Voici un test de dépression, la fameuse Échelle de dépression de Hamilton.
C’est celui qui est le plus utilisé par les psychopraticiens (nouvelle appellation pour psychothérapeute) et les psychiatres pour évaluer l’évolution des symptômes dépressifs.
Je préviens qu’il faut considérer les résultats comme étant plus approximatif lorsque ce test est utilisé par le lecteur, que lorsque je le fais en séance, avec mon client.
Je présente cette échelle à titre informatif et non pas dans un but d’autodiagnostic ou d’autoévaluation bien sûr ! Certains symptômes de dépression peuvent être reliés à d’autres problèmes. Si vous croyez être en dépression ou si vous avez des symptômes sévères, je vous conseille de me voir ou consulter un psychiatre.
Le test comporte 17 caractéristiques.
Pour chacune, choisissez l’affirmation qui vous convient le mieux :
1 – Humeur dépressive (tristesse, sentiment d’être sans espoir, impuissant, auto-dépréciation)
– Absent
– Ces états affectifs ne sont signalés que si on interroge la personne
– Ces états sont signalés rapportés spontanément
– Ces états sont communiqués de manière non verbale (par exemple par l’expression faciale, l’attitude, la voix et la tendance à sangloter).
– La personne ne rapporte que ces états dans sa communication verbale spontanée et non verbale
2 – Sentiments de culpabilité
– Absent
– S’adresse des reproches à elle-même, a l’impression d’avoir porté préjudicedes gens
– Idées de culpabilité ou rumination sur des erreurs passées ou des actes condamnables
– La maladie actuelle est une punition. Idées délirantes de culpabilité
– Entend des voix qui l’accusent ou la dénoncent; a des hallucinations visuelles menaçantes
3 – Suicide
– Absent
– A l’impression que la vie ne vaut pas la peine d’être vécue
– Souhaite être morte ou a des pensées de mort
– Idées ou geste suicidaire
– Tentatives de suicide
4 – Insomnie en début de nuit
– Pas de difficulté à s’endormir
– Difficulté occasionnelle à s’endormir (c’est-à-dire plus d’une demi-heure)
– Difficulté quotidienne à s’endormir
5 – Insomnie en milieu de nuit
– Pas de difficulté
– La personne est agitée et facilement dérangée durant la nuit
– Réveils pendant la nuit
6 – Insomnie du matin
– Pas de difficulté
– La personne se réveille de très bonne heure mais se rendort
– Incapable de se rendormir si elle se réveille
7 – Travail et activités
– Pas de difficulté
– Pensées et sentiments d’incapacité, de fatigue, et de faiblesse lors d’activités de travail ou de loisir
– Désintérêt pour les activités, travail ou loisir, rapporté directement par la personne, ou indirectement par une attitude apathique, indécise et hésitante – (elle sent qu’elle doit se forcer)
– Diminution du temps réel consacré à des activités, diminution de productivité
– Arrêt de travail en raison de la présente maladie.
La suite très bientôt !
.
.
> Svp, pourriez-vous me rendre un petit service ?
C’est juste jeter un coup d’oeil à mon nouveau site.
Je l’ai construit pour vous donner un maximum de
valeur et de conseils. Avec un design « plus moderne »,
plus clair, et plus lisible pour vous. Je veux bien faire,
mais je manque maintenant de recul…
Voici le lien direct pour vous faire une idée:
cliquez ici 🙂
(https://www.fredericduvallevesque.com)
Qu’en pensez-vous ?
Un grand merci 🙂
En savoir plus sur Libérez-Vous de vos Angoisses, Addictions, et Burnout
Abonnez-vous pour recevoir les derniers articles par e-mail.
1 mars 2013 at 1 h 15 min
Tout d’abord, j’ai 22 ans, et je dois dire, que j’ai toujours été capable de prendre les choses sur moi sans jamais rien dire, et ce, dès mon plus jeune âge.
