Le déficit en vitamine D est un facteur de risque de COVID sévère.

Les personnes avec un déficit en vitamine D sont plus susceptibles de faire un Covid-19 sévère ou d’être hospitalisés en soins critiques, selon une nouvelle étude publiée dans le journal Plos One[1].

Cette étude se fonde sur des données issues des deux premières vagues israéliennes de coronavirus avant que les vaccins ne soient largement disponibles. Les scientifiques insistent sur le fait que la supplémentation vitaminique n’est pas un substitut à la vaccination mais peut aider l’immunité naturelle.

« Nous avons trouvé remarquable et particulièrement frappant de voir la différence de risque de développer une forme sévère en cas de carence en vitamine D », a indiqué le Dr Amiel Dror, principal auteur et médecin au Galilee Medical Center, au Times of Israel. Cette observation n’est pas totalement nouvelle et a fait l’objet d’études, notamment en France, conduisant même à une tribune incitant à la supplémentation (lisez ci-dessous).

Bien que l’étude ait été menée avant l’arrivée du variant Omicron, a-t-il affirmé, le coronavirus n’a pas suffisamment changé pour annuler l’effet de la vitamine D.

« Ce que nous observons, c’est la capacité de la vitamine D à renforcer le système immunitaire contre les agents viraux qui ciblent le système respiratoire« , explique-t-il. « Cela vaut pour Omicron comme pour les variants apparus antérieurement ».

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L’équipe de chercheurs a analysé les taux de vitamine D chez plus de 250 patients hospitalisés au Galilee Medical center et testés positifs au Covid entre avril 2020 et février 2021. Les tests ont été effectués avant l’hospitalisation sous la forme d’examens sanguins de routine ou d’une recherche d’un déficit en vitamine D, entre 14 et 730 jours avant le test PCR positif.

Les patients avec un déficit en vitamine D étaient 14 fois plus susceptibles de faire un Covid sévère ou d’être hospitalisés en soins critiques. De plus, le taux de mortalité de ceux qui présentaient des taux de vitamine D insuffisants était de 25,6%, contre 2,3 % chez ceux qui avaient des taux dans la norme.

Les différences persistaient après ajustement sur l’âge des patients, le genre, et les antécédents de maladies chroniques.

« Nous avons analysé toute une palette de durées et trouvé que dans un délai de 2 ans avant l’infection, la corrélation entre vitamine D et sévérité de la maladie était très forte« , a expliqué le Dr Dror à The Times of Israel. « Cela renforce l’idée d’instaurer une supplémentation en vitamine D pendant la pandémie et qui n’a aucun effet indésirable« .

Rappelons que dans une tribune publiée dans La Revue du Praticien le 8 janvier 2021, 73 experts francophones et six sociétés savantes françaises*, insistaient sur l’importance particulière d’assurer « un statut satisfaisant en vitamine D dans la population générale », dans le contexte du Covid-19.

« En l’absence de traitement curatif efficace et accessible à ce jour contre la Covid-19, recourir à des molécules déjà existantes pourrait aider à contrôler la pandémie ». Or, « le rôle bénéfique potentiel de la vitamine D est discuté positivement dans de nombreuses publications« , soulignaient les signataires du texte dont le Pr Cédric Annweiler (CHU d’Angers), auteur de plusieurs études sur le sujet.

*Avec le soutien de l’Association française de lutte antirhumatismale (AFLAR), de la Société française d’endocrinologie (SFE), de la Société française de gériatrie et gérontologie (SFGG), de la Société française de pédiatrie (SFP), de la Société française d’endocrinologie et diabétologie pédiatrique (SFEDP), et de la Société francophone de néphrologie dialyse et transplantation (SFNDT).

Source : Study: Vitamin D Deficiency Linked to Severe COVID.

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Comme l’impression d’un retour un an en arrière.

Comment s’organiser ?

Faut-il se faire tester avant d’aller voir Mamie ?

Les grands-parents peuvent-ils héberger les petits-enfants ?

Combien de convives à table ?

Vos interrogations s’avèrent encore plus actuelles cette année car, contrairement à la même période l’an dernier, le virus circule très activement sur notre territoire : plus de 50 000 cas ont été recensés en moyenne chaque jour au cours de la semaine écoulée, contre moins de 12 000 voilà un an…

13 scientifiques, reconnus, vous racontent ce qu’ils ont prévu :

Comment eux-mêmes pensaient s’organiser pendant les fêtes ?

