đŻ Fin dâannĂ©e : le compte Ă rebours a commencĂ©.
Et si vous arrĂȘtiez de laisser vos crises dâangoisse dĂ©cider de votre vie ?
Chaque dĂ©cembre, câest la mĂȘme scĂšne :
Vous vous promettez que « lâannĂ©e prochaine, ce sera diffĂ©rent ».
Moins dâangoisse.
Moins de peurs.
Moins de nuits blanches.
Moins de cette boule dans la gorge qui ne vous lĂąche jamais.
Et puis⊠rien ne change.
Parce que le quotidien vous rattrape plus vite que vous ne respirez.
Parce que lâanxiĂ©tĂ©, elle, ne prend pas de vacances.
Elle accélÚre son tempo.
Elle serre la vis.
Elle vous fait croire que « ce nâest pas le moment ».
Mais elle ne vous repose jamais la question au bon moment.
â ïž Le vrai problĂšme, ce nâest pas vos symptĂŽmes.
Câest le coĂ»t de votre non-guĂ©rison.
Un coût invisible.
Progressif.
Mais stratosphérique.
- Vous perdez du sommeil.
- Vous perdez de la concentration.
- Vous perdez des opportunités.
- Vous perdez lâenvie.
- Vous perdez des morceaux de vous.
Et plus la fin dâannĂ©e approche, plus la vĂ©ritĂ© sâimpose :
đ Continuer comme ça coĂ»te infiniment plus cher que de guĂ©rir.
đ Fin dâannĂ©e = miroir brutal
On regarde le calendrier.
On réalise que 11 mois ont défilé, alors que vous étiez en mode survie.
Que vos décisions ont été dictées par la peur.
Que vos projets ont Ă©tĂ© mis en pause par vos crises dâangoisse.
Que votre vie ressemble plus Ă une fuite quâĂ un choix.
Et vous le sentez au fond de vous :
đŻ Vous ne pouvez pas commencer 2026 avec les mĂȘmes chaĂźnes.
đ„ Il est urgent dâagir. Maintenant.
Pas en janvier.
Pas « quand jâaurai le temps ».
Pas « quand ça ira mieux ».
Parce que lâanxiĂ©tĂ© ne disparaĂźt jamais en attendant.
Elle enfle.
Elle sâinstalle.
Elle redessine votre identité⊠sans votre consentement.
Et chaque semaine de plus laisse des traces :
â un systĂšme nerveux encore plus Ă cran
â une tolĂ©rance au stress qui sâeffondre
â une perte de confiance insidieuse
â une fatigue mentale qui devient structurelle
đ± La bonne nouvelle ?
On peut stopper tout ça.
On peut dĂ©programmer lâanxiĂ©tĂ©.
On peut retrouver un systĂšme nerveux stable.
On peut respirer Ă nouveau.
On peut reprendre sa vie en main â rapidement.
Mais il faut un premier pas.
Un choix clair.
Une décision adulte :
đ Je refuse de finir lâannĂ©e brisĂ©(e) par mes peurs.
đŻ Mon message, brut, honnĂȘte, nĂ©cessaire :
La guĂ©rison ne coĂ»te jamais aussi cher que lâinaction.
Chaque jour oĂč vous laissez lâangoisse gagner, vous lui donnez un territoire quâelle ne rendra pas facilement.
Alors oui :
Il y a urgence.
Mais une belle urgence.
Celle qui rouvre lâavenir.
Celle qui vous rend votre place.
Celle qui vous fait passer du statut de survivant⊠à celui dâhumain vivant.
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