Mes parents se sont marié suite à un mariage arrangé entre leur famille. Puis moi, je suis arrivée. Mon père à toujours été violent avec ma mère, et ne se gênait jamais de la battre même devant moi. Puis ma mère un beau-jours est partie. Elle à tout quitter…bref, c’était de toute manière la seule solution.J’ai donc grandi sans ma mère, et là, lorsque j’ai eu mes 12 ans, mon père, a commencé à mal me parler, a être violent envers moi, mais j’ai jamais rien dis.
J’ai par la suite été placée en foyer à l’âge de 15 ans, car un jours mon père m’avait fait un cocard, et au collège, ça avait alerté tout le monde. Là-bas, je vivais un enfer, et j’avais fais une mini-dépression, mais comme j’ai toujours eu la joie de vivre,c’était pas trop gravissime encore.Puis plus je grandissais, plus les mots de mon pères étaient méchants et surtout blessant. Alors au début, ça fais mal, puis par la suite sa met juste un sentiment de colère pour devenir ensuite un sentiment d’indifférence totale. Alors pour bien comprendre la situation avec les « mots » de mon père, non ce ne sont pas des: « tu as été vilaine, tu seras puni dans ta chambre » mais plutôt des: » Tu es une merde, quand je vois les filles de ton âge, j’ai honte, je souhaite qu’une chose, c’est ta mort ect.. » voilà le type de messages que mon père ne cesse de me laisser ou de me dire depuis plusieurs années. Souhaiter mon handicap, ma mort, genre, qu’une voiture ou un bus me roule dessus ect… ce sont des mots qui font très mal sans parler des vulgarités. Et cela je le vis quotidiennement…alors oui je l’admet, je suis entrain de préparer mon suicide. Et je sais que dans peu de temps, cela arrivera, car je ne supporte plus rien. J’ai toujours eu la joie de vivre, et j’ai toujours tout pris sur moi sans jamais me plaindre. Je sais, que c’est nul, on va me dire quoi? De penser aux gens qui n’ont pas la chance de vivre en France, aux gens qui meurent de faim ect…je sais, et j’ai toujours été la première pourtant a cracher sur les suicidaires ou sur les depressifs sous prétextes » d’égoisme » de leur part, sans comprendre ce que pouvais être la souffrance interieure. Alors aussi, oui, mes amis ne se rendent compte de rien, car je suis « desuite » heureuse, dès lors que je ne suis plus chez moi, donc avec les amis, je rigole, et c’est comme si je donnais du repos à mon esprit qui ne cesse de souffrir.
J’ai aussi un compagnon, mais que je ne vois jamais, qui connait ma souffrance, qui la comprend, mais qui ne peut rien faire, étant donné qu’il est loin de moi (700KM).Alors je prend tout sur moi, je dors la nuit en ruminant les mauvaises paroles, et en me demandant quel a pu être l’action que j’ai faite, qui a conduit mon père à me dénigrer de la sorte. Lorsque je me lève le matin, la première des choses c’est de repenser à la veille, et de me préparer aux futurs paroles blessantes. Sauf que là, je n’ai plus envie de continuellement préparer ma souffrance, ce que je souhaite, c’est l’apaiser.
Ce n’est pas des docteurs avec leurs médicaments qui feront que je vivrais heureuse, tout cela ne me sert pas, car je prend encore sur moi, et la situation ne changera jamais. D’ailleurs à force d’entendre des « tu es une merde, tu ne sers à rien, tu es une p**e, ect.. », eh bien, c’est comme si, mon subconscient prenait en compte ce genre de paroles alors que moi, j’essaye de ne pas y prêter attention, sauf que voilà, lorsque j’entreprend quelque chose, d’entrée, je dis toujours la même parole » je n’en suis pas capable ».
J’ai pourtant passé deux examens que j’ai réussi, mais voilà, même en les réussissant, c’est comme si je n’arrivais pas à me satisfaire de ma réussite.
Alors voilà, je suis déjà, désolée de vous avoir écris un aussi long message, mais cela m’a un peu fais du bien. Et j’espère pour beaucoup d’entre-vous, que votre quotidien s’arrangera.
Et merci encore.
