quel point nos collègues travaillent dur
  • à quel point ils trouvent certaines tâches difficiles
  • ou à quel point ils doutent d’eux-mêmes,

il n’y a pas de moyen facile de se débarrasser du sentiment d’être moins capable que les gens qui nous entourent.

Malgré son nom, il ne s’agit pas d’une maladie.

Et il n’est pas lié à la dépression, à l’anxiété ou à l’estime de soi. Il s’agit d’un sentiment, d’une expérience, d’une croyance dont il peut être difficile de se défaire.

Je pense que fait de l’appeler « syndrome » minimise l’universalité de ce sentiment (qui a été établi indépendamment du sexe, de la race, de l’âge et de la profession).

Comment surmonter le syndrome de l’imposteur

1) Commencez par engager la conversation

Le seul moyen infaillible de faire taire votre critique intérieur est de parler de ce qui se passe dans votre esprit.

  • Cela peut paraître simple, mais je pense que de nombreuses personnes hésitent à partager ce qu’elles ressentent. Elles craignent que les commentaires des autres ne fassent que confirmer leurs inquiétudes.

Cependant, lorsque les gens parlent de leur sentiment de ne pas être à leur place, ils apprennent que d’autres personnes autour d’eux ont ressenti la même chose dans le passé.

Le fait d’apprendre qu’un mentor ou un ami de confiance a vécu la même chose peut apporter de la clarté et du soulagement à ceux qui souffrent du syndrome de l’imposteur.

2) Recueillez ensuite vos expériences positives

Nous sommes nombreux à rejeter les compliments que nous recevons pour notre travail et à ne nous souvenir que des critiques.

  • La prochaine fois que quelqu’un commencera à chanter vos louanges, appréciez vraiment ce que l’on vous dit.

Vous combattrez alors votre propre syndrome de l’imposteur en recueillant et en réexaminant les commentaires positifs.

S’efforcer d’écouter les mots d’encouragement, et d’y réfléchir, peut contribuer à apaiser les angoisses la prochaine fois que le doute surgira.

3) Enfin, sachez que vous n’êtes pas seul

Je suggère que des conversations ouvertes sur les défis à relever soient un autre moyen d’atténuer le sentiment d’imposture.

Ces nouvelles expériences peuvent vous aider à réaliser que vous n’êtes pas aussi seul que vous le pensez dans vos insécurités.

J’insiste : il est important de prendre conscience des défis académiques et professionnels – où les erreurs peuvent provenir d’une défaillance de l’équipement plutôt que de la compétence – pour vous épanouir et renforcer votre confiance en vous.

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Vous n’êtes pas là ! Mais en vacances…
  • L’art de Ne Rien Faire
    • S’asseoir tranquillement, sans distractions, peut être agréable.
    • Mon conseil : Imaginez-vous sur une chaise, sans téléphone ni musique, laissant vos pensées vagabonder librement. C’est loin d’être ennuyeux. C’est libérateur !
  • Le Mythe de l’Occupation
    • Nous planifions souvent trop d’activités pour éviter l’ennui.
    • Rappel : Dans votre quotidien, vous fuyez l’ennui en refusant d’attendre sans distractions. Pourtant, cela pourrait vous être bénéfique.
  • Étude Japonaise
    • Une étude du Journal of Experimental Psychology révèle que les gens sous-estiment leur capacité à apprécier le « ne rien faire ».
    • Donnée : 259 étudiants ont participé à des expériences pour mesurer leur appréciation du temps passé sans distractions.
  • Découverte Surprise
    • Les participants, après avoir prédit qu’ils s’ennuieraient, ont finalement trouvé agréable de ne rien faire.
    • Histoire : Après 20 minutes de silence total, sans aucune distraction, les étudiants ont apprécié ces moments d’introspection. Plus qu’ils ne l’avaient anticipé.
  • Les Bienfaits de l’Inactivité
    • Ne rien faire stimule la créativité. Aide à résoudre les problèmes.
    • À retenir : La pensée, sans contrainte, peut entraîner des expériences positives et gratifiantes.
  • La Puissance de la Réflexion
    • Les moments de réflexion, sans stimulation externe, favorisent la créativité. Et soulagent les émotions négatives.
    • Mon conseil : Un moment de vagabondage mental peut vous donner une idée géniale. Ou apaiser vos soucis.

Les vacances sont l’occasion parfaite pour expérimenter l’art de ne rien faire.

En abandonnant vos habitudes d’hyperactivité, vous pouvez découvrir les bienfaits insoupçonnés de l’introspection et du vagabondage mental. Ces moments de calme et de réflexion ne sont pas seulement agréables, ils peuvent aussi nourrir votre créativité et améliorer votre bien-être émotionnel.

Alors, cet été,

pourquoi ne pas essayer de simplement ne rien faire ?

Vous pourriez être surpris de combien vous l’apprécierez.

  • Profitez de chaque instant pour vous reposer, observez le monde qui vous entoure.
  • Evadez-vous au travers de la lecture ou de la méditation. Toutes ces activités peuvent contribuer à cultiver un état d’esprit différent, propice à l’inspiration, et à la tranquillité intérieure.

En laissant de la place à l’oisiveté, vous offrez à votre esprit l’opportunité de se régénérer et de se ressourcer.

Ce qui peut avoir un impact positif sur votre humeur et votre capacité à gérer le stress quotidien, à votre retour de vacances.

Vous ne me croyez pas ?

Essayez !

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Échappez à la tyrannie de la perfection.

Rendez vos vacances vraiment reposantes.

Oubliez la perfection

Chercher à avoir des vacances parfaites est la meilleure façon de les rater.

Le terme « vacances » vient du latin « vacare, » signifiant être vide ou libre. Adoptez cette liberté. Abandonnez votre besoin de tout contrôler.

-> Mon conseil : imaginez un peintre avec une toile vierge. Les plus belles œuvres d’art naissent souvent des coups de pinceau spontanés, non de la planification minutieuse, n’est-ce pas ?

Faites une rupture

Une pause significative est cruciale. Pour rompre les cycles vicieux de fatigue et d’anxiété.

De nouvelles habitudes et découvertes ne peuvent émerger que lorsque vous sortez de notre routine.

– Rappel : l’âme sait toujours que faire pour se guérir. Le défi est de faire taire l’esprit.

Durée idéale des vacances

Prévoyez au moins trois semaines pour vous détendre et faire le vide.

Entrez déjà un peu détendu dans vos vacances en créant des rituels de décompression, comme des repas de fin d’année avec des amis.

– Stats : des études montrent qu’il faut environ huit jours pour que les gens se détendent vraiment et ressentent les bienfaits des vacances. Et vous, combien de temps dureront vos vacances ?

Acceptez votre personnalité

Reconnaissez que les vacances ne changeront pas votre nature fondamentale.

Les anxieux peuvent toujours s’inquiéter. Ceux qui recherchent la solitude auront toujours besoin de moments seuls. Alignez vos plans de vacances avec votre personnalité pour éviter une surcharge mentale.

– Appel émotionnel : imaginez-vous profiter d’un moment paisible tel que vous êtes, et non tel que vous pensez devoir être.

Complications modernes

Les vacances peuvent être complexes, notamment avec les familles recomposées.

Pourtant, elles sont des occasions de renforcer les liens communs et de répartir les responsabilités. Profitez de ces moments pour vous reconnecter dans la vraie vie, pas seulement numériquement.

– Histoire : un voyage en famille où chacun met la main à la pâte, créant des souvenirs de convivialité et de joie partagée plutôt que de stress individuel. Qu’en pensez-vous ?

Détox numérique

De nombreux jeunes actifs se sentent piégés par les exigences de perfection du monde numérique. Ils ressentent une compétition constante et une pression.

Profitez des vacances, éloignez-vous de cette tyrannie numérique, et de ses anxiétés associées.

– Vous rappelez que : presque tout fonctionnera à nouveau si vous le débranchez pendant quelques minutes (y compris vous !).

En résumé, ma conclusion :

Les vacances doivent être une expérience libératrice.

Exemptes des pressions du quotidien et des attentes irréalistes de perfection.

En comprenant l’essence du vrai repos, en alignant vos plans avec votre nature, et en vous éloignant des distractions numériques, transformez vos vacances en une pause vraiment régénérante.

Embrassez le vide (rien faire)

Permettez la spontanéité

Chérissez les réelles connexions qui rendent votre vie significative et unique

D’autres idées ?

Conçu pour vous.

Et déconstruisez le cercle vicieux de votre anxiété.

Comment ?

Avec mes 36 ans d’expérience professionnelle.

Avec les TCC (thérapies cognitives et comportementales). Et l’hypnose profonde.

Votre angoisse prend-elle le contrôle de votre vie ?

Vous sentez-vous souvent submergé par l’anxiété, parfois même dès le réveil, sans savoir pourquoi ni comment vous en sortir ?

Avez-vous une boule dans la gorge ou dans l’estomac qui reste même quand « tout va bien » ?

Sentez-vous bloqué dans vos activités quotidiennes, sociales ou professionnelles ?

Êtes-vous fatigué de chercher une solution ? Avez-vous l’impression que cela ne s’arrêtera jamais ?

Ce sont une partie des symptômes que font vivre les troubles d’anxiété, voire les crises d’angoisse.

Mon accompagnement est-il pour vous ?

Une thérapie-coaching est conçu pour toutes les personnes qui souffrent d’anxiété.

