Du simple écart à la double vie, l’infidelité prend plusieurs formes.
Certaines sont tolérées, d’autres beaucoup moins ou pas du tout.
Pourquoi ?
La fidélité au conjoint est généralement définie comme le respect de l’exclusivité sexuelle.
Pourtant un conjoint « fidèle » selon cette définition l’est-il vraiment s’il ne fait jamais l’amour à sa conjointe, s’il préfère dormir avec le petit dernier-né, ou encore passer ses soirées à jouer à l’ordinateur ?
Ces surinvestissements (envers l’enfant, envers le jeu) pourraient-ils être considérés comme des infidélités puisqu’ils ont pour principe de faire passer la relation de couple au second plan et de la déserter ?
Qu’on le regrette ou qu’on l’approuve, la norme de fidélité passe prioritairement par le corps.
Soit parce qu’il matérialise l’attachement et la possessivité (l’amoureux se sent prioritaire du corps de son conjoint), soit parce que l’on considère que le corps et le cœur ne font finalement qu’un, et qu’il n’est donc pas possible d’être physiquement infidèle, sans l’être aussi mentalement.
Et vous, qu’en pensez-vous ?
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