Maman solo (le plus souvent) ou papa solo, ils jonglent entre gestion du quotidien, éducation et leur propre vie sentimentale pour assurer l’épanouissement de leurs enfants… et le leur.
Pas facile !
Si la célibataire est libre de séduire quand et qui bon lui semble, la mère solitaire est souvent coincée à demeure, dans une situation et un rôle en contradiction avec une vie personnelle.
Son intimité passe au second plan.
Entre enfants, carrière, ex-mari, charges domestiques, etc.., pas toujours facile de l’imposer.
Avant que « le copain de maman » ne pose ses valises, la logique suggère que cette Cendrillon ait trouvé le temps, l’énergie, l’envie d’égarer sa pantoufle, qu’elle offre à ce prétendant l’occasion d’exercer son charme et que les enfants, petits ou grands, acceptent de partager maman.
Entre bon sens et désir, ces mères façonnent leur vie privée en fonction de leurs disponibilités. « Tu m’accordes des miettes », ronchonnent les soupirants. « Tu sors encore ? » reprochent les enfants.
Ces mères célibataires paient les pots cassés d’une période de transition qui n’a pas encore, et qui est très loin d’avoir dégagé de nouveaux repères.
Car le solo maternel est austère, si le père n’assure pas le relais.
Au moindre problème, les mères seules s’entendent dire : « Ah ! S’il y avait un homme à la maison ! »
Rappelons que les familles où les pères sont présents rencontrent autant de problèmes éducatifs que les familles monoparentales, à niveau socio-économique égal.
La loi a fait en sorte, en remplaçant l’autorité paternelle par l’autorité parentale, que les femmes aient un statut légitime de « père de famille » lorsqu’elles sont en situation de responsabilité parentale.
Beaucoup sont à l’aise et ne souhaitent pas se remarier.
L’important est que la mère se sente libre de choisir son mode relationnel avec son ou ses amants. Personne ne peut dire ce qui est mieux pour elle ou pour ses enfants.
C’est plus compliqué si elle veut déléguer à cet homme une fonction parentale. Cela demande alors un travail de préparation avec les enfants.
Bref. Une succession de familles – l’originelle, la monoparentale et la recomposée – dans lesquelles chaque élément exprime ses capacités à délier, renouer, réinventer des liens. Autant d’épreuves, que la mère seule traversera plus facilement si le père assume son rôle : dans la garde des enfants, assurant ainsi à son ex-femme un espace et un droit de liberté, et dans une coparentalité effective, évitant à la mère la tentation de la partager avec son prétendant.
La vie privée de ces femmes particulières est une donnée inédite dont chacune explore et négocie les potentialités : celle d’être fidèle à leur rôle maternel et celle de croire encore en leur avenir de femme, sans percevoir l’enfant comme une entrave ou un rempart contre la solitude.
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