Comment comptent-ils se protéger, et protéger leurs proches ?

Quels risques sont-ils prêts à prendre pour ne pas se laisser totalement envahir par la morosité de ces jours sous l’emprise du virus ?

Des stratégies assez variées, en fonction du contexte familial et de l’âge

Un point au moins fait l’unanimité : tous refuseraient d’assister à un repas de fête où certains adultes ne seraient pas vaccinés. « Jamais de la vie », répond même Catherine Hill.

La plupart insistent aussi sur la nécessité du rappel : « Le schéma vaccinal complet, c’est trois doses. Dans ma famille, nous le savons tous, et nous le souhaitons tous, donc ce n’est pas un objet de tension, ni de débat », détaille le Pr Antoine Flahault. Même constat pour la vaccinologue Marie-Paule Kieny : « Toutes les personnes éligibles parmi mes contacts auront reçu le rappel », souligne-t-elle.

Et pour ceux qui n’auraient pas encore pu obtenir de rendez-vous ? « Tout dépend depuis combien de temps ils ont réalisé leur seconde dose : je distingue ceux qui ont été vaccinés depuis plus de cinq mois, (période à partir de laquelle l’efficacité du vaccin commence à diminuer, NDLR) et moins de cinq mois », nuance le Pr Éric Caumes. Le respect des gestes barrière restera une priorité : « Même si le rappel a un effet protecteur fort, les incertitudes sur Omicron ne permettent pas de les lever », insiste l’épidémiologiste William Dab.  

Masques FFP2 pour les transports, le cinéma ou le théâtre

Tous n’envisagent pas de se déplacer en transports en commun. Mais même ceux qui resteront chez eux ou qui privilégieront leur voiture plutôt que le train ou l’avion le feront par convenance personnelle plutôt que par crainte d’un éventuel risque, jugé minime à la quasi-unanimité, à condition là aussi que les gestes barrières soient bien respectés de tous. « Avec le passe sanitaire, le port du masque et le fait que les passagers restent relativement silencieux, le risque infectieux est faible », juge Mircea Sofonea. Antoine Flahault et Marie-Paule Kieny privilégieront tout de même le port d’un masque FFP2, plus protecteur.  

La plupart se sentent également en sécurité au théâtre ou au cinéma, ou même à des concerts, à condition d’être assis, et parfois munis d’un masque FFP2. Philippe Amouyel dit faire confiance au protocole mis en place : « Le risque sanitaire est la préoccupation majeure des directeurs de salle, et ils ont mis en place des protocoles ad hoc adaptés », juge-t-il, notant au passage « qu’aucun cluster, ni surrisque n’ont été identifiés en France et à l’étranger ». Antoine Flahault se montre plus prudent, et déclare vouloir éviter les théâtres. A l’approche des fêtes, l’épidémiologiste de l’Institut de santé globale de Genève est surtout vigilant sur les cérémonies religieuses, qui ont été plusieurs fois l’occasion de foyers de contaminations. « Je crains que le variant Omicron apprécie particulièrement ces rassemblements où l’on chante, parle, on est nombreux, toutes générations confondues ».  

Peu renoncent aux restaurants, mais ils choisissent avec attention leurs établissements

A l’exception de quatre d’entre eux, la majorité des experts interrogés disent aussi envisager d’aller au restaurant. Certains y ont même leurs habitudes. « J’y vais très souvent », commente Renaud Piarroux, qui se fonde sur le passe sanitaire et une vaccination à trois doses pour se sentir en sécurité. Nombreux sont ceux qui précisent toutefois choisir les établissements en fonction de l’espacement entre les tables et de la ventilation. « Quel regret que nous n’ayons pas suivi les initiatives de l’Italie qui après la première vague a conservé la règle d’une distance minimale entre deux tables », se désole Gilles Pialoux.

Constatant la circulation active du virus, Antoine Flahault fera, lui, une croix sur les restaurants, tout comme Marie-Paule Kieny pour qui le masque reste indispensable : « Impossible de manger avec ! ».  

Pour ce qui est des repas de fête, les avis sont plus partagés. Certains se limiteront à un petit comité. « Je ne crois pas à la pérennisation des mesures barrière le soir de Noël, sous l’effet des réjouissances et de l’alcool », prévient Éric Caumes. Ce sera huit personnes maximum pour trois de nos experts interrogés. « C’est un chiffre totalement arbitraire mais cela dépend de l’espace », concède Gilles Pialoux. En moyenne les spécialistes interrogés se limiteront à un maximum d’un peu plus de cinq personnes à table. « Sachant que l’on est obligatoirement amené à retirer son masque, nous serons tous vaccinés et/ou testés », prévient Yves Buisson.  

Ouverture des portes et des fenêtres… l’aération sera aussi au menu du réveillon. Antoine Flahault a mis les bouchées doubles sur ce point : « Il y aura un capteur de CO2, et l’on visera moins de 800 ppm tout au long du repas. Au-dessus, on ouvrira les fenêtres. En plus, un purificateur d’air équipé d’un filtre HEPA flambant neuf fonctionnera à plein régime ». « En tout cas je conseille la doudoune car ça va ventiler ! », lance de son côté Gilles Pialoux.

La moitié des experts qui nous ont répondu demanderont à leurs invités de se tester, par un test antigénique ou un autotest le matin des réjouissances. Pour les autres, la troisième dose suffira. Quant à l’isolement, la mesure n’est pas toujours simple à appliquer. « Pas le choix, il faut continuer à travailler à l’hôpital », dit Renaud Piarroux.  

« Le purificateur d’air tournera en permanence » 

Question plus délicate, que faire avec les enfants de moins de 12 ans non vaccinés ?

Notamment quand il s’agit de recevoir ses petits enfants, ou de s’inviter en famille pour quelques jours chez des parents âgés ?

Rares sont ceux qui patienteront pour les retrouvailles, mais la plupart prendront des précautions. Antoine Flahault mise là aussi sur le purificateur d’air « qui tournera en permanence », tandis que Gilles Pialoux « mettra des autotests adaptés aux enfants sous le sapin ». Quant à Philippe Amouyel, il privilégie une première semaine de vacances « avec isolement à la maison et vaccination pour les plus de 12 ans ».  

L’an dernier, Rémi Salomon, le président de la commission médicale d’établissement de l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris avait marqué les esprits en préconisant de faire dîner Papi et Mamie à la cuisine… Cette année, les personnes âgées ou fragiles seront-elles conviées à la table du réveillon ? « Cela relève de leur choix, mais je ne l’encourage pas », prévient Éric Caumes. Malgré les risques, la plupart soulignent toutefois l’importance de ne pas isoler les aînés, surtout s’ils sont vaccinés. « Avec les précautions usuelles et s’ils le souhaitent », souligne le Pr Pierre Tattevin, le président de la Société de pathologie infectieuse de langue française « les personnes âgées ont le droit de profiter de la vie et de faire leurs choix », souligne-t-il. « L’isolement augmente la fragilité », abonde Renaud Piarroux.  

Dernière précaution, pour Antoine Flahault : « Pour que ces questions ne soient pas au centre des discussions à Noël, et que ces suggestions ne soient pas à l’origine de conflits, rappelons-nous qu’aucune mesure n’est efficace à 100%, que la vie est une prise de risques d’appréciation très personnelle. Il vous appartient in fine de ne pas participer à ces fêtes si vraiment vous voulez éviter tout risque de contaminations à cette occasion ».

Il faudra alors, pour désamorcer les tensions, se mettre d’accord avant les réceptions sur les dispositions retenues

Epidémiolostes et autres spécialistes interrogés :

le Pr Antoine Flahault, directeur de l’Institut de santé globale à Genève, le Pr Didier Houssin, ancien directeur général de la Santé et président du Comité d’urgence Covid-19 de l’Organisation mondiale de la Santé, le Pr Pierre Tattevin, président de la Société pathologie infectieuse de langue française, Mircea Sofonea, épidémiologiste au sein du Laboratoire maladies infectieuses et vecteurs à Montpellier, le Pr Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital Tenon, le Pr Eric Caumes, qui dirigeait encore très récemment le service des maladies infectieuses de l’hôpital de La Pitié-Salpêtrière, le Pr William Dab, épidémiologiste et ancien directeur général de la santé, le Pr. Renaud Piarroux, chef du service de parasitologie-mycologie à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, le Pr. Jean-Daniel Lelièvre, immunologiste et membre de la Haute autorité de santé, Marie-Paule Kieny, virologue et présidente du comité Vaccin Covid-19, le Pr. Philippe Amouyel, épidémiologiste, professeur de Santé Publique au CHU de Lille, Catherine Hillépidémiologiste et biostatisticienne à l’institut Gustave-Roussy, Pr. Yves Buisson, épidémiologiste et membre de l’Académie de médecine.

