« Qui nous a si bien retourné que de la sorte nous soyons, quoi que nous fassions, dans l’attitude du départ ? Tel celui qui, s’en allant, fait halte sur le dernier coteau d’où sa vallée entière s’offre une fois encore, se retourne et s’attarde, tels nous vivons en prenant congé sans cesse… »

R. M. Rilke

Le deuil est une expérience que chacun d’entre nous fait.

  • Il y a les grands deuils qui sont des tremblements de terre dans nos vies : perte d’un être cher, accident ou maladie durablement invalidant
  • Il y a les petits deuils : perte d’un objet important, déménagement
  • Il y a les transitions de vie : l’adolescence, la retraite
  • etc…, etc…

Nous sommes sans cesse appelés à dire au revoir à ce qui fut pour laisser la place à ce qui cherche à venir … avenir.

Le deuil fait partie de la vie, et peut être est-il important de ne pas toujours le médicaliser. C’est-à-dire de passer systématiquement par les antidépresseurs.

Nous avons un droit à la douleur, un droit à la reconnaissance de cette douleur.

Et cela quel que soit le deuil que l’on fasse : que ce soit le deuil d‘un parent, le deuil d’un enfant, de l’être aimé etc.

Ce qui est très regrettable à l’heure actuelle c’est que le deuil n’est plus accompagné. Parfois on ne trouve personne à qui parler de sa souffrance et de ses peines.

À l’heure actuelle il n’y a pas de rites qui accompagnent le deuil, il y a de moins en moins de cérémonie en l’honneur du défunt. Dans le cadre de la crémation le corps disparaît complètement dans le cadre de la crémation par exemple. Cela peut s’avérer être regrettable dans le sens où beaucoup de gens ont pourtant encore besoin de matérialiser le deuil.

C’est en cela que faire son deuil est encore plus difficile que faire son deuil il y a 50 ans.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

Dans le deuil, de manière générale, quelque chose doit mourir en nous pour nous permettre de naître à quelque chose de nouveau.

Quels sont les étapes du deuil ?

De quelles ressources avons-nous besoin pour traverser ?

Le deuil aboutit lorsqu’il débouche sur le besoin de vivre.

Comment la PNL ou l’hypnose peut-elle vous aider à accéder à ces mêmes ressources et faire le chemin jusqu’au bout, jusqu’à l’étape ultime du chemin de deuil :

  • l’acceptation et le réinvestissement de sa vie ?

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-> Les séances de contacts avec les défunts, grâce à l’hypnose profonde ou en psychomanteum dans sa dimension thérapeutique, se font exclusivement à mon cabinet toulousain. Plus d’informations utiles en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin