L‘association de familles et de proches Anorexie-Boulimie Midi-Pyrénées organise, sous la présidence du Pr Jean-Philippe Raynaud, cette deuxième journée régionale. Elle rassemble familles et professionnels autour des troubles des conduites alimentaires (TCA)
De 8h30 à 17h, c’est un programme d’interventions dense pour cette journée du samedi 25 octobre 2008, qui a nécessité beaucoup de travail…
8h30 – accueil des participants et allocutions de bienvenue de Nicole Pons (présidente de l’ABMP), du Dr Françoise Galinon (psychiatre) et des représentants municipaux. Conclusion des allocutions par le Pr Jean-Philippe Raynaud
9h30 – Etat des lieux des TCA et des prises en charge, par le Dr François Granier
10h15 – Le travail avec les parents, par le Pr Phlippe Jeammet
11h – L’anorexie mentale chez les garçons, par le Dr Jean Chambry
11h45 – Table ronde entre les intervenants et discussion avec la salle, suivie d’une pause déjeuner libre
14h – L’aide aux familles et aux proches, avec les Drs Christian Soler (médecin généraliste) et Philippe Boudergues (psychiatre), l’ABMP (représentée par Francis Edouard), l’association de professionnels TKP (représentée par le Dr Dany Benarous, Jean-Luc Sudres, Daisy Planas, Anne-Marie Bosc, Emmanuelle Lefevre et Nathalie Marty) et l’Udaf
15h30 – L’aide aux patients, avec le Dr Marc Uzan (endocrinologue), le Dr Catherine Amoyal (psychiatre), le Dr Franck Hazane (psychiatre) et l’association d’usagers Gem No’mad
Un témoignage d’espoir de Manuela précédera la clôture de la journée par le Dr Marie-France Moles (psychiatre)
Inscription gratuite, mais obligatoire, en appelant le 05 61 57 91 02.
16 décembre 2008 at 16 h 13 min
maman d une jeune adolescente de 13 ans anorexique . J essaye de trouver des personnes qui ont vécu cette terrible maladie avec leur enfant pour des conseils s’il peut y en avoir ,du soutien ou meme une demarche a suivre . Je me sens comme un poisson dans un bocal a essayer de chercher des solutions mais je tourne en rond .D un mèdecin nous passons a un autre et ainsi de suite il se renvoit le( colis) et nous n avançons pas et ma fille maigrit de plus en plus .Si vous pouviez me donner des adresses ou les portes ne se referment pas ce serait super . Merci de votre attention
16 décembre 2008 at 23 h 03 min
Je viens de répondre à Mme Turillon dans un mail privé, avec tous les renseignements demandés.
FDL
3 novembre 2008 at 3 h 31 min
bonjour a tous
je suis victime d’anorexie restrictive(je ne tiens pas à dévoiler mon nom) je voulais seulement mettre en garde les personnes prenant des medicaments neuroleptiques ou psychotropes(qui agissent sur le cerveau)
j’en ai moi meme pris pendant
3ans en fesant confience aux psychiatres qui me les ont prescrit et m’ont suivi pendent le traitement
Ces substances n’ont jamais eu d’effets positifs sur moi(ils n’ont en aucun cas eu ne serai ce qu’une quelconque action sur mes comportements anorexiques (j’ai continué à perdre du poids))
Ils m’ont comletement detruite mentalement:je ne pouvait plus me concentrer sur des choses meme tres simples
J’ai petit a petit perdu tout interet pour tout j’etais tout le temps fatigué
las
Des idees obsessionelles se sont instalées dans mon esprit prenant toute la place et me conduisant à une tres forte pauvreté de pensée
Ces substances m’ont réduite à l’état de légume et rendu inconsciente de cet etat de lassitude
MAIS LE PIRE DANS TOUT CA C LES EFFETs SECONDAIRES TERRIBLES (QUI SONT APPARUT BIEN APRES LE DEBUT DES TRAITEMENTS)entre autre DES TROUBLES phySIQUES QUI M4ON COMPLETEMENT COUPEES DU MONDE DE LA REALITE DES AUTRES
ces troubles m’ont fait atrocement souffrir physiquement
pendent + de 3 mois (je passe sur les details)
Je suis révolté par toutes les souffrances qu’on pu m’apporter ces drogues appelés medicaments par certains(ca aussi ca me révolte )
j’eprouve aussi un fort sentiment de révolte envers la « psychiatre » en qui j’ai fait confience depuis le debut et qui a experimenté ces subtence qui agissent directement sur le ceveau et dont elle ne
conaissait pas les effets qu’ils pouvaient avoir sur moi .
JE VOULAIS SEULEMENT DIRE QUE DEPUIS QUE G ARRETé de prendre ces affreuses substences je ressent un reél soulagement et un reél mieu(les effets
physiques
dont je parlait precedemment sont competement disaruts 2 jours apres mon arret total des substances)(ma bien aimée « psy » m’avait pourtant affimé que ce n’était pas du au traitement mais a l’anorexie)
je suis beaucoup moins fatigué
J’ai cependant eu des « crises du a l’arret de ces produits (que l’on peut comparer a des crises
dues a l’arret d’une drogue )
mais elles sont de moins en moins fréqentes et violentes(je n’en ai actuellement presque plus)
CELA FAIT MAINTENANT 3 MOIS QUE G ARRETe CES SALETéS JE VAIS DE MIEU EN MIEU ET MON CERVEAU SE REMET A FONCTIONNER
JE REDEVIEN CONSCIENTE DES CHOSES MEME SI G ENCORE DES MOMOENTs difficiles
mon etat c’est nettement amelioré et apprès presque 5 ans de maladie je pence etre sur le poin d’etre guerie
tout ca pour avertir et surtout METTRE EN GARDE LES GENS QUI LIRONT CE MESSAGE CONTRE CE GENRE DE SUBSTANCES
!!!ATTENTION IL NE FAUT SURTOUT PAS ARRETER UN MEDICAMENT DE CE GENRE N IMPORTE COMMENT!!!!!!!!! SURTOUT IL FAUT ETRE TRés ENTOURe ( il faut entre 6 mois et 1 an pour etre completement sevré)
(ceci est mon premier temoiniage,
mon but est de prevenir les gens sur des choses qui peuvent eviter des souffrences innutiles) lune
20 octobre 2008 at 12 h 22 min
Bonjour,
ça fait du bien de savoir que des gens s’en sortent de leurs problèmes d’addiction.
Il est vrai que ce comportement est utilisé pour tous les maux de la vie.
Puisque au départ on est addictif pour ce faire plaisir, mais bon ce plaisir se transforme très vite en souffrance.
C’est horrible comme sentiment, l’addiction a une emprise tellement forte sur le mental que ça peut nuire les pensées, l’estime de soi et la qualité de vie en général…
Mais bon il y a de l’espoir puisque des gens s’en sortent et ça fait plaisir de lire ça!!!
En tout cas c’est vrai que quand on mange on cherche a exprimer des choses, on étouffe des ressentis avec la nourriture.
bonne journée.
19 octobre 2008 at 22 h 49 min
C’est une possibilité.
L’addiction est un comportement qui a été mis en place à un moment précis.
C’était alors une réponse à une intention positive profonde (besoin de sécurité, amour, appartenance, assurance, etc…) de l’adolescente. Avec ce comportement, l’intention était satisfaite.
Puis ce comportement a été répété encore et encore et s’est généralisé à d’autres contextes…
Il en résulte que la personne à un choix limité dans sa manière de vivre.
Il s’agit d’une compulsion : la volonté n’a aucun pouvoir dessus.
Heureusement, on en guéri : on garde l’intention de départ, on met en place un nouveau comportement. C’est le travail de la psychothérapie, en une quarantaine de séances environ.
Et pour s’en sortir, il faut etre lucide (pas de déni) et courageuse (être persévérante dans le suivi des séances).
Addiction = dépendance : anorexie, boulimie, alcool, drogue dur
Voilà, c’est (beaucoup) résumé 😉
J’en profite pour remercier les dizaines de patientes (et qq patients) qui m’ont fait confiance et qui sont guéries, depuis toutes ces années…
Merci de me lire !
FDL
19 octobre 2008 at 21 h 11 min
Je pense que les gens qui mangent exagéremment est une façon d’appeler au secours : »Regardez moi, je suis là » ou alors « Ne m’approchez pas ».
Non ?