Vaincre votre peur des piqûres, oui, c’est possible !

F. Duval-Levesque,psychopraticien,hypnose,coach,mal-être,anxiété,angoisse,addiction,traumatisme,peur,tabac,phobie,souffrance,stress,burnout,PNL,téléséance,téléconsultation,avis,témoignagpeur,prisesang,injectionPensez à la dernière fois où vous avez eu vraiment peur – je veux dire, où vous avez ressenti de la terreur : sueurs froides, tremblements, cœur qui bat à tout rompre.

Maintenant, pensez à ce que ce serait de vivre cela à la seule vue d’une aiguille ou simplement en entendant quelqu’un parler des vaccins contre le Covid-19.

Cette réalité concerne environ une personne sur dix. Elle n’est pas à négliger dans les campagnes de vaccination :

  1. Premièrement, lorsque quelque chose nous rend très anxieux, on a tendance à l’éviter ou à le retarder.
  2. Deuxièmement, éprouver une grande peur et une réaction au stress peut conduire à un comportement de fuite (qui fait qu’on s’éloigne ou qu’on agit de manière agressive), à vivre une grande détresse au moment de la procédure et à avoir des symptômes de réactions au stress de la vaccination, comme des étourdissements ou un évanouissement.
  3. Troisièmement, la peur de l’aiguille peut, à son tour, être accrue par le fait d’avoir déjà vécu une réaction au stress de la vaccination ou d’avoir entendu parler d’autres personnes qui l’ont vécue.

Ce qu’il faut savoir, c’est que ces réactions ne résultent pas d’un défaut du vaccin. En fait, elles peuvent survenir avant, pendant et après l’injection en raison du stress ressenti.

Un certain degré de crainte des aiguilles est courant et se manifeste chez la plupart des enfants, jusqu’à la moitié des adolescents et de 20 à 30% des personnes âgées de 20 à 40 ans.

La bonne nouvelle, c’est qu’il existe quatre techniques fondées sur des données scientifiques pour régler le problème.

1 – Premièrement, l’hypnose à mon cabinet en une ou deux séance.

Ensuite, ce qui suit.

2 – Le système « confort, aide, relaxation et distraction » (CARD) peut aider les parents, et vous-mêmes à rendre l’expérience de la vaccination aussi agréable que possible.

  • Que porterez-vous pour qu’il soit facile d’accéder à vos bras ?

  • Que ferez-vous en attendant à la clinique (lire, écouter de la musique, jouer à un jeu vidéo) ?

  • Devriez-vous acheter un anesthésique local pour engourdir votre peau au site d’injection ?

  • Comment voulez-vous que le clinicien signale qu’il commence, par exemple, en disant « Un, deux, trois, on y va »?

  • Décidez si vous voulez regarder ou non pendant l’injection, et dites au clinicien ce que vous voulez.

  • Pendant qu’on vous pique, voulez-vous parler d’autre chose, jouer sur votre téléphone ou écouter une imagerie guidée ?

  • Par la suite, comment allez-vous vous récompenser et vous souvenir de ce qui vous a aidé ? Vous pourriez filmer une courte vidéo où vous décrivez ce qui s’est bien passé pour vous aider la prochaine fois.

3 – La thérapie par exposition peut se faire en situation réelle, ou en imaginant la situation redoutée.

  • Tout d’abord, on demande à la personne de dresser une liste de toutes les situations et de tous les aspects de la piqûre qui lui font peur : est-ce le fait de voir du sang ? De sentir l’aiguille pénétrer dans son corps ? La douleur ? L’étourdissement ? Autre chose ?
  • Ensuite, la personne évalue sa peur pour chaque situation et crée une échelle de la peur qui commence par la situation la moins redoutée (par exemple, regarder des images d’aiguilles) et avance par petits paliers vers la plus redoutée (par exemple, l’injection d’un vaccin). Le patient répète chaque étape jusqu’à ce que sa peur diminue avant de passer à la suivante.
  • Certaines personnes se sentent étourdies ou s’évanouissent quand on leur fait des piqûres. Ce phénomène est plus fréquent chez les gens qui ont un niveau de peur élevé. Une technique appelée contraction musculaire, qui consiste à contracter et à relâcher les muscles, peut aider à éviter la chute soudaine de tension artérielle qui entraîne des étourdissements et des évanouissements.

Bonus : vous pouvez imaginer la motivation et le courage nécessaires pour affronter ses peurs, ce qui a une incidence sur l’acceptation du traitement.

4 – J’utilise aussi d’autres traitements prometteurs, comme l’intégration neuro-émotionnelle par les mouvements oculaires (EMDR), à mon cabinet toulousain ou en visio.

 

 

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Décryptages :

Dans les pays occidentaux, qui ont, au mieux, la moitié de leurs habitants vaccinés, l’arrivée du variant Delta, très contagieux, ne provoque pas la flambée de mortalité connue auparavant.

Ce n’est pas le cas des pays peu vaccinés.

La progression galopante du variant Delta constitue un test grandeur nature pour les vaccins contre le Covid-19. Beaucoup plus contagieux que ses prédécesseurs, ce variant, détecté pour la première fois en Inde, provoque en effet depuis quelques mois une forte hausse des contaminations dans la plupart des endroits du globe où il se propage.

En revanche, son effet n’est pas uniforme sur le plan de la mortalité.

Dans les pays occidentaux, les courbes de mortalité ne suivent plus la même trajectoire que les courbes de contaminations, comme c’était le cas lors des précédentes vagues.

Cela s’explique indéniablement par l’importance des taux de vaccination, qui permet de limiter le nombre de cas graves, et donc les décès, en particulier au sein des populations les plus vulnérables.

La suite ici.

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Vaccinez-vous !

Pour vous, pour les autres.

Chaque jour, en France, entre 450 000 et 500 000 personnes se font vaccinées.

Les vaccins ARNm sont :

  • étudiés depuis plusieurs décennies
  • expérimentés depuis 2005
  • les – éventuels – effets secondaires arrivent dans les 15 minutes suivant l’injection, et/ou au maximum dans les deux mois (comme les autres vaccins existants)

Toutes ces informations sont vérifiables avec des sources médicales et scientifiques sur le net.

Ces vaccino-sceptiques, contaminés, qui expriment des regrets…

Ils préféraient attendre, avaient des doutes ou des inquiétudes sur les vaccins. Cela se comprends.

Mais ces témoignages de sceptiques, regrettant leur choix, se multiplient dans les médias.

Ces derniers jours, on retrouve en tout cas de plus en plus de témoignages de personnes regrettant de ne pas avoir été vaccinées.

Voici trois histoires dramatiques.

  • 1 – « J’aurais dû faire ce p****n de vaccin » : les regrets d’un Américain avant de mourir

« Nous voulions attendre juste un an après la sortie du vaccin, pour voir quels effets les gens avaient ». C’est ce qu’a déclaré la fiancée de Freedy, Jessica, comme le rapporte le Boston Globe. L’homme de 39 ans, non-vacciné s’était rendu à la plage de San Diego avec elle et leurs cinq enfants.

Par la suite, il est allé aux urgences, pensant avoir eu un coup de soleil. Il était en réalité positif au Covid-19.

Son état s’est aggravé rapidement. Il a finalement été hospitalisé pour une pneumonie des deux poumons. « Tôt mardi matin, je dirais vers 3, 4 heures du matin, il me réveille en panique », a déclaré sa fiancée à la chaîne de télévision locale Fox 5 Las Vegas. « Il me dit : ‘Je ne peux pas respirer. Je sais que quelque chose ne va pas' ».

La fin est tragique.

Voici l’un des derniers SMS que Freedy a envoyé à sa fiancée, avant de mourir : « J’aurais dû faire ce p****n de vaccin ». Jessica a aussi raconté l’histoire sur une page de collecte de fonds « GoFundMe », un site de collecte de fonds. Elle insiste sur le fait que Freedy était en bonne santé (malgré une obésité évidente)…

Elle a depuis reçu sa première dose et invite tout le monde à se faire vacciner aussi vite que possible.

  • 2- Décès d’un vaccino-sceptique en Angleterre

Selon Leanne Cheyne, consultante respiratoire, Matthew lui avait confié qu’il souhaitait « pouvoir remonter le temps ».

Voici l’histoire de cet homme de 34 ans, originaire de Bradford, en Angleterre. Matthew a été testé positif au Covid-19 début juillet. Alors que son état s’est dégradé, il a changé d’avis sur les vaccins.

Hospitalisé, avec un masque à oxygène, il avait autorisé la diffusion de sa photo, comme le rapporte la BBC.

« Nos patients les plus malades ne sont pas vaccinés et ont moins de 40 ans », avait souligné Leanne Cheyne. Selon elle, son traitement était la dernière étape avant le placement en soins critiques.

Matthew est finalement décédé deux semaines après la diffusion de cette image. De nombreux hommages ont été rendus après l’annonce de sa mort. Une collecte de fonds a été lancée pour aider sa famille.

  • 3 – « J’étais fermement contre le vaccin » : Daryl Barker a frôlé la mort

L’histoire de Daryl Barker est relatée par le média Esquire et par Associated Press.

Au Lake Regional Hospital, dans l’Etat américain du Missouri, personne n’était hospitalisé pour Covid-19 il y a encore deux mois. Cela a radicalement changé après une flambée de l’épidémie. Daryl Barker, père de famille de 31 ans, est l’un des patients soignés à l’hôpital.

« J’étais fermement contre le vaccin », a-t-il déclaré à AP. « Juste parce que nous sommes une famille conservatrice forte. » Le virus a rattrapé sa famille : sa femme et huit autres personnes ont été contaminées. L’homme a été placé sous respirateur.

Les soignants estimaient que ses chances de survie n’étaient que de 20%. « Le médecin m’a dit qu’il allait laisser entrer ma femme et mon enfant pour que je puisse faire mes adieux parce qu’il ne pensait pas que j’allais m’en sortir », a déclaré Barker.

Son état s’est finalement amélioré et l’homme a changé d’avis sur la vaccination. Lui et sa femme comptent désormais se faire vacciner.

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Covid-19 : « Même à 30 ans on peut faire une forme grave et avoir des séquelles »

Les patients hospitalisés sont plus jeunes que lors des vagues précédentes.

Une pneumologue du CHU de Toulouse insiste sur les séquelles qu’engendrent les formes graves du Covid.

Le variant Delta, qui provoque une vague de contaminations d’une ampleur inédite depuis quelques semaines en Haute-Garonne, s’accompagne désormais d’une forte remontée de la tension hospitalière… en plein cœur de l’été !

Un pic des hospitalisations à la mi-août

Car si le pic des contaminations semble avoir été atteint (l’incidence qui reste à des niveaux jamais atteints lors des vagues précédentes, baisse depuis quelques jours à Toulouse et en Haute-Garonne), le CHU de Toulouse, s’attend à un pic des hospitalisations qui devrait intervenir autour du 15 août.

Et d’ici là, il faut trouver de la place à ces patients, dont le profil diffère des vagues précédentes.

« Nos services sont pleins », constate Élise Noël-Savina, pneumologue au CHU de Toulouse. « Tous ceux qui sont hospitalisés sont quasiment tous des non-vaccinés, et tous sont atteints par le variant Delta. Il y a des patients de plus en plus jeunes, qu’on n’avait pas aux autres vagues. Cela s’explique par la contagiosité extrême du variant actuel (qui serait aussi contagieux que la varicelle, ndlr). Il y a un tel nombre de jeunes qui sont contaminés… », reprend-elle. « La période est tendue, il y a moins de personnel et il y a également aussi beaucoup d’activité non Covid… On s’attend à quinze jours difficiles » , ajoute le docteur Élise Noël-Savina.

Un jeune de 23 ans en soins intensifs

« Dans mon service de soins intensifs, il y a notamment un jeune de 23 ans sans facteurs de risques, un autre de 34 ans, et un de 43 ans », détaille la pneumologue. Ces patients, qui ne se sentaient pas forcément concernés par la dangerosité du virus, ni par l’urgence de la vaccination, et qui ne sont pas forcément en surpoids, font désormais des formes graves de la maladie.

« Le jeune homme qui a 23 ans, vu la sévérité de la forme qu’il a actuellement, dans quatre mois, il fera partie des gens qui auront des séquelles. Il devra faire de la kiné, de la réhabilitation respiratoire… Ce n’est pas juste une hospitalisation et après tout va bien. Il va falloir lui réapprendre à respirer correctement !« , note Élise Noël-Savina, également co-auteure d’une étude publiée par le CHU de Toulouse, qui montre que 61% des patients Covid atteints d’une forme grave de la maladie conservent de lourds symptômes quatre mois après leur hospitalisation.

Gêne respiratoire, toux… Des symptômes qui persistent

L’étude concerne 72 patients contaminés lors de la première vague de la pandémie de Covid-19, qui avaient fait des formes modérées à sévères et qui étaient hospitalisés soit en pneumologie, soit en réanimation.

« La moyenne d’âge de ces patients est de 60 ans. On a exclu tous les patients qui avaient des maladies respiratoires ou cardiaques chroniques », ajoute la pneumologue du CHU de Toulouse.

« Parmi ceux qui ont encore des symptômes au bout de quatre mois, la gêne respiratoire reste prédominante (44 % sont concernés). Et 12 % ont une gêne respiratoire importante, ce qui signifie qu’ils ne peuvent même pas faire leur toilette. D’autres ont des difficultés pour monter un escalier, par exemple », ajoute-t-elle.

Les autres symptômes les plus communs sont la fatigue persistante (pour un tiers des patients) et la toux (pour 17% d’entre eux).

« Le Covid-19 est une maladie respiratoire vraiment atypique de par le nombre effroyable de gens contaminés et en raison du nombre de patients qui se retrouvent avec des séquelles derrière. Notre étude a montré que tous ces symptômes (qui persistent plusieurs mois après, ndlr) ne sont pas forcément liés à la gravité initiale de la maladie. Des personnes qui ont été hospitalisées mais qui n’ont nécessité que quelques litres d’oxygène, et non des techniques plus invasives de réanimation, peuvent avoir autant de symptômes persistants que ceux qui ont fait des formes très graves. »

Élise Noël-Savina. Pneumologue au CHU de Toulouse

Signe d’espoir : avec le temps, les symptômes s’estompent

Qu’elles aient été hospitalisées ou non, de nombreuses personnes qui ont contracté le Covid-19 sont atteintes d’une forme de Covid long.

L’étude du CHU de Toulouse est aussi pour elles porteuse d’espoir.

Et pour cause :  « Le côté rassurant, c’est que les choses s’améliorent… Mais ça prend du temps. Au bout d’un an, il n’y a plus que 10 % des personnes qui étaient atteintes de gêne respiratoire qui le sont encore. Il peut donc y a avoir une année très difficile pour les patients. Beaucoup font de la réhabilitation respiratoire, de la kinésithérapie respiratoire… Pour certains, le rétablissement est long », souligne Élise Noël-Savina.

Moins de séquelles respiratoires ?

« Probablement que si on faisait la même étude aujourd’hui, on aurait moins de séquelles respiratoires car les traitements ne sont plus les mêmes aujourd’hui. Au tout début, on n’utilisait pas les corticoïdes », analyse encore la co-auteure de cette étude.

Il n’en reste pas moins que pour éviter de faire une forme grave du Covid et de subir des séquelles, le meilleur rempart reste la vaccination, rappelle Élise Noël-Savina. Or, au 1er août, 683 593 habitants de plus de 12 ans étaient complètement vaccinés en Haute-Garonne.

« Avec une telle circulation du virus, qui est exponentielle, les patients sont plus jeunes et eux aussi sont à risque et peuvent avoir des séquelles. Ce n’est pas parce qu’on a 30 ans qu’on n’aura pas de séquelles respiratoires derrière si on fait une forme grave. Cette vague est assez différente des autres. La vaccination fait qu’on n’a plus les mêmes patients. Malgré le nombre important de contamination, la mortalité est nettement inférieure grâce à la vaccination. Il faut donc que les gens se vaccinent. C’est le seul moyen d’en finir avec ces vagues à répétition ». 

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Vaccinez-vous !

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Les vaccins ARNm sont :

  • étudiés depuis plusieurs décennies
  • expérimentés depuis 2005
  • les – éventuels – effets secondaires arrivent dans les 15 minutes suivant l’injection, et/ou au maximum dans les deux mois (comme les autres vaccins existants)

Toutes ces informations sont vérifiables avec des sources médicales et scientifiques sur le net.

Limpact négatif de la crise sanitaire sur la santé mentale n’est plus à démontrer…

Troubles du sommeil, anxiété, dépression, idées suicidaires, jusqu’au passage à l’acte.

Les autorités ont promis un renforcement des soins psychiques de première ligne, mais pour les psys et les hypnothérapeutes, ce n’est pas suffisant.

Un phénomène de cumul de stress

On est tous touchés d’une manière ou d’une autre.