Allant à de l’anxiété légère à de l’anxiété sévère, voire invalidante (comme le trouble d’anxiété généralisée, le trouble panique, les phobies, les TOC, etc).

Quelle que soit votre relation à l’anxiété et l’angoisse, vous trouverez toutes les clés pour comprendre, agir et vous libérer, avec mon approche.

C’est beaucoup plus qu’un simple répertoire de techniques contre l’anxiété.

J’insiste particulièrement sur la méthode que vous adopterez pour diminuer votre anxiété progressivement.

Par ailleurs, mon accompagnement est le fruit de plusieurs années de travail que j’ai effectué. De mon expertise aussi dans le traitement des troubles anxieux.

Vous trouverez enfin beaucoup de conseils, d’exemples et d’exercices issus de ma pratique auprès de mes patients. Il me tient à cœur de vous offrir une aide de qualité. En présentiel, ou en distanciel.

C’est très simple : si vous souffrez d’anxiété, le programme saura vous aider. Parce qu’il vous enseignera tout ce que vous devez apprendre et modifier dans votre propre quotidien. Il vous outillera pour faire face à l’anxiété.

Et vous donnera le courage de l’affronter.

Découvrez-en plus !

Juste, regardez quelques articles de mon site.

Si vous les appréciez, et les trouver aidants, alors sachez que je vous apporterai toutes les techniques essentielles pour vaincre l’anxiété.

C’est ce programme qui fera toute la différence pour vous.

Oui.

Lors des séances avec votre psy, il n’a pas toujours le temps de vous expliquer votre trouble d’anxiété, et les mécanismes spécifiques dans ses moindres détails.

Avec moi, vous profiterez d’une aide complémentaire. Elle vous permettra de comprendre de manière pédagogique votre anxiété. Vous saurez toutes les techniques efficaces pour guérir.

Oui, mon approche complète parfaitement une thérapie en cours.

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-> Réservez un rdv en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.) ou à mon cabinet toulousain, ou à votre domicile. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ».
Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

« Focusing is about saying No.

You’ve got to say, no, no, no.

The result of that focus is going to be some really great products, where the total is much greater than the sum of the parts.”

Steve Jobs (1997)

« Se concentrer, c’est dire non.

Il faut dire non, non, non.

Le résultat de cette concentration sera des produits vraiment géniaux, où le total est bien plus grand que la somme des parties. »

Steve Jobs (1997)

« La pornographie agit sur le cerveau comme une drogue – c’est une drogue.

Regarder des films X déclenche une poussée d’adrénaline qui est ressentie dans le ventre et dans les organes génitaux, ainsi qu’une sécrétion de testostérone, d’ocytocine, de dopamine et de sérotonine.

C’est un véritable cocktail de drogues.

La pornographie est un excitant extrêmement puissant, qui provoque flash et euphorie.

Ce n’est pas un excitant sexuel, mais un excitant mêlant peur, sexe, honte et colère. »

 

Judith Reisman,
auteure de The Psychopharmacology of Pictorial Pornography
qualifie la pornographie visuelle d’ « érotoxine »

 

Etes-vous d’accord avec cette auteure ?

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Voici les 3 dernières raisons (sur 15) d’arrêter l’addiction au porno :

(également pour la boulimie, l’hyperphagie, etc.)

 

Vous étiez parti pour faire une simple recherche sur Internet ou regarder vos réseaux sociaux et vous terminez sur un site pornographique…

…il s’est écoulé beaucoup de temps, du temps perdu.

Regarder du X est une activité particulièrement chronophage.

Qui calme sur le moment, puis engendre une dose de stress importante devant le peu de temps qu’il reste pour faire ce que l’on s’était pourtant décidé à faire.

La pornographie ne calme pas, elle augmente le stress.

Vous perdez du temps, que vous ne mettez pas à profit les projets qui vous animent et pour vos relations.

En arrêtant la pornographie, vous gagnerez du temps.   

 

Avant d’en regarder, vous y pensez.

Après en avoir regardé, vous y penser encore.

Votre esprit est distrait par le sexe et votre corps par cette tension sexuelle qui vous habite.

Par moment, vous n’arrivez pas bien à vous concentrer.

Forcément, votre productivité diminue.

Cela génère du stress et de la tension que vous allez vouloir évacuer, en y retournant, encore et toujours…

La pornographie vide l’individu de sa puissance, de sa créativité, de sa capacité à produire.

En arrêtant d’en regarder, vous augmenterez votre productivité.

 

Vous regardez des images pornographiques en cachette, dans votre coin.

C’est votre « jardin secret » et vous pensez que tant que personne ne le sait, il n’y a pas de mal à se faire du bien.

Mais en réalité, vous avez l’impression d’avoir une double vie, d’avoir deux personnalités. Il y a la personne que les gens connaissent, aiment, admirent.

Et puis…

Il y a cet autre vous, cette personne capable de regarder des images dégradantes, violentes, avilissantes…

Par peur d’être démasqué, vous vous renfermez sur vous-même. Vous n’osez plus vous confier, vous ouvrir aux autres, vous dévoiler, vous laissez aimer…

En arrêtant la pornographie, vous renforcerez vos relations amicales, familiales, conjugales, car vous pourrez être vrai. Authentique.

16 – Et vous, quelle est votre raison principale ?

(par exemple, le « Putain, merde, y-en-à-marre !!! » salvateur)

😉

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Vous êtes persuadé de ne pas être dépendant au porno.

« Moi, j’en regarde de façon occasionnelle… J’arrête quand je veux ! ».

L’extraordinaire pouvoir de l’industrie pornographique est d’entretenir cette illusion.

Comment ? Grâce à la vidéo à la demande. À internet. Aux écrans partout disponibles.

Fini les magazines pornos plus ou moins cachés tout en haut des présentoirs des Tabacs-presse, dans les années 70 !

La dépendance, vous ne la voyez pas s’installer… sans quoi vous cesseriez directement de consommer la chose à laquelle vous pourriez vous attacher ! Dans ma pratique professionnelle, j’ai appris que personne, absolument personne, ne désire être dépendant de quoi que ce soit.

C’est pourquoi, l’on se défend toujours de l’être.

En arrêtant la pornographie, vous vous sentirez libéré.

Vous prendrez conscience de l’emprise que cette industrie avait sur vous.  

« Je ne fais de mal à personne ; ces gens-là sont consentants ».

Mon œil.

Pour vous, la pornographie est une preuve de la liberté d’expression. De la liberté de métier, de la liberté sexuelle.

A d’autres…

Pour chaque « star du porno » qui défend son métier (comme l’expression de sa liberté d’entreprendre et de faire ce qu’elle veut de son corps), il y a des centaines de milliers de femmes et d’hommes qui sont exploités, maltraités, violés, violentés.

L’industrie du sexe poursuit sa quête effrénée de profit. Et vous le savez. Vous en êtes victime aussi.

En arrêtant la pornographie, vous cesserez de contribuer à l’exploitation sexuelle d’être humain.

Vous pensez que la pornographie n’a aucune influence sur votre sexuelle, vous êtes persuadé être capable de faire la part des choses.

C’est faux.

La vérité, c’est que votre cerveau s’habitue à regarder un certain type de sexualité.

Certaines pratiques sexuelles, certains corps et ces images ont un impact sur vos envies, vos fantasmes, le regard que vous portez sur les femmes et sur les hommes…

Dites-moi que vous n’êtes pas devenu esclave de vos pulsions sexuelles ?

En arrêtant la pornographie, vous allez assainir votre vie sexuelle. Et vous retrouverez votre estime.

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Ces 3 raisons – motivations profondes sont aussi utiles pour d’autres addictions : boulimie, hyperphagie, jeux, etc.
 

Vous n’avez aucun effort à fournir.

L’industrie pornographique vous donne accès à des corps, selon vos goûts, afin de vous satisfaire sexuellement.

Vous êtes tombé dans le piège de la pornographie parce que vous manquiez de confiance dans le jeu de la séduction.

N’est-pas plus simple et moins risqué de cliquer sur un site pornographique pour avoir votre « dose de sexe » plutôt que d’aborder une femme ou un homme, et éveiller son désir ?

Le problème : la pornographie est une « fabrique à complexes ».

Elle génère des angoisses de performance.

Elle amplifie le manque de confiance en vous.

Vous fuyez alors les relations intimes par peur d’être démasqué.

Résultat : vous vous isolez.

En arrêtant la pornographie, vous sortirez de ce cercle vicieux. Vous chercherez de l’aide pour dénouer ce qui vous empêche d’avoir confiance en vous, grâce à l’hypnose profonde. Et en votre capacité d’établir une relation.

Peu importe votre apparence corporelle, votre condition physique et la façon de vous vêtir.

Vous pouvez « consommer du sexe » grâce à l’industrie pornographique qui vous en offre de manière illimitée.

Au lieu d’aller faire du sport pour vous détendre, vous trouvez ce qu’il vous faut en quelques clics. C’est rapide, efficace.

Le problème, c’est que vous négligez les besoins de votre corps (du repos, une alimentation saine, une activité physique régulière, les soins pour votre santé, etc.). Parce que vous ne ressentez plus le besoin d’entrer en relation sexuellement avec l’autre.

Plus vous vous sentirez bien dans votre corps, plus vous vous sentirez bien dans votre tête.

Et plus vous vous sentez en confiance dans vos relations.

En arrêtant la pornographie avec un psy, vous allez reprendre soin de votre corps.

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