7 décembre 2012 at 0 h 56 min
en ce moment je n’arete pas de penser à touts les choses débiles, honteuses que j’ai pu faire dans ma vie. j’en ai parler a des proches mais j’ai pas l’impression qu’ils s’y interessent. j’arrete pas d’essayer de me dire que j’ai fait ça etant petit mais ça m’obsede et a chaque fois que j’y pense j’ai des remords a vouloir en creuver. je suis d’abitude( quand je déprime pas) quelqun de passionné et emotif et il m’arrive de dire tout c qui me passe par la tete selon ce que disent les autres du coup il m’arrive frequement de dire ou faire un truc qui dérange. sur le coup je culpabilise pas mais dés que je me rend compt que j’ai fait une bourde je n’arrive plus a regarder la personne concernée dans les yeux ou a lui parler. aujourd’hui ça fait bientot 5 semaines que je ne suis pas aller en cours (je suis etudiant a la fac).au depard je voulais juste me prendre une semaine de vacance puis j’aurais justifier ça avec une excuse bidon mais finalement ça fait 5 semaines que je glande et maintenant je n’os plus y retourner et j’ai honte de moi. maintenan je sais qu mes examen en fin de semstres sont foutus (dans 1 semaine). j’n dors plus la nuit et j’arrete pas d’imaginer la tete de mes potes quand je devrait revenir en cours de toute façon c’est clair que je ne pourrait pas leur dir la vérité. je me demande a quelle stade d la depression j’en suis?
7 août 2012 at 23 h 08 min
Moi je pense a en finir j’en ai marre a un point incontestable je suis jeune j’ai 17 ans et demi je n’ai jamais été heureuse j’ai toujours été la fille dont on profite qui est gentil qui donne mais quand elle demande un petit service un grand vent la fille qui suit le groupe comme une chienne derrière alors que eux ils s’amusent ils profitent de la vie et elle est invisible la fille qui est surprotégé par ses parents qui n’a aucune confiance en elle , et voila je suis enfermé dans ma chambre depuis trois mois je sors trés peu je pleure chaque nuit mnt je n’ai plus déspoir et plus meme l’envie de pleurer j’ai envie de crever mais j’ai peur de la mort j’ai peur de ce qui va se passer aprés la mort
19 Mai 2012 at 21 h 58 min
Bnsr .. Ma famille et moi meme sommes pauvres .. Jai 16ans et je souffre de cette situation si bien que vers le 15du mois je me demande si nous allons manger un plat chaud. le frigo est sans arret vide ! Mon pere est au chomage et il se plaint car il veut aller en vacance et il n est pas contre l idee de nous abandonner ma soeur et moi ici avec nos freres toxicomanes alcooliques colèrique et jen passe.. Nous vivons dans un appartement PLEIN D HUMIDITÉ !!! Aucune intimité , La chasse d.eau des w.c ne fonctionne pas et il n ya pas l eau chaude .. Je vie un enfer .. 😦 Tte mes amies me demandent de venir chez moi et tellement jai honte de ma vie je mens a chaque fois . Bref jsuis perduuue !!!
4 juillet 2012 at 0 h 49 min
je suis vraiment désoler pour toi , mais la vie est faite pour être vécu Dieu te la prendras , mais tu es jeune intelligente et je pense pas que tu doit partir maintenant et ta soeur fera quoi sans toi ? Moi aussi j’y pense mais il y a pleins de personnes qui’aident mais si c’est vraiment dur va vivre j’ai une de tes amies pour quelque temps mais je pense a toi car c’est très très dificile mais croque ta vie à pleine dent 😀 et essaye de ne moins rester chez toi mais avec tes amies et ne parle pas de tes problèmes pour t’amuser le plus possible ALLER BONNE CHANCE ET FAIT LE BON CHOIX ET PAS LE MAUVAIS !!
Soraïa , Suisse 13ans
4 février 2012 at 4 h 41 min
Bonjour, j’ai 22 ans et bientôt 23 ans cette année. J’ai toujours été une battante, mon optimise et ma facilité à aller vers les autres et à les encourager on fait longtemps parlé de moi. J’ai beaucoup de connaissance et on m’aime bien. J’ai toujours été active, je n’aime pas que les choses stagnes. J’ai toujours eu de l’ambition et je m’étais fait un plan de vie super avec bien sûr en tête que tout pouvait changer. Je me suis toujours donner des objectifs mais je restais toujours assez ouverte au cas où je devrais réévaluer mes objectifs. Tout ce portrait c’était moi avant…
Aujourd’hui, mes déceptions ont pris le dessus. Je me suis réveillée un matin en oubliant tous mes rêves et malgré mes tentatives pour m’en rappeler, je n’ai jamais réussis. Au fond de moi je veux croire en un jour meilleur mais je n’arrête pas de me dire que je devrais me préparer à ce que demain soit pire qu’aujourd’hui. Je ne finis plus ce que je commence, je prends de grandes pauses dans mes activités et je rêvasse beaucoup à mon idéal. Je rêve ma vie, je ne la vis plus. Ma vie de famille n’a jamais été rose avec un père et une mère qui ont eut des vie difficiles, issus tous deux de foyer avec père alcoolique et parent très jeunes. Je suis d’ailleurs la raison pour laquelle ils se sont mis en couple. Enfant désirée disent-ils. Mais je le sens qu’en quelque part je leur ais volée leur jeunesse. Ma mère n’a jamais finit ses études et mon père non plus. Mon père à mes 6 ou 7 ans a commencé à boire et nous avons fait nos propres souvenirs atroces. J’ai un frère de 20 ans. J’ai cette impression d’être l’abomination de ma famille, celle qui a tout déclenché. Si je n’avais pas été là, mes parents auraient finis de grandir et aurait peut-être pu prétendre à un meilleur avenir et mon frère serait né dans un cadre meilleur que celui que nous avons connus. J’aurais été la grande sœur rêvée celle qui ne pleure pas et ne le rembarre pas à cause de mes propres colère mais celle qui sèche ses larmes d’enfant. Ma vie ne ressemble pas à grand chose à part à un énorme puzzle ou un livre dont les premières pages ont été arrachées et remis en place mais dans le désordre.
Il me faut tout remettre en ordre…et apprendre à avancer ou plutôt réapprendre.
1 janvier 2012 at 21 h 19 min
Et en même temps, il y a des phases où je me sens naturellement gaie, joyeuse, où un rien me fait rire… comme de l’euphorie. Dans ces moments, je me dis que ces angoisses sont ridicules, que je suis stupide d’autant y prêter attention, et que ce ne sont que des coups de blues banals. Et ça dure jusqu’au prochain moment de déprime, quelques heures après au maximum. C’est très contraignant, j’ai l’impression d’avoir « deux moi » dans mon ego, et ça m’empêche de m’amuser réellement, car même quand je suis « heureuse », j’y pense.
1 janvier 2012 at 20 h 47 min
J’ai 14 ans et je me sens tellement différente depuis un bout de temps… Avant j’étais optimiste, heureuse et joviale, ce qui n’est plus le cas; j’ai des accès de panique, et souvent de dépression, où je me retiens de pleurer, où j’ai mal en moi-même et où j’ai envie de tout « claquer ». Je cache ma tristesse, et pourtant j’aimerais tant en parler… mais je n’y parviens pas. Les périodes de maussaderie, d’irritabilité et de souffrance sont de plus en plus rapprochées, et ça m’angoisse encore plus… Je me dis que si je suis ainsi c’est juste de ma faute, que je n’ai qu’à me ressaisir… mais c’est trop dur. Je ne sais pas quoi faire.
23 octobre 2008 at 20 h 21 min
Que dire je culpabilise tout le temps me trouve pas belle,toujours trop grosse d’ailleurs j’ai fait 1 lippossussion aux cuisses et genoux je pense que la vie pour moi n’est pas intéressante auresement que j’ai encore 1 fils de 11 ans…Je suis sous antidéprésseur depuis plus de 10 ans à cause de cette bouf…Je dors tres agitée, me réveille souvent.