A minima, cette crise implique un changement de nos habitudes. A maxima, ce sont des situations d’isolement extrême, de confrontation à des situations de danger pour soi ou de détresse psychologique, par exemple dans les services hospitaliers. On a vraiment un phénomène de cumul de stress, et même les gens les plus épargnés sont exposés.

Pointons aussi un effet d’accumulation qui perdure depuis le premier confinement : il y a eu une période de répit très courte qui s’est limitée à la fin du printemps 2020. Cela veut dire qu’un grand nombre de gens n’ont pas pu bénéficier du moment de répit traditionnel de l’été. Et on sait très bien en psychologie qu’une accumulation de stress et un stress chronique comme on le vit maintenant, c’est ce qu’il y a de plus dommageable pour la santé mentale.

Une bombe à retardement

Le rebond des problèmes psychologiques arrive bien plus tard que les problèmes physiques. Il est urgent de les prendre à bras le corps. Les données qui commencent à arriver montrent que sur toute une série d’aspects, idées suicidaires, risques de stress prost-traumatique, etc. depuis l’automne, les données sont soit stables mais à un niveau élevé, soit augmentent fortement. L’impact, on va vraiment le voir dans les semaines qui viennent. Car il y a toujours un effet retard sur la santé mentale.

Des psys débordés ?

Le politique a mis du temps à considérer ces aspects : ils ont été fortement négligés dans un premier temps. Dans un deuxième temps, le mot « psychologique » est apparu de plus en plus dans le discours politique, c’était début automne et déjà fort tard…

Il reste surtout du travail à faire en première ligne : il faut accélérer d’urgence les systèmes permettant aux gens d’accéder, dans leurs communes, à des soins rapides et gratuits, ce qui n’est pas encore en place. A côté du public précarisé, il y a aussi toute une série de personnes qui à un moment basculent. Et là, l’accès au soins de santé mentale n’est pas assez connu.

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Qu’est-ce que l’allopathie ?

L’allopathie désigne l’ensemble de traitements médicaux qui utilisent des produits dont les propriétés permettent de supprimer les symptômes de la maladie.

Il y a donc les traitements que nous avons l’habitude d’utiliser, et que nous appelons plus communément « les médicaments ». Par exemple les antibiotiques, l’insuline ou encore les anti-inflammatoires sont des traitements allopathiques.

L’allopathie concerne également les médecines non-conventionnelles telles que la phytothérapie, l’aromathérapie ou encore l’oligothérapie.

Le terme s’oppose cependant à l’homéopathie.

AllopathiePourquoi le terme « allopathie » ?

Le mot allopathie a été inventé par le dr Samuel Hahnemann, et est utilisé par les homéopathes pour désigner l’ensemble des pratiques thérapeutiques ne reposant pas sur le principe d’homéopathie.

En effet, l’allopathie est une médecine qui combat les symptômes alors que l’homéopathie est basée sur le principe que pour combattre une maladie, il faut absorber des substances qui provoquent les mêmes symptômes.

De ce fait, les homéopathes ne considèrent pas la vaccination et la désensibilisation aux allergies comme des médecines allopathiques, puisque elles utilisent des méthodes qui vont dans le sens de leurs principes.

Le recul de la mortalité par cancer aux Etats-Unis, amorcé au début des années 90, se poursuit, selon le dernier rapport fédéral publié lundi.

«La baisse continue de la mortalité résultant du cancer ces deux dernières décennies est une raison de se réjouir», souligne le Dr John Seffrin, patron de l’American Cancer Society, qui a contribué à cette recherche.

De 2000 à 2009, le taux des décès ayant résulté de cette maladie a baissé de 1,8% par an chez les hommes, de 1,4% parmi les femmes et de 1,8% chez les enfants jusqu’à l’âge de 14 ans.

«Les défis sont maintenant de poursuivre ces progrès face aux nouveaux obstacles que sont notamment l’obésité et les infections avec des papillomavirus humains (PVH)» responsables de la plupart des cancers du col de l’utérus, a ajouté le Dr Seffrin.

Le rapport indique qu’en 2010, seulement 32% des jeunes filles de 13 à 17 ans avaient été pleinement vaccinées contre le PVH contre l’objectif de 80% fixé par les autorités sanitaires.

En comparaison, le taux de vaccination dépasse 70% en Grande Bretagne et au Australie.

 

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